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Eu Claudio Oct 2014
full of nothing
and full of colours
are those balloons
ignorant they jump around
not knowing where to go next
waiting to be bursted

full of independence
and full of lives
are those cats
ignorant they jump around
with their '*******' attitude
waiting to die

full of joy
and full of ideas
are those kids
ignorant they jump around
discovering the world
waiting to grow


bursting, dying, growing
those are the blessed ones
living for the instant
the waiting ignorants
On lit dans les Annales de la propagation de la Foi :
« Une lettre de Hong-Kong (Chine), en date du 24 juillet
1832, nous annonce que M. Bonnard, missionnaire du
Tong-King, a été décapité pour la foi, le 1er mai dernier. »
Ce nouveau martyr était né dans le diocèse de Lyon et
appartenait à la Société des Missions étrangères. Il était
parti pour le Tong-King en 1849. »

I.

Ô saint prêtre ! grande âme ! oh ! je tombe à genoux !
Jeune, il avait encor de longs jours parmi nous,
Il n'en a pas compté le nombre ;
Il était à cet âge où le bonheur fleurit ;
Il a considéré la croix de Jésus-Christ
Toute rayonnante dans l'ombre.

Il a dit : - « C'est le Dieu de progrès et d'amour.
Jésus, qui voit ton front croit voir le front du jour.
Christ sourit à qui le repousse.
Puisqu'il est mort pour nous, je veux mourir pour lui ;
Dans son tombeau, dont j'ai la pierre pour appui,
Il m'appelle d'une voix douce.

« Sa doctrine est le ciel entr'ouvert ; par la main,
Comme un père l'enfant, il tient le genre humain ;
Par lui nous vivons et nous sommes ;
Au chevet des geôliers dormant dans leurs maisons,
Il dérobe les clefs de toutes les prisons
Et met en liberté les hommes.

« Or il est, **** de nous, une autre humanité
Qui ne le connaît point, et dans l'iniquité
Rampe enchaînée, et souffre et tombe ;
Ils font pour trouver Dieu de ténébreux efforts ;
Ils s'agitent en vain ; ils sont comme des morts
Qui tâtent le mur de leur tombe.

« Sans loi, sans but, sans guide, ils errent ici-bas.
Ils sont méchants, étant ignorants ; ils n'ont pas
Leur part de la grande conquête.
J'irai. Pour les sauver je quitte le saint lieu.
Ô mes frères, je viens vous apporter mon Dieu,
Je viens vous apporter ma tête ! » -

Prêtre, il s'est souvenu, calme en nos jours troublés,
De la parole dite aux apôtres : - Allez,  
Bravez les bûchers et les claies ! -
Et de l'adieu du Christ au suprême moment :
- Ô vivant, aimez-vous ! aimez. En vous aimant,
Frères, vous fermerez mes plaies. -

Il s'est dit qu'il est bon d'éclairer dans leur nuit
Ces peuples égarés **** du progrès qui luit,
Dont l'âme est couverte de voiles ;
Puis il s'en est allé, dans les vents, dans les flots,
Vers les noirs chevalets et les sanglants billots,
Les yeux fixés sur les étoiles.

II.

Ceux vers qui cet apôtre allait, l'ont égorgé.

III.

Oh ! tandis que là-bas, hélas ! chez ces barbares,
S'étale l'échafaud de tes membres chargé,
Que le bourreau, rangeant ses glaives et ses barres,
Frotte au gibet son ongle où ton sang s'est figé ;

Ciel ! tandis que les chiens dans ce sang viennent boire,
Et que la mouche horrible, essaim au vol joyeux,
Comme dans une ruche entre en ta bouche noire
Et bourdonne au soleil dans les trous de tes yeux ;

Tandis qu'échevelée, et sans voix, sans paupières,
Ta tête blême est là sur un infâme pieu,
Livrée aux vils affronts, meurtrie à coups de pierres,
Ici, derrière toi, martyr, on vend ton Dieu !

Ce Dieu qui n'est qu'à toi, martyr, on te le vole !
On le livre à Mandrin, ce Dieu pour qui tu meurs !
Des hommes, comme toi revêtus de l'étole,
Pour être cardinaux, pour être sénateurs,

Des prêtres, pour avoir des palais, des carrosses,
Et des jardins l'été riant sous le ciel bleu,
Pour argenter leur mitre et pour dorer leurs crosses,
Pour boire de bon vin, assis près d'un bon feu,

Au forban dont la main dans le meurtre est trempée,
Au larron chargé d'or qui paye et qui sourit,
Grand Dieu ! retourne-toi vers nous, tête coupée !
Ils vendent Jésus-Christ ! ils vendent Jésus-Christ !

Ils livrent au bandit, pour quelques sacs sordides,
L'évangile, la loi, l'autel épouvanté,
Et la justice aux yeux sévères et candides,
Et l'étoile du coeur humain, la vérité !

Les bons jetés, vivants, au bagne, ou morts, aux fleuves,
L'homme juste proscrit par Cartouche Sylla,
L'innocent égorgé, le deuil sacré des veuves,
Les pleurs de l'orphelin, ils vendent tout cela !

Tout ! la foi, le serment que Dieu tient sous sa garde,
Le saint temple où, mourant, tu dis :Introïbo,
Ils livrent tout ! pudeur, vertu ! - martyr, regarde,
Rouvre tes yeux qu'emplit la lueur du tombeau ; -

Ils vendent l'arche auguste où l'hostie étincelle !
Ils vendent Christ, te dis-je ! et ses membres liés !
Ils vendent la sueur qui sur son front ruisselle,
Et les clous de ses mains, et les clous de ses pieds !

Ils vendent au brigand qui chez lui les attire
Le grand crucifié sur les hommes penché ;
Ils vendent sa parole, ils vendent son martyre,
Et ton martyre à toi par-dessus le marché !

Tant pour les coups de fouet qu'il reçut à la porte !
César ! tant pour l'amen, tant pour l'alléluia !
Tant pour la pierre où vint heurter sa tête morte !
Tant pour le drap rougi que sa barbe essuya !

Ils vendent ses genoux meurtris, sa palme verte,
Sa plaie au flanc, son oeil tout baigné d'infini,
Ses pleurs, son agonie, et sa bouche entrouverte,
Et le cri qu'il poussa : Lamma Sabacthani !

Ils vendent le sépulcre ! ils vendent les ténèbres !
Les séraphins chantant au seuil profond des cieux,
Et la mère debout sous l'arbre aux bras funèbres,
Qui, sentant là son fils, ne levait pas les yeux !

Oui, ces évêques, oui, ces marchands, oui, ces prêtres
A l'histrion du crime, assouvi, couronné,
A ce Néron repu qui rit parmi les traîtres,
Un pied sur Thraséas, un coude sur Phryné,

Au voleur qui tua les lois à coups de crosse,
Au pirate empereur Napoléon dernier,
Ivre deux fois, immonde encor plus que féroce,
Pourceau dans le cloaque et loup dans le charnier,

Ils vendent, ô martyr, le Dieu pensif et pâle
Qui, debout sur la terre et sous le firmament,
Triste et nous souriant dans notre nuit fatale,
Sur le noir Golgotha saigne éternellement !

Du 5 au 8 novembre 1852, à Jersey
Jade --
Stone of the side,
The antagonized

Side of green Adam, I
Smile, cross-legged,
Enigmatical,

Shifting my clarities.
So valuable!
How the sun polishes this shoulder!

And should
The moon, my
Indefatigable cousin

Rise, with her cancerous pallors,
Dragging trees --
Little bushy polyps,

Little nets,
My visibilities hide.
I gleam like a mirror.

At this facet the bridegroom arrives
Lord of the mirrors!
It is himself he guides

In among these silk
Screens, these rustling appurtenances.
I breathe, and the mouth

Veil stirs its curtain
My eye
Veil is

A concatenation of rainbows.
I am his.
Even in his

Absence, I
Revolve in my
Sheath of impossibles,

Priceless and quiet
Among these parrakeets, macaws!
O chatterers

Attendants of the eyelash!
I shall unloose
One feather, like the peacock.

Attendants of the lip!
I shall unloose
One note

Shattering
The chandelier
Of air that all day flies

Its crystals
A million ignorants.
Attendants!

Attendants!
And at his next step
I shall unloose

I shall unloose --
From the small jeweled
Doll he guards like a heart --

The lioness,
The shriek in the bath,
The cloak of holes.
mj cusson Sep 2013
Girls are so stupid,
belief in make-believe and cupid.
they all read the same teen zeens
and flatter talk ‘bout the same celebrities.

Seep through the ignorants for the wise.
falling always for the same players with clever guise.
Then there’s the dumb boys who are treated like flies.
The smart ones ignore girls and put on ties.

Can this get any better?
smootch-stick, cheap-trick,
fun-run, one night stan’,
can’t we make this better?

The girls try on boys like they’re shopping for clothes,
the ladies spend their time being played and strung along.
The boys spend the nights sleeping with new heart-throbs,
While the gentleman finds his wife sleeping aroun’.

Boys are so stupid,
time-spent on getting girls in their bed.
they kiss and tell,
and make-believe all is well.

Seep through the wise for the ignorants.
falling always for the same woman with clever tempts.
then there’s the dumb girls who are treated like *****.
The smart ones ignore the boys and go for the rent.

Can this get any better?
smootch-stick, cheap-trick,
fun-run, one night stan’,
can’t we make this better?

The girls try on boys like they’re shopping for clothes,
the ladies spend their time being played and strung along.
The boys spend the nights sleeping with new heart-throbs,
While the gentleman finds his wife sleeping aroun’.


I am so not stupid,
I can see that I need only bread.
I speak of positive things,
with negative songs I sing.

seep through the patient and find worthy suiteress.
don’t care for the melodrama nor the stress,
sometimes dumb and other times in my unrest.
The smart one is thrown away because he’s a pest.

Can this get any better?
smootch-stick, cheap-trick,
fun-run, one night stan’,
can’t we make this any better?

The girls try on boys like they’re shopping for clothes,
the ladies spend the most time being played and strung along.
The boys spend the nights sleeping with new heart-throbs,
While the gentleman finds his wife sleeping aroun’.

And I keep going forward,
toward,
without a care nor word.
I apologize for any ill-will; this one I wrote on a very bad day.
Epic Monkey Aug 2014
Innocent child
Spark denied
Hardly strived a final strife
Justice died
Mother cried
As hazard tried to save his live

Innocence-spilling massacre
Infant weeping
Held by his dying mother
Suddenly sleeping
Desperately leaving
This world to another

A masterpiece of insanity
A disgrace to humanity

Manipulated politicians
Manipulating ignorants
Discriminating religions
Yet same God is worshiped
Same peaceful visions
Yet all drown in hate
and proudly claim
to be believers
Yet **** in His name
like proud imbeciles
for inhuman leaders

Go read your holy books
Absorb the essence of charity
Accept we're all the same
Refuse the tyranny
Color your brainwashed minds
with stains of compassion
Break the political system
Overshadowing your freedom

Don't let their shams
Carve your misery
Unveil Insanity
Unchain Humanity

~Epic Monkey
For the inhuman insanities happening in many areas in the Middle East especially Ghaza and Moosel. As humans, we can't remain neutral to what is happening!
Elouise Roux Nov 2011
Such a taboo
it was never discussed
that forbidden topic
so how
how?
was I to identify
understand
accept what I felt
that tender age
Gay!
negatively tossed
about playgrounds
freely
pushing that thorn
ever deeper inside
burying
those give-away's
convincing myself otherwise
moulding
to average for the
ignorants acceptance
why?
so not to feel those
terrifying branding
labelling
Eyes.
11 Aug 2010
Resolute and
ignorant decisions
lead you to,
not so much,
but where so many
objects come into play, 
don't forget pain.
Once you 
elaborate your resolute,
ignorant opinions
and protests, 
against
not so much,
but amongst many
who are deliberate
resolute
ignorants.

It does,
lead you,
into
nothing.
So don't forget pain.

Thanks.

11
Ochiogu Kevin Sep 2009
Though in the same
place and time
but from a vantage point
and the dance stage
in view,
where they step
in the manner of the sane
and the lunatics.
The disco lights
in varied odd colours,
and the demons in most
could be seen
summoning,
the newly born and
their homeless kind.
To dwell in the
innocent ignorants.
So they left at dawn
excited; feeling like
someone else.
Heather Renee Feb 2014
Let's talk about feminism
Let's discuss the social perception of the cause
How misgonists claim we are equal
How bigots claim we are immoral
How ignorants can say, 'She had it coming'

Let's talk about equality
Let's explore the land of opportunity
Where being gay is 'a choice'
Where racism is more subtly projected
Where women are still fighting for equal rights

Let's talk about feminism
Let's examine **** culture
How men are excused by intoxication
How women are condemned by the same
How people can say, 'Well he is your boyfriend, isn't that what you do?'

Let's talk about equality
Let's analyze the current state of equality
Where in some states, you're protected
Where in some states, you're rejected
Where in some states, you're infected

Let's talk about feminism
Let's study the modern chauvinistic idea
How women aren't as strong
How women aren't as smart
How women aren't as logical

Let's talk about a revolution
Let's inspire a renaissance
Where equality is revelant and boundless
Where feminism is celebrated
Where protesting is unncessary

Let's talk about a revolution
Rogue Sep 2017
Amidst the restless nights I walk alone
weaving past the streets of cobblestone

Toting on my mind is a notion overlooked,
I'm a connoisseur of allegory and oftentimes rebuke

"You ignorants! You do not know,
Like an ailment, silence grows

and without haste, it will devour you,
'til the words once chromatic lose its hue"

Yet my forewarning like fine raindrops fell
Resonated not, never even a moment to dwell

as to that exploit perforated an ephipany:
My voice will never be heard, that is ought to be;

and my words will nevermore transpierce thee,
For I am silence and silence is me.
Elizabeth Mar 2014
In the house of her noble
She sat on her thrown and cried,
Smashed the crown that bares her name,
Because she then realized how little she had to live for,
And how little she wanted to live for her name.

The death of people seems empty as an urn.
No pride can come of destruction, no honor is bestowed after pillage and fear.

There came that day for this lady,
When she squandered her family name.
For she now understood the terror that comes with her royal syllables.

The mother denies the daughter,
"Someday you will be a lady, and a lady naught cry."
The father spits and swears,
"**** the daughter that ****** on the line of ancients."
They giggle and smirk, the sisters,
"Father loves us best. Fathers hates the child who dares disrespect his title."
The maid bickers still,
"If I were to disrespect, I'd be out on the street."

But they'll never understand,
The **** ignorants,
How a "meaningless" **** means more than imaginable.
And each helpless child left to rot on the street begs for forgiveness of the crime never in existence.
They can't comprehend how this tears a heart in two.

They must not have one to begin with.
Ako Jul 2017
I found him
Amidst of ignorance
And murmur
"Oh my god", one said.

My heart trampled when I saw him
I was broken...
Left behind on a big mess,
Ignorants entangled with their egos,
A creature,
A small creature
Pure
Innocent
Alone
And wounded...

He was terrified
I looked in his eyes,
"Could you please help me?"
"I am all alone."
I saw the gleams
The lonely gleams...
The same as mine...

I tucked him on my temple,
Wounded and alone,
We went to the clinic
A white, man made blocks
It was not a mere *******
It was the savior of us.

I lie him on the table,
A silvery, metal table.

Someone tall in white appeared
A kind tone of him said,
"What has happened?"
And there, I put my story
A heartbreaking story masked by my cheery tone.

He is a big boy now
A big yet young golden haired pup
Joyful, kind, and warm creature
Lucky,
As my second self told me
I named him.

Loneliness bound us
To get through this harsh plane
Kindness is what he taught me
Everyday, in every life...

In kindness and loneliness we bound,
I miss you buddy...
I miss my pup a lot. I am in a faraway, away from home. I see his loneliness, as I see mine.
Fable XIII, Livre III.


L'autre hiver, des badauds attroupés dans ma rue
S'extasiaient devant une statue :
C'était la reine de Paphos,
Chef-d'œuvre qu'un artiste échappé du collège
Avait tiré... - D'un marbre de Paros ?
Non, lecteur ; mais d'un tas de neige.
Le ciseau de Chaudet n'aurait pas excité
Plus d'admiration dans la foule ébahie.
« - Voilà ce qui s'appelle une œuvre de génie,
« Un morceau vraiment fait pour la postérité !
« Que cette tête est noble et belle !
« Disaient, en soufflant dans leurs doigts,
« Trois amateurs transis ; l'antiquité, je crois,
« N'a rien à mettre en parallèle.
« - Rien ! dit un antiquaire indigné du propos ;
« Rien ! puis-je entendre un tel blasphème ?
« Rien ! ne craignez-vous point de passer pour des sots ?
« - Des sots ! nous, monsieur ? Sot vous-même,
Si vous n'admirez pas ces formes, ces contours,
« Cette pose à la fois sublime et naturelle,
« Ce sourire où l'on voit se jouer les Amours :
« Non, la Vénus de Praxitèle
« N'est qu'un bloc en comparaison.
« - Qu'un bloc ! » dit l'érudit étouffant de colère,
Comme s'il n'avait pas raison,
« J'espère aux ignorants démontrer le contraire ;
« Je ne veux rien qu'un mois. » Et s'échappant soudain,
Il grimpe à son taudis, s'enferme, prend la plume,
Compulse maint et maint volume,
Cite maint Grec et maint Romain ;
Se fatigue la tête, et plus encor la main.
Que d'encre prodiguée, et que d'encre perdue !
Non qu'au jour dit l'erreur n'eût été confondue,
Et le goût rétabli dans son honneur vengé ;
Mais, tandis qu'il grimpait, le temps avait changé,
Et la Vénus était fondue.
labyrinth Mar 2021
If you insist
I admit I’m racist
When it comes
To all ignorants
Mystic Ink Plus Mar 2020
Vulnerable group
With preoccupied mind
Who doesn't bother to
Wear Mask
Clean hands
Stay in distance
Holding
A morbid faith
In their thick brain
Either
Are the Superhumans
Or just an ignorants

Thank you
Genre: Raw
Theme: A friendly reminder
Note: And remember Viruses don't discriminate anything, they follow the universal law, they accept, no bribe.
Stepping back this time is a warm up to bounce better, immune again. Background of COVID-19.
MuRii Ebrahim Jun 2015
After many years, our days here will only be past.
But I'm sure that all our memories also will last.
In this place, We've lived and learned,
Tossed and down turned.
Our dreams have come true.
A new path in life, now we knew.

3 years were enough for a change.
Our thoughts and plans, we could rearrange.
We've faced many obstacles.
With courage and a smile.
We've learned life's lessons.
And did it with a style.

Morning dew on our young minds.
We're no more ignorants nor blinds.
We've grown before our teachers' eyes.
We've shared laughter and cries.

And finally our graduation is here, we've really come so far.
So friends or should I say family, Accept who you are.
Address everyday with purpose and aim.
Decide what you want. Make living your game.
Sur le pont-neuf, entouré de badauds,
Un charlatan criait à pleine tête :
Venez, messieurs, accourez faire emplette
Du grand remède à tous les maux :
C'est une poudre admirable
Qui donne de l'esprit aux sots,
De l'honneur aux fripons, l'innocence aux coupables,
Aux vieilles femmes des amants,
Au vieillard amoureux une jeune maîtresse,
Aux fous le prix de la sagesse,
Et la science aux ignorants.
Avec ma poudre, il n'est rien dans la vie
Dont bientôt on ne vienne à bout ;
Par elle on obtient tout, on sait tout, on fait tout ;
C'est la grande encyclopédie.
Vite je m'approchai pour voir ce beau trésor...
C'était un peu de poudre d'or.
Sonnet.


Vous êtes ignorants comme moi, plus encore,
Innombrables soleils ! La raison de vos lois
Vous échappe, et, soumis, vous prodiguez sans choix
Les vibrantes clartés dont l'abîme se dore.

Tu ne sais rien non plus, rose qui viens d'éclore,
Et vous ne savez rien, zéphyrs, fleuves et bois !
Et le monde invisible et celui que je vois
Ne savent rien d'un but et d'un plan que j'ignore.

L'ignorance est partout ; et la divinité,
Ni dans l'atome obscur, ni dans l'humanité,
Ne se lève en criant : « Je suis et me révèle ! »

Etrange vérité, pénible à concevoir,
Gênante pour le cœur comme pour la cervelle,
Que l'Univers, le Tout, soit Dieu sans le savoir !
Ale Jun 2020
Scalp burning with erratic perturbation-
Wisps of hair detached from pale flesh-
Shaking fingers gripping into carved moons on dented skin-
The drug is in the stream, causing perpetual commotion.

And it flutters, flying like a bird
around the space of my flimsy stomach,
then a ferocious lion, jumping and *******
with not shame whatsoever,
not paying attention to the simple fact that I
have been left in awe -an understatement for such epiphany-
by words written by a stranger, strangely intimate,
resonating firmly against my rib cage.

My heart in a hurry to reach its eventual demise,
but the lack of care evident, for your words have
spoken to me in such a distinctive way, that
I don’t need anything anymore to keep breathing, other than
the poet softly whispering words in my ear,
uncovering them, when they were previously stuffed
with relentless loathing, spitted venom from ignorants.

They showed me that it was not mine,
that it never belonged in my system.
They taught me how it feels
to love something again.
And for that, I’m forever grateful.
I’m not sure if this stream of consciousness makes much sense, so please consider the fact that I wrote it with an unnatural amount of caffeine in my system while reading a poem that shattered me. I just wanted to say thank you to the poets that actively choose to share their poetry in this site. If you are reading this please know that your poetry has changed me in ways I thought impossible, definitely for the better. Your words have even saved me from my own self, so I feel like I will always owe you something. Thank you once again for choosing to deviate from the norm and choosing to follow that feared artistic path! You are touching hearts, and will keep doing that as long as you write. Thank you!
Ah ! si j'avais des paroles,
Des images, des symboles,
Pour peindre ce que je sens !
Si ma langue, embarrassée
Pour révéler ma pensée,
Pouvait créer des accents !

Loi sainte et mystérieuse !
Une âme mélodieuse
Anime tout l'univers ;
Chaque être a son harmonie,
Chaque étoile son génie,
Chaque élément ses concerts.

Ils n'ont qu'une voix, mais pure,
Forte comme la nature,
Sublime comme son Dieu ;
Et, quoique toujours la même,
Seigneur, cette voix suprême
Se fait entendre en tout lieu.

Quand les vents sifflent sur l'onde,
Quand la mer gémit ou gronde,
Quand la foudre retentit,
Tout ignorants que nous sommes,
Qui de nous, enfants des hommes,
Demande ce qu'ils ont dit ?

L'un a dit : « Magnificence ! »
L'autre : « Immensité ! puissance ! »
L'autre : « Terreur et courroux ! »
L'un a fui devant sa face,
L'autre a dit : « Son ombre passe :
Cieux et terre, taisez-vous ! »

Mais l'homme, ta créature,
Lui qui comprend la nature,
Pour parler n'a que des mots,
Des mots sans vie et sans aile,
De sa pensée immortelle
Trop périssables échos !

Son âme est comme l'orage
Qui gronde dans le nuage
Et qui ne peut éclater,
Comme la vague captive
Qui bat et blanchit sa rive
Et ne peut la surmonter.

Elle s'use et se consume
Comme un aiglon dont la plume
N'aurait pas encor grandi,
Dont l'œil aspire à sa sphère,
Et qui rampe sur la terre
Comme un reptile engourdi.

Ah ! ce qu'aux anges j'envie
N'est pas l'éternelle vie,
Ni leur glorieux destin :
C'est la lyre, c'est l'organe
Par qui même un cœur profane
Peut chanter l'hymne sans fin !

Quelque chose en moi soupire,
Aussi doux que le zéphyr
Que la nuit laisse exhaler,
Aussi sublime que l'onde,
Ou que la foudre qui gronde ;
Et mon cœur ne peut parler !

Océan, qui sur tes rives
Épands tes vagues plaintives,
Rameaux murmurants des bois,
Foudre dont la nue est pleine,
Ruisseaux à la molle haleine,
Ah ! si j'avais votre voix !

Si seulement, ô mon âme,
Ce Dieu dont l'amour t'enflamme
Comme le feu, l'aquilon,
Au zèle ardent qui t'embrase
Accordait, dans une extase,
Un mot pour dire son nom !

Son nom, tel que la nature
Sans parole le murmure,
Tel que le savent les deux ;
Ce nom que J'aurore voile,
Et dont l'étoile à l'étoile
Est l'écho mélodieux ;

Les ouragans, le tonnerre,
Les mers, les feux et la terre,
Se tairaient pour l'écouter ;
Les airs, ravis de l'entendre,
S'arrêteraient pour l'apprendre,
Les deux pour le répéter.

Ce nom seul, redit sans cesse,
Soulèverait ma tristesse
Dans ce vallon de douleurs ;
Et je dirais sans me plaindre :
« Mon dernier jour peut s'éteindre,
J'ai dit sa gloire, et je meurs ! »
Sois de bronze et de marbre et surtout sois de chair

Certes, prise l'orgueil nécessaire plus cher,

Pour ton combat avec les contingences vaines ;

Que les poils de ta barbe ou le sang de tes veines ;

Mais vis, vis pour souffrir, souffre pour expier,

Expie et va-t'en vivre et puis reviens prier,

Prier pour le courage et la persévérance

De vivre dans ce siècle, hélas ! et cette France,

Siècle et France ignorants et tristement railleurs.

(Mais le règne est plus haut et la patrie ailleurs

Et la solution est autre du problème.)

Sois de chair et même aime cette chair, la même

Que celle de Jésus sur terre et dans les cieux,

Et dans le Très Saint-Sacrement si précieux

Qu'il n'est de comparable à sa valeur que celle

De ta chair vénérable en sa moindre parcelle

Et dans le moindre grain de l'Hostie à l'autel ;

Car ce mystère, l'Incarnation, est tel,

Par l'exégèse autour comme par sa nature ;

Qu'il fait égale au Créateur la créature,

Cependant que, par un miracle encor plus grand,

L'Eucharistie, elle, les confond et les rend

Identiques. Or cette chair expiatoire.

Fais-t'en une arme douloureuse de victoire

Sur l'orgueil que Satan peut d'elle t'inspirer

Pour l'orgueil qu'à jamais tu peux considérer

Comme le prix suprême et le but enviable.

Tout le reste n'est rien que malice du diable !

Alors, oui, sois de bronze impassible, revêts

L'armure inaccessible à braver le Mauvais,

Pudeur, Calme, Respect, Silence et Vigilance.

Puis sois de marbre, et pur, sous le heaume qui lance

Par ses trous le regard de tes yeux assurés,

Marche à pas révérents sur les parvis sacrés.
Yenson Sep 2019
What is there to consider about a thousand thugs and hooligans
what do vagabonds and scums with enough problems of their own
have to constructively render to my well-being or otherwise
how can restricted vigilantes with coercive chains on hands and feet
devoid of senses, reasoning choices and free-will impact my emotions
am what I am and I apologize to no one for being me I wish you same
the corrupted will never feel at ease with the un-corrupted fact of life
the dissatisfied discontented will always carry grudges in their bones
deranged and depressed will seek company to project their miseries
the asinine cynics will always look for reasons to blame others for ills
the ignorants and ill-educated look for scapegoats to hang faults on
and the cowards and bullies pick victims to feel powerful and strong
go all and look yourselves in the mirror and let truths talk to you
you may still well find salvation to redeem your ills and make good
your victim is yourselves, find fulfillment and the attentions needed
do not blame me......
Quel beau lieu ! Là le cèdre avec l'orme chuchote,
L'âne est Iyrique et semble avoir vu Don Quichotte,
Le tigre en cage a l'air d'un roi dans son palais,
Les pachydermes sont effroyablement laids ;
Et puis c'est littéraire, on rêve à des idylles
De Viennet en voyant bâiller les crocodiles.
Là, pendant qu'au babouin la singesse se vend,
Pendant que le baudet contemple le savant,
Et que le vautour fait au hibou bon visage,
Certes, c'est un emploi du temps digne d'un sage
De s'en aller songer dans cette ombre, parmi
Ces arbres pleins de nids, où tout semble endormi
Et veille, où le refus consent, où l'amour lutte,
Et d'écouter le vent, ce doux joueur de flûte.

Apprenons, laissons faire, aimons, les cieux sont grands ;
Et devenons savants, et restons ignorants.
Soyons sous l'infini des auditeurs honnêtes ;
Rien n'est muet ni sourd ; voyons le plus de bêtes
Que nous pouvons ; tirons partie de leurs leçons.
Parce qu'autour de nous tout rêve, nous pensons.
L'ignorance est un peu semblable à la prière ;
L'homme est grand par devant et petit par derrière ;
C'est, d'Euclide à Newton, de Job à Réaumur,
Un indiscret qui veut voir par-dessus le mur,
Et la nature, au fond très moqueuse, paraphe
Notre science avec le cou de la girafe.
Tâchez de voir, c'est bien. Épiez. Notre esprit
Pousse notre science à guetter ; Dieu sourit,
Vieux malin.

Je l'ai dit, Dieu prête à la critique.
Il n'est pas sobre. Il est débordant, frénétique,
Inconvenant ; ici le nain, là le géant,
Tout à la fois ; énorme ; il manque de néant.
Il abuse du gouffre, il abuse du prisme.
Tout, c'est trop. Son soleil va jusqu'au gongorisme ;
Lumière outrée. Oui, Dieu vraiment est inégal ;
Ici la Sibérie, et là le Sénégal ;
Et partout l'antithèse ! il faut qu'on s'y résigne ;
S'il fait noir le corbeau, c'est qu'il fit blanc le cygne ;
Aujourd'hui Dieu nous gèle, hier il nous chauffait.
Comme à l'académie on lui dirait son fait !
Que nous veut la comète ? À quoi sert le bolide ?
Quand on est un pédant sérieux et solide,
Plus on est ébloui, moins on est satisfait ;
La férule à Batteux, le sabre à Galifet
Ne tolèrent pas Dieu sans quelque impatience ;
Dieu trouble l'ordre ; il met sur les dents la science ;
À peine a-t-on fini qu'il faut recommencer ;
Il semble que l'on sent dans la main vous glisser
On ne sait quel serpent tout écaillé d'aurore.
Dès que vous avez dit : assez ! il dit : encore !

Ce démagogue donne au pauvre autant de fleurs
Qu'au riche ; il ne sait pas se borner ; ses couleurs,
Ses rayons, ses éclairs, c'est plus qu'on ne souhaite.
Ah ! tout cela fait mal aux yeux ! dit la chouette.
Et la chouette, c'est la sagesse.

Il est sûr
Que Dieu taille à son gré le monde en plein azur ;
Il mêle l'ironie à son tonnerre épique ;
Si l'on plane il foudroie et si l'on broute il pique.
(Je ne m'étonne pas que Planche eût l'air piqué.)
Le vent, voix sans raison, sorte de bruit manqué,
Sans jamais s'expliquer et sans jamais conclure,
Rabâche, et l'océan n'est pas exempt d'enflure.
Quant à moi, je serais, j'en fais ici l'aveu,
Curieux de savoir ce que diraient de Dieu,
Du monde qu'il régit, du ciel qu'il exagère,
De l'infini, sinistre et confuse étagère,
De tout ce que ce Dieu prodigue, des amas
D'étoiles de tout genre et de tous les formats,
De sa façon d'emplir d'astres le télescope,
Nonotte et Baculard dans le café Procope.
Tout ce qu'ont dit les hirondelles
Sur ce colossal bâtiment,
C'est que c'était à cause d'elles
Qu'on élevait un monument.

Leur nid s'y pose si tranquille,
Si près des grands chemins du jour,
Qu'elles ont pris ce champ d'asile
Pour causer d'affaire, ou d'amour.

En hâte, à la géante porte,
Parmi tous ces morts triomphants,
Sans façon l'hirondelle apporte
Un grain de chanvre à ses enfants.

Dans le casque de la Victoire
L'une, heureuse, a couvé ses œufs,
Qui, tout ignorants de l'histoire,
Éclosent fiers comme chez eux.

Voulez-vous lire au fond des gloires,
Dont le marbre est tout recouvert ?
Mille doux cris à têtes noires
Sortent du grand livre entr'ouvert.

La plus mince qui rentre en France
Dit aux oiseaux de l'étranger
« Venez voir notre nid immense.
Nous avons de quoi vous loger. »

Car dans leurs plaines de nuages
Les canons ne s'entendent pas
Plus que si les hommes bien sages
Riaient et s'entr'aimaient en bas.

La guerre est un cri de cigale
Pour l'oiseau qui monte chez Dieu ;
Et le héros que rien n'égale
N'est vu qu'à peine en si haut lieu.

Voilà pourquoi les hirondelles,
À l'aise dans ce bâtiment,
Disent que c'est à cause d'elles
Que Dieu fit faire un monument.
Yenson Mar 2019
All I have to do

is look back and smile
I am not a thief, never stolen from anyone
never so damaged, criminal and undignified
rendered disgraceful enough to burgle my neighbour
a white in a whiteland without the adequacy to survive
due to wasted opportunities, lacking intelligence and drive
becoming a drunk with a hedonistic style while others make hay

All I have to do

is see the truth and smile
I made good use of my opportunities
used my mind and built enough to uphold my self-respect
never stole or misappropriate or wasted myself in a drunken haze
walk a straight path and paid my dues, worked hard and progressed
treated others as I would expect others to treat me fairly and on merit
no shame or guilt on me for I wronged no one and did no borrowing

All I have to do

is watch as envy and hate burn
from those with inadequate lives and feelings of inferiorities
weak pathetic losers whose shame and disgrace turns them toxic
consumed by the fire of envy and jealousy, in dire pain of insecurity
self-loathing turns them into maniacs, hating all that stands for good
mad with hot rage all their passions becomes to destroy and damage
to spread their miseries, project their pain, share their frustrations

All I have to do

is pray for their broken lives and spirits
in me they see the benefit of able education and good breeding
reminding them of their under-development, pettiness and ignorance
my strength and fortitude challenges them and flames their irrationalities
and without the balance and consciousness of guided maturity
they can only be what they are, mindless yobbos, hooligans and thugs
hate mobs baying and crying, immature ignorants and cheap bullies, a brainless rabble, toxic maladjusted cowards.
HATE- it starts small, they spread lies and distortion, that blackman is loaded and stopping us from eating, that muslim is wearing a hijab, that asian has too many shops, that Polish is taking our jobs, they spread their hate, corrupt others and before you know it we have New Zealand.
Better woke and see
Butch Decatoria May 2021
Freedom Cries
Latter tears
For all the lives that lie
Beneath Founding Fathers' Liberties its feared
Swept under rug
In white toupees, french rolls
Talcum powder white
Land of blood & milk & honey
All the earth bestowed by God
For He so loveth man
Genocide wipe out the indigenous
Seed
The native son's lost histories
The world wide invasion
Like a web

Problem is people is
The virus to nature's maturity
Under Founding Fathers'
Liberty.

Life's propriety made property.  
We're lost on the run
Ignorants in bliss. Hail capitalists, consumers injesting under the gun...
What the frack is happening
Running out of hacking breath
What father knows best
Can't outrun Death.
Sionara all the best, god bless...
Out of breath.
And Done.
S I N Nov 2019
To thee, The Muse, I will try to aspire,
If you will deign to grant me strength and power
To imbue the words from me required
With Beauty, meaning; to induce desire
Within the souls of ignorants; this sire,
Whose history I’m here about to unfold
By means of means as yet not being told.
An artist was of great imaginary power,
Whom Beaty of the nature didst inspire
To depict th’ most common - most sublime;
Who in the azure pond pervaded to the brim
And strewn with water lilies to the rim
Did manage to express the utmost feeling
And the innermost of soul stirring
With canvas, easel and a swab of brush
In one prolongéd moment of blood rush
Could be compared, if not surpass,
To great Apollo chiseled in the brass;
Fortitude of madman did he has
To every season paint the same haystacks
From the same angle, point of view and place;
And in every sample show it’s grace
Of that uniqueness that he then beheld:
So through the canvas distinctly was smelled
The rich odor of rye so ripe and swelled
That it was hard desire to subdue
To pluck one spike and eagerly to chew
To feel this somehow bitter, somehow pleasant sap,
That not ‘fore long would plunge you into nap
In which you would descry either the dawning
So perfectly describéd in one drawing;
Or woman with a lad amidst the meadow
Under the parasol, or at the window
Pondering on something in her mind;
Or sky with water jointlessly aligned
So ‘tis impossible to  outline
To which domain each sphere is confined;
Or four lean poplars in one straight array,
Or two red boats at anchor at the bay;
The Lunch, The Cliff, The Magpie perched,
Another lilies  joyfully emerged
As if there is no other place for them
And everything pervaded with such phlegm
That ‘tis indeed so bitterly  to rise,
And in the distance to behold sunrise
Although comparable, but not the same
To that Which nature’s trying To surpass in vain.
Yenson May 2021
They only understand at the basic level
the complexities of reasoning are not theirs
as are finesse and being cultured or witticisms
they think in pictures as a child with an abacus to count

being charitable enough to be  polite
rather say I have nothing but contempt for them
he glibly said I will never forgive aware this is up to God
the low thinkers and the preachers all buy into another buzzword

basic understanding of low mentality
sees the jokey assertion that a character has gone black
meaning a fair complexion fares in dark tones as if that matters
to a wholesome adult well aware any outer pigmentation is irrelevant

ignorants comprehends neither wit irony or sarcasm
a fascinating study forever amusing to the cultured brigades
who rather than educate them merely toy with them indulgently
for they know that to the dumb witless they always see the Emperor's new coat

from Plato Republic to the fantasist socialist grandpa
we see how manipulation of the underclasses plays out
spin the sound bites and tell lies for they're too dumb for truths
praise their ignorance and tell them Duchess Camilla and the Prince have horse faces
these twits are always ripe for the taking, its in their gene pools
The first and greatest victory is to conquer yourself; to be conquered by yourself is of all things most shameful and vile. without the ability to understand fully you have been conquered by yourself. Your oppositions are you fighting yourself. but fortunately for you, you will not see this or even know it, That's why there is so much unintentional humour in the Human condition most especially in the lower classes,
Mayar May 2020
A friend with a darker shade
A soul which god has made
Like me like her like you
We're all just humans too
Religion can change
And so can color
But what's so strange
Is the words they mutter
They say "it's okay to be cruel
As long as they're different"
But ***** these heartless fools
They're just a bunch of ignorants
My friend if you need a safe space
My heart is always open
It doesn't discriminate race
Let's fix what once was broken
My heart won't see your color, shape, nationality, ****** orientation or even your gender
To me you're a friend worthy of the name and I will never let you surrender
We will fight back and together we will change generations
And maybe then they'll understand that we're all just God's creations

— The End —