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Selena Naomi Feb 2013
Strobe lights
Flashing different colors
Every which way I look
They catch the texture of my dress
As I shimmy beside you
We are a strange couple
You with your pale skin
Me with my sweet caramel twist shade
The song changes
This more upbeat
The florescent lights flash faster
The bass thrums in my heart
My body starts to feel the music.
I let go and allow my body to do the rest
I feel a tap on my shoulder
Him.
This boy
I declined
Because of an age difference
He bows and asks for a dance..
I consider
I look at my date
With a stern look upon his child-like face he nods his head at me
He doesn't like this newcomer
Yet
He let's go of my hand as if to say
"It'll be okay for one dace"
I go take this newcomers hand
And dance a slow dance during a fast paced song
Odd...
The song is over as fast as it started
The guest thanks me
and sends me back on my way
back to the boy awkwardly waiting for his mistress to return
A smile immediately illuminates his face
"We are just friends," I think
"We must be..."
As the night progresses it is soon time to leave
He kisses me on the cheek as another once once did and goes off on his way
As I do mine
I see the visitor once more but I decide to evade him
For he is not worth my time
He does not notice me
Good.
I am off
Off to sleep
Now safe in my bed
Homecoming?
Perfect way
To end my night.
Infamous one  Feb 2013
Piercings
Infamous one Feb 2013
My 1st piercing was my ears
I pierced one brow but it fell out
Then I got my other brow pierced
I thought it would be cool
The cartilage on my ears
I holes in my face
The needles pierce my skin
Another added character to my ****** features
It's a rush it separated me from the bunch
Not trying to be normal
Dace so unique makes you think
Wonder who and what I'm about
I doubt you know
Only ppl I trust I show
Let the in my heart
Find out what I'm truly about
yellow soul  Apr 2019
Lacuna
yellow soul Apr 2019
How she moved so carelessly
when touched by the evening breeze
she sparkled like the light ***** in the night sky
however, I heard the anguish in her laugh
she consistently kissed me like it was her last kiss
danced as if it was her last dace
lived as if it was her last night
fascinated by everything
but I was only fascinated by her
how tiny her fingers were around her cigarette
how her bones looked like
they were about to leave her body
I never understood
But as she took off
Her bones became stardust
longing to get home
now I understand
that she never was supposed to be here with me
god had other plans for my angel
Voici le trou, voici l'échelle. Descendez.
Tandis qu'au corps de garde en face on joue aux dés
En riant sous le nez des matrones bourrues,
Laissez le crieur rauque, assourdissant les rues,
Proclamer le numide ou le dace aux abois,
Et, groupés sous l'auvent des échoppes de bois,
Les savetiers romains et les marchandes d'herbes
De la Minerve étrusque échanger les proverbes ;
Descendez.

Vous voilà dans un lieu monstrueux.
Enfer d'ombre et de boue aux porches tortueux,
Où les murs ont la lèpre, où, parmi les pustules,
Glissent les scorpions mêlés aux tarentules.
Morne abîme !

Au-dessus de ce plafond fangeux,
Dans les cieux, dans le cirque immense et plein de jeux,
Sur les pavés sabins, dallages centenaires,
Roulent les chars, les bruits, les vents et les tonnerres ;
Le peuple gronde ou rit dans le forum sacré ;
Le navire d'Ostie au port est amarré,
L'arc triomphal rayonne, et sur la borne agraire
Tettent, nus et divins, Rémus avec son frère
Romulus, louveteaux de la louve d'airain ;
Non ****, le fleuve Tibre épand son flot serein,
Et la vache au flanc roux y vient boire, et les buffles
Laissent en fils d'argent l'eau tomber de leurs mufles.

Le hideux souterrain s'étend dans tous les sens ;
Il ouvre par endroits sous les pieds des passants
Ses soupiraux infects et flairés par les truies ;
Cette cave se change en fleuve au temps des pluies
Vers midi, tout au bord du soupirail vermeil,
Les durs barreaux de fer découpent le soleil,
Et le mur apparaît semblable au dos des zèbres
Tout le reste est miasme, obscurité, ténèbres
Par places le pavé, comme chez les tueurs,
Paraît sanglant ; la pierre a d'affreuses sueurs
Ici l'oubli, la peste et la nuit font leurs œuvres
Le rat heurte en courant la taupe ; les couleuvres
Serpentent sur le mur comme de noirs éclairs ;
Les tessons, les haillons, les piliers aux pieds verts,
Les reptiles laissant des traces de salives,
La toile d'araignée accrochée aux solives,
Des mares dans les coins, effroyables miroirs,
Où nagent on ne sait quels êtres lents et noirs,
Font un fourmillement horrible dans ces ombres.
La vieille hydre chaos rampe sous ces décombres.
On voit des animaux accroupis et mangeant ;
La moisissure rose aux écailles d'argent
Fait sur l'obscur bourbier luire ses mosaïques
L'odeur du lieu mettrait en fuite des stoïques
Le sol partout se creuse en gouffres empestés
Et les chauves-souris volent de tous côtés
Comme au milieu des fleurs s'ébattent les colombes.
On croit, dans cette brume et dans ces catacombes,
Entendre bougonner la mégère Atropos ;
Le pied sent dans la nuit le dos mou des crapauds ;
L'eau pleure ; par moments quelque escalier livide
Plonge lugubrement ses marches dans le vide.
Tout est fétide, informe, abject, terrible à voir.
Le charnier, le gibet, le ruisseau, le lavoir,
Les vieux parfums rancis dans les fioles persanes,
Le lavabo vidé des pâles courtisanes,
L'eau lustrale épandue aux pieds des dieux menteurs,
Le sang des confesseurs et des gladiateurs,
Les meurtres, les festins, les luxures hardies,
Le chaudron renversé des noires Canidies,
Ce que Trimalcion ***** sur le chemin,
Tous les vices de Rome, égout du genre humain,
Suintent, comme en un crible, à travers cette voûte,
Et l'immonde univers y filtre goutte à goutte.
Là-haut, on vit, on teint ses lèvres de carmin,
On a le lierre au front et la coupe à la main,
Le peuple sous les fleurs cache sa plaie impure
Et chante ; et c'est ici que l'ulcère suppure.
Ceci, c'est le cloaque, effrayant, vil, glacé.
Et Rome tout entière avec tout son passé,
Joyeuse, souveraine, esclave, criminelle,
Dans ce marais sans fond croupit, fange éternelle.
C'est le noir rendez-vous de l'immense néant ;
Toute ordure aboutit à ce gouffre béant ;
La vieille au chef branlant qui gronde et qui soupire
Y vide son panier, et le monde l'empire.
L'horreur emplit cet antre, infâme vision.
Toute l'impureté de la création
Tombe et vient échouer sur cette sombre rive.
Au fond, on entrevoit, dans une ombre où n'arrive
Pas un reflet de jour, pas un souffle de vent,
Quelque chose d'affreux qui fut jadis vivant,
Des mâchoires, des yeux, des ventres, des entrailles,
Des carcasses qui font des taches aux murailles
On approche, et longtemps on reste l'œil fixé
Sur ce tas monstrueux, dans la bourbe enfoncé,
Jeté là par un trou redouté des ivrognes,
Sans pouvoir distinguer si ces mornes charognes
Ont une forme encor visible en leurs débris,
Et sont des chiens crevés ou des césars pourris.

Jersey, le 30 avril 1853.
Seul Décébale et nul Autre, me dis-tu, pourrait de sa dague d'eau bénite
Eteindre le feu qui couve sous ta carapace douce et soyeuse!
Décébale le Dace seul aurait la fougue et le courage nécessaires
Pour te faire tournoyer
Et tu dis encore que toi et Décébale ne font quasiment qu'un.

Je ne suis pas jaloux !
A Décébale ce qui appartient à Décébale
A Nul Autre ce qui appartient à Nul Autre.

Moi, comme Nul Autre pareil
Je veux juste apaiser ton feu
L'apprivoiser, l'amadouer
Pour qu'il ne te brûle pas.
Pour cela il faut que je me muscle :
Affronter le feu de Décébale n 'est pas rien,
Décébale c'est dix hommes à la fois.
Je pourrais, s'il le fallait, convoquer dix diablotins,
Dix chats-huants pour me porter assistance
Et défier Décébale en combat singulier.
Sur l'échiquier de ton corps
Mais ce serait tricher
Et tricher n'est pas jouer.
Et à vaincre sans péril on triomphe sans gloire

En conclusion :
Je cède en vertu du droit d'aînesse
A Décébale le feu. A moi le sirocco, la glace !
Pistache, coco et rhum raisins si tu le permets !

Vois-tu ce sont tes lacs glacés que je veux réchauffer,
Tes pics et tes pitons enneigés que je veux faire fondre
A petit feu sous mon vent de braise
Et que la chevauchée prenne des lustres à se consommer
Je veux que partout où tu es
Tu saches
Que je suis là au fond de toi !

Je nage comme un saumon ivre dans tes eaux glacées.
C'est seulement dans ces criques et ces fjords que j'arrive à nager
Je fais du crawl, de la brasse, du ski nautique, du paddle.
Je suis casse-cou dans tes eaux
Comme jamais je ne l'ai été.

Je fais même du surf, du plongeon
et du water polo.
Tant que tu joues avec moi
Je flotte sans bouée
Tant que tu es généreuse
Je dérive
Tant que tu te donnes sans compter
Dans notre nage synchronisée
J'existe de figures en figures.

Et pendant que je te dis tout ça
Voila que ce fieffé diablotin lève la tête,
Bombe le torse,
Et se prend pour Décébale.
Ce n'est qu'un petit pétrel diablotin,
Un simple et infime cottous à peine sorti du nid
Mais j'ai beau lui dire
Qu'il n'est pas multiple de quatre
Il se prend pour Décébale
"Tu n'es pas Dace ",
Lui ai-je pourtant dit cent fois ce matin
Mais il persiste et signe.
Il chante même à tue-tête l'hymne :
Je suis Dacien, voila ma gloire, mon espérance et mon soutien
Denise Werntz Jan 2013
I'm alive and happy.

This today, I breathe its hopes for tomorrow.

As I dance in these moments,
I allow the past to float in like a familiar scent.
Bringing me goose bumps,
like a walk in the sun when your skin is still cool.

Lets us live in the now moments.
Making something new each day we are blessed to have.
Every moment we can be with the ones we love
suffocate yourself in it,
in family,
in the happiness, even if at first we don't see it,
every day brings this.
These are our gifts,
use them fully.

Wipe the sleep from your eyes,
allow the haze to clear.
Fill your mind with wonderful thoughts of you...
Because when you are knocked down ,
it's your own hand that will help you up.
Dont be afraid to be alone.
it is not a lonely time.
It is a time of reflection.
Of happiness,
and humor.
If you are not your best friend,
you cannot expect anyone else to want the job either.

Happiness and love can build what is broken,
and you alone have all the power in the world.
Life is fantastic
lets dace in all the spaces in between.
The sticklebacks make fast tracks darting
here,everywhere but there's big fish
in this lake, who take
no prisoners.
Jack pike and perch like you
would not believe,bream and dace but
what seems out of place is the shark.
I know a shark in a lake in a park is quite rare
but it's there all the same.
A game fish indeed just itching to feed
on the small fry.
Paul Hardwick Aug 2012
it was a great party
and as always
i ended up on the dace floor
the woman took me up into her arms
as i was quit drunk
it was quit ferm holding me tall
but we danced the night out
till the morn
then after all those hours
i looked at her
and she me
we had to agree
there would be no wedding or flowers
for i felt like death warmed up
and she had to agree
so people of this earth
sing this song with me.
Had to add more regards paul
You militate my mind
And Rehabilitate
My heart back into normal pace
You're a Rainbow Fish, I'm a Dace
Outcast put in his place
He now wants to go face to face
With what is stipulating his
Progress as a human
His furnace is fuming
You are the one subsuming
His mind when he's angry
Now the anger is dwindling
He thinks of cherry blossoms and her smile
He's content for awhile
While alone
If he heard you on the phone
He'd be out of all zones
Not a single hint of drone
In his behavior
You put him in his best
Your name is lightly engraved into his chest
Only you may know about it
Since it's not tatooed there
He'd rather stare
Into your eyes
Instead of tell you lies
He'll hate himself
If he betrayed your trust
You're gold to him
When he thinks he's rust.
Commuter Poet  Oct 2016
Break!
Commuter Poet Oct 2016
Go
Flo
Rip
Lip
Wiggle
Tiggle
Smash
Dash

Groove
Move
Hup
Pup
Slide
Ide
Dive
Clive

Push
Nush
Tickle
Lickle
Love
­Dove
Bounce
Ounce

Daz
Jazz
Big
Dig
Slip
Pip
Trip
Hip

Hop
Pop
Grind
Mind
Telly
Belly
Hell
Tell

Oz
Loz
Stone
Bone
Big
Wig
­Tic
Nic

Danny
*****
Granny
Manny
Wimp
Imp
Rib
Dib

Dace
Mace
Lace
Race
Fire
Ire
Flat
Face
1st October 2016
H I Kabo  May 2019
Mama
H I Kabo May 2019
I listen as she calls my name,
It slips and falls as soft as mane.
Her voice so sweet and none but tame,
And strong enough to fight all bane.

She steps so light into my space,
And glides her grace into a pace.
Her walk is noble and hard to face,
For she is mightier than even The Dace.

Contorted in worry, her face so glum.
When I am sick, she's none but numb.
My tears are streaks of painful grum,
'Cause if I'm not well, in sadness she dwells.

Love and care is all she gives,
If she's not there, then there's no being.
A greatness that shines through all that lives, she is...my mother.
Mothers are everything

— The End —