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Ellis Reyes Dec 2011
Smile, Dear Child, smile
Our tears will be gone -
In a while.

Dieu a appelé ton nom
Et les anges t'apportent au Ciel
Ton étoile brillera toujours
Il donne espoir aux rêveurs,
Il nous rappel de ton amour.

Requiem eternam dona ei
Et lux perpetua luceat ei
We will always, always love you,
our dear, sweet Carrie.
Dedicated to Carrie who left us far too soon.
Sean Jun 2012
I try to write when I am tired
but tiny spiders descend around my desk.
Newly-hatched eight limbed-things
parasail
the silk lids over my eyes.

If only I could ride out the exhale and
go at once adrift, self-rappel
I would climb the silk suspension line
swing from thought to thought
thread the eye of the needle
pull-ey up the beanstalk.

but instead I'm left to watch these aerial yoginis
swim on a draft from the ceiling.
These spinsters with their poetic acrobatics
for whom rhythm is spun on silent trapeze--
make a play-swing
out of gravity.

The tiny spiders that descend around my desk
make me--an oaf.
a self-honoring monument
for climbing, a botched landmark to ---human ingenuity
me, a moving pedestal for dancing
me, a knotted up windsock
hunched over a heated screen,
trying to blow down metaphor, alliteration
from these tiny kites that ascend the earth.

Tiny spider, tiny spider
let down your silk tresses
draw up my mind
swing the high rafters
I want to hang upside down--
make a play-swing
out of gravity.

Yet when I pulled on the thread
to net the silken-mouthed beast,
words did not come down
like mana from heaven.

Rather, my tongue grew heavy with cotton
metaphor, alliteration,
the fabric of suspended poetry
unraveled.
Lucid improvisation fell like Icarus
to quips.

because thinking to write
and writing to think is like
pulling dead hair
from spaghetti.

Meanwhile, tiny spiders descend around my desk
parasail
and make a play-swing out of gravity.
Ethan Taylor Jan 2010
"And your very flesh shall be a great poem."
-Walt Whitman

And your *******,
Like mountains over the course of eons,
Will rise and fall
With your quickening breath.

Your breaths can outlast time.
Your voice can topple empires.
Your sighs are intoxicating—
I get drunk off your words.

Words fall pathetically short.
One thousand poets and scribes cannot
Express to you a single drop
Of the ocean behind my lips.

Kiss them, and drown with me
In a sea of our own creation,
A world where love is no longer trite,
And poems about it are
Dangerously revolutionary.

We will be pioneers amongst lovers!
O! we will be pioneers!

We will travel the globe under the guise of night.
And I will cross the planes of your back,
The valley between your shoulders.
I will rappel kisses off the cliff of your collarbones
And over your *******, which,
As mountains enduring but an instant of eternity,
Will rise and fall
With your quickening breath.

And we will stand against time itself.

And it will crumble beneath our gaze.

And we will outlast eternity.

Because we are pioneers amongst lovers!
O! we are pioneers!
jacob charles Jun 2019
An enemy to myself
a ******* up book fallen off the shelf
God please help me, save me through hell
my plea, I plead, I need all help
seek shelter from shell
this vessels a flooding jail cell
my fate unassisted destruction foretell
this world's a system, I'm lowly rappel
repelled from the flame up top as well
not dismissive of mission to pass through natural
or worldly but the worry has me shaken but desensitized stiff
mistaken, surly i can't, won't adrift
off course, of course not
Chris Renninger Aug 2014
Sleepless nights always start the same
A shaking I can’t control
I chill all over
I know somethings wrong
It keeps me awake
Often it has the same effects
Eventually the shaking turns to rocking back and forth
Tears spring to my eyes like a soldier at attention
Late at night I can’t handle it
it ruins my efforts at being distracted from the causes
I break down
I stop what I doing and sob
as the soldier tears rappel down my cheek to my chin
and dive off the edge
Sleepless nights are the loneliest
I sit there afraid
Of losing you
Of myself
Of myself without you
I can’t bear to be without you
Losing you is the crippling fear
in the back of my mind
that keeps me lying awake at night
and on nights like these it’s the worst
it seems real
like i’ve lost you with no chance of return
Last time i had a night like this
you sent me “love you too”
i kept it on my phone to look at it to reassure myself
last night like this i looked at that message 16 times
scared that it would change
i can’t sleep on a night like this when i don’t have you
i need you more than sleep
i need you more than life
i need you more than anything
The punctuation and structure begin to dwindle at the end. It was at the time where I started to feel worse and just stopped caring about everything
Or ce vieillard était horrible : un de ses yeux,

Crevé, saignait, tandis que l'autre, chassieux,

Brutalement luisait sous son sourcil en brosse ;

Les cheveux se dressaient d'une façon féroce,

Blancs, et paraissaient moins des cheveux que des crins ;

Le vieux torse solide encore sur les reins,

Comme au ressouvenir des balles affrontées,

Cambré, contrariait les épaules voûtées ;

La main gauche avait l'air de chercher le pommeau

D'un sabre habituel et dont le long fourreau

Semblait, s'embarrassant avec la sabretache,

Gêner la marche et vers la tombante moustache

La main droite parfois montait, la retroussant.


Il était grand et maigre et jurait en toussant.


Fils d'un garçon de ferme et d'une lavandière,

Le service à seize ans le prit. Il fit entière,

La campagne d'Égypte. Austerlitz, Iéna,

Le virent. En Espagne un moine l'éborgna :

- Il tua le bon père, et lui vola sa bourse, -

Par trois fois traversa la Prusse au pas de course,

En Hesse eut une entaille épouvantable au cou,

Passa brigadier lors de l'entrée à Moscou,

Obtint la croix et fut de toutes les défaites

D'Allemagne et de France, et gagna dans ces fêtes

Trois blessures, plus un brevet de lieutenant

Qu'il résigna bientôt, les Bourbons revenant,

À Mont-Saint-Jean, bravant la mort qui l'environne,

Dit un mot analogue à celui de Cambronne,

Puis quand pour un second exil et le tombeau,

La Redingote grise et le petit Chapeau

Quittèrent à jamais leur France tant aimée

Et que l'on eut, hélas ! dissous la grande armée,

Il revint au village, étonné du clocher.


Presque forcé pendant un an de se cacher,

Il braconna pour vivre, et quand des temps moins rudes

L'eurent, sans le réduire à trop de platitudes,

Mis à même d'écrire en hauts lieux à l'effet

D'obtenir un secours d'argent qui lui fut fait,

Logea moyennant deux cents francs par an chez une

Parente qu'il avait, dont toute la fortune

Consistait en un champ cultivé par ses fieux,

L'un marié depuis longtemps et l'autre vieux

Garçon encore, et là notre foudre de guerre

Vivait et bien qu'il fût tout le jour sans rien faire

Et qu'il eût la charrue et la terre en horreur,

C'était ce qu'on appelle un soldat laboureur.

Toujours levé dès l'aube et la pipe à la bouche

Il allait et venait, engloutissait, farouche,

Des verres d'eau-de-vie et parfois s'enivrait,

Les dimanches tirait à l'arc au cabaret,

Après dîner faisait un quart d'heure sans faute

Sauter sur ses genoux les garçons de son hôte

Ou bien leur apprenait l'exercice et comment

Un bon soldat ne doit songer qu'au fourniment.

Le soir il voisinait, tantôt pinçant les filles,

Habitude un peu trop commune aux vieux soudrilles,

Tantôt, geste ample et voix forte qui dominait

Le grillon incessant derrière le chenet,

Assis auprès d'un feu de sarments qu'on entoure

Confusément disait l'Elster, l'Estramadoure,

Smolensk, Dresde, Lutzen et les ravins vosgeois

Devant quatre ou cinq gars attentifs et narquois

S'exclamant et riant très fort aux endroits farce.


Canonnade compacte et fusillade éparse,

Chevaux éventrés, coups de sabre, prisonniers

Mis à mal entre deux batailles, les derniers

Moments d'un officier ajusté par derrière,

Qui se souvient et qu'on insulte, la barrière

Clichy, les alliés jetés au fond des puits,

La fuite sur la Loire et la maraude, et puis

Les femmes que l'on force après les villes prises,

Sans choix souvent, si bien qu'on a des mèches grises

Aux mains et des dégoûts au cœur après l'ébat

Quand passe le marchef ou que le rappel bat,

Puis encore, les camps levés et les déroutes.


Toutes ces gaîtés, tous ces faits d'armes et toutes

Ces gloires défilaient en de longs entretiens,

Entremêlés de gros jurons très peu chrétiens

Et de grands coups de poing sur les cuisses voisines.


Les femmes cependant, sœurs, mères et cousines,

Pleuraient et frémissaient un peu, conformément

À l'usage, tout en se disant : « Le vieux ment. »


Et les hommes fumaient et crachaient dans la cendre.


Et lui qui quelquefois voulait bien condescendre

À parler discipline avec ces bons lourdauds

Se levait, à grands pas marchait, les mains au dos

Et racontait alors quelque fait politique

Dont il se proclamait le témoin authentique,

La distribution des Aigles, les Adieux,

Le Sacre et ce Dix-huit Brumaire radieux,

Beau jour où le soldat qu'un bavard importune

Brisa du même coup orateurs et tribune,

Où le dieu Mars mis par la Chambre hors la Loi

Mit la Loi hors la Chambre et, sans dire pourquoi,

Balaya du pouvoir tous ces ergoteurs glabres,

Tous ces législateurs qui n'avaient pas de sabres !


Tel parlait et faisait le grognard précité

Qui mourut centenaire à peu près l'autre été.

Le maire conduisit le deuil au cimetière.

Un feu de peloton fut tiré sur la bière

Par le garde champêtre et quatorze pompiers

Dont sept revinrent plus ou moins estropiés

À cause des mauvais fusils de la campagne.

Un tertre qu'une pierre assez grande accompagne

Et qu'orne un saule en pleurs est l'humble monument

Où notre héros dort perpétuellement.

De plus, suivant le vœu dernier du camarade,

On grava sur la pierre, après ses nom et grade,

Ces mots que tout Français doit lire en tressaillant :

« Amour à la plus belle et gloire au plus vaillant. »
Theodore Bird Mar 2015
Our souls are empty space,
    black peeling paint on your bedroom door.
Our hearts are made of bursting yellow,
    dripping handprints of eternal sun.
Our eyes are dull and lonely,
    murky paint water and smashed beer kegs.
Our eyes are smoky and dark,
    grey as Rimbaud's cheeks on the covers of your books.
Our hearts are bare, white skin,
    liver spots and silvery temple hairs.
Our souls are speckled brown doves,
    the beating of frustrating wings,
*je rappel maintenant ce que c'est que d'être libre.
Not so humble beginnings.
On y revient ; il faut y revenir moi-même.
Ce qu'on attaque en moi, c'est mon temps, et je l'aime.
Certes, on me laisserait en paix, passant obscur,
Si je ne contenais, atome de l'azur,
Un peu du grand rayon dont notre époque est faite.

Hier le citoyen, aujourd'hui le poète ;  
Le « romantique » après le « libéral ». -  Allons,
Soit ; dans mes deux sentiers mordez mes deux talons.
Je suis le ténébreux par qui tout dégénère.
Sur mon autre côté lancez l'autre tonnerre.

Vous aussi, vous m'avez vu tout jeune, et voici
Que vous me dénoncez, bonhomme, vous aussi ;
Me déchirant le plus allégrement du monde,
Par attendrissement pour mon enfance blonde.
Vous me criez : « Comment, Monsieur ! qu'est-ce que c'est ?
- La stance va nu-pieds ! le drame est sans corset !
- La muse jette au vent sa robe d'innocence !
- Et l'art crève la règle et dit : C'est la croissance ! »
Géronte littéraire aux aboiements plaintifs,
Vous vous ébahissez, en vers rétrospectifs,
Que ma voix trouble l'ordre, et que ce romantique
Vive, et que ce petit, à qui l'Art Poétique
Avec tant de bonté donna le pain et l'eau,
Devienne si pesant aux genoux de Boileau !
Vous regardez mes vers, pourvus d'ongles et d'ailes,
Refusant de marcher derrière les modèles,
Comme après les doyens marchent les petits clercs ;
Vous en voyez sortir de sinistres éclairs ;
Horreur ! et vous voilà poussant des cris d'hyène
A travers les barreaux de la Quotidienne.

Vous épuisez sur moi tout votre calepin,
Et le père Bouhours et le père Rapin ;
Et m'écrasant avec tous les noms qu'on vénère,
Vous lâchez le grand mot : Révolutionnaire.

Et, sur ce, les pédants en choeur disent : Amen !
On m'empoigne ; on me fait passer mon examen ;
La Sorbonne bredouille et l'école griffonne ;
De vingt plumes jaillit la colère bouffonne :
« Que veulent ces affreux novateurs ? ça des vers ?
- Devant leurs livres noirs, la nuit, dans l'ombre ouverts,
- Les lectrices ont peur au fond de leurs alcôves.
- Le Pinde entend rugir leurs rimes bêtes fauves,
- Et frémit. Par leur faute aujourd'hui tout est mort ;
- L'alexandrin saisit la césure, et la mord ;
- Comme le sanglier dans l'herbe et dans la sauge,
- Au beau milieu du vers l'enjambement patauge ;
- Que va-t-on devenir ? Richelet s'obscurcit.
- Il faut à toute chose un magister dixit.
- Revenons à la règle, et sortons de l'opprobre ;
- L'hippocrène est de l'eau ; donc le beau, c'est le sobre.
- Les vrais sages ayant la raison pour lien,
- Ont toujours consulté, sur l'art, Quintilien ;
- Sur l'algèbre, Leibnitz; sur la guerre, Végèce. »

Quand l'impuissance écrit, elle signe : Sagesse.

Je ne vois pas pourquoi je ne vous dirais point
Ce qu'à d'autres j'ai dit sans leur montrer le poing.
Eh bien, démasquons-nous ! c'est vrai, notre âme est noire ;
Sortons du domino nommé forme oratoire.
On nous a vus, poussant vers un autre horizon
La langue, avec la rime entraînant la raison,

Lancer au pas de charge, en batailles rangées,
Sur Laharpe éperdu, toutes ces insurgées.
Nous avons au vieux style attaché ce brûlot :
Liberté ! Nous avons, dans le même complot,
Mis l'esprit, pauvre diable, et le mot, pauvre hère ;
Nous avons déchiré le capuchon, la haire,
Le froc, dont on couvrait l'Idée aux yeux divins.
Tous on fait rage en foule. Orateurs, écrivains,
Poètes, nous avons, du doigt avançant l'heure,
Dit à la rhétorique : - Allons, fille majeure,
Lève les yeux ! - et j'ai, chantant, luttant, bravant,
Tordu plus d'une grille au parloir du couvent ;
J'ai, torche en main, ouvert les deux battants du drame ;
Pirates, nous avons, à la voile, à la rame,
De la triple unité pris l'aride archipel ;
Sur l'Hélicon tremblant j'ai battu le rappel.
Tout est perdu ! le vers vague sans muselière !
A Racine effaré nous préférons Molière ;
O pédants ! à Ducis nous préférons Rotrou.
Lucrèce Borgia sort brusquement d'un trou,
Et mêle des poisons hideux à vos guimauves ;
Le drame échevelé fait peur à vos fronts chauves ;
C'est horrible ! oui, brigand, jacobin, malandrin,
J'ai disloqué ce grand niais d'alexandrin ;
Les mots de qualité, les syllabes marquises,
Vivaient ensemble au fond de leurs grottes exquises,
Faisaient la bouche en coeur et ne parlant qu'entre eux,
J'ai dit aux mots d'en bas : Manchots, boiteux, goîtreux,
Redressez-vous ! planez, et mêlez-vous, sans règles,
Dans la caverne immense et farouche des aigles !
J'ai déjà confessé ce tas de crimes-là ;
Oui, je suis Papavoine, Érostrate, Attila :
Après ?

Emportez-vous, et criez à la garde,
Brave homme ! tempêtez ! tonnez ! je vous regarde.

Nos progrès prétendus vous semblent outrageants ;
Vous détestez ce siècle où, quand il parle aux gens,
Le vers des trois saluts d'usage se dispense ;
Temps sombre où, sans pudeur, on écrit comme on pense,
Où l'on est philosophe et poète crûment,
Où de ton vin sincère, adorable, écumant,
O sévère idéal, tous les songeurs sont ivres.
Vous couvrez d'abat-jour, quand vous ouvrez nos livres,
Vos yeux, par la clarté du mot propre brûlés ;
Vous exécrez nos vers francs et vrais, vous hurlez
De fureur en voyant nos strophes toutes nues.
Mais où donc est le temps des nymphes ingénues,
Qui couraient dans les bois, et dont la nudité
Dansait dans la lueur des vagues soirs d'été ?
Sur l'aube nue et blanche, entr'ouvrant sa fenêtre,
Faut-il plisser la brume honnête et *****, et mettre
Une feuille de vigne à l'astre dans l'azur ?
Le flot, conque d'amour, est-il d'un goût peu sûr ?
Ô Virgile, Pindare, Orphée ! est-ce qu'on gaze,
Comme une obscénité, les ailes de Pégase,
Qui semble, les ouvrant au haut du mont béni,
L'immense papillon du baiser infini ?
Est-ce que le soleil splendide est un cynique ?
La fleur a-t-elle tort d'écarter sa tunique ?
Calliope, planant derrière un pan des cieux,
Fait donc mal de montrer à Dante soucieux
Ses seins éblouissants à travers les étoiles ?
Vous êtes un ancien d'hier. Libre et sans voiles,
Le grand Olympe nu vous ferait dire : Fi !
Vous mettez une jupe au Cupidon bouffi ;
Au clinquant, aux neuf soeurs en atours, au Parnasse
De Titon du Tillet, votre goût est tenace ;
Apollon vous ferait l'effet d'un Mohican ;
Vous prendriez Vénus pour une sauvagesse.

L'âge - c'est là souvent toute notre sagesse -

A beau vous bougonner tout bas : « Vous avez tort,
- Vous vous ferez tousser si vous criez si fort ;
- Pour quelques nouveautés sauvages et fortuites,
- Monsieur, ne troublez pas la paix de vos pituites.
- Ces gens-ci vont leur train ; qu'est-ce que ça vous fait ?
- Ils ne trouvent que cendre au feu qui vous chauffait.
- Pourquoi déclarez-vous la guerre à leur tapage ?
- Ce siècle est libéral comme vous fûtes page.
- Fermez bien vos volets, tirez bien vos rideaux,
- Soufflez votre chandelle, et tournez-lui le dos !
- Qu'est l'âme du vrai sage ? Une sourde-muette.
- Que vous importe, à vous, que tel ou tel poète,
- Comme l'oiseau des cieux, veuille avoir sa chanson ;
- Et que tel garnement du Pinde, nourrisson
- Des Muses, au milieu d'un bruit de corybante,
- Marmot sombre, ait mordu leur gorge un peu tombante ? »

Vous n'en tenez nul compte, et vous n'écoutez rien.
Voltaire, en vain, grand homme et peu voltairien,
Vous murmure à l'oreille : « Ami, tu nous assommes ! »
- Vous écumez ! - partant de ceci : que nous, hommes
De ce temps d'anarchie et d'enfer, nous donnons
L'assaut au grand Louis juché sur vingt grands noms ;
Vous dites qu'après tout nous perdons notre peine,
Que haute est l'escalade et courte notre haleine ;
Que c'est dit, que jamais nous ne réussirons ;
Que Batteux nous regarde avec ses gros yeux ronds,
Que Tancrède est de bronze et qu'Hamlet est de sable.
Vous déclarez Boileau perruque indéfrisable ;
Et, coiffé de lauriers, d'un coup d'oeil de travers,
Vous indiquez le tas d'ordures de nos vers,
Fumier où la laideur de ce siècle se guinde
Au pauvre vieux bon goût, ce balayeur du Pinde ;
Et même, allant plus ****, vaillant, vous nous criez :
« Je vais vous balayer moi-même ! »

Balayez.

Paris, novembre 1834.
My first mutant friend clean his right hand bugler, to sail the massif of thousands of mountains like thousands of sheets to be pasted into the largest history huge book. The one on the left, is like palm Nosferaticus bone, moving the curtain of his prodigious window of a freeze morning, my good friend wistfully, his hand trembling before taking his belongings before leaving ... :, feel as if it were something as the head of zen in an Islamic republication would be a zen  serious little temperance that preys with braveness the editor slumbering in his bed -. warrior earth, a stripling warrior , who lost his gang which still hung in trees as if they were over a hundred thousand crows on all the trees near the horcondising.


In the midst of them, trying to finish my last project of life and spirit, he was in the financial phase, trying to finish points balance, like the mesh to receive my body in freefall after traveling so far trying to measure the radius of the universe personally.,., but my comrades forgot the fruits of measurement.

When I speak of them I speak of their contracted forms, their hands clear arteries and hydrogenated hands, green as the strain of a vineyard in hectares of saturn energies. When one day I thought naively go up there to the Saturnian vintage

For my ship that looked like a scorpion stings had stoked hydrogen, of forces that were, forces were ...

My Cosmonaut scorpion the right hand, I said to rescind my project my ramadanic project, my upheavel voyage prior saturn born again infected with stars collided in her autopsied heart center.

beam having me horcondisis, beam receive me then bathe your transacted valoric object, I have to go through the orthogonal morning, then be under the sun with his best face before deal thousand legions of spiritualistic forms of adhering spirits in my vitrubio’s arms, equations mastics, typical of souls migrating souls of spears never embraced by some vegetarian cell bodies.

We are at home horcondisis appear hordes armed licking contrails snails bees in their hive little more than their laborious phases snail suicides honeycomb.

He went up its slopes, thousands of hidrogens green lights, souls light years pouring their breaths through the peaks of horcondising, where misery is empire gold empire abundance of thousands of millions of prayers sent millions of years by lovers wise to be heard by the mountains and not the hommo sapiens, is mucus in the handkerchief northern gambler ..

Since crying infant, infant biological matter and not moved, the hommo sapiens rages as a detergent drapeability torn flood of destruction.

Horcondising is the Olympic platform scene securities by deal catafalques free vision to beat the triviality. - the three roads.

The three causeways to be more invisible all guilt, no stranger to inherit anything, nor himself only what gives me a fleeting morning light of my love for you lord of light,

The sun transpire, almost obese up the last few steps to fall like a diamond to the orbital of the earth's solstice, almost like a intimidating rappel on stage to see how to get to land, after climbing son long or so much mind.


My lord solstice never thought it was so chilling rub your back when I fall upon you. And the littoral, scabby and stellar explosions, constellation Orion and others, who will dress the unclothed souls, headwaters of the new sun.

By the greatest oath that is written and promulgated human voice, I outline the hiperdisis galactic start the breadbox to distribute, as the true summit of summits where true souls will be traded, that cost will have expansive roles on the globe that both we appropriate . Unduly, almost as violating the energies that move the improper world.

When I get near the pace of the sun in its solstice, I go to horcondising almost like a star, anxious to wait for the balance to dethrone all vanities and improper grace of owning myself.

To around me desperate ran sapiens hommo throwing her back the last pieces of lost opportunities, their quick clothes were in quick gestures of conformity, before reaching the ellipse, on all heights in the world because they could not be less so, degrees difficulty, degraded fringes of understanding ....

Goes up, and those who come from my lords aside from around the world, are fanned to heaven passing their monetary leftovers others who never had by body that will fit, but now a spirit that only shines in her eyes, gold pocket which houses coins manure mud.


When Late afternoon in an ever lived time, run by terror hills water are forms of veils falling by  manorial sleeping earth, many whys ... for so many hours of feverish centuries of few transit hours of nascent lives disrupted in sleeping lives. When my last minute delay in releasing the penny soothes my wound, perhaps it hurts twice the beggar who want to cure your wound, tilling day, to love their steps infant who was one day, almost as needing a new  smack on her buttocks bone more than anything if it is not hidden the day as a poisoned shrew.


The barriers of the day, as night to jump higher thousands of souls who aspired to reach the plateau drains the water that washes break every lost soul. Each with its little faith to have his good deeds, only better debt for unconfined failures and hold for a second to reach the sun shining light that dwells alone for seven days in Horcondising to save our souls dilapidated. Decades of years lived, scrubbing my conscience to be better than a being who can not live without your tired lifeless body ,. a beautiful autumn day tells me a flower starting step of men who have defected from this immense mansion that pours joy shouting to the winds that run from joy to joy.


And stan the groans of those who rise from his bed with his head, not thinking but because they lack arms as levers huge cranes to say; I stand to play with all the walking endlessly until the arms of the Lord who made me, but it took me all the decades I wanted to improve the days that I could not, because the door was bolted he saw shine off the sun but the door said no one opened it because it was the minute arrive also close to others who ask because I also ask, receive me on top I look like a boy pursing his face to seek help from others get flexible the chain to continue day out full of hope and quiet after warning others more direct link between two sets divided souls, the tender embrace that carpet the land germinating happiness reigns on the esplanade never get tired of this duality, blessed the day of the ritual God made the sun strongly embrace the earth when dawns, even when it rains; because then whales water paths in ding **** sound, looking cheerful participate fantastic zig zag Pilgrim universe smiling suns on the ground that heals his wounds as a mask molten blood.

My multi machine wound weapon that fires projectiles caliber of egos, get tired because they leave rows driven, and traces his fallen weightless  ego and super ego without body. It comes my time to be measured by what never before lived and not lived in for good measure.
TRANSMIGRATED POEM, FEELING A SOUND BEYOND . THE CONSCIENCE FROM THE UTTER ALL ( UNDER EDITION )
Breath;
Yes I agree
That is the best
Most responsible
Thing to do,
If I was there
Next to you
On that sofa
So high,
I'd wonder if
I'd have to take
An elevator down,
And how on earth
Is my keyboard floating,
Oh I see now;
My knees, tall as trees,
Reaching far down
To the ground,
I guess I'd climb,
Or rappel to the floor,
Breath,
Yes I agree,
Why are you so high above me?  
© okpoet
Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse,
La honte, les remords, les sanglots, les ennuis,
Et les vagues terreurs de ces affreuses nuits
Qui compriment le coeur comme un papier qu'on froisse ?
Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse ?

Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine,
Les poings crispés dans l'ombre et les larmes de fiel,
Quand la Vengeance bat son infernal rappel,
Et de nos facultés se fait le capitaine ?
Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine ?

Ange plein de santé, connaissez-vous les Fièvres,
Qui, le long des grands murs de l'hospice blafard,
Comme des exilés, s'en vont d'un pied traînard,
Cherchant le soleil rare et remuant les lèvres ?
Ange plein de santé, connaissez-vous les Fièvres ?

Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides,
Et la peur de vieillir, et ce hideux tourment
De lire la secrète horreur du dévouement
Dans des yeux où longtemps burent nos yeux avides ?
Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides ?

Ange plein de bonheur, de joie et de lumières,
David mourant aurait demandé la santé
Aux émanations de ton corps enchanté ;
Mais de toi je n'implore, ange, que tes prières,
Ange plein de bonheur, de joie et de lumières !
Chris Thomas Sep 2016
Dried sorrow on a ***** cheek
What a waste of discretion
Rappel down to the depths of my forgiveness
Twisted ankles, a sorry first impression

Paranoia's alive in paradise
What a waste of such beautiful static
Silence the voices and you'll have your silence
But isn't the screaming just as tragic?
Neon Robinson Oct 2022
Belay my soul to an island.

I'll leave a note in a bottle
Tied to the end of the rope
At the bottom of the collapsed
magma chamber.

Approach the overhang
rappel


  stalactites and stalagmites
TheBlackPen121 Jun 2019
They paint her black and cast her down, cutting deep wounds with their evil tongue. She who is painted black has the brightest light and the spirit of a lioness with the courage to fight. They are the flesh of her flesh and blood of her blood, yet they discard her as a stranger only remembering her in times of need and in times of danger. Nevertheless, she claims them as her own and I will live to see them bow to her cause she owns the throne. Life is a cycle of good and bad, some of those things you have to leave to god. They paint her black but her heart is gold she has endless love in that golden ore.

Done by:KCG
Rappel :Un enfant qui vit milieu tolérant  apprend la compréhension
A Raymond de La Tailhède


Le soldat qui sait bien et veut bien son métier

Sera l'homme qu'il faut au Devoir inflexible :

Le Devoir, qu'il combatte ou qu'il tire à la cible,

Qu'il s'essore à la mort ou batte un plat sentier ;


Le Devoir, qu'il subisse (et l'aime !) un ordre altier

Ou repousse le bas conseil de tel horrible

Dégoût ; le Devoir bon, le Devoir dur, le crible

Où restent les défauts de l'homme tout entier ;


Le Devoir saint, la fière et douce Obéissance,

Rappel de la Famille en dépit de la France

Actuelle, au mépris de cette France-là !


Famille, foyer, France antique et l'immortelle,

Le Devoir seul devoir, le Soldat qu'appela

D'avance cette France : or l'Espérance est telle.
avery Aug 2022
Straws cut up for a unique taste
Hard water at 12:30
Cold soup, spilled
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Mini cans of Dr. Pepper
Rugs on the balcony
With the bikes
Two candles four wicks
Wishes of rappel
Down the side
Running without shortness of breath
Gump style denial
Cross country healing

— The End —