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I was part of the crew of a Sloop-of-War
That had sailed in the Caribbean,
We were caught asleep in the port one night
By the crew of a Brigantine.
They loosed a broadside, seven guns
As the Skull and the Bones flew high,
And I was dragged to the pirate ship
Where they said, ‘You’ll serve, or die!’

There wasn’t a choice to be had back then,
So I climbed aloft on the mast,
Setting the rig of the fore topsail
And making the halyards fast,
They made me stay in the Crows Nest then
To be swept by the wind and rain,
With only a couple of tots of ***
To deal with my aches, and pain.

I kept lookout on the pirate brig
For His Majesty’s ships, and land,
They knew we wouldn’t stand much of a chance
As a Privateer Brigand,
We sought to shelter within a cove
In an island, not on a chart,
And rowed ashore in a longboat there
With the bosun, Jacob Harte.

Captain Keague had stayed on the ship
With the bloodiest of his crew,
The rest of us had been pressed to sea
To do what we had to do.
We filled our barrels with water from
A rill that flowed from the hill,
And gathered fruit that we’d never seen
From trees with an earthy feel.

The trees had tendrils that waved about,
And trunks that were black and charred,
Just like a fire had raged there once
And left them, battle-scarred.
A voice rang out in a clearing there,
‘Hey mates, head back to the sea,
Don’t let the tendrils fasten on you
Or you’ll all end up like me.’

And deep in the trunk was a human face
With its skin all burnt and black,
The pain was etched on his weathered skin,
‘Look out, these trees attack!
We tried to burn them away, but they
Caught every one of the crew,
That fruit you carry is poison, mates,
They’ll be the end of you!’

The tendrils whipped and the tendrils slashed
And they wrapped round Jacob Harte,
He hadn’t much time to scream before
They seemed to tear him apart,
And each of the crew was tangled there,
Was absorbed into a tree,
I made it back to the beach that day
Though I’m anything but free.

The roots of the trees had reached on out
To the Brigantine in the bay,
Curled like manacles round its decks
And torn its masts away,
They dragged it up on the sandy beach
And they crushed it to a shell,
Caught the crew in their tendrils too
And Captain Keague as well.

I’ll put this note in a bottle, send it
Floating off in the sea,
Hoping that someone picks it up,
It’s the last you’ll hear from me.
Don’t let them seed in the world out there
These tendril trees are cursed,
And keep this Island from off the map,
If not, I fear the worst!

David Lewis Paget
I.

Canaris ! Canaris ! pleure ! cent vingt vaisseaux !
Pleure ! Une flotte entière ! - Où donc, démon des eaux,
Où donc était ta main hardie ?
Se peut-il que sans toi l'ottoman succombât ?
Pleure ! comme Crillon exilé d'un combat,
Tu manquais à cet incendie !

Jusqu'ici, quand parfois la vague de tes mers
Soudain s'ensanglantait, comme un lac des enfers,
D'une lueur large et profonde,
Si quelque lourd navire éclatait à nos yeux
Couronné tout à coup d'une aigrette de feux,
Comme un volcan s'ouvrant dans l'onde ;

Si la lame roulait turbans, sabres courbés,
Voiles, tentes, croissants des mâts rompus tombés,
Vestiges de flotte et d'armée,
Pelisses de vizirs, sayons de matelots,
Rebuts stigmatisés de la flamme et des flots,
Blancs d'écume et noirs de fumée ;

Si partait de ces mers d'Egine ou d'Iolchos
Un bruit d'explosion, tonnant dans mille échos
Et roulant au **** dans l'espace,
L'Europe se tournait vers le rougo Orient ;
Et, sur la poupe assis, le nocher souriant
Disait : - C'est Canaris qui passe !

Jusqu'ici quand brûlaient au sein des flots fumants
Les capitans-pachas avec leurs armements,
Leur flotte dans l'ombre engourdie,
On te reconnaissait à ce terrible jeu ;
Ton brûlot expliquant tous ces vaisseaux en feu ;
Ta torche éclairait l'incendie !

Mais pleure aujourd'hui, pleure, on s'est battu sans toi !
Pourquoi, sans Canaris, sur ces flottes, pourquoi
Porter la guerre et ses tempêtes ?
Du Dieu qui garde Hellé n'est-il plus le bras droit ?
On aurait dû l'attendre ! Et n'est-il pas de droit
Convive de toutes ces fêtes ?

II.

Console-toi ! la Grèce est libre.
Entre les bourreaux, les mourants,
L'Europe a remis l'équilibre ;
Console-toi ! plus de tyrans !
La France combat : le sort change.
Souffre que sa main qui vous venge
Du moins te dérobe en échange
Une feuille de ton laurier.
Grèces de Byron et d'Homère,
Toi, notre sœur, toi, notre mère,
Chantez ! si votre voix amère
Ne s'est pas éteinte à crier.

Pauvre Grèce, qu'elle était belle,
Pour être couchée au tombeau !
Chaque vizir de la rebelle
S'arrachait un sacré lambeau.
Où la fable mit ses ménades,
Où l'amour eut ses sérénades,
Grondaient les sombres canonnades
Sapant les temps du vrai Dieu ;
Le ciel de cette terre aimée
N'avait, sous sa voûte embaumée,
De nuages que la fumée
De toutes ses villes en feu.

Voilà six ans qu'ils l'ont choisie !
Six ans qu'on voyait accourir
L'Afrique au secours de l'Asie
Contre un peuple instruit à mourir.
Ibrahim, que rien ne modère,
Vole de l'Isthme au Belvédère,
Comme un faucon qui n'a plus d'aire,
Comme un loup qui règne au bercail ;
Il court où le butin le tente,
Et lorsqu'il retourne à sa tente,
Chaque fois sa main dégouttante
Jette des têtes au sérail !

III.

Enfin ! - C'est Navarin, la ville aux maisons peintes,
La ville aux dômes d'or, la blanche Navarin,
Sur la colline assise entre les térébinthes,
Qui prête son beau golfe aux ardentes étreintes
De deux flottes heurtant leurs carènes d'airain.

Les voilà toutes deux ! - La mer en est chargée,
Prête à noyer leurs feux, prête à boire leur sang.
Chacune par son dieu semble au combat rangée ;
L'une s'étend en croix sur les flots allongée,
L'autre ouvre ses bras lourds et se courbe en croissant.

Ici, l'Europe : enfin ! l'Europe qu'on déchaîne,
Avec ses grands vaisseaux voguant comme des tours.
Là, l'Egypte des Turcs, cette Asie africaine,
Ces vivaces forbans, mal tués par Duquesne,
Qui mit en vain le pied sur ces nids de vautours.

IV.

Ecoutez ! - Le canon gronde.
Il est temps qu'on lui réponde.
Le patient est le fort.
Eclatent donc les bordées !
Sur ces nefs intimidées,
Frégates, jetez la mort !
Et qu'au souffle de vos bouches
Fondent ces vaisseaux farouches,
Broyés aux rochers du port !

La bataille enfin s'allume.
Tout à la fois tonne et fume.
La mort vole où nous frappons.
Là, tout brûle pêle-mêle.
Ici, court le brûlot frêle
Qui jette aux mâts ses crampons
Et, comme un chacal dévore
L'éléphant qui lutte encore,
Ronge un navire à trois ponts.

- L'abordage ! l'abordage ! -
On se suspend au cordage,
On s'élance des haubans.
La poupe heurte la proue.
La mêlée a dans sa roue
Rameurs courbés sur leurs bancs
Fantassins cherchant la terre,
L'épée et le cimeterre,
Les casques et les turbans.

La vergue aux vergues s'attache ;
La torche insulte à la hache ;
Tout s'attaque en même temps.
Sur l'abîme la mort nage.
Epouvantable carnage !
Champs de bataille flottants
Qui, battus de cent volées,
S'écroulent sous les mêlées,
Avec tous les combattants.

V.

Lutte horrible ! Ah ! quand l'homme, à l'étroit sur la terre,
Jusque sur l'Océan précipite la guerre,
Le sol tremble sous lui, tandis qu'il se débat.
La mer, la grande mer joue avec ses batailles.
Vainqueurs, vaincus, à tous elle ouvre ses entrailles.
Le naufrage éteint le combat.

Ô spectacle ! Tandis que l'Afrique grondante
Bat nos puissants vaisseaux de sa flotte imprudente,
Qu'elle épuise à leurs flancs sa rage et ses efforts,
Chacun d'eux, géant fier, sur ces hordes bruyantes,
Ouvrant à temps égaux ses gueules foudroyantes,
***** tranquillement la mort de tous ses bords.

Tout s'embrase : voyez ! l'eau de centre est semée,
Le vent aux mâts en flamme arrache la fumée,
Le feu sur les tillacs s'abat en ponts mouvants.
Déjà brûlent les nefs ; déjà, sourde et profonde,
La flamme en leurs flancs noirs ouvre un passage à l'onde ;
Déjà, sur les ailes des vents,

L'incendie, attaquant la frégate amirale,
Déroule autour des mâts sont ardente spirale,
Prend les marins hurlants dans ses brûlants réseaux,
Couronne de ses jets la poupe inabordable,
Triomphe, et jette au **** un reflet formidable
Qui tremble, élargissant ses cercles sur les eaux.

VI.

Où sont, enfants du Caire,
Ces flottes qui naguère
Emportaient à la guerre
Leurs mille matelots ?
Ces voiles, où sont-elles,
Qu'armaient les infidèles,
Et qui prêtaient leurs ailes
A l'ongle des brûlots ?

Où sont tes mille antennes,
Et tes hunes hautaines,
Et tes fiers capitaines,
Armada du sultan ?
Ta ruine commence,
Toi qui, dans ta démence,
Battais les mers, immense
Comme Léviathan !

Le capitan qui tremble
Voit éclater ensemble
Ces chébecs que rassemble
Alger ou Tetuan.
Le feu vengeur embrasse
Son vaisseau dont la masse
Soulève, quand il passe,
Le fond de l'Océan.

Sur les mers irritées,
Dérivent, démâtées,
Nefs par les nefs heurtées,
Yachts aux mille couleurs,
Galères capitanes,
Caïques et tartanes
Qui portaient aux sultanes
Des têtes et des fleurs.

Adieu, sloops intrépides,
Adieu, jonques rapides,
Qui sur les eaux limpides
Berçaient les icoglans !
Adieu la goëlette
Dont la vague reflète
Le flamboyant squelette,
Noir dans les feux sanglants !

Adieu la barcarolle
Dont l'humble banderole
Autour des vaisseaux vole,
Et qui, peureuse, fuit,
Quand du souffle des brises
Les frégates surprises,
Gonflant leurs voiles grises,
Déferlent à grand bruit !

Adieu la caravelle
Qu'une voile nouvelle
Aux yeux de **** révèle ;
Adieu le dogre ailé,
Le brick dont les amures
Rendent de sourds murmures,
Comme un amas d'armures
Par le vent ébranlé !

Adieu la brigantine,
Dont la voile latine
Du flot qui se mutine
Fend les vallons amers !
Adieu la balancelle
Qui sur l'onde chancelle,
Et, comme une étincelle,
Luit sur l'azur des mers !

Adieu lougres difformes,
Galéaces énormes,
Vaisseaux de toutes formes,
Vaisseaux de tous climats,
L'yole aux triples flammes,
Les mahonnes, les prames,
La felouque à six rames,
La polacre à deux mâts !

Chaloupe canonnières !
Et lanches marinières
Où flottaient les bannières
Du pacha souverain !
Bombardes que la houle,
Sur son front qui s'écroule,
Soulève, emporte et roule
Avec un bruit d'airain !

Adieu, ces nefs bizarres,
Caraques et gabarres,
Qui de leurs cris barbares
Troublaient Chypre et Délos !
Que sont donc devenues
Ces flottes trop connues ?
La mer les jette aux nues,
Le ciel les rend aux flots !

VII.

Silence ! Tout est fait. Tout retombe à l'abîme.
L'écume des hauts mâts a recouvert la cime.
Des vaisseaux du sultan les flots se sont joués.
Quelques-uns, bricks rompus, prames désemparées,
Comme l'algue des eaux qu'apportent les marées,
Sur la grève noircie expirent échoués.

Ah ! c'est une victoire ! - Oui, l'Afrique défaite,
Le vrai Dieu sous ses pieds foulant le faux prophète,
Les tyrans, les bourreaux criant grâce à leur tour,
Ceux qui meurent enfin sauvés par ceux qui règnent,
Hellé lavant ses flancs qui saignent,
Et six ans vengés dans un jour !

Depuis assez longtemps les peuples disaient : « Grèce !
Grèce ! Grèce ! tu meurs. Pauvre peuple en détresse,
A l'horizon en feu chaque jour tu décroîs.
En vain, pour te sauver, patrie illustre et chère,
Nous réveillons le prêtre endormi dans sa chaire,
En vain nous mendions une armée à nos rois.

« Mais les rois restent sourds, les chaires sont muettes.
Ton nom n'échauffe ici que des cœurs de poètes.
A la gloire, à la vie on demande tes droits.
A la croix grecque, Hellé, ta valeur se confie.
C'est un peuple qu'on crucifie !
Qu'importe, hélas ! sur quelle croix !

« Tes dieux s'en vont aussi. Parthénon, Propylées,
Murs de Grèce, ossements des villes mutilées,
Vous devenez une arme aux mains des mécréants.
Pour battre ses vaisseaux du haut des Dardanelles,
Chacun de vos débris, ruines solennelles,
Donne un boulet de marbre à leurs canons géants ! »

Qu'on change cette plainte en joyeuse fanfare !
Une rumeur surgit de l'Isthme jusqu'au Phare.
Regardez ce ciel noir plus beau qu'un ciel serein.
Le vieux colosse turc sur l'Orient retombe,
La Grèce est libre, et dans la tombe
Byron applaudit Navarin.

Salut donc, Albion, vieille reine des ondes !
Salut, aigle des czars qui planes sur deux mondes !
Gloire à nos fleurs de lys, dont l'éclat est si beau !
L'Angleterre aujourd'hui reconnaît sa rivale.
Navarin la lui rend. Notre gloire navale
A cet embrasement rallume son flambeau.

Je te retrouve, Autriche ! - Oui, la voilà, c'est elle !
Non pas ici, mais là, - dans la flotte infidèle.
Parmi les rangs chrétiens en vain on te cherchera.
Nous surprenons, honteuse et la tête penchée,
Ton aigle au double front cachée
Sous les crinières d'un pacha !

C'est bien ta place, Autriche ! - On te voyait naguère
Briller près d'Ibrahim, ce Tamerlan vulgaire ;
Tu dépouillais les morts qu'il foulait en passant ;
Tu l'admirais, mêlée aux eunuques serviles
Promenant au hasard sa torche dans les villes,
Horrible et n'éteignant le feu qu'avec du sang.

Tu préférais ces feux aux clartés de l'aurore.
Aujourd'hui qu'à leur tour la flamme enfin dévore
Ses noirs vaisseaux, vomis des ports égyptiens,
Rouvre les yeux, regarde, Autriche abâtardie !
Que dis-tu de cet incendie ?
Est-il aussi beau que les siens ?

Le 23 novembre 1827.
DracoTalpus Mar 2018
Phileas Fogg,
On a brigantine sledge,
Braved the Omaha wind
As it twirled.
So, Jules Verne might say
That a full eighty days
Is plenty to travel the world.

Amelia Earhart
Crossed the sea –
The quickliest feat
…For a girl –
In twelve hundred forty
Short minutes, you know:
Others failed, but gave it a whirl.

Rosemary Doyle,
Our wonderful mum,
Exceeded these
Feats of grand scale!
She has crossed oceans faster,
Breezed over Great Plains,
And – without perspiration – prevailed!

Carefully, casually,
She raised five kids:
‘Neath our burden
She never collapsed.
Loving and giving
Us lives we are living.
Have there – really – eight decades elapsed?

Octogenarian?
Silliest word:
It sounds like
A sea creature’s vet,
But if you want true fun,
Then just orbit the sun
Eighty times, like our mom:  It’s no sweat!


© 2Mar2018 DracoTalpus
For Rosemary N. Doyle
On the occasion of her 80th birthday
I love you, Mom.  Thank you for creating me.  Thank you for including me in your family.  Thank you for loving me right back!  <3  :D
A W Bullen Jul 2017
Saw you descending from Alpha Centauri
Coming in weightless on Geminid halos
an ice bow of swan cry, indelicate nova,
a meandering circus of flame .

Your numinous vision run glossy with travel
surrendering spells of chaotic design
to palace the valiant
light years with presence,
your brigantine embers return.
Derrek Estrella Oct 2018
Willow
Like a stark, marmalade tree
Carry your grasp to me
Your bedside river, warm and soft
Leading to a loft

Willow
The green blinds in the room
Paint a path for the sun monsoon
And here, the world fits inside a frame
Holds you and a cherry lane

Blankets under our heads
I’ll paint what time has seen
The clock has fled
To entropy

Willow
Keep me in your eye

The sky will quake
The neighbours rake
And I, in your wake

The chariot men will have lost
When the world is frost, I’ll be under you

Willow
The arch of an ancient tower
The bells of a dawning hour
I wrote it in my sleep
Hoping it all seeps

Willow
We’ll grow old with our brigantine
On planetary seams
Morning, diurnal moon
Don’t wake too soon

Trinkets over our eyes
A screen of sateen
The past speaks loud
With doubt

Window, open
Leaves fly through

The sun, it bends
The world extends
But I’ll find you again

Hum the words, engrain the worldsands
In the hand of time, you’ll meet me in golden lands

When the room has grown a skydome
I will leave it, knowing that you are safe at home
Trefild Nov 14
keep on crafting verses
which ain't just a means of killing time
but, lyrics-wise
also a means of whacking turkeys
and black hA̲ts I'm versus
such as hacks with lyrics rather poorly
organized, which is why they're strE̲E̲t-gang-like
and, of course, autocratic vermins
composing both unjust regimes & crime
rings; said means of whacking, fO̲r when
my stuff's hatched, I̲t seems like
the close quarters battle chO̲I̲ce pre—
—ferred among primeval tribes
of present days northwestern states
["hatchet"; North American Indians; USA & Canada]
once again, a path of wA̲r is
picked, like how you may feel after surfing
through bA̲d news, O̲r when
you indulge in consumption
of content re injustice, corruption
["piqued"]
ju[ɪ]st like the weapon O̲f the Reaper
I've gO̲t a grim side
["scythe"]
and, like a cross gal-beater
'bout to blow off his ******* steam by
laying his meat hooks O̲n a chica
done no wrong to him, my
plan of attack is horrid; hope you o[ɑ]pps have **** hearses
plus caskets ordered
for yourselves; a nutbA̲g with swO̲rd dex—
—terity; dozen slashing strikes A̲t a tO̲rse, which
like a lush lass performing
in front of you a **[ɑ]t lA̲p dance, serves as
stimulation; then I hA̲ck off fO̲relimbs
and as a final blow
I get my target's gO̲rge slit
many would likely ca[ɔ]ll
such scene "bloodbath", but that's absurdish
for, in the scene, there's o[ɑ]bvi no
******* tub A̲s a storage
for spilled blood; it reminds me mo'
of a blood fountain (view-wise)
an assassin thirsty for blood's back to murking
————————————————————————————————
you know, knowledge & thou[ɑ]ghts about things
being either unjust, such as crim. rings
or unrighteous regimes, or O̲nes causing de[ɪ]s—
—pondence, regardless if I̲t's
something from the past or stuff that exists
in the present, are like a disease
that's why it's said unkno[ɑ]wledge is bliss
[to be more precise, "ignorance is bliss"]
that's why sO̲metimes you wish
your mI̲nd were at peace, like sO̲meone deceased
or you were in a better place
like a country scene wI̲th autumnal sU̲n-illumed trees, but...
————————————————————————————————
like an eye-catching gI̲rl with
an untactful shO̲rt rig
pU̲t on (like that war-monge[—]ring sh#tbag)
(that personifies a corruptive impact)
(of power) & acting *****
in front of an unattached het bO̲y, this
**** autocratic wO̲rld's ju[ɪ]st
****** asking for it (aaargh!)
while you already've got a tragic pE̲rs. en—
—vironment, which, alongsI̲de of the sh#t
mentioned just prior, has you turning
slowly into a ******* madman bursting
with flipping steam (loco)
excuse me if it's an indecent thing
to say, but the world of the living seems
like a giga[ɛ]ntic dumpsite (gigantic dumpsite)
for it's full of pieces of trash deserving
to be eliminated; that's why
you sometimes wish you were a master termi—
—nator serving as a real embo[ɑ]dier
of retribution, like Red Hood, Punisher
besides, as it's been mentioned prior ta
this, there's anger occurring I̲n you O̲nce in a
while, which itself isn't mU̲ch of a
scourge, unlike ex-hitmen compelled to cO̲me back ta
a path of spilling blO̲O̲d, but, a—
—kin to a cellar with a bU̲nch of au[ɑ]—
—thoritarian-regime-or-mafia-
-linked ******, some drU̲ms of a—
—lcohol, & a ca[ɛ]ndle lustre o[ɑ]—
—ccupying a somewhat evil mI̲nd of a
vengeful sO̲n of a
gun, it's a somewhat combustible story
["storey"]
when you've got not up to ***** sources
of blowing off steam
————————————————————————————————
atrocious, obscene
in self-expression, but it's just a reflection of this
corrupt world that I've been
influenced by; while the boat that I'm in
is a far cry from a floating posh inn
["by floating posh inn", I mean "cruise liner"]
more like an old brigantine
with nigh-on nO̲body bei[—]ng
on board; but even
sinking lO̲w when I scheme
my bars, I'm sti̲ll on
a morally higher ground than those rO̲gues I'm agin
like the Ledger's Joker, I deem
this world deserves a better category of crims
than gangsters & ******* ******* for im—
—proper, self-assertive regimes; a bO̲ld breed of in—
—dividuals who'd be disposing of prin—
—ciple-lacking sods blindfolded by ching
and power, like thO̲se I've just in—
—dicated; you may get your f#ck finger
and your pointer organized, sim. ta
a **** mo[ɑ]b, I̲nto the V sign if ya
know who I mean
[9 letters, the 1st one is "v", the last one is "e"]
"a wicked rhymefall" by TREF1LD (TRFLD) is licensed under CC BY-NC-SA 4.0 (to view a copy of this license, visit creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/4.0)

— The End —