Submit your work, meet writers and drop the ads. Become a member
Working parts and mechanisms,
charts and graphs and mannerisms,
a table, pencil, square and mitre...
eraser marks, sweat drops, -go lighter!

A thought or two and ponderance...

Decimal here and decimal there,
-micron adjustment now we're square...
Up all night until daylight dawn
and finally I've fixed the Krong!

A thought or two and ponderance...

To the factory arrive before eight
and finished, furnished, a model late...
A handheld one and something larger,
humanity saved by my charger!

A thought or two and ponderance...

10 years long after planet saved,
They'll be parades and accolades...
Statues, tributes, my name in text-books,
but no one, never, a second look!
Never to worry on life again...

..I did it,
I reset the world; begin.

And did it all with Earth's mighty spin.
Kinetic resonance oscillating natural power (GE) (GAIA)
On lit dans les Annales de la propagation de la Foi :
« Une lettre de Hong-Kong (Chine), en date du 24 juillet
1832, nous annonce que M. Bonnard, missionnaire du
Tong-King, a été décapité pour la foi, le 1er mai dernier. »
Ce nouveau martyr était né dans le diocèse de Lyon et
appartenait à la Société des Missions étrangères. Il était
parti pour le Tong-King en 1849. »

I.

Ô saint prêtre ! grande âme ! oh ! je tombe à genoux !
Jeune, il avait encor de longs jours parmi nous,
Il n'en a pas compté le nombre ;
Il était à cet âge où le bonheur fleurit ;
Il a considéré la croix de Jésus-Christ
Toute rayonnante dans l'ombre.

Il a dit : - « C'est le Dieu de progrès et d'amour.
Jésus, qui voit ton front croit voir le front du jour.
Christ sourit à qui le repousse.
Puisqu'il est mort pour nous, je veux mourir pour lui ;
Dans son tombeau, dont j'ai la pierre pour appui,
Il m'appelle d'une voix douce.

« Sa doctrine est le ciel entr'ouvert ; par la main,
Comme un père l'enfant, il tient le genre humain ;
Par lui nous vivons et nous sommes ;
Au chevet des geôliers dormant dans leurs maisons,
Il dérobe les clefs de toutes les prisons
Et met en liberté les hommes.

« Or il est, **** de nous, une autre humanité
Qui ne le connaît point, et dans l'iniquité
Rampe enchaînée, et souffre et tombe ;
Ils font pour trouver Dieu de ténébreux efforts ;
Ils s'agitent en vain ; ils sont comme des morts
Qui tâtent le mur de leur tombe.

« Sans loi, sans but, sans guide, ils errent ici-bas.
Ils sont méchants, étant ignorants ; ils n'ont pas
Leur part de la grande conquête.
J'irai. Pour les sauver je quitte le saint lieu.
Ô mes frères, je viens vous apporter mon Dieu,
Je viens vous apporter ma tête ! » -

Prêtre, il s'est souvenu, calme en nos jours troublés,
De la parole dite aux apôtres : - Allez,  
Bravez les bûchers et les claies ! -
Et de l'adieu du Christ au suprême moment :
- Ô vivant, aimez-vous ! aimez. En vous aimant,
Frères, vous fermerez mes plaies. -

Il s'est dit qu'il est bon d'éclairer dans leur nuit
Ces peuples égarés **** du progrès qui luit,
Dont l'âme est couverte de voiles ;
Puis il s'en est allé, dans les vents, dans les flots,
Vers les noirs chevalets et les sanglants billots,
Les yeux fixés sur les étoiles.

II.

Ceux vers qui cet apôtre allait, l'ont égorgé.

III.

Oh ! tandis que là-bas, hélas ! chez ces barbares,
S'étale l'échafaud de tes membres chargé,
Que le bourreau, rangeant ses glaives et ses barres,
Frotte au gibet son ongle où ton sang s'est figé ;

Ciel ! tandis que les chiens dans ce sang viennent boire,
Et que la mouche horrible, essaim au vol joyeux,
Comme dans une ruche entre en ta bouche noire
Et bourdonne au soleil dans les trous de tes yeux ;

Tandis qu'échevelée, et sans voix, sans paupières,
Ta tête blême est là sur un infâme pieu,
Livrée aux vils affronts, meurtrie à coups de pierres,
Ici, derrière toi, martyr, on vend ton Dieu !

Ce Dieu qui n'est qu'à toi, martyr, on te le vole !
On le livre à Mandrin, ce Dieu pour qui tu meurs !
Des hommes, comme toi revêtus de l'étole,
Pour être cardinaux, pour être sénateurs,

Des prêtres, pour avoir des palais, des carrosses,
Et des jardins l'été riant sous le ciel bleu,
Pour argenter leur mitre et pour dorer leurs crosses,
Pour boire de bon vin, assis près d'un bon feu,

Au forban dont la main dans le meurtre est trempée,
Au larron chargé d'or qui paye et qui sourit,
Grand Dieu ! retourne-toi vers nous, tête coupée !
Ils vendent Jésus-Christ ! ils vendent Jésus-Christ !

Ils livrent au bandit, pour quelques sacs sordides,
L'évangile, la loi, l'autel épouvanté,
Et la justice aux yeux sévères et candides,
Et l'étoile du coeur humain, la vérité !

Les bons jetés, vivants, au bagne, ou morts, aux fleuves,
L'homme juste proscrit par Cartouche Sylla,
L'innocent égorgé, le deuil sacré des veuves,
Les pleurs de l'orphelin, ils vendent tout cela !

Tout ! la foi, le serment que Dieu tient sous sa garde,
Le saint temple où, mourant, tu dis :Introïbo,
Ils livrent tout ! pudeur, vertu ! - martyr, regarde,
Rouvre tes yeux qu'emplit la lueur du tombeau ; -

Ils vendent l'arche auguste où l'hostie étincelle !
Ils vendent Christ, te dis-je ! et ses membres liés !
Ils vendent la sueur qui sur son front ruisselle,
Et les clous de ses mains, et les clous de ses pieds !

Ils vendent au brigand qui chez lui les attire
Le grand crucifié sur les hommes penché ;
Ils vendent sa parole, ils vendent son martyre,
Et ton martyre à toi par-dessus le marché !

Tant pour les coups de fouet qu'il reçut à la porte !
César ! tant pour l'amen, tant pour l'alléluia !
Tant pour la pierre où vint heurter sa tête morte !
Tant pour le drap rougi que sa barbe essuya !

Ils vendent ses genoux meurtris, sa palme verte,
Sa plaie au flanc, son oeil tout baigné d'infini,
Ses pleurs, son agonie, et sa bouche entrouverte,
Et le cri qu'il poussa : Lamma Sabacthani !

Ils vendent le sépulcre ! ils vendent les ténèbres !
Les séraphins chantant au seuil profond des cieux,
Et la mère debout sous l'arbre aux bras funèbres,
Qui, sentant là son fils, ne levait pas les yeux !

Oui, ces évêques, oui, ces marchands, oui, ces prêtres
A l'histrion du crime, assouvi, couronné,
A ce Néron repu qui rit parmi les traîtres,
Un pied sur Thraséas, un coude sur Phryné,

Au voleur qui tua les lois à coups de crosse,
Au pirate empereur Napoléon dernier,
Ivre deux fois, immonde encor plus que féroce,
Pourceau dans le cloaque et loup dans le charnier,

Ils vendent, ô martyr, le Dieu pensif et pâle
Qui, debout sur la terre et sous le firmament,
Triste et nous souriant dans notre nuit fatale,
Sur le noir Golgotha saigne éternellement !

Du 5 au 8 novembre 1852, à Jersey
Sonorant Nov 2021
I. Phasmophobia
I am the innumerable gloom of dim, long-buried anthems.
In wistful suspension, I shadow over a living loft in silence.
Tethered between lines, my fog bleeds on panes in knocking
Hawking your dimming faces in the lamplight of my genesis.
Torn the tunnels of their astringed throats, a requiem is reaped.
— ”I was a shape moving rapidly, nervous at the edge of your vision.” -Cynthia Huntington

II. Claustrophobia
I am the small match ignited from the depths of your mind.
My walls blanched absent of evacuation, self invite into
Your personal and private violation, invading every fissure
With icy burns, solidifying your chrysalis on hungry bark.
Your frozen God of smothering doom, a willow devours you.
— “But then I remember the universe was closed, and so very small. There was really no where else to go.” -Peter Watts

III. Ommetaphobia
I am the stricken, scarlet cloth coalesced of cruelty and ichor.
These rawboned talons, cloaked thereof, overtake embrace—
In coarse delight— a piety of prisoners’ silver stark sights.
Perceptive cavities leak my garb as my artistic blade sweeps.
Plucked from the dredges of a briny skull, two diamond orbs.
— ”The hearts hushed secret is in the soft, dark eye." -Letitia Elizabeth Landon
.
IV. Monophobia
I was the cherished friend to you, my twine stitched in your grasp.
A golden balloon unaffected by tides of time and distorting gales.
Alas from this intimate atmosphere shot an arrow, poisonous
Where silently I erupt into a missing memory upon the wind.
As your curtains close, you breathe for me, without a hand to hold.
—”And all I lov’d, I lov’d alone.” -Edgar Allan Poe

V. Arachnophobia
I am the legion of soundless beholders aloft your dormant dreams.
An itch scattered over the crooked spine, arid for pulsing melodies.
This fruitful sapling beckons each dark, angular limb near your neck.
As my lighting strikes erratically, your foolish impulse slow to clutch
Creeping necrosis bestowed by the guardian who claimed your home.
—”The Spider taketh with her hands and is in king’s palaces.” -Proverbs 30:28.

VI. Agoraphobia
I am the ancestral abductor of this rotting womb you deem a shelter.
As the embryo held within, I contract you into tides and bid ‘swim’.
Directions devoid, beyond bolted doors, you plummet to my depths
Where you wish for comforts’ wind but mislaid the method to breathe.
My otherworld encompasses you, whilst I drink in your suffocating.
— ”Mother is the name for God on the lips and hearts of all children.” -William Thackeray

VII. Ecclesiophobia
I am the black shepherd in martyric masque and a mitre casque.
A discrete imminent sheep cowers, hanging on the hook in my gallery—
My chalice congregates your pure liquor of laments for libertine luxury.
I rise where you fall and smother the lantern of your last mortal minutes
Instilling final grace in the stillness of your veins, my kingdom reigns eternally.
— ”Suffering can be a gift.” - Abbie Bernstein.
I.

  When to the common rest that crowns our days,
  Called in the noon of life, the good man goes,
  Or full of years, and ripe in wisdom, lays
  His silver temples in their last repose;
  When, o'er the buds of youth, the death-wind blows,
  And blights the fairest; when our bitter tears
  Stream, as the eyes of those that love us close,
  We think on what they were, with many fears
Lest goodness die with them, and leave the coming years:

II.

  And therefore, to our hearts, the days gone by,--
  When lived the honoured sage whose death we wept,
  And the soft virtues beamed from many an eye,
  And beat in many a heart that long has slept,--
  Like spots of earth where angel-feet have stepped--
  Are holy; and high-dreaming bards have told
  Of times when worth was crowned, and faith was kept,
  Ere friendship grew a snare, or love waxed cold--
Those pure and happy times--the golden days of old.

III.

  Peace to the just man's memory,--let it grow
  Greener with years, and blossom through the flight
  Of ages; let the mimic canvas show
  His calm benevolent features; let the light
  Stream on his deeds of love, that shunned the sight
  Of all but heaven, and in the book of fame,
  The glorious record of his virtues write,
  And hold it up to men, and bid them claim
A palm like his, and catch from him the hallowed flame.

IV.

  But oh, despair not of their fate who rise
  To dwell upon the earth when we withdraw!
  Lo! the same shaft by which the righteous dies,
  Strikes through the wretch that scoffed at mercy's law,
  And trode his brethren down, and felt no awe
  Of Him who will avenge them. Stainless worth,
  Such as the sternest age of virtue saw,
  Ripens, meanwhile, till time shall call it forth
From the low modest shade, to light and bless the earth.

V.

  Has Nature, in her calm, majestic march
  Faltered with age at last? does the bright sun
  Grow dim in heaven? or, in their far blue arch,
  Sparkle the crowd of stars, when day is done,
  Less brightly? when the dew-lipped Spring comes on,
  Breathes she with airs less soft, or scents the sky
  With flowers less fair than when her reign begun?
  Does prodigal Autumn, to our age, deny
The plenty that once swelled beneath his sober eye?

VI.

  Look on this beautiful world, and read the truth
  In her fair page; see, every season brings
  New change, to her, of everlasting youth;
  Still the green soil, with joyous living things,
  Swarms, the wide air is full of joyous wings,
  And myriads, still, are happy in the sleep
  Of ocean's azure gulfs, and where he flings
  The restless surge. Eternal Love doth keep
In his complacent arms, the earth, the air, the deep.

VII.

  Will then the merciful One, who stamped our race
  With his own image, and who gave them sway
  O'er earth, and the glad dwellers on her face,
  Now that our swarming nations far away
  Are spread, where'er the moist earth drinks the day,
  Forget the ancient care that taught and nursed
  His latest offspring? will he quench the ray
  Infused by his own forming smile at first,
And leave a work so fair all blighted and accursed?

VIII.

  Oh, no! a thousand cheerful omens give
  Hope of yet happier days, whose dawn is nigh.
  He who has tamed the elements, shall not live
  The slave of his own passions; he whose eye
  Unwinds the eternal dances of the sky,
  And in the abyss of brightness dares to span
  The sun's broad circle, rising yet more high,
  In God's magnificent works his will shall scan--
And love and peace shall make their paradise with man.

IX.

  Sit at the feet of history--through the night
  Of years the steps of virtue she shall trace,
  And show the earlier ages, where her sight
  Can pierce the eternal shadows o'er their face;--
  When, from the genial cradle of our race,
  Went forth the tribes of men, their pleasant lot
  To choose, where palm-groves cooled their dwelling-place,
  Or freshening rivers ran; and there forgot
The truth of heaven, and kneeled to gods that heard them not.

X.

  Then waited not the murderer for the night,
  But smote his brother down in the bright day,
  And he who felt the wrong, and had the might,
  His own avenger, girt himself to slay;
  Beside the path the unburied carcass lay;
  The shepherd, by the fountains of the glen,
  Fled, while the robber swept his flock away,
  And slew his babes. The sick, untended then,
Languished in the damp shade, and died afar from men.

XI.

  But misery brought in love--in passion's strife
  Man gave his heart to mercy, pleading long,
  And sought out gentle deeds to gladden life;
  The weak, against the sons of spoil and wrong,
  Banded, and watched their hamlets, and grew strong.
  States rose, and, in the shadow of their might,
  The timid rested. To the reverent throng,
  Grave and time-wrinkled men, with locks all white,
Gave laws, and judged their strifes, and taught the way of right;

XII.

  Till bolder spirits seized the rule, and nailed
  On men the yoke that man should never bear,
  And drove them forth to battle. Lo! unveiled
  The scene of those stern ages! What is there!
  A boundless sea of blood, and the wild air
  Moans with the crimson surges that entomb
  Cities and bannered armies; forms that wear
  The kingly circlet rise, amid the gloom,
O'er the dark wave, and straight are swallowed in its womb.

XIII.

  Those ages have no memory--but they left
  A record in the desert--columns strown
  On the waste sands, and statues fallen and cleft,
  Heaped like a host in battle overthrown;
  Vast ruins, where the mountain's ribs of stone
  Were hewn into a city; streets that spread
  In the dark earth, where never breath has blown
  Of heaven's sweet air, nor foot of man dares tread
The long and perilous ways--the Cities of the Dead:

XIV.

  And tombs of monarchs to the clouds up-piled--
  They perished--but the eternal tombs remain--
  And the black precipice, abrupt and wild,
  Pierced by long toil and hollowed to a fane;--
  Huge piers and frowning forms of gods sustain
  The everlasting arches, dark and wide,
  Like the night-heaven, when clouds are black with rain.
  But idly skill was tasked, and strength was plied,
All was the work of slaves to swell a despot's pride.

XV.

  And Virtue cannot dwell with slaves, nor reign
  O'er those who cower to take a tyrant's yoke;
  She left the down-trod nations in disdain,
  And flew to Greece, when Liberty awoke,
  New-born, amid those glorious vales, and broke
  Sceptre and chain with her fair youthful hands:
  As rocks are shivered in the thunder-stroke.
  And lo! in full-grown strength, an empire stands
Of leagued and rival states, the wonder of the lands.

XVI.

  Oh, Greece! thy flourishing cities were a spoil
  Unto each other; thy hard hand oppressed
  And crushed the helpless; thou didst make thy soil
  Drunk with the blood of those that loved thee best;
  And thou didst drive, from thy unnatural breast,
  Thy just and brave to die in distant climes;
  Earth shuddered at thy deeds, and sighed for rest
  From thine abominations; after times,
That yet shall read thy tale, will tremble at thy crimes.

XVII.

  Yet there was that within thee which has saved
  Thy glory, and redeemed thy blotted name;
  The story of thy better deeds, engraved
  On fame's unmouldering pillar, puts to shame
  Our chiller virtue; the high art to tame
  The whirlwind of the passions was thine own;
  And the pure ray, that from thy ***** came,
  Far over many a land and age has shone,
And mingles with the light that beams from God's own throne;

XVIII.

  And Rome--thy sterner, younger sister, she
  Who awed the world with her imperial frown--
  Rome drew the spirit of her race from thee,--
  The rival of thy shame and thy renown.
  Yet her degenerate children sold the crown
  Of earth's wide kingdoms to a line of slaves;
  Guilt reigned, and we with guilt, and plagues came down,
  Till the north broke its floodgates, and the waves
Whelmed the degraded race, and weltered o'er their graves.

XIX.

  Vainly that ray of brightness from above,
  That shone around the Galilean lake,
  The light of hope, the leading star of love,
  Struggled, the darkness of that day to break;
  Even its own faithless guardians strove to slake,
  In fogs of earth, the pure immortal flame;
  And priestly hands, for Jesus' blessed sake,
  Were red with blood, and charity became,
In that stern war of forms, a mockery and a name.

**.

  They triumphed, and less ****** rites were kept
  Within the quiet of the convent cell:
  The well-fed inmates pattered prayer, and slept,
  And sinned, and liked their easy penance well.
  Where pleasant was the spot for men to dwell,
  Amid its fair broad lands the abbey lay,
  Sheltering dark ****** that were shame to tell,
  And cowled and barefoot beggars swarmed the way,
All in their convent weeds, of black, and white, and gray.

XXI.

  Oh, sweetly the returning muses' strain
  Swelled over that famed stream, whose gentle tide
  In their bright lap the Etrurian vales detain,
  Sweet, as when winter storms have ceased to chide,
  And all the new-leaved woods, resounding wide,
  Send out wild hymns upon the scented air.
  Lo! to the smiling Arno's classic side
  The emulous nations of the west repair,
And kindle their quenched urns, and drink fresh spirit there.

XXII.

  Still, Heaven deferred the hour ordained to rend
  From saintly rottenness the sacred stole;
  And cowl and worshipped shrine could still defend
  The wretch with felon stains upon his soul;
  And crimes were set to sale, and hard his dole
  Who could not bribe a passage to the skies;
  And vice, beneath the mitre's kind control,
  Sinned gaily on, and grew to giant size,
Shielded by priestly power, and watched by priestly eyes.

XXIII.

  At last the earthquake came--the shock, that hurled
  To dust, in many fragments dashed and strown,
  The throne, whose roots were in another world,
  And whose far-stretching shadow awed our own.
  From many a proud monastic pile, o'erthrown,
  Fear-struck, the hooded inmates rushed and fled;
  The web, that for a thousand years had grown
  O'er prostrate Europe, in that day of dread
Crumbled and fell, as fire dissolves the flaxen thread.

XXIV.

  The spirit of that day is still awake,
  And spreads himself, and shall not sleep again;
  But through the idle mesh of power shall break
  Like billows o'er the Asian monarch's chain;
  Till men are filled with him, and feel how vain,
  Instead of the pure heart and innocent hands,
  Are all the proud and pompous modes to gain
  The smile of heaven;--till a new age expands
Its white and holy wings above the peaceful lands.

XXV.

  For look again on the past years;--behold,
  How like the nightmare's dreams have flown away
  Horrible forms of worship, that, of old,
  Held, o'er the shuddering realms, unquestioned sway:
  See crimes, that feared not once the eye of day,
  Rooted from men, without a name or place:
  See nations blotted out from earth, to pay
  The forfeit of deep guilt;--with glad embrace
The fair disburdened lands welcome a nobler race.

XXVI.

  Thus error's monstrous shapes from earth are driven;
  They fade, they fly--but truth survives their flight;
  Earth has no shades to quench that beam of heaven;
  Each ray that shone, in early time, to light
  The faltering footsteps in the path of right,
  Each gleam of clearer brightness shed to aid
  In man's maturer day his bolder sight,
  All blended, like the rainbow's radiant braid,
Pour yet, and still shall pour, the blaze that cannot fade.

XXVII.

  Late, from this western shore, that morning chased
  The deep and ancient night, that threw its shroud
  O'er the green land of groves, the beautiful waste,
  Nurse of full streams, and lifter-up of proud
  Sky-mingling mountains that o'erlook the cloud.
  Erewhile, where yon gay spires their brightness rear,
  Trees waved, and the brown hunter's shouts were loud
  Amid the forest; and the bounding deer
Fled at the glancing plume, and the gaunt wolf yelled near;

XXVIII.

  And where his willing waves yon bright blue bay
  Sends up, to kiss his decorated brim,
  And cradles, in his soft embrace, the gay
  Young group of grassy islands born of him,
  And crowding nigh, or in the distance dim,
  Lifts the white throng of sails, that bear or bring
  The commerce of the world;--with tawny limb,
  And belt and beads in sunlight glistening,
The savage urged his skiff like wild bird on the wing.

XXIX.

  Then all this youthful paradise around,
  And all the broad and boundless mainland, lay
  Cooled by the interminable wood, that frowned
  O'er mount and vale, where never summer ray
  Glanced, till the strong tornado broke his way
  Through the gray giants of the sylvan wild;
  Yet many a sheltered glade, with blossoms gay,
  Beneath the showery sky and sunshine mild,
Within the shaggy arms of that dark forest smiled.

***.

  There stood the Indian hamlet, there the lake
  Spread its blue sheet that flashed with many an oar,
  Where the brown otter plunged him from the brake,
  And the deer drank: as the light gale flew o'er,
  The twinkling maize-field rustled on the shore;
  And while that spot, so wild, and lone, and fair,
  A look of glad and guiltless beauty wore,
  And peace was on the earth and in the air,
The warrior lit the pile, and bound his captive there:

XXXI.

  Not unavenged--the foeman, from the wood,
  Beheld the deed, and when the midnight shade
  Was stillest, gorged his battle-axe with blood;
  All died--the wailing babe--the shrieking maid--
  And in the flood of fire that scathed the glade,
  The roofs went down; but deep the silence grew,
  When on the dewy woods the day-beam played;
  No more the cabin smokes rose wreathed and blue,
And ever, by their lake, lay moored the light canoe.

XXXII.

  Look now abroad--another race has filled
  These populous borders
Lawrence Hall Mar 2017
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A twelve-hour day plus d*mned low pay, you bet!

And

A work ethic, knowledge, muscles, and sweat
Raj Arumugam Nov 2011
this is an educated
refined, cultured, poem
fit to clothe a queen’s body
radiant enough to sit on a king’s head
no doubt,
the king’d head on a silver plate

this is elegant, truthful,
and most dignified as robes
and gold threads on a priest’s mitre
and ermine round the waists

this is immaculate,
probing, penetrative and sedate
so well-constructed, traditional
so cast into meter and scanned
so organised and adept
as a gynaecologists’s fingers

and last but not least
it is reverend, respectful and silent
as full of respect as are holy poems and sonnets
and poems all fit into good form and shape
and thus it refrains from 4-letter words
though - ****! - sometimes it slips and falls
like a drunkard, into the gutters

*but it is the fault of the terrain
I have a man with a pointy hat
Lives under my desktop lid,
He came for muffins and jam, and that,
I call the Wizard of Did,
His beard got caught when the lid came down
So I had to trim it back,
But he says it’s comfy and warm in there
So he’s turned it into a flat.

I thought at first I would charge him rent
But he wasn’t too keen on that,
So I suggested a garden tent
And he said he’d pass the hat.
I’d try to type in the early hours
But he’d bang up under the lid,
‘How can I get my beauty sleep,’
He said, the Wizard of Did.

‘You’re going to have to pay your way,’
I said, ‘It’s not for free,
‘You’d better come up with something good
That’s of some use to me.’
‘You say you struggle for plots,’ he said,
‘Well I can help with those,
‘I’m full of people I want to be,
I just need different clothes.’

The Wizard was as good as his word
He’d pop up now and then,
Whenever I’d sit and scratch my head
He’d mention Holy men,
Then march along the top of the desk
With mitre, staff and cross,
And make me kiss the pontiff’s ring
On the eve of Pentecost.

He’d play the role of a murderer,
He’d play the role of a clown,
He’d play an old sheep herder-er
With a crook in a shepherd’s gown,
He’d pop up with a pirate’s patch
And ****** pieces of eight,
Or keep me longing for Molly Brown
When my ship came in too late.

Whenever I sat there at a loss
For a line, a rhyme, a verse,
He’d throw a bag on the table top
And say, ‘Now pick a curse!’
He’d turn mine into a haunted house
And he’d stalk me in the gloom,
And have me making a pact with Faust
In a dark and lonely tomb.

And now when I think my muse has gone
That my stories have been spent,
I tap-tap-tap on the table top
And he says, ‘You must repent!
I’m not a bottomless pit, you know,’
Climbs in, and closes the lid,
I say, ‘You promised a constant flow,’
And he groans, ‘I know… I Did!’

David Lewis Paget
Fable II, Livre V.


Je suis un peu badaud, je n'en disconviens pas.
Tout m'amuse ; depuis ces batteurs d'entrechats,
Depuis ces brillants automates,
Dont Gardel fait mouvoir et les pieds et les bras,
Jusqu'à ceux dont un fil règle et soutient les pas,
Jusqu'aux Vestris à quatre pattes,
Qui la queue en trompette, et le museau crotté,
En jupe, en frac, en froc, en toque, en mitre, en casque,
La plume sur l'oreille, ou la brette au côté,
Modestes toutefois sous l'habit qui les masque,
Moins fiers que nous de leurs surnoms,
Quêtent si gaîment les suffrages
Des musards de tous les cantons
Et des enfants de tous les âges.
L'argent leur vient aussi. Peut-on payer trop bien
L'art, le bel art de Terpsichore ?
Art unique ! art utile au singe, à l'homme, au chien.
Comme il vous fait valoir un sot, une pécore !
C'est le clinquant qui les décore,
Et fait quelque chose de rien.
La critique, en dépit de mon goût et du vôtre,
Traite pourtant, lecteur, cet art tout comme un autre.
Quels succès sous sa dent ne sont pas expiés ?
Qui n'en est pas victime en est le tributaire.
Le grand Vestris, le grand Voltaire,
Par sa morsure estropiés,
Prouvent qu'il faut qu'on se résigne
Et qu'enfin le génie à cette dent maligne
Est soumis de la tète aux pieds.
De cette vérité, que je ne crois pas neuve,
Quelques roquets tantôt m'offraient encor la preuve.
Tandis qu'au son du flageolet,
Au bruit du tambourin, sautillant en cadence,
Ces pauvres martyrs de la danse
Formaient sous ma fenêtre un fort joli ballet,
Un mâtin, cette fois ce n'était pas un homme,
Un mâtin, qui debout n'a jamais fait un pas,
Campé sur son derrière, aboyait, Dieu sait comme,
Après ceux qui savaient ce qu'il ne savait pas,
Après ceux, et c'est là le plaisant de l'affaire,
Après ceux qui faisaient ce qu'il ne peut pas faire.
Quoique mauvais danseur, en mes propos divers,
Pour la danse, en tout temps, j'ai montré force estime.
En douter serait un vrai crime ;
J'en atteste ces petits vers.
Mais que sert mon exemple à ce vaste univers ?

Je n'en crois donc pas moins le sens de cette fable
Au commun des mortels tout-à-fait applicable.
Chiens et gens qui dansez, retenez bien ceci :
L'ignorant est jaloux et l'impuissant aussi.
Elle ne connaissait ni l'orgueil ni la haine ;
Elle aimait ; elle était pauvre, simple et sereine ;
Souvent le pain qui manque abrégeait son repas.
Elle avait trois enfants, ce qui n'empêchait pas
Qu'elle ne se sentît mère de ceux qui souffrent.
Les noirs événements qui dans la nuit s'engouffrent,
Les flux et les reflux, les abîmes béants,
Les nains, sapant sans bruit l'ouvrage des géants,
Et tous nos malfaiteurs inconnus ou célèbres,
Ne l'épouvantaient point ; derrière ces ténèbres,
Elle apercevait Dieu construisant l'avenir.
Elle sentait sa foi sans cesse rajeunir
De la liberté sainte elle attisait les flammes
Elle s'inquiétait des enfants et des femmes ;
Elle disait, tendant la main aux travailleurs :
La vie est dure ici, mais sera bonne ailleurs.
Avançons ! - Elle allait, portant de l'un à l'autre
L'espérance ; c'était une espèce d'apôtre
Que Dieu, sur cette terre où nous gémissons tous,
Avait fait mère et femme afin qu'il fût plus doux ;
L'esprit le plus farouche aimait sa voix sincère.
Tendre, elle visitait, sous leur toit de misère,
Tous ceux que la famine ou la douleur abat,
Les malades pensifs, gisant sur leur grabat,
La mansarde où languit l'indigence morose ;
Quand, par hasard moins pauvre, elle avait quelque chose,
Elle le partageait à tous comme une sœur ;
Quand elle n'avait rien, elle donnait son cœur.
Calme et grande, elle aimait comme le soleil brille.
Le genre humain pour elle était une famille
Comme ses trois enfants étaient l'humanité.
Elle criait : progrès ! amour ! fraternité !
Elle ouvrait aux souffrants des horizons sublimes.

Quand Pauline Roland eut commis tous ces crimes,
Le sauveur de l'église et de l'ordre la prit
Et la mit en prison. Tranquille, elle sourit,
Car l'éponge de fiel plaît à ces lèvres pures.
Cinq mois, elle subit le contact des souillures,
L'oubli, le rire affreux du vice, les bourreaux,
Et le pain noir qu'on jette à travers les barreaux,
Edifiant la geôle au mal habituée,
Enseignant la voleuse et la prostituée.
Ces cinq mois écoulés, un soldat, un bandit,
Dont le nom souillerait ces vers, vint et lui dit
- Soumettez-vous sur l'heure au règne qui commence,
Reniez votre foi ; sinon, pas de clémence,
Lambessa ! choisissez. - Elle dit : Lambessa.
Le lendemain la grille en frémissant grinça,
Et l'on vit arriver un fourgon cellulaire.
- Ah ! voici Lambessa, dit-elle sans colère.
Elles étaient plusieurs qui souffraient pour le droit
Dans la même prison. Le fourgon trop étroit
Ne put les recevoir dans ses cloisons infâmes
Et l'on fit traverser tout Paris à ces femmes
Bras dessus bras dessous avec les argousins.
Ainsi que des voleurs et que des assassins,
Les sbires les frappaient de paroles bourrues.
S'il arrivait parfois que les passants des rues,
Surpris de voir mener ces femmes en troupeau,
S'approchaient et mettaient la main à leur chapeau,
L'argousin leur jetait des sourires obliques,
Et les passants fuyaient, disant : filles publiques !
Et Pauline Roland disait : courage, sœurs !
L'océan au bruit rauque, aux sombres épaisseurs,
Les emporta. Durant la rude traversée,
L'horizon était noir, la bise était glacée,
Sans l'ami qui soutient, sans la voix qui répond,
Elles tremblaient. La nuit, il pleuvait sur le pont
Pas de lit pour dormir, pas d'abri sous l'orage,
Et Pauline Roland criait : mes soeurs, courage !
Et les durs matelots pleuraient en les voyant.
On atteignit l'Afrique au rivage effrayant,
Les sables, les déserts qu'un ciel d'airain calcine,
Les rocs sans une source et sans une racine ;
L'Afrique, lieu d'horreur pour les plus résolus,
Terre au visage étrange où l'on ne se sent plus
Regardé par les yeux de la douce patrie.
Et Pauline Roland, souriante et meurtrie,
Dit aux femmes en pleurs : courage, c'est ici.
Et quand elle était seule, elle pleurait aussi.
Ses trois enfants ! **** d'elle ! Oh ! quelle angoisse amère !
Un jour, un des geôliers dit à la pauvre mère
Dans la casbah de Bône aux cachots étouffants :
Voulez-vous être libre et revoir vos enfants ?
Demandez grâce au prince. - Et cette femme forte
Dit : - J'irai les revoir lorsque je serai morte.
Alors sur la martyre, humble cœur indompté,
On épuisa la haine et la férocité.
Bagnes d'Afrique ! enfers qu'a sondés Ribeyrolles !
Oh ! la pitié sanglote et manque de paroles.
Une femme, une mère, un esprit ! ce fut là
Que malade, accablée et seule, on l'exila.
Le lit de camp, le froid et le chaud, la famine,
Le jour l'affreux soleil et la nuit la vermine,
Les verrous, le travail sans repos, les affronts,
Rien ne plia son âme ; elle disait : - Souffrons.
Souffrons comme Jésus, souffrons comme Socrate. -
Captive, on la traîna sur cette terre ingrate ;
Et, lasse, et quoiqu'un ciel torride l'écrasât,
On la faisait marcher à pied comme un forçat.
La fièvre la rongeait ; sombre, pâle, amaigrie,
Le soir elle tombait sur la paille pourrie,
Et de la France aux fers murmurait le doux nom.
On jeta cette femme au fond d'un cabanon.
Le mal brisait sa vie et grandissait son âme.
Grave, elle répétait : « Il est bon qu'une femme,
Dans cette servitude et cette lâcheté,
Meure pour la justice et pour la liberté. »
Voyant qu'elle râlait, sachant qu'ils rendront compte,
Les bourreaux eurent peur, ne pouvant avoir honte
Et l'homme de décembre abrégea son exil.
« Puisque c'est pour mourir, qu'elle rentre ! » dit-il.
Elle ne savait plus ce que l'on faisait d'elle.
L'agonie à Lyon la saisit. Sa prunelle,
Comme la nuit se fait quand baisse le flambeau,
Devint obscure et vague, et l'ombre du tombeau
Se leva lentement sur son visage blême.
Son fils, pour recueillir à cette heure suprême
Du moins son dernier souffle et son dernier regard,
Accourut. Pauvre mère ! Il arriva trop ****.
Elle était morte ; morte à force de souffrance,
Morte sans avoir su qu'elle voyait la France
Et le doux ciel natal aux rayons réchauffants
Morte dans le délire en criant : mes enfants !
On n'a pas même osé pleurer à ses obsèques ;
Elle dort sous la terre. - Et maintenant, évêques,
Debout, la mitre au front, dans l'ombre du saint lieu,
Crachez vos Te Deum à la face de Dieu !

Jersey, le 12 mars 1853.
Mateuš Conrad Apr 2016
i'm not here to joke about the stance of creationism, i know that secular society admits to the pillar of atheism, a- i.e. without theology, but i mind to not be concerned with the bishop's mitre or the pope's ironic kippah - i just look at my library and think of aeroplanes, the creative process was there, these books are stones you can enter and stretch your feet up, the person in question is now a persona non grata, out of natural constraints, namely mortality and death; creationism is not so much about originating into what i call a limited readers' digest - you can hardly be creative citing only one book, why just one? is this trampoline worth jumping on? why not bungee jump with some other book into the abyss? aeroplanes, books, you see the **** thing stacked on a shelf, and you have to play the role: in the end there was sound, and the sound was with man, the only currency of rubric coherency among animal instincts and lack of insight to digress from seasonal stimuli like the grizzly bear nearing the end of spring preparing for hibernation, hence our insomnia; look, the book is like an aeroplane, and you're the delayed sound feedback, but the magic is the fact that there is no authority holding you back, you interpret it as you feel constrained by an idiosyncrasy when brushing your teeth, writing is the foremost expression of something about you being dispossessed, you write from the standpoint / angle of particular, but you write to reach the plateau of universality: obviously you will feel disgruntled should your particularity leave no tsunami or earthquake or an atom bomb of influence (you think i don't?) on the plateau of universality; and to sound ironically even more biblical than necessary: i will walk on the plateau of universality and i will only fear myself... let death take the valley and god with it... i'm talking about the deity of solipsism, akin to Sisyphus, namely Solipssus (Σoλιπφυς) - you're the delay and with origin (0, 0) coordinating what creativity once was, regressed and shut in the cemetery of Tartarus that the library is, the aeroplane in plain sight... whistle a tornado with your book of choice!

whatever the father intended for the son,
ex *ecce ****
of pilate
and the washing of hands at the mosque
to fulfil the temptation prior to prayer -
Hemingway spoke of the centurion's
act of pity with the spear piercing the lung
in a chapter from the book men without women;
whatever the father intended for the son
came to pass, hence the inquisitions and
the sheep-herding conglomerate of the holy
populace, not a person, but a gathering,
the membrane of these church-going folks
required a blind Samson to shake things up -
bring the temple of petulant whims into
a standstill saying: enjoy the weekends and
the theme parks.
i could never become a performer,
we deem universality of the shades for each man,
i know entertainers have a immunity
like ambassadors when on stage -
the bass line from the new paul simon's
L.P. wristband is gratifying, minimalistic,
the way i like to claim all music
to imitate strippers, feng shui hits in the basket,
maybe... maybe... maybe.
and should poetry create an imitable orchestration
of all the musical instruments in a band
or orchestra through the onomatopoeia flute
sometimes adding a definite meaning
with words, so be it, but still, a voice to match
to an army of instruments coordinated,
it will be hard to create a concert hall audience
for encore and deafening applause -
you see the plot now, don't you -
poetry for the shy punching bags, poetry
neither for heroism or gambling, both
shared a womb and both shared a tomb;
but this auxiliary trinity i'm speaking of,
never mind the father or the son, we're trying
to encapsulate the holy spirit, or should
i say the zeitgeist - for it is a zeitgeist of
switching the years around at spring for harvest,
an hour forward, when a strange anomaly to
change dates - and the kingdom of china
didn't bow, nor india - even though satan
promised all kingdoms - these two didn't
bow and i am thankful for their stance -
so if the holy are to be left holy and unimpressed
by a lack of dialectical stimuli - holiness is primarily
a non-engagement with dialectics,
secondary to that the horrid synonymous approach
of treating the concept of sin as both immoral
and criminal... well... it can't be both,
i can understand forgiving immorality,
but forgiving criminality would only translate
as the unnatural collapse of the profession of law,
all the lawyers and judges would end up as hobos...
so watching a music program (on t.v. it starts well
near the midnight mark, so you want to be hip
stay up late, foraging on the internet solo will
not necessarily give you a wide range of chinese whispers
to gather new influences, stuck in the grunge rut of
the early 1990s, e.g.) - and it came to me,
creativity now a stasis, nothing is really changing
in terms of what's new, unless it be primarily in art,
new art and abandoned auditoriums of former trends,
digging themselves out of and into a cemetery -
so this zeitgeist has to be accounted for -
out of holy must come something destructive:
δημιουργικoς ψυχη (alt. πνευμα) -
             the creative soul (alt. spirit) -
the artistic community is in shambles over-reacting
to a lack of creativity in this world,
their atheism repressed, unimpressed, reveals
a hope for every new big bang a minute by minute contrast
of the whole inertia surrounding them -
but never did a single man provoke a question
that tailored all the answers - no theory of everything
could be a chauffeur for the ride -
so indeed when half the potential is asserted by deviations
in the obstructions via holiness and lack of
argument to represent a clarity, another half is lodged
in a constant strife to overladen immovable mountains
and inert stones with a spirit of creativity -
it's not a holy spirit, it's a spirit of desecration,
or constant creation with subsequent equal constant
destruction - i find this spirit of more interest -
this zeitgeist to be perpetuated, esp. since it existed
prior to a.d. in the realm b.c., and continues to be pursued,
more ardently, given the declining number of
worshippers in Anglican churches - the final abandonment,
which create a strange picture with Evangelical
ardency in what is deemed the most progressive country
on earth.
Sombro Nov 2020
Sorry said the merry man, adjacent on his way,

I've gone and ticked you off while I've been out tramping today

And in my careless frolic I seem to have stole your heart

What brutal lust you blow towards me, gushing like a ****


But I'm not la-da-dee-da-dee, a manly bearded sprite

Jingle though my stirrups do like dormice held too tight

I'm a serious enterprise, a man deeply invested

In stacking stocks and picking prices, if you're interested?


She danced reluctantly to him, unnatured to the rhythm

But with a wink she start'd to slink and jim-jam along with him

The two then picked their sandals up and shuffled down the street

And drank and laughed amerrily at all they chanced to meet


To the bank they wandered, legislating they did go

In government, in finance, in high station to and fro

Each day they yawned and gargled on a fresh new tonic smell

And went on down the street to make a fresh mismanaged hell


Soon agiggling and adultering they fell down in a mess

Holes and tears ashaming his and her once modest dress

There they lay and blocked the road till bobby picked them up

And once they'd laughed their fill of him they bribed the greasy pup


He took them to the city square and let them borrow his hat

They gave out fines and sentences for being thin or fat

They stood on boxes, had ideas for rent for half a pence

And sat gracefully cross-eyed on the splintering picket fence


Then donned a mitre, did a dance, their pageantry displayed,

They became gods, just for a laugh, the vicarage dismayed

When down from heaven lightning bolts, shot with a holy hum

Came buzzing like a hornets' nest and shocked them on the ***


A **** of smoke, a whiff of cheese, the townsfolk breathed release

Gone at last those terrors past, they could return to peace

Then up from high a saintly sigh two angels billowed down

Golden halos greasy and no pants beneath their gown


The townsfolk wept and cried aloud, their stomachs plopped and churned

To see the pair of villains there, so gracefully returned

Blessed be the kingmakers the two of them agreed

Until next weekend, Duw my dear, and until then, God's speed.
Duw means god, so you know
Bryana Twice Sep 2015
after a few bottles o’ Tom
at the world’s end
I start talking
to Karen whose fingers
were freezing at first
& Pru
a friend o’ hers.
But it was Karen  - woollen  
pale
Australian -
who started
wanting my pockets  
in the mitre
who began teasing me
with are m’ hands cold? Are they?
as we steadied each other
on the slippery cobbles   close.
It was Karen
who started
whispering warmly
on a wheel
o’ ice groaning :
we kissed once in London
& almost there again
I replied:
I know!  was  Xmas Eve
Heathrow somewhere


a royal mile in the snow
was all it took to thaw   *I know!
Went to Edinburgh for Snogmanney early this year.
The names in italics are pubs. This poem is really about a pub crawl.
Ottar Apr 2015
eyes that drink it in,
eyes that glaze, eyes tempted sin,
walk, drive, hear or see,

        scent or feel,
what has this to do with me,
is it all the outside objects of desire for poetry,
is it for a friend,
is it at the end of the day, in a wild free-
verse way, is this a dress rehearsal for after-play,

in love,
of love, gone astray
of self-image, renovation reconstruction,
but you can no longer see the dysfunction,
but,
but;
the broken exploded pieces of your heart,
are lodged in every nerve, you can only writhe
to your pain.  

you have meter, you have mitre, cut the rhythm so
close to perfection, a pentameter of frustration, first
name, iambic.

Will you be content,
with the content,
language sounds
hard and rounds,
soft supple syl-
lables slipping silently,
off your tongue,

the strongest muscle,
a double edged, an implement,
sword for word play too.

Poetry is special, as those who strive
to write it,
they may be life lessons shared
to right their ship,
poetry may be long,
it may be short,
you may
write in
privacy,
and no one will
ever read your poetry,
but if they do, you may know, that their
life has changed, and they may never thank you.

And as I often do and this is not an insult but
sometimes true, though I write poetry from
that awful place of woe in me, I seldom
see myself a poet. But my Muse I believe
and it tells me that I am.
Are there two Haiku?
Marshall Gass Feb 2014
The bishop knew his bounds and his curved sceptre
swept like a serpent up to his face
elongating his brows into wisdom beauty
but his eye wandered to the lady up front
with bubbly buttocks
and tight skirt.

Even his scriptures wobbled against
the power of adrenaline rushing
down his swollen
veins into his vesicles
where he still remained a bishop
with the diocese backing his holy grail
on the road to heaven.

With all those thoughts behind the mitre
and the dash of plumage purple
the bishop often wondered
what life would have been like
with the same spoils the church offered
and a warm woman in bed.
No Offense
Saint Audrey Mar 2017
The amorphous world hates each and every creative soul
Another, I can't name
Except the idols held in such high regard
Excluding the ones I disavow
Save a few, all ideas are below me now
The masses all bleed but not all bleed red
Some bleed black, and some bleed falsehoods.
Our perfect community has more common ground with the enemy than the elitist ground we've come to sacrafice our lives and time defending

If only for the present my perception is less muddled
Before I cloud my mind with hurdles
To Disincentivize
Future fleshing out
Stout lies, watching promises
Fall by the way side
I will rise
I repeat the faster I sink
This elevator ideology is showing no signs
As it drags me to hell
One intention at a time
Marching round in time
Circling, quickening my pace
Winning a race
Invented for me
By people like me
How about you try me
And then we'll see just how deep
Inside me
The mitre has me
The mindset grasps me
And chains around me
Feel soft as feathers

The wings I fly on are burdens beneath my feet
My brothers and sisters hold the keys to my shackles but have mistaken them for unspeakable horrors.
I hate grouping
Muse, un nommé Ségur, évêque, m'est hostile ;
Cet homme violet me damne en mauvais style ;
Sa prose réjouit les hiboux dans leurs trous.
Ô Muse, n'ayons point contre lui de courroux.
Laissons-lui ce joujou qu'il prend pour un tonnerre,
Sa haine.

Il est d'ailleurs à plaindre. Au séminaire,
Un jour que ce petit bonhomme plein d'ennui
Bêlait un oremus au hasard devant lui,
Comme glousse l'oison, comme la vache meugle,
Il s'écria : - Mon Dieu ! Je voudrais être aveugle ! -
Ne trouvant pas qu'il fît assez nuit comme ça.
Le bon Dieu, le faisant idiot, l'exauça.

L'insulte est aujourd'hui très perfectionnée.
On prend un peu de suie en une cheminée,
Un peu d'ordure au coin d'une borne, à l'égoût
De la fange, et cela tient lieu d'esprit, de goût,
De bon sens, de syntaxe et d'honneur ; c'est la mode.
Bons ulémas, tel est le procédé commode
Que votre zèle met au service du ciel,
Et c'est avec la bouche écumante de fiel,
Avec la diatribe en guise de sourire,
Que vous venez, damnant ceux qu'on n'ose proscrire,
Nous faire vos gros yeux, nous montrer vos gros poings,
Nous dire vos gros mots, ô nos chers talapoins !

On vous pardonne. Eh bien, quoi, Ségur m'exorcise.
Après ?

Il me maudit d'une façon concise ;
Il me peint de son mieux, et voici le pastel
À peu près :

- « Monstre horrible. On n'a rien vu de tel.
Informe, épouvantable et ténébreux. Un homme
Qui brûlerait Paris et démolirait Rome.
Voluptueux. Un peu le chef des assassins.
Bref, capable de tout. Foulant aux pieds les saints,
Les lois, l'église et Dieu. Ruinant son libraire. »
Faisons chorus. Hurler avec le loup, et braire
Avec l'évêque, eh bien, c'est un droit. Usons-en.
J'aime en ce noble abbé ce style paysan.
C'est poissard, c'est exquis. Bravo. Cela vous plonge
Dans une vague extase où l'on sent le mensonge.
Doux prêtre ! On entend rire aux éclats Diderot,
Molière, Rabelais, et l'on ne sait pas trop,
Dans cette vision où le démon chuchote,
Si l'on voit un évêque ayant au dos la hotte
Ou bien un chiffonnier ayant la mitre au front.
L'antienne, quand un peu de bave l'interrompt,
À du charme ; on est prêtre et l'on a de la bile.
D'ailleurs, Muse, chacun sur terre a son Zoïle,
Et Voltaire a Fréron comme Dante a Cecchi.
Et puis cela se vend. Combien ? Six sous. À qui ?
Aux sots. C'est un public. Les mâchoires fossiles
Veulent rire ; le clan moqueur des imbéciles
Veut qu'on l'amuse ; il est fort nombreux aujourd'hui ;
N'a-t-il donc pas le droit qu'on travaille pour lui ?
Depuis quand n'est-il plus permis d'emplir les cruches ?
Tout a son instinct. Comme un frelon vole aux ruches,
Comme à Lucrèce au lit court Alexandre six,
Comme Corydon suit le charmant Alexis,
Comme un loup suit les boucs, et le bouc les cytises,
Comme avril fait des fleurs, Ségur fait des sottises.
Il le faut.

Muse, il sied que le sage indulgent
Rêve, écoute, et devienne un bon homme en songeant,
Qu'il regarde passer les vivants, qu'il les pèse,
Et qu'au lieu de l'aigrir, ce spectacle l'apaise.
Ainsi soit-il.

Et puis, allons au fait. Voyons,
Suis-je correct ? L'hostie avec tous ses rayons
M'éblouit-elle autant que le soleil ? Ce prêtre
Me voit-il le dimanche à sa messe apparaître ?
Ai-je même jamais fait semblant de vouloir
Lui conter mes péchés tous bas dans son parloir ?
Quand suis-je allé chez lui, reniant ma doctrine,
Me donner de grands coups de poing dans la poitrine ?
Je suis un endurci. Ségur s'en aperçoit.
Je suis athée au point de douter que Dieu soit
Charmé de se chauffer les mains au feu du diable,
Qu'il ait mis l'incurable et l'irrémédiable
Dans l'homme, être ignorant, faible, chétif, charnel,
Afin d'en faire hommage au supplice éternel,
Qu'il ait exprès fourré Satan dans la nature,
Et qu'il ait, lui, l'auteur de toute créature,
Pouvant vider l'enfer et le fermer à clé,
Fait un brûleur, afin de créer un brûlé ;
Que les mille soleils dont là-haut le feu tremble
Se mettent un beau jour à tomber tous ensemble,
J'en doute ; et quand je vois, au fond du zénith bleu,
Les sept astres de l'Ourse allumés, je crois peu
Que jamais le plafond céleste se délabre
Jusqu'à ne pouvoir plus porter ce candélabre.
Je sais que dans la bible on trouve ce cliché,
La Fin du Monde ; mais la science a marché.
Moïse est vieux ; est-il sur terre un quadrumane
Qui lève au ciel les yeux pour voir pleuvoir la manne ?
Je trouve par moments plus d'esprit, je le dis,
Aux singes d'à présent qu'aux hommes de jadis.
Pape, Dieu, ce n'est pas le même personnage.
J'aime la cathédrale et non le moyen-âge.

Qu'est-ce qu'un dogme, un culte, un rite ? Un objet d'art.
Je puis l'admirer ; mais s'il égare un soudard,
S'il grise un fou, s'il tue un homme, je l'abhorre.
Plus d'idole ! Et j'oppose à l'encens l'ellébore.
Quand une abbesse, à qui quelque nonne déplaît,
Lui fait brouter de l'herbe à côté d'un mulet,
J'ose dire que c'est mal nourrir une femme ;
J'admire un arbre en fleurs plus qu'un bûcher en flamme ;
Je suis peu furieux ; j'aime Voltaire enfin
Mieux que saint Cupertin et que saint Cucufin,
Et je préfère à tout ce que dit saint Pancrace,
Saint Loup, saint Labre ou saint Pacôme, un vers d'Horace.
Tels sont mes goûts. Je suis incorrigible. Et quand
Floréal, comme un chef qui réveille le camp,
Met les nids en rumeur, et quand mon vers patauge,
Éperdu, dans le thym, la verveine et la sauge,
Quand la plaine est en joie, et quand l'aube est en feu,
Je crois tout bonnement, tout bêtement en Dieu.

En même temps j'ai l'âme âprement enivrée
Du sombre ennui de voir tant d'hommes en livrée,
Tant de deuils, tant de fronts courbés, tant de cœurs bas,
Là, tant de lits de pourpre, et là, tant de grabats.
Mon Dieu n'est ni payen, ni chrétien, ni biblique ;
Ce Dieu-là, je l'implore en la douleur publique ;
C'est vers lui que je suis tourné, vieux lutteur las,
Quand je crie au milieu des ténèbres : - Hélas !
Sur la grève que bat toute la mer humaine,
Grève où le flux apporte, où le reflux remmène
Les flots hideux jetant l'écume aux alcyons,
Qui donc apportera dans l'ombre aux nations
Ou l'éclair de Paris ou le rayon de France ?
Qui donc rallumera ce phare, l'espérance ? -

Donc j'ai ce grave tort de n'être point dévot ;
Je ne le suis pas même au parti qui prévaut ;
Je n'aime pas qu'après la victoire on sévisse ;
C'est affreux, je pardonne ; et je suis au service
Des vaincus ; et, songeant que ma mère aux abois
Fut jadis vendéenne, en fuite dans les bois,
J'ose de la pitié faire la propagande ;
Je suis le fils brigand d'une mère brigande.
Être clément, c'est être atroce ; ou pour le moins,
Stupide. Je le suis, toujours, devant témoins,
Partout. Les autres sont les vautours ; je suis l'oie.
Oui, quand la lâcheté publique se déploie,
Il me plaît d'être seul et d'être le dernier.
Quand le væ victis règne, et va jusqu'à nier
La quantité de droit qui reste à ceux qui tombent,
Quand, nul ne protestant, les principes succombent,
Cette fuite de tous m'attire. Me voilà.

Comment veut-on qu'un prêtre accepte tout cela !
Lawrence Hall Oct 2018
Your Grace, you cannot be a common man
There are no common men - but there are men
And in their service, wearily, alone
You now must bear their mitre and their ring

Your Grace, please do not dine with the regime
They’re only using you, laughing at you
Nor with the blessed poor – you’ll slurp your soup
And they deserve better company anyway

Your Grace, you must completely humble yourself
Submitting even to being addressed as “Your Grace”
Your ‘umble scrivener’s site is:
Reactionarydrivel.blogspot.com.
It’s not at all reactionary, tho’ it might be drivel.
The house dated back to the Tudors,
Half timbered, in need of repair,
They offered it me for a peppercorn rent
If I’d do some work on it there.
Right next to it stood the Catholic Church,
All pillars and deep seated vaults,
I thought I could make it a comfortable lair
Despite its old timbers and faults.

But Kathy was not so enamoured,
She said that she’d rather a flat,
‘There’s dry rot and beetles,’ she stammered,
‘So what will you do about that?’
‘I’ll think about that in the morning,
For now you’ll just have to be brave,
You’ll love that old bed, and its awning,
And think of the money we’ll save.’

We got settled in and explored it,
The wainscoting seemed to be fine,
With three rooms upstairs, and an attic,
I seized on that, told her, ‘It’s mine!’
She wouldn’t come down to the cellar,
‘It’s too dark and creepy for me.’
I thought it would do for a storeroom,
It had its own hearth, and chimney.

One day I had leant on the mantle
When something had moved in the wall,
A bookshelf slid back near a candle,
Revealing an ancient priest hole,
But way beyond that was a tunnel
The led all the way to a crypt,
So this was their ancient escape route
For anything termed Catholic.

I thought I would wait to explore it
Till Kathy would like to come too,
But she had just shivered, ignored it,
And said, ‘you just do what you do.’
I couldn’t contain my excitement
As into that tunnel I went,
Imagining priests that had used it,
To burn at the stake, or repent.

Then halfway along in an alcove
I flashed the light, looking in there,
And there was a man in some red robes,
He sat, sprawling back in a chair,
And there on his skull was a mitre
That headdress for bishops of old,
And down by his side was a crozier,
All glittering, fashioned in gold.

But lying between his skeletal feet
Was a sight that I couldn’t absorb,
I felt at a loss, on top was a cross
On a gold and magnificent orb,
Caught short in his flight from the protestant’s might
He was stealing these treasures away,
In hopes that the realm of England returned
To the one true religion one day.

I picked up the crozier, picked up the orb
And I took them from where he had fled,
I didn’t tell Kathy, but thought it was best,
So I hid them both under our bed.
That night we heard chanting, a hymn in the dark
That had Kathy awake and in tears,
While I could see phantoms surrounding our bed
Giving form to a host of my fears.

There was an abomination of monks
That were filling the room from the stairs,
And chief among them was a bishop who stood
At the base of the bed, and just glared.
I leapt out of bed and recovered the orb,
And I handed the crozier to him,
He gave a faint smile, and then in a while
He was gone like a ghost cherubim.

I never went back to that tunnel again,
To tell you the truth, I was scared,
I knew that a fortune was hidden within
But to go back again, never dared.
I’m hoping that bishop has saved me a place
In a heaven for those who are saved,
So I can tell no-one where he lies in grace,
That knowledge I’ll take to my grave.

David Lewis Paget
Voici juin. Le moineau raille
Dans les champs les amoureux ;
Le rossignol de muraille
Chante dans son nid pierreux.

Les herbes et les branchages,
Pleins de soupirs et d'abois,
Font de charmants rabâchages
Dans la profondeur des bois.

La grive et la tourterelle
Prolongent, dans les nids sourds,
La ravissante querelle
Des baisers et des amours.

Sous les treilles de la plaine,
Dans l'antre où verdit l'osier,
Virgile enivre Silène,
Et Rabelais Grandgousier.

O Virgile, verse à boire !
Verse à boire, ô Rabelais !
La forêt est une gloire ;
La caverne est un palais !

Il n'est pas de lac ni d'île
Qui ne nous prenne au gluau,
Qui n'improvise une idylle,
Ou qui ne chante un duo.

Car l'amour chasse aux bocages,
Et l'amour pêche aux ruisseaux,
Car les belles sont les cages
Dont nos coeurs sont les oiseaux.

De la source, sa cuvette,
La fleur, faisant son miroir,
Dit : -Bonjour,- à la fauvette,
Et dit au hibou : -Bonsoir.

Le toit espère la gerbe,
Pain d'abord et chaume après ;
La croupe du boeuf dans l'herbe
Semble un mont dans les forêts.

L'étang rit à la macreuse,
Le pré rit au loriot,
Pendant que l'ornière creuse
Gronde le lourd chariot.

L'or fleurit en giroflée ;
L'ancien zéphyr fabuleux
Souffle avec sa joue enflée
Au fond des nuages bleus.

Jersey, sur l'onde docile,
Se drape d'un beau ciel pur,
Et prend des airs de Sicile
Dans un grand haillon d'azur.

Partout l'églogue est écrite :
Même en la froide Albion,
L'air est plein de Théocrite,
Le vent sait par coeur Bion,

Et redit, mélancolique,
La chanson que fredonna
Moschus, grillon bucolique
De la cheminée Etna.

L'hiver tousse, vieux phtisique,
Et s'en va; la brume fond ;
Les vagues font la musique
Des vers que les arbres font.

Toute la nature sombre
Verse un mystérieux jour ;
L'âme qui rêve a plus d'ombre
Et la fleur a plus d'amour.

L'herbe éclate en pâquerettes ;
Les parfums, qu'on croit muets,
Content les peines secrètes
Des liserons aux bleuets.

Les petites ailes blanches
Sur les eaux et les sillons
S'abattent en avalanches ;
Il neige des papillons.

Et sur la mer, qui reflète
L'aube au sourire d'émail,
La bruyère violette
Met au vieux mont un camail ;

Afin qu'il puisse, à l'abîme
Qu'il contient et qu'il bénit,
Dire sa messe sublime
Sous sa mitre de granit.

Granville, juin 1836.
MINUIT.

Le frêle esquif sur la mer sombre
Sombre ;
La foudre perce d'un éclair
L'air.

C'est minuit. L'eau gémit, le tremble
Tremble,
Et tout bruit dans le manoir
Noir ;

Sur la tour inhospitalière ;
Lierre,
Dans les fossés du haut donjon,
Jonc ;

Dans les cours, dans les colossales
Salles,
Et dans les cloîtres du couvent,
Vent.

La cloche, de son aile atteinte ;
Tinte ;
Et son bruit tremble en s'envolant,
Lent.

Le son qui dans l'air se disperse
Perce
La tombe où le mort inconnu,
Nu,

Épelant quelque obscur problème
Blême,
Tandis qu'au **** le vent mugit ;
Gît.

Tous se répandent dans les ombres,
Sombres,
Rois, reines, clercs ; soudards, nonnains,
Nains.

La voix qu'ils élèvent ensemble
Semble
Le dernier soupir qu'un mourant
Rend.

Les ombres vont au clair de lune,
L'une
En mitre, et l'autre en chaperon
Rond.

Celle-ci qui roule un rosaire
Serre
Dans ses bras un enfant tremblant,
Blanc.

Celle-là, voilée et touchante,
Chante
Au bord d'un gouffre où le serpent
Pend.

D'autres, qui dans Pair se promènent,
Mènent
Par monts et vaux des palefrois,
Froids.

L'enfant mort, à la pâle joue,
Joue ;
Le gnome grimace, et l'Esprit
Rit :

On dirait que le beffroi pleure ;
L'heure
Semble dire en traînant son glas :
Las !

Enfant ! retourne dans ta tombe !
Tombe
Sous le pavé des corridors,  
Dors !

L'enfer souillerait ta faiblesse.
Laisse
Ses banquets à tes envieux,
Vieux.

C'est aller au sabbat trop jeune !
Jeûne,
Garde-toi de leurs jeux hideux,
D'eux !

Vois-tu dans la sainte phalange
L'ange
Qui vient t'ouvrir le paradis,
Dis ?

Ainsi la mort nous chasse et nous foule,
Foule
De héros petits et d'étroits
Rois.

Attilas, Césars, Cléopâtres,
Pâtres,
Vieillards narquois et jouvenceaux,
Sots,

Bons évêques à charge d'âmes,
Dames,
Saints docteurs, lansquenets fougueux,
Gueux,

Nous serons un jour, barons, prêtres,
Reîtres,
Avec nos voeux et nos remords
Morts.

Pour moi, quand l'ange qui réclame
L'âme
Se viendra sur ma couche un soir
Seoir ;

Alors, quand sous la pierre froide,
Roide ;
Je ferai le somme de plomb,
Long ;

Ô toi, qui dans mes fautes mêmes,
M'aimes,
Viens vite, si tu te souviens,
Viens

T'étendre à ma droite, endormie,
Mie ;
Car on a froid dans le linceul,
Seul.

Le 26 décembre 1827.
Chanson.

Pour les bannis opiniâtres,
La France est ****, la tombe est près.
Prince, préside aux jeux folâtres,
Chasse aux femmes dans les théâtres,
Chasse aux chevreuils dans les forêts
Rome te brûle le cinname,
Les rois te disent : mon cousin. -
Sonne aujourd'hui le glas, bourdon de Notre-Dame,
Et demain le tocsin !

Les us frappés sont les plus dignes.
Ou l'exil ! ou l'Afrique en feu !
Prince, Compiègne est plein de cygnes,
Cours dans les bois, cours dans les vignes,
Vénus rayonne au plafond bleu ;
La bacchante aux bras nus se pâme
Sous sa couronne de raisin. -
Sonne aujourd'hui le glas, bourdon de Notre-Dame,
Et demain le tocsin !

Les forçats bâtissent le phare,
Traînant leurs fers au bord des flots !
Hallali ! hallali ! fanfare !
Le cor sonne, le bois s'effare,
La lune argente les bouleaux ;
À l'eau les chiens ! le cerf qui branle
Se perd dans l'ombre du bassin. -
Sonne aujourd'hui le glas, bourdon de Notre-Dame,
Et demain le tocsin !

Le père est au bagne à Cayenne
Et les enfants meurent de faim.
Le loup verse à boire à l'hyène ;
L'homme à la mitre citoyenne
Trinque en son ciboire d'or fin ;
On voit luire les yeux de flamme
Des faunes dans l'antre voisin. -
Sonne aujourd'hui le glas, bourdon de Notre-Dame,
Et demain le tocsin !

Les morts, au boulevard Montmartre,
Rôdent, montrant leur plaie au cœur.
Pâtés de Strasbourg et de Chartre,
Sous la table, un tapis de martre
Les belles boivent au vainqueur,
Et leur sourire offre leur âme,
Et leur corset offre leur sein. -
Sonne aujourd'hui le glas, bourdon de Notre-Dame,
Et demain le tocsin !

Captifs, expirez dans les fièvres.
Vous allez donc vous reposer !
Dans le vieux saxe et le vieux sèvres
On soupe, on mange, et sur les lèvres
Éclôt le doux oiseau baiser ;
Et, tout en riant, chaque femme
En laisse fuir un fol essaim. -
Sonne aujourd'hui le glas, bourdon de Notre-Dame,
Et demain le tocsin !

La Guyane, cachot fournaise,
Tue aujourd'hui comme jadis.
Couche-toi, joyeux et plein d'aise,
Au lit où coucha Louis seize,
Puis l'empereur, puis Charles dix ;
Endors-toi, pendant qu'on t'acclame,
La tête sur leur traversin. -
Sonne aujourd'hui le glas, bourdon de Notre-Dame,
Et demain le tocsin !

Ô deuil ! par un bandit féroce
L'avenir est mort poignardé !
C'est aujourd'hui la grande noce,
Le fiancé monte en carrosse ;
C'est lui ! César le bien gardé !
Peuples, chantez l'épithalame !
La France épouse l'assassin. -
Sonne aujourd'hui le glas, bourdon de Notre-Dame,
Et demain le tocsin !

Le 25 janvier 1853.
Méditons. Il est bon que l'esprit se repaisse
De ces spectacles-là. L'on n'était qu'une espèce
De perroquet ayant un grand nom pour perchoir,
Pauvre diable de prince, usant son habit noir,
Auquel mil huit cent quinze avait coupé les vivres.
On n'avait pas dix sous, on emprunte cinq livres.
Maintenant, remarquons l'échelle, s'il vous plaît.
De l'écu de cinq francs on s'élève au billet
Signé Garat ; bravo ! puis du billet de banque
On grimpe au million, rapide saltimbanque ;
Le million gobé fait mordre au milliard.
On arrive au lingot en partant du liard.
Puis carrosses, palais, bals, festins, opulence
On s'attable au pouvoir et l'on mange la France.
C'est ainsi qu'un filou devient homme d'état.

Qu'a-t-il fait ? Un délit ? Fi donc ! un attentat ;
Un grand acte, un massacre, un admirable crime
Auquel la haute cour prête serment. L'abîme
Se referme en poussant un grognement bourru.
La Révolution sous terre a disparu
En laissant derrière elle une senteur de soufre.
Romieu montre la trappe et dit : Voyez le gouffre !
Vivat Mascarillus ! roulement de tambours.
On tient sous le bâton parqués dans les faubourgs
Les ouvriers ainsi que des noirs dans leurs cases
Paris sur ses pavés voit neiger les ukases
La Seine devient glace autant que la Néva.
Quant au maître, il triomphe ; il se promène, va
De préfet en préfet, vole de maire en maire,
Orné du Deux-Décembre, du Dix-huit Brumaire,
Bombardé de bouquets, voituré dans des chars,
Laid, joyeux, salué par es chœurs de mouchards.
Puis il rentre empereur au Louvre, il parodie
Napoléon, il lit l'histoire, il étudie
L'honneur et la vertu dans Alexandre six ;
Il s'installe au palais du spectre Médicis ;
Il quitte par moments sa pourpre ou sa casaque,
Flâne autour du bassin en pantalon cosaque,
Et riant, et semant les miettes sur ses pas,
Donne aux poissons le pain que les proscrits n'ont pas.
La caserne l'adore, on le bénit au prône ;
L'Europe est sous ses pieds et tremble sous son trône ;
Il règne par la mitre et par le hausse-col.
Ce trône a trois degrés, parjure, meurtre et vol.

Ô Carrare ! ô Paros ! ô marbres pentéliques !
Ô tous les vieux héros des vieilles républiques !
Ô tous les dictateurs de l'empire latin !
Le moment est venu d'admirer le destin.
Voici qu'un nouveau dieu monte au fronton du temple.
Regarde, peuple, et toi, froide histoire, contemple.
Tandis que nous, martyrs du droit, nous expions,
Avec les Périclès, avec les Scipions,
Sur les frises où sont les victoires aptères,
Au milieu des césars trainés par des panthères,
Vêtus de pourpre et ceints du laurier souverain,
Parmi les aigles d'or et les louves d'airain,
Comme un astre apparaît parmi ses satellites,
Voici qu'à la hauteur des empereurs stylites,
Entre Auguste à l'œil calme et Trajan au front pur,
Resplendit, immobile en l'éternel azur,
Sur vous, ô panthéons, sur vous, ô propylées,
Robert Macaire avec ses bottes éculées !

Jersey, le 31 janvier 1853.
Prêtre, ta messe, écho des feux de peloton,
Est une chose impie.
Derrière toi, le bras ployé sous le menton,
Rit la mort accroupie.

Prêtre, on voit frissonner, aux cieux d'où nous venons
Les anges et les vierges,
Quand un évêque prend la mèche des canons
Pour allumer les cierges.

Tu veux être au sénat, voir ton siège élevé
Et ta fortune accrue.
Soit ; mais pour bénir l'homme, attends qu'on ait lavé
Le pavé de la rue.

Peuples, gloire à Gessler ! meure Guillaume Tell !
Un râle sort de l'orgue.
Archevêque, on a pris pour bâtir ton autel
Les dalles de la morgue.

Quand tu dis : - Te Deum ! nous vous louons, Dieu fort !
Sabaoth des armées ! -
Il se mêle à l'encens une vapeur qui sort
Des fosses mal fermées.

On a tué, la nuit, on a tué, le jour,
L'homme, l'enfant, la femme !
Crime et deuil ! Ce n'est plus l'aigle, c'est le vautour
Qui vole à Notre-Dame.

Va, prodigue au bandit les adorations
Martyrs, vous l'entendîtes !
Dieu te voit, et là-haut tes bénédictions,
Ô prêtre, sont maudites !

Les proscrits sont partis, aux flancs du ponton noir,
Pour Alger, pour Cayenne ;
Ils ont vu Bonaparte à Paris, ils vont voir
En Afrique l'hyène.

Ouvriers, paysans qu'on arrache au labour,
Le sombre exil vous fauche !
Bien, regarde à ta droite, archevêque Sibour,
Et regarde à ta gauche :

Ton diacre est Trahison et ton sous-diacre est Vol
Vends ton Dieu, vends ton âme.
Allons, coiffe ta mitre, allons, mets ton licol,
Chante, vieux prêtre infâme !

Le meurtre à tes côtés suit l'office divin,
Criant : feu sur qui bouge !
Satan tient la burette, et ce n'est pas de vin
Que ton ciboire est rouge.

Le 7 novembre, à Jersey.
Lawrence Hall Dec 2022
Lawrence Hall
Mhall46184@aol.com
LogoSophia Magazine – A Pilgrim’s Journal of Life, Literature and Love
Fellowship & Fairydust (fellowshipandfairydust.com)
https://hellopoetry.com/lawrence-hall/
poeticdrivel.blogspot.com

                                A London That Never Was

The London of Boswell never truly was
And yet it is the truest London of all:
Coffee at The Turk’s Head, beer at The Mitre
Not much minding either bishops or Turks

A pipe and a pint with Johnson and the greats:
Oliver Goldsmith, Reynolds and Garrick
Hester Thrale, and Boswell, of course
Books and papers and arguments and poems

If we are going to visit London someday
We had better visit Boswell and Johnson first
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                                  A London That Never Was

The London of Boswell never truly was
And yet it is the truest London of all:
Coffee at The Turk’s Head, beer at The Mitre
Not much minding either bishops or Turks

A pipe and a pint with Johnson and the greats:
Oliver Goldsmith, Reynolds and Garrick
Hester Thrale, and Boswell, of course
Books and papers and arguments and poems

If we are going to visit London someday
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HOW TO MAKE THE RIGHT DECISION AT THE RIGHT TIME

the clock shaves off
another bit of time
tick by tick by tick

it doesn't give a tock
a patina of time
covers the dusty ornaments

the eaves drip
Nature's clock
I measure time

by how long it takes
the cuckoo's voice
to travel

from the background
to the foreground of this
storm tossed morning

I feel myself as if I am
the personal measurement
of boredom

a fly lands
on a bishop's mitre
washes its hands

assiduously
then buzzes off
in case it catches religion

the chess pieces
resume
their silences

I feel like a female mammoth
frozen
in a block of ice

Time refuses
to move on
sti...sti...ICKS

my husband
plays chess
with himself

can never tell whether
he's winning or losing
"I'm a Gemini..!"

he explains.
like duh
"I'm just a poor little Cancer!"

he is beating
himself up
about beating himself

I watch him move from
one side of the table to
the other

like a Buster Keaton movie
an eyelid twitches but
is instantly repressed

the eyebrow
about to be
raised...instantly isn't

he is a bad loser
even
to himself

a hand raises a King
and a Queen
is taken

his lips
a taut straight line
displays no emotion

I am only wearing
a thong
getting goosebumps

I chew a Swano 4906
bitten to shreds
"Five...I said...five letters!"

loudly just to annoy him
beginning with an O and
ending with OP

"Stowed cables
below water line!"
what kind of clue is that!

I haven't got a clue
"Harold honey!"
I yell

"Orlop!"
he grunts
"Orlop deck!"

never taking his eye off
of his other self
watching his every move

"Who would have
thought..."
I think to myself

"That *** and money
could become so
boring!"

a pillowcase on the line
***** for help
it has lost a peg

holding on by a peg
the wind makes it pregnant
its belly billows

it swells
and takes off
like a ship setting sail

jumps over the wall
chasing its own
horizon

"Me an' all!"
I thank it
for the tip

decide to leave
Harold honey
by Tuesday...at the latest

calculus battle clue 6 down
“tanquam ex ungue leonem”
N E W T O N I fill it in - done it
Donall Dempsey Apr 2020
HOW TO MAKE THE RIGHT DECISION AT THE RIGHT TIME

The clock shaves off
another bit of time

tick by tick by tick
it doesn't give a tock.

A patina of time
covers the dusty ornaments.

The eaves drip.
Nature's clock.

I measure time
by how long it takes

the cuckoo's voice
to travel

from the background
to the foreground

of this storm
tossed morning.

I feel myself as
if I am

the personal measurement
of boredom.

A fly lands
on a bishop's mitre.

Washes its hands
assiduously.

Then buzzes off
in case it catches religion.

The chess pieces
resume their silences.

I feel like a female mammoth
frozen in a block of ice.

Time refuses to move on
sti...sti...ICKS.

My husband plays chess
with himself.

Can never tell whether
he's winning or losing.

"I'm a Gemini..!"
he explains.

Like duh.
"I'm just a poor little Cancer!"

He is beating himself up
about beating himself.

I watch him move from
one side of the table to

the other
like a Buster Keaton movie.

An eyelid twitches but
is instantly repressed.

The eyebrow about to be
raised...instantly isn't,

He is a bad loser.
Even to himself.

A hand raises a King
and a Queen is taken.

His lips
a taut straight line.

I am only wearing a thong.
Getting goosebumps.

I chew a Swano 4906.
Bitten to shreds.

"Five...I said...five letters!"
Loudly just to annoy him

Beginning with an O and
ending with OP.

"Stowed cables
below water line!"

What kind of clue is that!
I haven't got a clue.

"Harold honey!"
I yell.

"Orlop!"
he grunts.
"Orlop deck!"

Never taking his eye off
of his other self.

"Who would have thought..."
I think to myself.

"That *** and money
could become boring!"

A pillowcase on the line
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It has lost a peg
Holding on by a peg.

The wind makes it pregnant.
Its belly billows.

It swells and takes off
like a ship setting sail.

Jumps over the wall
chasing an horizon.

"Me an' all!"
I thank it for the tip.

Decide to leave
Harold honey

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at the latest.

— The End —