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sharks in
Trafalgar Square
throw hats
of Danbury
yet antebellum
in London
is a
column yet
the public
cityscape in
her democracy
yet anarchy
in a
high sea
stake of
Latin Tribe
is now
Lu Wilson Jun 2020
Everything sounds better in french
On this belief I can surely rely

They have the gorgeous Pomme Frittes
While we have the boring french fry

In France a crispy, fresh and warm baguette
At my house just a mediocre loaf of regret

There is quite nothing better than a glass of French Champagne
Our domestic impostor "Sparkling Wine" isn't winning that game

Naturally to seal this case I will end with the perfect French kiss
Because a plain peck or a smooch is so much easier to dismiss

Clearly I have a sophisticated foreign thirst to quench
Mon amour, because everything sounds better in French
Heard a french song and I've decided everything sounds better in French
Peste
J'hiberne jusqu'à ce qu'il soit temps, perfide,
Limpide
Contemplez-moi, impies,
Le jour du jugement est ici !
Courez par centaines,
Car seule la quarantaine
Peut vous soigner.
Peut vous sauver,
Seul l'exil
De la prévisibilité infernale de la ville

J'ai arraché les pétales de toutes les fleurs
Des cloches sonnent à toutes les heures
Pour ceux qui sont malades de pleurs,
Que ne peuvent soigner aucun docteur.

Je rempli les terroirs,
Je gratte les fumoirs
Je suis le tout,
Je suis le fou

Guerre
Je suis le vouloir
Je suis le pouvoir
Mourrez sous la loi martiale
Souffrez de la vie impartiale
Macabre moulin à viande tendre
Dans un champ fertilisé à la cendre
Le Minos des temps modernes,
Que l'on nourrit de notre jeunesse
Consomme, vorace comme en ivresse
Consume nos amis et nos frères,
Salit nos soeurs et nos terres

Les mains tachées du sang des atrocités
Que l'on regrette un fois revenue la lucidité
Personne ne nous détruits mieux que nous-même
Personne n'a jamais été sauvé dès son baptême

Je tue les espoirs
Je vole les avoirs
Je suis lucide,
Livide

Famine
Je suis le rat dans les geôles
Je n'ai plus de contrôle
Même si je fuis ailleurs,
On me ronge de l'intérieur !
Sauvez-moi de cet insatiable creux !
Je salive de tous mes yeux
À la vue de nourritures fines
Dont je suis en manque, j'imagine
La vie n'est que désirs,
Bonheur, l'excès et son plaisir

Que ne ferait pas un homme pour ne pas rater son train
Quand il se meurt, et qu'on lui promet un bout de pain ?
Que ne ferait pas un homme quand il est seul et qu'il a faim
Quand de l'intérieur il meurt, et qu'il besoin de soin ?

Je vide les armoires,
Je gratte les contoires
Je suis le vide
Je suis l'avide

Mort
La limpide clarté
La déchirante pureté
De la puissante nature,
Et de ses créatures
Les plus virtueuses,
Les plus malicieuses.
Célèbre dramaturge,
J'ai ce désir de purge,
De soulager des siècles d'agonie
Et ainsi cloître le cycle de la vie

Rien n'est aussi grandiose qu'un dernier coup de théâtre
Quand on est seule dans le silence de l'audience à l'amphithéâtre
Bien petite compensation pour avoir réprimé ses désirs
Que de pouvoir rêver un peu avant d'enfin s'endormir

Je vide les boudoirs
J'écarte le doute de revoir
Je meurs d’ennui, je suis mort,
Je meurtris la vie, je suis la mort
Je déteste que tu aimes sans raison
Les statues sont sculptées à tes traits
Les tableaux sont peints à ton portrait
Pourquoi retournes-tu l'or au plomb ?

Déesse grecque, je suis a genoux devant ton autel
Quand les vers décrivent tes uniques manières
Et les musiques chantent tes beautés particulières
Pourquoi vivre comme de simples mortels ?

Pourquoi m'aimer comme les infidèles aiment
Puiser l’eau que les riches gaspillent
Accumuler une richesse que les barbares pillent
Et hériter des vengeances que les trahis sèment

Pourquoi remplacer la pureté de l'eau
Par le goût amer de la débauche du vin
La grâce d'un pur race chevalin
Par l'acharnement d'une mer contre un bateau

Quand les oiseaux te font la cour
Je soupçonne ton ouïe d'être sourd
Quand les chiens à tes caprices font des sauts
J'accuse tes yeux d'êtres aveugles au beau

Simplicités des saisons
Les rongeurs sont lassés de leurs noix
Les chanteurs sont privés de leurs voix
Violence des passions
C'était la plus belle soirée de ma vie
J'aimerais m'en rappeler comme si c'était hier
C'était la plus horrible journée de ma vie
J'aimerais oublier comme si ce n'était hier:

Je suis dans une gare, le train n'arrive pas
Je me soumet la question, ce que j'aimerais m’éviter
J'attend ma belle et elle n'arrive pas
Je perds le temps que j’essaie de gagner

Je parle aux voyageurs antipathiques
Pour tuer le temps perdu
Coincé dans ce gâchis esthétique.
Avant que le temps ne me tue
Je quitte ce café pathétique,
Purgatoire pour excommuniés
Avant, je commande un autre verre, foutu tic,
Foutue expatriation, je veux t'oublier

Je me retrouve donc dans un carrefour sombre
Où se rencontrent les civilisations
Pas un arbre pour profiter de l’ombre
Il n’y a plus de lumière ni plus de son
On me noie
Au milieu d’une mer de gens qui n’ont pas vécus
Je suis assoiffé d’un ami
Au milieu du désert avec personne en vue
Dans ma propre ville je suis intru.
L’anonymat de l’exil,
On me connait bien à l’institut,
Je m’y reconnais dans chaque tuile,
Dans ses murs peints à l’huile
Je suis ici, et je suis là
Je m’imagine ailleurs mais c’est futile
Détachez-moi, je ne fuirais pas !

Je suis rescapé,
Je suis perdu !
Les heures m’ont échappées,
Le temps m’est perdu
Comment s’en sortir quand on est un débauché ?
Je suis mort, je suis pendu !
Comment repartir quand le train a déraillé ?
Quel guet-apen l’on m’a tendu !

On me somme de rentrer chez moi,
Le dernier train est passé, et je ne l’ai pas pris
Mes oeufs dans le même panier, et j’ai fais le mauvais choix
Je ne me reconnais plus, qu’est-ce qui m’as pris ?

J’essaie de me souvenir
Ce n’est certes pas la dernière fois
On m’a pris mes souvenirs
Comment me suis-je retrouvé là ?

Au retour d'une aventure (rêverie) que je regrette
Mes amis me dévisagent en traître
Je me défend en phrases toutes faites
Ah, si j’avais appris de mes ancêtres...

J’y retourne chaque matin,
Dans l’espoir de retrouver celui-ci (l’espoir)
Pas de libre arbitre pour un pantin
Chaque fois on m’affirme que je ne viens pas d’ici (chaque soir).

L’élégance d’une mort heureuse
Je ne pense plus au car de la malheureuse,
J’attend celui qui me portera **** de ces malheurs;
Jamais n'est-il à l’heure.
Ne faisant pas attention à tout ce que l'on m'a dit,
J'ai goûté le parfum du volupté interdit
Maintenant les plus belles choses sentent l'amertume
J'ai compris le noir de l'absence de la lune,
Seul, dans la solitude d'un parc, béant
Où je ne fais qu'un avec le vide du néant.
La présence du gouffre est désormais si aigüe ;
On ne goûte pas par deux fois le fruit défendu
Pour une toile fraîchement peinte
Où j’ai mis mon âme et le reste aussi
Sur une peinture franchement sainte
Où j'ai mis fortune en pari,
Et je perdus le reste ainsi

Cette ville qui ne dort jamais
La ville de la nuit
Que l'on ne quitte jamais
Celle que l'on fuit,
Trottoirs où le soleil nous cuits

Une nuit en la ville,
Mille soleils, le Paris d’ici
Où j'erre en pauvre imbécile
Les secondes de ciel amincies
J'en tire mon mal comme un cheval docile

Le diable se cache parmis nous
Est-ce que tu le crois ?
Il réside chez les rois comme chez les fous
Cheval de Troie
Une Percée dans les étoiles, notre seul toit

La ville des lumières éteintes
Bidonville de lumières mortes
La cité des lumières saintes
Aux visages de toutes sortes
Pas besoin des clés de la ville pour ouvrir ses portes

La cité des vivants,
Un Hadès aux yeux de tous
La cité des mourants
L’ombre où les maux des hommes poussent
Et les pauvres de leurs malheurs toussent

En ce jour aux nuages ocre
Les feux sont déjà tombés, n'ayez crainte
Les humeurs et les airs âcres,
Déjà les ruisseaux et leurs teintes,
Ont découlés des rues comme une plainte
I felt you in a space that no one else can find,
Expressed things that weigh beautifully upon my mind,
Touched by your thoughts I can barely comprehend,
I find myself exposed to a brand new kind of friend,
My mind silenced by the sound of my heart beginning to beat,
I felt lost and yet found while attempting to find my feet,
And as you revived the parts of me I never knew,
Or maybe even forgotten waiting on something true,
How can I express what I've never known,
Or begin in what I've never been shown?
Without question the answers sought never to be found,
Without words you gave me something more profound,
Wonderfully written upon my heart I find them everyday,
Yet still I search for the right words to say,
Now I reflect in the wonder of how I could be so small,
Realizing you showed me how I need not words at all,
Without question... One day I opened my eyes and began to see,
Your heart was beautiful enough to finally find me.....  
  For the love of my life ... Feb. 2 2017
Adityan Apr 2020
I’d die for you

With a bullet wound through and through

For the memories were not a few

And for why i fell for you i have no clue

Locked in the louvre

Rooms full of art

I would stare at you

Counting every second, we spent apart

Pour Toi oeuvre

Je compose cette symphonie

d’amour et de d’amour

et pour toi je séjour

Je t’aimerai

mille livres sur notre amour j’imprime

dans cette langue d’amour

je t’apporterai du glamour

From your eyes

To the stars in the skies

You make shine

You are so much more than fine

For you are divine

and may never be mine

I love you for your flaws

Everytime our eyes meet

I hear that downbeat

you make the world pause

My heart stops without cause

regarder dans les yeux

fait fondre mon cœur

sans toi la vie est ennuyeux

mon amour n’est pas un moqueur

c’est vrai

dis-je alors que nous commençons à danser

The mozartiana suite, Starts playing

Intimately, swaying

We dance under the midnight moon

by the blood white lagoon

loved you make me feel

Every moment spent with you is surreal

For u are a poem i cant end

My love for you is perhaps,

one that none can comprehend
This is a standard love poem i felt like i was obliged to write one as a poet and was around the time i was falling in love, the french is terrible and i am sorry for that.
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