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the other day
I occupied a chair
at a sidewalk café
watching the vanity fair of the quotidian
float by in quickly changing apparitions

an endless flow of different ages, nations, fashions,
skin colors, miens, ****** expressions, postures & gaits
kept passing through  my field of vision

it made me wonder why
some people get so furious
when they  just hear about
    not even meet
    the ‘others’ different from themselves
that they start dropping  bombs and shooting rockets

I think they rather should be curious
and eager to discover
how the immense variety of humankind
can help expand a locally grown mind

and recognize
that we are all of the same kind
Sometimes Starr Jun 2017
now human, gain
with mixed up maintain
a second-guess self
cannot pretend God, only
accept his invitation, I
the vital and vacation

this cool June morning
is playing favorites, in faith
I've surrendered satan

play for the team undefeated
until featless can we carry on no more
emptied of purpose, we
will return to the dirt.
(elements)
Martin Narrod Aug 2017
Anything All of the Everything

Events of Summer quickly ensue, it takes hold of you quickly, while the police drive thru. You cannot find it half-way into the night, you could hold up on a park bench or lay your blanket on the slough. Perhaps when your dreams kick, your asterisks will come, build a map of your defense and then head for the sun. Some foe outwit the wounds of life, furry blister-like faces, when they take up the star dust diamonds, the trail guides take after hurrying up paces.

The festivities of fear are living oaths inside of marbled starve rocks, they harvest shoots and ladders, and keep tabs on wild beasts and livestock. There's no match throughout the campgrounds. There's no matchbook light to find us. If you're quick enough with your 70s, then perhaps you'll follow the nightness that's arrived us.

In aide of her lift-gate, shredding pensive miens and speeding mimes, taking ward of one thousand fathomed depths, assumes courageous anti-hate isms. She can come quickly with a syzygy, her van packed with fresh woes of Sunday, then around Monday humbly hides her stuff in the small hems of her bed linens. You can't outwit the governess who preys on handicapped children's thrift finds. She makes clothes and keeps her hands to bed. She bares new graves for time's new roman epithets and moving pictures. She  unplugs her bleeding tongues under some new sone for her monarchic archetypical audiophile party.

While the umberphiles sleep, nyctophiliacs stalk grizzlies. Mosquitos quaff at human blood, while their offspring keep drinking. The idle bugs throes, misanthropic and useless, teach electric lusters' mouths to grow into fiery hoops with which to slip past all the clueless.  The arachnids might dance, the haunting verbs they might fray. The Egyptians at first glance, try to hide their heroine pyramids away.

So hush little violet dormant flowers, fake your fertility and keep your skeptic drink. Keep each one you might meet, within one hundred feet of where you sleep. Keep your arms length's supine, your supplies out of reach, practice wrapping yourself up inside boxes where the souls can sleep.

If you only once catch a fool, avoid the plague-speak certain lips might tell. Each uttered word commanded with too much ******* across the bandwidth. Mortal courses can't be taught, human voices can't keep the draught, ferocious abstract engineered humanity has escaped this truant absence and immorality. You, you catch a fool, she could preach hurts and djinns, it could dot the I's of when, and unfurl the sighs of men. Berthed earthlings that the **** ascribes, hurts the worthless and sours true purpose widths of curfews and its curses, all these biomes perfervidly reserve the fury for their furtive perversity, elements to obscure the telemetry that has coddled such a dark conflagration of immensity, it's the cluelessness of these transgressors that forces the abhorrence towards all-white-everything professors.
While sitting in Grand Teton National Park at the entrance to Spalding Bay.
Adrien Jul 2014
Son regard a croisé le mien
Ses yeux ont percé les miens
J'ai été fauché par son parfum
Elle m'a souri, je lui ai pris la main
Maintenant ma peau connait la sienne et ne veux plus la quitter
Et mes mains tremblent a l'idée de ne plus la toucher
Les jours je rêve d'elle, et je rêve eveillé
La nuit j'admire son image qui ne peux me quitter
Mon coeur fond, ma tête craque du seul son de sa voix
Comme la neige s'effondre sous un seul de nos pas

Je suis tombé dans le piège.
Maintenant il faut qu'elle m'achève
Mais je suis seul, et j'ai froid
Je ne vois plus que ses yeux
Je n'entend plus que sa voix
Je tombe d'amour, je tombe dans le piège
Et dans ma chute je crois bien que je la vois
Qui se jette dans le vide, le vide au creu de mes bras

Ne me retenez pas.

Je suis tombé
Je ne veux plus me relever
Je ne vie plus que pour elle
Il m'en pousserai des ailes
Mais je suis tombé.
Je suis cloué.
Je suis tombé dans le piège.
Et si ce n'est qu'un rêve

*Ne me reveillez pas.
Enfants ! - Oh ! revenez ! Tout à l'heure, imprudent,
Je vous ai de ma chambre exilés en grondant,
Rauque et tout hérissé de paroles moroses.
Et qu'aviez-vous donc fait, bandits aux lèvres roses ?
Quel crime ? quel exploit ? quel forfait insensé ?
Quel vase du Japon en mille éclats brisé ?
Quel vieux portrait crevé ? Quel beau missel gothique
Enrichi par vos mains d'un dessin fantastique ?
Non, rien de tout cela. Vous aviez seulement,
Ce matin, restés seuls dans ma chambre un moment,
Pris, parmi ces papiers que mon esprit colore,
Quelques vers, groupe informe, embryons près d'éclore,
Puis vous les aviez mis, prompts à vous accorder,
Dans le feu, pour jouer, pour voir, pour regarder
Dans une cendre noire errer des étincelles,
Comme brillent sur l'eau de nocturnes nacelles,
Ou comme, de fenêtre en fenêtre, on peut voir
Des lumières courir dans les maisons le soir.

Voilà tout. Vous jouiez et vous croyiez bien faire.

Belle perte, en effet ! beau sujet de colère !
Une strophe, mal née au doux bruit de vos jeux,
Qui remuait les mots d'un vol trop orageux !
Une ode qui chargeait d'une rime gonflée
Sa stance paresseuse en marchant essoufflée !
De lourds alexandrins l'un sur l'autre enjambant
Comme des écoliers qui sortent de leur banc !
Un autre eût dit : - Merci ! Vous ôtez une proie
Au feuilleton méchant qui bondissait de joie
Et d'avance poussait des rires infernaux
Dans l'antre qu'il se creuse au bas des grands journaux.
Moi, je vous ai grondés. Tort grave et ridicule !

Nains charmants que n'eût pas voulu fâcher Hercule,
Moi, je vous ai fait peur. J'ai, rêveur triste et dur,
Reculé brusquement ma chaise jusqu'au mur,
Et, vous jetant ces noms dont l'envieux vous nomme,
J'ai dit : - Allez-vous-en ! laissez-moi seul ! - Pauvre homme !
Seul ! le beau résultat ! le beau triomphe ! seul !
Comme on oublie un mort roulé dans son linceul,
Vous m'avez laissé là, l'oeil fixé sur ma porte,
Hautain, grave et puni. - Mais vous, que vous importe !
Vous avez retrouvé dehors la liberté,
Le grand air, le beau parc, le gazon souhaité,
L'eau courante où l'on jette une herbe à l'aventure,
Le ciel bleu, le printemps, la sereine nature,
Ce livre des oiseaux et des bohémiens,
Ce poème de Dieu qui vaut mieux que les miens,
Où l'enfant peut cueillir la fleur, strophe vivante,
Sans qu'une grosse voix tout à coup l'épouvante !
Moi, je suis resté seul, toute joie ayant fui,
Seul avec ce pédant qu'on appelle l'ennui.
Car, depuis le matin assis dans l'antichambre,
Ce docteur, né dans Londres, un dimanche, en décembre,
Qui ne vous aime pas, ô mes pauvres petits,
Attendait pour entrer que vous fussiez sortis.
Dans l'angle où vous jouiez il est là qui soupire,
Et je le vois bâiller, moi qui vous voyais rire !

Que faire ? lire un livre ? oh non ! - dicter des vers ?
A quoi bon ? - Emaux bleus ou blancs, céladons verts,
Sphère qui fait tourner tout le ciel sur son axe,
Les beaux insectes peints sur mes tasses de Saxe,
Tout m'ennuie, et je pense à vous. En vérité,
Vous partis, j'ai perdu le soleil, la gaîté,
Le bruit joyeux qui fait qu'on rêve, le délire
De voir le tout petit s'aider du doigt pour lire,
Les fronts pleins de candeur qui disent toujours oui,
L'éclat de rire franc, sincère, épanoui,
Qui met subitement des perles sur les lèvres,
Les beaux grands yeux naïfs admirant mon vieux Sèvres,
La curiosité qui cherche à tout savoir,
Et les coudes qu'on pousse en disant : Viens donc voir !

Oh ! certes, les esprits, les sylphes et les fées
Que le vent dans ma chambre apporte par bouffées,
Les gnomes accroupis là-haut, près du plafond,
Dans les angles obscurs que mes vieux livres font,
Les lutins familiers, nains à la longue échine,
Qui parlent dans les coins à mes vases de Chine.
Tout l'invisible essaim de ces démons joyeux
A dû rire aux éclats, quand là, devant leurs yeux,
Ils vous ont vus saisir dans la boîte aux ébauches
Ces hexamètres nus, boiteux, difformes, gauches,
Les traîner au grand jour, pauvres hiboux fâchés,
Et puis, battant des mains, autour du feu penchés,
De tous ces corps hideux soudain tirant une âme,
Avec ces vers si laids faire une belle flamme !

Espiègles radieux que j'ai fait envoler,
Oh ! revenez ici chanter, danser, parler,
Tantôt, groupe folâtre, ouvrir un gros volume,
Tantôt courir, pousser mon bras qui tient ma plume,
Et faire dans le vers que je viens retoucher
Saillir soudain un angle aigu comme un clocher
Qui perce tout à coup un horizon de plaines.
Mon âme se réchauffe à vos douces haleines.
Revenez près de moi, souriant de plaisir,
Bruire et gazouiller, et sans peur obscurcir
Le vieux livre où je lis de vos ombres penchées,
Folles têtes d'enfants ! gaîtés effarouchées !

J'en conviens, j'avais tort, et vous aviez raison.
Mais qui n'a quelquefois grondé hors de saison ?
Il faut être indulgent. Nous avons nos misères.
Les petits pour les grands ont tort d'être sévères.
Enfants ! chaque matin, votre âme avec amour
S'ouvre à la joie ainsi que la fenêtre au jour.
Beau miracle, vraiment, que l'enfant, *** sans cesse,
Ayant tout le bonheur, ait toute la sagesse !
Le destin vous caresse en vos commencements.
Vous n'avez qu'à jouer et vous êtes charmants.
Mais nous, nous qui pensons, nous qui vivons, nous sommes
Hargneux, tristes, mauvais, ô mes chers petits hommes !
On a ses jours d'humeur, de déraison, d'ennui.
Il pleuvait ce matin. Il fait froid aujourd'hui.
Un nuage mal fait dans le ciel tout à l'heure
A passé. Que nous veut cette cloche qui pleure ?
Puis on a dans le coeur quelque remords. Voilà
Ce qui nous rend méchants. Vous saurez tout cela,
Quand l'âge à votre tour ternira vos visages,
Quand vous serez plus grands, c'est-à-dire moins sages.

J'ai donc eu tort. C'est dit. Mais c'est assez punir,
Mais il faut pardonner, mais il faut revenir.
Voyons, faisons la paix, je vous prie à mains jointes.
Tenez, crayons, papiers, mon vieux compas sans pointes,
Mes laques et mes grès, qu'une vitre défend,
Tous ces hochets de l'homme enviés par l'enfant,
Mes gros chinois ventrus faits comme des concombres,
Mon vieux tableau trouvé sous d'antiques décombres,
Je vous livrerai tout, vous toucherez à tout !
Vous pourrez sur ma table être assis ou debout,
Et chanter, et traîner, sans que je me récrie,
Mon grand fauteuil de chêne et de tapisserie,
Et sur mon banc sculpté jeter tous à la fois
Vos jouets anguleux qui déchirent le bois !
Je vous laisserai même, et gaîment, et sans crainte,
Ô prodige ! en vos mains tenir ma bible peinte,
Que vous n'avez touchée encor qu'avec terreur,
Où l'on voit Dieu le père en habit d'empereur !

Et puis, brûlez les vers dont ma table est semée,
Si vous tenez à voir ce qu'ils font de fumée !
Brûlez ou déchirez ! - Je serais moins clément
Si c'était chez Méry, le poète charmant,
Que Marseille la grecque, heureuse et noble ville,
Blonde fille d'Homère, a fait fils de Virgile.
Je vous dirais : - " Enfants, ne touchez que des yeux
A ces vers qui demain s'envoleront aux cieux.
Ces papiers, c'est le nid, retraite caressée,
Où du poète ailé rampe encor la pensée.
Oh ! n'en approchez pas ! car les vers nouveau-nés,
Au manuscrit natal encore emprisonnés,
Souffrent entre vos mains innocemment cruelles.
Vous leur blessez le pied, vous leur froissez les ailes ;
Et, sans vous en douter, vous leur faites ces maux
Que les petits enfants font aux petits oiseaux. "

Mais qu'importe les miens ! - Toute ma poésie,
C'est vous, et mon esprit suit votre fantaisie.
Vous êtes les reflets et les rayonnements
Dont j'éclaire mon vers si sombre par moments.
Enfants, vous dont la vie est faite d'espérance,
Enfants, vous dont la joie est faite d'ignorance,
Vous n'avez pas souffert et vous ne savez pas,
Quand la pensée en nous a marché pas à pas,
Sur le poète morne et fatigué d'écrire
Quelle douce chaleur répand votre sourire !
Combien il a besoin, quand sa tête se rompt,
De la sérénité qui luit sur votre front ;
Et quel enchantement l'enivre et le fascine,
Quand le charmant hasard de quelque cour voisine,
Où vous vous ébattez sous un arbre penchant,
Mêle vos joyeux cris à son douloureux chant !

Revenez donc, hélas ! revenez dans mon ombre,
Si vous ne voulez pas que je sois triste et sombre,
Pareil, dans l'abandon où vous m'avez laissé,
Au pêcheur d'Etretat, d'un long hiver lassé,
Qui médite appuyé sur son coude, et s'ennuie
De voir à sa fenêtre un ciel rayé de pluie.
No Equity Dec 2011
Comme des enfants,
On va s’échanger des notes
Où on devra cocher «oui» ou «non»

Un «oui» incertain
Plein d’espoirs enfantins
Plein d’amour et d’entrain

Un «non» angoissé
Plein de noirceur tamisée
Plein de déni et d’ambigüité

Comme des enfants,
On va jouer à cache-cache
Dans nos rêves ou dans la forêt

Camouflés de nuages
Cachés dans le feuillage
Le ferais-tu même à notre âge?

Et quand tu vas poser tes yeux sur les miens
J’n’hésiterai pas, j’vais prendre ta main
J’n’hésiterai pas, j’vais agir plus ou moins

Comme un enfant
French
La Jongleuse Apr 2013
avant, à ta poursuite
aux pays du désert
où le soleil brûlait et
dévorait tout en vue

je me contentais de
suivre ce fameux chemin
des miettes et méandres,
des traces de ton sang

pendant des années,
j'ai traversé ce terrain aride,
la course sèche la journée
des balades noyées la nuit,

je buvais que de ta tristesse,
j'avalais ta faiblesse entière,
mon propre corps infecté
par tes batailles malades

affamée, assoiffée, puis morte
pendue par mes pas sans fin,
ma persistance m'a gagné
un aller sous la terre

une fois revenue au Paradis,
tes plumes m’appariassent,
légères et sales, chez les autres,
un départ irréel de ton Enfer

ton Phantom silencieux,
tes ombres brumeuses,
flashent à travers leurs yeux
alors que j'ai arraché les miens

aveugle, la danse royal éternelle,
les fleurs vivantes me caressaient
une partouze de l’Ambroisie et ses amis
j'ai absorbé le Bonheur comme une éponge  

les lunes ont pleurés et décédées,
& tu te présentés à ma face,
portant ce vase ancien & abordant,
comme un cadeau bien attendu

pourtant, je vois mon reflet dedans
& comme c'est étrange
que tu ne pèses plus rien

english translation
not quite as good
the mirage,

before, when in pursuit of you
I found myself in a land of deserts,
where the sun burnt &
devoured everything in sight

I contented myself to
follow this notorious path
of crumbs & curves,
of the blood you left behind

for years upon years,
I crossed this arid expanse
running dry in day
drowned ramble at night

I drank only of your sadness
I swallowed your weakness whole
my own body became infected
by your diseased battles

ravenous, athirst & finally dead,
hanged by my endless trek
my persistence brought me
a trip beneath the earth

once safely returned to Paradise
through others, your feathers,
appeared to me filthy & light,
an impossible withdrawal from your Hell

your mute Phantom,
your foggy shadows
danced in their eyes,
so I tore out my own

blinded, an endless royal dance
living flowers touched my flesh
an **** of Ambrosia & her friends
Joy permeated my skin like a sponge

many moons wept & died
& you arrive in front of me,
carrying this forgotten, overflowing vase
as if it were a long lost gift

yet, I see my own reflection inside
& how odd it is
that you no longer weigh a thing
brandon nagley Jul 2015
Je vais lui envoyer tous les miens amour 'de onciale, en les faisant flotter dans une bouteille sur la rivière, tous les jours ça me fait peur elle va disparaitre, parce que quotidiennement pour son cœur de la mine groweth plus grand, et tout mon coeur devient plus gros, la mienne âme soupire pour elle de plus, je ne l'ai jamais senti ce sentiment, que pour le mien vie passée mi amour '... Alors, quand la bouteille atteint aux rivage, et quand elle picketh il, je prayeth pour obtenir une bouteille de retour, dans laquelle son amour doth remplir jusqu'à .... et si elle ne reçoivent pas l'amour mienne bouteille remplie, je flottais en descendant le fleuve, je seras floateth mineself bas cette rivière, même si je dois essayer de noyer pour la reine mienne .... et si cette bouteille don 't vient à terre, le corps au moins mine, elle saura que, si tous ces poèmes ne montre pas, pour moi tis amour pour elle était réel
(  french dialect)

( English translated)

I'll send her all mine amour' uncial's, by floating them in a bottle down the river, daily it scares me she's gonna dissapear, because daily for her mine heart groweth bigger, and whilst mine heart gets bigger, mine soul longeth for her more, I've never felt this feeling, only for mine past life mi amour'... So when the bottle reacheth the shore, and when she picketh it up, I prayeth to get a bottle back, wherein her love doth fill it up....and if she don't get mine love filled bottle, I floated down the stream, I shalt floateth mineself down that river, even if I have to drown trying for mine queen ....and if that bottle don't cometh to shore, at least mine body will, than she'll know, if all these poems didn't show, for tis mine love for her was real....



©Brandon nagley
©Lonesome poet's poetry....
If you don't know what a uncial is its this because I used word uncial in poem lol its a letter handwritten note same thing (:

of or written in a majuscule script with rounded unjoined letters that is found in European manuscripts of the 4th–8th centuries and from which modern capital letters are derived.
Martin Narrod Feb 2017
Into the crash, imploded. Escape from light, I've known it was, the righteous and right thing to do. Where is the name? I'm listening. I hear the storm, it's growing for me, an old familiar know-it-all, with a glowing knack for mediums in the park each seventh Sunday, it takes a demon to splice my hearing, I'm in a covert closed-box first-class second-rate fairy-tale, and it is my time to start going for something transfixed, something the locals bare their graves and lapse over the journey the girls take heavily with their ****** and their men are swaying with the light. Taking their time to get to know them, until the lye takes off their fingertips and their lips cool an echo that I've cured my ears to listen closely towards.

There isn't a god. A h or even a sophomoric after-thought. This is the bed and our sheets don't know us. Is it her blood or is it the withdrawals showing, I'll sew the girls to their cotton, and make them toss their batons up, wear green and green and raise their lacrosse sticks. I've liked wearing lipstick, crossing my legs, and telling them, "you can't touch this." I take the mescaline and disrupt the contest. I carry the heads in a duffel bag, even though the lawyers don't recommend it, I carry the duffel bag in the restroom. I race 100 yards around the lunchroom, I play tag and go, I taste the subjects. Sweet, sugary, and coming onto me. She's aging denim and platinum rings.

I stop the door. I count for hours. I take all the dead-ends, all these lover's cross-eyed, pouring their pants down for supper and ecstasy, they'll take the anodyne and enter where their hearts spread disease on a dark submariner spring, where the clothes can start coming off. Lift your wings and your mantra will start rising. All of your different voices, that realize the different voices of your name, pour your light out, fill my hands with your love, and take the hour into the coastline- I'll be the one to call it enough. Even the voices can be the drug. Even her voice it could be enough.

It's the touch that knows your name. It's the governement that shears it down. It's the fibers that haunt you, while your fingertips reach slightly down along the edge of your mattress, where your sheets meet the ground. Let her be your goddess and arrange your services and coffin, the guests all wear black, and your mother raises the sun on the telephone. It might feel scripted, it might feel nostalgic, but don't let your mind turn blank. This is a stark horizon, your hands aren't here to supervise you. Your eyes can't join the rush. These are the skins that know you, they see you more than once, they call you in for the night, they tell all the people of your fame. There is really nothing to hide from, here where the desert can call you, up from the floor where they've found you, is it your face on the demons that reared you from the drug?

This is the sound and it haunts me, it takes its overture to the half-life. It takes the horror and reveals its torture to the public, where the joy-filled guitar chords pleasured me with so many gifts I always told myself they weren't enough.

Primes are around us, the people are march now. They can't keep their eyes off the madness, it's more than an hour now, they race towards their coastline, the twilight stretched mischievously passed their sons. They dig for tomorrow, the chisel at marble, until their hands undo the prisons their art dissolves. The primes are around us, it's unnerving and lifeless. New weekenders unearth these plasticine mannequin statues that ride Western through the values up the arms.

Here is a hero, no mother or father, at least not the name that they gave them, he took them out West, towards the yucca and cactus, towards the orange and stark calmness that only history could resolve the aching pains that our parents took with us through the thaw. This ice-world is melting, the seasons are ending, the shades of our evils take all of us, alone, threaded together, but stitched on the embers of some soul-less, tailored, empty null.

Here is the room, here are the stacks of dried lumber that we never thought could take us through the thaw. These are the bookends, Minnie and Mickey, white furry bonanza lost on the albicant sinews of bakelite slippers mixed into the dance routines of temporally observant minds that wouldn't dare feed themselves on the breaths of time. Here he is, like he was, not with his name tomorrow, not with her name for morning, they arc themselves inadequately, and even the doctors recommend that some soft-drinking orange-flavored omen takes their luggage and their fears, and drag them through an ocean, where no one could ever see them coming, into an aluminum jungle of preservatives where natives and islanders can sacrifice through them their judgements of a failed family history on the surplus of cities and their truths.

Here is the sound, here it strikes. Here is the room, cold and white. These are the books, here are the horrors. Here is the fashion but there's no rhythm there's no order. This is the rug, it's shaggy, it's a mess, it's distressed, it's unfolding, and it carries it's path of swine. It's a nuisance, it is caustic, it observes the unfortunate and reserves a placement for the matte sublimation of time.

And through the dirt-patterned bone-white skeleton keys basking on the rocks in some slumber of a 31st century pond, the people dancing punch their dance-cards, show their tattooes, and frollick in the great beyond. Here and in mourning, waxing on the miens of their corruption, whistling against the steel television sets from off of their 1982 television sets where they drink ***** and orange juice and laugh at Sylvester and Reboot on their regular Saturday morning routine watching Saturday morning cartoons.

Youth. In between a doctorate and mastery of language, there is nothing left to undo. A familiar feeling arriving to the airport, a tremendous evil summons the Zeppelin pilots to their terminals too. There is a horse that keeps on all of its riders, but still there's no pleasure that can keep us two.

As high as the wind and the rye, they search for the blight in our eyes, they summon our lips to a lie, tumbling and showing the time. These are the stars that we promised to give away. The legs on this pavement are slaves, half of this bad, shapes of her heaven and neverland, muffled like the secret that we have promised to tow, and the music is ahead of the shoal, out where our ocean wrote the seashore in, and the coastline carries our words on the wind. And the basement hoards our fears so we can move, away from the televisions where our parents keep their eyes' glued. Something that we promised to do, regardless of how familiarity thwarted to do, so don't break mine, don't take mine. I am the start of your pain, I wear the crown of your king, I make your bed and obey to keep the door open to our fray, where it gets us through the night. As I was told, you were supposed to know. I was tonight, I had the rights to you tonight. Your lips, their fire, the weapons for your fight, I caught myself in a lie, somewhere beyond the tremendousness of your see-through past, beyond this sea of glass where the sea creatures swim in the tales we had. Suffering past, the sea of glass, we once had.

I can see tonight, the foreman, he has told me where to go. Listen to the... I am here to help. I am going through the going, if I'm going to last, help me last, here in the thicket of the summer or the winter, this wild where we listened to the sound of snow crashing on these winter shoals where the penguins passed, and the lips froze against the icicles these icebergs flashed. The camera, suffering back, took me back, the sounds of the crash haunting back, to the weekend last summer we never had. The sleeping lasts, the winter grasps, our words have past, you're sleeping fast, eating glass, shining black. I'm suspended in liquid gas, shivering at the wicked words the women packed, the sharp synonyms that women had. I'm half of the man I was dreaming of, in the winter passed the winter doves, their heads hiding under glass. I'm just a splinter of my past, lilting as a tumbling black, simple jack, here on a card spliced I'm never to once again see my little world.

This is the sound of enough, the sound of people as they fall away. Through the windows of time, the ladder falls down inside of my mind. It's hard to live where the stars survived. In a library of dreams I once lived each day. Each of the curtains had dropped, and each of the women had left. The god of me took every need I thought I'd keep, for half of my past, was only the start of a bell I craved. Even if nothing was the sound for today. Nothing can be the sound that I gave. My muscles down, my bones breaking down, the sound of the humans buried alive underground. The choice he gave as the music played for all of these muffled thugs circling this parade on the hill.

It can be as hard to be a star. It's the cost of the heart that beats, on the coastline your readied float brings your corpse to the flood. Often lilting, often swaying, these things you pictured would be your life under this sun. If your buttons move, and you want to live free? And you claw your eyes out, just to call it off, every world you kept your lessons furtively aimed, in a match held with love, against some chanceless hope of taking the game. Each of these ends, keeping your pictures to the heavens, if his name should take your heart in need? One of these wombs where music had begun, the gnarly garden of space unkempt and calling her grave, where your name costs your fame, and the poison lifts this track up, and your train comes, it moves you backwards, even if you weren't the one, this could be the ghost you call and say, this is enough. This is the world where your friends can't go alone. Sounds and chimes and groans. Soundtracks scored into the chalk of your bones. Another, another, another, a mother.

Until this lover you chose by name, can't see. Until this lover you saw inside, can't see you very clearly tonight, you can't get by. You only just realized you're not the kindest mind, in fact yours is the weakest light.
J'aime la façon que vous me regardez,
Vos yeux si brillants et bleus.
J'aime la façon que vous m'embrassez,
Vos lèvres si molles et lisses.

J'aime la façon que vous me rendez si heureux,
Et les façons que vous vous montrez se soucient.
J'aime la façon que vous dites, "je Vous aime,"
Et la voie vous êtes toujours là.

J'aime la façon que vous me touchez,
Toujours en envoyant des fraîcheurs en bas mon épine dorsale.
Je l'aime vous êtes avec moi,
Et content que vous soyez les miens.
Jenny Gordon Mar 2019
Haha,



(sonnet #MMMMMMMDCCLXXXIII)


Of leprechauns and clover, yes...t'avail
I've neither, am in green to match fr'intents
Mine hazel eyes, and how blue heavns wear thence
Such fresh-washed golden light in sweet all hail
O me!  I'd feign go down which wooded trail
To hunt the early violets?  Mushrooms dense
Wi' import are sought out and sold for sense
Or lurid dreams, but I want that detail.
Wee white-striped, purple faces none bestir
'Cept wildest breezes, whitest virgins too,
With purple stripes across their miens in tour--
I'd love to bend and finger them anew!
Sip twa espressos, joking of, in poor
'Scuse, "faux" things we oft cherish, as all woo.

17Mar19a
...trying to mend that in texting my friend regarding leaving for that poetry gig well,....that's a topic for another stanza.
You've made a sensible decision,
joining these ranks of stomped-on stand-in's.
I'll be your Virgil and guide you through
the ropes too often learned at lashing.

Don't overlook the import of choosing
proper cause and duly sainted miens.
Be better judge of princely nature,
for when he does stray, it's you we'll hurt.

The world has no shortage of ******, and
to keep the knife at bay, befriend him
you must, lest he misbehaves solely
for the pleasure of watching you writhe.

If it comes to that, all you'll have left
is to pray, he meets an untimely end,
and loads your back with shuffled-off cares
to scape back to the wilds whence you came.
This work is licensed under a Creative Commons Attribution 3.0 License.
Butch Decatoria Dec 2015
Often times when reading the messages
poets metaphor in rhyme,
in reason and allusions and imagery

they say the same thing--as if they all of 'em took
a class together on love

they say "love is relative..."

relative to what?
to whom or how or when?
like a family member twice removed,
an aunt, a grandmother's warm smiling
invitingly familial

be it an impromtu emotion, described grandios
and Hollywood acclaimed,
love seems
     obscure
     demure
     fickle at times
     wishful
     blissful
     fervent even
     magically
     restless
     with its deliciousness
on and on so it goes / without saying too  much
how it will breathe
new life into those
     lackluster
those without
yet are
     consumed
     hollow

those without hope, suddenly are given it
     anew
vivid energy miraculously appears,
HD the world is seen / absolute brightness
faultless and star-filled
     clear

Yet it well can cause
our worst of fears
of wars / casualties / gruesome endings
   tragedies
   :a movie
with Shakespearean poetic pain,
the pentameter of the mortal heart
   sonnets of our human condition
   :a documentary
   of life

   conflicted
it is a cause many have and will bleed
for, some even die for,
searching and reaching out
whether in vain
or suffering in the pain find
awakenings

that's what it's all about ...


it is relative, to what or why
in life,
     pragmatic,
     fractal
human feelings reign -  yet a populace
of loneliness, millions of neighbors
never extend an open hand or invitation
so love can be difficult to find

in the sea of man, of many of a world separated
it strikes like lighning, they cliche
     quick
     unannounced
     unstable
it happens without warning, cupid's arrow
hits, discriptively it must be a wound..?

yes / yet no / unknown

it has begun: an end
to a means - a chemical thing
(hypothesized
in scientific circles,
I guess
just one of those undefined unexplainables)

like crop circles
in the wheat fields of the heart it is
sometimes
unpredictably appears
     obscene
     wild
     flavorful
     rigid
     rarely
     mean
     spirited
     ferocity
at times...
all the while

in nature's law of strength versus luck,
small prey to a predator : eat or be consumed,
love is not recognized (or is it? by the animal)

mate and procreate in their simplest terms.
Does a shark check out it's female before it decides
to release his *****--take it on a date, a swim in the riptides?
a bite of sushi first?

Empress bees and others with their queen-ruled colonies
birth a world from one,
does she feel the same for her thousands of husbands
fathers of her millions of children spawned?

love is relative... love is blind
another descriptive falacy
invented by folk without husband or wife or vision
nor same-*** partners : it is universally
known in these modern communities
of man-made homes
and tomes ... blind ... as if like a person, the word
unable to see,
inept of decisions, making a finale,

who will stay by the miens of our simplicity
flesh and feelings
     silent servants
     beguiling
     hidden
     treasure

Now imagine lightning striking
     suddenly
     real
     unabashed
     fulfilling
     electrifying
     sensual  
     salivating

far beyond restrictions of the flesh/ ***
past times and her finite
musings, they say it will go on and on

"forev'a ev'a? forev'a ev'ah"

so does the song repeatedly plays
so i say, as long as we are

still the masters of this life's age, kings of consciousness,
of intelligence and rage
Love tho'

     fleeting
     whispy
     liked
     quenching
     lessons-learned
aloft in flight
Love
will stay  
and as witnesses to war
or after : in peaceful days,

O the one true thing
I have seen of love's relativity:
love is relative to humans
and our
being
whether blind or whether seeing

(it's yours and ours  
heavenly
          seeking) ...







Free of will & full of meaning
Love is the truth
All Life is feeling...
Rewrite and edited from the original titled Philosophy of Love - which can be found @ my writers café page.
JP Goss Oct 2014
That sound, like vengeance, bitter and whining!
The unseen terrors ‘midst an unstirring throng
Come weaving between my fingers, books, ears.
Why, oh, why does it target me?
A bee, a stinging assumption of the most
Prevailing type, a thing—if ever there was—
Most hated by the modern man:
A loafer inspiring fear, inspiring action
But to act would draw the cool judgment
Of my peers—a ****, a twitch, a sound—none move.
This distance, for it does not bother you!
No hesitation to act progressively when charity
Is abundantly “there” but the coffers deign to open
And the kitchens are dry, and the powers are artifice
To shove the matter—illusory—to the great blue wayside.
Away, away thing! Do not plunge your itinerancy
In the soft of my skin—I do not want you here,
Remove yourself from my sweet drink,
Remove yourself from my food, remove
Your presence—transparently, I don’t have to think
About you if you…just…leave!

And it did—ha! Hell spawn! Parasite! But such a lonely
Planet finds its orbit just as drifting rocks find theirs,
Even if it unaccommodating, in the outer wears,
To sylvan marches—take thy there!
And it has, poor little creature, buzzing through the miens aslare
Spacey, empty, sans (attention), but sans care.
None will bat an eye as its well-meant body,
Interpellated annoyance, genetic condemnation,
Vermilion-paints on the walls of Hell,
Floats, broken, between uncaring faces, looking for
That thing called home, arms warm from its
Present-roam—uncared for Other on lithe little wings
Glass beats at the speed of sound, beat heard
Against the sky’s blue scrim, glass rippling, incensed
So quick, movement becomes oneness and still.
Who could not love you when you’re world’s ignominy?
These ******* are but foul, they can not love you
Steeled by the constant repressive ire
For that which is so homeless—what is spurned in steely pines
And flown away, far, far from the mind,
Ceases to be in the cosmos free, trapped by hate
And invisibility, objectively all, subjectively none.
moemoe May 2019
Des plus profonds des océans
Et du haut du ciel
Plus forts et plus ardents mes désirs sont
Tu me fais face avec ton sourire tout beau tout miel
Je me perds alors dans mes émotions
Intrigué, je t'observe comme un bel oiseau battant des ailes
Dans tes yeux brillent mille lueurs de satisfaction
Dans les miens dansent mille et un rayons de de lumière
Chaleur et douceur
Nul besoin de croire en son destin
Nul besoin de lire Hugo ou Voltaire pour te dire que tu es belle
Nul besoin d'attendre pour prendre part à ce doux festin
Eva Oct 2014
Ouvre tes yeux, ouvre les aux miens
Yeux de tigre pour le bleu des tiens
Peaux pâles, fondant dans les draps
Vois cette fille unique, vois moi que moi
Je ne resterai pas longtemps tu uses tes chances
Avant que de mon cœur je n’arrache ta lance
Cours étranger, cours, ou je ne serai plus là
Plus longtemps que ça Je ne te tolèrerai pas
S’il te plait regarde devant toi
Et vois ce cadeau tendu à bout de bras :
Je t’offre mon cœur comme un appât.
Ma petite Nymphe Macée,
Plus blanche qu'ivoire taillé,
Plus blanche que neige amassée.
Plus blanche que le lait caillé,
Ton beau teint ressemble les lis
Avecque les roses cueillis.

Découvre-moi ton beau chef-d'œuvre,
Tes cheveux où le Ciel, donneur
Des grâces, richement découvre
Tous ses biens pour leur faire honneur ;
Découvre ton beau front aussi,
Heureux objet de mon souci.

Comme une Diane tu marches,
Ton front est beau, tes yeux sont beaux,
Qui flambent sous deux noires arches,
Comme deux célestes flambeaux,
D'où le brandon fut allumé,
Qui tout le cœur m'a consumé.

Ce fut ton œil, douce mignonne,
Que d'un fol regard écarté
Les miens encore emprisonne,
Peu soucieux de liberté,
Tous deux au retour du Printemps,
Et sur l'Avril de nos beaux ans.

Te voyant jeune, simple et belle,
Tu me suces l'âme et le sang ;
Montre-moi ta rose nouvelle,
Je dis ton sein d'ivoire blanc,
Et tes deux rondelets tétons,
Que s'enflent comme deux boutons.

Las ! puisque ta beauté première
Ne me daigne faire merci,
Et me privant de ta lumière,
Prend son plaisir de mon souci,
Au moins regarde sur mon front
Les maux que tes beaux yeux me font.
Butch Decatoria Jul 2016
They're lighting up the north east corner of "the meadows"
practice run with low flying pyrotechnics
Sin city reds and globular silvers like coins exploding
against the new born summer sunset night
while the pillars of cumulonimbus thunderheads claw the desert sky
and like sharp fingers that squeeze a water filled balloon
the roiling fronts will burst and its dark deluge will gush
as the lightning flicker behind the gloom
and the boom of the Gods colliding battle  on high
shakes the earth and bones that languish in its boon...

Let the celebration begin, its 4th of July weekend,
let's recall how this great nation got its independence
by each **** of a fellow immigrant from the Mother Queen's scrutiny
cousin with your race & legacy in mutiny

how odd the madness of the power that deludes and controls
commands without minds finding recognizing similarities
in the Simeon faces of fellowships in God
turned traitorous in the name of freedom & love
how high that pedestal we have built to make idols of
slave owning founders with their profundities of words
to make law a movement, verbs for pride and enforcement
of unjustified bloodletting
See how modivated the stampede
as they rush washed of their guilt to take precious
the lives that have fell without having yet learned to live it

Let us get drunk on ale, and dress up in re-enactment
and cheer the invasion of the land not belonging
nor will ever belong to any mortal man
who will lie in its' skin in the end since life is brief
as a musket flash or saber's slashing the breath from their necks
Let us respectfully remember how putrid the blood
and the diseases that bubbled from therein
Let us celebrate that old America who's governing bodies
as white as the wigs worn in parliament
and lingering still the idolatry of such grand fathers
to dismiss the atrocities then
and ignoring the colors that now myriad
our country's racial profile / face / forward / march...

Can we then presume to celebrate the massacres after
the revolution in its greatness and re-written historical text
to condition the minds of our own
still underdeveloped --so as not to question
Gramp's authority,
or question the miens by which the old hatreds bleached
and soaked itself in the common sense

Can we celebrate the truth?
and in memorium of the old world
when freedom that was fought for
against the powers of powerful governments
we stand thankful now with what this world stands for

Let us dance and sing and hoopla
because we have succeeded in making it
creating that dream of total equally
with every struggle for the truthful peace
there was pain and growth of our nation's reign,
with every war never to be won
we find victory in the lives that discard its old ways
of divide and conquer
Because this is your America,
in debt and desperate for a new balance
and refreshing breath without
from within... the thoughts we collectively share
We are human after all
we are evolved and intelligent
and we can take what ever the **** we want
because we have the best immigrant minds
and we're # 1...

I can hear the popcorn firecrackers
with squealing of children's laughter fading
as the storm sweeps in...

if it is the future we reason
that we fight for, why do we celebrate with dishonesty
and deny ourselves the true face
of a miracle that is this current state ...?

It seems that it is and will become too loud
for anything other than exploding glitter in the sky
and doubt with its enemy - faith
is as silent as the thieves that steal dreams
that shatter like

exploding glitter in the sky...
if only awe was as that innocent and meek
when secretly I still wish
"God save the Queen"
and beg for world peace...
Pardonnez-moi, Seigneur, mon visage attristé,
Vous qui l'aviez formé de sourire et de charmes ;
Mais sous le front joyeux vous aviez mis les larmes,
Et de vos dons, Seigneur, ce don seul m'est resté.

C'est le mois envié, c'est le meilleur peut-être :
Je n'ai plus à mourir à mes liens de fleurs ;
Ils vous sont tous rendus, cher auteur de mon être,
Et je n'ai plus à moi que le sel de mes pleurs.

Les fleurs sont pour l'enfant ; le sel est pour la femme ;
Faites-en l'innocence et trempez-y mes jours.
Seigneur ! quand tout ce sel aura lavé mon âme,
Vous me rendrez un coeur pour vous aimer toujours !

Tous mes étonnements sont finis sur la terre,
Tous mes adieux sont faits, l'âme est prête à jaillir,
Pour atteindre à ses fruits protégés de mystère
Que la pudique mort a seule osé cueillir,

Ô Sauveur ! soyez tendre au moins à d'autres mères,
Par amour pour la vôtre et par pitié pour nous !
Baptisez leurs enfants de nos larmes amères,
Et relevez les miens tombés à vos genoux !

Que mon nom ne soit rien qu'une ombre douce et vaine,
Qu'il ne cause jamais ni l'effroi ni la peine !
Qu'un indigent l'emporte après m'avoir parlé
Et le garde longtemps dans son coeur consolé !
Ni de son chef le trésor crépelu,
Ni de son ris l'une et l'autre fossette,
Ni l'embonpoint de sa gorge grassette,
Ni son menton rondement fosselu,

Ni son bel oeil que les miens ont voulu
Choisir pour prince à mon âme sujette,
Ni son beau sein dont l'Archerot me jette
Le plus aigu de son trait émoulu,

Ni son beau corps, le logis des Charites,
Ni ses beautés en mille coeurs écrites,
N'ont esclavé ma libre affection.

Seul son esprit, où tout le ciel abonde,
Et les torrents de sa douce faconde,
Me font mourir pour sa perfection.
Qui donne au pauvre prête à Dieu.
Victor HUGO.


Dans vos fêtes d'hiver, riches, heureux du monde,
Quand le bal tournoyant de ses feux vous inonde,
Quand partout à l'entour de vos pas vous voyez
Briller et rayonner cristaux, miroirs, balustres,
Candélabres ardents, cercle étoilé des lustres,
Et la danse, et la joie au front des conviés ;

Tandis qu'un timbre d'or sonnant dans vos demeures
Vous change en joyeux chant la voix grave des heures,
Oh ! songez-vous parfois que, de faim dévoré
Peut-être un indigent dans les carrefours sombres
S'arrête, et voit danser vos lumineuses ombres
Aux vitres du salon doré ?

Songez-vous qu'il est là sous le givre et la neige,
Ce père sans travail que la famine assiège ?
Et qu'il se dit tout bas : « Pour un seul, que de biens !
À son large festin que d'amis se récrient !
Ce riche est bien heureux, ses enfants lui sourient.
Rien que dans leurs jouets, que de pain pour les miens ! »

Et puis à votre fête il compare en son âme
Son foyer où jamais ne rayonne une flamme,
Ses enfants affamés, et leur mère en lambeau,
Et sur un peu de paille, étendue et muette,
L'aïeule, que l'hiver, hélas ! a déjà faite
Assez froide pour le tombeau.

Car Dieu mit ses degrés aux fortunes humaines,
Les uns vont tout courbés sous le fardeau des peines ;
Au banquet du bonheur bien peu sont conviés ;
Tous n'y sont point assis également à l'aise,
Une loi, qui d'en bas semble injuste et mauvaise,
Dit aux uns : Jouissez ! aux autres : ENVIEZ !

Cette pensée est sombre, amère, inexorable,
Et fermente en silence, au coeur du misérable.
Riches, heureux du jour, qu'endort la volupté,
Que ce ne soit pas lui qui des mains vous arrache,
Tous ces biens superflus où son regard s'attache ;
Oh ! que ce soit la charité !

L'ardente charité, que le pauvre idolâtre !
Mère de ceux pour qui la fortune est marâtre,
Qui relève et soutient ceux qu'on foule en passant,
Qui, lorsqu'il le faudra, se sacrifiant toute,
Comme le Dieu martyr dont elle suit la route,
Dira : Buvez, mangez ! c'est ma chair et mon sang !

Que ce soit elle, oh ! oui, riches, que ce soit elle
Qui, bijoux, diamants, rubans, hochets, dentelle,
Perles, saphirs, joyaux toujours faux, toujours vains,
Pour nourrir l'indigent et pour sauver vos âmes,
Des bras de vos enfants et du sein de vos femmes
Arrache tout à pleines mains !

Donnez, riches ! L'aumône est soeur de la prière,
Hélas ! quand un vieillard, sur votre seuil de pierre,
Tout roidi par l'hiver, en vain tombe à genoux ;
Quand les petits enfants, les mains de froid rougies,
Ramassent sous vos pieds les miettes des ******,
La face du Seigneur se détourne de vous.

Donnez ! afin que Dieu, qui dote les familles,
Donne à vos fils la force, et la grâce à vos filles ;
Afin que votre vigne ait toujours un doux fruit ;
Afin qu'un blé plus mûr fasse plier vos granges ;
Afin d'être meilleurs ; afin de voir les anges
Passer dans vos rêves la nuit.

Donnez, il vient un jour où la terre nous laisse.
Vos aumônes là-haut vous font une richesse,
Donnez, afin qu'on dise : Il a pitié de nous !
Afin que l'indigent que glacent les tempêtes,
Que le pauvre qui souffre à côté de vos fêtes,
Au seuil de vos palais fixe un oeil moins jaloux.

Donnez ! pour être aimés du Dieu qui se fit homme,
Pour que le méchant même en s'inclinant vous nomme,
Pour que votre foyer soit calme et fraternel ;
Donnez ! afin qu'un jour, à votre heure dernière,
Contre tous vos péchés vous ayez la prière
D'un mendiant puissant au ciel.

Janvier 1830.
Jenny Gordon Dec 2018
How many days ago was it blizzard conditions?!



(sonnet #MMMMMMMDXLV)


If warmth and rain conspired t'undo the hale
White blanket flung across these wastes, til hence
The silver puddles shine with ghastly thence
And wan miens like the moon, how in betrayl
Lawns late unmasked lie with an air of frail
Hopes violets soon shall wink, snow islands' sense
Of being alone upon that sea from whence
There's no return, forlorn like March'd prevail.
Blue skies for sweetest minutes peer in tour
Twixt greyer cloud racks like the waking view
Might have a softer breath in tow as twere,
While Daddy pulls espressos foamed milk to
Effect crowns with an April note.  Tis poor
Tae think December's gentle, but how'd woo.

02Dec18a
Kick me, but I'm loving it.
Dave Hardin Oct 2016
Our Science Film

Autumn colors leave me
Pining for black and white
Grammar school reel to reel
Science films snaking through
Rackety Cold War projectors
Chalk motes swarming
Cones of gibbering light
Can-do voice-overs
Always a hiccup off
Read by radio men
Sporting pale miens
Pie plate headphones
Brylcreem slick
Perhaps a Scholastic
Short featuring winsome
Child actors playing
You and me
Button noses
Wrinkled in stricken
Joy at a baby bunny
Wide eyed and stock still
In an apple crate
Beneath an apple tree
Leaves schooling in binary
Shimmer on the summer
Breeze blowing through our film
An introduction to photosynthesis
Or the metamorphosis of caterpillars
It matters little to you
Beribboned in gingham
Or me flying flapping
Dungarees
Platinum hair
Whipping our faces
Sky a china white
Behind ivory billows
Framed forever
Dimpled and laughing
Milkweed exploding
From our fingers like secrets
Shared in alabaster
Sign language.
Fable VIII, Livre V.


« Laridon, soit dit sans reproche,
C'est un sot métier que le tien, »
Disait un écureuil à certain citoyen
Qui de son espèce était chien
Et de son métier tournebroche.
« Pardon, petit ami, pardon ;
« Mais ce que tu dis là, répond le Laridon,
« On le dirait peut-être avec plus de justice,
« Du métier que le long du jour
« Tu fais enfermé dans ce tour.
« - Ce n'est pas un métier ; ce n'est qu'un exercice.
« - J'estime autant l'oisiveté.
« Cesse de tirer vanité
« De consommer ta force en efforts si futiles ;
« Et méprise un peu moins mon humble activité.
« Tous tes pas sont perdus ; tous les miens sont utiles. »
Ruby Nemo Mar 2018
Donne moi du temps
Mais fais le pas durer pour toujours
On a reçu la même opportunité
Mais je te laisse l'avoir cette fois
Juste rencontre moi là
Trente secondes jusqu'à quatre
Je me placerais dans tes rêves
Et te donnerais le goût de la liberté
Peut-être que je peux changer ton avis
Peut-être que tu changeras le miens
Butch Decatoria Nov 2017
Often times when reading the messages
poets metaphor in rhyme,
in reason and allusions and imagery

they say the same thing--as if they all of 'em took
a class together on love

they say "love is relative..."

relative to what?
to whom or how or when?
like a family member twice removed,
an aunt, a grandmother's warm smiling
invitingly familial

be it an impromptu emotion, described grandiose
and Hollywood acclaimed,
love seems
     obscure
     demure
     fickle at times
     wishful
     blissful
     fervent even
     magically
     restless
     with its deliciousness
on and on so it goes / without saying too  much
how it will breathe
new life into those
     lackluster
those without
yet who are
     consumed    
     hollow
those without hope, suddenly are given it
     anew
     vividness
     An energy miraculously appears,
In HD the world is seen / absolute brightness
faultless and star-filled
     clear..

Yet it well can cause
our worst of fears
of wars / casualties / gruesome endings
   tragedies
   :a movie
with Shakespearean poetic pain,
the pentameter of the mortal heart
   sonnets of our human condition
   :a documentary
   of life
   conflicted
it is a cause many have and will bleed
for, some even die for,
searching and reaching out
whether in vain
or suffering in the pain find
awakenings
Then again
that's what it's all about ...

it is relative, to what or why
in life,
     pragmatic,
     fractal
human feelings reign -  yet a populace
of loneliness, millions of neighbors
never extend an open hand or invitation
so love can be difficult to find

in the sea of Man,
of many  a world separated
it strikes like lightning, they cliche
     quick
     unannounced
     unstable
it happens without warning, cupid's arrow
hits, descriptively it must be a wound..?

yes / yet no / unknown

it has begun: an end
to a means - a chemical thing
(hypothesized
in scientific circles,
I guess
just one of those undefined
Unexplainables)

like crop circles
in the wheat fields of the heart it is
sometimes
unpredictably appears
     obscene
     wild
     flavorful
     rigid
     rarely
     mean
     spirited
     ferocity
at times...
all the while

in nature's law of strength versus luck,
small prey to a predator : eat or be consumed,
love is not recognized (or is it? by the animal)
mate and procreate in their simplest terms.
Does a shark check out it's female before it decides
to release his *****--take it on a date, a swim in the riptides?
a bite of sushi first?

Empress bees and others with their queen-ruled colonies
birth a world from one,
does she feel the same for her thousands of husbands
fathers of her millions of children spawned?

love is relative... love is blind
another descriptive fallacy
invented by folk without husband or wife or vision
nor same-*** partners : universally
known in these modern communities
of man-made homes
and tomes ...
blind ... as if like a person, the word
unable to see,
inept of decisions, making a finale,

who will stay by the miens of our simplicity
flesh and feelings
     silent servants
     beguiling
     hidden
     treasures

Now imagine lightning striking
     suddenly
     real
     unabashed
     fulfilling
     electrifying
     sensual  
     salivation

far beyond restrictions of the flesh/ ***,
past times and her finite
musings, they say it will go on and on

"forev'a ev'a? forev'a ev'ah"

so it goes / the song repeatedly plays.
so then i say, as long as we are
still the masters
of this life's age, kings of consciousness,
of intelligence and rage
Love tho'
     fleeting
     Careless
     Whispers
It’s like
     Being
     Liked
     Obsessed over
     quenching kissed
All yours
     lessons-learned
Feeling aloft in flight
Love
will stay  

And as witnesses to war
or after : in peaceful days,

O the one true thing

I have seen of love's relativity:
love is relative to humans
and our
being
whether blind or whether seeing
It’s yours and mine
Divinely seeking.



(Free of will & full of meaning
Love is the truth
All Life is feeling...)
Edit and final .
Aditya Roy Feb 2019
The city lights look beautiful today
The setting seems right
That this very day
I would meet my nemesis
On these last hours of

My arrival has been expected
I'm a stranger to myself
I'm your worst nightmare
I am your lucid dream

Seizing the city lights by their electricity
I'm the light of your days
I live within those shadows you avoid
I live in the souls devoid
I am today

The one your terrible fears turned into reality
I'm the work that you do
I'm the food you eat
I'm on your mind all time
Even when I'm away from all this talk of pennies and dimes

The city lights break evenly
I'm your motivation
Why are you so scared of me dear
I'm right there beside thee
Beside your hurried motion

Hiding in the scenery
Because time is an illusion
You can be in the look for better things
Friends leave you
Enemies make you their pre-occupation

But, when the curtain calls
There is no one answer
Because you worked in the theatre
And my worst rival didn't have a job
I gave him mine

Today
I prayed for the enemy
I hope he is better for everybody
You know why
Because if he were me
If he knew the love we shared

The kisses that I lost
The love and the lust
Your affection
My nostalgia
You were the love I once

My lost love
How does the light of the sunshine
Rest on those beautiful shoulders under the pale pallor of pleasant Pulchritude
I found my bliss amongst the stars of solitude
Solitude is a dear devotion
It enraptures a crowd
It needs a loud rabble
A commotion
To make it more pleasant

I love silence
For it can drive out my inner desires
For company
My friends
My girlfriends
Come from the same bookends
Bookmarks which we call destiny
As old conversation of the curtain on the cusp of her miens
She stares outside the window shyly
Her name lovely as the summer breeze
She feels her nerves pulsating
Letting lips quiver slightly
Her lover touches her *****
Slyly caressing his neck against her chin
His shin rather pleasant placed against her skin
He takes his pants off
Kisses her while she laughs
Her gelid calm brings a look of icy green
This Greecian God is gonna live forever
His princess is gonna love him
For his good nature
THoughts remain supple
******* remain a whisper
Her spirited ride against his saddle
She often straddles him with her bare buttocks
Safe to say they've had large assets for the sensuous love-making
This is a scene of serenity
For most with a love for dignity
He gently comes
As love whispers
"I love you"
Love was my enemy
Gets better with the lines, trust me <3
De ses fuseaux légèrement blessée,
D'où vient qu'Isaure a regardé vers toi ?
J'allais courir à ses cris empressée,
J'allais courir... Mais tu cours mieux que moi.

Pourquoi tes yeux, pleins d'une pitié tendre,
Sont-ils restés si longtemps sur les siens ?
D'où vient qu'Isaure a paru les entendre ?
Qu'ils me font mal sur d'autres que les miens !

Que je fus triste en la voyant sourire !
Que je tremblai quand tu soutins ses pas !
Tu la plaignais... Que n'ai-je osé te dire :
« C'est moi qui souffre, et tu ne le vois pas ! »

Tu pris sa main, tu cherchas sa blessure,
Pour la guérir, tu la couvris de fleurs ;
C'étaient mes fleurs ! Elle est mieux, j'en suis sûre.
Pourquoi faut-il qu'il m'en coûte des pleurs ?
Hier j'étais à table avec ma chère belle,

Ses deux pieds sur les miens, assis en face d'elle,

Dans sa petite chambre ; ainsi que dans leur nid

Deux ramiers bienheureux que le bon Dieu bénit.

C'était un bruit charmant de verres, de fourchettes,

Comme des becs d'oiseaux, picotant les assiettes ;

De sonores baisers et de propos joyeux.

L'enfant, pour être à l'aise, et régaler mes yeux,

Avait ouvert sa robe, et sous la toile fine

On voyait les trésors de sa blanche poitrine ;

Comme les seins d'Isis, aux contours ronds et purs,

Ses beaux seins se dressaient, étincelants et durs,

Et, comme sur des fleurs des abeilles posées,

Sur leurs pointes tremblaient des lumières rosées ;

Un rayon de soleil, le premier du printemps,

Dorait, sur son col brun, de reflets éclatants ;

Quelques cheveux follets, et de mille paillettes

D'un verre de cristal allumant les facettes,

Enchâssait un rubis dans la pourpre du vin.

Oh ! Le charmant repas ! Oh ! Le rayon divin !

Avec un sentiment de joie et de bien-être

Je regardais l'enfant, le verre et la fenêtre ;

L'aubépine de mai me parfumait le cœur,

Et, comme la saison, mon âme était en fleur ;

Je me sentais heureux et plein de folle ivresse,

De penser qu'en ce siècle, envahi par la presse,

Dans ce Paris bruyant et sale à faire peur,

Sous le règne fumeux des bateaux à vapeur,

Malgré les députés, la Charte et les ministres,

Les hommes du progrès, les cafards et les cuistres,

On n'avait pas encore supprimé le soleil,

Ni dépouillé le vin de son manteau vermeil ;

Que la femme était belle et toujours désirable,

Et qu'on pouvait encore, les coudes sur la table,

Auprès de sa maîtresse, ainsi qu'aux premiers jours,

Célébrer le printemps, le vin et les amours.
Et maintenant, aux Fesses !

Je veux que tu confesses,

Muse, ces miens trésors

Pour quels - et tu t'y fies -

Je donnerais cent vies

Et, riche, tous mes ors

Avec un tas d'encors.


Mais avant la cantate

Que mes âme et prostate

Et mon sang en arrêt

Vont dire à la louange

De son cher Cul que l'ange,

O déchu ! saluerait,

Puis il l'adorerait,


Posons de lentes lèvres

Sur les délices mièvres

Du dessous des genoux,

Souple papier de Chine,

Fins tendons, ligne fine

Des veines sans nul pouls

Sensible, il est si doux !


Et maintenant, aux Fesses !

Déesses de déesses,

Chair de chair, beau de beau.

Seul beau qui nous pénètre

Avec les seins, peut-être.

D'émoi toujours nouveau,

Pulpe dive, alme peau !


Elles sont presques ovales,

Presque rondes. Opales,

Ambres, roses (très peu)

S'y fondent, s'y confondent

En blanc mat que répondent

Les noirs, roses par jeu,

De la raie au milieu.


Déesses de déesses !

Du repos en liesses,

De la calme gaîté,

De malines fossettes

Ainsi que des risettes,

Quelque perversité

Dans que de majesté... !


Et quand l'heure est sonnée

D'unir ma destinée

A Son Destin fêté,

Je puis aller sans crainte

Et bien tenter l'étreinte

Devers l'autre côté :

Leur concours m'est prêté.


Je me dresse et je presse

Et l'une et l'autre fesse

Dans mes heureuses mains.

Toute leur ardeur donne,

Leur vigueur est la bonne

Pour aider aux hymens

Des soirs aux lendemains...


Ce sont les reins ensuite,

Amples, nerveux qu'invite

L'amour aux seuls élans

Qu'il faille dans ce monde,

C'est le dos gras et monde,

Satin tiède, éclairs blancs.

Ondulements troublants.


Et c'est enfin la nuque

Qu'il faudrait être eunuque

Pour n'avoir de frissons,

La nuque damnatrice,

Folle dominatrice

Aux frisons polissons

Que nous reconnaissons.


Ô nuque proxénète,

Vaguement déshonnête

Et chaste vaguement,

Frisons, joli symbole

Des voiles de l'Idole

De ce temple charmant,

Frisons chers doublement !
NGANGO HONORÉ Sep 2021
Si je veux que ma destinée ne soit pas semblable à  un jour de pluie
Je dois pas investir dans un parapluie
Mais plustot prendre ce que je considère comme la petite chose que je fais maintenant au sérieux,
Elle doit être productive pas seulement en billets
Elle doit aussi sinon donner du sens a ma vie
Je dois me dire qu'un jour je regarderai derrière et avec un sourire je benirai Dieu pour la force qu'il m'a donné de tenir bon
Il ya que Lui mon Abris mon Défenseur mon admirable Conseiller

A cela je doit ajouter
Que je raconterai mon Histoire pour encourager
Que j'écrirais ma bibliographie pour aménager les esprits
Je donnerai mon témoignage pour inspirer
Et je prendrai  exemple sur moi-même pour aspirer a plus grand

Aujourd'hui je suis convaincue que
Je ne dois pas lire les bibliographie de mes patriarches pour comprendre la clé de leur succès
Je dois les lire  pour avoir un aperçu des obstacles et des monstres auquelles je ferai face pendant mon ascension, et m'attendre a ce que les miens soit plus féroces
Ou prier pour cela

Aujourd'hui je demande a la vie de ne pas me sourir
Je lui promets que demain je lui sourirait en lui disant merci de n'avoir pas été facile avec moi
D'avoir été un enseignant impartiale
NGANGO HONORÉ Mar 2021
Lyn
Une vie a moi
Une  vie pour toi
Pourquoi ne pas les unir pour en faire une a
                                                               ­   nous
Les partager pour pour en faire un futur a
                                                                ­  nous

Vivre l'existence
Existons quand le ton est agréable ou
                                                            non

S'il est capable d'unifier nos idées
                                           nos points de vues
                                           nos perspectives
                                           ambitions et
                                           projets futur

Alors je te promets d'être la jusqu'à mon
                                           dernier souffle



Souffler pour toi
M'essoufler pour toi
Jamais ésseuler  je serai
Si tu me donne cette garantie
La vie me donnera toujours d'être la
                                                  plus nantie

Je te promettrai pas le ciel avec moi
Je te soumettrai non plus a l'enfer
Je serai la Je serai lui
Lui que ta connu
Et que ta voulu

Pour lui t'es l'élu
Le joyaux perçu au ****
Qui vaut l'éloignement des plus loyales
Si le tout puissant ayant apposé son cachet
                                            ils s'oppose toujours



Je remercie le Ciel
Les miens sont tiens
Parviendrons nous au but Ultime
                         un sans pour l'Ultime
Hello guys
Je suis enceinte de toi
Je suis le coq pondeur
Mes oeufs sont bleus outre-mer
Et ma gemme est couleur bordeaux.

Tu veux que je te ponde
Que je pullule en toi
A tire larigot
Jusqu'à ce que j'accouche des jumeaux
Ulysse et Olguta,
Bambins dodus aux fesses potelées,
Qui nous ressemblent comme deux coquilles
Et qui concrétisent notre attirance cosmique.

Chaque poème que je ponds est un voyage en germe vers La Médéléni
L'île, l'atoll fétiche en mer d'Aménorrhée
Où flotte le sentiment complice d'être amants depuis toujours.

Chaque Ulysse que je ponds
Chaque Olguta
Naît dans ce va-et-viens de retrouvailles
Physiques et charnelles
Nu et complètement dessiné dans le miroir.

Je suis enceinte de toi
Et je reconnais tiens et miens
Et je légitime devant témoins,
Attendu qu'ils ne sont ni incestueux ni adultérins,
Olguta comme Ulysse
Enfants naturels
Dans ton livre fétiche
Rempli d'aphorismes.
Nonn Dec 2018
Où es tu allé, mon petit poète?
tu es disparu, comme les rayons de soleil,
si brillants,
que je voyais au ciel cet été.
mais
l'été, c'est passé,
disparu,
parti,
vraiment comme toi.

les petits, trop longues boucles de tes cheveux
m'enchanteraient beaucoup,
une fois--
elles étaient les amants du soleil.

tes yeux, ces yeux verts qui répresentaient l'entière de la nature,
qui étaient réfléchis dans les miens,
une fois,
maintentant ils sont tournés vers le soleil, j'espère
comme moi
toujours

c'était toi
qui était mon soleil de terre
t'étais Apollo
et je suis Clytie, ton oubliée


(c) 2018 Indigo Kenna
Butch Decatoria Aug 2020
Often times when reading the messages
poets metaphor in rhyme,
in unreason and allusions, imagery
indiscriminate discriptors

they say the same thing--as if they all of 'em took
a class together on love
they say that it’s unreal
That “love is relative..."
relative to what?

to whom or how or when?
like a family member twice removed,
an aunt, a grandmother's warm smiling
invitingly familial
be it an impromptu emotion, all grandiose
and Hollywood acclaimed,
love seems unseemingly
     obscure
     demure
     fickle at times
     wishful
     blissful
     fervent even
     magically
     restless
     with its deliciousness
on and on so it goes / without saying too  much
how it will breathe
new life into those
     lackluster
those without
yet who are
     consumed    
     hollow
those without hope, suddenly are given it
     anew
     vividness
     An energy miraculously appears,
In HD the world is seen / absolute brightness
faultless and star-filled
     clear..

Yet it well can cause
our worst of fears
of wars / casualties / gruesome endings
   tragedies
   :a movie
with Shakespearean poetic pain,
the pentameter of the mortal heart
   sonnets of our human condition
   :a documentary
   of life
   conflicted
it is a cause many have and will bleed
for, some even die for,
searching and reaching out
whether in vain
or suffering in the pain find
awakenings
Then again
that's what it's all about ...

it is relative, to what or why
in life,
     pragmatic,
     fractal
human feelings reign -  yet a populace
of loneliness, millions of neighbors
never extend an open hand or invitation
so love can be difficult to find

in the sea of Man,
of many  a world separated
it strikes like lightning, they cliche
     quick
     unannounced
     unstable
it happens without warning, cupid's arrow
hits, descriptively it must be a wound..?

yes / yet no / unknown

it has begun: an end
to a means - a chemical thing
(hypothesized
in scientific circles,
I guess
just one of those undefined
Unexplainables)

like crop circles
in the wheat fields of the heart /
sometimes / it is
unpredictable
Then appears
Somewhat
              obscene
     wild
             flavorful
     rigid
     rarely mean
     spirited
     ferocious
at times... fiercely
      all while
Still / timeless...yet
in nature's laws
of strength versus luck,
small prey to a predator : eat or be consumed,
love is not recognized (or is it?) by the animal

It’s mate and procreate in the simplest terms.
Does a shark check out it's female before it decides
to release his *****--take it on a date, a swim in the riptides?
a bite of sushi first?

Empress bees and others with their queen-ruled colonies
birth a world from one,
does she feel the same for her thousands of husbands
fathers of her millions of children spawned?

love is relative... love is blind
another descriptive fallacy
invented by folk without husband or wife or vision
universally
known in these modern communities
of man-made homes
and tomes ...
blind ... as if like a person, the word
unable to see,
inept of decisions, making a finale,

who will stay by the miens of our simplicity
flesh and feelings
     silent servants
     beguiling
     hidden
     treasures

Now imagine lightning striking
     suddenly
     real
     unabashed
     fulfilling
     electrifying
     sensual  
     salivation
far beyond restrictions of the flesh/ *** /
past times and her finite
musings, they say it will go on and on

"forev'a ev'a? forev'a ev'ah"

And so it goes / the song repeatedly plays.
so then i say, as long as we are
still the masters
of this life's age, kings of consciousness,
of intelligence and rage
Love tho'
     fleeting
     Careless
     Whispers
It’s like
     Being
     Liked
     Obsessed over
     quenching kissed
All yours
     lessons-learned
Feeling aloft in flight
Love
will stay  
as a witness to war
or afterward in peaceful days,
O the one true thing
I have seen of love's relativity:
love is relative to humans

To our
Very being
whether blind or whether seeing
It’s yours and mine
Soul seeking

Free of will & full of meaning
Love is the truth
All Life is feeling...
Retitled. Repost.

— The End —