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JK Cabresos Jul 2013
Lights off, ma bad-*** homies are juz drank,
buh then I saw ya dancing in da club.
Ma head was blown, let's kick it!
Cuz ya could be ma tight moll,
o' let's juz put a bullet
on the clock in these tight walls.

If I'm wit ya,
ma heart could fly so high like a G6,
Imma be glad if ya be mine
tho I ain't da niftiest sheik.
And if loving ya could take ma life
to da street, cuz of a set trippin,
then ya could be a flower
on ma Chicago Overcoat on ma big sleep.

Miss me wit dat! Ma bad,
buh I ain't gonna take ma words back,
I ain't no good, buh Imma gangsta poet
juz a poet wit rhyming words as AK,
so Imma put sum shizzle down
and write what it means.

To me love is gangsta, family is gangsta,
loyal is gangsta, if that's not gangsta,
I don't wanna be gangsta.

O' ma sheba, wazzup!
Let's show 'em what is real luv.
Then luv me less, until ya luv me more
and let's live as gangsta poets
in this gangsta world.
I'm trying to be a Gangsta Poet. It's really hard though. I'm trying, trying trying. My friend, jerelii told me to make some of this poem in response to hers. Well, Chuck started this and I don't know if he would like this one. I don't know how to be this so-called gangsta. This is just a poem, to the rappers out there, I wrote this just for fun.
Le poète

Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve.
Je n'en puis comparer le lointain souvenir
Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève,
Et qu'avec la rosée on voit s'évanouir.

La muse

Qu'aviez-vous donc, ô mon poète !
Et quelle est la peine secrète
Qui de moi vous a séparé ?
Hélas ! je m'en ressens encore.
Quel est donc ce mal que j'ignore
Et dont j'ai si longtemps pleuré ?

Le poète

C'était un mal vulgaire et bien connu des hommes ;
Mais, lorsque nous avons quelque ennui dans le coeur,
Nous nous imaginons, pauvres fous que nous sommes,
Que personne avant nous n'a senti la douleur.

La muse

Il n'est de vulgaire chagrin
Que celui d'une âme vulgaire.
Ami, que ce triste mystère
S'échappe aujourd'hui de ton sein.
Crois-moi, parle avec confiance ;
Le sévère dieu du silence
Est un des frères de la Mort ;
En se plaignant on se console,
Et quelquefois une parole
Nous a délivrés d'un remord.

Le poète

S'il fallait maintenant parler de ma souffrance,
Je ne sais trop quel nom elle devrait porter,
Si c'est amour, folie, orgueil, expérience,
Ni si personne au monde en pourrait profiter.
Je veux bien toutefois t'en raconter l'histoire,
Puisque nous voilà seuls, assis près du foyer.
Prends cette lyre, approche, et laisse ma mémoire
Au son de tes accords doucement s'éveiller.

La muse

Avant de me dire ta peine,
Ô poète ! en es-tu guéri ?
Songe qu'il t'en faut aujourd'hui
Parler sans amour et sans haine.
S'il te souvient que j'ai reçu
Le doux nom de consolatrice,
Ne fais pas de moi la complice
Des passions qui t'ont perdu,

Le poète

Je suis si bien guéri de cette maladie,
Que j'en doute parfois lorsque j'y veux songer ;
Et quand je pense aux lieux où j'ai risqué ma vie,
J'y crois voir à ma place un visage étranger.
Muse, sois donc sans crainte ; au souffle qui t'inspire
Nous pouvons sans péril tous deux nous confier.
Il est doux de pleurer, il est doux de sourire
Au souvenir des maux qu'on pourrait oublier.

La muse

Comme une mère vigilante
Au berceau d'un fils bien-aimé,
Ainsi je me penche tremblante
Sur ce coeur qui m'était fermé.
Parle, ami, - ma lyre attentive
D'une note faible et plaintive
Suit déjà l'accent de ta voix,
Et dans un rayon de lumière,
Comme une vision légère,
Passent les ombres d'autrefois.

Le poète

Jours de travail ! seuls jours où j'ai vécu !
Ô trois fois chère solitude !
Dieu soit loué, j'y suis donc revenu,
À ce vieux cabinet d'étude !
Pauvre réduit, murs tant de fois déserts,
Fauteuils poudreux, lampe fidèle,
Ô mon palais, mon petit univers,
Et toi, Muse, ô jeune immortelle,
Dieu soit loué, nous allons donc chanter !
Oui, je veux vous ouvrir mon âme,
Vous saurez tout, et je vais vous conter
Le mal que peut faire une femme ;
Car c'en est une, ô mes pauvres amis
(Hélas ! vous le saviez peut-être),
C'est une femme à qui je fus soumis,
Comme le serf l'est à son maître.
Joug détesté ! c'est par là que mon coeur
Perdit sa force et sa jeunesse ;
Et cependant, auprès de ma maîtresse,
J'avais entrevu le bonheur.
Près du ruisseau, quand nous marchions ensemble,
Le soir, sur le sable argentin,
Quand devant nous le blanc spectre du tremble
De **** nous montrait le chemin ;
Je vois encore, aux rayons de la lune,
Ce beau corps plier dans mes bras...
N'en parlons plus... - je ne prévoyais pas
Où me conduirait la Fortune.
Sans doute alors la colère des dieux
Avait besoin d'une victime ;
Car elle m'a puni comme d'un crime
D'avoir essayé d'être heureux.

La muse

L'image d'un doux souvenir
Vient de s'offrir à ta pensée.
Sur la trace qu'il a laissée
Pourquoi crains-tu de revenir ?
Est-ce faire un récit fidèle
Que de renier ses beaux jours ?
Si ta fortune fut cruelle,
Jeune homme, fais du moins comme elle,
Souris à tes premiers amours.

Le poète

Non, - c'est à mes malheurs que je prétends sourire.  
Muse, je te l'ai dit : je veux, sans passion,
Te conter mes ennuis, mes rêves, mon délire,
Et t'en dire le temps, l'heure et l'occasion.
C'était, il m'en souvient, par une nuit d'automne,
Triste et froide, à peu près semblable à celle-ci ;
Le murmure du vent, de son bruit monotone,
Dans mon cerveau lassé berçait mon noir souci.
J'étais à la fenêtre, attendant ma maîtresse ;
Et, tout en écoutant dans cette obscurité,
Je me sentais dans l'âme une telle détresse
Qu'il me vint le soupçon d'une infidélité.
La rue où je logeais était sombre et déserte ;
Quelques ombres passaient, un falot à la main ;
Quand la bise sifflait dans la porte entr'ouverte,
On entendait de **** comme un soupir humain.
Je ne sais, à vrai dire, à quel fâcheux présage
Mon esprit inquiet alors s'abandonna.
Je rappelais en vain un reste de courage,
Et me sentis frémir lorsque l'heure sonna.
Elle ne venait pas. Seul, la tête baissée,
Je regardai longtemps les murs et le chemin,
Et je ne t'ai pas dit quelle ardeur insensée
Cette inconstante femme allumait en mon sein ;
Je n'aimais qu'elle au monde, et vivre un jour sans elle
Me semblait un destin plus affreux que la mort.
Je me souviens pourtant qu'en cette nuit cruelle
Pour briser mon lien je fis un long effort.
Je la nommai cent fois perfide et déloyale,
Je comptai tous les maux qu'elle m'avait causés.
Hélas ! au souvenir de sa beauté fatale,
Quels maux et quels chagrins n'étaient pas apaisés !
Le jour parut enfin. - Las d'une vaine attente,
Sur le bord du balcon je m'étais assoupi ;
Je rouvris la paupière à l'aurore naissante,
Et je laissai flotter mon regard ébloui.
Tout à coup, au détour de l'étroite ruelle,
J'entends sur le gravier marcher à petit bruit...
Grand Dieu ! préservez-moi ! je l'aperçois, c'est elle ;
Elle entre. - D'où viens-tu ? Qu'as-tu fait cette nuit ?
Réponds, que me veux-tu ? qui t'amène à cette heure ?
Ce beau corps, jusqu'au jour, où s'est-il étendu ?
Tandis qu'à ce balcon, seul, je veille et je pleure,
En quel lieu, dans quel lit, à qui souriais-tu ?
Perfide ! audacieuse ! est-il encor possible
Que tu viennes offrir ta bouche à mes baisers ?
Que demandes-tu donc ? par quelle soif horrible
Oses-tu m'attirer dans tes bras épuisés ?
Va-t'en, retire-toi, spectre de ma maîtresse !
Rentre dans ton tombeau, si tu t'en es levé ;
Laisse-moi pour toujours oublier ma jeunesse,
Et, quand je pense à toi, croire que j'ai rêvé !

La muse

Apaise-toi, je t'en conjure ;
Tes paroles m'ont fait frémir.
Ô mon bien-aimé ! ta blessure
Est encor prête à se rouvrir.
Hélas ! elle est donc bien profonde ?
Et les misères de ce monde
Sont si lentes à s'effacer !
Oublie, enfant, et de ton âme
Chasse le nom de cette femme,
Que je ne veux pas prononcer.

Le poète

Honte à toi qui la première
M'as appris la trahison,
Et d'horreur et de colère
M'as fait perdre la raison !
Honte à toi, femme à l'oeil sombre,
Dont les funestes amours
Ont enseveli dans l'ombre
Mon printemps et mes beaux jours !
C'est ta voix, c'est ton sourire,
C'est ton regard corrupteur,
Qui m'ont appris à maudire
Jusqu'au semblant du bonheur ;
C'est ta jeunesse et tes charmes
Qui m'ont fait désespérer,
Et si je doute des larmes,
C'est que je t'ai vu pleurer.
Honte à toi, j'étais encore
Aussi simple qu'un enfant ;
Comme une fleur à l'aurore,
Mon coeur s'ouvrait en t'aimant.
Certes, ce coeur sans défense
Put sans peine être abusé ;
Mais lui laisser l'innocence
Était encor plus aisé.
Honte à toi ! tu fus la mère
De mes premières douleurs,
Et tu fis de ma paupière
Jaillir la source des pleurs !
Elle coule, sois-en sûre,
Et rien ne la tarira ;
Elle sort d'une blessure
Qui jamais ne guérira ;
Mais dans cette source amère
Du moins je me laverai,
Et j'y laisserai, j'espère,
Ton souvenir abhorré !

La muse

Poète, c'est assez. Auprès d'une infidèle,
Quand ton illusion n'aurait duré qu'un jour,
N'outrage pas ce jour lorsque tu parles d'elle ;
Si tu veux être aimé, respecte ton amour.
Si l'effort est trop grand pour la faiblesse humaine
De pardonner les maux qui nous viennent d'autrui,
Épargne-toi du moins le tourment de la haine ;
À défaut du pardon, laisse venir l'oubli.
Les morts dorment en paix dans le sein de la terre :
Ainsi doivent dormir nos sentiments éteints.
Ces reliques du coeur ont aussi leur poussière ;
Sur leurs restes sacrés ne portons pas les mains.
Pourquoi, dans ce récit d'une vive souffrance,
Ne veux-tu voir qu'un rêve et qu'un amour trompé ?
Est-ce donc sans motif qu'agit la Providence
Et crois-tu donc distrait le Dieu qui t'a frappé ?
Le coup dont tu te plains t'a préservé peut-être,
Enfant ; car c'est par là que ton coeur s'est ouvert.
L'homme est un apprenti, la douleur est son maître,
Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert.
C'est une dure loi, mais une loi suprême,
Vieille comme le monde et la fatalité,
Qu'il nous faut du malheur recevoir le baptême,
Et qu'à ce triste prix tout doit être acheté.
Les moissons pour mûrir ont besoin de rosée ;
Pour vivre et pour sentir l'homme a besoin des pleurs ;
La joie a pour symbole une plante brisée,
Humide encor de pluie et couverte de fleurs.
Ne te disais-tu pas guéri de ta folie ?
N'es-tu pas jeune, heureux, partout le bienvenu ?
Et ces plaisirs légers qui font aimer la vie,
Si tu n'avais pleuré, quel cas en ferais-tu ?
Lorsqu'au déclin du jour, assis sur la bruyère,
Avec un vieil ami tu bois en liberté,
Dis-moi, d'aussi bon coeur lèverais-tu ton verre,
Si tu n'avais senti le prix de la gaîté ?
Aimerais-tu les fleurs, les prés et la verdure,
Les sonnets de Pétrarque et le chant des oiseaux,
Michel-Ange et les arts, Shakspeare et la nature,
Si tu n'y retrouvais quelques anciens sanglots ?
Comprendrais-tu des cieux l'ineffable harmonie,
Le silence des nuits, le murmure des flots,
Si quelque part là-bas la fièvre et l'insomnie
Ne t'avaient fait songer à l'éternel repos ?
N'as-tu pas maintenant une belle maîtresse ?
Et, lorsqu'en t'endormant tu lui serres la main,
Le lointain souvenir des maux de ta jeunesse
Ne rend-il pas plus doux son sourire divin ?
N'allez-vous pas aussi vous promener ensemble
Au fond des bois fleuris, sur le sable argentin ?
Et, dans ce vert palais, le blanc spectre du tremble
Ne sait-il plus, le soir, vous montrer le chemin ?
Ne vois-tu pas alors, aux rayons de la lune,
Plier comme autrefois un beau corps dans tes bras,
Et si dans le sentier tu trouvais la Fortune,
Derrière elle, en chantant, ne marcherais-tu pas ?
De quoi te plains-tu donc ? L'immortelle espérance
S'est retrempée en toi sous la main du malheur.
Pourquoi veux-tu haïr ta jeune expérience,
Et détester un mal qui t'a rendu meilleur ?
Ô mon enfant ! plains-la, cette belle infidèle,
Qui fit couler jadis les larmes de tes yeux ;
Plains-la ! c'est une femme, et Dieu t'a fait, près d'elle,
Deviner, en souffrant, le secret des heureux.
Sa tâche fut pénible ; elle t'aimait peut-être ;
Mais le destin voulait qu'elle brisât ton coeur.
Elle savait la vie, et te l'a fait connaître ;
Une autre a recueilli le fruit de ta douleur.
Plains-la ! son triste amour a passé comme un songe ;
Elle a vu ta blessure et n'a pu la fermer.
Dans ses larmes, crois-moi, tout n'était pas mensonge.
Quand tout l'aurait été, plains-la ! tu sais aimer.

Le poète

Tu dis vrai : la haine est impie,
Et c'est un frisson plein d'horreur
Quand cette vipère assoupie
Se déroule dans notre coeur.
Écoute-moi donc, ô déesse !
Et sois témoin de mon serment :
Par les yeux bleus de ma maîtresse,
Et par l'azur du firmament ;
Par cette étincelle brillante
Qui de Vénus porte le nom,
Et, comme une perle tremblante,
Scintille au **** sur l'horizon ;
Par la grandeur de la nature,
Par la bonté du Créateur,
Par la clarté tranquille et pure
De l'astre cher au voyageur.
Par les herbes de la prairie,
Par les forêts, par les prés verts,
Par la puissance de la vie,
Par la sève de l'univers,
Je te bannis de ma mémoire,
Reste d'un amour insensé,
Mystérieuse et sombre histoire
Qui dormiras dans le passé !
Et toi qui, jadis, d'une amie
Portas la forme et le doux nom,
L'instant suprême où je t'oublie
Doit être celui du pardon.
Pardonnons-nous ; - je romps le charme
Qui nous unissait devant Dieu.
Avec une dernière larme
Reçois un éternel adieu.
- Et maintenant, blonde rêveuse,
Maintenant, Muse, à nos amours !
Dis-moi quelque chanson joyeuse,
Comme au premier temps des beaux jours.
Déjà la pelouse embaumée
Sent les approches du matin ;
Viens éveiller ma bien-aimée,
Et cueillir les fleurs du jardin.
Viens voir la nature immortelle
Sortir des voiles du sommeil ;
Nous allons renaître avec elle
Au premier rayon du soleil !
Budding Dirt Oct 2017
Osogo chiewa gokinyi tula ruto e wi tado,chunya penjoree nyakwar kibiere ang’o ma dwa yudowa ma awinjo duond jachein machiegni ni? Achiewo amanyo ang’uolana mane agolo ka pok adonjo e od nindo.Awuok oko agoyo ****’a koni gi koni ,aneno minwa oa turo bando e puodho ma path ot,’minwa oyaore?’ amose gi luoro apenje ni,to ma winy ochiewa gi ruto modhuroni to kare ang’o madwa timore,”Nyathina ing’eyo ni asebedo ka aleko lek moko mag tho chalo ni masira nyalo yudowa machiegni ni.”Wewuoyo kamano minwa nyoro ka koko ayiko nyabila osiepa mabuonjo mos to ong’eyo rito nyikwayo ,omwolo nyakamaye,ok adwa winjo wach tho kata matin.Ne, we keta gi wach tho gokinyi chiew owadu ma ababa mondo udhi e puodho ridho bando, wuoyi ber machiewo to yudo gi matimo ka chieng pok obedo makech,awuok achiko e od steve omera kuma ababa tinde nindoe karito ’ ,Ababa pok ichiewo,? mama wacho ni en nindo manade ma sani pod ng’ama dichwo ninde?Bro,nyoro ne anindo modeko nadhi e thum kaseda loka aduogo saa apar ga riyo asayou weya uru anind matin okatamora puodho to adhi.Ababa we tugo koda dalaka. kwani wan ema ne wakoni ni idhi e thum? Chung na malo ka pok achopo kanyo apami.Awera kode Awuok Oko Tiego Kwer ,nyundo pisore to goyo lweta malit ‘Uwi Uwi ****’,Fred en ang’o? Minwa goyo koko,Ta ang'ise gi lit ni " ok nyundoni ema dwa bamo lweta yawa',Ababa nyiera ‘Hehe mama nakoni ni jo town gi bure kata tiego kwer gikia’.Omera we losona kaka ilosonano idhi ****’o iya gokinyi.Mama to nyathini kamaye ekaka tinde onindo dalaka ? Saani dekoro wasechopo e puodho? Fred, in to ema ihero lungo wach,Nyoro donge nang’isi ni aseda mawuon Erick ne onindo e bade? D.O Misiani ne biro goyo ngolo kanyo gi joka shirati band,makoro imedo chumvi e wach dhina e thum ni? Ne ok awinjo maber ababa yawa,yani "Aseda ne osewewa ? To nyaka ne bi dalaka asebedo mana ka awuotho to shemecha gi ok kona ni wuod awino ratego osewewa,mayie we adhi sani agone gi mos puodho ok ringi pod an dala ka.Mama? Ababa ng’isa ni aseda kare ne ong’ielo orengo? We adhi agone gi mos mondi? Fred Okadwa Walo Ochuno Ni Nyaka Idhi Sani ? Dhi nenore marach ni asebet odieng' ariyo dalaka to pok adhi gonegi mos,we adhiya adhiya mama asayi?Kare dhi to kik ibudh kono,Aneno wuonu ma ngoto kono ohero minoni mang’eny gi penjo mag pimo wich,Tang' kode? Awinji minwa.Omera ? Mano fred maneno kalo e rangach kanyo no? Adwoke gi gero,'Mano ng’a magoyo koko gi nyinga E gweng’ no?An bena omera kwani ikia dwonda ? Omera kare in e gweng’ ka ? An Nabiro nyoro. Achopo ka owad gi baba u ma aseda kagoyo mos.Mano ber ,yaani freddy eldoret ka omiyo ok unenru, chakre john ma wuonu tho yawa,uweyo nyauyoma ema puro dalaka  kapunda? Ok kamano baba “nyaka wamany omera, piny oidho ma  ka ok imanyo toinyalo inindo kech kata kwelo.We an achop ago mos koka aduogi,Kapok idhi  Freddy miya gimoro kanyo adonjgo kisii ka amorgo chunya? Omera Benah, sani to atwo ok awuotho gi wallet lakini mak mia moro nikaa ikwe go wiyi, abiro neni maber godhiambo.Erokamano wuod baba, in gi chuny mana ka wuonu ma john. Sasawa Bena we an Aweyi.Hodi ka? Karibu! Karibu !  Freda,To in Dalaka? Antiye min akoth nabiro nyocha neno nyara matin gi minwa ,Mos  kuom gimoyudi ni? Nyathi john,mae e yo manyaka ji duto te nelu,nitie kinde nyuol gi kinde tho, wante wan jokalo e piny ma mwalo ka,mano adier min akoth.To ne  odhi nade ? " Kik iwach nyathi nyieka,an nachiewo gi sime koa kisumo ni wuon akoth wakoche ne oyang’o ng’ute gotieno koa tich.Gichinje matindo tindo." Mos yawa, pinyni  ne waresre nade? En mana kamano nyathi nyauyoma,to piny majan kono udhiye nade ? Siasa awinjo ni liet kono mapek piny otur ji dwaro lokruok? Nandi, dhi maber lakini nasewuok kono an eldoret tinde.'oh nisewuok kono ? Mano ber tek ni iyudo kamoro ma chumbi wuoke."Min Akoth ok awuotho machwe ahinya lakini mak rupia moro matin ni, iyudgo kata sukari moro ne nyithindo."Erokamano nyathina nyasaye ogwedhi,to pok iyudo min ot nyaka nya min nyathini wewa? Hahhahaha ! Naseyuto,Nyasaye ogwedha gi jaber kendo achano mana harus.Pod apime ka en miyo manyalo pur ma kojwach ka.Pod Antiye Dalaka Wabiro Wuoyo Kayudo Kinde. We an aweyi? Erokamano nyathi nyieka.
Hermes Varini Feb 2022
ÆFRE SWĀ DÆGES, ĪSERNUM-BORDHREÓÐUM
GRYRELÉOÐ OND HLÉOÞCWIDE SWĀ! 
FÉÐEWÍGUM SĒ EFTCYME! SWĀ SĒ WIELM BLŌD!

Thae Verra Wordis o' Battle Auld! an' Verra Prelude War-Hye o' mine! 
Tae ye a' ageyne tell Ah! afor yondir Forgotten Myrk Whunstane!
Fore cannae ye a' see? frae ma Verra Vision, Thais Immortal Battle-Landis, 
Fore let mee Thais War-Sange, ne'er tae e'er, wi'in Anie Quiet Loch, wane!
Nowe ageyne, weall! thro' Hye-Boilin' Steel-Bluid Eternal Ȝell:

Cauld an' Feudal Battle-Yeir, Sacral o' mine A.D. MXVII hynne! 
Let mee weall, weall! stick-an-stowe intae Thais Deep Past Bluid-Fyre, 
O'er Thais Hoat Airn, ma Guid Auld Swaird Feathfull! 
Ays a Distinct War-Vision Ah nowe stylle see! unco radiatin', 
Dogydder wae Thad Bygane Shower o' Arrows nowe ay War-Invisible:

MĪN HEAÐUWÆD!

An' afore Thae Hye Lowes! ma Stane-Hearth, nowe hynne remember, 
Fore ageyne! ay maun nowe Thais Bluid-Vision o' mine tallid unco Ah! 
Ays Supreme Fyre-Wylle! o'er an' 'yont th' Cauld Lang Hame, 
Meanie Feudal Towmonts ago, hynne, wae ma Airn-Wame, 
An' th' War-Mask o'er ma Swaird-Cut Cheek Bane
Unco haiwin', a Feudal Rebel an' Wulde Brooch-Wearer, Ah!

DOLHWUND OND BORDRANDE, 
EFT WLWULF SWIÞE WÆS IC!

Intae CARHAM'S BATTLE MAYHEM AULD! an' th' Scyld-Horror
Ne'er, IT! thro' th' Murky Moorlan Nicht tae unco wane! 
Wae ITS Open Jaws, an' Het Braith, an' Whyte Teeth Dazzlin', 
Thro' Thoosan Cries Norland an' Clashes Micht hynne! 
Frae Thoosan Battle-Scheldes unco Wooden-Colorful Thay A'!

BORDWUDA MĪN HRÍÐ,

Across yondir Scyld-Wauch found masell hynne Ah! 
Verra, Verra Guid Vision! Verra, Verra Guid Wunner!

NORÐÞUNRES SCIELDWEALL,

An' th' Steel-Spirit, verra Gleamin' IT unco haiwin'
Thad deep thro' ma Battle-Veins in Deep Moorlan Gore, 
Yondir! o'er Thae Blacklyn Hylles, wae ma Guid Claymore-Lore:

LĪEĠÞRACUM NÆGLING!

Ays a Storne Micht! Þenne an' nowe stylle unco flowed, 
Hwenne, IT! Great Þunor's an' Bauds' Warlike Orrah! 
Th' Daye-Luminarie at ITS Zenith-Trune Sacral, 
Verra, Verra Hye IT! waes, wae Rid Lowes Invincible
In nae, nae hynne! Hye Skye-Agony dwellin':

ĒACEN DÆGSCIELD,

Invisible, IT! intae Thae Deep Cauld Norland Skyes
Whare Thais Sunne! allwayes unco owre Wee, 
O'er Thais Horizon Harsh an' Warlike an' Dreary
Wae Fiery Skye-Dignity Primordial unco rules, 
Hwenne, IT! weall, weall Ah nowe stylle in Fyre Thad see!

STĪELENE GLYDERING,

Great Kvaysir's Orrah! th' Swaird-Hurt Schawdu! 
HYS Ghastly Apparition o'er Whin-Rock devastatingly makyt
Wae HYS Bluid Mirk! downe, downe! descendin', 
Hwenne, IT! ****** Hel's Guid Battle Orrah! 
Th' Enraged Ocean spake nae, nae IT laanger!

OFERȲÞUM BRIMRAD,

Wae HYS Whispered Woirds o' War intae HYS Storne Rageful, 
Hwenne hynne, at length IT! Airn an' Guid Thundir's Orrah! 
Th' Gore Sacrificial o' thoosan enemies o' mine! 
Quhame faced a' Ah! th' Lone Wolf-Feeder! ay nae Age-Worn! 
Wae ma War-Blade Dearest, THOROLF GIED called:

DYNGES BEADULÉOMA!

Red-Boilin' IT becam! an' frae Cauld Horizon tae Cauld Horizon extendin', 
An' Þenne a Vortex Feudal o' Coagulatin' Energy Micht! 
Indistinguishable frae thais Battle-Mass frae Auld Carham,

A LONE CRIMSON WAR-FIGURE UNCO MICHT
WAE THAIS BOILIN' BLUID BATTLE-SACRIFICIAL
UNCO! IN WAR-GORE PERENNIAL MAKYT! 
FRAE THAIS CAULD PROWID BATTLE-LANDIS
O'ER A'! TAE TH' WOUNDED SKYES HYE SOARIN'
WHA'S FEUDAL NAIM GORY, TH' OWAR-MANN! 
AYS WYLLE O' MINE BLUID-INCARNATED! 
FRAE DEEP TH' BYGANE, TOWARDIS YONDIR FUTURE, 
NOWE AFORE MINE SCARS O' WAR WAES
O'ER AN' O'ER, GUID BRUNANBURH'S ORRAH! 
TAE MEE! WAE MA SOLITARYE VISION
WAR-BLINDED UNCO RETURNIN',

Weall Ah hynne remember! An' nowe play mair, mair for mee! 
Yer Steel-Lyre Auld Wise! Fore Ah e'en mair distinctly see! 
Thro' Wreaths o' Bluid-Vapor Sacrificial, th' Heat o' th' Strywe! 
Theare cam forth, Ah say, an' TH' THYNGE! soared, unco free,

HEAHÞRYM OND DRĒOR-HÉAHSÆ,

O'er Thais Swaird-Encounter an' a' th' fallen afore mine eyes, 
Bye wha's Naim neither Ullr in Airn Enraged hynne, 
Nor Kvaysir Micht! nor Auld Vargs Unda gleamin'
Nor o' Hôm Loga Himna Hye! waes IT called, 
An' IT swayed nae, o'er th' Battle-Mass Gory!

CAMPWÍGES CWEALMDRÉOR,

Nor thro' HYS Feudal Bluid soarin', IT spake in any Battle-Ȝell, 
An' theare IT unco remained! o'er Thais Perennial o' mine Swaird-Hel:

MĪN GEMYNDIG GIET ÞUNRODE!

Wha's HYS ROUND SCYLD O' WAR held hye! towardis th' Sunne! 
A Continual Lowe o' Dense Fyre hynne a' gatherin', an' a
Luminous Rain frae th' Zenith-Sunne Invisible, thad waes IT

WAE REASON THUNDIR-FORCE A' STEERIN', 
DAZZLIN' LIGHTNIN' PERENNIAL A' CONQUERIN', 
TAE TH' INFINITE ITS WAR-BLUID INCREASIN', 
O'ER TH' SCYLD O' TH' OWAR-MANN
AYS A FYRE-RAY AN' MICHT STAR FLASHIN', 
AN' IN FEUDAL AIRN DWELLIN',

Hwenne! HYS Substance frae Bluid Sacrificial intae Gleamin' Steel turned, 
Thro' Loud Cries frae th' Battle thad stylle heard Ah:

WULFUM BEARHTM!

Stylle Liquid Metal o' War Dazzlin'! Feudal Wapin Formidable! 
Weaponized Airn-Soul Fetch'in-Micht o' mine! 
Wha's naim, in loud cries stylle! ays a BLINDIN' STAR O' WAR SUPREME,

HEOFONSTEORRA-GEBYLD,

Frae th' Remote Zone Mirk o' th' Luminous Skye nowe appearin'
Waes! Þenne Distinct a Titan Steel-Colossal IT becam, 
Whileas Thae Auld Woirds o' War Whispered Thay!

BLÓDWRACU,

Wee, ewyre-remembered, an' nae at a' Damnable Thay! 
Thad winna Thay a' ne'er, ne'er fade awa! stylle
Wi'in ear o' mine thro' th' Whooshin' Wynde
An' o'er th' whole Kintra rulin', stick-an'-stowe felt Ah:

ENDELĒAS MANFULTUM OND MÆGENÞISE
MĪN GEWILL ÆT SĒ ŌFER-MANN BIÞ, 
FORWEARD OND ÆGHWÆR STÍELE SWĀ, 
ÞA ÍSENWYRHTAN SĒ ŌFER-MANN,

Th' Frame! The Verra Frame o' Hye Conquerin' Steel-Feudal! 
Frae yondir Norþan-hymbre auld an' verra colorful! 
Wae th' War-Blade Bleezan intae deep Thais Battle-Storne, 
Th' Scarred in th' Cheek! th' Lone Scyld-Fighter:

BORDHREÓÐAN SCEADUGENGA OND WRECEND!

Nowe unco! Great Orrah! o' Soarin' War-Airn Empowered! 
Wi'in Thoosan Hye Skye-Clashes! Wi'in Thoosan Onslaughts, A' Rairan o' mine! 
Tae nowe in Airn schawe ye a'! HYE HEL:

EFTWYRD-GEWILL OND ÆLÍFES GEWIDERE, 
MĪN HEOFONFYRE WÆPENÞRACU! 
NU LÍGETSLIEHTUM SĒ ÞEGN, 
SWĀ STÍELE ĒACEN SĒ ŌFER-MANN,

Frae th' Bygane ays allwayis a Blank intae th' Gore dabbed, 
Towardis th' Future ays allwayis a Dangerus Landis! 
Whare th' cowardly enemies allwayis lurk an' await:

BEADOLEÓMAN UNWEORÐE!

Th' same wae TH' WYLLE TAE TH' HYE OVERMAN waes! 
Richte Nowe! Thais Steel-Titan Micht afore mine eyes
O'er th' corpses o' th' fallen an' intae th' Core-Fyre Sacrificial
Thad HYS SOLAR SCYLD held hye! stylle receivin' IT waes:

AHWÆR OND BALDLICE, 
EFT HEAÐUSIGLES ÁNWÍG,

Fore willin' th' Bygane ays IT haes bin in th' Overman Hye! 
Th' future ays empowered in HYS Feudal Person waes tae, 
Fore Willin' waes, IT! willin' th' Person o' Overman alone! 
Lyke a Verra Destination Tangible o' mine, IT! 
Intae thais Colossus o' Battle-Gore boilin' ays Cast Steel, Thad Wylle!

ÞYRSUM HEAÐUWÆD,

Thad th' Rational Firey Ah say, Continuum o' Lowes waes IT haudin! 
Wpon th' Scyld o'er an' o'er Flashin' IT, hynne Steel-Crucial! 
Increasin' IT! ITS Force Micht an' the Ray! tae th' Endless Skye! 
An' th' Frame! Th' Verra Noble Frame IRONCLAD-FEUDAL!

AD ALTA SIDERA INVICTO METALLO
NUPER SUPREMUM ARTIFICIUM BELLI
FLAMMISQUE CORPUS EXTRAMUNDANUM
QUOD GEWILL OVERMAN NUNC NOMINATUR
ERIT FERRO MAGNO SANGUINEQUE ET SCUTO
IN PROELIO APUD CAMPUM CARHAM
RUBRA VEXILLA REDITUS IGNEA SPIRAQUE
INVICTO METALLO VOLUNTAS MEA,

Fore, ageyne! Beguid Great, Great Orrah! 
Th' willin' Ane Thynge waes! wae Thais Steel-Titan O'erhuman! 
Thad GEWILL OVERMAN o'er Carham's Gory Landis waes IT called Auld:

SWEOLUNGA OND ÆLINGUM SWIÞE SWĀ! 
ÞÆR MĪN GLOWENDE-ÆDREGEARD ĀRĀS,

Fore, ageyne! Great Glamis' Wae Orrah! 
Willin' backiewards th' Bygane ays IT allwayis in Gore haes bin, 
Waes IT! willin'th' Overman ays nae laanger a Blank an' a War-Cauld:

HEÁFODWYLME OND SWEOLOÐAN HLEO!

Fore, ageyne! Þunores Fair an' Wounded Orrah! 
Willin' th' Bygane ays Want o' Pow'r waes willin' th' future ays Pow'r, 
Intae th' Verra Steel-Person o' Thais O'erhuman Steel-Avenger untold:

SĒ ĪSERN-HEREWÆÐA,

Fore, ageyne! Dagur's Guid Orrah o' mine! 
Willin' backiewards intae th' Tyme Irreversible, hynne unco Unforgivin' IT! 
Waes IT! willin' th' future ays Skye-Empowered nowe! 
Intae th' Person o' th' Overman Thais Steel-Titan o'er th' Scyld-Wa Micht, 
Thro' th' Spiral-Continuum thad Becomin' ays Increase in Pow'r waes: 

TH' SEL-RETURNIN' RAY CONDENSATIN' FYRE-JOYFUL:
FULLMÆGENES BRYNELEÓMA,
WPON TH' COLOSSAL SCYLD HELD IT, wae th' arm VERRA HYE! 

Fore ageyne! Devastatin' frae Cauld Thule Orrah! 
Th' bygane intae th' Airn-Person o' th' Overman ays IT haes bin! 
Must be IT willed! Fore thus different IT shall agyne be! 
Ays empow'red intae th' Central an' unco Firey-Abysmal IT, 
An' wae Rid Lowes hynne Rid! Return o' Pow'r Event:

BÆLÞRACE WUDUROSE!

Firm Thynge! an' Verra Core wi'in continual Becomin' ays Pow'r, 
Fore, ageyne! Thoosan Thundirs' Skye-Orrah! 
Tae affirm Lyife tae affirm th' OVERMAN nesisarie IT waes! 
Ays Wylle Superior, hynne True Wylle IT provin'! 
Ma Final Inner Strength! Ma Ultimate Inner Vision!

ÞUNORUM OND BEADWE GRYRELÉOÐE, 
MĪN WIGSIGOR-GESIHÐNES HLÍFEDE!

Thad ainlie Thais Steel-Jǫtunn o' War cannae, wi'in Battle-Lowes Hye! 
Across Auld Carham's Colorful, verra Colorful Scyld Wa Micht nae be! 

BREIÐØX-DRENGR ÆN ATGANGA!

Frae th' Past allwayis bleedin'! intae th' Future allwayis Dangerus! 
An' nae for a' wi'in th' Great Spiral o' Strife, o'er th' Battlefield
Ah nowe stylle see, Thais Steel-Spirit unco waes!

ÁGLÆCAN WUNDORSÉON, HĀL! 
NU MĪN FEORHBOLD BRǢDEÞ SWIÞE, 
RANDWÍGA WÆS IC! SĒ BISENE WRECEND! 
SWURD ON HANDA! HEORU-DRĒORE NACOD! 
HILDE-GRĪMAN! RÝNE STÍELE OND CRÆFTUM
BEADU WÆPEN, BRYNEWELMES STÁNTORR, 
HEAÐUWYLME OND STIELE SWĀ, 
GEWILL ÆT SĒ ŌFER-MANN HÂTEN,

Þenne, och! Great Guid Orrah! Tae nae mere War-Legend nowe fullefylle! 
Let mee ma Vision lastly recollect! THRIE SKYE-GLOBES O' SKYE-FYRE Fwlle! 
Tae ma Battle-Scarred Sight appeared out-owre th' Conquerin' Sunne! 
Intimately blended Thay A'! intae Thais Soarin' Metal-Fusion Gleamin' stylle: 
TH' OVERMAN! AN' TH' BEIN' AYS POW'R, unco Magnificent Thynge! 
AN' TH' RETURN AYS INCREASE IN POW'R! a Reingȝe formin' o'er yondir Hylle! 
Flashin' A' Thay! wae Thais STEEL-TITAN ays hynne ma Verra Guid Battle-Wylle!

GEGYLDEN HRINCG GEWILLE!
This composition of mine, or rather brief saga, mainly in archaic Scottish alongside Anglo-Saxon, Classical Latin and Old Norse, focuses on my own philosophical notion of will (“gewill” in Anglo-Saxon). The scene takes place during and after the Battle of Carham in about 1017 A.D. A giant steel mass emanates from the bloodshed as a sheer historical act, and then towers as the Person of the Overman itself, staring at the sun and holding a shield, thus signifying an ultimate embodiment of will, both in individual (as experienced by the narrator) and then collective (historical) terms. A physical-metaphysical Energy under a historical garb is accordingly involved, as well as thus a Hegelian influence. Other central philosophical notions of mine appear, like the Return of Power event, an overcoming, in terms of essence of recurrence, of the classical Eternal Return, visually evoked at the end as forming within the sky one of the "Three Globes of Fire" ("THRIE SKYE-GLOBES O’ SKYE-FYRE"). "ĒACEN DÆGSCIELD" (Anglo-Saxon) reads "The Mighty Shield of the Day (Sun)" and "ÞYRSUM HEAÐUWÆD" "The Battle Blood of the Demons". The word "WIGSIGOR-GESIHÐNES" (Anglo-Saxon) is a kenning, as it is "War-Mask" for "helmet" and "Scyld-Horror" for "close combat".
i remember riding shotgun
between my ma and pa
mom had on the radio
dad chewed on his chaw

I always rode the middle
Every time in that old truck
I could feel each bounce and bump
Somtimes I had to duck

Ma would play the radio
Jesus music filled the air
Daddy, turned and looked away
Just like he didn't care

Daddy was in Vietnam
He met Ma when he got back
He lost ******* in the war
From a sneak enemy attack

Ma grew up in Jamestown
A small town in Tennessee
Nothing there but the old mine
Nothing much for one to see

She went to church on Sundays
Listened to  WCLC
Jesus music all the time
For the folks in Tennessee

Each Sunday after service
Pa would pick us up at church
He never went inside though
He didn't quite like Pastor Birch

Daddy only owned one suit
He'd had it since the war
He wore it to get married in
It didn't fit no more

The sleeves had gotten shorter
The chest was far too tight
But, since he didn't go to church
To pa....it fit just right

Ma would sit and listen
And I would watch my pa
He'd make faces out the window
Never ever to my ma

Pa had faith, but different
He believed in what he saw
And what struck his eyes in war time
He could never tell my Ma

So, we would go to market
After church, each Sunday morn
Ma would go in shopping
We rush her with the old truck horn

She'd cuss pa when she got back
He'd just smile, enough to say
Let's get home, daylights wasting
There's still chores to do today

When I was nine, well almost ten
Ma got sick, I mean, real bad
She was being called to heaven
And I remember that my Dad

Took me into town to shop
To get a suit and shoes
Before we went he sat me down
And told me the bad news

I cried, for near an hour
Funny thing, my pa did too
I'd never seen this happen
To me, well...this was new

He said, you're ma's a fine one
She's the best person that I know
Now, she's wanted up in heaven
That's all...we need to go

Ma died three days later
Pa phoned up Old Pastor Birch
He told him what had happened
And made plans to use the church

In all my life, I'd never seen
My pa dressed up so good
He said, I don't look perfect
But, I done the best I could

Pa's been gone for thirty years
And you know, I've got his suit
Not the new one that he bought that day
But, the one...he gave the boot

It reminds of the better times
When Ma and Pa and me
would ride out on a Sunday
I'd be shotgun, just to see

I remember riding shotgun
With Ma and Pa, and it was good
Jesus Music on the radio
As I think back...it was good
I


Mon Dieu m'a dit : Mon fils, il faut m'aimer. Tu vois

Mon flanc percé, mon cœur qui rayonne et qui saigne,

Et mes pieds offensés que Madeleine baigne

De larmes, et mes bras douloureux sous le poids


De tes péchés, et mes mains ! Et tu vois la croix,

Tu vois les clous, le fiel, l'éponge et tout t'enseigne

À n'aimer, en ce monde où la chair règne.

Que ma Chair et mon Sang, ma parole et ma voix.


Ne t'ai-je pas aimé jusqu'à la mort moi-même,

Mon frère en mon Père, ô mon fils en l'Esprit,

Et n'ai-je pas souffert, comme c'était écrit ?


N'ai-je pas sangloté ton angoisse suprême

Et n'ai-je pas sué la sueur de tes nuits,

Lamentable ami qui me cherches où je suis ? »


II


J'ai répondu : Seigneur, vous avez dit mon âme.

C'est vrai que je vous cherche et ne vous trouve pas.

Mais vous aimer ! Voyez comme je suis en bas,

Vous dont l'amour toujours monte comme la flamme.


Vous, la source de paix que toute soif réclame,

Hélas ! Voyez un peu mes tristes combats !

Oserai-je adorer la trace de vos pas,

Sur ces genoux saignants d'un rampement infâme ?


Et pourtant je vous cherche en longs tâtonnements,

Je voudrais que votre ombre au moins vêtît ma houle,

Mais vous n'avez pas d'ombre, ô vous dont l'amour monte,


Ô vous, fontaine calme, amère aux seuls amants

De leur damnation, ô vous toute lumière

Sauf aux yeux dont un lourd baiser tient la paupière !


III


- Il faut m'aimer ! Je suis l'universel Baiser,

Je suis cette paupière et je suis cette lèvre

Dont tu parles, ô cher malade, et cette fièvre

Qui t'agite, c'est moi toujours ! il faut oser


M'aimer ! Oui, mon amour monte sans biaiser

Jusqu'où ne grimpe pas ton pauvre amour de chèvre,

Et t'emportera, comme un aigle vole un lièvre,

Vers des serpolets qu'un ciel cher vient arroser.


Ô ma nuit claire ! Ô tes yeux dans mon clair de lune !

Ô ce lit de lumière et d'eau parmi la brune !

Toute celle innocence et tout ce reposoir !


Aime-moi ! Ces deux mots sont mes verbes suprêmes,

Car étant ton Dieu tout-puissant, Je peux vouloir,

Mais je ne veux d'abord que pouvoir que tu m'aimes.


IV


- Seigneur, c'est trop ? Vraiment je n'ose. Aimer qui ? Vous ?

Oh ! non ! Je tremble et n'ose. Oh ! vous aimer je n'ose,

Je ne veux pas ! Je suis indigne. Vous, la Rose

Immense des purs vents de l'Amour, ô Vous, tous


Les cœurs des saints, ô vous qui fûtes le Jaloux

D'Israël, Vous, la chaste abeille qui se pose

Sur la seule fleur d'une innocence mi-close.

Quoi, moi, moi, pouvoir Vous aimer. Êtes-vous fous


Père, Fils, Esprit ? Moi, ce pécheur-ci, ce lâche,

Ce superbe, qui fait le mal comme sa tâche

Et n'a dans tous ses sens, odorat, toucher, goût.


Vue, ouïe, et dans tout son être - hélas ! dans tout

Son espoir et dans tout son remords que l'extase

D'une caresse où le seul vieil Adam s'embrase ?


V


- Il faut m'aimer. Je suis ces Fous que tu nommais,

Je suis l'Adam nouveau qui mange le vieil homme,

Ta Rome, ton Paris, ta Sparte et ta Sodome,

Comme un pauvre rué parmi d'horribles mets.


Mon amour est le feu qui dévore à jamais

Toute chair insensée, et l'évaporé comme

Un parfum, - et c'est le déluge qui consomme

En son Ilot tout mauvais germe que je semais.


Afin qu'un jour la Croix où je meurs fût dressée

Et que par un miracle effrayant de bonté

Je t'eusse un jour à moi, frémissant et dompté.


Aime. Sors de ta nuit. Aime. C'est ma pensée

De toute éternité, pauvre âme délaissée,

Que tu dusses m'aimer, moi seul qui suis resté !


VI


- Seigneur, j'ai peur. Mon âme en moi tressaille toute.

Je vois, je sens qu'il faut vous aimer. Mais comment

Moi, ceci, me ferais-je, ô mon Dieu, votre amant,

Ô Justice que la vertu des bons redoute ?


Oui, comment ? Car voici que s'ébranle la voûte

Où mon cœur creusait son ensevelissement

Et que je sens fluer à moi le firmament,

Et je vous dis : de vous à moi quelle est la route ?


Tendez-moi votre main, que je puisse lever

Cette chair accroupie et cet esprit malade.

Mais recevoir jamais la céleste accolade.


Est-ce possible ? Un jour, pouvoir la retrouver

Dans votre sein, sur votre cœur qui fut le nôtre,

La place où reposa la tête de l'apôtre ?


VII


- Certes, si tu le veux mériter, mon fils, oui,

Et voici. Laisse aller l'ignorance indécise

De ton cœur vers les bras ouverts de mon Église,

Comme la guêpe vole au lis épanoui.


Approche-toi de mon oreille. Épanches-y

L'humiliation d'une brave franchise.

Dis-moi tout sans un mot d'orgueil ou de reprise

Et m'offre le bouquet d'un repentir choisi.


Puis franchement et simplement viens à ma table.

Et je t'y bénirai d'un repas délectable

Auquel l'ange n'aura lui-même qu'assisté,


Et tu boiras le Vin de la vigne immuable,

Dont la force, dont la douceur, dont la bonté

Feront germer ton sang à l'immortalité.


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Puis, va ! Garde une foi modeste en ce mystère

D'amour par quoi je suis ta chair et ta raison,

Et surtout reviens très souvent dans ma maison,

Pour y participer au Vin qui désaltère.


Au Pain sans qui la vie est une trahison,

Pour y prier mon Père et supplier ma Mère

Qu'il te soit accordé, dans l'exil de la terre,

D'être l'agneau sans cris qui donne sa toison.


D'être l'enfant vêtu de lin et d'innocence,

D'oublier ton pauvre amour-propre et ton essence,

Enfin, de devenir un peu semblable à moi


Qui fus, durant les jours d'Hérode et de Pilate

Et de Judas et de Pierre, pareil à toi

Pour souffrir et mourir d'une mort scélérate !


- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Et pour récompenser ton zèle en ces devoirs

Si doux qu'ils sont encore d'ineffables délices,

Je te ferai goûter sur terre mes prémices,

La paix du cœur, l'amour d'être pauvre, et mes soirs -


Mystiques, quand l'esprit s'ouvre aux calmes espoirs

Et croit boire, suivant ma promesse, au Calice

Éternel, et qu'au ciel pieux la lune glisse,

Et que sonnent les angélus roses et noirs,


En attendant l'assomption dans ma lumière,

L'éveil sans fin dans ma charité coutumière,

La musique de mes louanges à jamais,


Et l'extase perpétuelle et la science.

Et d'être en moi parmi l'aimable irradiance

De tes souffrances, enfin miennes, que j'aimais !


VIII


- Ah ! Seigneur, qu'ai-je ? Hélas ! me voici tout en larmes

D'une joie extraordinaire : votre voix

Me fait comme du bien et du mal à la fois,

Et le mal et le bien, tout a les mêmes charmes.


Je ris, je pleure, et c'est comme un appel aux armes

D'un clairon pour des champs de bataille où je vois

Des anges bleus et blancs portés sur des pavois,

Et ce clairon m'enlève en de fières alarmes.


J'ai l'extase et j'ai la terreur d'être choisi.

Je suis indigne, mais je sais votre clémence.

Ah ! quel effort, mais quelle ardeur ! Et me voici


Plein d'une humble prière, encore qu'un trouble immense

Brouille l'espoir que votre voix me révéla,

Et j'aspire en tremblant.


IX


- Pauvre âme, c'est cela !
Ashlagh Naighlim Jul 2010
Pe cand noaptea se lasa si nimanui nu-i pasa,
Pe cand ceata-ndeasa si acum far-de-prefata,
Pe cand lumina piere si se lasa cu durere,
Masca eu o pui deoparte si ma definesc aparte.

Caci ma vezi ziua schimbator,pe emotii trecator,mijlocitor
Sad sau merg,vorbesc sau tac,dar sunt tot un...liliac.
Caci doar eu ma inteleg si fluier mut,caut coleg...
Dar de unde sa gasesc,noaptea zbor,ziua zabovesc.

Stau si plang,stele de stele,indurerat,companie-mi tin doar ele.
Luna nu o mai suport,imi strica lumea ce mi-o port...
Indoliat mereu,dar nu se vede,caci doliu-mi tot...cine ma crede?
Nimeni,caci imi scriu doar mie;Sa ma cunosti?!...e Blasfemie.

Hai sa-ncerc sa ma arat...usor,sa nu dau indarat.
Schimbat in singur,deci cu timpu,trecutau anii,schimband grupu,
Cutand mereu fata far-de-zar,siguranta pura,dar e in zadar;
vesnic adaptiv,renuntator,am invatat constant *** e sa mor.

Trecutau anii,evoluand,am luat cu mine tot,furand,culegand.
Tarziu mi-am dat seama *** de izbutesc...In invizibil eu traiesc
Domino eu mesteresc si involuntar,mereu,eu il pornesc;
Toate piesele-mi cad in sac,se evapora...plang si tac
Munca,alinare o secunda,dau masca jos,da sa se-ascunda
Urlu,magai,simt,gandesc si mereu ma pacalesc.

Cautand mereu ambrosie,dar nectaru tot ma chinuie...
Trec prin sange si prin sentiment cu idealu-mi stimulent
Dau de-o ea si dau de mine,dara EA nu da sa vie...

Va ascult *** reprosati,radeti,inghiontiti,bucurosi sau suparati,
Calcati pe voi,calcati pe mine,ignorati si totusi tine...
Gasiti refugiu-n contradictii,fugiti de voi,va luati de dictii
Si astfel tot ma atacati,priviti spre mine indignati...

De ce? eu pur "sange" m-am nascut,fara frica si nu m-a durut
Ati venit,m-ati "educat",fara mila si regret,tot voi m-ati conturat.
Sad in fata voastra-acum,reprosati,ma indemnati pe alt drum.
Ce vina am eu ca v-am ascultat?,fac ce stiu,ce ma-ti invatat.

M-am luptat,m-am ridicat,de unde voi m-ati aruncat,
Si cu aripi noi noute,diferite,...dar dragute...
Am decis sa nu v-ascult,sa fac ce stiu,tot mai mult
Si astfel ne-am departajat,in voi si eu,...TERIFIANT!

V-ati semnat propriu testament,sa va dau iubire vehement,
Va dau tot ce batjocoriti,va dau ce nu vreti pana muriti,
Dar cu timpul s-a schimbat,ati invatat,ati evoluat...
Tot,tot,tot,ce eu am dat,miseilor,ati manipulat...

Am luptat,am incercat,ce simt,pe  voi e insemnat,
Tatuaj fara de voie,nevazut,scris cu lamaie;
Caci il vad,il desclusesc,in oglinda eu privesc
Intorsi pe dos pana la moarte,va citesc ca pe o carte.

Am trecut incet,incet,printre voi,plin de regret...
Sa va iubeasca Dumnezeu,caci in lumea me-as doar eu.
Emotiv,departajat,scriu in stele-ndoliat...
Preamarind singuratatea,cunoscand nici-cand dreptatea!

Greu de inteles,desprins,incalcit parca-n adins.
Zbor acum si scriu departe,bucurand scantei de soapte.
Sad in somn,visez pucioasa,tremur vesnic dupa raza.
Si tipand pe ploaia deasa,ma asez usor,...mi-e greata.
Raquel Stewart Mar 2015
Sorry ma'm,
I didn't mean to step on your shoes
Sorry ma'm,
I didn't mean to yell so loud
Sorry ma'm,
I didn't mean to cry so heavy
Sorry ma'm,
I didn't mean to scream out my indiscretions
It wasn't very ladylike
Sorry ma'm,
I didn't mean to open my legs
They should have stayed closed.
Sorry ma'm,
I didn't mean to bring a life
Since mine is unfit for it.
Sorry ma'm,
I didn't mean to look at your man
Even though your lips have touched mine
Sorry ma'm,
I didn't mean to like it,
Sorry ma'm,
That was a lie.
Sorry ma'm,
but I don't give a **** about you
Sorry ma'm,
But I give a **** about you.
Wheer 'asta bean saw long and mea liggin' 'ere aloan?
Noorse? thoort nowt o' a noorse: whoy, Doctor's abean an' agoan;
Says that I moant 'a naw moor aale; but I beant a fool;
*** ma my aale, fur I beant a-gawin' to break my rule.

Doctors, they knaws nowt, fur a says what 's nawways true;
Naw soort o' koind o' use to saay the things that a do.
I 've 'ed my point o' aale ivry noight sin' I bean 'ere.
An' I 've 'ed my quart ivry market-noight for foorty year.

Parson 's a bean loikewoise, an' a sittin' ere o' my bed.
"The amoighty 's a taakin o' you to 'isen, my friend," a said,
An' a towd ma my sins, an' s toithe were due, an' I gied it in hond;
I done moy duty boy 'um, as I 'a done boy the lond.

Larn'd a ma' bea. I reckons I 'annot sa mooch to larn.
But a cast oop, thot a did, 'bout Bessy Marris's barne.
Thaw a knaws I hallus voated wi' Squoire an' choorch an' staate,
An' i' the woost o' toimes I wur niver agin the raate.

An' I hallus coom'd to 's choorch afoor moy Sally wur dead,
An' 'eard 'um a bummin' awaay loike a buzzard-clock ower me 'ead,
An' I niver knaw'd whot a mean'd but a thowt a 'ad summut to saay.
An' I thowt a said what a owt to 'a said, an' I coom'd awaay.

Bessy Marris's barne! tha knaws she laaid it to mea.
'Siver, I kep 'um, I kep 'um, my lass, tha mun understond;
I done moy duty boy 'um, as I 'a done boy the lond.

But Parson a cooms an' a goas, an' a says it easy an' freea:
"The amoighty 's taakin o' you to 'issen, my friend," says 'ea.
I weant saay men be loiars, thaw summun said it in 'aaste;
But 'e reads wonn sarmin a weeak, an' I 'a stubb'd Thurnaby waaste.

D' ya moind the waaste, my lass? naw, naw, tha was not born then;
Theer wur a boggle in it, I often 'eard 'um mysen;
Moast loike a butter-bump, fur I 'eard 'um about an' about,
But I stubb'd 'um oop wi' the lot, an' raaved an' rembled 'um out.

Keaper's it wur; fo' they fun 'um theer a-laaid of is' faace
Down i' the woild 'enemies afoor I coom'd to the plaace.
Noaks or Thimbleby--toaner 'ed shot 'um as dead as a naail.
Noaks wur 'ang'd for it opp at 'soize--but *** ma my aale.
Dubbut loook at the waaaste; theer warn't not feead for a cow;
Nowt at all but bracken an' fuzz, an' loook at it now--
Warn't worth nowt a haacre, an' now theer 's lots o' feead,
Fourscoor yows upon it, an' some on it down i' seead.

Nobbut a bit on it 's left, an' I mean'd to 'a stubb'd it at fall,
Done it ta-year I mean'd, an' runn'd plow thruff it an' all,
If godamoighty an' parson 'ud nobbut let ma aloan,--
Mea, wi haate hoonderd haacre o' Squoire's, an' lond o' my oan.

Do godamoighty knaw what a's doing a-taakin' o' mea?
I beant wonn as saws 'ere a bean an yonder a pea;
An' Squoire 'ull be sa mad an' all--a' dear, a' dear!
And I 'a managed for Squoire coom Michaelmas thutty year.

A mowt 'a taaen owd Joanes, as 'ant not a 'aapoth o' sense,
Or a mowt a' taaen young Robins--a niver mended a fence:
But godamoighty a moost taake mea an' taake ma now,
Wi' aaf the cows to cauve an' Thurnaby hoalms to plow!

Loook 'ow quoloty smoiles when they seeas ma a passin' boy,
Says to thessen, naw doubt, "What a man a bea sewer-loy!"
Fur they knaws what I bean to Squoire sin' fust a coom'd to the 'All;
I done moy duty by Squoire an' I done moy duty boy hall.

Squoire 's i' Lunnon, an' summun I reckons 'ull 'a to wroite,
For whoa 's to howd the lond ater mea that muddles ma quoit;
Sartin-sewer I bea, thot a weant niver give it to Joanes,
Naw, nor a moant to Robins--a niver rembles the stoans.

But summun 'ull come ater mea mayhap wi' 'is kittle o' steam
Huzzin' an' maazin' the blessed fealds wi' the Divil's oan team.
Sin' I mun doy I mun doy, thaw loife they says is sweet,
But sin' I mun doy I mun doy, for I couldn abear to see it.

What atta stannin' theer fur, an' doesn bring me the aale?
Doctor 's a 'toattler, lass, an a's hallus i' the owd taale;
I weant break rules fur Doctor, a knaws naw moor nor a floy;
*** ma my aale, I tell tha, an' if I mun doy I mun doy.
Yenson Sep 2018
CREOLE PIDGIN ENGLISH

wetin de call dis, wetin you go call dis
oyinbo com tiffy tiffy from ma yard
I no trouble yam, I no go knock on dem fer notin
but oyinbo an dem pally com de burglarise ma hice
you hear me so!
I say oyinbo com de steal from me home
Dem be thieves tiffing all over de compound
an when I go say why you tiff about the place
oyinbo tiffs them tell me I go be the *** whey go suffer
See palava see how dem de treat black people
in dem country.
If I go steal from oyinbos, na ma *** dem go trow in jail
yet for dem town, dem com steal your property
and when you go talk they slap you down
Dem go make me loose ma bread, loose ma woman
Dem spoil ma name, them abuse me
Dem tell al kinna lies against me
Dem make nonsense stories and fabu abot me
Dem harass me, discredit and disprofit me oh!
Dem become tomenters, dem say dem go drive me crazy
dem go ruin ma life, dem go make me sik in da head
And heavens know i never trouble any persons
I never put ma feet in anybody house to steal
I never see this kin ting before
where you go do wrong and destroy him whey he do no wrong
Dis is what dem do here now, make you people know
I no fit work, I no fit go anywhere without oyinbo and him
pally dem follow and harass ma ***, dem say dem want me dead
Dead for stealing from me, dead for me doing notin wrong
an them feel proud for all dem de do, dem feel right for wrong
De kin wickedness whey devil himself no fit do, dem don do
And I swear before man an God, dem go get their retributions
Every single one of dem whey involve
God go punish dem
God go bring the chaos of hell on dem
God go mash dem up like dem mash ma life
Except God no be God an tru an  real
Dem are evil people and evil will claim every single one of dem
who do dis to ma innocence.
Peoples wherefer you be, wherefef you go, make you know
That in london der are evil oyinbo thiffs dere
an them go steal and destroy your life if you talk
I beg jus pray for me, dem want me dead
Dem want blood.
De blood of an inoncent man who never trouble anybody
dem de make mockery of me now
Dem de call me Modern day Jesus....
An by de Grace of de real Jesus Christ
Each an every one of dem who hav made me suffa
Will get dem just reward, I wait on the Lord
He is a tru an just God and Him say
Vengeance is mine...
THE DEFINTION OF GANG STALKING
Gang Stalking is stalking by multiple perpetrators, most of whom are unknown to the victim, for the expressed desire to harass using psychological abuse and intimidation.

SYNONYMS FOR GANG STALKING
Synonyms for Gang Stalking are not limited to, but include the following; Group Stalking, Cause Stalking, Community Stalking, Vigilante Stalking, Organized Stalking, Multi-Stalking, and Gas-Lighting.

THE GOAL OF GANG STALKING
The expressed goal of Gang Stalking is to silence a victim, drive a victim insane and possibly to the point of suicide, or destroy the victims reputation and believability as the person will likely be viewed as mentally ill should they complain or report the abuse. Gang Stalking is also used to gather information on individuals as well as force individuals to move or leave an area.

MOTIVATIONS FOR THE ABUSE
Motivations for Gang Stalking vary. Revenge for a real or imagined offense, true or false accusations of a horrible crime of which the victim has gotten away with, silencing a corporate whistle-blower, defecting from a cult, a perceived enemy of a group or organization, and knowing too much are all examples of possible motivations. Due consideration should be used as the motivations of the stalking groups are in no way limited to the above.

WHO ARE THE STALKERS?
The stalkers, for the most part, are everyday citizens. Other stalkers are street thugs, criminals and hooligans who have been hired to harass and intimidate.
EXAMPLES OF GANG STALKING HARASSMENT
Slashed Tires, Threatening Phone Calls, Verbal Assaults by Strangers, Property Damage, Death Threats, Peeping Toms, Following on Foot or by Vehicle, Bizarre Notes and Drawings Left, Loitering, Anonymous False Accusations to Friends, Family, and Neighbors, Character Assassination, Smear Campaigns, Black-Listing, Psychological Abuse, etc.
Je festine ici et là
Je festine dans l’au delà
Je festine indécemment
Ma sauvage est de retour.

Je m’accouple aux vents boucs
Je m’accouple aux pluies vipères
Je m’accouple diaboliquement
Ma sage-femme est de retour.

Je sodomise les mares crapauds
Je sodomise les fleuves lézards
Je sodomise exécrablement
Ma guérisseuse est de retour.

Je blasphème aux solstices
Je blasphème aux équinoxes
Je blasphème scandaleusement
Mon infirmière est de retour.

Je me venge en la noyant
Je me venge en la brûlant
Je me venge insidieusement
Mon hérétique est de retour

Je cours après tous onguents
Je cours après tous poisons
Je cours brutalement
Ma dénaturée est de retour.

J’aime sa danse surnaturelle
J’aime ses pas diaboliques
J’aime ardemment
Ma forcluse est de retour.

Je caresse le soufre de son âme
Je caresse son pied gauche
Je caresse amoureusement
Ma Maligne est de retour.

Je m’accointe à sa lumière
Je m’accointe à son derrière
Je m’accointe horriblement
Ma pécheresse est de retour.

Je badine avec la lune
Je badine avec les étoiles
Je badine imprudemment
Ma prêtresse est de retour.

Je pèche des poissons capitaux
Je pèche des poissons capiteux
Je pèche lubriquement
Ma catin est de retour.

Je vénère les toisons
Je vénère les vipères
Je vénère précieusement
Mon dragon est de retour.

Je me frictionne l’entre-deux-jambes
Je me frictionne entre deux outre-tombes
Je me frictionne inlassablement
Mon ombre est de retour.

Je tremble de peur
Je tremble de joie
Je tremble frénétiquement
Ma sorcière est de retour.

Je décharge à tous vents
Je décharge à tout va
Je décharge instantanément
Ma bougresse est de retour.

Je danse en bégayant
Je danse en babillant
Je danse ordement jusqu'au chant du coq
Ma muse est de retour
Glen Castillo Jul 2018
Sabi nila,kapag nahanap mo na daw ang tunay na pag-ibig ay nahanap mo na rin ang iyong langit dito sa lupa. Kaya't naniniwala akong langit din ang maghahatid sa'yo patungo sa akin. Pero naiinip na akong maghintay at nanghihinayang sa bawat sandaling lumilipas , na hindi ko man lang magawang hawakan ang iyong mga kamay sa mga panahong kailangan mo ng karamay.Na hindi ko man lang magawang damayan ka kung dumadanas ka ng lumbay.Alam kong katulad ko,pakiramdam mo minsan ay binitawan ka na din ng mundo.Kaya't patawarin mo ako kung sa mga pagkakataong nararanasan mo yan ay wala ako d'yan para ikaw ay aking ma-salo. Kung totoong ang pag-ibig at ang langit ay may malalim na kaugnayan sa isa’t-isa,malakas ang kutob ko na tayo din ay iginuhit na katulad nila. Minsan na din akong nagtanong,saang sulok ng langit ka kaya naroroon? Malapit ka kaya sa araw? O marahil nasa tabi ka lang ng buwan,na sa tuwing sasapit ang dilim ako ay binabantayan.Kaya pala kahit saan ako magpunta ako'y lagi niyang sinusundan. Pero maaari din na ika'y kapiling ng mga bituin na kay daming nais mag angkin. Kay palad kong pagdating ng araw ikaw ay napa sa-akin. Kaya habang wala ka pa,ako muna ay magiging kaisa ng mga mabubuting kawal ng ating bayan. Makikidigma kung kinakailangan,ipaglalaban kung ano ang makat'wiran. Upang sa iyong pagdating ay malaya nating tatamasahin ang payapang buhay. Kaya habang wala ka pa ako'y taos puso kung manalangin sa ating may likha. Na paghariin niya nawa ang kabutihan sa aking puso bilang isang tao at higit sa lahat ay bilang kanyang anak , upang sa sandaling tayo'y pagtagpuin ako rin sa iyo ay magiging isang mabuting kabiyak. Hindi pa man tayo nagtatagpo,nais kung malaman mo na laman kang palagi ng aking panalangin. At habambuhay kong itatangi ang iyong pag-ibig na siyang dahilan kung bakit maka ilang ulit kong nanaising mabuhay. Nais kong ipagsigawan sa mundo na iniibig kitang wagas,ngunit mas mamatamisin kong hintayin ka at kapag naglapat na ang ating mga dibdib,ibubulong ko sa'yo na ikaw ang aking daigdig. Maghihintay lang ako,habang wala ka pa.




© 2018 Glen Castillo
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Pag-ibig sa tatlong salita (IKAW,BAYAN at DIYOS)
Qui su l'arida schiena
Del formidabil monte
Sterminator Vesevo,
La qual null'altro allegra arbor né fiore,
Tuoi cespi solitari intorno spargi,
Odorata ginestra,
Contenta dei deserti. Anco ti vidi
Dè tuoi steli abbellir l'erme contrade
Che cingon la cittade
La qual fu donna dè mortali un tempo,
E del perduto impero
Par che col grave e taciturno aspetto
Faccian fede e ricordo al passeggero.
Or ti riveggo in questo suol, di tristi
Lochi e dal mondo abbandonati amante,
E d'afflitte fortune ognor compagna.
Questi campi cosparsi
Di ceneri infeconde, e ricoperti
Dell'impietrata lava,
Che sotto i passi al peregrin risona;
Dove s'annida e si contorce al sole
La serpe, e dove al noto
Cavernoso covil torna il coniglio;
Fur liete ville e colti,
E biondeggiàr di spiche, e risonaro
Di muggito d'armenti;
Fur giardini e palagi,
Agli ozi dè potenti
Gradito ospizio; e fur città famose
Che coi torrenti suoi l'altero monte
Dall'ignea bocca fulminando oppresse
Con gli abitanti insieme. Or tutto intorno
Una ruina involve,
Dove tu siedi, o fior gentile, e quasi
I danni altrui commiserando, al cielo
Di dolcissimo odor mandi un profumo,
Che il deserto consola. A queste piagge
Venga colui che d'esaltar con lode
Il nostro stato ha in uso, e vegga quanto
È il gener nostro in cura
All'amante natura. E la possanza
Qui con giusta misura
Anco estimar potrà dell'uman seme,
Cui la dura nutrice, ov'ei men teme,
Con lieve moto in un momento annulla
In parte, e può con moti
Poco men lievi ancor subitamente
Annichilare in tutto.
Dipinte in queste rive
Son dell'umana gente
Le magnifiche sorti e progressive .
Qui mira e qui ti specchia,
Secol superbo e sciocco,
Che il calle insino allora
Dal risorto pensier segnato innanti
Abbandonasti, e volti addietro i passi,
Del ritornar ti vanti,
E procedere il chiami.
Al tuo pargoleggiar gl'ingegni tutti,
Di cui lor sorte rea padre ti fece,
Vanno adulando, ancora
Ch'a ludibrio talora
T'abbian fra sé. Non io
Con tal vergogna scenderò sotterra;
Ma il disprezzo piuttosto che si serra
Di te nel petto mio,
Mostrato avrò quanto si possa aperto:
Ben ch'io sappia che obblio
Preme chi troppo all'età propria increbbe.
Di questo mal, che teco
Mi fia comune, assai finor mi rido.
Libertà vai sognando, e servo a un tempo
Vuoi di novo il pensiero,
Sol per cui risorgemmo
Della barbarie in parte, e per cui solo
Si cresce in civiltà, che sola in meglio
Guida i pubblici fati.
Così ti spiacque il vero
Dell'aspra sorte e del depresso loco
Che natura ci diè. Per questo il tergo
Vigliaccamente rivolgesti al lume
Che il fè palese: e, fuggitivo, appelli
Vil chi lui segue, e solo
Magnanimo colui
Che sé schernendo o gli altri, astuto o folle,
Fin sopra gli astri il mortal grado estolle.
Uom di povero stato e membra inferme
Che sia dell'alma generoso ed alto,
Non chiama sé né stima
Ricco d'or né gagliardo,
E di splendida vita o di valente
Persona infra la gente
Non fa risibil mostra;
Ma sé di forza e di tesor mendico
Lascia parer senza vergogna, e noma
Parlando, apertamente, e di sue cose
Fa stima al vero uguale.
Magnanimo animale
Non credo io già, ma stolto,
Quel che nato a perir, nutrito in pene,
Dice, a goder son fatto,
E di fetido orgoglio
Empie le carte, eccelsi fati e nove
Felicità, quali il ciel tutto ignora,
Non pur quest'orbe, promettendo in terra
A popoli che un'onda
Di mar commosso, un fiato
D'aura maligna, un sotterraneo crollo
Distrugge sì, che avanza
A gran pena di lor la rimembranza.
Nobil natura è quella
Che a sollevar s'ardisce
Gli occhi mortali incontra
Al comun fato, e che con franca lingua,
Nulla al ver detraendo,
Confessa il mal che ci fu dato in sorte,
E il basso stato e frale;
Quella che grande e forte
Mostra sé nel soffrir, né gli odii e l'ire
Fraterne, ancor più gravi
D'ogni altro danno, accresce
Alle miserie sue, l'uomo incolpando
Del suo dolor, ma dà la colpa a quella
Che veramente è rea, che dè mortali
Madre è di parto e di voler matrigna.
Costei chiama inimica; e incontro a questa
Congiunta esser pensando,
Siccome è il vero, ed ordinata in pria
L'umana compagnia,
Tutti fra sé confederati estima
Gli uomini, e tutti abbraccia
Con vero amor, porgendo
Valida e pronta ed aspettando aita
Negli alterni perigli e nelle angosce
Della guerra comune. Ed alle offese
Dell'uomo armar la destra, e laccio porre
Al vicino ed inciampo,
Stolto crede così qual fora in campo
Cinto d'oste contraria, in sul più vivo
Incalzar degli assalti,
Gl'inimici obbliando, acerbe gare
Imprender con gli amici,
E sparger fuga e fulminar col brando
Infra i propri guerrieri.
Così fatti pensieri
Quando fien, come fur, palesi al volgo,
E quell'orror che primo
Contra l'empia natura
Strinse i mortali in social catena,
Fia ricondotto in parte
Da verace saper, l'onesto e il retto
Conversar cittadino,
E giustizia e pietade, altra radice
Avranno allor che non superbe fole,
Ove fondata probità del volgo
Così star suole in piede
Quale star può quel ch'ha in error la sede.
Sovente in queste rive,
Che, desolate, a bruno
Veste il flutto indurato, e par che ondeggi,
Seggo la notte; e su la mesta landa
In purissimo azzurro
Veggo dall'alto fiammeggiar le stelle,
Cui di lontan fa specchio
Il mare, e tutto di scintille in giro
Per lo vòto seren brillare il mondo.
E poi che gli occhi a quelle luci appunto,
Ch'a lor sembrano un punto,
E sono immense, in guisa
Che un punto a petto a lor son terra e mare
Veracemente; a cui
L'uomo non pur, ma questo
Globo ove l'uomo è nulla,
Sconosciuto è del tutto; e quando miro
Quegli ancor più senz'alcun fin remoti
Nodi quasi di stelle,
Ch'a noi paion qual nebbia, a cui non l'uomo
E non la terra sol, ma tutte in uno,
Del numero infinite e della mole,
Con l'aureo sole insiem, le nostre stelle
O sono ignote, o così paion come
Essi alla terra, un punto
Di luce nebulosa; al pensier mio
Che sembri allora, o prole
Dell'uomo? E rimembrando
Il tuo stato quaggiù, di cui fa segno
Il suol ch'io premo; e poi dall'altra parte,
Che te signora e fine
Credi tu data al Tutto, e quante volte
Favoleggiar ti piacque, in questo oscuro
Granel di sabbia, il qual di terra ha nome,
Per tua cagion, dell'universe cose
Scender gli autori, e conversar sovente
Cò tuoi piacevolmente, e che i derisi
Sogni rinnovellando, ai saggi insulta
Fin la presente età, che in conoscenza
Ed in civil costume
Sembra tutte avanzar; qual moto allora,
Mortal prole infelice, o qual pensiero
Verso te finalmente il cor m'assale?
Non so se il riso o la pietà prevale.
Come d'arbor cadendo un picciol pomo,
Cui là nel tardo autunno
Maturità senz'altra forza atterra,
D'un popol di formiche i dolci alberghi,
Cavati in molle gleba
Con gran lavoro, e l'opre
E le ricchezze che adunate a prova
Con lungo affaticar l'assidua gente
Avea provvidamente al tempo estivo,
Schiaccia, diserta e copre
In un punto; così d'alto piombando,
Dall'utero tonante
Scagliata al ciel profondo,
Di ceneri e di pomici e di sassi
Notte e ruina, infusa
Di bollenti ruscelli
O pel montano fianco
Furiosa tra l'erba
Di liquefatti massi
E di metalli e d'infocata arena
Scendendo immensa piena,
Le cittadi che il mar là su l'estremo
Lido aspergea, confuse
E infranse e ricoperse
In pochi istanti: onde su quelle or pasce
La capra, e città nove
Sorgon dall'altra banda, a cui sgabello
Son le sepolte, e le prostrate mura
L'arduo monte al suo piè quasi calpesta.
Non ha natura al seme
Dell'uom più stima o cura
Che alla formica: e se più rara in quello
Che nell'altra è la strage,
Non avvien ciò d'altronde
Fuor che l'uom sue prosapie ha men feconde.
Ben mille ed ottocento
Anni varcàr poi che spariro, oppressi
Dall'ignea forza, i popolati seggi,
E il villanello intento
Ai vigneti, che a stento in questi campi
Nutre la morta zolla e incenerita,
Ancor leva lo sguardo
Sospettoso alla vetta
Fatal, che nulla mai fatta più mite
Ancor siede tremenda, ancor minaccia
A lui strage ed ai figli ed agli averi
Lor poverelli. E spesso
Il meschino in sul tetto
Dell'ostel villereccio, alla vagante
Aura giacendo tutta notte insonne,
E balzando più volte, esplora il corso
Del temuto bollor, che si riversa
Dall'inesausto grembo
Su l'arenoso dorso, a cui riluce
Di Capri la marina
E di Napoli il porto e Mergellina.
E se appressar lo vede, o se nel cupo
Del domestico pozzo ode mai l'acqua
Fervendo gorgogliar, desta i figliuoli,
Desta la moglie in fretta, e via, con quanto
Di lor cose rapir posson, fuggendo,
Vede lontan l'usato
Suo nido, e il picciol campo,
Che gli fu dalla fame unico schermo,
Preda al flutto rovente,
Che crepitando giunge, e inesorato
Durabilmente sovra quei si spiega.
Torna al celeste raggio
Dopo l'antica obblivion l'estinta
Pompei, come sepolto
Scheletro, cui di terra
Avarizia o pietà rende all'aperto;
E dal deserto foro
Diritto infra le file
Dei mozzi colonnati il peregrino
Lunge contempla il bipartito giogo
E la cresta fumante,
Che alla sparsa ruina ancor minaccia.
E nell'orror della secreta notte
Per li vacui teatri,
Per li templi deformi e per le rotte
Case, ove i parti il pipistrello asconde,
Come sinistra face
Che per vòti palagi atra s'aggiri,
Corre il baglior della funerea lava,
Che di lontan per l'ombre
Rosseggia e i lochi intorno intorno tinge.
Così, dell'uomo ignara e dell'etadi
Ch'ei chiama antiche, e del seguir che fanno
Dopo gli avi i nepoti,
Sta natura ognor verde, anzi procede
Per sì lungo cammino
Che sembra star. Caggiono i regni intanto,
Passan genti e linguaggi: ella nol vede:
E l'uom d'eternità s'arroga il vanto.
E tu, lenta ginestra,
Che di selve odorate
Queste campagne dispogliate adorni,
Anche tu presto alla crudel possanza
Soccomberai del sotterraneo foco,
Che ritornando al loco
Già noto, stenderà l'avaro lembo
Su tue molli foreste. E piegherai
Sotto il fascio mortal non renitente
Il tuo capo innocente:
Ma non piegato insino allora indarno
Codardamente supplicando innanzi
Al futuro oppressor; ma non eretto
Con forsennato orgoglio inver le stelle,
Né sul deserto, dove
E la sede e i natali
Non per voler ma per fortuna avesti;
Ma più saggia, ma tanto
Meno inferma dell'uom, quanto le frali
Tue stirpi non credesti
O dal fato o da te fatte immortali.
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