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suppose
Life is an old man carrying flowers on his head.

young death sits in a café
smiling,a piece of money held between
his thumb and first finger

(i say “will he buy flowers” to you
and “Death is young
life wears velour trousers
life totters,life has a beard” i

say to you who are silent.—”Do you see
Life?he is there and here,
or that, or this
or nothing or an old man 3 thirds
asleep,on his head
flowers,always crying
to nobody something about les
roses les bluets
                    yes,
                              will He buy?
Les belles bottes—oh hear
,pas chères”)

and my love slowly answered I think so.  But
I think I see someone else

there is a lady,whose name is Afterwards
she is sitting beside young death,is slender;
likes flowers.
Giani LaDavia Apr 2012
The words from man’s mouth expire into deep waters, but maybe you can hear me out.
Underneath salvation skies, I can see the darkness in your eyes.
I can still remember the sound of the acoustic guitar as we danced and the minutes flying by.

I can still taste the champagne on your lips from our first year’s kiss.
Has anyone ever told you the meaning behind angels and belles?
Sometimes it feels as though my own answers don’t reimburse me satisfaction.
In this arctic moment, my heart freezes when I touch your hand and all that’s left is your heavy breathing.

I watch from the sidelines as life passes by and I can barely taste it.
Days and nights live together in my head.
My only desire is to untie and expose our emotions then explore our minds.
Has anyone ever told you the meaning behind angels and belles?
I.

Hélas ! que j'en ai vu mourir de jeunes filles !
C'est le destin. Il faut une proie au trépas.
Il faut que l'herbe tombe au tranchant des faucilles ;
Il faut que dans le bal les folâtres quadrilles
Foulent des roses sous leurs pas.

Il faut que l'eau s'épuise à courir les vallées ;
Il faut que l'éclair brille, et brille peu d'instants,
Il faut qu'avril jaloux brûle de ses gelées
Le beau pommier, trop fier de ses fleurs étoilées,
Neige odorante du printemps.

Oui, c'est la vie. Après le jour, la nuit livide.
Après tout, le réveil, infernal ou divin.
Autour du grand banquet siège une foule avide ;
Mais bien des conviés laissent leur place vide.
Et se lèvent avant la fin.

II.

Que j'en ai vu mourir ! - L'une était rose et blanche ;
L'autre semblait ouïr de célestes accords ;
L'autre, faible, appuyait d'un bras son front qui penche,
Et, comme en s'envolant l'oiseau courbe la branche,
Son âme avait brisé son corps.

Une, pâle, égarée, en proie au noir délire,
Disait tout bas un nom dont nul ne se souvient ;
Une s'évanouit, comme un chant sur la lyre ;
Une autre en expirant avait le doux sourire
D'un jeune ange qui s'en revient.

Toutes fragiles fleurs, sitôt mortes que nées !
Alcyions engloutis avec leurs nids flottants !
Colombes, que le ciel au monde avait données !
Qui, de grâce, et d'enfance, et d'amour couronnées,
Comptaient leurs ans par les printemps !

Quoi, mortes ! quoi, déjà, sous la pierre couchées !
Quoi ! tant d'êtres charmants sans regard et sans voix !
Tant de flambeaux éteints ! tant de fleurs arrachées !...
Oh ! laissez-moi fouler les feuilles desséchées,
Et m'égarer au fond des bois !

Deux fantômes ! c'est là, quand je rêve dans l'ombre,
Qu'ils viennent tour à tour m'entendre et me parler.
Un jour douteux me montre et me cache leur nombre.
A travers les rameaux et le feuillage sombre
Je vois leurs yeux étinceler.

Mon âme est une sœur pour ces ombres si belles.
La vie et le tombeau pour nous n'ont plus de loi.
Tantôt j'aide leurs pas, tantôt je prends leurs ailes.
Vision ineffable où je suis mort comme elles,
Elles, vivantes comme moi !

Elles prêtent leur forme à toutes mes pensées.
Je les vois ! je les vois ! Elles me disent : Viens !
Puis autour d'un tombeau dansent entrelacées ;
Puis s'en vont lentement, par degrés éclipsées.
Alors je songe et me souviens...

III.

Une surtout. - Un ange, une jeune espagnole !
Blanches mains, sein gonflé de soupirs innocents,
Un œil noir, où luisaient des regards de créole,
Et ce charme inconnu, cette fraîche auréole
Qui couronne un front de quinze ans !

Non, ce n'est point d'amour qu'elle est morte : pour elle,
L'amour n'avait encor ni plaisirs ni combats ;
Rien ne faisait encor battre son cœur rebelle ;
Quand tous en la voyant s'écriaient : Qu'elle est belle !
Nul ne le lui disait tout bas.

Elle aimait trop le bal, c'est ce qui l'a tuée.
Le bal éblouissant ! le bal délicieux !
Sa cendre encor frémit, doucement remuée,
Quand, dans la nuit sereine, une blanche nuée
Danse autour du croissant des cieux.

Elle aimait trop le bal. - Quand venait une fête,
Elle y pensait trois jours, trois nuits elle en rêvait,
Et femmes, musiciens, danseurs que rien n'arrête,
Venaient, dans son sommeil, troublant sa jeune tête,
Rire et bruire à son chevet.

Puis c'étaient des bijoux, des colliers, des merveilles !
Des ceintures de moire aux ondoyants reflets ;
Des tissus plus légers que des ailes d'abeilles ;
Des festons, des rubans, à remplir des corbeilles ;
Des fleurs, à payer un palais !

La fête commencée, avec ses sœurs rieuses
Elle accourait, froissant l'éventail sous ses doigts,
Puis s'asseyait parmi les écharpes soyeuses,
Et son cœur éclatait en fanfares joyeuses,
Avec l'orchestre aux mille voix.

C'était plaisir de voir danser la jeune fille !
Sa basquine agitait ses paillettes d'azur ;
Ses grands yeux noirs brillaient sous la noire mantille.
Telle une double étoile au front des nuits scintille
Sous les plis d'un nuage obscur.

Tout en elle était danse, et rire, et folle joie.
Enfant ! - Nous l'admirions dans nos tristes loisirs ;
Car ce n'est point au bal que le cœur se déploie,
La centre y vole autour des tuniques de soie,
L'ennui sombre autour des plaisirs.

Mais elle, par la valse ou la ronde emportée,
Volait, et revenait, et ne respirait pas,
Et s'enivrait des sons de la flûte vantée,
Des fleurs, des lustres d'or, de la fête enchantée,
Du bruit des vois, du bruit des pas.

Quel bonheur de bondir, éperdue, en la foule,
De sentir par le bal ses sens multipliés,
Et de ne pas savoir si dans la nue on roule,
Si l'on chasse en fuyant la terre, ou si l'on foule
Un flot tournoyant sous ses pieds !

Mais hélas ! il fallait, quand l'aube était venue,
Partir, attendre au seuil le manteau de satin.
C'est alors que souvent la danseuse ingénue
Sentit en frissonnant sur son épaule nue
Glisser le souffle du matin.

Quels tristes lendemains laisse le bal folâtre !
Adieu parure, et danse, et rires enfantins !
Aux chansons succédait la toux opiniâtre,
Au plaisir rose et frais la fièvre au teint bleuâtre,
Aux yeux brillants les yeux éteints.

IV.

Elle est morte. - A quinze ans, belle, heureuse, adorée !
Morte au sortir d'un bal qui nous mit tous en deuil.
Morte, hélas ! et des bras d'une mère égarée
La mort aux froides mains la prit toute parée,
Pour l'endormir dans le cercueil.

Pour danser d'autres bals elle était encor prête,
Tant la mort fut pressée à prendre un corps si beau !
Et ces roses d'un jour qui couronnaient sa tête,
Qui s'épanouissaient la veille en une fête,
Se fanèrent dans un tombeau.

V.

Sa pauvre mère ! - hélas ! de son sort ignorante,
Avoir mis tant d'amour sur ce frêle roseau,
Et si longtemps veillé son enfance souffrante,
Et passé tant de nuits à l'endormir pleurante
Toute petite en son berceau !

A quoi bon ? - Maintenant la jeune trépassée,
Sous le plomb du cercueil, livide, en proie au ver,
Dort ; et si, dans la tombe où nous l'avons laissée,
Quelque fête des morts la réveille glacée,
Par une belle nuit d'hiver,

Un spectre au rire affreux à sa morne toilette
Préside au lieu de mère, et lui dit : Il est temps !
Et, glaçant d'un baiser sa lèvre violette,
Passe les doigts noueux de sa main de squelette
Sous ses cheveux longs et flottants.

Puis, tremblante, il la mène à la danse fatale,
Au chœur aérien dans l'ombre voltigeant ;
Et sur l'horizon gris la lune est large et pâle,
Et l'arc-en-ciel des nuits teint d'un reflet d'opale
Le nuage aux franges d'argent.

VI.

Vous toutes qu'à ses jeux le bal riant convie,
Pensez à l'espagnole éteinte sans retour,
Jeunes filles ! Joyeuse, et d'une main ravie,
Elle allait moissonnant les roses de la vie,
Beauté, plaisir, jeunesse, amour !

La pauvre enfant, de fête en fête promenée,
De ce bouquet charmant arrangeait les couleurs ;
Mais qu'elle a passé vite, hélas ! l'infortunée !
Ainsi qu'Ophélia par le fleuve entraînée,
Elle est morte en cueillant des fleurs !

Avril 1828.
Laurent Oct 2015
Aimons toujours ! Aimons encore !
Quand l'amour s'en va, l'espoir fuit.
L'amour, c'est le cri de l'aurore,
L'amour c'est l'hymne de la nuit.

Ce que le flot dit aux rivages,
Ce que le vent dit aux vieux monts,
Ce que l'astre dit aux nuages,
C'est le mot ineffable : Aimons !

L'amour fait songer, vivre et croire.
Il a pour réchauffer le coeur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon c'est le bonheur !

Aime ! qu'on les loue ou les blâme,
Toujours les grand coeurs aimeront :
Joins cette jeunesse de l'âme
A la jeunesse de ton front !

Aime, afin de charmer tes heures !
Afin qu'on voie en tes beaux yeux
Des voluptés intérieures
Le sourire mystérieux !

Aimons-nous toujours davantage !
Unissons-nous mieux chaque jour.
Les arbres croissent en feuillage ;
Que notre âme croisse en amour !

Soyons le miroir et l'image !
Soyons la fleur et le parfum !
Les amants, qui, seuls sous l'ombrage,
Se sentent deux et ne sont qu'un !

Les poètes cherchent les belles.
La femme, ange aux chastes faveurs,
Aime à rafraîchir sous ses ailes
Ces grand fronts brûlants et réveurs.

Venez à nous, beautés touchantes !
Viens à moi, toi, mon bien, ma loi !
Ange ! viens à moi quand tu chantes,
Et, quand tu pleures, viens à moi !

Nous seuls comprenons vos extases.
Car notre esprit n'est point moqueur ;
Car les poètes sont les vases
Où les femmes versent leur cœurs.

Moi qui ne cherche dans ce monde
Que la seule réalité,
Moi qui laisse fuir comme l'onde
Tout ce qui n'est que vanité,

Je préfère aux biens dont s'enivre
L'orgueil du soldat ou du roi,
L'ombre que tu fais sur mon livre
Quand ton front se penche sur moi.

Toute ambition allumée
Dans notre esprit, brasier subtil,
Tombe en cendre ou vole en fumée,
Et l'on se dit : " Qu'en reste-t-il ? "

Tout plaisir, fleur à peine éclose
Dans notre avril sombre et terni,
S'effeuille et meurt, lis, myrte ou rose,
Et l'on se dit : " C'est donc fini ! "

L'amour seul reste. O noble femme
Si tu veux dans ce vil séjour,
Garder ta foi, garder ton âme,
Garder ton Dieu, garde l'amour !

Conserve en ton coeur,
sans rien craindre,
Dusses-tu pleurer et souffrir,
La flamme qui ne peut s'éteindre.

In English :

Let us love always! Let love endure!
When love goes, hope flies.
Love, that is the cry of the dawn,
Love, that is the hymn of the night.

How does the wave tell the shores,
How does the wind tell the old mountains,
How does the star tell the clouds,
It is with that ineffable phrase: "Let us love"!

Love dreams, lives and believes.
It is to nourish the heart.
A beam greater than glory
And this beam is happiness!

Love! That one may praise them or blame them,
Always, great hearts will love:
Join this youth of the soul
To the youth of your brow!

Love, in order to charm your hours!
In order that one can look into your beautiful eyes
With those voluptuous interiors
Of mysterious smiles!

Let us love always and more!
Let us unite better each day,
Trees grow their foliage;
That our souls should grow in love.

Let us be the mirror and image!
Let us be the flower and the perfume!
Lovers, who are alone beneath the shade,
Feel as two and are but one!

Poets search for beauties.
Woman, angel of pure tastes,
Loves to refresh beneath its wings
These large blazing and dreaming brows.

Come to us, touching beauties!
Come to me, to you, my own, my law!
Angel, come to me when you sing,
And, when you cry, come to me!

We alone understand your ecstasies,
For our spirit does not mock;
For poets are the vases
Where ladies send their hearts.

I, who has not found in the world
That single reality,
I, who lets flee like the wave
All that is only vanity.

I prefer rather than that which enervates
The arrogance of the soldier or the king,
The shadow that you place upon my life
When your brow inclines to me.

All ambition kindled
In our spirit, that subtle brazier,
Crumbles to ashes or flies in smoke,
And one says: "What will remain"?

All pleasure, a flower hardly in blossom
In our dark and tarnished April,
Sheds it's leaves and dies, lily, myrtle or rose,
And one says to oneself: "It is finished"!

Only love remains. O noble lady,
If you want to remain in this base state
Guard your faith, guard your soul,
Guard your God, guard love!

Conserve in your heart, without fearing anything,
If you should cry and suffer,
The flame that cannot be extinguished

And the flower that cannot die!
Victor Marie Hugo (26 February 1802 – 22 May 1885) was a French poet, novelist, and dramatist of the Romantic movement. He is considered one of the greatest and best known French writers. In France, Hugo's literary fame comes first from his poetry but also rests upon his novels and his dramatic achievements. Among many volumes of poetry, Les Contemplations and La Légende des siècles stand particularly high in critical esteem.
Muse of the many-twinkling feet! whose charms
Are now extended up from legs to arms;
Terpsichore!—too long misdeemed a maid—
Reproachful term—bestowed but to upbraid—
Henceforth in all the bronze of brightness shine,
The least a Vestal of the ****** Nine.
Far be from thee and thine the name of *****:
Mocked yet triumphant; sneered at, unsubdued;
Thy legs must move to conquer as they fly,
If but thy coats are reasonably high!
Thy breast—if bare enough—requires no shield;
Dance forth—sans armour thou shalt take the field
And own—impregnable to most assaults,
Thy not too lawfully begotten “Waltz.”

  Hail, nimble Nymph! to whom the young hussar,
The whiskered votary of Waltz and War,
His night devotes, despite of spur and boots;
A sight unmatched since Orpheus and his brutes:
Hail, spirit-stirring Waltz!—beneath whose banners
A modern hero fought for modish manners;
On Hounslow’s heath to rival Wellesley’s fame,
Cocked, fired, and missed his man—but gained his aim;
Hail, moving muse! to whom the fair one’s breast
Gives all it can, and bids us take the rest.
Oh! for the flow of Busby, or of Fitz,
The latter’s loyalty, the former’s wits,
To “energise the object I pursue,”
And give both Belial and his Dance their due!

  Imperial Waltz! imported from the Rhine
(Famed for the growth of pedigrees and wine),
Long be thine import from all duty free,
And Hock itself be less esteemed than thee;
In some few qualities alike—for Hock
Improves our cellar—thou our living stock.
The head to Hock belongs—thy subtler art
Intoxicates alone the heedless heart:
Through the full veins thy gentler poison swims,
And wakes to Wantonness the willing limbs.

  Oh, Germany! how much to thee we owe,
As heaven-born Pitt can testify below,
Ere cursed Confederation made thee France’s,
And only left us thy d—d debts and dances!
Of subsidies and Hanover bereft,
We bless thee still—George the Third is left!
Of kings the best—and last, not least in worth,
For graciously begetting George the Fourth.
To Germany, and Highnesses serene,
Who owe us millions—don’t we owe the Queen?
To Germany, what owe we not besides?
So oft bestowing Brunswickers and brides;
Who paid for ******, with her royal blood,
Drawn from the stem of each Teutonic stud:
Who sent us—so be pardoned all her faults—
A dozen dukes, some kings, a Queen—and Waltz.

  But peace to her—her Emperor and Diet,
Though now transferred to Buonapartè’s “fiat!”
Back to my theme—O muse of Motion! say,
How first to Albion found thy Waltz her way?

  Borne on the breath of Hyperborean gales,
From Hamburg’s port (while Hamburg yet had mails),
Ere yet unlucky Fame—compelled to creep
To snowy Gottenburg-was chilled to sleep;
Or, starting from her slumbers, deigned arise,
Heligoland! to stock thy mart with lies;
While unburnt Moscow yet had news to send,
Nor owed her fiery Exit to a friend,
She came—Waltz came—and with her certain sets
Of true despatches, and as true Gazettes;
Then flamed of Austerlitz the blest despatch,
Which Moniteur nor Morning Post can match
And—almost crushed beneath the glorious news—
Ten plays, and forty tales of Kotzebue’s;
One envoy’s letters, six composer’s airs,
And loads from Frankfort and from Leipsic fairs:
Meiners’ four volumes upon Womankind,
Like Lapland witches to ensure a wind;
Brunck’s heaviest tome for ballast, and, to back it,
Of Heynè, such as should not sink the packet.

  Fraught with this cargo—and her fairest freight,
Delightful Waltz, on tiptoe for a Mate,
The welcome vessel reached the genial strand,
And round her flocked the daughters of the land.
Not decent David, when, before the ark,
His grand Pas-seul excited some remark;
Not love-lorn Quixote, when his Sancho thought
The knight’s Fandango friskier than it ought;
Not soft Herodias, when, with winning tread,
Her nimble feet danced off another’s head;
Not Cleopatra on her Galley’s Deck,
Displayed so much of leg or more of neck,
Than Thou, ambrosial Waltz, when first the Moon
Beheld thee twirling to a Saxon tune!

  To You, ye husbands of ten years! whose brows
Ache with the annual tributes of a spouse;
To you of nine years less, who only bear
The budding sprouts of those that you shall wear,
With added ornaments around them rolled
Of native brass, or law-awarded gold;
To You, ye Matrons, ever on the watch
To mar a son’s, or make a daughter’s match;
To You, ye children of—whom chance accords—
Always the Ladies, and sometimes their Lords;
To You, ye single gentlemen, who seek
Torments for life, or pleasures for a week;
As Love or ***** your endeavours guide,
To gain your own, or ****** another’s bride;—
To one and all the lovely Stranger came,
And every Ball-room echoes with her name.

  Endearing Waltz!—to thy more melting tune
Bow Irish Jig, and ancient Rigadoon.
Scotch reels, avaunt! and Country-dance forego
Your future claims to each fantastic toe!
Waltz—Waltz alone—both legs and arms demands,
Liberal of feet, and lavish of her hands;
Hands which may freely range in public sight
Where ne’er before—but—pray “put out the light.”
Methinks the glare of yonder chandelier
Shines much too far—or I am much too near;
And true, though strange—Waltz whispers this remark,
“My slippery steps are safest in the dark!”
But here the Muse with due decorum halts,
And lends her longest petticoat to “Waltz.”

  Observant Travellers of every time!
Ye Quartos published upon every clime!
0 say, shall dull Romaika’s heavy round,
Fandango’s wriggle, or Bolero’s bound;
Can Egypt’s Almas—tantalising group—
Columbia’s caperers to the warlike Whoop—
Can aught from cold Kamschatka to Cape Horn
With Waltz compare, or after Waltz be born?
Ah, no! from Morier’s pages down to Galt’s,
Each tourist pens a paragraph for “Waltz.”

  Shades of those Belles whose reign began of yore,
With George the Third’s—and ended long before!—
Though in your daughters’ daughters yet you thrive,
Burst from your lead, and be yourselves alive!
Back to the Ball-room speed your spectred host,
Fool’s Paradise is dull to that you lost.
No treacherous powder bids Conjecture quake;
No stiff-starched stays make meddling fingers ache;
(Transferred to those ambiguous things that ape
Goats in their visage, women in their shape;)
No damsel faints when rather closely pressed,
But more caressing seems when most caressed;
Superfluous Hartshorn, and reviving Salts,
Both banished by the sovereign cordial “Waltz.”

  Seductive Waltz!—though on thy native shore
Even Werter’s self proclaimed thee half a *****;
Werter—to decent vice though much inclined,
Yet warm, not wanton; dazzled, but not blind—
Though gentle Genlis, in her strife with Staël,
Would even proscribe thee from a Paris ball;
The fashion hails—from Countesses to Queens,
And maids and valets waltz behind the scenes;
Wide and more wide thy witching circle spreads,
And turns—if nothing else—at least our heads;
With thee even clumsy cits attempt to bounce,
And cockney’s practise what they can’t pronounce.
Gods! how the glorious theme my strain exalts,
And Rhyme finds partner Rhyme in praise of “Waltz!”
Blest was the time Waltz chose for her début!
The Court, the Regent, like herself were new;
New face for friends, for foes some new rewards;
New ornaments for black-and royal Guards;
New laws to hang the rogues that roared for bread;
New coins (most new) to follow those that fled;
New victories—nor can we prize them less,
Though Jenky wonders at his own success;
New wars, because the old succeed so well,
That most survivors envy those who fell;
New mistresses—no, old—and yet ’tis true,
Though they be old, the thing is something new;
Each new, quite new—(except some ancient tricks),
New white-sticks—gold-sticks—broom-sticks—all new sticks!
With vests or ribands—decked alike in hue,
New troopers strut, new turncoats blush in blue:
So saith the Muse: my——, what say you?
Such was the time when Waltz might best maintain
Her new preferments in this novel reign;
Such was the time, nor ever yet was such;
Hoops are  more, and petticoats not much;
Morals and Minuets, Virtue and her stays,
And tell-tale powder—all have had their days.
The Ball begins—the honours of the house
First duly done by daughter or by spouse,
Some Potentate—or royal or serene—
With Kent’s gay grace, or sapient Gloster’s mien,
Leads forth the ready dame, whose rising flush
Might once have been mistaken for a blush.
From where the garb just leaves the ***** free,
That spot where hearts were once supposed to be;
Round all the confines of the yielded waist,
The strangest hand may wander undisplaced:
The lady’s in return may grasp as much
As princely paunches offer to her touch.
Pleased round the chalky floor how well they trip
One hand reposing on the royal hip!
The other to the shoulder no less royal
Ascending with affection truly loyal!
Thus front to front the partners move or stand,
The foot may rest, but none withdraw the hand;
And all in turn may follow in their rank,
The Earl of—Asterisk—and Lady—Blank;
Sir—Such-a-one—with those of fashion’s host,
For whose blest surnames—vide “Morning Post.”
(Or if for that impartial print too late,
Search Doctors’ Commons six months from my date)—
Thus all and each, in movement swift or slow,
The genial contact gently undergo;
Till some might marvel, with the modest Turk,
If “nothing follows all this palming work?”
True, honest Mirza!—you may trust my rhyme—
Something does follow at a fitter time;
The breast thus publicly resigned to man,
In private may resist him—if it can.

  O ye who loved our Grandmothers of yore,
Fitzpatrick, Sheridan, and many more!
And thou, my Prince! whose sovereign taste and will
It is to love the lovely beldames still!
Thou Ghost of Queensberry! whose judging Sprite
Satan may spare to peep a single night,
Pronounce—if ever in your days of bliss
Asmodeus struck so bright a stroke as this;
To teach the young ideas how to rise,
Flush in the cheek, and languish in the eyes;
Rush to the heart, and lighten through the frame,
With half-told wish, and ill-dissembled flame,
For prurient Nature still will storm the breast—
Who, tempted thus, can answer for the rest?

  But ye—who never felt a single thought
For what our Morals are to be, or ought;
Who wisely wish the charms you view to reap,
Say—would you make those beauties quite so cheap?
Hot from the hands promiscuously applied,
Round the slight waist, or down the glowing side,
Where were the rapture then to clasp the form
From this lewd grasp and lawless contact warm?
At once Love’s most endearing thought resign,
To press the hand so pressed by none but thine;
To gaze upon that eye which never met
Another’s ardent look without regret;
Approach the lip which all, without restraint,
Come near enough—if not to touch—to taint;
If such thou lovest—love her then no more,
Or give—like her—caresses to a score;
Her Mind with these is gone, and with it go
The little left behind it to bestow.

  Voluptuous Waltz! and dare I thus blaspheme?
Thy bard forgot thy praises were his theme.
Terpsichore forgive!—at every Ball
My wife now waltzes—and my daughters shall;
My son—(or stop—’tis needless to inquire—
These little accidents should ne’er transpire;
Some ages hence our genealogic tree
Will wear as green a bough for him as me)—
Waltzing shall rear, to make our name amends
Grandsons for me—in heirs to all his friends.
Paul d'Aubin Dec 2013
Ulysse, la Méditerranée et ses rapports avec les  Femmes.

Parti à contre cœur, ayant même contrefait le fou, pour se soustraire à la guerre et élever ton fils Télémaque, tu dus partir à Troie, et sus t'y montrer brave, mais surtout fin stratège.
La guerre fut bien longue, pas du tout comme celle que chantait les Aèdes. L'ennemi ressemblait tant à nos guerriers Achéens, courageux et aussi sûrs de leur droit que nous l'étions du notre. Que de sang, que de peine ! Tu vis périr Patrocle, ne pus sauver Achille ; et les morts aux corps déchiquetés par les épées se substituèrent aux coupes de ce vin si enivrant qu'est la rhétorique guerrière et à la funeste illusion d'une victoire facile. Ulysse tu eus l'idée de bâtir ce grand vaisseau dont la proue figurait une tête de cheval. Ainsi les Achéens purent entrer dans le port forteresse si bien gardé. Mais quand la nuit noire et le vin mêlés ôtèrent aux courageux Troyens leur vigilance et leur garde, vous sortirent alors des flancs du bateau et vous précipitèrent pour ouvrir grands les portes aux guerriers Achéens. La suite fut un grand carnage de guerriers Troyens mais aussi de non combattants et même de femmes. Et Troie, la fière, la courageuse ne fut plus ville libre et les survivants de son Peuple connurent l'esclavage. Aussi quand Troie fut conquise et que ses rue coulèrent rouges du sang vermeil de ses défenseur, mais aussi de nombreux civils, tu songeas à retourner chez toi, car tu étais roi, et ton fils Télémaque aurait besoin de toi et Pénélope t'aimait. Les souvenirs d'émois et de tendres caresses faisaient encore frissonner la harpe de ton corps de souvenirs très doux. C'est alors que tu dus affronter la Déesse Athéna et ton double, tous deux vigilants, à tester ta sincérité et ta constance. Oh, toi Homme volage et point encore rassasié de voyages et de conquêtes. L'étendue de la mer te fut donnée comme le théâtre même de ta vérité profonde. Après bien des voyages et avoir perdu nombre de tes compagnons, tu fus poussé dans l'île de la nymphe Calypso. Cette immortelle à la chevelure, si joliment bouclée se trouvait dans son île d'arbustes odoriférants. Aussi fit-elle tout pour te garder. Toi-même, tu lui trouvas de l'ardeur et des charmes même si durant le jour tu te laissais aller à la nostalgie d'Ithaque. La belle immortelle te proposas, pour te garder, de te donner cet attribut si recherché qui empêche à jamais de sombrer dans le sommeil perpétuel. Mais toi, Ulysse, tu préféras garder ton destin d'homme mortel et ton inguérissable blessure pour Ithaque. Après sept années d’une prison si douce, l'intervention d'Athéna te rendit aux aventures de la Mer. Tu accostas, avec tes compagnons sur la côte d’une île malfaisante. C'était la demeure des Cyclopes. Parmi ce Peuple de géants, le cyclope Polyphème habitait une grotte profonde d'où il faisait rentrer chaque soir son troupeau. Ulysse quelle folie traversa ton esprit et celui de tes compagnons que de vouloir pénétrer dans cette antre maudite, mû à la fois par la curiosité et la volonté de faire quelques larcins de chèvres ? Vous payèrent bien cher cette offense par la cruelle dévoration que fit l'infâme Polyphème de plusieurs de tes compagnons dont vous entendîtes craquer les os sous la mâchoire du sauvage. Aussi votre courage fut renforcé par votre haine lorsque vous lui plantèrent l'épieu dans son œil unique alors que sa vigilance venait d'être endormie par le vin. Les barques ayant mouillés dans l'île d'Aiaé, tes compagnons imprudents furent transformés en pourceaux par la belle et cruelle Magicienne Circée. Doté d'un contre poison à ses filtres, tu ne restas cependant pas insensible aux charmes de la belle Magicienne mais tu lui fis prononcer le grand serment avant de répondre à tes avances. Elle accepta pour faire de toi son amant de redonner leur forme humaine à tes compagnons, Et vos nuits furent tendres, sensuelles et magiques car la Magicienne excellait dans les arts de l'amour et il en naquit un fils. Toi le rusé et courageux Ulysse, tu espérais enfin voguer avec délice sur une mer d'huile parcourue par les reflets d'argent des poissons volants et te réjouir des facéties des dauphins, Mais c'était oublier et compter pour peu la rancune de Poséidon, le maître des eaux, rendu furieux par le traitement subi par son fils Polyphème. C'est pour cela qu'une masse d'eau compacte, haute comme une haute tour avançant au grand galop ébranla et engloutit ton solide radeau. Seul ton réflexe prompt de t'accrocher au plus grand des troncs te permis de plonger longuement au fonds des eaux en retenant longtemps ton souffle avant d’émerger à nouveaux. La troisième des belles que ton voyage tumultueux te fit rencontrer fut la jeune Nausicaa, fille du roi des Phéaciens, Alcinoos. Celle-ci, dans la floraison de sa jeunesse, ardente et vive, ne cédait en rien à l'éclat des plus belles et subtiles fleurs. Guidée par la déesse Athéna, elle vint auprès du fleuve ou tu dormais laver les habits royaux avec ses suivantes. Les voix des jeunes filles t'éveillèrent. Dans ta détresse et ta nudité, tu jetas l'effroi parmi les jeunes filles. Seule Nausicaa eut le courage de ne pas fuir et d'écouter ta demande d'aide. Elle rappela ses suivantes et te fit vêtir après que ton corps ait été lavé par l'eau du fleuve et enduit d'huile fine. Tu retrouvas ta force et ta beauté. Aussi Nausicaa vit en toi l'époux qu'elle désirait. Mais, ta nostalgie d'Ithaque fut encore plus forte. Alors Nausicaa te pria seulement, en ravalant ses larmes, de ne point oublier qu'elle t'avait sauvé des flots. Amené tout ensommeillé dans le vaisseau mené par les rameurs Phéaciens si bien aguerris à leur tâche, tu étais comme bercé par le bruit régulier des rames et le mouvement profond d'une mer douce mais étincelante. C'était comme dans ces rêves très rares qui vous mènent sur l'Olympe. Jamais tu ne te sentis si bien avec ce goût d’embrun salé sur tes lèvres et ce bruit régulier et sec du claquement des rames sur les flots. Tu éprouvas la sensation de voguer vers un nouveau Monde. Ce fut, Ulysse, l'un des rares moments de félicité absolue dans une vie de combats, de feu et du malheur d'avoir vu périr tous tes valeureux compagnons. Ulysse revenu dans ton palais, déguisé en mendiants pour châtier les prétendants, tu triomphas au tir à l'arc. Mais l'heure de la vindicte avait sonné. La première de tes flèches perça la gorge d'Antinoos, buvant sa coupe. Nul ne put te fléchir Ulysse, pas même, l'éloquent Eurymaque qui t'offrait de t'apporter réparations pour tes provisions goulument mangés et tes biens dilapidés. Le pardon s'effaça en toi car l'offense faite à ta femme et à ton fils et à ton honneur était trop forte. Aussi tu n'eus pas la magnanimité de choisir la clémence et le sang coula dans ton palais comme le vin des outres. Pas un des prétendants ne fut épargné à l'exception du chanteur de Lyre, Phénios et du héraut Médon qui avait protégé Télémaque.
Mais Ulysse, tu ne fus pas grand en laissant condamner à la pendaison hideuse, douze servantes qui avaient outragé Pénélope et partagé leur couche avec les prétendants. Ulysse tu fus tant aimé des déesses, des nymphes et des femmes et souvent sauvé du pire par celles qui te donnèrent plaisir et descendance. Mais obsédé par tes roches d'Ithaque ne sus pas leur rendre l'amour qu'elles te portèrent. Tu ne fus pas non plus à la hauteur de la constance et de la fidélité de Pénélope. Mais Ulysse poursuivi par la fatalité de l'exil et de l'errance et la rancune de Poséidon, tu fus aussi le préféré de la déesse Athéna qui fit tant et plus pour te sauver maintes fois de ta perte. Cette déesse fut la vraie sauvegarde de ta vie aventureuse et les femmes qui te chérirent t'apportèrent maintes douceurs et consolations dans ta vie tumultueuse.

Paul Arrighi, Toulouse, (France) 2013.
Anonymous Oct 2012
I look up from my book
to find beams of warm sunlight
touching my face,
the chugging of the train
accompanied by its whistling,
become my aural companions
for the journey,
as I look at scenes that
unfold before my eyes :
I pass by hawkers
trying to sell their wares,
their calls mingled with
joyous voices,
of children
excited about their
first train journey,
of families
on their way,
perhaps, to attend a wedding,
or to celebrate the birth
of a much awaited child.

I see :
village belles toiling away
on fields;
shabby looking buildings
speaking of years of neglect;
temples ringing with the sounds of
bhajans being sung with religious fervour,
bells being tolled, pleading
the gods to look down
from their divine abodes;
roadside stalls filling the air
with aromas of food,
promising hearty meals.

They are all ephemeral sights, and yet,
they have become a part of me -
the smells, the sights -
they shall bring back memories
that will become my companions
in solitude.
'Bhajan' is the Hindi word for hymn. (plural - bhajans)
tangshunzi Jul 2014
Margaret Elizabeth porta un senso assassino di vestiti da sposa stile a qualsiasi cosa che fa .Che si tratti di progettare per la sua linea di gioielli o styling il suo pad città .non c'è dubbio che questa ragazza è uno da guardare .Ultime sulla sua lista di successi ?Sposarsi con il suo bel fidanzato .sulle rive del Rhode Island.E ' tutto ciò che vi aspettereste da un designer di talento come un matto.e Leila Brewster non perde un colpo .Date un'occhiata nella galleria completa



di chicche (tra cui peonie rosa a'plenty da Sayles Livingston Fiori !) .E non perdetevi il film giorno delle nozze da 3 Belles Productions abiti da sposa 2014 .
Si prega di aggiornare il tuo browserShare questa splendida galleria ColorsSeasonsSummerSettingsCountry ClubStylesCoastal

Da Sposa ( progettista e proprietario di Margaret Elizabeth) .** sempre immaginato sposarmi presso il Dune Club .circondato da una grande varietà di familiari e amici .Il posto era davvero importante per noi .come abbiamo entrambi amiamo l'acqua e voleva sposarsi in riva al mare .Il Dune Club è un luogo particolarmente speciale per me causa di tutto il tempo che ** trascorso con la mia grande famiglia allargata .Mia nonna era una wedding planner incredibilmente di talento e abbiamo trascorso ore e ore seduto su quella spiaggia.molto sognare di questo giorno .Dal momento che lei non è più con noi .volevo essere sicuro che ** incorporato il maggior numero di elementi possibile da quelle conversazioni lato della spiaggia .

nostre tovaglie erano una di quelle cose .Abbiamo lavorato con biancheria La Tavola a venire con un corallo .crema e oro picchiettato schema dei colori e Sayles Livingston per tutti i fiori .Squadra Sayles ' creato le strutture ramo che pendevano sopra i tavoli .** amato questi perché hanno creato una sensazione che ricorda di Sonoma .in California .una delle nostre città costa occidentale preferita e il luogo del nostro impegno .Mentre l' arredamento e del nostro matrimonio era così divertente per la progettazione .la maggior parte del nostro weekend stava trascorrendo del tempo con tutti i nostri amici e parenti che si sono recati a Rhode Island per festeggiare con noi .

Il mio momento preferito del vestiti da sposa matrimonio era proprio dopo la cerimonia - Lane e mi aveva appena finito di camminare lungo la navata e abbiamo avuto questo momento breve dove c'eravamo solo noi in piedi sul prato .guardando verso l'oceano .È stato un momento tranquillo e bello che sarò sempre tesoro

Fotografia : Leila Brewster | Cinematografia : . 3 Belles Productions | Event Design : The Bride | design floreale : Sayles Livingston Flowers | Abito da sposa: Monique Lhuillier | Cancelleria: Smock Letterpress| Scarpe : Valentino | Altri Abiti : Ivy e Aster | Abbigliamento dello sposo : Hugo Boss | Catering .Torta + Dessert : The Dunes Club | Hair + Trucco : La La Luxe | Gioielli : Margaret Elizabeth | Biancheria: La Tavola | Veil + capelliaccessori: made ​​by Bride | Sede : The Dunes Club | vino: Bluebird ViniIvy \u0026 Aster e Monique Lhuillier sono membri della nostra Look Book .Per ulteriori informazioni su come vengono scelti i membri .fare clic qui .Sayles Livingston Progettazione e noleggio La Tavola bisso sono membri del nostro Little Black Book .Scopri come i membri sono scelti visitando la nostra pagina delle FAQ .Sayles Livingston design VIEW PORTFOLIO La Tavola bisso Affitto
http://www.belloabito.com/abiti-da-sposa-c-1
http://www.belloabito.com/goods.php?id=782
http://www.belloabito.com/abiti-da-sposa-2014-c-13
Narragansett .Rhode Island Matrimonio da Leila Brewster_abiti da sposa on line
Joseph Perales Sep 2010
Subdued and seduced by sounds so sultry
floating with fantastic phonetic finesse
vibrant voices vehicled via visages
the magical message making me a mess

each seconds surrenders me speechless
praying for the process of progress
kissing, caressing, conspire in concision
affection and adoration an admirable ambition

Subdued and seduced by sounds so sultry
floating with fantastic phonetic finesse
vibrant voices vehicled via visages
the magical message making me a mess

beautiful belles becoming begrime
rendered ready by my written rhyme
won with wonderfully whispered wit
foment flattery in a fanatic fit

Subdued and seduced by sounds so sultry
floating with fantastic phonetic finesse
vibrant voices vehicled via visages
the magical message making me a mess
Paul d'Aubin Jul 2014
Ulysse adoré par les Femmes, les  Nymphes , protégé par Athéna et traqué par Poséidon.


Parti à contrecœur, ayant même contrefait le fou, pour se soustraire à la guerre et élever ton fils Télémaque, tu dus partir à Troie, et sus t'y montrer brave mais surtout fin stratège.
La guerre fut bien longue, pas du tout comme celle que chantaient les Aèdes. L'ennemi ressemblait tant à nos guerriers Achéens, courageux et aussi sûrs de leur droit que nous l'étions du notre.
Que de sang, que de peine ! Tu vis périr Patrocle, ne pus sauver Achille; et les morts aux corps déchiquetés par les épées se substituèrent aux coupes de ce vin si enivrant qu'est la rhétorique guerrière et à la funeste illusion d'une victoire facile.

Ulysse tu eus l'idée de bâtir ce grand vaisseau dont la proue figurait une tête de cheval. Ainsi les Achéens purent entrer dans le port forteresse si bien gardé. Mais quand la nuit noire et le vin mêlés ôtèrent aux courageux Troyens leur vigilance et leur garde, vous sortirent alors des flancs du bateau et vous précipitèrent pour ouvrir grands les portes aux guerriers Achéens.
La suite fut un grand carnage de guerriers Troyens mais aussi de non combattants et même de femmes. Et Troie, la fière, la courageuse ne fut plus ville libre et les survivants de son Peuple connurent l'esclavage.

Aussi quand Troie fut conquise et que ses rue coulèrent rouges du sang vermeil de ses défenseur, mais aussi de nombreux civils, tu songeas à retourner chez toi, car tu étais roi, et ton fils Télémaque aurait besoin de toi et Pénélope t'aimait. Les souvenirs d'émois et de tendres caresses faisaient encore frissonner la harpe de ton corps de souvenirs très doux.
C'est alors que tu dus affronter la Déesse Athéna et ton double, tous deux vigilants, a tester ta sincérité et ta constance. Oh, toi Homme volage et point encore rassasié de voyages et de conquêtes. L'étendue de la mer te fut donnée comme le théâtre même de ta vérité profonde.


Après bien des voyages et avoir perdu nombre de tes compagnons, tu fus poussé dans l'île de la nymphe Calypso.
Cette immortelle à la chevelure, si joliment bouclée se trouvait dans son île d'arbustes odoriférants. Aussi fit-elle tout pour te garder. Toi-même, tu lui trouvas de l'ardeur et des charmes même si durant le jour tu te laissais aller à la nostalgie d'Ithaque.
La belle immortelle te proposas, pour te garder, de te donner cet attribut si recherché qui empêche à jamais de sombrer dans le sommeil perpétuel.
Mais toi, Ulysse, tu préféras garder ton destin d'homme mortel et ton inguérissable blessure pour Ithaque.

Après sept années d’une prison si douce, l'intervention d'Athéna te rendit aux aventures de la Mer. Tu accostas, avec tes compagnons sur la côte d’une île malfaisante. C’était la demeure des Cyclopes. Parmi ce Peuple de géants, le cyclope Polyphème habitait une grotte profonde d'où il faisait rentrer chaque soir son troupeau.
Ulysse quelle folie traversa ton esprit et celui de tes compagnons que de vouloir pénétrer dans cette antre maudite, mû à la fois par la curiosité et la volonté de faire quelques larcins de chèvres ? Vous payèrent bien cher cette offense par la cruelle dévoration que fit l'infâme Polyphème de plusieurs de tes compagnons dont vous entendîtes craquer les os sous la mâchoire du sauvage. Aussi votre courage fut renforcé par votre haine lorsque vous lui plantèrent l'épieu dans son œil unique alors que sa vigilance venait d'être endormie par le vin.

Les barques ayant mouillés dans l'île d'Aiaé, tes compagnons imprudents furent transformés en pourceaux par la belle et cruelle Magicienne Circée.
Doté d'un contre poison à ses filtres, tu ne restas cependant pas insensible aux charmes de la belle Magicienne mais tu lui fis prononcer le grand serment avant de répondre à tes avances.
Elle accepta pour faire de toi son amant de redonner leur forme humaine à tes compagnons,
Et vos nuits furent tendres, sensuelles et magiques car la Magicienne excellait dans les arts de l'amour et il en naquit un fils.

Toi le rusé et courageux Ulysse, tu espérais enfin voguer avec délice sur une mer d'huile parcourue par les reflets d'argent des poissons volants et te réjouir des facéties des dauphins,
Mais c'était oublier et compter pour peu la rancune de Poséidon, le maître des eaux, rendu furieux par le traitement subi par son fils Polyphème.
C'est pour cela qu'une masse d'eau compacte, haute comme une haute tour avançant au grand galop ébranla et engloutit ton solide radeau.
Seul ton réflexe prompt de t'accrocher au plus grand des troncs te permis de plonger longuement au fonds des eaux en retenant longtemps ton souffle avant d’émerger à nouveaux.

La troisième des belles que ton voyage tumultueux te fit rencontrer fut la jeune Nausicaa, fille du roi des Phéaciens, Alcinoos.
Celle-ci, dans la floraison de sa jeunesse, ardente et vive, ne cédait en rien à l'éclat des plus belles et subtiles fleurs. Guidée par la déesse Athéna, elle vint auprès du fleuve ou tu dormais laver les habits royaux avec ses suivantes. Les voix des jeunes filles t'éveillèrent. Dans ta détresse et ta nudité, tu jetas l'effroi parmi les jeunes filles. Seule Nausicaa eut le courage de ne pas fuir et d'écouter ta demande d'aide. Elle rappela ses suivantes et te fit vêtir après que ton corps ait été lavé par l'eau du fleuve et enduit d'huile fine. Tu retrouvas ta force et ta beauté. Aussi Nausicaa vit en toi l'époux qu'elle désirait. Mais, ta nostalgie d'Ithaque fut encore plus forte. Alors Nausicaa te pria seulement, en ravalant ses larmes, de ne point oublier qu'elle t'avait sauvé des flots.

Amené tout ensommeillé dans le vaisseau mené par les rameurs Phéaciens si bien aguerris à leur tâche, tu étais comme bercé par le bruit régulier des rames et le mouvement profond d'une mer douce mais étincelante. C'était comme dans ces rêves très rares qui vous mènent sur l'Olympe. Jamais tu ne te sentis si bien avec ce goût d’embrun salé sur tes lèvres et ce bruit régulier et sec du claquement des rames sur les flots. Tu éprouvas la sensation de voguer vers un nouveau Monde. Ce fut, Ulysse, l'un des rares moments de félicité absolue dans une vie de combats, de feu et du malheur d'avoir vu périr tous tes valeureux compagnons.

Ulysse revenu dans ton palais, déguisé en mendiants pour châtier les prétendants, tu triomphas au tir à l'arc. Mais l'heure de la vindicte avait sonné. La première de tes flèches perça la gorge d'Antinoüs, buvant sa coupe. Nul ne put te fléchir Ulysse, pas même, l'éloquent Eurymaque qui t'offrait de t'apporter réparations pour tes provisions goulument mangés et tes biens dilapidés. Le pardon s'effaça en toi car l'offense faite à ta femme et à ton fils et à ton honneur était trop forte. Aussi tu n'eus pas la magnanimité de choisir la clémence et le sang coula dans ton palais comme le vin des outres. Pas un des prétendants ne fut épargné à l'exception du chanteur de Lyre, Phénios et du héraut Médon qui avait protégé Télémaque. Mais Ulysse, tu ne fus pas grand en laissant condamner à la pendaison hideuse, douze servantes qui avaient outragé Pénélope et partagé leur couche avec les prétendants.

Ulysse tu fus tant aimé des déesses, des nymphes et des femmes et souvent sauvé du pire par celles qui te donnèrent plaisir et descendance. Mais obsédé par tes roches d'Ithaque ne sus pas leur rendre l'amour qu'elles te portèrent. Tu ne fus pas non plus à la hauteur de la constance et de la fidélité de Pénélope.
Mais Ulysse poursuivi par la fatalité de l'exil et de l'errance et la rancune de Poséidon, tu fus aussi le préféré de la déesse Athéna qui fit tant et plus pour te sauver maintes fois de ta perte. Cette déesse fut la vraie sauvegarde de ta vie aventureuse et les femmes qui te chérirent t'apportèrent maintes douceurs et consolations dans ta vie tumultueuse.

Paul Arrighi
The adventures of Ulysses in the Odyssey as beloved by Women and Nymphs protected by Athena and pursue by Poseidon
Sonorant Jul 2021
Banished before thon barren plains,
Where treacherous tears abstain
Fare. Fair is the waste,
The impurity of deep, decrepit weeds.
And dage brings fruit then touched
Only by their ravens of rot.
May they paint thine tainted stave
In golden garth and lull the lark;
“Mine, Sweet babe,
Robbed of cradle
Readied for ritual.
Mine, Sweet babe,
Gore masked black
Within the crimson bath.”
Lacen their throats, the gullets that gloat!
Lest langes of thorns, wrap the bairn sworn.
Death breeds glore o’er luid nights
Beldam rise belles in wicked repel.
Round the funeral pyre.
Elaenor Aisling Sep 2021
My sisters and I jest
That men never get over us.
We have been named
Muses, angels, succubi, leanan sidhe
But we are les belles dames avec merci
And that is their undoing.
Our breath has left them gasping
With unfilled lungs
We never meant to be their oxygen
But they drink us in like drowning men.

We didn’t ask for this,
But disarming, we are soft enough
For them to float in
Belly up, eyes to distant stars
Singing the sirens song that stirs in our veins.

Behind our teeth rests the love
The world has failed to give them till now
There are holds in the knowledge
that our fingertips find the hollowed spaces,
mother wounds, clefts where trust was carved out,
And they clutch our palms to staunch the bleeding.

We never asked for this,
They cherish the brittle changelings of us
until they are crushed in the coals of our eyes
Eggshell ideals, fragile as egos.
Blown by the sea wind in the strands of our hair
they are scattered, undone.

The distance drifts between, inevitable
And full they turn away to starve
We cut the mooring line
After one too many storms,
And search
For safer
Harbor.
Je te chante
A toute heure
Religieusement
Les très grandes moultes belles et riches heures de Ma Dame

Je te les chante en latin à matines  
Ave Maria Plena Gratia
Je te les chante à laudes
Tota pulchra es amica
Je te chante en latin les petites heures, les heures de pucelle
Je te les chante à prime
Regina caeli letare
Je te les chante à tierce
Benedicta es tu filia
Je te les chante à sexte
Obsecro te domina sancta Maria, Mater dei, pietate plenissima
Je te les chante à none
O intemerata et in eternum benedicta

Je te chante en latin les grandes heures, les donzelles
Je te les chante à vêpres
Alleluia Hosanna Musa Benedicta tu in Musis
Je te les chante à complies
Salve Regina Mater misericordiae vita dulcedo et spes nostra salve

Et dans le silence de ma cellule
Noire et blanche
Je te renouvelle
Après l'office des complies
Sans antiphonaire et sans graduel
Mes voeux d'humilité, de pauvreté et chasteté
Ecoute la prière grégorienne
De ton moine cistercien, ton baryton orthodoxe,
Ton serviteur, ton esclave, ton Musc
Nu et sincère sans habit et sans scapulaire
Nunc et in hora mortis nostrae
ConnectHook Sep 2015
तत् त्वम् असि

for sitar, mridangam, vina, musical spoons,
washboard, Jew’s harp and banjo


(the names Swami and Guru-ji can be replaced by
any other mystic names the reader wishes to substitute
)

Swami and Guru-ji went to the river
to wash their souls in the ***** water
filled brass pots while they were at it, singing:

“These are Gods –
worship them, worship them,
these are Gods –
won’t you worship them please”

Guru and Swami-ji flexed contortions
twisted minds and limbs in knots
sold each other secret mantras
to erase akashic records when the body rots

Swami and Guru-ji taught disciples
how to fast and hum and chant;
bound their ***** with priestly garments, saying

“These are Gods – worship them, worship them,
these are Gods – won’t you worship them please”

Guru and Swami-ji swallowed prana
purged their guts, then farted light
launched their chakras into oneness
in the ida and pingala of their third-eye sight

Swami and Guru-ji built a temple
around a monstrous calf of gold
bowed before the six-armed idols chanting

“These are Gods –
worship them, worship them,
these are Gods –
won’t you worship them please”

Guru and Swami-ji studied parchments
by the dim light of a feeble ray
railed and wailed at the sinful  heathen
in the filthy Kali-yuga of the dying day

Swami and Guru-ji made ablutions
offered incense and holy foods
ate their share and smoked the profit, humming

“These are Gods – worship them, worship them,
these are Gods – won’t you worship them please”

Guru and Swami’s blissed devotions
entwined their members with the temple belles;
stuck their yonis up their lingams
in the twenty-seventh circle of the seven hells.

Swami and Guru-ji offered puja
wrote it all off as a karmic debt –
forced a shudra to bear the burden, screaming

“These are Gods –
worship them, worship them,
these are Gods –
won’t you worship them please”

Guru and Swami-ji meditated:
pure omniscience in eternal now –
drank fresh ***** from a heifer’s  bladder
for they knew that it was soma from a holy cow.

Swami and the Guru merged with Brahman –
then went home to the wife and kids.
Told the servants to polish statues, saying

“These are Gods – worship them, worship them,
these are Gods – won’t you worship them please”


THE MORAL:
(slower solemn rhythm, no banjo or Jew’s harp)

Aaron’s calf is ground to powder,
cast upon the Ganges’ tide.
Every tribe shall taste its poison.

“This is God –worship Him, worship Him –
this is God – let us worship Him now…”
attain instant enlightenment:
Chad A Dolezal Sep 2011
Seamlessly savage
In a race to be victims
Drown out the morning
And sleep while the moon's light
Drink down your sadness
Until your eyes fill with darkness
And you’re blind to see
Your miseries projected on a TV screen

Now you shake all alone by the bathroom sink
Hoping no to be seen
While the mirrors fantasize themselves
And they reflect what I expect to be honesty

Well honestly they want to see you on your knees
Drown in disparity
Cause they get off to what you've lost
No they don't care what is fair
Cause' they love, when pains in the air

So they can breathe it in
And repeat it again
Try and beat it
To fall short again

You’re seamlessly savage
In a race to be victims
Drown out the mourning
And sleep in the moon light
My sweet
In the height of summer
The pond shrunk to a hyacinth heart.

The kingfishers left for crystal streams
Village belles no more washed their hidden shames
Kids broke their frolics on her kissing splashes
And men dipped not in her to whisper secrets.

She prayed to hold through all the pains.

The sky heard her and sent her rains.
Inspiration: my cover photo
Abdelmalek Gucci Apr 2014
Phrase Courte d'amour
Si tu veux une fleur il faudra la cueillir mais si tu veux mon cœur il faudra me séduire.
Phrase Courte d'amour

Je suis un arbre, mes fleurs c'est toi. Je suis un ciel, mes étoiles c'est toi. Je suis une rivière, mon bateau c'est toi. Je suis un corps mon cœur c'est toi.

Avec une larme d'émotion merci de tout cœur. Je me sens la plus heureuse sur terre grâce à toi mon cher je t'aime.
Phrase Courte d'amour

Toi qui illumines ma vie et m'inspires la joie. Tu habites mes nuits, tu habites mes jours, non ça ne change pas et tant mieux pour moi. Phrase Courte d'amour

Tu te souviens pourquoi on est tombés amoureux? Tu te souviens pourquoi c'était si fort entre nous? Parce que j'étais capable de voir en toi des choses que les autres ignoraient. Et c'était la même chose pour toi mon amour.
Phrase Courte d'amour

**** de vous je vois flou et j'ai mal partout car je ne pense qu'à vous, je sais que c'est fou, mais j'aime que vous.

La lune est comme un aimant, elle attire les amants regarde la souvent, tu trouvera celui que tu attend la main il te prendra pour la vie il te chérira.
Phrase Courte d'amour

Phrase Courte d'amour Pour vivre cette vie j'ai besoin d'un battement de cœur, avoir un battement de cœur j'ai besoin d'un cœur, avoir un cœur J'ai besoin de bonheur et avoir le bonheur j'ai besoin de toi!

Un baiser peut être une virgule, un point d'interrogation, ou un point d'exclamation. C'est une épellation de base que chaque femme devrait savoir.
Phrase Courte d'amour

Il ne faut jamais dire c'est trop **** puisqu'on peut toujours devenir ce que nous souhaitons être et aussi avoir ce que nous avons toujours désiré.

Le soleil ne s'arrête jamais de briller tout comme mon cœur ne s'arrête jamais de t'aimer.
Phrase Courte d'amour

L'éternité c'est de passer qu'une seule seconde de ma vie sans toi, mais qu'importe cette seconde si à mon retour tu es toujours là.

Aimer est un sentiment d'appartenance à une personne de confiance.
Phrase Courte d'amour

L'amour n'a pas besoin de carte, Phrase Courte d'amour car elle peut trouver son chemin les yeux bandés.

Dans ce monde l'amour n'a pas de couleur,pourtant le tien a profondément détint sur mon corps.
Phrase Courte d'amour

Le cœur est comme une fleur quand elle manque d'eau elle meurt.

L'amour que j'ai envers toi est incompréhensible aux yeux de tous ... Même de toi.
Phrase Courte d'amour

L'amour est un mot que j'écris pour qu'il soit encore plus beau.
Phrase Courte d'amour
L'amour se vit dans la richesse comme dans la détresse, dans la pauvreté ou la beauté.
Phrase Courte d'amour

L'amour commence par donner de l'importance et finit par l'ignorance.

Les plus belles choses dans la vie ne peuvent pas être vu, ni touchés, mais se font sentir que par cœur.
Phrase Courte d'amour

Qu'importe un océan ou un désert, l'amour n'a pas de frontières.

Il Parait que quand on aime, on ne compte pas, mais moi je compte chaque secondes passée sans toi.
Phrase Courte d'amour

Toi mon cœur, mon amour, ma joie, je te dis ces quelques mots en pensent à toi, je t'aime et je ne peux pas vivre sans toi, à chaque moment, à chaque instant, je pense à toi une minute sans toi et tu me manques déjà, alors toi mon cœur, accepte moi, prends moi dans tes bras, embrasse-moi une dernière fois.
Poeme courte d'amour
http://poeme-d-amour-sms.blogspot.com/2014/04/phrase-courte-d-amour.html
Car que c'est impossible à vous simplifier aux mots scientifiques.
ConnectHook Apr 2017
Six-armed things of Asiatic trances,
temple belles entwined in temple dances:
mantra in one hand, the other holds naan.
One holding chutney and the other, paan.
Two hands left (befitting of deity):
one offers curry, one incense.  Aseity
signifies self-contented wonderment.
(One wonders as well what that mantra meant...)

Note the third eye in the figure's forehead:
a spare one in case left or right go dead?
But really—how freakish these idols look:
a ******-pantheon from a nightmare book.
(Outdone only by the Aztecs for fright
along with demons born of tribal night.)

Cobra-crowned elephant-headed mutants
sickly-sweet incense, divine pollutants
mix in with the stench of bodies burning
alongside the filthy Ganges churning
flowing with ashes from funeral ghats
excrement, corpses of humans and rats
that swarmed humble hovels of Hindustan
where gods are mass-produced for fallen man.

Maidens in saris with red tinted lips;
glossy vulgarity, loose at the hips
now growing more arms; an insect vision
enough to make one gag on religion.
The ubiquitous trident looms, a sign:
the eternally present un-divine.
Instead, it ought to stick some sacred cow
in its bovine buttocks, and so allow
beef curry for a hungry avatar
craving fresh meat in his juggernaut car.

Turn from this antediluvian scene
in sincerity, ask: what does it mean?
Were you created in these gods' image?
Is anything real behind their visage?
Blue skin and sick smiles, anointed with ghee:
exotic... but wrong theologically.
Till lingams are yonis I'll spell it out;
these Aryan idols should merit your doubt.
Such weirdness deserves some analysis
(as did old Diana of Ephesus).

Would you tingle if such a god showed up
and offered to refill your soma cup,
sending siddhis up your spinal column
with you in full lotus, clueless, solemn.
Would you offer puja in their temple,
bedeck your soul in a robe to sample
veggie-masalas, chapatis and dal,
peruse the Upanishads, and enthrall
your mind with the mystic old Rig-Vedas
fall for idolatrous sin conveyed
as spiritual truth when it's just a big lie...
bow before a multi-armed freak?  Not I.
Not for all the visions in Satan's world.
Better to call B.S. than to be hurled
to hell for living and loving this lie
embracing monstrosities. By and by
the books will be opened. The Lord will judge.
Consider this your transcendental nudge
toward something less false, less fearfully fake
than the idols Antichrist nations make.
NaPoWriMo #15

TS Eliot
wrote highbrow literary
poetry (so-called)
Paul d'Aubin Jan 2016
Florilèges de  trois poésies sur le café «Naziunale»
de Vicu

1- Premier Poème sur le café de Vicu
(Été 2010)
Un marronnier et trois tilleuls
Sur la fraîcheur comme un clin d'œil
Sous le soleil immobile
Dans l'ombrage des charmilles

Une façade de granit
Sur une salle composite
Sur les murs plusieurs footballeurs
Et d'un vieux berger la vigueur.

Pouvoir s'asseoir, se reposer
Et par-dessus tout siroter
Un verre de bière pression
Sans un souci à l'horizon.

A côté de vous, il fait chaud
Mais le zéphyr souffle tantôt
Sur votre peau, une caresse
Il faut dire que rien ne presse.
Une torpeur qui vous saisit
Un parfum de moments choisis
Mais après tout c'est bien l'été
Et son cortège de beautées.

Dans votre verre un pastis
Comme une senteur d'anis
De jolies filles font le détour
Parées de leurs jolis atours

Verre levé vous plaisantez
Pour l'œil des belles attirer
Mais les coquettes vont leur chemin
En masquant bien leurs vrais desseins





2 - Deuxième Poème au café de Vicu
(Été 2012)

Oh café de Vicu
Tilleuls et marronniers
Aux ombrages si frais
Apaisant les cieux lourds
Et les chaleurs de plomb.

Un chat à la queue courbe
Vient chercher les caresses
Que des femmes distraites
par des hommes ombrageux
Distraitement lui donnent.

Un tempo de langueur
Violone tes douceurs ;
et la « Serena » fraîche
fait plus que rafraichir
notre quête de soifs.

Oh café de Vicu
Tu sais nous préserver
Des vains emballements,
Des fureurs dérisoires
Propres à nous gâcher
Le songe de nos vies.






3 - Troisième poème sur le café «naziunale» de Vicu
(Été 2013)

Une large façade de granit, percée par deux larges portes,
donnant sur une vaste salle a haute cheminée.
Un marronnier et un tilleul vous font don d'une fraîcheur bienvenue,
A l'intérieur comme une icône de la «belle époque» une photographie de groupe d'hommes Corses en canotiers ou feutres mous prenant fièrement la pose devant l'appareil a trépied et le photographe pénétré de son art.

En face l'on voit la mairie de couleur rose, a l'escalier ventru,
Sur le côté droit, une pharmacie antique, aux volets bleus,
Et puis vers onze heure, le tiers des tables sont mises pour les repas,
Et les jeunes serveuse pimpantes s'affairent,
pour poser les serviettes en papier et servir les mélancoliques buveurs de bière «Pietra», a l'arôme fin de châtaigne.

Proche de ma table de Formica vert, deux belles blondes aux coiffures soignées,
sirotent leurs cafés et commentent avec un sérieux excessif une brochure de géographie plastifiée.
Mais parfois sourires et rires viennent donner a l'air léger cette adorable féminité qui manque tant à notre monde de brutes.
L’air est comme cristallin, et la lourde chaleur de Vicu semble conjurée par ce café-terrasse qui est havre de paix et de fraîche douceur.

Deux Corses, à la barbe bien taillée lisent avec une étrange attention, l’édition journalière de «Corse-Matin», interrompus par un ami de leur génération portant beau un feutre gris.
Les épagneuls du café sont curieusement rentrés dans la grande salle, alors qu'hier ils étaient accroupis en terrasse comme aimantes par la chaleur.
Il est maintenant 0nze heure trente docteur Sweitzer et «l'Humanité reste toujours au carrefour» hésitant entre feu vert et feu rouge dont traitèrent si bien Radovan Richta.
Mais, tant pis, la question ne se résoudra pas dans les douces langueurs de Vicu.
Les premiers dineurs ne se pressent pas aux tables dressés.
L’effleure un peu à Vicu, comme un parfum de l'Alambra, ou les repas sont repoussés **** dans l'après-midi ou dans la nuit.
A l'inverse, les couche-**** viennent se convaincre de leur réveil en s'attablant en terrasse demandant un double café, en passant commande d’un double expresso.

Paul Arrighi.
marriegegirl Jun 2014
Fait

: La Californie est un endroit magnifique pour se marier fou .Donc voyager à Palm Desert pour une affaire élégante à la



Ironwood Country Club .orné de jolies fleurs de ARTISAN événement .Floral .Décor ?Meilleure idée jamais .Comme il est de passer la journée s'est terminée dans la galerie capturé par Kate Prix .Parce que si quelque chose va faire entièrement votre mardi robe de mariée courte .c'est cette affaire complexe .Voir tous ici .\u003cp\u003eColorsSeasonsFallSettingsChurchCountry ClubStylesCasual Elegance
de la mariée .Après avoir été né et a grandi à Seattle .j'ai toujours pensé que je finirais par se marier là un jour .mais après Cory a proposé .le concept d'un mariage à destination devenu très attrayant .J'ai immédiatement pensé à Palm Desert serait l'emplacement de destination parfaite parce que ma famille a été partagerai le temps entre là et Seattle pour les 10 dernières années .Il est assez **** pour profiter du soleil de la Californie à l'automne .mais pas si **** que la planification et Voyage serait trop difficile .Il est l'évasion parfaite .

Dès le début .Cory et moi étions sûrs de deux choses : nous voulions Kate Prix que notre photographe et musique en direct pendant l'heure du cocktail .On nous a présenté Michael Tiernan .un musicien incroyable et DJ qui fait appris comment effectuer une chanson de Dave Matthews pour notre première danse .Il a complété le tout en effectuant Jimmy Buffet et Tom Petty pour les père -fille et mère - fils danses .C'était exactement ce que Cory et moi avions prévu .mais en mieux!

Ironwood Country Club est un lieu étonnant pour notre mariage .Non seulement le club absolument magnifique .mais leur personnel de l'événement a dépassé toutes nos attentes .s'assurer que tout s'est bien passé .La journée s'est déroulée sans accroc.Nous avons loué la鈥 淭il鈥Oui filles pour notre jour de coordination et ils ont fait un travail fabuleux et fait en sorte que la seule chose Cory et moi avons eu à se concentrer sur l'autre était sur ​​notre journée spéciale .Notre fleuriste était Joey lors d'événements Artisan .Je savais que je pouvais lui faire confiance pour prendre le peu de vision que j'ai eue et créer des arrangements de l'église ainsi que de belles pièces du centre d'accueil robes demoiselles d honneur qui a brillé tout au long de la nuit .

Nous n'aurions jamais pensé que notre mariage se révélerait être si belle .détendue .et qui aime s'amuser .Nous savons que nous avons notre photographe incroyable .musicien .coordinateurs et fleuriste à remercier pour cela .C'était vraiment le jour le plus inoubliable de notre vie .et le sera toujours.

Photographie : Kate Prix Photographie robe de mariée courte | Floral Design : ARTISAN événement .Floral .Décor | Robe de mariée : Claire Pettibone | Cérémonie : Sacred Heart Church | Réception: Ironwood Country Club | DJ : Michael Tiernan | calligraphie .invitations .cartes de nom : La Happy | Coordination : Les filles Oui | Dress Shop : La théorie robeARTISAN événement .Floral .Le décor est un membre de notre Little Black Book .Découvrez comment les membres sont choisis en visitant notre page de FAQ .ARTISAN événement floralDécor ... voir le

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Rachel Jay Dec 2013
The rosy sun peeks over the tree tops.
We hear the sounds of a baseball game,
with the howling coyotes as fans.
My eyes droop as the onset of sleep nears.
The bitter coffee runs down my throat.
Francis is seated across from me,
peeking over her glasses at her cards.
Her brows wrinkle while determining the best way to win.
It only takes moments until the entire Texas sky is stippled with stars.
Carlo C Gomez Apr 17
~
Cotton duck canvas
on careful days
in a closed room,
intersecting tension,
energy and interest
for strangers to interpret

Three bashful belles
and lovers of art
undressed as a figure study,
cloistered together
in a line of beauty
for moral support

Their congregation assembled
in glorification of
angelic landscapes,
tempered by the mysteries
within convexity's arboretum

In unequivocal parts and gradation,
where good posture
and graceful presentation
count in equal measure,
to create Hogarth's
line continuous
--the Analysis of Beauty,
bended at the waist
to spread light through the canopy

During such exhibition
the belles whisper
under the rose,
of war and shopping lists,
they seem to avert eye contact,
gazes fixed to
the eternal sphere
ticking on the far wall,
never directly into the eyes
of those who come to
paint their *******
with sandalwood

~
At my Age, to gaze at this Crumbling Glass
Must content me to say when to let-go
Of my Battles, that of Mum's Great Compass
Swore her Tears to what I already know
I guess that Vision, mirage as it is
And bake the Dough whose Bread I un-consume
With your Dust - suave - charm the Summer Belles since
Fan Frosted Wings faster than I could fume
What happens now? In this doomed, ****** Script
Must force me to tear-off my Snowy Mask
Painful my pores feel; My Heart goes to crypt
Then deny the Tender I so Long ask.
When Right is Wrong and Wrong seems all but Right,
Throw punches to a Face I could not fight.
#tomdaleytv #tomdaley1994
John F McCullagh Oct 2013
The Fox sisters of Rochester
lived in a haunted house.
A spirit there was stirring
That was probably not a mouse.
Spirits rapped upon the walls
and on the window panes.
The sisters Fox would rap right back
according to their claims.

The Foxes were sensations,
The Belles of Halloween
Their Séances well attended
By the credulous, T’would seem.
Spirit fever gripped the land
With rapping on a table
(Maggie Fox was double jointed
And the whole thing was a fable.)

It’s hard to sell your real estate
when it’s a haunted home.
But when spooks rap, rap right back
You’ll never be alone.
The Fox sisters of Rochester, NY were the sensations of the spiritualism movement in the 1870's
solenn fresnay Nov 2013
En 1987
J’ai joué à touche-pipi dans la caravane de mes parents
Il s’appelait Nicolas et sentait bon la fleur d’oranger
C’était assez agréable
Nous passions des vacances dans le Cantal
Il n’a cessé de pleuvoir
Le camping était en pente avec en diagonale un interminable vide
Mes parents jouaient aux cartes avec les parents de Nicolas
Je ne sais pas qui ce jour-là a baisé qui
Ceci étant
Nicolas m’avait demandé si je pouvais manger un bout de sa viande avariée
Je devais avoir huit ans et des poussières d’étoiles dans les yeux
Le soir à l’apéritif mon père a vomi dans la bouche de la mère de Nicolas
La soirée se termina ainsi
Et tout le monde à bout de ses envies alla se coucher dans sa caravane respective


Pause


Ce furent de belles vacances
Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire
J'ai vu tous les soleils y venir se mirer
S'y jeter à mourir tous les désespérés
Tes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoire

À l'ombre des oiseaux c'est l'océan troublé
Puis le beau temps soudain se lève et tes yeux changent
L'été taille la nue au tablier des anges
Le ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blés

Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur
Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit
Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie
Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure

Mère des Sept douleurs ô lumière mouillée
Sept glaives ont percé le prisme des couleurs
Le jour est plus poignant qui point entre les pleurs
L'iris troué de noir plus bleu d'être endeuillé

Tes yeux dans le malheur ouvrent la double brèche
Par où se reproduit le miracle des Rois
Lorsque le coeur battant ils virent tous les trois
Le manteau de Marie accroché dans la crèche

Une bouche suffit au mois de Mai des mots
Pour toutes les chansons et pour tous les hélas
Trop peu d'un firmament pour des millions d'astres
Il leur fallait tes yeux et leurs secrets gémeaux

L'enfant accaparé par les belles images
Écarquille les siens moins démesurément
Quand tu fais les grands yeux je ne sais si tu mens
On dirait que l'averse ouvre des fleurs sauvages

Cachent-ils des éclairs dans cette lavande où
Des insectes défont leurs amours violentes
Je suis pris au filet des étoiles filantes
Comme un marin qui meurt en mer en plein mois d'août

J'ai retiré ce radium de la pechblende
Et j'ai brûlé mes doigts à ce feu défendu
Ô paradis cent fois retrouvé reperdu
Tes yeux sont mon Pérou ma Golconde mes Indes

Il advint qu'un beau soir l'univers se brisa
Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent
Moi je voyais briller au-dessus de la mer
Les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa.
solenn fresnay Sep 2012
Il la traîna de force jusqu’à sa chambre
Lui tira les cheveux et lui fracassa la cervelle plusieurs fois contre le carrelage froid du couloir
- Carrelage de couleur marron jaune -
Au passage une de ses dents du haut s’est cassée, pas grave, on dira lundi à l’école qu’elle a mangé des cailloux tout le week-end avec ses cousines
Ses cousines qui par ailleurs l’ont laissée toute l’après-midi sur le toit de la voiture familiale
Juste pour une histoire de garçon
Et puis après tout, tu as assez bien finie, tu aurais pu atterrir dans la porcherie
Pour une simple histoire de choux de Bruxelles
Juste pour une histoire de choux de Bruxelles.

Maman ne m’a jamais dit comment on faisait l’amour
Mais maman tous les soirs me faisait l’amour
(Un cri)
Pour une simple histoire de choux de Bruxelles
Chaque jour de la semaine maintenant je suis défoncée
TOTALEMENT DEFONCEE.

Mais ne t’inquiète pas, lui dit-il en la serrant encore plus fort, maman rentrera bientôt
Et la petite fille qui pleurait et pleurait
Sentant cette chose immonde venir s’écraser contre sa poitrine
Ne t’inquiète donc pas, maman rentera bientôt
Et la petite fille qui pleurait chaque minute encore plus
Sentant cette chose immonde se balader contre son tout petit corps
Maman rentrera bientôt ?
JE N’AVAIS QUE CINQ ANS.

Maman ne m’a jamais dit comment on faisait l’amour
Mais maman tous les soirs me faisait l’amour
(Un cri)
Pour une simple histoire de choux de Bruxelles
Chaque jour de la semaine maintenant je suis défoncée
TOTALEMENT DEFONCEE.

Elle entra à l’hôpital une nuit d’hiver
Dans la voiture toute blanche il y avait de jolies lumières au-dessus de sa tête et puis aussi une jolie musique
Tout allait un peu vite mais les messieurs étaient si gentils
Et puis elle avait encore vomi un peu partout mais les infirmières étaient si belles et avaient les dents si blanches
Elle resta une dizaine de jours dans cette chambre rose bonbon, le bras accroché à un drôle de pied en acier caillé, sa gentille maman qui continuait chaque nuit à lui faire l’amour en cachette
Elle se souvient avoir failli mourir
Mais après tout, tu as assez bien fini, tu aurais pu atterrir dans la porcherie
Pour une simple histoire de choux de Bruxelles
Juste pour une histoire de choux de Bruxelles.

Maman ne m’a jamais dit comment on faisait l’amour
Mais maman tous les soirs me faisait l’amour
(Un cri)
Pour une simple histoire de choux de Bruxelles
Chaque jour de la semaine maintenant je suis défoncée
TOTALEMENT DEFONCEE.

A l’école elle faisait tout le temps pipi sur elle
Puis elle s’est mise à se raconter des histoires, juste pour atteindre plus facilement le paradis artificiel
C’était toujours mieux quand c’était maman
Enfin elle ne se rappelle plus très bien
Elle a tout mélangé
Dans sa tête tout s’est mélangé
Elle est très malheureuse encore aujourd’hui
Mais après tout, elle a assez bien fini, elle aurait pu atterrir dans la porcherie
Pour une simple histoire de choux de Bruxelles
Juste pour une histoire de choux de Bruxelles.
Madrid, princesse des Espagnes,
Il court par tes mille campagnes
Bien des yeux bleus, bien des yeux noirs.
La blanche ville aux sérénades,
Il passe par tes promenades
Bien des petits pieds tous les soirs.

Madrid, quand tes taureaux bondissent,
Bien des mains blanches applaudissent,
Bien des écharpes sont en jeux.
Par tes belles nuits étoilées,
Bien des senoras long voilées
Descendent tes escaliers bleus.

Madrid, Madrid, moi, je me raille
De tes dames à fine taille
Qui chaussent l'escarpin étroit ;
Car j'en sais une par le monde
Que jamais ni brune ni blonde
N'ont valu le bout de son doigt !

J'en sais une, et certes la duègne
Qui la surveille et qui la peigne
N'ouvre sa fenêtre qu'à moi ;
Certes, qui veut qu'on le redresse,
N'a qu'à l'approcher à la messe,
Fût-ce l'archevêque ou le roi.

Car c'est ma princesse andalouse !
Mon amoureuse ! ma jalouse !
Ma belle veuve au long réseau !
C'est un vrai démon ! c'est un ange !
Elle est jaune, comme une orange,
Elle est vive comme un oiseau !

Oh ! quand sur ma bouche idolâtre
Elle se pâme, la folâtre,
Il faut voir, dans nos grands combats,
Ce corps si souple et si fragile,
Ainsi qu'une couleuvre agile,
Fuir et glisser entre mes bras !

Or si d'aventure on s'enquête
Qui m'a valu telle conquête,
C'est l'allure de mon cheval,
Un compliment sur sa mantille,
Puis des bonbons à la vanille
Par un beau soir de carnaval.
Valsa George Jun 2016
Where encased is the secret of bliss
Is it encoded in any talisman abstruse?
Does it linger unseen on the face of angelic babes
Who with smiles and laughter create such heavenly vibes?

Can it be in the eyes of charming belles
Who hold the world under their mesmerizing spells?
Or is it in the heroic deeds of valiant men
Who on the face of death, undaunted remain?

Can we behold it in the brilliance of the rising sun
Or in the serene calm of the misty twilight dawn?
Does bliss hover on the banks of streaming brooks
Or on the heights of snow clad mountain peaks

Can it be with fair Venus- Queen of Love
Or in the arrows speeding from amorous Cupid’s bow
Does it glisten in the silvery beams of the shining moon
Or in the setting sun’s embers of amber and maroon

Can it be somewhere in heavens so high
Beneath the fluffy clouds quietly gliding neigh
Can sweet Paradise be the seat of  bliss
Where seraphs sing, angels dance and nothing is amiss

Nay, it surely resides not in worlds beyond
But here on Earth, in the union of hearts with love abound.
From time immemorial, man has been on an eternal quest…. a treasure hunt… a relentless journey to find happiness or bliss!  He found it so elusive….and thought it to be something dwelling outside himself, something like a mysterious charm enclosed in a talisman! He sought happiness in the smile of an innocent babe, the beauty of a woman, the sweetness of a flower, the sights and scenes of Nature like the rising sun, a colorful sunset, the moon  behind the veil of clouds….etc… etc. Some saw it in power, money or material comforts.   But do these things give us enduring happiness? Of course to some extent they can make us happy. Unfortunately our happiness stays only for fleeting moments and that too varies widely depending on our mental state..! Some think that happiness is with Venus, Queen of love or in  the amorous life led by those struck by the arrows of Cupid!  

Like a musk deer which looks around to locate the source of scent without knowing that it comes from somewhere close to its own genitals, we search for happiness or bliss in so many external factors . Bliss has to be understood in a wider connotation than mere happiness… It is perhaps a cumulative and purer form of all happiness…a state of unalloyed bliss. Though it is a rare possibility to attain it here, still we can reach a ‘near state of bliss’! It is not something that lies outside the frontiers of our immediate environs. It is within reachable distance, here on Earth itself. True bliss lies in the union of hearts in love!
Paul d'Aubin Nov 2013
Les être, le cosmos, la terre et le vin
(Dédié à l’incomparable génie Charles Baudelaire)

Les ceps murissent longuement sous l’énigmatique lueur des cieux,
irisés par les ondes astrales du Cosmos et ses grands vents de feu.  
Des gelées de janvier aux averses d’avril, le vigneron soigne ses vignes.  
qui souffrent des fournaises de l’été jusqu’à la bouilloire dorée de l’automne.
Le vin est d’abord fruit des astres et des cieux, mais aussi de la patience et de l’art du vigneron.

Il y a une magie du vin qui vient sceller les noces mystiques de l’azur, de la terre, du cosmos et des graves.
Il existe dans le vin comme une consécration des noces d’or de la terre, des pierres et de l’azur,
Qui lui donne son caractère âpre ou velouté, son goût inimitable, sa vraie signature, son héraldique.
Un palais exercé saura toujours en déceler l’empreinte pour y trouver sa genèse et gouter ses merveilles.
Mais c’est le vigneron qui consacre ces noces avec son savoir, son doigté, sa manière d’opérer le grand œuvre des vendanges.


Le choix de la date des vendanges dépend de l’intuition humaine et correspond au sacre de l’automne.
Au moment où les grappes pèsent et ou les raisins sont gonflés comme de lourds pendentifs,
alors que les raisins mûrs sont prêts à sortir de leur enveloppe dorée pour se transformer en élixir.
Le vigneron prend la décision sacrale de celle dont dépend la qualité du vin à naître.
Et les vendanges vont se mener dans une atmosphère d’excitation et de sentiment de franchissement du danger.

Désormais le vin sorti du pressoir va murir dans des barriques de chêne
Le bois peut apporter sa chauffe méthodique afin que se mêlent au jus   des arômes de bois et de forêts,
C’est sûr, cette année, les forces de la nature et de l’Homme nous préparent un grand vin.
Aussi quel honneur et quel rite magique que d’en boire les premières gorgées dans des coupes d’argent ou des verres de cristal,
avant même que le vin ne soit fait et tiré pour en détecter les grands traits et les failles.

Enfin, vient le moment de boire, comme une élévation des cœurs et des esprits.
L’on ne boit bien qu’en groupe, qu’avec de vrais amis, sa chérie ou des belles.
Boire c’est d’abord humer et découvrir par le nez les secrets d’un terroir et des pampres,
puis humecter ses lèvres afin de s’imprégner des sucs et des saveurs,  
et puis boire surtout, c’est œuvre de finesse, d’expression de l’Esprit et de bonne humeur; qu’il y ait de l’ivresse, fort bien, mais jamais d’ivrognerie

Paul Arrighi ; Toulouse(France), le 3 novembre 2013
1491

The Road to Paradise is plain,
And holds scarce one.
Not that it is not firm
But we presume
A Dimpled Road
Is more preferred.
The Belles of Paradise are few—
Not me—nor you—
But unsuspected things—
Mines have no Wings.
marriegegirl Jun 2014
Bien que la pluie le jour de votre mariage est l'une des choses les mariées stressent le plus.la neige le jour de votre mariage .bien disons juste que c'est magique .Surtout quand c'est une de ces belles neiges d'automne du Colorado.où les feuilles sont encore accrochés mais les petites averses de neige descendent du ciel .Brinton Studios capturé un jour et c'est tout à fait un euphémisme de dire que c'est parfait .mais là vous l'avez .Il est excellent.\u003cp\u003e

ColorsSeasonsFallSettingsRanchStylesRust­ic Elegance

De la photographe .Elyse et Chris ont.Avez- ce robes demoiselles d honneur que vous demandez ?Ils ont ce facteur X dans une relation où vous pourriez presque tangible

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de ce lien mélancolique derrière leurs mots et le langage corporel .Nous鈥 檝e n'a jamais eu plus de facilité à obtenir un couple pour nous montrer comment robe de soirée grande taille ils se sentent sur l'autre .De plus .les amis de ces gars sont juste amusant !Nous avons eu un temps à robe de soirée grande taille danser incroyable et obtenir au milieu d'une petite bataille de neige impromptue qui a éclaté .Thumb Ranch du diable et de la planification enlacés fait un travail fantastique réglage de la magnifique toile de fond pour cet événement magnifique Photographie
: Brinton Studios | Wedding Planner : planification enlacés | Cérémonie Lieu: Thumb Ranch du Diable | Réception Lieu: Thumb Ranch du
Timmy Shanti Feb 2017
Les ondes de la mer me caressent doucement.
Je me sens si heureux chaque seconde de mon être
Et j’oublie mes chagrins si divers légèrement.
Tout ce qu’on veut maintenant est s’unir aux belles-lettres
En quoi notre destin fut écrit autrefois,
Où les chemins de la vie sont toujours dégagés
Et nous sommes libérés des regrets, des outrages
Qui empêchent notre envie de partout voyager.
Nous manquons seulement de courage de fuir -
De nos craintes, vexations, amertumes et avis...
En étant caressés par les ondes de la mer
Commençons de nouveau: nouveau seuil de la vie.
Février '17
Shane Teter Dec 2011
A Beast of a man in appearance and soul,

A silhouette of her memories chilling him cold,

Sitting alone with his thoughts hating time,

Screaming inside trying to shatter his mind,

Immune to pain from his love of Roses,

The beautiful thorns struck vivd poses,

His love was a curse, She laid it herself,

A disease, a sickness, It shattered his health,

It occured at first sight of this beauty, This Belle,

Time had been spent she was treating him well,

His eyes wet with tears, His cold heart growing warm,

Foreshadowing revealed the oncoming storm,

She had to go away with a promise of return,

He gave her a ring and his voice had been stern,

He brushed her cheek gently and said very clear

"Remember my love, Im always right here"

After being home and revisitng her life,

She decided to stay, an unsuspected knife,

With the last of his soul he picked a final rose,

In the dark of his castle where the sun never rose,

Be it magic or hope the rose never dies,

Never to be witnessed by another Belles eyes,

He locked it away, Hidden without fail,

You say youve heard this? An old Fairytale?

I guess it is close. Similar at least,

Look closely my friend.. I am the Beast.
Jeune homme ! je te plains ; et cependant j'admire
Ton grand parc enchanté qui semble nous sourire,
Qui fait, vu de ton seuil, le tour de l'horizon,
Grave ou joyeux suivant le jour et la saison,  
Coupé d'herbe et d'eau vive, et remplissant huit lieues
De ses vagues massifs et de ses ombres bleues.
J'admire ton domaine, et pourtant je te plains !
Car dans ces bois touffus de tant de grandeur pleins,
Où le printemps épanche un faste sans mesure,
Quelle plus misérable et plus pauvre masure
Qu'un homme usé, flétri, mort pour l'illusion,
Riche et sans volupté, jeune et sans passion,  
Dont le coeur délabré, dans ses recoins livides,
N'a plus qu'un triste amas d'anciennes coupes vides,  
Vases brisés qui n'ont rien gardé que l'ennui,
Et d'où l'amour, la joie et la candeur ont fui !

Oui, tu me fais pitié, toi qui crois faire envie !
Ce splendide séjour sur ton coeur, sur ta vie,
Jette une ombre ironique, et rit en écrasant
Ton front terne et chétif d'un cadre éblouissant.

Dis-moi, crois-tu, vraiment posséder ce royaume
D'ombre et de fleurs, où l'arbre arrondi comme un dôme,
L'étang, lame d'argent que le couchant fait d'or,
L'allée entrant au bois comme un noir corridor,
Et là, sur la forêt, ce mont qu'une tour garde,
Font un groupe si beau pour l'âme qui regarde !
Lieu sacré pour qui sait dans l'immense univers,
Dans les prés, dans les eaux et dans les vallons verts,
Retrouver les profils de la face éternelle
Dont le visage humain n'est qu'une ombre charnelle !

Que fais-tu donc ici ? Jamais on ne te voit,
Quand le matin blanchit l'angle ardoisé du toit,
Sortir, songer, cueillir la fleur, coupe irisée
Que la plante à l'oiseau tend pleine de rosée,
Et parfois t'arrêter, laissant pendre à ta main
Un livre interrompu, debout sur le chemin,
Quand le bruit du vent coupe en strophes incertaines
Cette longue chanson qui coule des fontaines.

Jamais tu n'as suivi de sommets en sommets
La ligne des coteaux qui fait rêve ; jamais
Tu n'as joui de voir, sur l'eau qui reflète,
Quelque saule noueux tordu comme un athlète.
Jamais, sévère esprit au mystère attaché,
Tu n'as questionné le vieux orme penché
Qui regarde à ses pieds toute la pleine vivre
Comme un sage qui rêve attentif à son livre.

L'été, lorsque le jour est par midi frappé,
Lorsque la lassitude a tout enveloppé,
A l'heure où l'andalouse et l'oiseau font la sieste,
Jamais le faon peureux, tapi dans l'antre agreste,
Ne te vois, à pas lents, **** de l'homme importun,
Grave, et comme ayant peur de réveiller quelqu'un,
Errer dans les forêts ténébreuses et douces
Où le silence dort sur le velours des mousses.

Que te fais tout cela ? Les nuages des cieux,
La verdure et l'azur sont l'ennui de tes yeux.
Tu n'est pas de ces fous qui vont, et qui s'en vantent,
Tendant partout l'oreille aux voix qui partout chantent,
Rendant au Seigneur d'avoir fait le printemps,
Qui ramasse un nid, ou contemple longtemps
Quelque noir champignon, monstre étrange de l'herbe.
Toi, comme un sac d'argent, tu vois passer la gerbe.
Ta futaie, en avril, sous ses bras plus nombreux
A l'air de réclamer bien des pas amoureux,
Bien des coeurs soupirants, bien des têtes pensives ;

Toi qui jouis aussi sous ses branches massives,
Tu songes, calculant le taillis qui s'accroît,
Que Paris, ce vieillard qui, l'hiver, a si froid,
Attend, sous ses vieux quais percés de rampes neuves,
Ces longs serpents de bois qui descendent les fleuves !
Ton regard voit, tandis que ton oeil flotte au ****,
Les blés d'or en farine et la prairie en foin ;
Pour toi le laboureur est un rustre qu'on paie ;
Pour toi toute fumée ondulant, noire ou gaie,
Sur le clair paysage, est un foyer impur
Où l'on cuit quelque viande à l'angle d'un vieux mur.
Quand le soir tend le ciel de ses moires ardentes
Au dos d'un fort cheval assis, jambes pendantes,
Quand les bouviers hâlés, de leur bras vigoureux
Pique tes boeufs géants qui par le chemin creux
Se hâtent pêle-mêle et s'en vont à la crèche,
Toi, devant ce tableau tu rêves à la brèche
Qu'il faudra réparer, en vendant tes silos,
Dans ta rente qui tremble aux pas de don Carlos !

Au crépuscule, après un long jour monotone,
Tu t'enfermes chez toi. Les tièdes nuits d'automne
Versent leur chaste haleine aux coteaux veloutés.
Tu n'en sais rien. D'ailleurs, qu'importe ! A tes côtés,
Belles, leur bruns cheveux appliqués sur les tempes,
Fronts roses empourprés par le reflet des lampes,
Des femmes aux yeux purs sont assises, formant
Un cercle frais qui borde et cause doucement ;
Toutes, dans leurs discours où rien n'ose apparaître,
Cachant leurs voeux, leur âmes et leur coeur que peut-être
Embaume un vague amour, fleur qu'on ne cueille pas,
Parfum qu'on sentirait en se baissant tout bas.
Tu n'en sais rien. Tu fais, parmi ces élégies,
Tomber ton froid sourire, où, sous quatre bougies,
D'autres hommes et toi, dans un coin attablés
Autour d'un tapis vert, bruyants, vous querellez
Les caprices du whist, du brelan ou de l'hombre.
La fenêtre est pourtant pleine de lune et d'ombre !

Ô risible insensé ! vraiment, je te le dis,
Cette terre, ces prés, ces vallons arrondis,
Nids de feuilles et d'herbe où jasent les villages,
Ces blés où les moineaux ont leurs joyeux pillages,
Ces champs qui, l'hiver même, ont d'austères appas,
Ne t'appartiennent point : tu ne les comprends pas.

Vois-tu, tous les passants, les enfants, les poètes,
Sur qui ton bois répand ses ombres inquiètes,
Le pauvre jeune peintre épris de ciel et d'air,
L'amant plein d'un seul nom, le sage au coeur amer,
Qui viennent rafraîchir dans cette solitude,
Hélas ! l'un son amour et l'autre son étude,
Tous ceux qui, savourant la beauté de ce lieu,
Aiment, en quittant l'homme, à s'approcher de Dieu,
Et qui, laissant ici le bruit vague et morose
Des troubles de leur âme, y prennent quelque chose
De l'immense repos de la création,
Tous ces hommes, sans or et sans ambition,
Et dont le pied poudreux ou tout mouillé par l'herbe
Te fait rire emporté par ton landau superbe,
Sont dans ce parc touffu, que tu crois sous ta loi,
Plus riches, plus chez eux, plus les maîtres que toi,
Quoique de leur forêt que ta main grille et mure
Tu puisses couper l'ombre et vendre le murmure !

Pour eux rien n'est stérile en ces asiles frais.
Pour qui les sait cueillir tout a des dons secrets.
De partout sort un flot de sagesse abondante.
L'esprit qu'a déserté la passion grondante,
Médite à l'arbre mort, aux débris du vieux pont.
Tout objet dont le bois se compose répond
A quelque objet pareil dans la forêt de l'âme.
Un feu de pâtre éteint parle à l'amour en flamme.
Tout donne des conseils au penseur, jeune ou vieux.
On se pique aux chardons ainsi qu'aux envieux ;
La feuille invite à croître ; et l'onde, en coulant vite,
Avertit qu'on se hâte et que l'heure nous quitte.
Pour eux rien n'est muet, rien n'est froid, rien n'est mort.
Un peu de plume en sang leur éveille un remord ;
Les sources sont des pleurs ; la fleur qui boit aux fleuves,
Leur dit : Souvenez-vous, ô pauvres âmes veuves !

Pour eux l'antre profond cache un songe étoilé ;
Et la nuit, sous l'azur d'un beau ciel constellé,
L'arbre sur ses rameaux, comme à travers ses branches,
Leur montre l'astre d'or et les colombes blanches,
Choses douces aux coeurs par le malheur ployés,
Car l'oiseau dit : Aimez ! et l'étoile : Croyez !

Voilà ce que chez toi verse aux âmes souffrantes
La chaste obscurité des branches murmurantes !
Mais toi, qu'en fais tu ? dis. - Tous les ans, en flots d'or,
Ce murmure, cette ombre, ineffable trésor,
Ces bruits de vent qui joue et d'arbre qui tressaille,
Vont s'enfouir au fond de ton coffre qui bâille ;
Et tu changes ces bois où l'amour s'enivra,
Toute cette nature, en loge à l'opéra !

Encor si la musique arrivait à ton âme !
Mais entre l'art et toi l'or met son mur infâme.
L'esprit qui comprend l'art comprend le reste aussi.
Tu vas donc dormir là ! sans te douter qu'ainsi
Que tous ces verts trésors que dévore ta bourse,
Gluck est une forêt et Mozart une source.

Tu dors ; et quand parfois la mode, en souriant,
Te dit : Admire, riche ! alors, joyeux, criant,
Tu surgis, demandant comment l'auteur se nomme,
Pourvu que toutefois la muse soit un homme !
Car tu te roidiras dans ton étrange orgueil
Si l'on t'apporte, un soir, quelque musique en deuil,
Urne que la pensée a chauffée à sa flamme,
Beau vase où s'est versé tout le coeur d'une femme.

Ô seigneur malvenu de ce superbe lieu !
Caillou vil incrusté dans ces rubis en feu !
Maître pour qui ces champs sont pleins de sourdes haines !
Gui parasite enflé de la sève des chênes !
Pauvre riche ! - Vis donc, puisque cela pour toi
C'est vivre. Vis sans coeur, sans pensée et sans foi.
Vis pour l'or, chose vile, et l'orgueil, chose vaine.
Végète, toi qui n'as que du sang dans la veine,
Toi qui ne sens pas Dieu frémir dans le roseau,
Regarder dans l'aurore et chanter dans l'oiseau !

Car, - et bien que tu sois celui qui rit aux belles
Et, le soir, se récrie aux romances nouvelles, -
Dans les coteaux penchants où fument les hameaux,
Près des lacs, près des fleurs, sous les larges rameaux,
Dans tes propres jardins, tu vas aussi stupide,
Aussi peu clairvoyant dans ton instinct cupide,
Aussi sourd à la vie à l'harmonie, aux voix,
Qu'un loup sauvage errant au milieu des grands bois !

Le 22 mai 1837.
A seedling tiny of good remembered still
transformed uniform in vastness wavering
roots small of succor turn trunks huge sprouting
back from joys earthy,seeking skies many above
rejoined both, re rooted in mother earth eagerly,
hands and feet merged indistinguishably stoic
in an existence pure, to one being impervious.
a sapling soft now time twisted,gnarled,knotted
to an entity unique, massive of heart fused in soul
then just a being existing simply as one ordained so
by time!

sweet birds in me sing
on me your kids swing
around me in a ring
the gods now impinge
to them maidens cling
for a nice manly thing
under my cool wing
do elders advices bring
I amidst stand like a king
impassive to everything!

*A thought in my mind as I see the ancient tree in my village."Hemmara" in my native language of Karnataka, a state in India, means literally an ancient and massive tree.Normally and in some mysterious way this invariably will be a Banyan tree in the village center which has its roots growing out of the earth and joining the branches and branches stooping down and joining the earth to become roots! Around the tree over time idols of innumerable Gods spring up,Elders convene and advise the folk,kids play and village belles flock to pray for a good husband!!
K Balachandran Dec 2012
Walking along the bank
    of the  prancing village brook,
lined with screwpines
in full bloom spreading
                  musky scent
                 and shamelessly imitating the color of  your skin,
thinking of you all along,
on the way to Krishna temple
you frequent,
I see a surge-
a bevy of giggling village belles,
your ***** friends,
march forward,
holding the hearts of young men to ransom,
teasing me on the sly,
for courting you so ardently.
Who can stop them,
a barrage breach of
Cupid's darlings,
tailing me by chance.

   My eyes searched everywhere,
                    but but missed you so much,
     today they miss,
the crown jewel they deserve,
to be in the middle,
that can be only you always!

On the imaginary crown of them
you would have shone,
added charm and embellished
their victory lap,
in the guise of temple visit,
to worship the Lord, lover nonpareil,
whose love life is our lore.

              On long black tresses
they wore garlands of jasmine,
    can't help pity their haste
and muddled taste,
    you would have told your brood,
how jasmine would have felt,
     unless perfectly adorned on hair, those
incomparable blessing in fragrance.
"Like a lily among thorns, so is my darling among the maidens"
Song of songs (2:2)

— The End —