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Moments ago in a place called never
On a stage of fear, a frightening fever
Not a minute passed from an hour
In a glimpse of the past that time devoured
Came a man from an unknown movement
And spoke to a few but in the case of disappointment

Made a sense of loneliness for accurate reason
And sang the ballads made from every season
Reached into the crowd and talked about she who he adores the most
The prettiest face for which he could not stop to boast
Her name was never heard before by many
As a matter of fact, you can't compare her to any.

A** woman of such passion and grace
Betrothing every man from their pace
Reigning, a zesty reign
Every king would give her a crown and palace again and again
Now the man stopped from his speech
In a surprising twist, he began to teach
Calmed the people, he started to preach
And that wraps it up, just another story from a man off the beach
Isabelle May 2019
you love too much, you give too much
so much of yourself you’re giving away
no matter what, with nothing in return
but you my belle, despite of everything
despite of how much you pour yourself
you never run out, you never go empty
oh my sweetest bella
you are my definition of bella ame
a heart full of love
will never go empty

bella loves
Santiago Jun 2015
"Ni En Defensa Propia"

Por primera vez no meti ni las manos
ni en defensa propia evite la caida
yo que anduve huyendo de un mundo de engaños
vine a dar de lleno a lo peor de la vida
la primera vez que te tuve en mis brazos
me decias llorando que no habias pecado
pero ya tenias no se cuantos fracasos
y querias borrar con mi amor tu pecado

ya tenias el rostro cubierto de besos
y en tu ser las huellas que dejan las penas
si despues de amarte te hicieron desprecio
yo no he de pagar por las deudas ajenas

te podria jurar que te ame con locura
y jamas pense que llegara a perderte
pero en vez de amores me diste amarguras
y asi como eres prefiero perderte

ya tenias el rostro cubierto de besos
y en tu ser la huella que dejan las penas
si despues de amarte te hicieron desprecio
yo no he de pagar por las deudas ajenas
Desde el fondo de ti, y arrodillado,
un niño triste, como yo, nos mira.
Por esa vida que arderá en sus venas
tendrían que amarrarse nuestras vidas.
Por esas manos, hijas de tus manos,
tendrían que matar las manos mías.
Por sus ojos abiertos en la tierra
veré en los tuyos lágrimas un día.
Yo no lo quiero, Amada.
Para que nada nos amarre
que no nos una nada.
Ni la palabra que aromó tu boca,
ni lo que no dijeron las palabras.
Ni la fiesta de amor que no tuvimos,
ni tus sollozos junto a la ventana.
(Amo el amor de los marineros
que besan y se van.
Dejan una promesa.
No vuelven nunca más.
En cada puerto una mujer espera:
los marineros besan y se van.
Una noche se acuestan con la muerte
en el lecho del mar).
Amor el amor que se reparte
en besos, lecho y pan.
Amor que puede ser eterno
y puede ser fugaz.
Amor que quiere libertarse
para volver a amar.
Amor divinizado que se acerca
Amor divinizado que se va.
Ya no se encantarán mis ojos en tus ojos,
ya no se endulzará junto a ti mi dolor.
Pero hacia donde vaya llevaré tu mirada
y hacia donde camines llevarás mi dolor.
Fui tuyo, fuiste mía. Qué más? Juntos hicimos
un recodo en la ruta donde el amor pasó.
Fui tuyo, fuiste mía. Tú serás del que te ame,
del que corte en tu huerto lo que he sembrado yo.
Yo me voy. Estoy triste: pero siempre estoy triste.
Vengo desde tus brazos. No sé hacia dónde voy.
...Desde tu corazón me dice adiós un niño.
Y yo le digo adiós.
avalon Nov 2017
conversational   tones too often
tumble into sloppiness, leaving
my words marked with fumble
-d caresses and stuttering half-t
-houghts. i don't leave you with
my leftovers on purpose, they d
-ropped  into my purse when i c
-ame to see you today. a lot of th
-ings drop into  my mind when i
see you. but it's mostly  your wo
-rds. perhaps my only love affair
was with the   letters you placed
under my name. i never wanted
to be beautiful until you wrote o
-f it with a ball point pen;  never
dreamt of living extravagantly u
-ntil you dusted me in spices and
sparks with flecks of ink and the
marks of your fingers. you crafte
-d everything you loved about m
-e. you are the only reason i am e
-xtravagantly in love  with the fle
-cks and sparks under my skin. y
-ou planted whispers beneath my
eyes and called them  dangerous.
but only you      were  dangerous
to                                               ­  me
this is new. this is the breath of winter as it fogs before your eyes, this is disguise, this is the hundred times you laugh before you start to cry.
Le roi brillant du jour, se couchant dans sa gloire,
Descend avec lenteur de son char de victoire.
Le nuage éclatant qui le cache à nos yeux
Conserve en sillons d'or sa trace dans les cieux,
Et d'un reflet de pourpre inonde l'étendue.
Comme une lampe d'or, dans l'azur suspendue,
La lune se balance aux bords de l'horizon ;
Ses rayons affaiblis dorment sur le gazon,
Et le voile des nuits sur les monts se déplie :
C'est l'heure où la nature, un moment recueillie,
Entre la nuit qui tombe et le jour qui s'enfuit,
S'élève au Créateur du jour et de la nuit,
Et semble offrir à Dieu, dans son brillant langage,
De la création le magnifique hommage.
Voilà le sacrifice immense, universel !
L'univers est le temple, et la terre est l'autel ;
Les cieux en sont le dôme : et ces astres sans nombre,
Ces feux demi-voilés, pâle ornement de l'ombre,
Dans la voûte d'azur avec ordre semés,
Sont les sacrés flambeaux pour ce temple allumés :
Et ces nuages purs qu'un jour mourant colore,
Et qu'un souffle léger, du couchant à l'aurore,
Dans les plaines de l'air, repliant mollement,
Roule en flocons de pourpre aux bords du firmament,
Sont les flots de l'encens qui monte et s'évapore
Jusqu'au trône du Dieu que la nature adore.
Mais ce temple est sans voix. Où sont les saints concerts ?
D'où s'élèvera l'hymne au roi de l'univers ?
Tout se tait : mon coeur seul parle dans ce silence.
La voix de l'univers, c'est mon intelligence.
Sur les rayons du soir, sur les ailes du vent,
Elle s'élève à Dieu comme un parfum vivant ;
Et, donnant un langage à toute créature,
Prête pour l'adorer mon âme à la nature.
Seul, invoquant ici son regard paternel,
Je remplis le désert du nom de I'Eternel ;
Et celui qui, du sein de sa gloire infinie,
Des sphères qu'il ordonne écoute l'harmonie,
Ecoute aussi la voix de mon humble raison,
Qui contemple sa gloire et murmure son nom.
Salut, principe et fin de toi-même et du monde,
Toi qui rends d'un regard l'immensité féconde ;
Ame de l'univers, Dieu, père, créateur,
Sous tous ces noms divers je crois en toi, Seigneur ;
Et, sans avoir besoin d'entendre ta parole,
Je lis au front des cieux mon glorieux symbole.
L'étendue à mes yeux révèle ta grandeur,
La terre ta bonté, les astres ta splendeur.
Tu t'es produit toi-même en ton brillant ouvrage ;
L'univers tout entier réfléchit ton image,
Et mon âme à son tour réfléchit l'univers.
Ma pensée, embrassant tes attributs divers,
Partout autour de soi te découvre et t'adore,
Se contemple soi-même et t'y découvre encore
Ainsi l'astre du jour éclate dans les cieux,
Se réfléchit dans l'onde et se peint à mes yeux.
C'est peu de croire en toi, bonté, beauté suprême ;
Je te cherche partout, j'aspire à toi, je t'aime ;
Mon âme est un rayon de lumière et d'amour
Qui, du foyer divin, détaché pour un jour,
De désirs dévorants **** de toi consumée,
Brûle de remonter à sa source enflammée.
Je respire, je sens, je pense, j'aime en toi.
Ce monde qui te cache est transparent pour moi ;
C'est toi que je découvre au fond de la nature,
C'est toi que je bénis dans toute créature.
Pour m'approcher de toi, j'ai fui dans ces déserts ;
Là, quand l'aube, agitant son voile dans les airs,
Entr'ouvre l'horizon qu'un jour naissant colore,
Et sème sur les monts les perles de l'aurore,
Pour moi c'est ton regard qui, du divin séjour,
S'entr'ouvre sur le monde et lui répand le jour :
Quand l'astre à son midi, suspendant sa carrière,
M'inonde de chaleur, de vie et de lumière,
Dans ses puissants rayons, qui raniment mes sens,
Seigneur, c'est ta vertu, ton souffle que je sens ;
Et quand la nuit, guidant son cortège d'étoiles,
Sur le monde endormi jette ses sombres voiles,
Seul, au sein du désert et de l'obscurité,
Méditant de la nuit la douce majesté,
Enveloppé de calme, et d'ombre, et de silence,
Mon âme, de plus près, adore ta présence ;
D'un jour intérieur je me sens éclairer,
Et j'entends une voix qui me dit d'espérer.
Oui, j'espère, Seigneur, en ta magnificence :
Partout à pleines mains prodiguant l'existence,
Tu n'auras pas borné le nombre de mes jours
A ces jours d'ici-bas, si troublés et si courts.
Je te vois en tous lieux conserver et produire ;
Celui qui peut créer dédaigne de détruire.
Témoin de ta puissance et sûr de ta bonté
J'attends le jour sans fin de l'immortalité.
La mort m'entoure en vain de ses ombres funèbres,
Ma raison voit le jour à travers ces ténèbres.
C'est le dernier degré qui m'approche de toi,
C'est le voile qui tombe entre ta face et moi.
Hâte pour moi, Seigneur, ce moment que j'implore ;
Ou, si, dans tes secrets tu le retiens encore,
Entends du haut du ciel le cri de mes besoins ;
L'atome et l'univers sont l'objet de tes soins,
Des dons de ta bonté soutiens mon indigence,
Nourris mon corps de pain, mon âme d'espérance ;
Réchauffe d'un regard de tes yeux tout-puissants
Mon esprit éclipsé par l'ombre de mes sens
Et, comme le soleil aspire la rosée,
Dans ton sein, à jamais, absorbe ma pensée.
blklvndr Jul 2014
The names in your phone may change,
but your heart --
it must always stay the same.
2 • November • 2:08 AM
AME: Love. RICA: Riches.
United States (i.e. incorporated) of AME-RICA (lovers of wealth).
Plain as day; indeed, what IS in a name?
SøułSurvivør Jul 2015
You probably figured it out already.

He is undoubtedly Mr God morphed.

T ruculent
R UDE
O verweeningly prideful
L aughable little
L ame liar.
He/she/it came onto my site message system wanting to goad me. I would have ignored it but he/she/it is harrassing Frank Ruland also.

You are under advisement, troll,
DON'T MESS WITH MY FRIENDS.
Quand je te voy seule assise à par-toy,
Toute amusée avecques ta pensée,
Un peu la ***** encontre bas baissée,
Te retirant du vulgaire et de moy :

Je veux souvent pour rompre ton esmoy,
Te saluer, mais ma voix offensée,
De trop de peur se retient amassée
Dedans la bouche, et me laisse tout coy.

Souffrir ne puis les rayons de ta veuë :
Craintive au corps, mon ame tremble esmeuë :
Langue ne voix ne font leur action :

Seuls mes souspirs, seul mon triste visage
Parlent pour moy, et telle passion
De mon amour donne assez tesmoignage.
DrunkenAstronaut Nov 2017
I'll cut through your flaws,
To your share of scars
Now I am an astronaut
Who's lost in your stars

I'm past through your cracks -
The crevices within,
But dear, in your brokenness,
Sweet starlight spilled in

And page after page
Where you thoughts collide,
These words I shall offer,
To you, I'll confide -

You can strip of your skin,
As well as your bones
For darling, you're nothing,
But a beautiful soul.
LS Martin Oct 2016
PRISTINE CHRISTINE
Pristine Christine the girl of my dreams
Rest assure, though her eyes do not gleam
I know that she is more than what she seems
Shall I explain what it means?
To have and to hold a motionless figurine no, my artificial queen?
I cling to this fantasy, this object I desire
Nothing can deter me as I continue to describe her
Eyes faded with cubic zirconium shine that awe and inspire

Clay for hair fabricated in wire
Her lack of bones and plush filled body set my soul to fire
Revealing an unnatural love I have allowed to transpire
I invent reasons to how her synthetic skin will not perspire
Structured in a silicone beauty never to expire
Tainted in mystery for all to admire
Imitate my love! You lifeless being; it is all     that I require
Name me your ruler and I will enslave myself to your empire
Even if it means loving this *** doll that I have acquired
The unrealistic expectations of women
Biorn, étrange cénobite,
Sur le plateau d'un roc pelé,
Hors du temps et du monde, habite
La tour d'un burg démantelé.

De sa porte l'esprit moderne
En vain soulève le marteau.
Biorn verrouille sa poterne
Et barricade son château.

Quand tous ont les yeux vers l'aurore
Biorn, sur son donjon perché,
A l'horizon contemple encore
La place du soleil couché.

Ame rétrospective, il loge
Dans son burg et dans le passé ;
Le pendule de son horloge
Depuis des siècles est cassé.

Sous ses ogives féodales
Il erre, éveillant les échos,
Et ses pas, sonnant sur les dalles,
Semblent suivis de pas égaux.

Il ne voit ni laïcs, ni prêtres,
Ni gentilshommes, ni bourgeois,
Mais les portraits de ses ancêtres
Causent avec lui quelquefois.

Et certains soirs, pour se distraire,
Trouvant manger seul ennuyeux,
Biorn, caprice funéraire,
Invite à souper ses aïeux.

Les fantômes, quand minuit sonne,
Viennent armés de pied en cap ;
Biorn, qui malgré lui frissonne,
Salue en haussant son hanap.

Pour s'asseoir, chaque panoplie
Fait un angle avec son genou,
Dont l'articulation plie
En grinçant comme un vieux verrou ;

Et tout d'une pièce, l'armure,
D'un corps absent gauche cercueil,
Rendant un creux et sourd murmure,
Tombe entre les bras du fauteuil.

Landgraves, rhingraves, burgraves,
Venus du ciel ou de l'enfer,
Ils sont tous là, muets et graves,
Les roides convives de fer !

Dans l'ombre, un rayon fauve indique
Un monstre, guivre, aigle à deux cous,
Pris au bestiaire héraldique
Sur les cimiers faussés de coups.

Du mufle des bêtes difformes
Dressant leurs ongles arrogants,
Partent des panaches énormes,
Des lambrequins extravagants ;

Mais les casques ouverts sont vides
Comme les timbres du blason ;
Seulement deux flammes livides
Y luisent d'étrange façon.

Toute la ferraille est assise
Dans la salle du vieux manoir,
Et, sur le mur, l'ombre indécise
Donne à chaque hôte un page noir.

Les liqueurs aux feux des bougies
Ont des pourpres d'un ton suspect ;
Les mets dans leurs sauces rougies
Prennent un singulier aspect.

Parfois un corselet miroite,
Un morion brille un moment ;
Une pièce qui se déboîte
Choit sur la nappe lourdement.

L'on entend les battements d'ailes
D'invisibles chauves-souris,
Et les drapeaux des infidèles
Palpitent le long du lambris.

Avec des mouvements fantasques
Courbant leurs phalanges d'airain,
Les gantelets versent aux casques
Des rasades de vin du Rhin,

Ou découpent au fil des dagues
Des sangliers sur des plats d'or...
Cependant passent des bruits vagues
Par les orgues du corridor.

D'une voix encore enrouée
Par l'humidité du caveau,
Max fredonne, ivresse enjouée,
Un lied, en treize cents, nouveau.

Albrecht, ayant le vin féroce,
Se querelle avec ses voisins,
Qu'il martèle, bossue et rosse,
Comme il faisait des Sarrasins.

Échauffé, Fritz ôte son casque,
Jadis par un crâne habité,
Ne pensant pas que sans son masque
Il semble un tronc décapité.

Bientôt ils roulent pêle-mêle
Sous la table, parmi les brocs,
Tête en bas, montrant la semelle
De leurs souliers courbés en crocs.

C'est un hideux champ de bataille
Où les pots heurtent les armets,
Où chaque mort par quelque entaille,
Au lieu de sang ***** des mets.

Et Biorn, le poing sur la cuisse,
Les contemple, morne et hagard,
Tandis que, par le vitrail suisse
L'aube jette son bleu regard.

La troupe, qu'un rayon traverse,
Pâlit comme au jour un flambeau,
Et le plus ivrogne se verse
Le coup d'étrier du tombeau.

Le coq chante, les spectres fuient
Et, reprenant un air hautain,
Sur l'oreiller de marbre appuient
Leurs têtes lourdes du festin !
Àŧùl Dec 2016
I** thank you for showing your true colors.

Dott sure I'm now that you're not true,
Am I in need for more cheating,
My happiness is in love - true love,
Not in your way of life - fake love.

Your hits I've taken to the heart,
Of hell you have shown me a glimpse,
Under your unfaithful behavior corrupted.

The person who you cheated me with,
Of course he is at bigger blame than you.

He sure is the bigger player,
Even you are such a poser,
Lame he is - you look uglier,
Living life freely you have ruined it.
HP Poem #1310
©Atul Kaushal
ghost queen Nov 2019
............ morning

I say this sincerely and from the bottom of my heart, you are incredible, fascinating, and impressive

Ahhh, thanks JC.
I’m flattered you think so because I feel quite ordinary.

You are the most extraordinary and exotic orchid in the jungle

And then you say stuff like that, that makes me wonder what you wrote before is true.

I don’t understand

That is so untrue, that it makes me wonder about your previous sincere comment

It is true in my heart and soul, please never ever doubt it, accept the compliment, deeply and fully !!!



............ next morning

I accept the first one. 

Baby Girl, what I write about you, is inspired by you, it is what i see and feel, please believe and  accept the compliments unconditionally, as I don’t say what is on my heart casually


............ next morning

Good morning Sleeping Beauty, how is the fairest flower in the forest this morning

This flower is wilted.

My flower has awaken, opening, unfolding to the glory of the sun, inspiring the birds and bees that swarm around her, vying for her nectar

Be a good Parisienne girl, and accept and bask in compliment of one of your many male admirers

That’s my fav poem yet.  Hmmm, many male admirers....


............ next morning

A little poem for you this Monday morning

Chère Reine, ouvriez votre coeur, laissez moi secher vos larmes, aimer votre ame.

Baby Girl, be kind your you inner little girl, she needs your attention and love too

Truer were words could not be written today
Reine...isn’t that queen?

Yes, as in you are my Queen

My dearest Queen, open your heart, let me dry your tears, love your soul (sound better in French)

Everything sounds better in French

Did you like the Queen poem
(remember I’m sensitive artistic type of guy )

Yes, I liked it..., sending you a loving kiss


............ next morning

Your baking is always superb, you are my heroine..., call you Chef Girl Genevieve

I don’t post the stuff that goes amok.
I am no chef. That is an earned title and I def do not qualify. I just like to play in the kitchen with sugar

you are a grand chef in my eyes

Faux chef Genevieve

here we go again, am i going to have to write another poem of how great you are

I must have blown some other kind of dust in your eyes

You are like a wickedly delicious ice cream sundae, made up of complex layers of intelligence, wit, charm, and sophistication. And the cherry on top, is your stunning elegance, femininity, and beauty
written from a series of morning text messages
Faz um tempo que venho tentando encontrar alguém que me ame, eu achava que era suposto amar e ser amada de volta… não sei o que está a acontecer, será que o problema sou eu? Será que meu Romeu está realmente morto ou Homens não são capazes de amar? Ou eu é que dou passos errados?
Estou cansada de acordar com um homem diferente em cada final de semana que decido ir para aquele maldito bar para afogar minhas mágoas, só tenho 25 anos, com quantos anos é suposto encontrar o homem certo? Porque que só querem se aproveitar de mim? Será esse corpo que dizem ser perfeito? Será esse rosto que dizem ser lindo? Isso não devia ser motivação eles me levarem a serio? Deus, estou a começar a odiar este corpo perfeito e essa cara linda, só quero um pouco de amor. Todas as minhas amigas me falam de coisas que seus namorados fazem por elas, falam-me sobre as declarações de amor e flores que recebem e a mim só dão orgasmos atrás de orgasmos, meu ex namorado era um Brutamontes que achava que os presentes caros e **** eram as únicas coisas que eu queria, EU SÓ QUERO UM POUCO DE AMOR…
Aqui estou de novo, neste maldito bar, porquê que sempre venho parar aqui? Quem são essas pessoas comigo? Acho que estou bêbada, mas é assim que eu decidi fugir da realidade de não ser amada, e essas pessoas, que nem conheço fazem-me companhia, “Garçom, mais uma rodada” “ adiciona na minha conta por favor”.
It's been a while since I've been trying to find someone who loves me, I thought I was supposed to love and be loved back ... I do not know what's happening, am I the problem? Is my Romeo really dead or men are not capable of love? Or I take the wrong steps?
I'm tired of waking up to a different man every weekend that I decide to go to that **** bar to drown my sorrows, I'm only 25 years old, how old am I supposed to find the right man? Why they just want to take advantage of me? Is it this body said to be perfect? Is this face they say is beautiful? Shouldn't that be motivation for them to take me seriously? God, I'm starting to hate this perfect body and this beautiful face, I just want some love. All my friends tell me about things that their boyfriends do for them, they tell me about the declarations of love and flowers they receive and I only receive ******* after *******, my ex boyfriend was a Brute who thought that the expensive gifts and *** were the only things I wanted, I JUST WANT A LITTLE LOVE ...
Here I am again, in this **** bar, why do I always end up here? Who are these people with me? I think I'm drunk, but that's how I decided to get away from the reality of being unloved, and these people, whom I do not know, keep me company, "Waiter, one more round" "add to my account please."
Quoi donc ! la vôtre aussi ! la vôtre suit la mienne !
Ô mère au coeur profond, mère, vous avez beau
Laisser la porte ouverte afin qu'elle revienne,
Cette pierre là-bas dans l'herbe est un tombeau !

La mienne disparut dans les flots qui se mêlent ;
Alors, ce fut ton tour, Claire, et tu t'envolas.
Est-ce donc que là-haut dans l'ombre elles s'appellent,
Qu'elles s'en vont ainsi l'une après l'autre, hélas ?

Enfant qui rayonnais, qui chassais la tristesse,
Que ta mère jadis berçait de sa chanson,
Qui d'abord la charmas avec ta petitesse
Et plus **** lui remplis de clarté l'horizon,

Voilà donc que tu dors sous cette pierre grise !
Voilà que tu n'es plus, ayant à peine été !
L'astre attire le lys, et te voilà reprise,
Ô vierge, par l'azur, cette virginité !

Te voilà remontée au firmament sublime,
Échappée aux grands cieux comme la grive aux bois,
Et, flamme, aile, hymne, odeur, replongée à l'abîme
Des rayons, des amours, des parfums et des voix !

Nous ne t'entendrons plus rire en notre nuit noire.
Nous voyons seulement, comme pour nous bénir,
Errer dans notre ciel et dans notre mémoire
Ta figure, nuage, et ton nom, souvenir !

Pressentais-tu déjà ton sombre épithalame ?
Marchant sur notre monde à pas silencieux,
De tous les idéals tu composais ton âme,
Comme si tu faisais un bouquet pour les cieux !

En te voyant si calme et toute lumineuse,
Les coeurs les plus saignants ne haïssaient plus rien.
Tu passais parmi nous comme Ruth la glaneuse,
Et, comme Ruth l'épi, tu ramassais le bien.

La nature, ô front pur, versait sur toi sa grâce,
L'aurore sa candeur, et les champs leur bonté ;
Et nous retrouvions, nous sur qui la douleur passe,
Toute cette douceur dans toute ta beauté !

Chaste, elle paraissait ne pas être autre chose
Que la forme qui sort des cieux éblouissants ;
Et de tous les rosiers elle semblait la rose,
Et de tous les amours elle semblait l'encens.

Ceux qui n'ont pas connu cette charmante fille
Ne peuvent pas savoir ce qu'était ce regard
Transparent comme l'eau qui s'égaie et qui brille
Quand l'étoile surgit sur l'océan hagard.

Elle était simple, franche, humble, naïve et bonne ;
Chantant à demi-voix son chant d'illusion,
Ayant je ne sais quoi dans toute sa personne
De vague et de lointain comme la vision.

On sentait qu'elle avait peu de temps sur la terre,
Qu'elle n'apparaissait que pour s'évanouir,
Et qu'elle acceptait peu sa vie involontaire ;
Et la tombe semblait par moments l'éblouir.

Elle a passé dans l'ombre où l'homme se résigne ;
Le vent sombre soufflait ; elle a passé sans bruit,
Belle, candide, ainsi qu'une plume de cygne
Qui reste blanche, même en traversant la nuit !

Elle s'en est allée à l'aube qui se lève,
Lueur dans le matin, vertu dans le ciel bleu,
Bouche qui n'a connu que le baiser du rêve,
Ame qui n'a dormi que dans le lit de Dieu !

Nous voici maintenant en proie aux deuils sans bornes,
Mère, à genoux tous deux sur des cercueils sacrés,
Regardant à jamais dans les ténèbres mornes
La disparition des êtres adorés !

Croire qu'ils resteraient ! quel songe ! Dieu les presse.
Même quand leurs bras blancs sont autour de nos cous,
Un vent du ciel profond fait frissonner sans cesse
Ces fantômes charmants que nous croyons à nous.

Ils sont là, près de nous, jouant sur notre route ;
Ils ne dédaignent pas notre soleil obscur,
Et derrière eux, et sans que leur candeur s'en doute,
Leurs ailes font parfois de l'ombre sur le mur.

Ils viennent sous nos toits ; avec nous ils demeurent ;
Nous leur disons : Ma fille, ou : Mon fils ; ils sont doux,
Riants, joyeux, nous font une caresse, et meurent.
Ô mère, ce sont là les anges, voyez-vous !

C'est une volonté du sort, pour nous sévère,
Qu'ils rentrent vite au ciel resté pour eux ouvert ;
Et qu'avant d'avoir mis leur lèvre à notre verre,
Avant d'avoir rien fait et d'avoir rien souffert,

Ils partent radieux ; et qu'ignorant l'envie,
L'erreur, l'orgueil, le mal, la haine, la douleur,
Tous ces êtres bénis s'envolent de la vie
A l'âge où la prunelle innocente est en fleur !

Nous qui sommes démons ou qui sommes apôtres,
Nous devons travailler, attendre, préparer ;
Pensifs, nous expions pour nous-même ou pour d'autres ;
Notre chair doit saigner, nos yeux doivent pleurer.

Eux, ils sont l'air qui fuit, l'oiseau qui ne se pose
Qu'un instant, le soupir qui vole, avril vermeil
Qui brille et passe ; ils sont le parfum de la rose
Qui va rejoindre aux cieux le rayon du soleil !

Ils ont ce grand dégoût mystérieux de l'âme
Pour notre chair coupable et pour notre destin ;
Ils ont, êtres rêveurs qu'un autre azur réclame,
Je ne sais quelle soif de mourir le matin !

Ils sont l'étoile d'or se couchant dans l'aurore,
Mourant pour nous, naissant pour l'autre firmament ;
Car la mort, quand un astre en son sein vient éclore,
Continue, au delà, l'épanouissement !

Oui, mère, ce sont là les élus du mystère,
Les envoyés divins, les ailés, les vainqueurs,
A qui Dieu n'a permis que d'effleurer la terre
Pour faire un peu de joie à quelques pauvres coeurs.

Comme l'ange à Jacob, comme Jésus à Pierre,
Ils viennent jusqu'à nous qui **** d'eux étouffons,
Beaux, purs, et chacun d'eux portant sous sa paupière
La sereine clarté des paradis profonds.

Puis, quand ils ont, pieux, baisé toutes nos plaies,
Pansé notre douleur, azuré nos raisons,
Et fait luire un moment l'aube à travers nos claies,
Et chanté la chanson du ciel dam nos maisons,

Ils retournent là-haut parler à Dieu des hommes,
Et, pour lui faire voir quel est notre chemin,
Tout ce que nous souffrons et tout ce que nous sommes,
S'en vont avec un peu de terre dans la main.

Ils s'en vont ; c'est tantôt l'éclair qui les emporte,
Tantôt un mal plus fort que nos soins superflus.
Alors, nous, pâles, froids, l'oeil fixé sur la porte,
Nous ne savons plus rien, sinon qu'ils ne sont plus.

Nous disons : - A quoi bon l'âtre sans étincelles ?
A quoi bon la maison où ne sont plus leurs pas ?
A quoi bon la ramée où ne sont plus les ailes ?
Qui donc attendons-nous s'ils ne reviendront pas ?

Ils sont partis, pareils au bruit qui sort des lyres.
Et nous restons là, seuls, près du gouffre où tout fuit,
Tristes ; et la lueur de leurs charmants sourires
Parfois nous apparaît vaguement dans la nuit.

Car ils sont revenus, et c'est là le mystère ;
Nous entendons quelqu'un flotter, un souffle errer,
Des robes effleurer notre seuil solitaire,
Et cela fait alors que nous pouvons pleurer.

Nous sentons frissonner leurs cheveux dans notre ombre ;
Nous sentons, lorsqu'ayant la lassitude en nous,
Nous nous levons après quelque prière sombre,
Leurs blanches mains toucher doucement nos genoux.

Ils nous disent tout bas de leur voix la plus tendre :
"Mon père, encore un peu ! ma mère, encore un jour !
"M'entends-tu ? je suis là, je reste pour t'attendre
"Sur l'échelon d'en bas de l'échelle d'amour.

"Je t'attends pour pouvoir nous en aller ensemble.
"Cette vie est amère, et tu vas en sortir.
"Pauvre coeur, ne crains rien, Dieu vit ! la mort rassemble.
"Tu redeviendras ange ayant été martyr."

Oh ! quand donc viendrez-vous ? Vous retrouver, c'est naître.
Quand verrons-nous, ainsi qu'un idéal flambeau,
La douce étoile mort, rayonnante, apparaître
A ce noir horizon qu'on nomme le tombeau ?

Quand nous en irons-nous où vous êtes, colombes !
Où sont les enfants morts et les printemps enfuis,
Et tous les chers amours dont nous sommes les tombes,
Et toutes les clartés dont nous sommes les nuits ?

Vers ce grand ciel clément où sont tous les dictames,
Les aimés, les absents, les êtres purs et doux,
Les baisers des esprits et les regards des âmes,
Quand nous en irons-nous ? quand nous en irons-nous ?

Quand nous en irons-nous où sont l'aube et la foudre ?
Quand verrons-nous, déjà libres, hommes encor,
Notre chair ténébreuse en rayons se dissoudre,
Et nos pieds faits de nuit éclore en ailes d'or ?

Quand nous enfuirons-nous dans la joie infinie
Où les hymnes vivants sont des anges voilés,
Où l'on voit, à travers l'azur de l'harmonie,
La strophe bleue errer sur les luths étoilés ?

Quand viendrez-vous chercher notre humble coeur qui sombre ?
Quand nous reprendrez-vous à ce monde charnel,
Pour nous bercer ensemble aux profondeurs de l'ombre,
Sous l'éblouissement du regard éternel ?
Ma mère, quel beau jour ! tout brille, tout rayonne.
Dans les airs, l'oiseau chante et l'insecte bourdonne ;
Les ruisseaux argentés roulent sur les cailloux,
Les fleurs donnent au ciel leur parfum le plus doux.
Le lis s'est entr'ouvert ; la goutte de rosée,
Sur les feuilles des bois par la nuit déposée,
S'enfuyant à l'aspect du soleil et du jour,
Chancelle et tombe enfin comme des pleurs d'amour.
Les fils blancs et légers de la vierge Marie,
Comme un voile d'argent, volent sur la prairie :
Frêle tissu, pour qui mon souffle est l'aquilon,
Et que brise en passant l'aile d'un papillon.
Sous le poids de ses fruits le grenadier se penche,
Dans l'air, un chant d'oiseau nous vient de chaque branche ;
Jusqu'au soir, dans les cieux, le soleil brillera :
Ce jour est un beau jour !... Oh ! bien sûr, il viendra !

Il viendra... mais pourquoi ?... Sait-il donc que je l'aime ?
Sait-il que je l'attends, que chaque jour de même,
- Que ce jour soit celui d'hier ou d'aujourd'hui -
J'espère sa présence et ne songe qu'à lui ?
Oh ! non ! il ne sait rien. Qu'aurait-il pu comprendre !...
Les battements du cœur se laissent-ils entendre ?
Les yeux qu'on tient baissés, ont-ils donc un regard ?
Un sourire, dit-il qu'on doit pleurer plus **** ?

Que sait-on des pensers cachés au fond de l'âme !
La douleur qu'on chérit, le bonneur que l'on blâme ,
Au bal, qui les trahit ?... Des fleurs sont sur mon front,
À tout regard joyeux mon sourire répond ;
Je passe auprès de lui sans détourner la tête,
Sans ralentir mes pas.... et mon cœur seul s'arrête.
Mais qui peut voir le cœur ? qu'il soit amour ou fiel,
C'est un livre fermé, qui ne s'ouvre qu'au ciel !

Une fleur est perdue, au ****, dans la prairie,
Mais son parfum trahit sa présence et sa vie ;
L'herbe cache une source, et le chêne un roseau,
Mais la fraîcheur des bois révèle le ruisseau ;
Le long balancement d'un flexible feuillage
Nous dit bien s'il reçoit ou la brise ou l'orage ;
Le feu qu'ont étouffé des cendres sans couleur,
Se cachant à nos yeux, se sent par la chaleur ;
Pour revoir le soleil quand s'enfuit l'hirondelle,
Le pays qu'elle ignore est deviné par elle :
Tout se laisse trahir par l'odeur ou le son,
Tout se laisse entrevoir par l'ombre ou le rayon,
Et moi seule, ici-bas, dans la foule perdue,
J'ai passé près de lui sans qu'il m'ait entendue...
Mon amour est sans voix, sans parfum, sans couleur,
Et nul pressentiment n'a fait battre son cœur !

Ma mère, c'en est fait ! Le jour devient plus sombre ;
Aucun bruit, aucun pas, du soir ne trouble l'ombre.

Adieux à vous ! - à vous, ingrat sans le savoir !
Vous, coupable des pleurs que vous ne pouvez voir !
Pour la dernière fois, mon Ame déchirée
Rêva votre présence, hélas! tant désirée...  
Plus jamais je n'attends. L'amour et l'abandon,
Du cœur que vous brisez les pleurs et le pardon,
Vous ignorerez tout !... Ainsi pour nous, un ange.
Invisible gardien, dans ce monde où tout change.
S'attache à notre vie et vole à nos côtés ;
Sous son voile divin nous sommes abrités,
Et jamais, cependant, on ne voit l'aile blanche
Qui, sur nos fronts baissés, ou s'entrouvre ou se penche.

Dans les salons, au bal, sans cesse, chaque soir,
En dansant près de vous, il me faudra vous voir ;
Et cependant, adieu... comme à mon premier rêve !
Tous deux, à votre insu, dans ce jour qui s'achève,
Nous nous serons quittés ! - Adieu, soyez heureux !...
Ma prière, pour vous, montera vers les Cieux :
Je leur demanderai qu'éloignant les orages,
Ils dirigent vos pas vers de riants rivages,
Que la brise jamais, devenant aquilon,
D'un nuage pour vous ne voile l'horizon ;
Que l'heure à votre gré semble rapide ou lente ;
Lorsque vous écoutez, que toujours l'oiseau chante ;
Lorsque vous regardez, que tout charme vos yeux,
Que le buisson soit vert, le soleil radieux ;
Que celle qui sera de votre cœur aimée,
Pour vous, d'un saint amour soit toujours animée !...
- Si parfois, étonné d'un aussi long bonheur,
Vous demandez à Dieu : « Mais pourquoi donc, Seigneur ? »
Il répondra peut-être : « Un cœur pour toi me prie...
Et sa part de bonheur, il la donne à ta vie ! »

how is it possible to close my eyes
when all that is is just passin' by
how on earth should i cover up my ears
when there is nothin' much nor else to hear

i say we truly forgot how to feel
we continue to deny to be real
'n' within those **** lies we be livin'
them unhidden plays 'n' acts we're givin'

ye'd say: 'i do feel 'n' know it all'
by thy many a 'truth' still standin' tall
now would it be no understandin' shall
'n' shall never be when we make it fall

for when we stop our minds elevatin'
then be which story we'd be creatin'


*

..love always...



عرفان بن يوسف © AH 17/10/1437


'a (pentameter / freestyle rhymescheme) Sonnet'
Rui Serra Mar 2014
tu
Excedi em tudo
os meus desejos
os meus sonhos e eu
crescemos lado a lado
Vivo em intensa desolação
A pensar quando é que vais chegar
Amo-te
Com tanta pureza, tanta paixão
Que peço
que te ame sempre
e mais uma vez
Amo-te
no seu perfeito sentido
teu corpo e essa airosa face
A tua silhueta
no parapeito de ferro, na noite a meditar
Um luzente anoitecer
A lua na paliçada
Quando no meu quarto eu leio e escrevo.
I

In that November off Tehuantepec,
The slopping of the sea grew still one night
And in the morning summer hued the deck

And made one think of rosy chocolate
And gilt umbrellas. Paradisal green
Gave suavity to the perplexed machine

Of ocean, which like limpid water lay.
Who, then, in that ambrosial latitude
Out of the light evolved the morning blooms,

Who, then, evolved the sea-blooms from the clouds
Diffusing balm in that Pacific calm?
C'etait mon enfant, mon bijou, mon ame.

The sea-clouds whitened far below the calm
And moved, as blooms move, in the swimming green
And in its watery radiance, while the hue

Of heaven in an antique reflection rolled
Round those flotillas. And sometimes the sea
Poured brilliant iris on the glistening blue.

                        II

In that November off Tehuantepec
The slopping of the sea grew still one night.
At breakfast jelly yellow streaked the deck

And made one think of chop-house chocolate
And sham umbrellas. And a sham-like green
Capped summer-seeming on the tense machine

Of ocean, which in sinister flatness lay.
Who, then, beheld the rising of the clouds
That strode submerged in that malevolent sheen,

Who saw the mortal massives of the blooms
Of water moving on the water-floor?
C'etait mon frere du ciel, ma vie, mon or.

The gongs rang loudly as the windy booms
Hoo-hooed it in the darkened ocean-blooms.
The gongs grew still. And then blue heaven spread

Its crystalline pendentives on the sea
And the macabre of the water-glooms
In an enormous undulation fled.

                        III

In that November off Tehuantepec,
The slopping of the sea grew still one night
And a pale silver patterned on the deck

And made one think of porcelain chocolate
And pied umbrellas. An uncertain green,
Piano-polished, held the tranced machine

Of ocean, as a prelude holds and holds,
Who, seeing silver petals of white blooms
Unfolding in the water, feeling sure

Of the milk within the saltiest spurge, heard, then,
The sea unfolding in the sunken clouds?
Oh! C'etait mon extase et mon amour.

So deeply sunken were they that the shrouds,
The shrouding shadows, made the petals black
Until the rolling heaven made them blue,

A blue beyond the rainy hyacinth,
And smiting the crevasses of the leaves
Deluged the ocean with a sapphire blue.

                        IV

In that November off Tehuantepec
The night-long slopping of the sea grew still.
A mallow morning dozed upon the deck

And made one think of musky chocolate
And frail umbrellas. A too-fluent green
Suggested malice in the dry machine

Of ocean, pondering dank stratagem.
Who then beheld the figures of the clouds
Like blooms secluded in the thick marine?

Like blooms? Like damasks that were shaken off
From the loosed girdles in the spangling must.
C'etait ma foi, la nonchalance divine.

The nakedness would rise and suddenly turn
Salt masks of beard and mouths of bellowing,
Would--But more suddenly the heaven rolled

Its bluest sea-clouds in the thinking green,
And the nakedness became the broadest blooms,
Mile-mallows that a mallow sun cajoled.

                        V

In that November off Tehuantepec
Night stilled the slopping of the sea.
The day came, bowing and voluble, upon the deck,

Good clown... One thought of Chinese chocolate
And large umbrellas. And a motley green
Followed the drift of the obese machine

Of ocean, perfected in indolence.
What pistache one, ingenious and droll,
Beheld the sovereign clouds as jugglery

And the sea as turquoise-turbaned *****, neat
At tossing saucers--cloudy-conjuring sea?
C'etait mon esprit batard, l'ignominie.

The sovereign clouds came clustering. The conch
Of loyal conjuration *******. The wind
Of green blooms turning crisped the motley hue

To clearing opalescence. Then the sea
And heaven rolled as one and from the two
Came fresh transfigurings of freshest blue.
TU FUISTE,
LO MOVISTE,
LO ATRAPASTE,
AQUEL AMOR.

YO LO CUIDE,
LO REGUE,
LO ABRAZE FUERTE,
LO AME,
AQUEL AMOR.

TE PERDI?
TU TAMBIEN A MI.
COMO ES ESTO DEL AMOR?!
QUE LE JURE A MI CORAZON
QUE TU Y YO
HERAMOS CANDADO
DE ORO.

LA PELICULA CORRE,
HOY VI LA ESCENA
DE AQUEL AMOR.
Y UN SUSPIRO RESPONDIO.
Sputnik Andrade Oct 2012
Y aún así te voy a escribir algo.

aunque no quiera.

aunque no pueda.

porque eras frágil, y porque yo te ame como a nada.

the sea lived on you
in all lenguages

en todos los idiomas.

y albergabas una esperanza de esas que obligan a escribir bellas elegías

but you fade
in my hands

en mis manos.

tristemente/penosamente/vulgarmente

como se acaba una pila en un objeto que nadie usa

sin más ceremonias, sin nadie quien llore por ella

nadie lloró por ti mar embotellado

ni siquiera yo

I wonder if you felt something
sorrow or abandonment
or bitterness towards me

I don’t blame you

no te culpo.

enterré a tus hermanos en una ciudad extraña en los mausoleos de heroes desconocidos

lejos de su padre y de su madre

luego borré todo vestigio/todo sentimiento/todo signo

pero a ti

I will mourn you forever

porque fue mi error llevarte conmigo para exhibirte como quien lleva una medalla, como un trofeo

cuando no eras más que un estandarte de mi derrota.
El poema a un souvenir roto.
Kelvin May 2015
A** little boy, cried, he died inside.
Felt the pain, still no gain.
Hate the world,still held tight.
Joy wasn't present, karma neither.
left the mom, had a fever.
Name the oath, say the prayers,
Question the rest, salvation, timers.
Undefined verification made him see,
World, goodbye, XYZ.
A,B,C,D,E,F,G,H,I,K,L,M,N,O,P,Q,R,S,T,U,V,W,X,Y,Z.
The Good Pussy May 2018
.
                        
                         Ameri
                      caAmerica
                    America­ Am
                   erica America
                   America  Ame
                     rica America
                     America Am
                     erica Americ
                     a America A
                     merica Amer
                     ice AmericaA
                     merica Ameri
                     ca America A
              America          America
           America Am    erica Ameri
           ca America A   merica Ame
              America            America
Cora Salas Apr 2014
No creo que te ame.
Amar es una palabra muy grande, y no estoy segura de saber que es el amor.
De lo que si estoy segura es que te quiero mas que ha nadie.
Te quiero mas que a las pequeñas maravillas del mundo.
Te quiero mas que al olor de brisa, y al sonido de las chocando contra las rocas.
Aun no se que es lo que siento por ti, lo que si se, es que te aprecio mas que a nadie y me haces sonreír.
A veces,
mi egoísmo me llena
de maldad,
y te odio casi
hasta hacerme daño
a mí mismo:
son los celos, la envidia,
el asco
al hombre, mi semejante
aborrecible, como yo
corrompido y sin remedio,
mi querido
hermano y parigual en la desgracia.

A veces -o mejor dicho:
casi nunca-,
te odio tanto que te veo distinta.
Ni en corazón ni en alma te pareces
a la que amaba sólo hace un instante,
y hasta tu cuerpo cambia
y es más bello
-quizá por imposible y por lejano.

Pero el odio también me modifica
a mí mismo,
y cuando quiero darme cuenta
soy otro
que no odia, que ama
a esa desconocida cuyo nombre es el tuyo,
que lleva tu apellido,
y tiene,
igual que tú,
el cabello largo.
Cuando sonríes, yo te reconozco,
identifico tu perfil primero,
y vuelvo a verte,
al fin,
tal como eras, como sigues
siendo,
como serás ya siempre, mientras te ame.

— The End —