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Faire fondre au bain-marie
En remuant avec une maryse
Votre chocolat coupé en petits quatrains
Dans le café
Incorporer votre élixir de muse
Laisser tiédir.

Prendre une rime riche
Mise à tremper depuis la veille
Séparer les voyelles des consonnes
Fouetter les voyelles avec des mots pimentés
Monter les consonnes en neige éternelle
Avec une pincée de musc glacé
Et fouetter jusqu'au sang
Verser les voyelles dans le chocolat
En remuant énergiquement
Incorporer délicatement les consonnes en neige virtuelle.
Mélanger doucement avec une virgule éphémère

Verser votre mousse dans de petits ramequins
Réserver au frais pendant trois heures minimum
Déguster votre mousse d'élixir de muse au chocolat
Avec du melon et de la pastèque bien fraîche
A chaque fois que tu rentres de bonne heure,
Mon coeur se remplit de Bonheur.
Tu illumines nos soirées monotones,
Tu nous fais rire avec tes blagues, même si elles redondonnent.
Avec toi on ne s'ennuie jamais,
On parle, on crie, on s'échange des secrets.
Tu n'hésites pas à nous faire des câlins,
Même quand tu t'en vas de bon matin.
On n'aime pas te voir partir si ****,
On préfère quand tu restes dans le coin.
La Russie, c'est comme le bout du monde,
Heureusement que tu n'es pas James Bond!
On aime te voir à la maison,
Avec tes pyjamas troués et ta barbe de bison.
Même pas peur quand tu vas chez le coiffeur,
On connaît ta tête de pomme par cœur!
On a beau se plaindre de ton penchant pour les sucreries,
Il faut avouer qu'un peu de graisse, c'est aussi confortable qu'un lit.
Même si tu trempes ton pain au fromage dans ton café,
Nous, on a même pas peur de t'embrasser.
On a toujours hâte que tu reviennes,
Même si ca ne fait pas une heure que tu es parti.
Ne t'inquiètes pas on restera les mêmes,
On sera toujours là pour te faire des guilis.
T'es le roi des bisous, t'es le roi des Papas,
On t'aimera toujours, même si tu manges du chocolat!
The Forest Mar 2013
maintenant

je me sens

mauvais
sur
nourriture

votre

chocolat ...
bar ...
marriegegirl Jul 2014
Il ya seulement deux jours restants dans cette jolie petite année.nous avons eu .et nous célébrons en grand style ici sur SMP Sud-Ouest.Je parle d'un hiver répond photo moderne tournage de certains des meilleurs vendeurs que vous rencontrerez jamais .Pensez Allen Tsai Photographie .Linge de lit BBJ arcs et de flèches à venir ensemble pour un tas de moments magiques de style à la perfection par Keestone événements .Téléchargez votre joli dans la galerie complète .\u003cp\u003eColorsSeasonsWinterSettingsHistoric VenueStylesModernTraditional Elegance

De Keestone événements .Notre objectif était d'avoir quelque chose que vous ne voyez pas souvent dans les mariages d'hiver .The Venue au robes demoiselles d honneur Nord 400 Ervay était l'endroit idéal pour essayer quelque chose de ce genre.car il est situé en plein cœur du centre-ville de Dallas .et dispose d'un toit spectaculaire qui pourrait mettre en valeur les gratte-ciel en toile de fond .Anecdote: C'est également un bureau de poste historique à l'intérieur!

Les couleurs or.argent.champagne et bleu turquoise ont été utilisés pour évoquer ce sentiment d' hiver .Cependant .nous voulions que les fleurs soient en mesure de se tenir debout sur ses propres et d'apporter une pop joyeuse à la création ainsi .Les arcs et les flèches épargné aucune dépense et utilisés pivoines de vol de Nouvelle-Zélande de faire ces arrangements !Personne ne dit un mariage d'hiver doit seulement être faible - il est une occasion joyeuse .après tout!

Nous voulions aussi apporter quelques éléments de la salle extérieur.ce qui a entraîné ES événements enfiler un lustre pour évoquer ce sentiment d' intimité

http://modedomicile.com

et d'élever le réglage en même temps .L' accueil doux venu avec des friandises délicieuses pour le tournage .Ils ont fourni des tireurs de chocolat chaud trempées dans le sucre .macarons avec des flocons de neige sur eux.des petits gâteaux et un simple mais élégant gâteau de mariage deux niveaux de lier le tout.
Ces tireurs de chocolat ne sont utiles aussi!Dallas avait un front froid venu ce jour-là et il gelait en particulier sur ce toit qui vient d'être ajouté à l'authenticité de celui-ci !Nos modèles sont mariés et d'énormes soldats pendant ce temps.La mariée a dû robes demoiselles d honneur avoir son maquillage pour les yeux constamment appliqué de nouveau parce qu'elle déchirait à cause du vent mais vous ne serait jamais en mesure de voir sur les photos !

J'espère vraiment que vous aimez ces images autant que nous faisons .J'espère que vous restez au chaud .aussi bien!

Photographie : Allen Tsai Photographie | Fleurs : arcs et des flèches | Papeterie: Les genoux de l'abeille | Réception Lieu: Le Lieu A robe de soirée grande taille 400 Nord Ervay | Éclairage
LDuler Dec 2012
ok so here is what we are going to do
i'm going to get a bout de souffle
what was i gonna do..
one thing getting to nether still need you
are you all here
one thing getting getting to noter
288 guitars 
i've been hoping  don't get much dumber 
and getting to noter
this movie is not yet rated
i'm kind of trying to decide
i will send an email to your parents
so… just off the bat 
your parents are not ok with that 
kind of thing
she was out there interviewing her?
right there… have you seen that? ok good
movie theater to hide
c'est rare
reste avec moi
ciao petite fiiiille
elle est la bas je crois
vous parlez français? yes
attention ma petite fille on ne plaisante pas avec la police parisienne
you think i'm lying? you are
i didn't see you
you don't believe me
bonjour mignonne
qu'es ce qu'il dise
les flics me recherche
parle le moi quoi? ca alors
tu es marie
c'est trop **** maintenant d'avoir peur
bonsoir madame
il faut absolument que je trouve antonio
accelere minouche
il est alle a monpellier
why don't you smile
it would certainly surprise me
sourrrit sourrrit
je pense a quelque chose?
je ne sais pas
je voulais être seule
c'est finis
tu m'emmene au champs elysee
au revoir 
tentez votre chance
un cafe alors
moi je peux pas partir
et puisque je suis méchante avec toi c'est la preuve que je suis pas amoureuse de toi
ahh c'est trop complique
j'ai envie de dormir
c'est vraiment dégueulasse
how would you relate
destroy the rules
young actors
....sommes seuls, cette certitude de nous-mêmes dans la sérénité de la solitude ne sont rien en comparaison du laisser-aller, du laisser-venir et laisser-parler qui se vit avec l'autre...
audition for the leading character
interesting combination
the criminal
just the edge of his frame
she seems innocent at the beginning
looking at his notes
just fyi i throw out someone
loving and desirable
playing off of that very consciously
you just not be working
archival stuff is on Facebook
c'est l'heure du gouter
de la glace au chocolat
working on your transcripts/ paper edits
that's probably not a smart thing to do
t'y va
Not this sense
that I don't know what the hell
a human girl is...
where’s the coast guard? 
just a spotlight gimme something
ca commence a 6h 
t'es cool
quickly
i smells like **** did you ****?
you are the love de ma vie
he talks like that he is french
she is like ze morning sun in ze...morning 
beautiful
ze temps is in ze essence
muaaah
is our classroom
i can sense the connection
the connection? 
the connection entre nous
so madame alezraa give me this much
i heard boss
he is not doing anything
to give me a kiss 
it's in the 1st tab
it's still there
you don't have to click
i can't save it, just stay with me
there is no word on this ****
i need the inspiration
you are my muse
c'est pour ca qu'ils sont si petit
small
je vais m'occuper de
the whole point of life is to rearrange it in a coherent running story
people don't talk in stories
cut each section
some sort of a story
nice
tu veux que je mette
ouai ok attends
elle est l'autre feuille
permien tu veux que je colle recolle decolle coupe recoupe decoupe
how do you feel about solving…I mean it's an interesting way to solve it…
〜flowed〜 nicely
it was sort of an ingenious solution
she's in the airplane, she's in the sofa
try to transition between the two subjects….where does your friend come from?
what it was like landing in New York, looking out the window...
the process of arriving
not really fair to say that
in the future, if you're going to try to tell a story…in their minds….what's the story she's going to be telling me?…..coming home
fill in the blanks
don't go shoot blind, that's the biggest mistake
does that make sense?
great!
wubwubwububwubbbbbwubwb
gloving is......flowing lights in sync with the♩music ♫
flowing in gloving is broken…
liquid
finger rolls
tutting
figure eight ∞
wubwubwubBAMwubwubwoosh
wave-like movement…basic thing….wrist in a motion
tutting is like the angles…. not um 〜flowing〜….like tetris
you want to more, rather than following
solid ⸪lights, ⸫single⸭ solid lights⸬
pink to green to orange to yellow to blue
advanced strobe, solid line of color [...] streak of purple
electronic, dustup, elector, house, trance…
you’ll probably never see anyone gloving to like, classical music ♬♪
my name is Henri Geneste and I'm a glover WUBwubwubwubbbWUBWUBAHHHwubwubWUBWUBWUB[ONE][TWO]WUBwubwub[THREE­]
putain c’est magnifique
je me demande si il fait ca la nuit, quand il arrive pas a dormir...
window thing, kind of dumped
either the ours magna or the I equals me squared²
like language, like art, there are rules
go out and break them, just mucking around
fix it, wanna make one, totally your creative decision
how awkward
a bout de souflle
totally revolutionary
ainrr
radical, argue truer, but it's jarring, that's one way to do it!
aware that they're there but not ⑈jarring⑇
close to wide…..there's a cut there but the eye can follow it
um i have to go...
bye henri!!!
bye!
bye man.
see ya monday!
the hair!! im gonna shave it this weekend
I've been to raves
is he, like, a straight-edge?
there's drugs…do you guys ALL go to raves?
how the audio?
looked cool, the rain in the background
DUHDUHDUH that's hard to do
a huge amount, i'm sorry but gloving without the music?
if he does drugs OR NOT, how he's enjoying it OR NOT, if it interferes with his studies OR NOT..
just FYI we were all young yesterday
two bodies
he's here cause he's not going, right?
are you interested?
oh i would be very interested
yeah i see what u mean
you could come with me….i could always take the bus
it'd be cool
moi elle sera belle
here we go!
woah
their audio visuals are not very HOT
hours per day?
1…2 hours a day
sometimes 30mins
mostly people, sometimes like little animals
mostly people
i look at their art a lot
really interesting style
environments
if i want to…how I see them in my head
stuff like that
usually kinda random
i pretty much self taught
mostly from practice
everyone draws…but i got serious about it, like very…6th grade
i don't like the idea of competitions
and mum drawing is like, something that's kinda important
a passion
not sure i would want to go into it as an industry
more than just art
for now im not really sure
alright
so our usual questions
eyeline! thank you
on the couch….at the end it was really weird
who was…sitting where?
where were you?
she didn't really even really look, she was too far away, she just kind of….looked
much…she might not have ever looked
with the eyeline…it was pretty steady, no jerky-herkys, there were several edits
forgive it cause there's enough change
you could follow it, you could see that time had shifted
the content demanded it
WOAH okay now i'm really curious
we could see it, but then it was on the something else
process the image
now we're trying to look at the art, now we need more time
arc? did u feel like there was an ◜arc◝?
umm yeah…..
how many hours a day do u draw?
try to make sensible out of that
is that they use 2 3 four…
uh...cut..i did….cut
the cutting itself is like a commentary on her
since i was little. when i was little
when i was little
but my parents, my family don't
hands and arms
collages, magazines
photography
big part of photography
San Francisco Art institute
graphic animation, we only had like 3 weeks
still lives, models we would draw them
we had like an exposition
the person my mom works with's husband
wanna do an artistic career
alright so
not the greatest projector ever
too much head    space    
a lot of nothing
it makes it a lot more interesting
i think it was okay in the video cause
what she was saying and stuff like that
fair enough but I don't agree
lost in this big sea of wall
you're totally forgiven
no questions
power of a well-placed microphone
fantastic
the beans!
alright
you guys are the wrong audience cause you all know each other's stories
good feedback
movin' on, okay
very frustrating
and now.....surfing! woohoo!!!!
30 loooooong minutes, it's a nightmare!
7 minutes
3 minutes
it's a 10th
there's something fascinating about listening to people…you can do it yourself later
bolinas, del mar, sometimes surface, livermore, ocean beach
......riding the waves…....man….....it's the best feeling
you're walking on water you know? that feeling…….i love the ocean
i love the water, after you get that perfect wave you just feel accomplished
that feeling…..is awesome
surfing, it's all about having fun..
you surf once, and….you know?
if you're a surfer, you have a love for the ocean
my, my grandpa always loved the beach, we would go there at two in the morning and just….
my grandpa died and he asked to be cremated, he wanted his ashes to go in the ocean, so we took his ashes out to the ocean
I remember walking out to the ocean with my dad, we threw his ashes into the ༇wind༅ above the ocean, and we looked down….
we want to get the pain!! and the sorrow! because we're vultures you know? we just zoom in to get his expression
little bit weird
i do, i like it
it's black and white
it's just a surfer, it's not movin', it's there…it's not always the same
sort of echoey
…the ocean, and so i remember my dad taking the….
too much archival? too much? not long enough? both.
there was sort of a disconnect at times
her story, you have to cut
when she says "CAT" i want to see a CAT, when she says "FIRETRUCK" i want to see a FIRETRUCK!!! i was like, okay, i  just went to school…
and now this?
or you see a woman that looks like a cat
it's hard, it's complicated, it's not given
so they just kind of ended
you guys im trying to help them
oh okay
hey you know what no no no you know what don't take any of this personally just be like oh okay
he's got a funny manner of speech
any thing else?
arlo says no
"it would not go well"
what IS the really great ending?
amazing feeling one can have…..
you feel like you own the ocean, like it's heaven on earth
this technique it's called killing your babies…i love that
uh what
he says "uh no no no this is a 3 minute film"
sad but true
we all get attached to things, we don't want to cut them out
just play with it, if you decide
we can schloop
can we watch
not exactly…here's..uh okay a quick heads up
oh
for this summer
advanced lab, art advanced films, screen-writing, animation and more
field trip!! i need to contact your teachers
what day? a thursday
almost all day…nine to three
we would leave here
now im gonna erase this
Pour te garder toujours à portée des yeux
Je t’ai mise sous verre,
Ma muse courtoise,
Avec encadrement de bois
Stuqué et doré du dix-neuvième siècle
Avec marie-louise,
Jolie gravure du dix-huitième siècle signée

Sigmond Freudeberg, peintre et Antoine Louis Romanet, graveur !
C’est une scène galante :
Tu prends le bain
Et Justine, ta servante t’apporte sur un plateau
Un billet-doux et ta tasse de chocolat chaud
"De la Lettre ou du Chocolat, que préfère Madame?!."
Dit Justine avec le regard complice de l 'entremetteuse.
Ah ma chère Justine, j'ai le coeur bien plus délicat,
Plus faible infiniment, hélas que la poitrine!"
Puisque c’est toi madame
Tu choisirais d’abord la lettre ou le chocolat ?
Sia Jane Feb 2014
Tell me your secrets tell me a tale of centuries passed where you recall meeting at what we called the wrong time what if maybe years from now I lift my head tilted towards the sound of a barista clearing the table where you then sit where you are only focused on a poodle called Gaillard who is chocolate brown groomed to perfection with a winter coat matching the faux fur wrapped around your neck as winter has fallen no bleakness just crystal skies iced cobbled pavements too cold for the puppy with big brown eyes whimpering for a seat on a warm lap of an owner feeding treats comfort provided by the attentive barista returning from the inside of a busy café serving hot fresh expresso drifting smells across untouched air toward me who orders another chocolat chaud arriving with a macaroon an unmarked napkin to which I write "Tu me manque" standing I walk to her table Gaillard remembering my scent lifts himself to my chest as I lay the note down where the one who'd be gone so long whispered back sweeping her hair to the side, "Tu me manque plus"
simultaneously they say; "I knew I'd meet you again someday..." a smile from both, "in Paris," with a giggle a caress a simple holding of the hand.

© Sia Jane
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My new poetry anthology :))))
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http://www.amazon.co.uk/Wanderlust-she-travels-her-mind/dp/1492952346/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid;=1392582925&sr;=8-1&keywords;=sia+jane+lloyd

Also visit:
www.facebook.com/Siajanewords
siajanewords.blogspot.co.uk
chimaera Jan 2015
Salty,
like a misty drizzle
by the sea;
sour caramel,
a dark harsh yellow;
a silky roundness
of reddish sweet

- tickling lust.
1.1.2015
Once, I participated in a chocolat degustation and we were supposed to describe in words the different kind of chocolats; for this text,... just craving for some chocolat...
Megan Joseph Aug 2019
i am like a box of dark chocolates:
filled with disappointment
a short poem for today!
Mon Papy.
Mon Papy n'a jamais eu de poème,
Afin de lui faire comprendre à quel point je l'aime.
J'ai donc le devoir de rectifier cette erreur,
Qui, depuis quelques temps, ronge mon coeur.
Depuis que je suis petite, tu m'as fait découvrir la belle vie,
Apprendre à faire du vélo sur deux roues en fait partie.
Tu m'as montré comment jouer aux boules,
Et comment orienter mon cerf-volant pour qu'il s'envole plus haut.
Tu m'as fais goûter le meilleur miel du monde,
Celui que tu allais chercher dans ta combinaison de super-héro.
Moi je pensais que tu étais James Bond,
Tu me disais, "ca roule, ma poule",
Comme si tu n'avais peur de rien,
Même pas des oies qui nous courraient après dans le jardin.
Avec toi je joue au scrabble et aux petits chevaux,
Tu gagnes toujours haut la main, et on ne peut s'empêcher de crier "Bravo!"
Je me souviens de nos soirées Fort Boyard et Koh-Lanta,
Rien de mieux qu'un bon feu, une famille réunie, et du chocolat.
T'avoir dans ma vie est un cadeau de chaque seconde,
Parfois j'aimerai le crier sur le toit du monde,
Pour qu'ils sachent tous la chance que j'ai,
D'avoir un papy comme toi, que je suis si fière d'aimer.
Même **** de toi je te sens près de moi,
Tu réchauffes mon cœur avec des sourires.
Tu sais bien qu'avec toi je ne peux que rire.
Tu m'aides à donner le meilleur de moi-même,
Tu sais bien que ta fierté fait la mienne.
Dans ma tête tes chansons résonnent avec clarté,
De la souris verte à la claire fontaine,
Ta voix berce mes souvenirs chaque jour,
Et mon angoisse disparaît dès que j'en entends les contours.
Mon sourire apparaît dès que je pense à toi,
Et mon cœur se remplit automatiquement de joie.
Bierstube Magie allemande
Et douces comme un lait d'amandes
Mina Linda lèvres gourmandes
Qui tant souhaitent d'être crues
A fredonner tout bas s'obstinent
L'air Ach du lieber Augustin
Qu'un passant siffle dans la rue

Sofienstrasse Ma mémoire
Retrouve la chambre et l'armoire
L'eau qui chante dans la bouilloire
Les phrases des coussins brodés
L'abat-jour de fausse opaline
Le Toteninsel de Boecklin
Et le peignoir de mousseline
Qui s'ouvre en donnant des idées

Au plaisir prise et toujours prête
Ô Gaense-Liesel des défaites
Tout à coup tu tournais la tête
Et tu m'offrais comme cela
La tentation de ta nuque
Demoiselle de Sarrebrück
Qui descendais faire le truc
Pour un morceau de chocolat

Et moi pour la juger que suis-je
Pauvres bonheurs pauvres vertiges
Il s'est tant perdu de prodiges
Que je ne m'y reconnais plus
Rencontres Partances hâtives
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au **** les suivent
Comme des soleils révolus

Tout est affaire de décors
Changer de lit changer de corps
À quoi bon puisque c'est encore
Moi qui moi-même me trahis
Moi qui me traîne et m'éparpille
Et mon ombre se déshabille
Dans les bras semblables des filles
Où j'ai cru trouver un pays

Coeur léger coeur changeant coeur lourd
Le temps de rêver est bien court
Que faut-il faire de mes jours
Que faut-il faire de mes nuits
Je n'avais amour ni demeure
Nulle part où je vive ou meure
Je passais comme la rumeur
Je m'endormais comme le bruit

C'était un temps déraisonnable
On avait mis les morts à table
On faisait des châteaux de sable
On prenait les loups pour des chiens
Tout changeait de pôle et d'épaule
La pièce était-elle ou non drôle
Moi si j'y tenait mal mon rôle
C'était de n'y comprendre rien

Dans le quartier Hohenzollern
Entre la Sarre et les casernes
Comme les fleurs de la luzerne
Fleurissaient les seins de Lola
Elle avait un coeur d'hirondelle
Sur le canapé du bordel
Je venais m'allonger près d'elle
Dans les hoquets du pianola

Elle était brune et pourtant blanche
Ses cheveux tombaient sur ses hanches
Et la semaine et le dimanche
Elle ouvrait à tous ses bras nus
Elle avait des yeux de faïence
Et travaillait avec vaillance
Pour un artilleur de Mayence
Qui n'en est jamais revenu

Il est d'autres soldats en ville
Et la nuit montent les civils
Remets du rimmel à tes cils
Lola qui t'en iras bientôt
Encore un verre de liqueur
Ce fut en avril à cinq heures
Au petit jour que dans ton coeur
Un dragon plongea son couteau

Le ciel était gris de nuages
Il y volait des oies sauvages
Qui criaient la mort au passage
Au-dessus des maisons des quais
Je les voyais par la fenêtre
Leur chant triste entrait dans mon être
Et je croyais y reconnaître
Du Rainer Maria Rilke.
Francie Lynch Mar 2021
Aine, Xav and Ga, their dog,
Were hiking through the Sifton Bog
On Sunday morning, sunny and warming,
Hunting for their Easter eggs;                                                    
When Ga sniffed, then barked in a hollow log. 
What is it, Ga? Aine asked in wonder
Is it a frog? Xav asked Pumper.

But Ga smiled and left to lift a leg.

So Aine peeked in one end,
Xav peered in the other.
It was hollow, that's for sure,
They waved to one another.

Oh!... But Oh!... something moved inside.
Brown and hairy, with flaming red eyes.
It moved at Xav, who stepped back, then cried:

Aine, come here! Come here NOW!

Quick as a flash she stood by his side.

(Together they would live or die.)

With twelve powerful legs and six beady eyes,
It leapt at them, then hopped outside.
There cuddling ‘n twitching at Xavi's feet,
Were three wee bunnies, cute as can be.                              

Ooooo, Ooooo, they both sighed.
Can we take them home to feed and keep,
And play bunny games till we fall  asleep
!
Xavi asked. No. Xavi begged!

Hmmm, thought Aine, quite perplexed;
But then remembered what her parents said:

Be cautious with our furry friends;
The birds, fish and earthy crawlers;
When you find them,
Be careful-kind,
And they'll be with us always
.

Still,  Xavi worried, so he asked his Sis,

Are they okay if left like this?

Hmmm, thought Aine (who's getting real good at this).
Let's call Granda.
Tell him what we've seen.
Mom says he knows everything
.

(They Zoom Time on Mom & Dad’s phones)

Hello, Granda, this is Aine.
Xav and I have a question for ya.
We came across some wee bunnies
Huddled in their home.
Are they okay if left alone
?

Granda heard their concern,
So he told them all he had learned.

All the bunnies I have known,
Have done real well when they have grown.
I knew Buggs as a wee bunny,
And he grew up to marry Honey.

Rabbit's a friend to Kanga and Roo,
And Mr. Rabbit got carrots tricking Cap’n Kangaroo.

Miffy was Kathleen’s first rabbit friend;
Mark loved Velveteen’s happy end?

And Roger starred in his own movie,
Like me, your Granda, he's so cool and groovy.

Thumper keeps thumping his left hind foot,
And Br'er Rabbit’s still naughty in all his books.

The White Rabbit leads Alice down a hole,
Where March Hare’s late... as usual.
                      
If you like heroes found in comics,
Read Captain Carrot, he’s supersonic.
I can't forget Crusader Rabbit,
He rides a horse and feeds it carrots.    

I’m sure you've heard of Beatrix Potter’s
Tales of Peter, and his sisters and brothers.

All these rabbits were once wild bunnies,
Now in movies, books and funnies.

Why, even magicians pull rabbits out of hats.

Your three wee kittens were left alone
While Mummy Bunny left on her own
To gather food bits to feed her wee kits
Waiting for her safe return.
                    
I surely hope I’ve allayed all your fears,
Don't worry, your bunnies are here for years.

But there's one more bunny I should address,
And I'll tell you who so you needn't guess
This bunny's the one we might like best:

It's the Easter Bunny, au chocolat
!!

Xav and Aine were much relieved
To let their bunnies
Live wild and free.

Thank you, Granda.
Hope to see you soon.
Happy Easter, and too-da-loo
.

And off they hopped for some Easter treats,                    

Pumper got his treat back home.
Leftover from dinner-
A tofu hambone.
Written for my grandchildren, Aine and Xavier (Xav). Their dog's name is Pumper, but they also call him Ga. The original has many pictures embedded in the verse, but they don't copy to this site.  Kathleen and Mark are the parents. The Sifton Bog is in London, Ontario.
EM Dec 2014
Il avait le regard le plus doux qu'elle n'aie jamais vu et un sourire a en mourir.. pour combien de temps celui ci va t'il durer? Ce demande -elle en le contemplant.. Elle adorait le regarder entrain d’étudier. elle trouvait un grand charme dans son côté travailleur. Les opposés s'attirent se dit elle avec un léger sourire.. Évidement ils étaient des opposés. Il était romantique, elle ne l'était pas. Il était sérieux, elle ne l'était pas du tout. Il aimait le chocolat blanc, elle le détestait. Il aimait le whisky, elle ne le supportait pas.. mais pourtant il a su la conquérir: ce qu'elle n'aimait pas admettre; elle a toujours essayer d'éviter l'amour qui, pour elle, était un synonyme de peine et misère, dieu sait que sa dernière -et d’ailleurs première- confrontation avec ce dernier n'as pas était des plus joyeuse et elle aurait préférer mourir mille fois avant de retomber dans ce tourbillon de pleurs et d'agonie amoureuse, mais pourtant maintenant plus que tout elle adorait sa présence, entendre sa respiration de bébé, son rire, ses mots doux, son tout, elle l'adorait finalement lui ,car, voyez vous, certains gens donnent valeur au choses, certains gens on devrait jamais les laisser partir, certains gens méritent tout l'amour qu'on leur donne, ils rendent les choses meilleur, ils sont tout simplement des anges, des cadeaux de dieu et lui faisait partie de ces gens ce qui fait qu'il a vite pris une place dans son cœur en dissipant ses doutes et ses peurs, prenant possession complète de celui ci et a fait de sa présence un élément indispensable chez elle, qui trouvait quelque chose de dévastateur, voir effrayant dans son absence.. tel faire face à sa plus grande peur.. un mélange de tristesse, de peur, de curiosité et en même temps un immense vide s'emparent d'elle a chaque fois qu'il s'en va..  elle ne sait pas, elle ne sait juste pas comment ce gars est devenu si important, si vital pour elle mais il l'est, peut être serait-il "le bon"? elle l’espérait anxieusement. elle avait hâte de se réveiller chaque matin a ses cotés, de passer ses jours avec lui ayant des fous rires, parlant de tout et de rien, jouant comme des gamins, construisant leurs rêves ensemble et de passer ses nuits a lui faire passionnément l'amour ou a se blottir dans ses bras en attendant que Morphée vienne l'emmener ****, **** dans un monde ou elle rêvera de lui, de ses lèvres parfaites, de sa douce barbe et  la chaleur de son enlacement. oui, elle avait hâte pour tout ça, elle avait hâte pour lui, mais quelque chose en elle, un monstre habitant les pénombres de son âme, lui disait de se méfier et de prendre ses distances avec lui, se monstre était sa raison. dans le monde fou, absurde, empirique, irrationnel, farfelue,fantaisiste, antilogique, et confus de l'amour la raison est un monstre désastreux, se trouvant alors déchirée entre son idiot de cœur et sa stricte raison elle se rappela de quelque chose qu'il lui a dit. "quand j'ai des doutes,quand des questions mal saines me tiennent, quand n'importe quel chose arrive, je ne donne a moi même qu'une seule repense, je me dit que je t'aime, et cela est toujours suffisant pour faire disparaître tout de mal, rien d'autre n'as d'importance" "je l'aime" se dit-elle alors écrasant le monstre de son jugement et en se rapprochant de lui avec un regard coquin qui en disait long sur ses intentions pour ce soir.
1

Asia generic guy gastronomy (and how gourmet foods eat destructively clearly beyond any) excess enthusiasm. the necessity to feed and clothe this corporeal essence christened Matthew Scott Harris revels more so within the medium of writing.

Aspirations toward fame nor fortune less significant then the mere pleasure to concoct a visually savory appetizing epistle. Food for thought moreso then to fill the void, where growling heard across the world wide web, thus, no anterior, interior, or ulterior motive asper begging for money underlies this exercise. yet...if perchance a voluntary choice arises to dole out a smidgen of legal tender a name and address linkedin to this faux popinjay person, who tries to convey decency, humility, levity...qualities that wield zest.

Connoisseur Of Ethnic Cuisine

Theme seems apropos during Holiday FancyFeasts despite the plethora of – in my opinion witching hunting - reputable male personalities suddenly accused of ****** harassment after substantial time. Yes granted so the unexpected name dropping felt like a bomb shell towards chaps, this baby boomer mwm would never suspect, point the finger, or accuse, especially one former Norwegian bachelor farmer from Lake Woebegone.

* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

Though anonymous and hardly
a substantially sized mwm baby boomer
(which dual disadvantages partly explains
lack of ubiquity among claque of cooks, yet hoop full
to get attention from some well fed dame

many popular rotund gourmands l'chaim tame
their hungry beast – wa hood put me to shame
vis a vis consuming in their one meal,
what yours truly eats in a lifetime,
none of those celery buddies,

whom this non television watcher can name
seen on any selective cable channel,
I still revel in writing while
on the hunt
   (during Red October) for a meme

poetry and prose, and decided
to introduce myself quite lame
with NON GMO marginal uptick
in any sudden fortune or fame,
yet t'would be pleasantly syrup prized

if interest
from potential mistress didst exclaim
2

desire to enjoy a repast, though
said hypothetical gal need
not be a high society dame,
and if perchance such just desserts

came via the kitchen maiden kitty,
versus kit chin middens
no boastful claim
would be uttered by me,
her intellectual company satisfactory aim.

First and foremost on the agenda,
would be to locate an affordable,
casual and favorable eatery
tubby agreeable to our taste
indubitable choice without
(any formal dresscode),
nor further haste.

Strait away to the great weigh
(or if vegetarian – whey)
station of delectable food
where the exquisite, expertise, and exotic

high steak king a claim on Michelin Guide,
Gayot Guide/Gault Millau, American
Automobile Association, Forbes
Travel Guide reputation good.

Testimony to legendary praise
explaining why patrons travel
for countless days
transforming him/her
into steady state,

where he/she shuffles along
in a dishabille quotidian famished daze
far and wide culinary craze
out of this world wide web, the wispy Lyft
wafts trace steamy filament up braise
our noses,

whereat heads nod affirmation i.e. ayes.
Even before making a glad entrance
(into Restaurant) complete
a host of fresh, enticing,

4

and delicious aromas serve as a treat.
Delicate, foreign, hefty indescribable
ole factory stimulants delight
infiltrating thru swinging kitchen doors
holding us smell bound,
though thin filaments invisibly light.

Thus upon a strategic seat we hoped for,
or politely sought from manager of the house
ah, our luck to be situated in close proximity,
where impossibility to stave gaming hunger,
though neither myself nor honorable guest grouse.

Now decision time to select one delicacy equally
as appealing as the next on expansive menu list
the resultant penultimate
decision method resorted to twist
then flick (with eyes closed) the wrist.

This once difficult task complete
twas now the responsibility of the maitre'de
to store within his/her memory,
which tummy appeared like an amazing

sumptuous (promising scrumptious) feat.
Minutes ticked away
as our stomachs growled louder
patiently awaiting the grateful moment
to dine starting with clam chowder
poetry soup compiled
within me taste testing router.

Next in line from smorgasbord feast
hors d'oeuvres
   ample enough to satiate thine palate
to whet from deep fried delicacies greased
and self restraint practiced
so the main course diminished least.

We fell upon butterfly jumbo shrimp
and marinated mushrooms when brought
an atavistic motion that memory wrought.

The Matzo ball soup with Jewish rye bread
went to the gullet with a dollop of butter thinly spread.
A vegetable, venerable, veritable, and spinach pie
herbivorous delight, apple of my eye.
4

Parmgians, pasta and poultry
(albeit free ranging
NON GMO and gluten free) dishes galore
kept off figurative lid

(no matter stuffed to gills
ready to be mounted) to eat more
quite aware that mine waist
bulged whereby belt way buckle tore.

Last (but not least)
at the FINIS of this well stocked meal
comprises selection of dessert,
which samples visible
from a glass enclosed wheel
tickling that reserved “off limits” hot pocket

hashtagged for just such a sugary treat
thus summoning forth
within an engorged abdomen,
   nonetheless, an audible zeal.

That reserved allotted sweet
baked, fried, or whipped parfait
or countless other grandiose
mouth watering delicacy.

Ah...juiced enough wiggle room
for one decadent byte, perchance small
enough to roll around in the mouth,
like a Chocolat Mousse, or a honey ball.

Despite that ready to explode
simply eyeing a food tray
no longer in an ala mode vis a vis
clamoring for consumption

well aware by the morrow or sooner
this bloated dirigible fulfilled human
would dearly caloric wise pay.
Caroline Dec 2019
Divinement noir
Maléfiquement exquis
Venez par milliards
Tripoter mes douces papilles

Farci de caramel
Le temps s'éclipse
Si l'abeille aime le miel
Ma bouche préfère la malice

Némésis de la laitue
Sucré c'est sournois
Aussitôt disparu
Entre les catacombes de mes dents
ranveer joshua Dec 2019
the sweetness of life
lies beneath the hard crust of the heart,
and stale mind.
only then, will you find
the sugar running through your veins.
Excusez moi mademoiselle,
J'espionnais votre compte d'instagram et j'ai regardé toutes vos images,
Parce que votre apparence peut mettre des modèles hors entreprise si vous décidez de poursuivre la mode,
J'ai une théorie sur vos origines et j'aimerais partager cela avec vous,
Vos parents doivent être profondément amoureux quand ils vous ont donné naissance parce que c'est la seule explication que je puisse imaginer,
Vous êtes ridiculement belles, êtes-vous sûr d'être une femme et pas une déesse?


Haha. Je suis sûr que vous avez entendu de meilleurs compliments, mais ma chérie est sincère,
Je peux voir que vous êtes une femme amoureuse d'elle-même et que les gens vous envient pour cette réalisation,
Peut-être que certaines personnes pensent que vous êtes détestabile, mais je pense que vous êtes admirable,
Je me demande ce que les gars doivent faire pour passer du temps autour de vous parce que le chocolat noir, les roses bleues et les conversations douces ne sont pas assez bonnes pour une femme comme vous.

Vous mettez-vous une robe rouge la nuit et dansez-vous au clair de lune? Parce que vous avez l'air charmant tous les matins entre-temps, le reste d'entre nous est encore désordonné,
Je n'ai jamais essayé de cocaïne, mais je suis plutôt sûr que vous avez le goût de vous,
C'était censé être un compliment, alors j'espère que tu peux sourire,
Je suis athée mais Dieu vous bénit coiffeur parce que j'adore vraiment votre coiffure.
Lorsque vous mettez votre rouge à lèvres, vous avez l'air si beau que cela fait la grande faucheuse pour vous éviter tous les jours.

Je sais que nous ne nous connaissons pas et c'est tout à fait ma faute,
Peut-être la peur du rejet m'a-t-elle pris dans la tête et maintenant ça me rend timide comme une petite souris,
J'admet! Je suis passionnément curieux de vous et il me tue doucement ne vous connait pas,
Bien que vous sachiez quelle opportunité amusante pourrait être?
Pour moi de prendre une centaine de photos de vous, car c'est ce que font les photographes,
Et cela me donne beaucoup de chances de vous admirer,
Je sais que ce poème stupide n'a pas de rime, mais même si, j'espère que je vous ai fait rire pendant un moment et que tout ira bien.*

Stef Devid Alexandru ©
I wrote this poem in english and then translated into french for other purposes. If you're kind enough to point me any misspelling or grammar errors that may occur after this translation. I would appreciated it.
chimaera Apr 2016
thoughts,
speeding,
a fuzz of neon lights,
a buzzing of highways,
what was what i was to do?,
chocolat, please,
or not,
a gag upon it,
a shut down,
oh the vertigo
of the echoes,
have a drink,
red velvet wine,
your lips, lend me
your tongue, oh my,
delusional again,
okay,
one, two, three,
what?, counting helps,
or maybe going alphabetically
through words, a for
whatever,
hey, who cares,
let it be,
no train is endless
(hopefully)
20.04.2016
Je te note, Maitreyi,
Comme je te l'ai promis
Non pas que je te compare à d'autres
Ni que j'évalue ta sismicité
Sur une échelle quelconque de Richter
Ou une valence particulière
À laquelle tu serais prédisposée .
Je te note, ma poétesse, ma philosophe,
Ma peintre, mon actrice, ma nourrice,
Non pas pour te donner une côte
Un numéro dans une course handicap
À la jouissance absolue
À la jouissance infinie
À la jouissance inaccessible.
Dans ma note il n'y a ni favori
Ni outsider ni tocard
Il n'y a pas de trente-huit contre un
Et je ne joue pas le champ sur ton nom
Et peu m'importent ton entraîneur, ton soigneur, ton jockey, ton lad
Peu m'importe le guru qui te drive
Je ne te note ni de zéro à vingt
Je ne te note ni de a à z
Et même si je sais fort bien
Que toute note dénote un à priori
Un parti pris
J'essaie d'être le moins partial possible
J'essaie d'être juste.
Et même quand on chante faux
On ne mérite jamais de zéro pointé
Car on a essayé, on a osé
On a performé.
On a perforé l'air de sa voix.
On a existé.
Je te note donc, ma pantheiste,
Tout en relativisant la portée de mon geste
Je te note les lèvres mineures et majeures,
Les jambes, les chevilles au ralenti
Comme par effraction symbolique
Je t'effleure de ma clé d'ut
Et je te parsème de dièses et de bémols
Subjectivement
Inconsciemment
Je soupèse tes noires et tes blanches
Je te caresse indistinctement tes do
Tes la, tes mi, tes sol, tes fa, tes ré
Qui bouillonnant de concert
Dans un indécryptable maelström
Et je décrète de ma toute-puissance Arbitrale et analytique
Que tu es muse atypique
De chocolat et de vanille
En sempiternelle excursion dans le plaisir
Et donc par définition histrionique
Éternellement insatisfaite
Et la note coquette que je te donne en dot
C'est le silence de la divine comédie
Que j'ai plaisir à déchiffrer
Dans la distance pudique de l'absence incurable
Des Ganges couleur avocat qui couinent muets
Entre trente-deuxième de soupir
Et bâton de pause.
Tu as juré de filmer un à un tes fantasmes :
Les noirs,
Les fondants,
Les doux,
Les amers,
Toutes les phases d'affaitage du faucon,
Et aujourd'hui tu prépares le matériel
En bonne fauconnière que tu es.
Et que les faucons gerfauts, sacres ou pèlerins
Le veuillent ou non,
Tu leur couvres la tête d'un chaperon
Et tu déploies au tout venant tes perches,
Tes anneaux et tes leurres,
Tes sonnettes et tes noeuds
Et je quitte mes gorges et mes rochers
Et me perche en majesté à ton gantelet de dentelle
Où tu as brodé, enlumineuse d'or,
L'initiale S, comme leurre.
Et chaque fois que je m'avise
De dérober mes sonnettes,
De me libérer de ta filière,
Tu me déchaperonnes
Et tu me gardes au ventre.
Tu me nourris consciencieusement
Pour que j'atteigne mon poids de chasse
Et tu me frist-frastes de tes fantasmes
Pour que je devienne un rapace de haut vol
Et que je fonde vers toi
Et que je fasse bonne gorge
De ton loup à crinière
Au goût de chocolat amer.
A Mess of Words Sep 2021
A heady brew of espresso

Mingles with the dewy air,

Buttery pain au chocolat

Makes for quite a pair;

The morning warms to the songs

Of the chipper moineau,

And lovers beneath the columns

Of Parc Monceau.
A work in progress
Mary-Eliz Apr 2018
Let this shiny ruby
of an apple
be as sweet as sugar cane

as soothing to the soul
as warm relaxing rain

as divinely decadent

as imported chocolat

(then again
even a Nestle's bar
would hit the spot)

And this yogurt
this plain and simple
"treat"
may it be
as creamy on my tongue

as indulgent

as cheesecake from New York

or just the bakery down the street

let all my healthful choices
my stomach
fully sate

and for heaven's sake

this time

let me

lose

some

weight!
I don't do "diets" anymore. When I read they aren't good for you, I was excited! LOL (I do try to eat healthfully though...most of the time. :-)
Before the Euro, you were -- swirling light, sitting pretty.
We kicked it at night along the grungy lanes of Ile de la Cité.
Notre Dame loomed large and long, a battleship on the Seine.
An exoskeleton of Gothic bones, what could it ever do but win?

Hunger hung out among us, an unwanted dog on a wayward walk.
Frenchmen directed us au centre. In those days, I could talk the talk.
Still can, still do, but who needs "J'adore vos diamants de luxe,
calme et beauté
" when you must bow down in a row sans your ducks?

Serendipity, man, that's what la Cité seeped. Evening an ermine
blanket tossed effortlessly over the spires of the medieval vermin
that Haussmann hacked into Euclidean lines of parallel charms:
more ordre, beauté et calme. Organic geometry. What's the harm?

Dusk draped us in l'amour du mystère. Cafe awnings as exotic
as Flaubert's Egyptian tours, plump with mistresses for the neurotic
novelist who poisoned Normandy with naturalistic despair. He's
no Parisian, no architect, no monk. We absorb le mot juste; a star flees.

On the sidewalk, a 50-franc note calls out beneath the weeds.
We look for an owner, see nothing, feel nothing but the need to feed
on crepes, chocolat et confiture de fraise. I imagine Camus and Sartre
at Les Deux Magots, nursing black café, pouring noir into your heart.
pain au chocola
pain au chocola
pain au chocolat

chocolatine

not no butter
bread

instead

pain au buerre!

        pain au beurre!

not frozen
but fridged
not like ice cream
but ice cream
and caffeine no

chocolate

like Reyla and Eve
and Promis and Priya
like Yawe
is not also Yawee?
but why ooh who?

smash the jam jar all ninja
style
ni ña

                ooh: no?!

not how we hide our jades
and jamming and
gist, girth, jets, yetis...

        pain au beurre...
bread not a croissant not
all butter
bread
just rye
or sourdough etc
bread by france
spaghetti by italia
and potatoes by anyone mad enough...

pain au beurre...
bread.. with a cold slab of butter...
some jam
maybe honey
but salt will do
the umami texture tomb
of bread
and not ice-cream
but cold butter in bread... yeah...
oh yeah... oral ***...
ooh yeah:
fear...

imagine... a stark naked man
walks into his own bedroom
while a 13 year old girl is sleeping
in it...
who's more confused and conflating
the naked man
or the half asleep teenage girl
why is she in these clutches of
horror-art
and why is he not: he's not?!

pain au beurre!
Food glorious food

Asia generic guy gastronomy (and how gourmet foods eat destructively clearly beyond any) excess enthusiasm, the necessity to feed and clothe this lean mean exercising machine gunning corporeal essence christened Matthew Scott Harris revels more so within the medium of writing prevarication.

Aspirations toward fame nor fortune less significant then the mere pleasure to concoct a visually savory appetizing epistle. Food for thought more so then to fill the void, where growling heard across the world wide web, thus, no anterior, interior, or ulterior motive asper begging for money underlies this exercise. yet...if perchance a voluntary choice arises to dole out a smidgen of legal tender a name and address linkedin to this faux popinjay person, who tries to convey decency, humility, levity...qualities that wield zest.

Connoisseur of ethnic cuisine

More so a culinary pipe dream versus being an actual way of life, though savory sustenance certainly preferred than bland tasting comestibles.

Said theme (and title of poem) seems apropos during Holiday Fancy Feasts despite the plethora of – in my opinion bewitching barenaked lady hunting advertisements - reputable male personalities suddenly accused of ****** harassment after substantial time.

Yes granted so the unexpected name dropping felt like a bomb shell towards chaps, this baby boomer mwm would never suspect, point the finger, or accuse, especially one former Norwegian bachelor farmer from Lake Woebegone.

Though anonymous and hardly
a substantially (rather puny) sized
married sexagenarian baby boomer,
which dual disadvantages partly explains
lack of ubiquity among
claque of cooks, yet hoop full
to get attention, especially
after burning ghee
at the Spring Valley Y.M.C.A.
sparking flattery courtesy

some well proportioned dame
many popular rotund
gourmands l'chaim tame
their hungry beast –
wah hood put me to shame
vis a vis consuming in their one meal,
what yours truly eats in a lifetime,
none of those celery buddies,
whom this non television watcher can name
seen on any selective cable channel,

I still revel in writing while
on the hunt
(during Red October) for a meme
poetry and prose, and decided
to introduce myself quite lame
with NON GMO marginal uptick
in any sudden fortune or fame,
yet twould be pleasantly syrup prized
principally if compounded interest
from potential mistress didst exclaim

desire to enjoy a repast, though
said hypothetical gal need
not be a high society dame,
and if perchance such just desserts
came via the kitchen maiden kitty,
versus kit chin middens
no boastful claim
would be uttered by me,
her intellectual company satisfactory aim.

First and foremost on the agenda,
would be to locate an affordable,
casual and favorable eatery
tubby agreeable to our taste
indubitable choice without
(any formal dress code),
nor further haste.

Strait away to the great weigh
(or if vegetarian – whey)
station of delectable food
where the exquisite, expertise, and exotic
high steak king a claim on Michelin Guide,
Gayot Guide/Gault Millau, American
Automobile Association, Forbes
Travel Guide reputation good.

Testimony to legendary praise
explaining why patrons travel
for countless days
transforming him/her
into steady state,
where he/she shuffles along
in a dishabille quotidian famished daze
far and wide culinary craze
out of this world wide web, the wispy Lyft
wafts trace steamy filament up braise
our twitching noses,
whereat heads nod affirmation i.e. ayes.

Even before making a glad entrance
(into Restaurant) complete,
a host of fresh, enticing,
and delicious aromas serve as a treat.

Delicate, foreign, hefty indescribable
ole factory stimulants delight
infiltrating thru swinging kitchen doors
holding us smell bound,
though thin filaments invisibly light.

Thus upon a strategic seat we hoped for,
or politely sought from manager of the house
ah, our luck to be situated in close proximity,
where impossibility to stave gaming hunger,
though neither myself
nor honorable guest grouse.

Now decision time to select one delicacy equally
as appealing as the next on expansive menu list
the resultant penultimate
decision method resorted to twist
then flick (with eyes closed) the wrist.

This once difficult task complete
twas now the responsibility of the maitre'd
to store within his/her memory,
which tummy appeared like an amazing
sumptuous (promising scrumptious) feat
minutes ticked away
as our stomachs growled louder
patiently awaiting the grateful moment
to dine starting with clam chowder
poetry soup compiled
within me taste testing router.

Next in line from smorgasbord feast
hors d'oeuvres
ample enough to satiate thine palate
to whet from deep fried delicacies greased
and self restraint practiced
so the main course diminished least.

We fell upon butterfly jumbo shrimp
and marinated mushrooms when brought
an atavistic motion that memory wrought.

The Matzo ball soup with Jewish rye bread
went to the gullet with a dollop
of butter thinly spread.
A vegetable, venerable, veritable, and spinach pie
herbivorous delight, apple of my eye.

Parmgians, pasta and poultry
(albeit free ranging
NON GMO and gluten free) dishes galore
kept off figurative lid
(no matter stuffed to gills
ready to be mounted) to eat more
quite aware that mine waist
bulged whereby beltway buckle tore.

Last (but not least)
at the FINIS of this well stocked meal
comprises selection of dessert,
which samples visible
from a glass enclosed wheel
tickling that reserved “off limits” hot pocket
hashtagged for just such a sugary treat
thus summoning forth
within an engorged abdomen,
nonetheless, an audible zeal.

That reserved allotted sweet
baked, fried, or whipped parfait
or countless other grandiose
mouth watering delicacy.

Ah...juiced enough wiggle room
for one decadent byte, perchance small
enough to roll around in the mouth,
like a Chocolat Mousse, or a honey ball.

Despite that ready to explode
simply eyeing a food tray
no longer in an ala mode vis a vis
clamoring for consumption
well aware by the morrow or sooner
this bloated dirigible fulfilled human
would dearly caloric wise pay.

— The End —