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keki Jan 2011
We reflect on objects and people that bring to to dead zone but we some times we need to get pass the present and look more to the futur
Michael R Burch Dec 2021
These are my modern English translations of sonnets by the French poet Stephane Mallarme.

The Tomb of Edgar Poe
by Stéphane Mallarmé
loose translation/interpretation by Michael R. Burch

Transformed into himself by Death, at last,
the Bard unsheathed his Art’s recondite blade
to duel with dullards, blind & undismayed,
who’d never heard his ardent Voice, aghast!

Like dark Medusan demons of the past
who’d failed to heed such high, angelic words,
men called him bendered, his ideas absurd,
discounting all the warlock’s spells he’d cast.

The wars of heaven and hell? Earth’s senseless grief?
Can sculptors carve from myths a bas-relief
to illuminate the sepulcher of Poe?

No, let us set in granite, here below,
a limit and a block on this disaster:
this Blasphemy, to not acknowledge a Master!

The original French poem appears after the translations

"Le Cygne" ("The Swan")
by Stéphane Mallarmé
this untitled poem is also called Mallarmé's "White Sonnet"
loose translation/interpretation by Michael R. Burch

The virginal, the vivid, the vivacious day:
can its brilliance be broken by a wild wing-blow
delivered to this glacial lake
whose frozen ice-falls impede flight? No.

In past reflections on its thoughts today
the Swan remembers freedom, but can’t make
a song from its surroundings, only take
on the winter's ghostly hue of snow.

In the Swan's white agony its bared neck lies
within a guillotine its sense denies.
Slowly being frozen to its inner being,
the body ignores the phantom spirit fleeing...

Cold contempt for its captor
is of no use to the raptor.



Le tombeau d’Edgar Poe
by Stéphane Mallarmé

Tel qu’en Lui-même enfin l’éternité le change,
Le Poète suscite avec un glaive nu
Son siècle épouvanté de n’avoir pas connu
Que la mort triomphait dans cette voix étrange!
Eux, comme un vil sursaut d’hydre oyant jadis l’ange
Donner un sens plus pur aux mots de la tribu,
Proclamèrent très haut le sortilège bu
Dans le flot sans honneur de quelque noir mélange.
Du sol et de la nue hostiles, ô grief!
Si notre idée avec ne sculpte un bas-relief
Dont la tombe de Poe éblouissante s’orne
Calme bloc ici-bas chu d’un désastre obscur
Que ce granit du moins montre à jamais sa borne
Aux noirs vols du Blasphème épars dans le futur.



Le Cygne
by Stéphane Mallarmé

Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui
Va-t-il nous déchirer avec un coup d'aile ivre
Ce lac dur oublié que hante sous le givre
Le transparent glacier des vols qui n'ont pas fui !
Un cygne d'autrefois se souvient que c'est lui
Magnifique mais qui sans espoir se délivre
Pour n'avoir pas chanté la région où vivre
Quand du stérile hiver a resplendi l'ennui.
Tout son col secouera cette blanche agonie
Par l'espace infligée à l'oiseau qui le nie,
Mais non l'horreur du sol où le plumage est pris.
Fantôme qu'à ce lieu son pur éclat assigne,
Il s'immobilise au songe froid de mépris
Que vêt parmi l'exil inutile le Cygne.

Stephane Mallarme was a major French poet and one of the leading French symbolist poets.

Keywords/Tags: Stephane Mallarme, France, French poet, symbolism, symbolist, symbolic, poetry, Edgar Allan Poe, grave, tomb, sepulcher, memorial, elegy, eulogy, epitaph, sonnet
Praying iv'e learnt my lesson
Now that they've starved me of attention
My momma used to say i was such a blessing
Till i grew up, i blew up
Now im locked up, being taught a lesson
All these drugs iv'e done left deep scars
The only cure was to deprive  me of my freedom
Now my insides are healing, behind bars
Prayng iv'e learnt my lesson
Unless this deprivations just a vacation
to depress a life of inevitable desperation
a temporary suppresion of a shamless existance
My mother prays i learnt a lesson
She prays for a better person
A person with a brighter futur
A futur full of succession, accomplishing the unexpected
I dont know what she is expecting
The bar is set so high
i will restart when i escape  these bars im behind

My father prays I lead a better life
The choices are mine, he can only give advice
Suggest to me a cleaner life
Tell me to choose a righteous wife
Hope I find happiness, adivse me to get rich
He prays i lead a simple life
He reminds me how lifes a test and you have to take it
As we saty awake and reminise of his mistakes
He prays i learnt from his misfortune
And commemorate his story
I pray i learnt my leasson
Get released into futur blessings
Paul d'Aubin Dec 2016
Ce si long chemin des Mages

Ils se mirent en route juchés sur leurs chameaux,
pour accomplir les prophéties prolongées par leurs subtils calculs.
C'étaient de fameux astrologues et des savants emplis de bonté, de sagesse et de savoir.
Ils n'avaient pu dresser du Cosmos et du chemin à parcourir que des cartes incomplètes mais se mirent d’accord pour suivre cette étoile nouvellement apparue, déjà annoncée dans les écrits anciens.
Cette étoile se manifesta à leurs longues scrutations du cosmos en brillant avec une clarté particulière dans le ciel des comètes.
Deux Mages partirent de Chaldée, le troisième vint des hautes sources du Nil.
Ils se rejoignirent à Jérusalem dans le palais du roi Hérode.
Leur entretien fut marqué par des échanges de présents, de paroles, de miel et d'observations méfiantes  mutuelles.
Cependant, Hérode, s'enquit avec cautèles du motif d'un si long voyage et demanda s'il était en lien avec cette étrange prophétie annonçant la naissance d'un nouveau-né destiné à devenir un jour le probable roi des Juifs.
Puis il demanda qu'ils veuillent bien lui faire connaître l'endroit exact où était tenu ce nouveau futur roi pour l’honorer à son tour.
Les Mages hochèrent la tête avec gravité et évitèrent de se prononcer sur la demande pressante qui leur était faite.
Puis les Mages prirent congé du Tyran Hérode en l'incitant à préférer la pratique de la sagesse plus que de verser dans l' « hubris » que blâmaient tant les philosophes Grecs.
Dès qu'ils eurent repris leur étrange voyage, le roi cruel rongé, par la peur, ordonna à ses espions de suivre les Mages jusqu'à leur probable découverte.
Bien sûr, les Mages furent suivis par de nombreux espions à cheval mais ils dormaient rarement dans des auberges ou des caravansérails.
Pour éloigner leurs suiveurs, les Mages voyageaient souvent de nuit car les suivre devenait alors difficile.
Et, eux seuls, connaissaient l'étoile messagère.
Plusieurs fois, ils perdirent leur chemin s'égarant entre les monts et le fleuve Jourdain.
C'est ainsi qu'ils finirent par égarer les espions.
Avant de s'endormir ils discutaient des sujets inépuisables des science mais surtout de cet enfant à naître promis à tant d'espoirs, du moins l'interprétaient-ils ainsi.
Ils ne savaient pas exactement quel nourrisson, ils allaient trouver, et qui et ou, étaient et résidaient ses parents.
Puis ils pénétrèrent dans un pays d'éleveurs, de rochers et de grottes.
Certains ont dit que c'était le pays de Bethléem de la tribu de David, d'autres ont rapporté que c'était le hameau lui aussi nommé Bethléem mais proche de Nazareth ou Joseph avait son atelier.
Mais le doute est resté tant les témoignages sont souvent bien difficiles à interpréter.
Ce qui est sûr, c'est que l'étoile messagère devint soudain rouge feu et projeta sa clarté tombante sur la terrasse d'une modeste auberge emplie de voyageurs.
Ils se firent connaître de l'hôtelier et demandèrent que leur soit présenté un nouveau-né qui serait abrité ici.
Jésus, fils de Joseph et de Marie, avait été placé dans une mangeoire servant de berceau dans une chambrette bien chèrement louée.
Mais le nourrisson dormait, le plus souvent, et parfois tétait comme tous les bébés de son âge.
Les Mages furent éblouis par tant de simplicité et d'innocence pour celui qui avait été annoncé par tant de prophéties lui annonçant un si grand destin.
Les Mages se présentèrent aux parents, firent connaître la prophétie, leur donnèrent les présents variés; l'or, l'encens et la myrrhe et incitèrent vivement Joseph à se défier du perfide Hérode mais aussi d'un roi criminel de Cœlé-Syrie nommé Cheb Bachar el-Assad et de son complice, le Boyard au visage anguleux et aux yeux froids d'esturgeon, vêtu d'une Chapka et d'un Kaftan et leur commun admirateur et complice Celte, « Fourbix Fillonix » à la triste figure.
Avec l'or qu'ils leurs avaient donné les parents pourraient se rendre aussi discrètement, le plus tôt possible, dans « le pays des pharaons. »
Ils ne pourraient revenir que lorsque la froideur et la rigidité des membres auraient saisi le corps du Tyran qui avait déjà fait périr sa magnifique femme Mariamne, l’Hasmonéenne et deux de ses propres enfants.

Les Mages comprirent alors que le sens profond de leur voyage était de mettre, à l’ abri, pour le futur ; eux, les hommes de savoir, une famille dont le nouveau-né était déjà, en quelque sorte, déjà un « réfugié politique » avant que d'avoir pu marcher et parler.
Car de tout temps le vrai savoir fut souvent l'un des rares secours des Peuples opprimés par ces tyrans ne vivant qu'entre peur et crimes, selon la très ancienne malédiction de ceux qui usent de ce pouvoir immodérément.
Joseph et Marie, avertis par les Mages et de surcroît par un songe fuirent avec discrétion en Egypte dans le pays de Pharaon mettre Jésus à l’abri de la folie sanguinaire de celui qui transmutait sa propre peur en sang. Plus de deux mille ans après,  les questions presque insolubles de la tyrannie et de l’accaparement de l'argent, de la liberté des consciences et religieuses et du pouvoir ne sont toujours pas réglées.

Paul Arrighi
The idea of sobriety used to be insanity
Until they put me in a cage and threw away the key
Locked up, i started coming down
Rocket man, returning to reality
No longer warping between space and time
Just a bunch of time in a small space
lost in history
Started to realize i was my own worst enemy
Unhappy with life,unsatisfied with my so called wife
Began curing my symptoms artificially
Making craters within me
Running to nowhere
Losing myself in a cloud of dust
Forgetting what my life was all about
Everything i knew was upside down
My strengths became my weakness' and my weakness was so powerful
making money from the poison, and ingesting it for free
seemed so lucrative at the time being
Money and drugs had abolished me
Devoured by the incubus in my dreams
totally discnnected from reality
Hit rock bottom

What's lost can always be found
Now rock bottom has become my new foundation
barely living outside of memories
I have a second chance at living
Sobriety is no longer an idea, its a sensation
Eating properly,becoming healthy, and getting stronger daily
My nights belong to dreaming, no longer fiending
My futur is no longer carved in stone
Im regaining control and will leave my futur to the unknown
Paul d'Aubin Dec 2016
Des Cassandres incomprises ?


Elle maudissait encor le baiser refusé à celui qui aurait pu devenir son amant. Le bel et fier Apollon s’était vengé de son refus, en lui soufflant sur la bouche, afin que le don de divination, déjà donné, soit réduit à néant, et qu’elle ne fut jamais crue. Cruel sort qui la condamnait à connaître le futur, en restant incomprise aux yeux de toutes et de tous, parmi celles et ceux qu’elle chérissait, et auxquels elle voulait épargner le malheur. Aussi lorsque tu vis naître ton frère Pâris, tu informas ta mère des sombres présages que son devenir présentait pour la famille royale. Hélas, mal avisés, Priam et Hécube, après l’avoir éloigné finirent par lui donner une ambassade à Sparte. Ou il fut séduit et enleva Hélène la si belle. Puis vint ce jour funeste, quand tu vis, le port de Troie presque masqué par des milliers de voiles rouges, et autant de vaisseaux munis d’éperons. Tu ressentis, une peur panique, celle, de la mort, de toutes celles et ceux que tu aimais, et tu versas des larmes salées pour tous ces jeunes hommes qui allaient perdre la vie, dans des combats menés autours des remparts. Avant que les chevaux géants de bois, funestes, dont personne ne te crut pour le danger annoncé entrèrent dans la ville, alors que l’armée Achéenne faisait mine de se retirer. C’est ****, dans la nuit, qu’à la lueur des torches, les guerriers, sortirent des flancs des chevaux géants et jaillirent en hurlant, pour porter le malheur dans ta chère Troie. Glacée d’émotion et d’épouvante tu te réfugias auprès de l’autel sacre d’Athéna, Pour préserver ton corps gracieux des outrages de l’ennemi. Mais c’était sans compter sur Ajax le furieux, qui faisant fi de la protection sacrée que t’offrait le temple, te pris malgré tes cris et tes pleurs, déchira ta blanche tunique, te traina par les cheveux sur l’autel. Et violenta ton corps avec plus de brutalité que de désir. Tu aurais voulu mourir, mais Athéna, elle-même, insultée, comme Déesse, dans son propre temple, ne le voulut point. C’est le roi Agamemnon, qui te trouva déflorée, prostrée et en larmes, et te fit prisonnière, et te gardant en vie, pris la décision de te ramener à Mycènes. Tu le mis en garde contre la jalousie qu’allait éprouver sa femme, Clytemnestre Mais ce fut vain, et toi, déshonorée et prisonnière tu ne voulais plus vivre. Tu tendis ta gorge à cette jalouse implacable, peu après avoir débarqué Et son geste de mort fut ton soulagement, oh, toi devineresse, jamais crue.
Après Cassandre la Troyenne, il y eut d’autres fameuses Cassandre. Louise Michel, institutrice porta sa flamme aux Communards, Et faite prisonnière réclama une mort qu’on n’osa pas lui donner. Transformant sa peine de déportation en Nouvelle Calédonie, Ou elle refusa de faire chorus contre les canaques. Enfin libérée elle soutint ses sœurs et frères, les prolétaires, et brandit le drapeau noir des Libertaire, qui faisait si peur. Cette Femme admirable resta souvent incomprise, dans ses combats et sa soif d’un Monde plus humain. Cette solitude aussi doit être le sceau des Cassandre. De l’autre côté du Rhin, et même, en Pologne a Zamość, naquit une nouvelle Cassandre. Fière comme un aigle, pensive comme une colombe, elle avait pour prénom Rosa, mais pas de celles avec épines, Son nom était Luxemburg, et c’était vraiment un être de lumières. Une pensée étincelante, une volonté de duchesse Espagnole, et une lucidité aussi grande que les feux de ses passions. Rosa lutta, dès le début contre la guerre et la capitulation des esprits, devant ces monstres d’acier, de feu et de gaz moutarde. Qui allaient ravager l’Europe en fauchant des millions de vies. Mais dans cet empire si discipliné, elle fut emprisonnée, pour lui faire expier son opposition à cette guerre fratricide, et afin que les consciences restassent bien éteintes. Mais son courage était sans borne avec son amant Leo Jogiches, Et la force de conviction de Karl Liebknecht. Ayant passé la majeure partie de la guerre, emprisonnée, elle étudiait sans répit et faisait parvenir des articles, pour ses amis de la « ligue Spartacus ». Elle défendait la Liberté, comme le vrai diamant du socialisme à venir. Mais les États-majors militaires et politiques la haïssaient. Libérée par la chute du kaiser, elle reprit sa passion, de journaliste à la plume de feu à la «Rote Fahne.» Elle s’efforçait d’éclairer des masses trompées par des bergers par trop intéressés, timorés et menteurs. Elle rejetait aussi toute illusion de putsch et de violence armée. Hélas, elle ne fut pas écoutée par les irréfléchis à la parole haute, ni par les têtes remplies de vent et encor imprégnèes par les usages récents de tant de violences inoculées durant et par ces années de guerre et de tueries. Ces hâtifs et ces simplistes au verbe haut déclenchèrent l’émeute dans Berlin, qui allait devenir leur commun linceul. Elle décida cependant de ne pas se désolidariser des révoltés, D’ailleurs arrête-on sans digue un torrent furieux ? Rosa, refusa d’ajouter l’enjeu de sa survie et sa propre peur à la désorientation générale de ses camarades. Consciente de l’échec, Rosa écrivit son dernier article sur : « L’ordre règne à Berlin, L’ordre règne à Varsovie », « l’ordre règne à Paris », « l’ordre règne à Berlin ». Tous les demi-siècles, les gardiens de « l’ordre », lancent ainsi dans un des foyers de la lutte mondiale leurs bulletins de victoire Et ces « vainqueurs » qui exultent ne s’aperçoivent pas qu’un « ordre», qui a besoin d’être maintenu périodiquement par de sanglantes hécatombes, va inéluctablement à sa perte.» Puis Rosa, rentra chez elle, sans prendre de précaution ni se cacher vraiment. Nourrissait-elle quelconque illusion sur son ennemi, Gustav Noske? Lequel revendiqua, pour lui-même, le douteux honneur d’avoir tenu le rôle d’un « chien sanglant » Ou avait-elle, plutôt du mal à regarder l’horreur de la haine et les tréfonds de la barbarie ? Amenée par les soldats des corps francs elle fut interrogée et se tut. Puis, ce beau front pensif et cette tête bouillonnante d'avenirs reçut de violents coups de crosse, avant que les barbares ne lui tirent une balle dans la tête,
et ne la jettent inanimée dans le canal.
Une Cassandre de plus était victime de la froide cruauté,
et des peurs qu'inspiraient la création d'une société nouvelle.
Mais l'esprit des Cassandre survit dans les braises de la lucidité
Aujourd'hui, nous avons probablement des Cassandre parmi nous,
dans les braises de la vérité en marche, qu’il nous faut oser écouter en les aidant à dessiller nos yeux encore clos. dont l’esprit s’est forgé.

Paul Arrighi.
Julian Delia Aug 2018
M’hemm ebda mod ieħor
Li stajt niddivina, biex forsi tisimgħuni –
Bil-Malti issa qlibt, jekk forsi qegħdin tinnutawni.
L-ewwel ħaġa:
Fehmuni għalfejn għadha tezisti d-duttrina.
Akkost li xi ħadd jibgħatni nieħdu jien u nirfes il-bankina,
Ser ngħidha!

Għax ma ngħallmux lit-tfal tagħna
Jifhmu l-imħabba lejn il-proxxmu
Minflok il-liġi inuffiċjali
‘Min mhux magħna kontra tagħna?’  
Għax ma nitgħallmux niddiskutu u niddibattu,
Forsi nċedu ftit, flok dejjem nċaħħdu u nirribattu?
Forsi immexxu bl-eżempju; flok immorru sa’ tempju
Nitpaxxew b’deheb misruq u b’moħħ magħluq,
Nitgħallmu nieqfu niskappaw u nistaħbew,
Wara wiċċ imżejjen falz, jew xi metafora.

It-tieni ħaga, u għalissa nieqaf haw’:
Fehmuni għalfejn lesti li l-futur taghna ninġazzaw?
Nikkompromettu, nidħlu fid-dejn,
Il-valuri tagħna nirremettu, basta fl-aħħar tax-xahar
Jidħlulna imqar dawk l-elfejn.

Qabli hawn oħrajn li dan il-kliem diġà qaluh –
Malta m’hijiex ward u żahar u kollox ifugħ.
Anzi, l-intiena tal-korruzzjoni tqanqallek id-dmugħ.
Jien ma ġejtx hawn biex immaqdar u nitlaq,
Nixtieq li nkunu konxji u nieħdu dak li jixraq.
Jekk inti tixtieq hekk ukoll,
Mela ejja ningħaqdu, għax għandna ħafna xoghol.

__________________

­[in English]

There is no other way I could divine
To make you hopefully listen to me –
You may have noticed I switched to Maltese.
The first thing on the list;
Can someone explain why (religious) doctrine still exists?
Although this may elicit someone’s anger as I step out on the sidewalk,
I shall say it!

Why don’t we teach our children
To understand loving one’s fellow man
Instead of the unofficial law
‘Whoever is not with us, is against us?’
Why don’t we learn to discuss and debate,
Maybe concede a bit, rather than deny and rebate?
Maybe lead by example; instead of going to a temple,
Awed by stolen gold and closed minds,
Learn to stop escaping and hiding
Behind a fake, decorated face, or a metaphor.

The second thing on the list, and I’ll stop ‘ere:
Can someone explain why we’re ready to ruin our future?
Compromising, racking up debt,
Our values we are regurgitating as long as, at the end of the month,
We get a couple thousand (as in, money).

Others before me have already said these words –
Malta isn’t all flowers and roses, and not everything is fragrant.
Actually, the stench of corruption will make you cry.
I am not here to complain and leave,
I just wish we’d be aware so we can get what we deserve.
If you want this as well,
Then let us join together, for we have a lot of work to do.
A poem in my native tongue, Maltese.
Jey Jun 2014
I love you
I don't know
why
but I do

If you are
to ask me
what I saw
in you

I'd say
nothing
other than our
future.

I love you
I think now
I know why
and I'd always do.
Air breton. -

Adieu, patrie !
L'onde est en furie.
Adieu, patrie !
Azur !

Adieu, maison, treille au fruit mûr,
Adieu, les fleurs d'or du vieux mur !

Adieu, patrie !
Ciel, forêt, prairie !
Adieu, patrie,
Azur !

Adieu, patrie !
L'onde est en furie.
Adieu, patrie,
Azur !

Adieu, fiancée au front pur,
Le ciel est noir, le vent est dur.

Adieu, patrie !
Lise, Anna, Marie !
Adieu, patrie,
Azur !

Adieu, patrie !
L'onde est cri furie.
Adieu, patrie,
Azur !

Notre œil, que voile un deuil futur,
Va du flot sombre au sort obscur !

Adieu, patrie !
Pour toi mon cœur prie.
Adieu, patrie,
Azur !



Jersey, le 31 juillet 1853.
« Notre amour était mon seul arme
                                     Aujourd’hui  j’ai que des larmes
Notre confiance  était le seul accord
                    Maintenant le doute tue votre propre âme
J’ai compris votre jalousie mais
                            N’oublies pas que je suis une femme
Une femme amoureuse de toi ,fidèle
                        Et surtout confiante à toi et à moi-même
Oublies les paroles ,et les critiques des autres
         Laisses nous vivre une histoire pleine de charme
Pardonnes moi de tous ce que j’ai fait
                                 Stp pardonnes votre futur dame  »
Elle m’ a dit;
J’ai répondu:
  « personne ne mérite tes larmes
             Et celui qui les mérite ne fera surement pas pleurer
Sois sur que je te souhaite que de bonheur
             le bonhur… que t'  attends...
                                          avec quelqu'un que  tu admires
  Tu as choisi de jouer  tes cartes au profondeur
                 Et mon jeu était toujours à la hauteur
Tu as détruit ton propre  amour
  Tu m’as perdu pour toujours
                                pour m’oublier    ,  Tu as besoin du temps
                                mêmes les anges ont besoins du temps de repos
cherche quelqu’un qui fait rire ton cœur
moi je ne peux  t’assurer que de malheur
                                           la vie m’a donné une deuxième chance
                                              je vais rattraper mes fautes d’enfance  
tu étais la grande faute de ma vie
tu es la personne que  …………j’ ai pas envie.   »

Abdelkadir BELHADJ
Poetoftheway Nov 2017
"looking at the future of your creation...
when creation is the art of being in the moment"

~program notes from the Grand Finale, a dance by Hofesh Schecter, choreographer, composer~

<•>

as one who makes their living, affirms their existence,
by staring at the blue-white screen,
a blank black backdrop, an empty stage,
a blue lined spiral-notebook, stationary store fresh

thinking only of the inky black commandment of
what next -

a contradiction comprehended with perfect understanding,
for the composition unborn unimagined yet
shaping, chafing, child birthing, will be seeded thru
many tiny moments of webbed connected secretions,
imaging the whole, yet the future arrives serialized as drops,
slow and singular, additive and adhering, even addicting

throw them all up to the ceiling tableau,
a letter, a note, a visionary imagery
of many dancers bodies
in photo time-lapse time captured

what sticks, what returns, the returns
needy of refurbishment, a fresh dice throw,
the retrofitting of a new combination moment

thus the future forms, the wet moments fill the crystal glass,
spilling over, spilling out from within, when all spent,
all the next moments are silent, water stilling,
le futur est arrivé,
but the individuals that are its construct,
wave friendly to you, asking do you remember me,
tenderly, parentally, I concede to each their birthright,
how they transversed from the past,
presented into the future, only to arrive in
the here and now,

as a present to us all

11/11/17 8:55am
Shylah S Sep 2014
J'ai apprendre le français.

J'apprends les mots inutile.

Quand vais-je utiliser,

"Je regrette, mais restaurant est complet"

ou

"L'addition s'il vous plait."

Ils sont inutilisable!

Quand vais-je utiliser

etre, avoir, aller,....

Pourquoi sont-ils irrégulier?!?

Pourquoi peux-je mémoriser tout la grammaire,

présent, passé composé,  futur simple, impératif

et beaucoup d'autres.

But people tell me,

English is more complicated than French.

Sigh.

I don't like french.

I mean, "Je n'aime pas français"
Sorry, sorry a little rant about learning french. I have a final test coming up. Also if there are any mistake, please tell. My french needs a little help.
Paul d'Aubin Jun 2016
Il se dressait dans la verdure,
Telle une hampe pour les cieux.
C'était un séquoia géant
Venu des prairies d’Amérique
Et des forêts Algonquines.
Il avait voyagé en cale,
Soigné comme un voyageur,
Argenté, durant toute la traversée.
Il fut planté mais aussi fêté
En l’an mille huit cent quatre-vingt
Dans le parc du futur Casino,
Puis soigné par des jardiniers
Amoureux de leur métier.
En ces années s’affermissait enfin
La République, certes bien trop conservatrice,
Elle l’est d’ailleurs bien restée.
C’était quand même la République
Même à Luchon qui étincelait encore
Des feux et des ors de la fête impériale
Qui lui avait amenés
Tant de touristes au gousset rembourré
Et quand s’affermissait cette République
En cette «belle époque» des fortunés
Et d'exploitation éhontée
De tant d’autres laissés bien seuls
Par la naissance et sans instruction.
Mes aïeux Pyrénéens
Le virent planter et même pousser
Car en ces temps, encore,
Les sages et les doux prenaient plaisir
À observer et contempler
Les belles Dames en leur vêture
Et les arbres pousser peu à peu,
Jusqu’un jour à feindre de dépasser
La cime des ardoises Pyrénéennes.
Ce fut un Séquoia somptueux
Dès qu’il atteint ses vingt ans
En cette année dix-neuf cent
Alors que la compagnie du Midi
Faisait construire, non **** de lui
Le bel hôtel palace qui fut fini
En 1916, j’en ais la gorge serrée
Car la bas, tant de maçons
Ne le virent jamais construit
Et n’eurent pas le bonheur
D’admirer le grand Séquoia pousser
Car leur jeunesse fut  ravie
Là-bas en Argonne ou à Verdun
Où tant de jeunes hommes mourraient
Dans les tranchées de leur  dernier souffle.

Paul Arrighi
Heartbreak Motel May 2015
I want to fall in love with your words,
your smile,
your hand above mine.

I want to remember your eyes,
your body,
your favorite perfume.

I want to feel your breath in my neck,
my hand in your brown hair,
my lips on your cheek.

I want to know your fears,
you dreams,
your past,
talk about your futur.

I want to be your friend,
your lover,
the person you call in the middle of the night,
i want to be yours.
O.P
Kenn Rushworth Jul 2016
Th  lost l tt r
Cam  to m
V ry far in th  futur
Missing th  targ t dat  by mil s

It r ad of lov
A lov w  had miss d
Sw pt away, gon
In th s achang of y ars
Maya Akiki Oct 2015
Il était trois fois,
Deux petites araignées,
Qui faisaient la course
À qui tire le plus court fil.
C’était toujours la rouge qui gagnait,
Car son sang coagulé,
Sur le bout de ses pates,
Rendait ses mouvement plus lents.
Elle faisait de toute sa faiblesse,
Couler son âme noire,
Emprisonnée dans son troisième œil,
Afin de rendre son fil plus visqueux.

Son amie, aveugle de ses sept yeux,
Ne voyait que son propre parcours,
Elle n’avait jamais à refaire son tour,
Son chemin étant déjà tracé.
Elle n’avait ni crainte ni peur,
De son adversaire satanée,
Cachée du côté,
Où elle ne pouvait regarder.
Bercée par sa nonchalance,
Elle ne se doutait point,
Qu’elle était le fruit,
Du dessin de son amie.

Il était trois fois,
Une petite araignée
Futur d’un passé oublié
Sur un papier accroché
A la toile de cet instant.
Alicia Strong Sep 2011
You asked me **one time,
why I liked the stars so much,
and I didn't really have an answer for you.
But now I do.
I like the stars because,
we're really seeing the past,
and it seems to me that I liked my past
more than I'm going to like my future.
Chantres associés et paisibles rivaux,

Qui mettez en commun la gloire et les travaux,

Et qu'on voit partager sans trouble et sans orage

D'un laurier fraternel le pacifique ombrage ;

Lorsque de toutes parts le public empressé,

Chez l'heureux éditeur chaque jour entassé.

De vos vers en naissant devenus populaires

Se dispute à l'envi les dix-mille exemplaires,

Pardonnez, si je viens à vos nobles accents

Obscur admirateur, offrir ma part d'encens.


Sur les abus criants d'un odieux système,

Lorsque le peuple entier a lancé l'anathème,

Et contre ces vizirs honnis et détestés,

S'est levé comme un homme et les a rejetés ;

Du haro général organes satiriques,

Vos vers ont démasqué ces honteux empiriques ;

Votre muse, esquissant leurs grotesques portraits,

D'un ridicule amer assaisonnant ses traits

Contre chaque méfait, vedette en permanence.

Improvisait un chant, comme eux une ordonnance,

Combattait pour nos droits, et lavant nos affronts,

D'un iambe vainqueur stigmatisait leurs fronts.

Mais lorsqu'ils ont enfin, relégués dans leurs terres,

Amovibles tyrans, pleuré leurs ministères.

Votre muse, à leur fuite adressant ses adieux.

Dans une courte épitre a rendu grâce aux dieux.

Dédaignant d'accabler, tranquille et satisfaite.

Ces ignobles vaincus meurtris de leur défaite.


Lors il fallut trouver dans ce vaste univers

Un plus noble sujet qui méritât vos vers :

Et vous avez montré dans les champs d'Idumée

L'Orient en présence avec la grande Armée,

Le Nil soumis au joug et du vainqueur d'Eylau

Le portrait colossal dominant le tableau.

Et quel autre sujet pouvait, -plus poétique.

Présenter à vos yeux son prisme fantastique ?

Quel autre champ pouvait, de plus brillantes fleurs

Offrir à vos pinceaux les riantes couleurs ?

Une invisible main, sous le ciel de l'Asie,

A, comme les parfums, semé la poésie :

Ces peuples, qui, pliés au joug de leurs sultans,

Résistent, obstinés à la marche du temps ;

Ces costumes, ces mœurs, ce stupide courage

Qui semble appartenir aux hommes d'un autre âge,

Ces palais, ces tombeaux, cet antique Memnon

Qui de leurs fondateurs ont oublié le nom ;

Ce Nil, qui sur des monts égarés dans la nue,

Va cacher le secret de sa source inconnue ;

Tout inspire, tout charme ; et des siècles passés

Ranimant à nos yeux les récits effacés.

Donne à l'éclat récent de nos jours de victoire

La couleur des vieux temps et l'aspect de l'histoire.


Votre muse a saisi de ces tableaux épars

Les contrastes brillants offerts de toutes parts :

Elle peint, dans le choc de ces tribus errantes

Le cliquetis nouveau des armes différentes,

Les bonnets tout poudreux de nos républicains

Heurtant dans le combat les turbans africains.

Et, sous un ciel brûlant, la lutte poétique

De la France moderne et de l'Asie antique.

Temps fertile en héros ! glorieux souvenir !

Quand de Napoléon tout rempli d'avenir,

Sur le sol de l'Arabe encor muet de crainte,

La botte éperonnée a marqué son empreinte,

Et gravé sur les bords du Nil silencieux

L'ineffaçable sceau de l'envoyé des cieux !

Beaux jours ! où Bonaparte était jeune, où la France

D'un avenir meilleur embrassait l'espérance.

Souriait aux travaux de ses nobles enfants,

Et saluait de **** leurs drapeaux triomphants ;

Et ne prévoyait pas que ce chef militaire

Vers les degrés prochains d'un trône héréditaire

Marchait, tyran futur, à travers tant d'exploits ;

Et mettant son épée à la place des lois,

Fils de la liberté, préparait à sa mère

Le coup inespéré que recelait Brumaire !


Mais enfin ce fut l'heure : et les temps accomplis

Marquèrent leur limite à ses desseins remplis.

Abattu sous les coups d'une main vengeresse,

Il paya chèrement ces courts instants d'ivresse.

Comme j'aime ces vers où l'on voit à leur tour,

Les rois unis livrer sa pâture au vautour ;

Des pâles cabinets l'étroite politique

Le jeter palpitant au sein de l'Atlantique,

Et pour mieux lui fermer un périlleux chemin,

Du poids d'indignes fers déshonorer sa main.

Sa main ! dont ils ont su les étreintes fatales,

Qui data ses décrets de leurs vingt capitales.

Qui, des honneurs du camp, pour ses soldats titrés.

Après avoir enfin épuisé les degrés.

Et relevant pour eux les antiques pairies,

Sur les flancs de leurs chars semé les armoiries,

Pour mieux récompenser ces glorieux élus,

A de la royauté fait un grade de plus.


Et vous, qui poursuivant une noble pensée,

Aux travaux de nos preux fîtes une Odyssée,

Qui montrant à nos yeux sous un soleil lointain

Ces préludes brillants de l'homme du destin,

Avez placé vos chants sous l'ombre tutélaire

D'une gloire historique et déjà séculaire,

Mêlés dans les récits des âges à venir,

Vos vers auront leur part de ce grand souvenir :

Comme, sous Périclès, ce sculpteur de l'Attique

Dont la main enfanta le Jupiter antique,

Dans les siècles futurs associa son nom

A l'immortalité des Dieux du Parthénon.
Sukeey Sue Jun 2011
Au cimetière des innocents
Je pensais profondément
je marchais si lentement
et je ne faisais jamais attention
j'ai trouver la mort joyeuse,
souriante et moqueuse
avec son hache ravageuse
si terrifiante si dangereuse
Je l'ai vu mais j'ai pu rien faire,
je me suis dis vaut mieux se taire,
j'avais peur que sous un des ses tombes elle m'enterre
Mais un jour j'ai osé lui parler, la confronter
en espérant changer la douloureuse réalité
Mais hélas elle m'a tué,
car personne n'a osé m'aider
ni me défendre ni simplement m'encourager
Et aujourd'hui je suis sous la terre
absorbante ce poison amer
priante pour un futur plus beau et plus clair

© Sùkeey
G Apr 2015
Rouge
Comme les pétales de roses
Envolées
Qui bougent,
Afin que j’ose
Te donner un baiser.

Orange
Comme la pleine lune
Qui séduit
Étrange,
Ta caresse opportune
Qui glisse et s’enfuit.

Jaune
Comme le diamant
De couleur
Trouvé dans la faune,
Je saisi dans l’instant
Et ton sourire cajoleur.

Vert
Comme l’espoir
Qui s’installe
A découvert
Dans tes yeux noirs
Ou rayonne l’amour fatal.

Bleu
Comme le ciel pur
Aux reflets
Délicieux
Qui dessine notre futur,
Sans regrets.

Indigo
Qui es-tu ?
Plus bleu que bleu
Un faux ?
San vertu ?
Alors ami, fais le beau.

Enfin s’immisce le Violet
Dans le noir de l’encre
De tes tatouages.
Alors j’ouvre les volets
De nos amours tendres
Sans ambages.
Amours multicolores-le 16 juillet 2014, pour Charles
G Apr 2015
À l'allure
Ou tout se passe
L'Univers
Vit à la dure
Et grimace,
Débonnaire

Les drones
Tuent,
Les transgénique
Prônent
Les goûts confluent
En clique

L'artificiel
Triomphe
Impunément
Le superficiel
Se gonfle
De compliments

Alors, fatigué
Du futur
Le temps s’arrête
Couvrant de baisers
Impurs
Les couples en fête.

L'Amour
Triomphe toujours
Sur le faux
Mes yeux de velours
Sans détour,
T'aiment, sans dire un mot.
Au confluent du provisoire. Le 4 avril 2014-G.
G Apr 2015
Ouf,
L’étoile
S'est envolée
Sans un souffle
La voile
A tournée

Le décor
Du Ciel
Inondé de lune
Invite nos corps
À l’essentiel,
La douceur est à la une.

Je me rappelle
Des nuits
Solitaires
Défilant à la pelle
Suggérant l'ennui,
Débonnaire.

L’instant devient pur
Le silence ronronne
De joies éphémères,
Vive le futur
Que l’Amour fanfaronne
Été comme hiver.
Pour Charles, le 18 mai 2014 -G.
FictionisReal Apr 2013
Hi, I'm suicidal
I don't hav
e* anyone to talk to
Yes I've scrolled through my contacts twice
Not a number exists I can tell the darkness to
Hotlines are impersonal to the fact I'm on the
other side of the line with My future floating
In the tub So here I sit with water waiting under
My eyes I got nothing to lose
Just my life some people think I want the attention
Well I do I'm suicidal
I want someone to break the cold around me to notice
I'm getting slower that I'm fading Going crazy inside
Slowly numbing to all this life inside my heart
What now I'm confused in pain in away that's uncontrollable
Seems like every hour ticks so slow for me
Yes I'm suicidal
You might think I need to cry but I don't know how
I've done it so much I just woke up and forgot  how
So this paper will be dry no tear stains will blemish
My last words these words
I'm suicidal and these are the last words in my living testimony
Of how I've tried to wait it out and I just gotta
Go from it all got nothing to lose except my life


Hi I'm *
DEAD
Roxanne Pepin Jun 2010
Dear Cancer,

I write this letter with nothing but sincerity and honesty. I think it’s time to say that no one likes you. And you should go the **** home. You’ve caused nothing but unpleasantness and to state the truth, you were never welcome here, or anywhere. You’ve successfully decayed our humour and allow us to frequently use indecent and ****** words. For the futur, keep in mind that you will never be greeted with a smile or the slightest salut. You will forever be cursed upon, as I am cursing you now. You’re the best at ruining lives, and you’re even better at causing misery than you are at tearing out hearts. I’ve got the last words this time. *******, you will not ruin her.

Sincerely,
I hate you.
© Roxanne Pepin 2010
NGANGO HONORÉ Aug 2021
La vie la souffrance
Ou alors l'école de souffrance
Pourquoi conclure si vite ?
Es qu'on souffre tous
Où conclut-on parce qu'on parle de la Majorité ?

Pour dire vrai
La souffrance est un plat bien accompagné.
Bien qu'amère au goût de terre
Elle est bien accompagnée si on considère qu ce n'est pas le dernier plat que la vie nous servira.

Il est bien de préciser.
Pas besoin de m'exorciser. 
Je ne m'apitoie pas sur mon sort.
                        J'aime mon sort.
C'est mon ressort pour demain.


Si elle  s'est jumelé à mon futur
Je m'en éloignerai, en traversant un pont.
Pour arrivée à mon futur à moi
Pont qui se détruira après moi
Faut sourire sans la Vie et décider ce qui va nous arriver demain. Ce qu'on passe notre temps à faire aujourd'hui ,nous donnera un résultat demain
keli May 2011
hearts of laughter
little voices sing to their hearts
joy ful joy ful gods of lights
hold their hands up high
dream a, dream
that gives us hope
are heart sing out to our souls

dream...
dream..
thoughts fill their heads of futur
lights surround them
giving their little brains new invetions
dream...
dream..a thought of light
little dreams
Selman Akıl May 2017
"L'image qui a choqué le monde"
Un enfant encore
Un enfant cette fois-ci encore vivant
On a l'habitude
Des images des enfants
Veut dire l'innocence
Veut dire le futur
Mais c'est un enfant
Indifférent à son présence
Indifférent à ses blessures
Il regarde son sang
Comme si ceci n'est pas son sang
Mais comme l'image du sang.

"L'image qui a choqué le monde"
Mais c'est un mensonge
Une image verbale du mensonge
Aucune image ne peut plus choquer le monde
Les jeux de cadrage
Au service de propagande ont tuées
Déjà impitoyablement tout innocence
Et que comme beaucoup plus gravement
L'homme est tout perdu
Dans ses images de monde
Et le monde des images.

Tout qui nous reste à réaliser que
Les enfants ne sont pas des images
Qu'ils ne font pas du spectacle pour nos écrans.

08.2016 İstanbul
Tout près du lac filtre une source,
Entre deux pierres, dans un coin ;
Allègrement l'eau prend sa course
Comme pour s'en aller bien ****.

Elle murmure : Oh ! quelle joie !
Sous la terre il faisait si noir !
Maintenant ma rive verdoie,
Le ciel se mire à mon miroir.

Les myosotis aux fleurs bleues
Me disent : Ne m'oubliez pas !
Les libellules de leurs queues
M'égratignent dans leurs ébats ;

A ma coupe l'oiseau s'abreuve ;
Qui sait ? - Après quelques détours
Peut-être deviendrai-je un fleuve
Baignant vallons, rochers et tours.

Je broderai de mon écume
Ponts de pierre, quais de granit,
Emportant le steamer qui fume
A l'Océan où tout finit.

Ainsi la jeune source jase,
Formant cent projets d'avenir ;
Comme l'eau qui bout dans un vase,
Son flot ne peut se contenir ;

Mais le berceau touche à la tombe ;
Le géant futur meurt petit ;
Née à peine, la source tombe
Dans le grand lac qui l'engloutit !
Fable IX, Livre II.


Au temps où les bêtes parlaient
Non pas hier pourtant, un grave personnage,
Un dindon, le Nestor des dindons de son âge,
Elevait quinze enfants, qui tous lui ressemblaient.
Tous, j'ai tort ; car l'un d'eux, et la chose est prouvée,
Éclos de la même couvée,
Des autres, toutefois, croissait fort différent :
Bien qu'il fût le plus jeune, il était le plus grand ;
S'il ne disputait pas la noirceur à l'ébène,
La blancheur de l'albâtre éclatait sur son corps ;
Son bec tranchant était retors
Comme un nez dit à la romaine ;
Ces yeux, si peu malins que ses jeunes amis
Portaient enchâssés sous leur crête,
Chez ce dindon manqué, pareils à deux rubis,
Etincelaient enfoncés dans sa tête.
Au lieu de ces ergots dont le coq orgueilleux
Laboure obscurément le fumier et la terre,
Ses pieds étaient armés de cette double serre
Qui porte l'échanson des dieux,
Et se joue avec le tonnerre.
On conçoit qu'un tel écolier
Aux leçons d'un coq-d'inde était fort peu docile ;
Chaque jour son humeur, de moins en moins facile,
Scandalisait le poulailler.
Le chat paraissait-il : « Vite, enfants, qu'on se cache ! »
Criait le surveillant, le premier à partir.
Dindonneaux de rentrer, mon drôle de sortir,
Et de narguer Raton jusque sous sa moustache.
L'autour ou l'épervier, sur le troupeau gloussant,
Faisaient-ils mine de s'abattre ;
Tandis que tout fuyait, sur ses pieds se dressant,
Le bec en l'air, mon drôle attendait pour combattre.
Ami des jeux, bien moins qu'ennemi du repos,
Jouait-il une fois ; il jouait Dieu sait comme !
De la cage à poulets se faisant un champ clos :
Tel, déjà capitaine au milieu des marmots,
Guesclin, dans un enfant, faisait voir un grand homme.
Bref, maint ami plumé se plaignait du héros.
Dindons étaient toujours les dindons de l'affaire ;
Dindons de répéter leur éternel propos :
C'est un mauvais sujet ; on n'en pourra rien faire.
Ce mauvais sujet, un beau jour,
Quand ses ailes furent venues,
Prit congé de la basse-cour,
Et, du premier essor, se perdit dans les nues.

Ainsi plus d'un héros futur,
Elevé dans un rang obscur,
En suivant son génie, agit contre la règle :
Dans le comptoir, Fabert ne rêvait que combats.
Mais pourquoi ? mais comment ? Amis, n'oubliez pas
Qu'une dinde parfois peut couver l'œuf d'un aigle.
SkullMauler Jun 2013
You
You're that person
Who found me when I was lost
And you gave me a reason
To give it my best, whatever the cost

You made me happy
Created great memories
There's so much you taught me
You washed away my worries

You knew me better then I did
And we're the first I'd call
You knew everything I hid
And picked me up when I'd fall

But then things changed
And we split apart
No words exchanged
You tore my heart

I felt alone
Couldn't feel anything
I should have known
Not to make you my everything

Why did I trust you
Why did I believe
When it didn't even matter to you
Since all you did was leave

You said it was forever
But it didn't last
It was more like never
A picture from the past

Sure you made me better
But only for a while
Then you made me bitter
You took away my smile

I wish I could forgive
I wish I could forget
And maybe have something left to give
But you took all that you could get

So now I try to get rid of the sting
I wait and see
What the futur might bring
Someday I'm sure, I will be me.
A poem about losing someone who played a huge part in how I became me, so much that i forgot who I was exactly, looking up to someone is good, to a certain extent...
NGANGO HONORÉ Mar 2021
Lyn
Une vie a moi
Une  vie pour toi
Pourquoi ne pas les unir pour en faire une a
                                                               ­   nous
Les partager pour pour en faire un futur a
                                                                ­  nous

Vivre l'existence
Existons quand le ton est agréable ou
                                                            non

S'il est capable d'unifier nos idées
                                           nos points de vues
                                           nos perspectives
                                           ambitions et
                                           projets futur

Alors je te promets d'être la jusqu'à mon
                                           dernier souffle



Souffler pour toi
M'essoufler pour toi
Jamais ésseuler  je serai
Si tu me donne cette garantie
La vie me donnera toujours d'être la
                                                  plus nantie

Je te promettrai pas le ciel avec moi
Je te soumettrai non plus a l'enfer
Je serai la Je serai lui
Lui que ta connu
Et que ta voulu

Pour lui t'es l'élu
Le joyaux perçu au ****
Qui vaut l'éloignement des plus loyales
Si le tout puissant ayant apposé son cachet
                                            ils s'oppose toujours



Je remercie le Ciel
Les miens sont tiens
Parviendrons nous au but Ultime
                         un sans pour l'Ultime
Hello guys
kelly jane Apr 2017
What does my futur holds
Just a glance of the future
I wish i could see
Am i gonna be there or not
Is it gonna be hurtful or lovely
Is it gonna be constructive or distructive
It is gonna be a white rose or a dark one
Is it gonna be worth living for
Am i gonna be inlove or heart broken
Is it gonna build me up or tear me down
How i wish i knew

— The End —