La vie qu'on cherche,
Les larmes qu'on verse,
L'élégance de la main,
Étendue sur notre tête.
Un sentiment toujours,
Déchiré par un être,
Ou par une âme trissée,
Dont le corps reste,
désormais inerte.
On vient tout seul,
Espérant qu'un jour,
Où c'est temps de partir,
On a vu l'amour d'autre,
Ou du moins qu'on a senti,
L'amitié d'un homme,
Dont la vie est rempli,
Par l'expérimentaion.
Cependant, ils vienent
Parfois les vents haineux
Immergeant la joie,
Dans les eaux du fléau.
Ainsi ce qui demeure,
Pour ceux qui survivent,
C'est la connaissance d'avant,
Et la lourdeur des souvenirs.
Mais il faut qu'on reprenne,
La poursuit de nouveau,
Désirant l'avenir,
Où nous attend le bonheure.
This is my first poem written in french, it talks about the obsecurity of a life in search of hapiness.