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Mateuš Conrad Nov 2015
well, you never swipe across to get a smilie and a
equator all at the same time, do you?
unless you’re chiseling the hunger
for a sir lancelot affection in
ordinance affirmed in cataract contrast:
usurper of the empire neglected,
by hanging ha ha!
also termed hong kong... labour government victory
was the preferred choice in terms of what
the queen would have ate had she ate charles i’s head first;
hey... we’re being invocative of the victorian gentleman
being the necessity of attire in what’s defined as asia
content to be europe given england be iceland...
and europe be content with northern africa as sanded plateau:
if england take ben nevis to errupt in hawaii,
and call it the utmost height of clustering & suffocation;
i'll call something else something else, and not
chanel la manche, the english cufflink, rather than sleeve attaché ruban:
oi v. ode of pauper's elephant trombone impression in #a
of the carving of celestial globes alongside orbits
into the pythagorean universe: triangularly stanced exempt.
brianna of space May 2017
Elle est une Mancha.
Comme la manche, elle a l’entraînement,
La determination.
Une grande étendue d’eau
Qui va rapidement.
Elle est très forte, mais
Elle va dans une direction,
Sans cesse,
Sans s’arrêter,
Et quand elle retrouve l’océan
Elle cesse d’exister
Dans la grande étendue d’eau
Qui est plus forte qu’elle.
She is a Mancha.
Like the Channel, she has training,
Determination.
A large body of water
That moves quickly.
She is very strong, but
She goes in one direction
Without ceasing,
Without stopping,
And when she meets the ocean
She ceases to exist
In the large expanse of water
That is stronger than her.

(Apologies if the French is incorrect, it is not my first language!)
Puede una gota de lodo
sobre un diamante caer;
puede también de este modo
su fulgor oscurecer;
pero aunque el diamante todo
se encuentre de fango lleno,
el valor que lo hace bueno
no perderá ni un instante,
y ha de ser siempre diamante
por más que lo manche el cieno.
Edna Sweetlove Dec 2014
A lovely Barry Hodges poem

People think that Calais is just a charming port on the flat French coast
Replete with exquisite restaurants patronised by English visitors
Who have crossed the Channel to get a decent meal for once,
And who want to take advantage of the wondrous *savoire vivre francais
,
Even though they will get wittily insulted for their English accents.
There is more: the town has some of the finest late 40s architecture
To be found anywhere in the western world, spontaneously thrown up
After la ville ancienne was 95% flattened by the gallant but clumsy Brits
In what is still patriotically referred to as "La Libération".
But there is yet more to this gourmands' and cheap ***** buyers' mecca:
Believe me, I know, I have suffered a grievous and terrible loss there
When I blundered into a cheese shop on the Rue Royale one summer's day.

My companion that day was my dear fifth wife,  Winifred
(a four foot high but stoutly built ***** with a major speech impediment),
And, being attracted from five streets away to Maison Le Merde,
The world-famous fromagerie, by its unearthly overpowering pong,
My dear one, my lovely ****** spouse, dragged me through the door.
Choking back a desire to gag, she started stammering away to M. Le Merde,
Trying to order a couple of hundred grams of Carré de Mort Absolue,
When Mr L.M lost his rag totally and assumed wifey was trying to mock him
(How could one have known Monsieur was the French stuttering champion?)
And so he took out the cleaver he habitually kept behind the counter
To deter English tourists from stealing his cheesy comestibles,
And severed Winny's darling head in a single fell coup de grace
Which left her dramatically shorter than she previously was.

I managed to escape a similar dire fate by running like the clappers
And hiding in a nice toilette publique (femmes) while he stampeded by,
His mighty chopper in his cheese-impregnated Gallic paw.
And when I reported the matter to the gendarmerie, were they sympa?
They were no more helpful than seins sur un taureau fou
And insisted I should pay for the funeral there and then in advance,
Threatening me with a real good thumping dans mes **** should I decline.
Dear God, I shall have to use a different entry port to France next time
(although sur le grapevine I hear Boulogne is a bit of a dump),
But at least there aren't so many ******* would-be refugees.
Mateuš Conrad Mar 2016
well, we were losers once,
but while the ferry from
calias to dover,
took two hours,
thanks to social media
we became instant, instants
of two hours shortened;
via pints of guinness at 5am;
falco only makes senses with films
like amadeus, rather than songs like
bloodhound gang's mope;
cheap **** cha cha cha:
            ooh lollipop oops later, oh:
spy snuggle me a double d pillows for a yawn
  with lactose tax and **** and differentiate sugars
homie - ganged up with crew of limp colts.
Fehler gibt es immer wieder,
Manchmal wenig manchmal viele
Manchmal große manchmal kleine
Mit Konsequenzen oder keine

manche werden schnell vergessen
während andere stattdessen
sich tief in deinen Kopf einbrenn´
und nie vergessen werden könn´.

und wenn man so ein ‘Fehler mal begeht
und erst im Nachhinein versteht
was für Folgen dieser hat.
gibt’s mehr als eine schlaflose Nacht.
Und man sich nur noch fragen kann
was wäre wenn… was wäre dann?

Doch was man tat das ist passiert
Und auch wenn man es oft probiert
Lässt sich ein Fehler nicht umkehren
Doch wird dich eines bessren lehren

Denn an der Zeit kann niemand drehen
Und auch wenn ewigkeiten vergehen
Muss man aus sein´ Fehlern lernen
Und zu etwas bessrem werden

Fehler sind zum denken da
Und somit auch nicht unbrauchbar
Manche klein und manche groß
Gibt jeder dir ein denkanstoß
I.

Retournons à l'école, ô mon vieux Juvénal.
Homme d'ivoire et d'or, descends du tribunal
Où depuis deux mille ans tes vers superbes tonnent.
Il paraît, vois-tu bien, ces choses nous étonnent,
Mais c'est la vérité selon monsieur Riancey,
Que lorsqu'un peu de temps sur le sang a passé,
Après un an ou deux, c'est une découverte,
Quoi qu'en disent les morts avec leur bouche verte,
Le meurtre n'est plus meurtre et le vol n'est plus vol.
Monsieur Veuillot, qui tient d'Ignace et d'Auriol,
Nous l'affirme, quand l'heure a tourné sur l'horloge,
De notre entendement ceci fait peu l'éloge,
Pourvu qu'à Notre-Dame on brûle de l'encens
Et que l'abonné vienne aux journaux bien pensants,
Il paraît que, sortant de son hideux suaire,
Joyeux, en panthéon changeant son ossuaire,
Dans l'opération par monsieur Fould aidé,
Par les juges lavé, par les filles fardé,
Ô miracle ! entouré de croyants et d'apôtres,
En dépit des rêveurs, en dépit de nous autres
Noirs poètes bourrus qui n'y comprenons rien,
Le mal prend tout à coup la figure du bien.

II.

Il est l'appui de l'ordre ; il est bon catholique
Il signe hardiment - prospérité publique.
La trahison s'habille en général français
L'archevêque ébloui bénit le dieu Succès
C'était crime jeudi, mais c'est haut fait dimanche.
Du pourpoint Probité l'on retourne la manche.
Tout est dit. La vertu tombe dans l'arriéré.
L'honneur est un vieux fou dans sa cave muré.
Ô grand penseur de bronze, en nos dures cervelles
Faisons entrer un peu ces morales nouvelles,
Lorsque sur la Grand'Combe ou sur le blanc de zinc
On a revendu vingt ce qu'on a payé cinq,
Sache qu'un guet-apens par où nous triomphâmes
Est juste, honnête et bon. Tout au rebours des femmes,
Sache qu'en vieillissant le crime devient beau.
Il plane cygne après s'être envolé corbeau.
Oui, tout cadavre utile exhale une odeur d'ambre.
Que vient-on nous parler d'un crime de décembre
Quand nous sommes en juin ! l'herbe a poussé dessus.
Toute la question, la voici : fils, tissus,
Cotons et sucres bruts prospèrent ; le temps passe.
Le parjure difforme et la trahison basse
En avançant en âge ont la propriété
De perdre leur bassesse et leur difformité
Et l'assassinat louche et tout souillé de lange
Change son front de spectre en un visage d'ange.

III.

Et comme en même temps, dans ce travail normal,
La vertu devient faute et le bien devient mal,
Apprends que, quand Saturne a soufflé sur leur rôle,
Néron est un sauveur et Spartacus un drôle.
La raison obstinée a beau faire du bruit ;
La justice, ombre pâle, a beau, dans notre nuit,
Murmurer comme un souffle à toutes les oreilles ;
On laisse dans leur coin bougonner ces deux vieilles.
Narcisse gazetier lapide Scévola.
Accoutumons nos yeux à ces lumières-là
Qui font qu'on aperçoit tout sous un nouvel angle,
Et qu'on voit Malesherbe en regardant Delangle.
Sachons dire : Lebœuf est grand, Persil est beau
Et laissons la pudeur au fond du lavabo.

IV.

Le bon, le sûr, le vrai, c'est l'or dans notre caisse.
L'homme est extravagant qui, lorsque tout s'affaisse,
Proteste seul debout dans une nation,
Et porte à bras tendu son indignation.
Que diable ! il faut pourtant vivre de l'air des rues,
Et ne pas s'entêter aux choses disparues.
Quoi ! tout meurt ici-bas, l'aigle comme le ver,
Le charançon périt sous la neige l'hiver,
Quoi ! le Pont-Neuf fléchit lorsque les eaux sont grosses,
Quoi ! mon coude est troué, quoi ! je perce mes chausses,
Quoi ! mon feutre était neuf et s'est usé depuis,
Et la vérité, maître, aurait, dans son vieux puits,
Cette prétention rare d'être éternelle !
De ne pas se mouiller quand il pleut, d'être belle
À jamais, d'être reine en n'ayant pas le sou,
Et de ne pas mourir quand on lui tord le cou !
Allons donc ! Citoyens, c'est au fait qu'il faut croire.

V.

Sur ce, les charlatans prêchent leur auditoire
D'idiots, de mouchards, de grecs, de philistins,
Et de gens pleins d'esprit détroussant les crétins
La Bourse rit ; la hausse offre aux badauds ses prismes ;
La douce hypocrisie éclate en aphorismes ;
C'est bien, nous gagnons gros et nous sommes contents
Et ce sont, Juvénal, les maximes du temps.
Quelque sous-diacre, éclos dans je ne sais quel bouge,
Trouva ces vérités en balayant Montrouge,
Si bien qu'aujourd'hui fiers et rois des temps nouveaux,
Messieurs les aigrefins et messieurs les dévots
Déclarent, s'éclairant aux lueurs de leur cierge,
Jeanne d'Arc courtisane et Messaline vierge.

Voilà ce que curés, évêques, talapoins,
Au nom du Dieu vivant, démontrent en trois points,
Et ce que le filou qui fouille dans ma poche
Prouve par A plus B, par Argout plus Baroche.

VI.

Maître ! voilà-t-il pas de quoi nous indigner ?
À quoi bon s'exclamer ? à quoi bon trépigner ?
Nous avons l'habitude, en songeurs que nous sommes,
De contempler les nains bien moins que les grands hommes
Même toi satirique, et moi tribun amer,
Nous regardons en haut, le bourgeois dit : en l'air ;
C'est notre infirmité. Nous fuyons la rencontre
Des sots et des méchants. Quand le Dombidau montre
Son crâne et que le Fould avance son menton,
J'aime mieux Jacques Coeur, tu préfères Caton
La gloire des héros, des sages que Dieu crée,
Est notre vision éternelle et sacrée ;
Eblouis, l'œil noyé des clartés de l'azur,
Nous passons notre vie à voir dans l'éther pur
Resplendir les géants, penseurs ou capitaines
Nous regardons, au bruit des fanfares lointaines,
Au-dessus de ce monde où l'ombre règne encor,
Mêlant dans les rayons leurs vagues poitrails d'or,
Une foule de chars voler dans les nuées.
Aussi l'essaim des gueux et des prostituées,
Quand il se heurte à nous, blesse nos yeux pensifs.
Soit. Mais réfléchissons. Soyons moins exclusifs.
Je hais les cœurs abjects, et toi, tu t'en défies ;
Mais laissons-les en paix dans leurs philosophies.

VII.

Et puis, même en dehors de tout ceci, vraiment,
Peut-on blâmer l'instinct et le tempérament ?
Ne doit-on pas se faire aux natures des êtres ?
La fange a ses amants et l'ordure a ses prêtres ;
De la cité bourbier le vice est citoyen ;
Où l'un se trouve mal, l'autre se trouve bien ;
J'en atteste Minos et j'en fais juge Eaque,
Le paradis du porc, n'est-ce pas le cloaque ?
Voyons, en quoi, réponds, génie âpre et subtil,
Cela nous touche-t-il et nous regarde-t-il,
Quand l'homme du serment dans le meurtre patauge,
Quand monsieur Beauharnais fait du pouvoir une auge,
Si quelque évêque arrive et chante alleluia,
Si Saint-Arnaud bénit la main qui le paya,
Si tel ou tel bourgeois le célèbre et le loue,
S'il est des estomacs qui digèrent la boue ?
Quoi ! quand la France tremble au vent des trahisons,
Stupéfaits et naïfs, nous nous ébahissons
Si Parieu vient manger des glands sous ce grand chêne !
Nous trouvons surprenant que l'eau coule à la Seine,
Nous trouvons merveilleux que Troplong soit Scapin,
Nous trouvons inouï que Dupin soit Dupin !

VIII.

Un vieux penchant humain mène à la turpitude.
L'opprobre est un logis, un centre, une habitude,
Un toit, un oreiller, un lit tiède et charmant,
Un bon manteau bien ample où l'on est chaudement.
L'opprobre est le milieu respirable aux immondes.
Quoi ! nous nous étonnons d'ouïr dans les deux mondes
Les dupes faisant chœur avec les chenapans,
Les gredins, les niais vanter ce guet-apens !
Mais ce sont là les lois de la mère nature.
C'est de l'antique instinct l'éternelle aventure.
Par le point qui séduit ses appétits flattés
Chaque bête se plaît aux monstruosités.
Quoi ! ce crime est hideux ! quoi ! ce crime est stupide !
N'est-il plus d'animaux pour l'admirer ? Le vide
S'est-il fait ? N'est-il plus d'êtres vils et rampants ?
N'est-il plus de chacals ? n'est-il plus de serpents ?
Quoi ! les baudets ont-ils pris tout à coup des ailes,
Et se sont-ils enfuis aux voûtes éternelles ?
De la création l'âne a-t-il disparu ?
Quand Cyrus, Annibal, César, montaient à cru
Cet effrayant cheval qu'on appelle la gloire,
Quand, ailés, effarés de joie et de victoire,
Ils passaient flamboyants au fond des cieux vermeils,
Les aigles leur craient : vous êtes nos pareils !
Les aigles leur criaient : vous portez le tonnerre !
Aujourd'hui les hiboux acclament Lacenaire.
Eh bien ! je trouve bon que cela soit ainsi.
J'applaudis les hiboux et je leur dis : merci.
La sottise se mêle à ce concert sinistre,
Tant mieux. Dans sa gazette, ô Juvénal, tel cuistre
Déclare, avec messieurs d'Arras et de Beauvais,
Mandrin très bon, et dit l'honnête homme mauvais,
Foule aux pieds les héros et vante les infâmes,
C'est tout simple ; et, vraiment, nous serions bonnes âmes
De nous émerveiller lorsque nous entendons
Les Veuillots aux lauriers préférer les chardons !

IX.

Donc laissons aboyer la conscience humaine
Comme un chien qui s'agite et qui tire sa chaîne.
Guerre aux justes proscrits ! gloire aux coquins fêtés !
Et faisons bonne mine à ces réalités.
Acceptons cet empire unique et véritable.
Saluons sans broncher Trestaillon connétable,
Mingrat grand aumônier, Bosco grand électeur ;
Et ne nous fâchons pas s'il advient qu'un rhéteur,
Un homme du sénat, un homme du conclave,
Un eunuque, un cagot, un sophiste, un esclave,
Esprit sauteur prenant la phrase pour tremplin,
Après avoir chanté César de grandeur plein,
Et ses perfections et ses mansuétudes,
Insulte les bannis jetés aux solitudes,
Ces brigands qu'a vaincus Tibère Amphitryon.
Vois-tu, c'est un talent de plus dans l'histrion ;
C'est de l'art de flatter le plus exquis peut-être ;
On chatouille moins bien Henri huit, le bon maître,
En louant Henri huit qu'en déchirant Morus.
Les dictateurs d'esprit, bourrés d'éloges crus,
Sont friands, dans leur gloire et dans leurs arrogances,
De ces raffinements et de ces élégances.
Poète, c'est ainsi que les despotes sont.
Le pouvoir, les honneurs sont plus doux quand ils ont
Sur l'échafaud du juste une fenêtre ouverte.
Les exilés, pleurant près de la mer déserte,
Les sages torturés, les martyrs expirants
Sont l'assaisonnement du bonheur des tyrans.
Juvénal, Juvénal, mon vieux lion classique,
Notre vin de Champagne et ton vin de Massique,
Les festins, les palais, et le luxe effréné,
L'adhésion du prêtre et l'amour de Phryné,
Les triomphes, l'orgueil, les respects, les caresses,
Toutes les voluptés et toutes les ivresses
Dont s'abreuvait Séjan, dont se gorgeait Rufin,
Sont meilleures à boire, ont un goût bien plus fin,
Si l'on n'est pas un sot à cervelle exiguë,
Dans la coupe où Socrate hier but la ciguë !

Jersey, le 5 février 1853.
Elige ¡oh, Juan! un amigo
Franco, sincero y honrado,
Que cuando estés a su lado
No extrañes no estar conmigo.
Un joven que imite a un viejo
En lo juicioso y prudente,
Que te conforte y aliente
Siempre que te dé un consejo.
Que se interese en tu bien,
Que censure tus errores,
Y en tus dichas y dolores
Se alegre y sufra también.
Que nunca te incline al mal,
Que no te engañe ni adule,
Y te aplauda o te estimule
Con desinterés igual.
No un farsante, un caballero
Por hechos, no por blasones;
Que sea en todas tus acciones,
No un cómplice, un compañero.
Que puedas darle tu mano
Sin temor de que la manche;
Un ser que el alma te ensanche
Cuando le llames hermano.
No le canse tu exigencia,
Ni tu carácter le hostigue,
Piensa bien cuánto consigue
La mutua condescendencia.
Que no ostente falsas galas,
Que no oculte la verdad,
Y sepa que la amistad
Es sólo el amor sin alas.
¡Oh mi Juan!, yo te lo digo,
Por este mundo al cruzar
Es muy difícil hallar
Este tesoro, un amigo.
Y es tan grave su elección,
Que te lo puedo decir,
Compromete al porvenir,
Compromete al corazón.
Y tanto influye en la suerte
Del necio que se descuida,
Que un buen amigo es la vida
Y un mal amigo, la muerte.
Como tu dicha es mi afán,
No busques falsos testigos,
Tus libros y tus amigos,
Preséntamelos, mi Juan.
J'adore la Mythologie,
Sa science en fleurs, sa magie,
Ses Dieux... souvent si singuliers,
Et ses Femmes surnaturelles
Qui mêlent leurs noms aux querelles
Des peuples et des écoliers.

Cachés parfois dans les nuages,
Leurs noms luisent... sur nos voyages.
J'ai vu leurs temples phéniciens ;
Et je songe, quand bat la diane,
Involontairement à Diane
Battant les bois avec ses chiens.

Tenez, Madame, je l'adore
Pour une autre raison encore :
C'est qu'elle offre à tous les amants,
Pour leur Belle entre les plus belles,
Des compliments par ribambelles
Dans d'éternels rapprochements.

Car toutes, ce sont des Déesses,
Leur inspirant mille prouesses
Dans le présent et l'avenir,
Comme dans le passé... farouche ;
Je me ferai casser la... bouche
Plutôt que n'en pas... convenir !

Mais Vous, Madame, l'Immortelle
Que vous êtes, qui donc est-elle ?
Est-ce Junon, Reine des Dieux,
À qui le plus... joyeux des Faunes,
Son homme en faisait voir de jaunes,
Étant coureur de... jolis lieux ?

Avec son beau masque de plâtre
Et sa lèvre blanche, idolâtre
D'Endymion, froid sigisbé,
Qui, dans sa clarté léthargique,
Dort au moment psychologique,
Est-ce la Déesse Phœbé ?

Foutre non !... Vous voyant si belle
Je dirais bien que c'est Cybèle,
S'il n'était de ces calembours
Qu'il faut laisser fleurir aux Halles...
Pourtant ces jeux pleins de cymbales
Égayaient Rome, et les faubourgs...

Je me hâte, est-ce Proserpine,
Reine des enfers ? quelle épine
Ce serait dans mon madrigal,
Sacré nom de Dieu !... ça vous blesse ?
Eh ! bien ! Sacré nom de Déesse !
Si vous voulez, ça m'est égal !

Je vous servirais Amphitrite
Comme on sert bien frite ou peu frite
Une friture de poissons,
Sans le : « Perfide comme l'onde »,
Car, vous avez pour tout le monde
Le cœur le plus loyal... passons.

Oui, passons ta plus belle éponge
Sur ces noms, Neptune ! eh ! j'y songe :
Pourquoi prendrais-je... trop de gants ?
À contempler votre visage
Plus doux qu'un profond paysage,
Ton galbe des plus élégants,

Vous êtes ?... Vous êtes ?... Vous êtes ?...
Je le donne en deux aux poètes,
Je le donne en trois aux sculpteurs,
Je le donne en quatre aux artistes,
En quatre ou cinq aux coloristes
De l'École des amateurs...

Puisqu'il faut que je vous le... serve,
Vous êtes Vénus, ou Minerve...
Mais laquelle, en réalité ?
Oui, la femme à qui je songe, est-ce
Minerve, ce Puits de Sagesse,
Ou Vénus, Astre de Beauté ?

Êtes-Vous puits ? Êtes-Vous Astre ?
Vous un puits ! quel affreux désastre !
Autant Te jeter dans un puits,
La plaisanterie est permise,
Sans Te retirer ta chemise,
Le temps de dire : Je Te suis.

Vous seriez la vérité fausse,
Qui tient trop à son haut-de-chausse,
Tandis que l'Astre de Beauté
C'est la Vérité qui ne voile
Pas plus la femme que l'étoile,
La véritable Vérité.

Vous êtes Vénus qui se lève
Au firmament ; mais... est-ce un rêve ?
Où ?... Je Vous vois... rougir... un peu,
Comme si je disais des choses...
Où si j'allais sans fins ni causes
Répéter : Sacré nom de Dieu !

Vous rougissez... oui, c'est le signe
Auquel on connaît si la vigne
Et si la femme sont à point :
C'est Cérès aussi qu'on vous nomme ?
Tant mieux ! Sacré nom... d'une pomme !
Pour moi je n'y contredis point.

Non ?... ce n'est pas Cérès ? bizarre !
Cependant, Madame, il est rare,
Rare... que je frappe à côté.
Quelle est donc, voyons ? par la cuisse
De Jupin ! la femme qui puisse
Ainsi rougir de sa beauté ?

Ce n'est pas Bellone ? la Guerre,
Nom de Dieu ! ça ne rougit guère...
Qu'un champ,... un fleuve... ou le terrain ;
Ce n'est pas Diane chasseresse,
Car cette bougre de Bougresse
Doit être un démon à tous crins !

Serait-ce ?... Serait-ce ?... Serait-ce ?
Minerve ? Après tout, la Sagesse
Est bien capable de rougir ;
Mais ce n'est qu'une mijaurée,
Les trois quarts du temps éplorée
Et qui tremble au moment d'agir...

Tiens ! Cependant, ce serait drôle !
Je percherais sur ton épaule,
Je me frotterais à ton cou,
Je serais votre oiseau, Madame,
J'ai les yeux ronds pleins de ta flamme
Et plus éblouis qu'un hibou...

Voilà deux heures que je cherche,
Personne ne me tend la perche :
C'est donc une énigme, cela ?
Oui... quant à moi, de guerre lasse,
Madame, je demande grâce ;
Tiens ! Grâce !... et pardieu ! la voilà !

C'est la Grâce, oui, c'est bien la Grâce,
La Grâce, ni maigre ni grasse,
Tenez, justement, comme Vous !
Vous êtes, souffrez que je beugle,
Vénus l'Astre qui nous aveugle,
Et la Grâce qui nous rend fous.

Et si quelqu'un venait me dire
Qu'elles sont trois, je veux en rire
Avec tout l'Olympe à la fois !
Celle du corps, celle de l'âme,
Et celle du cœur, oui, Madame,
Vous les avez toutes les trois.

Vous êtes Vénus naturelle,
Entraînant un peu derrière Elle
Les trois Grâces par les chemins,
Comme Vous-même toutes nues,
Dans notre Monde revenues,
Vous tenant toutes par les mains.

Vénus, née au bord de la Manche,
Pareille à l'Aphrodite blanche
Que l'onde aux mortels révéla ;
Au bord... où fleurit... la Cabine :
Sacré nom... d'une carabine !
Quel calibre Vous avez là !
Emma Oct 2021
An manchen Tagen ist die Luft zu schwer zum Atmen,
wie Steine liegt sie in der Lunge und zieht und zerrt mich zu Boden.
Besiegt muss ich warten. Harren bis der Angriff vorbei geht.
Mich nicht rühren, nicht zeigen wie furchtbar es in mir aussieht.

An manchen Tagen wollen die Tränen fließen,
wegspülen, was in mir ist.
Doch die kranke Stille lähmt sie.
Hält sie fest an meinen Lidern,
wo sie ungesehn vergehn.

An manchen Tagen sterben ungesagte Worte.
Bleiben tot an meinen Lippen.
Ungehört muss ich sie schlucken.
Und in meiner selbst vergraben.
Wo ist das Ohr, das sie zu hörn vermag?

An manchen Tag ringt mich Erschöpfung nieder.
Zeit rinnt unerreichbar weit - und bleibt doch eine Ewigkeit.
Wenn Müdigkeit mich bleiern macht, mir Regung nimmt,
dann kommt die Nacht, die gierig mich verschlingt.
Wie ein Zuschauer wander ich unbeteiligt durch mein Leben.

An manchen Tagen verirre ich mich in meinen Gedanken.
Hinter dunklen Ecken lauert Finsternis,
ihre Wirrungen verschlingen mich,
bis ich verloren stehen bleibe.
Und mich ihrer Fremdheit ausliefern muss.
Thomas Steyer Jul 2021
Das Leben ist schön, aber auch schwer,
für manche zu kurz, für andere nicht fair.
Wenn es anders kommt als man denkt,
da ist der eine schon mal gekränkt.
Der andre sieht es mit Begeisterung,
so hat das Leben für ihn noch Schwung.

Aber wenn ein Virus die ganze Welt befällt
und alles zerschellt - das geht ins Geld.
Dann ist auch unser Wohlstand schon bedroht,
und die Lebensqualität gerät in Not.

Regierungen versuchen uns zu schützen,
auch mit Finanzspritzen zu unterstützen,
aber die Spritzen in den Oberarm
sehen Leugner mit größtem Alarm.

Nun dachte man, die Welt hat sich vereint
und kämpft gegen den gemeinsamen Feind,
doch gibt es Leute mit denen kann man nicht reden,
sie können alles stets anders belegen.
Sie meinen, auf die da oben kann man nicht zählen,
deren Plan sei, ihnen die Freiheiten zu stehlen.

Dieses Misstrauen könnte uns leicht zerspalten,
dann wäre ein Bürgerkrieg kaum aufzuhalten.
Wie könnten Leugner ihre Angst verlieren,
damit sie endlich neues Vertrauen riskieren?

Wir sollten gute Beispiele setzen,
uns kümmern um den Ersten und den Letzten.
So entsteht ein guter Gemeinschaftssinn
für alle Ausgegrenzten ein Gewinn.

Ein respektvoller Umgang miteinander, der oft fehlt,
ist was zählt, so sehr zählt, zählt und zählt und zählt.
Mateuš Conrad Nov 2017
it's exactly 2 weeks from my hiatus in
a homogeneous society -
   away from an internet connection -
alcohol free -
           and i've come to realise one
thing above all others:
       multiculturalism is...
   ******* exhausting.
                       i can play the "******"
whitey yo-yo all i can among fellow
***** morphed into fully grown
     beings -
                     problem is,
     i don't know if i'm more an outsider
among fellow men, or among the populace
of this, fair country -
     mind you, the only reason that the english
seem to have "tact" in disputes concerning
the fate of europe...
    englishmen are fakers...
              great at acting i must admit -
what was always going to help keeping
a serene face and mindful language?
   la manche - ärmelkanal -
                  english society is an exhaustion -
too much vibrancy is always a lodged
fudge blob in my head...
                for all the celebratory days -
i admit to keeping at least one day of
mourning, me, usually coming back
from the sedative of a homogeneous society...
    my complete immersion in but one
tongue...
not seeing a sikh turban, a black skin,
skimming on the flavours of chine -
     just plain old sauerkraut (apparently
cabbage is a funny word in urdu -
but i still mind asking the turk to add
some sourness to the sheer of lamb in
a kebab) -
                  and, my god,
pickled herrings, raw,
that famous alternative that is,
                 baltic "sushi".
                            - but i'm afraid that
the english would be double their usual
awkwardness in a homogeneous society,
so bland, so un-tropical,
              so... familial?
             in a country where you can pretty
much say what the ******* want,
even with the already ridiculous
religiosity and overt testament of:
   on sunday we don't work...
    not much different to france or germany
mind you...
    only the english run out basic ingredients
akin to milk or flour on a sunday...
mind you, whenever i walk into a supermarket
there are these zombies walking about...
i go in and know what i'm after...
   after... surrounded by these *******
   friendly, zombiefied, tourists...
           that isn't to say i frequent the english
society as such,
         my experience began and ended
with the catholic irish in school,
  and then some disorientated farmers
at university...
       Derby? a complete *******.
                    'hey matt', one of the few people
that uses my name is a supermarket cashier...
it's not that i mind skins, colours,
fashions,
what gets under my skin is the way in which
linguistics has become a sort
of zoology -
                 caged words in limbo of f&%£!
            does not really equate to anything
in the study of etiquette or is it simply,
   a statement that has aesthetic appeal?
                           at least the word
kurva (i made sure the W was missing so
you could veer into the sharpening)
   is treated as a conjunction rather than
            blushing guise of cameo in a language;
language ought to be a river -
      not when sea meats shoreline -
flow... flow... flow...
                   if everyone started to not muck
about with respecting the rules of
congeniality, if everyone just had that blank
canvas space to vent out but more importantly
inhibit frustrations...
                 for all the cares for a freedom of
speech: some things are better left unsaid.
                why?
         well... in all honesty, this fervent defence
of the defence of free speech,
  has made all thinking into a gluttonous bowl
of **** mixed with custard!
              whatever happened to the ultimate
freedom of all? the freedom to think?
               thought it dying a painful death
of necessitating keeping a freedom that's
   beneath it, in stature, or status...
      thinking has morphed into the most
inappropriate fear:
                                  claustrophobia,
or as some like to prefer, in calling it
by the nick of: cognitive constipation...
just to compliment the already vacant term:
intellectual ******* -
           better being a jerking off than
     scared of occupying your own, frickin' 'ed.
- but like i said, english society is breathtakingly
exhausting...
           i sleep like a baby in a bed
where my great-grandmother died...
   overlooking a graveyard...
               - and i replace writing with
puritanical deep-sea diving into books...
      actually, that's the only time when i really
read something...
                and the grand effort always
pays off...
                   no book is ever abandoned,
however tedious -
                          i care to arrive at the conclusion
of: perhaps "hangover" in the reading -
but raucously "drunk" upon completion -
even after a year -
          no book is worth being stranded
in the purgatory of lost fancies and aspirations...
movies are different...
         there's always the toilet or cigarette
break to get off easy on making excuses;
           how could anyone finish watching
gone with the wind is beyond me...
  i'd accept the stretch of film akin to
   ben-hur or cleopatra,
  in the latter case the Octavian monologue:
lord anthony is dead!
                the soup is hot, the soup is cold,
is that how one says it?
         lord anthony lives, lord anthony is dead...
shame on you for saying such words
lightly!
               his name has an echo chamber
in the urn of eternity!
               yeah...
   life in english is exhausting simply because
you find yourself with a **** & custard's
worth of thinking left in your while
walking on egg shells...
           pretending to defend a freedom of
  the waggling tenner -
penny for your thought,
                tenner for your talking;
     which is not worth the bother these days,
perhaps the mad had always dreamed of
castles in the clouds...
    but unlike the mad:
  i'm thinking of making my mind a labyrinth.
Carnaval.

Venise pour le bal s'habille.
De paillettes tout étoilé,
Scintille, fourmille et babille
Le carnaval bariolé.

Arlequin, nègre par son masque,
Serpent par ses mille couleurs,
Rosse d'une note fantasque
Cassandre son souffre-douleurs.

Battant de l'aile avec sa manche
Comme un pingouin sur un écueil,
Le blanc Pierrot, par une blanche,
Passe la tête et cligne l'oeil.

Le Docteur bolonais rabâche
Avec la basse aux sons traînés ;
Polichinelle, qui se fâche,
Se trouve une croche pour nez.

Heurtant Trivelin qui se mouche
Avec un trille extravagant,
A Colombine Scaramouche
Rend son éventail ou son gant.

Sur une cadence se glisse
Un domino ne laissant voir
Qu'un malin regard en coulisse
Aux paupières de satin noir.

Ah ! fine barbe de dentelle,
Que fait voler un souffle pur,
Cet arpège m'a dit : C'est elle !
Malgré tes réseaux, j'en suis sûr,

Et j'ai reconnu, rose et fraîche,
Sous l'affreux profil de carton,
Sa lèvre au fin duvet de pêche,
Et la mouche de son menton.
Jonas May 16
Stille
Einmal kurz durchatmen
Die einzige Leerstelle im Gehirn
Die ich mag
Schön, dass du da bist
Schön dich zu sehen
Hier bei mir

Viele Kleinigkeiten machen ein Leben aus
Wir sammeln sie
Geben weiter und nehmen mit
Tragen uns gegenseitig durch die Welt
Bis zum letzten "Aus"

Und doch zerbrechen wir uns den Kopf bei den großen Dingen
Zumindest wenn sie groß klingen
Lasst uns trauern
Zwischen gemeinsam und alleine
Lasst uns feiern, lasst uns essen
Am Ende muss man lernen
Immer weiter zu machen
Weiter zu leben

Schon wieder etwas verloren
Jemanden
Auf dem Weg gelassen
Schon fasst vergessen
Schon wieder etwas mehr allein
Aber nur scheinbar

Vieles geht im Alltag unter
Großer wie Kleines
Manche Dinge kommen wieder
Manche schleichend und leise
Manche plötzlich, schreiend, laut

Lasst uns einen Moment verweilen
Hier und jetzt
Zusammen schweigen
Tritt ein *******zurück
Und lausch
Betrachte das Ganze
Schau was du sehen kannst von hier

Genieß den Ausblick
Solange du magst
Und dann komm langsam zurück
Zurück zu mir
À Madame Desloges, née Leurs.

Dans l'enclos d'un jardin gardé par l'innocence
J'ai vu naître vos fleurs avant votre naissance,
Beau jardin, si rempli d'oeillets et de lilas
Que de le regarder on n'était jamais las.

En me haussant au mur dans les bras de mon frère
Que de fois j'ai passé mes bras par la barrière
Pour atteindre un rameau de ces calmes séjours
Qui souple s'avançait et s'enfuyait toujours !
Que de fois, suspendus aux frêles palissades,
Nous avons savouré leurs molles embrassades,
Quand nous allions chercher pour le repos du soir
Notre lait à la cense, et longtemps nous asseoir
Sous ces rideaux mouvants qui bordaient la ruelle !
Hélas ! qu'aux plaisirs purs la mémoire est fidèle !
Errant dans les parfums de tous ces arbres verts,
Plongeant nos fronts hardis sous leurs flancs entr'ouverts,
Nous faisions les doux yeux aux roses embaumées
Qui nous le rendaient bien, contentes d'être aimées !
Nos longs chuchotements entendus sans nous voir,
Nos rires étouffés pleins d'audace et d'espoir
Attirèrent un jour le père de famille
Dont l'aspect, tout d'un coup, surmonta la charmille,
Tandis qu'un tronc noueux me barrant le chemin
M'arrêta par la manche et fit saigner ma main.

Votre père eut pitié... C'était bien votre père !
On l'eût pris pour un roi dans la saison prospère...
Et nous ne partions pas à sa voix sans courroux :
Il nous chassait en vain, l'accent était si doux !
En écoutant souffler nos rapides haleines,
En voyant nos yeux clairs comme l'eau des fontaines,
Il nous jeta des fleurs pour hâter notre essor ;
Et nous d'oser crier : « Nous reviendrons encor ! »

Quand on lavait du seuil la pierre large et lisse
Où dans nos jeux flamands l'osselet roule et glisse,
En rond, silencieux, penchés sur leurs genoux,
D'autres enfants jouaient enhardis comme nous ;
Puis, poussant à la fois leurs grands cris de cigales
Ils jetaient pour adieux des clameurs sans égales,
Si bien qu'apparaissant tout rouges de courroux
De vieux fâchés criaient : « Serpents ! vous tairez-vous ! »
Quelle peur ! ... Jamais plus n'irai-je à cette porte
Où je ne sais quel vent par force me remporte ?
Quoi donc ! quoi ! jamais plus ne voudra-t-il de moi
Ce pays qui m'appelle et qui s'enfuit ? ... Pourquoi ?

Alors les blonds essaims de jeunes Albertines,
Qui hantent dans l'été nos fermes citadines,
Venaient tourner leur danse et cadencer leurs pas
Devant le beau jardin qui ne se fermait pas.
C'était la seule porte incessamment ouverte,
Inondant le pavé d'ombre ou de clarté verte,
Selon que du soleil les rayons ruisselants
Passaient ou s'arrêtaient aux feuillages tremblants.
On eût dit qu'invisible une indulgente fée
Dilatait d'un soupir la ruelle étouffée,
Quand les autres jardins enfermés de hauts murs
Gardaient sous les verroux leur ombre et leurs fruits mûrs.
Tant pis pour le passant ! À moins qu'en cette allée,
Élevant vers le ciel sa tête échevelée,
Quelque arbre, de l'enclos habitant curieux,
Ne franchît son rempart d'un front libre et joyeux.

On ne saura jamais les milliers d'hirondelles
Revenant sous nos toits chercher à tire d'ailes
Les coins, les nids, les fleurs et le feu de l'été,
Apportant en échange un goût de liberté.
Entendra qui pourra sans songer aux voyages
Ce qui faisait frémir nos ailes sans plumages,
Ces fanfares dans l'air, ces rendez-vous épars
Qui s'appelaient au **** : « Venez-vous ? Moi, je pars ! »

C'est là que votre vie ayant été semée
Vous alliez apparaître et charmante et charmée,
C'est là que préparée à d'innocents liens
J'accourais... Regardez comme je m'en souviens !

Et les petits voisins amoureux d'ombre fraîche
N'eurent pas sitôt vu, comme au fond d'une crèche,
Un enfant rose et nu plus beau qu'un autre enfant,
Qu'ils se dirent entre eux : « Est-ce un Jésus vivant ? »

C'était vous ! D'aucuns noeuds vos mains n'étaient liées,
Vos petits pieds dormaient sur les branches pliées,
Toute libre dans l'air où coulait le soleil,
Un rameau sous le ciel berçait votre sommeil,
Puis, le soir, on voyait d'une femme étoilée
L'abondante mamelle à vos lèvres collée,
Et partout se lisait dans ce tableau charmant
De vos jours couronnés le doux pressentiment.

De parfums, d'air sonore incessamment baisée,
Comment n'auriez-vous pas été poétisée ?
Que l'on s'étonne donc de votre amour des fleurs !
Vos moindres souvenirs nagent dans leurs couleurs,
Vous en viviez, c'étaient vos rimes et vos proses :
Nul enfant n'a jamais marché sur tant de roses !

Mon Dieu ! S'il n'en doit plus poindre au bord de mes jours,
Que sur ma soeur de Flandre il en pleuve toujours !
Oui, si j'étais femme, aimable et jolie,
Je voudrais, Julie,
Faire comme vous ;
Sans peur ni pitié, sans choix ni mystère,
A toute la terre
Faire les yeux doux.

Je voudrais n'avoir de soucis au monde
Que ma taille ronde,
Mes chiffons chéris,
Et de pied en cap être la poupée
La mieux équipée
De Rome à Paris.

Je voudrais garder pour toute science
Cette insouciance
Qui vous va si bien ;
Joindre, comme vous, à l'étourderie
Cette rêverie
Qui ne pense à rien.

Je voudrais pour moi qu'il fût toujours fête,
Et tourner la tête,
Aux plus orgueilleux ;
Être en même temps de glace et de flamme,
La haine dans l'âme,
L'amour dans les yeux.

Je détesterais, avant toute chose,
Ces vieux teints de rose
Qui font peur à voir.
Je rayonnerais, sous ma tresse brune,
Comme un clair de lune
En capuchon noir.

Car c'est si charmant et c'est si commode,
Ce masque à la mode,
Cet air de langueur !
Ah ! que la pâleur est d'un bel usage !
Jamais le visage
N'est trop **** du coeur.

Je voudrais encore avoir vos caprices,
Vos soupirs novices,
Vos regards savants.
Je voudrais enfin, tant mon coeur vous aime,
Être en tout vous-même...
Pour deux ou trois ans.

Il est un seul point, je vous le confesse,
Où votre sagesse
Me semble en défaut.
Vous n'osez pas être assez inhumaine.
Votre orgueil vous gêne ;
Pourtant il en faut.

Je ne voudrais pas, à la contredanse,
Sans quelque prudence
Livrer mon bras nu ;
Puis, au cotillon, laisser ma main blanche
Traîner sur la manche
Du premier venu.

Si mon fin corset, si souple et si juste,
D'un bras trop robuste
Se sentait serré,
J'aurais, je l'avoue, une peur mortelle
Qu'un bout de dentelle
N'en fût déchiré.

Chacun, en valsant, vient sur votre épaule
Réciter son rôle
D'amoureux transi ;
Ma beauté, du moins, sinon ma pensée,
Serait offensée
D'être aimée ainsi.

Je ne voudrais pas, si j'étais Julie,
N'être que jolie
Avec ma beauté.
Jusqu'au bout des doigts je serais duchesse.
Comme ma richesse,
J'aurais ma fierté.

Voyez-vous, ma chère, au siècle où nous sommes,
La plupart des hommes
Sont très inconstants.
Sur deux amoureux pleins d'un zèle extrême,
La moitié vous aime
Pour passer le temps.

Quand on est coquette, il faut être sage.
L'oiseau de passage
Qui vole à plein coeur
Ne dort pas en l'air comme une hirondelle,
Et peut, d'un coup d'aile,
Briser une fleur.
Mateuš Conrad Apr 2020
my neighbour is having a solitary moment
with a wee bonfire in the backyard...
don't ask me... i watched his father trim the grass
a few hours ago...
maybe he's burning that...
or... whatever the reason... it's in the corner
of my eye... and the flame is big...
and small enough... that.. if warranted...
would make a great... theatre of soliloquy...
i'm yet to see a shadow enlarged
and gesticulating that it's talking...
with a raised arm... the other arm playing
the gratified ballerina when the applause comes...
hand entombing the heart...
      i'm yet to see a skull hamlet & co.
             "moment"...
                       so that's my neighbour...
i'm perched on a windowsill sitting on a folded
leg...
           and trying to crackle my throat
like a perched crow...
                the jay bird is of the same family...
        it's a crackle... i'm pretty sure the bird becomes
its new: "revised" distinct when bound to flight...
it's very hard to find...
boredom and existential exhaustion as...
synonyms... however back you look down the
entymological route...
   i couldn't have scribble: if only...
     i couldn't have scribbled this out of...
borne from a compliment to make "boredom":
a necessity...

          perhaps i am... existentially exhausted...
wouldn't you be?
if i were drinking some kalimotxo...
               or 20 beers... there would be an incremental
effect being felt...
which is what makes drinking a fun:
a social... something to borrow from:
"celebration": disinhibition?
                           only because of this one series
drama: sharp object... which made...
led zeppelin somehow "cool" again...
   in the evening... which didn't make it to...
the: the best of - led zeppelin double **** album...
either...
           so my neighbour is having a bonfire...
and there's nothing eerie about the silence...
esp. when there's a humming...
a fire is talking... but it's not the sort of fire
most associated with pine needles...
pine cones... and ancient oak...
           so he's doing that... i'm smiling... perched...
and drinking ms. know-it-all *****...
and... that's the problem with *****:
you have to wait for it... then again:
merely waiting is not a desirable affair...
and preoccupying myself with: "something else"
for a span of 20 minutes...
       waiting for a k.o. instead getting to play
the fiddle of grand itch-maestro with...
a if it isn't a cat nicknamed by schrodinger...
then all bets are on Pavlov...
                   but it's such a tiresome debacle...
had i made a video and had it... (x, y, x) of traction...
yadda-yadda...
          all the drama: soap-opera i could have
enjoyed... an imaginary street...
with imaginary squabbles...
        but none of the very translate-worthy
orientations of minor frictions...
         the bonfire is dying off...
the fire hasn't been fed dry pine needles...
or pine cones... or merchant oak retelling the story
of marco polo and... to the fire with me:
none of this... mahagonny sheen:
i fancy... a rough stone turned into a marble-esque
sheen?
                         it might just serve
a wooden hammer... to tell the difference between...
well... my initial presumption...
should lady justice be coupled with a gorgon?
lady justice and medussa?
  iustitia (who holds a sword and scales)
& prudentia (who holds a mirror and a snake)...

perhaps if Iustitia is blind-folded...
prudence can have her mouth stitched up?

but i'm still waiting for the ***** to kick in...
and so much for "fun" trying to find oneself:
with all the readily available knowledge and...
not... not: plagiarizing...
     or "jumping ship"...

   there truly isn't some sort of worthy compenation...
the served platter: the swedish table of...
all the foods presented... and you come
and stab at the nibbles... in a congregation of
those: given the advent of eating where:
no heart or its content is of a debate-worthiness...

beside the ancient roman glutton...
and... the well trained oesophagus...
          and regurgitation... and what was once
the celebrated icon: the snake...
would sooner or later have to be replaced
with a tapeworm...

    the serpent has had its day... and marble...
time... for the lesser creature... then again: perhaps not...

in "celebrating a drink of *****":
well... so much for... hunting a mammoth...
or... sitting beside a bonfire and...
telling stories or: dancing ****-naked
and dancing...

         i see no circus(es): beside the heaps and
heaps of bread: a character "assassination"
in writing...
sooner i'll catch a glimpse of a ballet choreographer
pirouette...
than know the difference between:
spinning an uncooked egg...
an egg soft-boiled and an egg: hard-boiled...

a racing track... equivalent to...
being hypnotized by... a spinning vinyl...
because... yore! that beacon of yawn rummaging
in the background of ambience...
and refrigerator drizzle of:
when falling rain became infused with...
electricity...

- alt. to "say" shish-kebab (let's be swabian...
and... "forget" the hyphen...)
like a toothless dog...
indeed... sometimes the tip of the tongue
teases the palet(t)e... hard or soft...
but sometimes the tongue-tip teases the top
frontal incissors: teeth...

where is the concept of the: rhapsodic...
the rattle-R... the quick... imitation
juggling of the tongue against the palete...
where the breath that involves
the uvula to swing like:
"for whom the bell tolls"?

                   do you see anyone taming
a ******* coch draig... anywhere?
this? this being "this"... "vicinity" of da-sein?
there-being: there's (there is)...
          on the moon... the alpaca trail...
in el dorado... in how the zulu tribe announced
a pristine: sod it...
          if only bulls were used instead
of horses: all that grit and armour...
notably of the cataphract...
                       if only bulls were used...
but: who's here to "rewrite" history
of that already, past... and inevitable?

the terrible has... already happened...
               í hiechyd ac tragwyddoldeb!
                          to health and eternity!
chiral: no...
     cheaper: no...
              i will find the "hark"...
   chosen... no no no...
                    similar (soft) to kid...
hybrid esque...
                 that "h" is not a surd...
verbatin 'e hie'....

                Olav! Dmitri!
Igor! meine hoonds!
                  ч - cheap... ah... roaming
in and around Midlothian...
                    loch ness! no prefix to suit up
a tux into... comes as a "surprise"
with the suffix: a loch...
                       х: hardly... k, s or c... or z...
xenophone: yuppy... aye aye...

              trag-wyd-dol-deb!
  zee velsh: sometimes the added same,
consonant... nurse! scalpel...
makes way for perfecting the syllable
incision... like so... trag-wyd-dol-deb!

   the lights have been dimmed on the tablet...
the battery life's longevity: expoinential explosion...
it takes so much little electric conversion
to feed the sap of sound...
that it takes to create blinking
and not blinking: murmur:
picadilly circus phantasmagoria of u.v. -

you can be crowned king deaf...
fall asleep with the radio... when the lights
are dimmed...
       no sooner me: no sooner you...
but... i'd much prefer the sound
of a fox at night...
than teeth gnashing... frothing: idly hungry...

all and no science: "or"...
all and no politics... "or" all of politics and all
of science... and most probably:
when the priest would wear a gown...
and the vatican remained neutral...
      
       etc. etc.              beside the vote:
or: woe... or woo...
        and such is the suffix association
with:      -man...
                    that there's some sexually
pervasive: attachment of either:
wooed by woe...
or... or...           to be woed by a woo...
  the beta gang would be singing:
bigmouth strikes again in a placebo
rendition...
                 because when you want to pirate
the original: it better sound just
a little bit more than then most...
    effeminate male available...
a morrisey will do jack ****...
you have to go full-tilt hindu and back
into transgender with
                                  a brian molko...

or at least that's how i concern myself
when managing to sit through
a production of tchaikovsky's ballet...
   beside the feet: what am i looking at?
spandex... the bulge?
     like it might be some covert name
for a battle, crisp on a piece of paper:
before the puff of a battle of crisps goes: pop!
in between the fudge of marrow
and the shrapnel of bone...
              here... i find my throne...
in a memory that's at best:
an amnesia...

             and somehow lodged in:
the... would-be... renting bums of dreams...
the squaters... the dream circuit...
when... in 1973... england drew 1 - 1
with poland...
                when being... just 7 years old
from 1966... an epitome for a very befitting
ending...
a closure... like any other...
             grandp'ah once said... once said...
and great-grandp'ah once said... once said...
sure as **** the logbow men of the 100 year war
weren't english... last time i heard
that churchill "mishandled" his V...
the original V voz viz zee velsh...
             index and ******* at
the fwench knights... since... if caught...
they'd cut 'em off!

                 V-salute! salute!
                           the blitzkireg overture...
         compound! no spaces in between: no hyphens!
der blitzkriegouvertüre...
        
   "together" come "together:... the disenfranchised
speculation of... what it was like...
to borrow from the first sequence
of the 20th century...

       and pass it into... what was it like...
acid neon: blonde... the culprit of bringing
the "congregation"
   past-participle: a romania a yugoslavia...
and a poland... nerve-riddled lithuania
and whittle estonia: etc.

      that grand boag bear o' ruzzia...
             wit' its ever persistent euro-fetish...
windows! windows! we need to see!
kandinsky translated into wind!

       on this democratic canvas...
           on this democratic canvas...
einz! zwei! drei!
     raz! dwa! trzy!
                   hey presto:
               on this demokratischleinwand!
meine stimme...
   meine: boo!
              meine: ghulrückzug!
               ich: bin zu sein gehört... ja?!
  
          this grand idea of a(n) european family:
get together...
   under the banner of: der VierteReich...
                the penned scribbles of
could always replace the boom-boom-'ombs...
and the brit-thai... would sit it out:
gob-smacked into shackles
and halos and angelic wings found
in the replica bargain of dry twigs...

the english sovereignty found among...
romanian root and fruit pickers...
              and if i too weren't lazy enough...
i'd have managed to find an atom-bomb...
glued my shadow to a wall...
and started a macaques' dance of freedom
from the magpie's cackle...
#metoo!

                   the cure and depeche mode made
it under the iron curtain...
the smiths? sorry... but i'm twice as likely
to appreciate them...

     the bass rummaging from fleetwood mac's
the chain...
and the bass rummaging from
pulp's wickerman...
            
                              canys y Çymraeg!
r. s. thomas...
                 that... battle of the season...
who is to know... beside auld lang syne:
whether the scots 'ave some gaelic in 'em...
except for the orthography: the diacritical & dialect
of somewhere akin to Glasgow...

  - that "unnecessary" war within the confines
of: the proud and selected: "empirical" and by invitation:
the trope... the welsh are...
are a silenced minority... and all that would
require "us" to confine "us" to "do"...
would be...
to stop thinking of england...
as a nation...
and... australia... or h'america...
as... a diaspora...

              clearly: "they" want to be at best:
and at worst: the distinct: genesis:
valkyrie first raiders...
in that non-essential war:
if the 1st world war wasn't...
seigl pandering lizzy...
sweden wuz neutralz...

                      woz she'iz notz?
            a pwetty pwetty: cobweb riddled face
like that of chris cornell...
               glue eyed but a background all
lacking in dimension for the sort
of immediacy of a curtain! cobain...
     yes: this is me... ******* on and dancing
on a grave:
last time i chequered my patience...
i found... the al fresco museum in a graveyard...
and the 3rd party artist working
on the marble... by gesture of wind and rain
and sun...

             how: exhausted by...
you cannot write an opera in italian...
to later translate it into german...
nor... clarity! sha! shtil!
                you can't... translate syllables:
like so... from... a japanese haiku...
into a... at best... a hiatus! a european sorting
factory of minor minded details...
of: adventure when licking a seal
on an envelope or...
a footnote that becomes a peacock
and a post-stamp when... detailing the affairs
of a piece of paper being governed by:
grieving having paired with it...
the metsphor / metaphysical aid of wings...

flake me: sire...
     boxing champ burroughs and all those
lost narratives that will never make it:
market a slow attention-span;
that's already available...

                          the muse my muse...
past the bob dylan and dylan thomas...
the priest and a cardiff...
        if only cardiff could boast akin
to how edinburgh can boast about
the old town and the royal mile...
and arthur's seat... and the craggs...

and... what women want...
mereditch brooks would never become
the next: the next to what next
of a... alanis morissette...
              never becoming... or being...
but all of that: for a continued cultural presence
of being in the recital rubric?
thank god for that...

quiet frankly? the la's": there she goes...
a little bit... a "little bit" irrelevant...
when you listen to the whole album...

the trouble with falling in love...
      is the trouble of: falling out of "love"
with one's mother...
                pursuit of the details
of a foetus... and all those details
of an unread book that staged its "fright"
on a bookshelf for circa close to a century...

             welcome party! or not so welcome!
i'd love to hear more about
welsh nationalism... since: on topic...
the scots have forgotten gaelic...
because of glasgow and being: oh so all
so-over pristine & perfect...
at least the welsh! oh god...
the welsh! on these isles!

hyphen! enter!
cymeradwyaeth

               cym-era-dwy-aeth
                      cym-erad-wyaeth

applause!­ and i'm trying: so trying...
to live for a liszt and lady gaga
as a summary of the jealous eyes
thst gave birth to bitter-tears...
yeah... fame...
and the cosmopolitan web of c.c.t.v.
"fame"...
the one already arrived at...
and the one pampered... with glitches
                               of editorial staff...

gu an cuimreach!
   - the escapade of keeping strict rigour / rubric
of being fed by adverts...
to have a buying impetus...
but not... the selling / haggling impetus...
from the cheap-*** moors and
the myriad of marrakesh:
   the berber: a latin for: hard-time:
quitting-time blues of...
            there are people still involved with
the a, z, via x q and... no readily available:
ph and th...
         because they were never...
the sort of brits... about to celebrate...
being conquered by ancient rome...
and ancient rome bulimia...
somewhere "circa": the baltic sea...

               - there's a "need" to be "coincidental":
pristine the developed mandibles
and the surname akin to singh...
        or... khan...
                   double that... for whatever reason...
and call it: Wales...
and then... the english-speaking conundrum:
"conundrum"...
and at best... nostalgia for 1990s
h'americana cultural export of:
fwends...

                    then: at best...
Wales is... Silesia... but at worst...
                    Ruthenia... and / or... Galicia...
that now Masovia is...
and how the Prussians were once
the fabled lot of the germanic left-over pieces
of a people: "******" by the standard
of teutons... or... what part of the glorification
of ancient rome...
oh, right... the parts not making
the germans the antagonists...
the "paraphrase" of the unexplored...

                    that only the english...
were to be so proud of...
a much later "digest" of... to have a "comfort"
within the confines...
last time i checked... there was pride in being
graffiti riddled as the afghanistan of
the ancient period...

             the unique history of island-dwelling
folk...
that they are... and i... can write
in their lingo: as... being devoid...
of... root...
              what is the great wall of china...
when what's already available...
given the la manche...
                                                       ­                 is...      
is not...
                 such a most pristine choice
of gentleman... and all!
and all! and all were tio be advocates!
and vote bound to stress!
king and country and the pickwick society
of: loitering gimps for worth of letters!

half a face divulging shadow...
half of which encompasses a play:
a ghost riddled... humanoid loiter
of exaspersation... and none... which,
would be most available...
to loiter... for the apple of Judas and
tht clinging... #30 pieces of silver...

thus wed: las vegas english...
      loitering actors' spew:
awound an Ilfowd 'n' Bawking 'n'
Dagenham... yo popsickle
'ipe and joy-c-c / jewc...
or whatsemfwench callz: sauz...
via dat: zu-not-my-*******-zoo.. ju...
plonkers & sons. (available)
jue: not juice 'ough...
******* kite-fliers!

            talks a cokckey slang like
a cherry... and that's...
the last left-over before mr. bangladesh
    before: quckie does one speakin'
"smart" did anyone any 'ood...

'oved up a 'arry 'n' the 'etter 'alf
of the... non-essential...
sounding "smart"
in cockeny: to be made export:
"loading essentials"...
is... hardly... the right sort of
***** avenue of:
escape from cwawddyff:
you... poke you poke my eyez
out... you... better start sounding
cockney shmartz...
eh: ja: herr?!

       **** it... whatever...
elt'z and etc. this bogus party back to...
and so call itz...
a limboz partez!
Vladimir s Krebs Aug 2016
My heart feels every thing all around me. All eyes that look straight down a pond me will tie a ribbin marking the way home.


All my nerves feel nothing less of the atmospheric pressure making all my deepest thoughts turn all the tricks into magic that would of saved me.


Laying stuck in a daze losing reality all on me.

People all around will change the rules of how thought will one day bring the brightness alive with breathes and emotions that turn the tables up side down.





My thoughts and me wake the sky cry with all my tears I could never cry.


Cause in reality all my eyes see is a manche in we are we run on gasoline.




I lay stuck in my head just thinking why the human society can be so malevolent and evil with not emotion.



Darkness will set as we all turn our anger .




For my mind I only can do is face all reality  walk the darkness feeling the cold rhythm of all the machines that run society.



My heart runs faster than my breath making every thing twist




I'm not a machine I can feel all pain all your pain I have a heart that can fill with sadness joy love hope light or dark I can escape the danger of your stupidity .



I have thoughts that will change society . I have a heart that will change all the rules  of what humanity will show.

I have emotions that can make the sky cry
I have emotions that can destroy the Beauty of a lier.


I feel all your pain misery teats I can feel the rhythmic beat of your soul knowing what has destroyed your hopes and dreams.



Imy not a machine I am flesh and blood with a sense of deeply caring and respect that can under stand things no one knows




My heart is hope and my mind is reality that will change society's miss leading.



I feel all your pain I can read your mind taking what destroyed you giving you my heart to run with open minds


Than we aren't machines but we are just thoughts that can set all of our dreams to become what we really need
Just my thoughts from suffering from bipolar I see the world directly from what it really is to me
Je rêvais dans un grand cimetière désert ;
De mon âme et des morts j'écoutais le concert,
Parmi les fleurs de l'herbe et les croix de la tombe.
Dieu veut que ce qui naît sorte de ce qui tombe.
Et l'ombre m'emplissait.

Autour de moi, nombreux,
Gais, sans avoir souci de mon front ténébreux,
Dans ce champ, lit fatal de la sieste dernière,
Des moineaux francs faisaient l'école buissonnière.
C'était l'éternité que taquine l'instant.
Ils allaient et venaient, chantant, volant, sautant,
Égratignant la mort de leurs griffes pointues,
Lissant leur bec au nez lugubre des statues,
Becquetant les tombeaux, ces grains mystérieux.
Je pris ces tapageurs ailés au sérieux ;
Je criai : « Paix aux morts ! vous êtes des harpies.
- Nous sommes des moineaux, me dirent ces impies.
- Silence ! allez-vous en ! » repris-je, peu clément.
Ils s'enfuirent ; j'étais le plus fort. Seulement,
Un d'eux resta derrière, et, pour toute musique,
Dressa la queue, et dit : « Quel est ce vieux classique ? »

Comme ils s'en allaient tous, furieux, maugréant,
Criant, et regardant de travers le géant,
Un houx noir qui songeait près d'une tombe, un sage,
M'arrêta brusquement par la manche au passage,
Et me dit : « Ces oiseaux sont dans leur fonction.
Laisse-les. Nous avons besoin de ce rayon.
Dieu les envoie. Ils font vivre le cimetière.
Homme, ils sont la gaîté de la nature entière ;
Ils prennent son murmure au ruisseau, sa clarté
A l'astre, son sourire au matin enchanté ;
Partout où rit un sage, ils lui prennent sa joie,
Et nous l'apportent ; l'ombre en les voyant flamboie ;
Ils emplissent leurs becs des cris des écoliers ;
A travers l'homme et l'herbe, et l'onde, et les halliers,
Ils vont pillant la joie en l'univers immense.
Ils ont cette raison qui te semble démence.
Ils ont pitié de nous qui **** d'eux languissons ;
Et, lorsqu'ils sont bien pleins de jeux et de chansons ;
D'églogues, de baisers, de tous les commérages
Que les nids en avril font sous les verts ombrages,
Ils accourent, joyeux, charmants, légers, bruyants,
Nous jeter tout cela dans nos trous effrayants ;
Et viennent, des palais, des bois, de la chaumière,
Vider dans notre nuit toute cette lumière ! »
Quand mai nous les ramène, ô songeur, nous disons :
« Les voilà ! » tout s'émeut, pierres, tertres, gazons ;
Le moindre arbrisseau parle, et l'herbe est en extase ;
Le saule pleureur chante en achevant sa phrase ;
Ils confessent les ifs, devenus babillards ;
Ils jasent de la vie avec les corbillards ;
Des linceuls trop pompeux ils décrochent l'agrafe ;
Ils se moquent du marbre ; ils savent l'orthographe ;
Et, moi qui suis ici le vieux chardon boudeur,
Devant qui le mensonge étale sa laideur,
Et ne se gène pas, me traitant comme un hôte,
Je trouve juste, ami, qu'en lisant à voix haute
L'épitaphe où le mort est toujours bon et beau,
Ils fassent éclater de rire le tombeau.

Paris, mai 1835.
VIII.

Ô Dieu, puisque voilà ce qu'a fait cette armée,
Puisque, comme une porte est barrée et fermée,
Elle est sourde à l'honneur,
Puisque tous ces soldats rampent sans espérance,
Et puisque dans le sang ils ont éteint la France,
Votre flambeau, Seigneur !

Puisque la conscience en deuil est sans refuge
Puisque le prêtre assis dans la chaire, et le juge
D'hermine revêtu,
Adorent le succès, seul vrai, seul légitime,
Et disent qu'il vaut mieux réussir par le crime,
Que choir par la vertu ;

Puisque les âmes sont pareilles à des filles ;
Puisque ceux-là sont morts qui brisaient les bastilles,
Ou bien sont dégradés ;
Puisque l'abjection, aux conseils misérables,
Sortant de tous les cœurs, fait les bouches semblables
Aux égouts débordés ;

Puisque l'honneur décroît pendant que César monte ;
Puisque dans ce Paris on n'entend plus, ô honte,
Que des femmes gémir ;
Puisqu'on n'a plus de cœur devant les grandes tâches,
Puisque les vieux faubourgs, tremblant comme des lâches
Font semblant de dormir,

Ô Dieu vivant, mon Dieu ! prêtez-moi votre force,
Et, moi qui ne suis rien, j'entrerai chez ce corse
Et chez cet inhumain ;
Secouant mon vers sombre et plein de votre flamme,
J'entrerai là, Seigneur, la justice dans l'âme
Et le fouet à la main,

Et, retroussant ma manche ainsi qu'un belluaire,
Seul, terrible, des morts agitant le suaire
Dans ma sainte fureur,
Pareil aux noirs vengeurs devant qui l'on se sauve,
J'écraserai du pied l'antre et la bête fauve,
L'empire et l'empereur !

Jersey, du 7 au 13 janvier 1853.
Fall Nov 2018
Attend , sa reponse peut être Non ...
Patience , ta chance sera là Non ?

J'hésite , Je , je pourrais pas le faire ,
Arrete , tu peux le faire !

Une seconde , ca va marcher ?
Stop , ca va aller !

Si , si ça ce passait differament ?
Ben , c'est plus marrant !

Aucune , aucune chance que ça marche ,
Faux , tu a le destin dans ta
manche !

Je ... Je .. Je .
Réfléchis après , fait d'abord !

Je ... Vais .. .
French version of a writing in my mind
Dieu sait bien que la femme est maîtresse de l'homme,
Mais l'époux généreux, chez l'épouse économe,
S'ils sont deux bons chrétiens en un cœur bien fondus,
Libre, vit dans la paix, **** des jougs défendus.
Simple, comme un enfant qui partage une orange,
Il fait toujours deux parts de tout fruit mûr qu'il mange.
Il choisit les meilleurs qui sont les fruits permis :
C'est un sage content du monde où Dieu l'a mis.
Pauvre, il a les trésors profonds de l'Évangile,
Riche, il tient ses greniers grands ouverts sur la ville.
Quand le soir vient, l'étoile à sa lampe sourit.
Couple qui s'épousa sous les yeux de l'Esprit,
Rébecca dont le cœur battit à grands coups d'aile,
En voyant Isaac sortir au-devant d'elle,
Isaac dont le cœur en fête remarqua
L'anneau d'or fin qui luit au nez de Rébecca,
Étaient moins saintement amoureux l'un de l'autre,
Que ces époux, courbés au souffle de l'apôtre,
Quand leur âme aspira, près du cierge éclairé,
Le parfum frais qui sort du vieux texte sacré.
Comme il est bon et droit, que Jésus est son maître,
S'il parle, elle a des yeux ravis de se soumettre ;
Qu'elle parle, il écoute, heureux de se plier
Aux désirs purs d'un cœur que Jésus sut lier.
Tous deux savent le prix des torts que l'on pardonne.
Au milieu des enfants que le Seigneur leur donne,
Ils laissent se mêler aux fils d'or éclatants
Les fils sombres qui sont au dévidoir du temps.
L'époux travaille ; il est ouvrier ou poète ;
Il explique aux siens Dieu dont le ciel est la fête.
Un enfant vous écoute avec tant d'appétit !
C'est innocent, c'est bon, c'est grave, c'est petit !
Elle, quand elle file, un bras hors de la manche,
Elle a l'air de filer son âme en laine blanche,
Et son cœur doux s'écoule aux ondes de son lait,
Flot parfumé, pareil au flot pur qui coulait
Du sein sacré sur qui Dieu, tout petit, ne bouge
Que sa lèvre d'enfant, humble fleurette rouge.
Dans la neige du linge et les tulles au vent,
Voilà la mère, avec son sourire vivant
Dont la chambre s'échauffe et dont l'ombre s'éclaire.
Femme aux seins mûrs, miracle, ô reine populaire !
Majesté des grands cils abaissés sur l'enfant !
Il s'abandonne, il dort. Un baiser le défend.
Le père le contemple, un rire sur la bouche.
Il est tel que, devant une rose farouche,
Un bon peintre amoureux de la gloire des fleurs.
Tous vivent dans le calme et les claires couleurs.
Ô chaleur maternelle ! ô prière qui vole !
Ô bouches ébauchant la première parole !
Chère tribu, petit peuple qui grandissez,
Mère qui d'une main délicate emplissez
De feuilles et de fruits les faïences fleuries,
Père au sourire plein de chaudes causeries,
Servante qui tournez au bruit clair des sabots :
Si vous êtes sereins, même avec des tombeaux,
Si vous gardez entier l'amour de la famille,
Dont la laine encor moins que l'honneur vous habille,
Si vous restez amis, quoi ! n'est-ce pas un peu
Parce qu'à tous vos soins vous savez mêler Dieu,
Qu'il vous tient sous son aile et qu'il vous a plu d'être
Unis par Jésus-Christ et bénis par son prêtre !
En mi ostracismo acerbo me alegré esta mañana
con el encuentro súbito de una hermosa paisana
que tiene un largo nombre de remota novela:
la hija del enjuto médico del lugar.
Antaño íbamos juntos de la casa a la escuela;
las tardes de los sábados, en infantil asueto,
por las calles del pueblo solíamos vagar,
y jugando aprendimos los dos el alfabeto.
Me saludó, y en medio de graciosos cumplidos,
su armonioso lenguaje me hizo reconocer
en ella a la cuentista de las horas de ayer
en la Plaza de Armas de musicales nidos.
¡Pobre amiga de entonces, pobre flor provinciana
que en metrópolis andas en ruidoso paseo;
pobre flor casadera, rosa que eres hermana
de las que se desmayan en humilde cacharro
esperando que vuelvas del viaje de recreo!
Para que no se manche tu ropa con el barro
de ciudades impuras, a tu pueblo regresa;
y sólo pido, en nombre de mi tristeza extática
que oyó con voz ingenua, que en la nocturna plática
hagas de mí un recuerdo jovial de sobremesa.
Sur les lagunes.

Tra la, tra la, la, la, la laire !
Qui ne connaît pas ce motif ?
A nos mamans il a su plaire,
Tendre et ***, moqueur et plaintif :

L'air du Carnaval de Venise,
Sur les canaux jadis chanté
Et qu'un soupir de folle brise
Dans le ballet a transporté !

Il me semble, quand on le joue,
Voir glisser dans son bleu sillon
Une gondole avec sa proue
Faite en manche de violon.

Sur une gamme chromatique,
Le sein de perles ruisselant,
La Vénus de l'Adriatique
Sort de l'eau son corps rose et blanc.

Les dômes sur l'azur des ondes,
Suivant la phrase au pur contour,
S'enflent comme des gorges rondes
Que soulève un soupir d'amour.

L'esquif aborde et me dépose,
Jetant son amarre au pilier,
Devant une façade rose,
Sur le marbre d'un escalier.

Avec ses palais, ses gondoles,
Ses mascarades sur la mer,
Ses doux chagrins, ses gaités folles,
Tout Venise vit dans cet air.

Une frêle corde qui vibre
Refait sur un pizzicato,
Comme autrefois joyeuse et libre,
La ville de Canaletto !
Hoy
Hoy todo me conduce a su contrario:
el olor de la rosa me entierra en sus raíces,
el despertar me arroja a un sueño diferente,
existo, luego muero.

Todo sucede ahora en un orden estricto:
los alacranes comen en mis manos,
las palomas me muerden las entrañas,
los vientos más helados me encienden las mejillas.

Hoy es así mi vida.
Me alimento del hambre.
Odio a quien amo.

Cuando me duermo, un sol recién nacido
me manche de amarillo los párpados por dentro.

Bajo su luz, cogidos de la mano,
tú y yo retrocedemos desandando los días
hasta que al fin logramos perdernos en la nada.
Esforzaron mis ojos la corriente
de este, si fértil, apacible río;
y cantando frené su curso y brío:
¡tanto puede el dolor en un ausente!
Miréme incendio en esta clara fuente
antes que la prendiese yelo frío,
y vi que no es tan fiero el rostro mío
que manche, ardiendo, el oro de tu frente.
Cubrió nube de incienso tus altares,
coronélos de espigas en manojos,
sequé, crecí con llanto y fuego a Henares.
Hoy me fuerzan mi pena y tus enojos
(tal es por ti mi llanto) a ver dos mares
en un arroyo, viendo mis dos ojos.
La Champagne est fort laide où je suis ; mais qu'importe,
J'ai de l'air, un peu d'herbe, une vigne à ma porte ;
D'ailleurs, je ne suis pas ici pour bien longtemps.
N'ayant pas mes petits près de moi, je prétends
Avoir droit à la fuite, et j'y songe à toute heure.
Et tous les jours je veux partir, et je demeure.
L'homme est ainsi. Parfois tout s'efface à mes yeux
Sous la mauvaise humeur du nuage ennuyeux ;
Il pleut ; triste pays. Moins de blé que d'ivraie.
Bientôt j'irai chercher la solitude vraie,
Où sont les fiers écueils, sombres, jamais vaincus,
La mer. En attendant, comme Horace à Fuscus,
Je t'envoie, ami cher, les paroles civiles
Que doit l'hôte des champs à l'habitant des villes ;
Tu songes au milieu des tumultes hagards ;
Et je salue avec toutes sortes d'égards,
Moi qui vois les fourmis, toi qui vois les pygmées.

Parce que vous avez la forge aux renommées,
Aux vacarmes, aux faits tapageurs et soudains,
Ne croyez pas qu'à Bray-sur-Marne, ô citadins,
On soit des paysans au point d'être des brutes ;
Non, on danse, on se cherche au bois, on fait des chutes ;
On s'aime ; on est toujours Estelle et Némorin ;
Simone et Gros Thomas sautent au tambourin ;
Et les grands vieux parents grondent quand le dimanche
Les filles vont tirer les garçons par la manche ;
Le presbytère est là qui garde le troupeau ;
Parfois j'entre à l'église et j'ôte mon chapeau
Quand monsieur le curé foudroie en pleine chaire
L'idylle d'un bouvier avec une vachère.
Mais je suis indulgent plus que lui le ciel bleu,
Diable ! et le doux. printemps, tout cela trouble un peu ;
Et les petits oiseaux, quel détestable exemple !
Le jeune mois de mai, c'est toujours le vieux temple
Où, doucement raillés par les merles siffleurs,
Les gens qui s'aiment vont s'adorer dans les fleurs ;
Jadis c'était Phyllis, aujourd'hui c'est Javotte,
Mais c'est toujours la femme au mois de mai dévote.
Moi, je suis spectateur, et je pardonne ; ayant
L'âme très débonnaire et l'air très effrayant ;
Car j'inquiète fort le village. On me nomme
Le sorcier; on m'évite ; ils disent : C'est un homme
Qu'on entend parler haut dans sa chambre, le soir.
Or on ne parle seul qu'avec quelqu'un de noir.
C'est pourquoi je fais peur. La maison que j'habite,
Grotte dont j'ai fait. choix pour être cénobite,
C'est l'auberge ; on y boit dans la salle d'en bas ;
Les filles du pays viennent, ôtent leurs bas,
Et salissent leurs pieds dans la mare voisine.
La soupe aux choux, c'est là toute notre cuisine ;
Un lit et quatre murs, c'est là tout mon logis.
Je vis ; les champs le soir sont largement rougis ;
L'espace est, le matin, confusément sonore ;
L'angélus se répand dans le ciel dès l'aurore,
Et j'ai le bercement des cloches en dormant.
Poésie : un roulier avec un jurement ;
Des poules becquetant un vieux mur en décombre ;
De lointains aboiements dialoguant dans l'ombre ;
Parfois un vol d'oiseaux sauvages émigrant.
C'est petit, car c'est laid, et le beau seul est grand.
Cette campagne où l'aube à regret semble naître,
M'offre à perte de, vue au **** sous ma fenêtre
Rien, la route, un sol âpre, usé, morne, inclément.
Quelques arbres sont là ; j'écoute vaguement
Les conversations du vent avec les branches ;
La plaine brune alterne avec les plaines blanches ;
Pas un coteau, des prés maigres, peu de gazon ;
Et j'ai pour tout plaisir de voir à l'horizon
Un groupe de toits bas d'où sort une fumée,
Le paysage étant plat comme Mérimée.
Si quelque jeune fée à l'aile de saphir,
Sous une sombre et fraîche arcade,
Blanche comme un reflet de la perle d'Ophir,
Surgissait à mes yeux, au doux bruit du zéphyr,
De l'écume de la cascade,

Me disant : « Que veux-tu ? larges coffres pleins d'or,
Palais immenses, pierreries ?
Parle ; mon art est grand. Te faut-il plus encor ?
Je te le donnerai ; je puis faire un trésor
D'un vil monceau d'herbes flétries ! »

Je lui dirais : « Je veux un ciel riant et pur
Réfléchi par un lac limpide,
Je veux un beau soleil qui luise dans l'azur,
Sans que jamais brouillard, vapeur, nuage obscur
Ne voile son orbe splendide ;

« Et pour bondir sous moi je veux un cheval blanc,
Enfant léger de l'Arabie,
À la crinière longue, à l'œil étincelant,
Et, comme l'hippogriffe, en une heure volant
De la Norwège à la Nubie ;

« Je veux un kiosque rouge, aux minarets dorés,
Aux minces colonnes d'albâtre,
Aux fantasques arceaux d'œufs pendant décorés,
Aux murs de mosaïque, aux vitraux colorés
Par où se glisse un jour bleuâtre ;

« Et quand il fera chaud, je veux un bois mouvant
De sycomores et d'yeuses,
Qui me suive partout au souffle d'un doux vent,
Comme un grand éventail sans cesse soulevant
Ses masses de feuilles soyeuses.

« Je veux une tartane avec ses matelots,
Ses cordages, ses blanches voiles
Et son corset de cuivre où se brisent les flots,
Qui me berce le long de verdoyants îlots
Aux molles lueurs des étoiles.

« Je veux, soir et matin, m'éveiller, m'endormir
Au son de voix italiennes,
Et pendant tout le jour entendre au **** frémir
Le murmure plaintif des eaux du Bendemir,
Ou des harpes éoliennes ;

« Et je veux, les seins nus, une Almée agitant
Son écharpe de cachemire
Au-dessus de son front de rubis éclatant,
Des spahis, un harem, comme un riche sultan
Ou de Bagdad ou de Palmyre.

« Je veux un sabre turc, un poignard indien
Dont le manche de saphirs brille ;
Mais surtout je voudrais un cœur fait pour le mien,
Qui le sentît, l'aimât, et qui le comprît bien,
Un cœur naïf de jeune fille ! »
Dans son jardin la sultane se baigne,

Elle a quitté son dernier vêtement ;

Et délivrés des morsures du peigne,

Ses grands cheveux baisent son dos charmant.


Par son vitrail le sultan la regarde,

Et caressant sa barbe avec sa main,

Il dit : « L'eunuque en sa tour fait la garde,

Et nul, hors moi, ne la voit dans son bain.


« - Moi, je la vois, lui répond, chose étrange !

Sur l'arc du ciel un nuage accoudé ;

Je vois son sein vermeil comme l'orange

Et son beau corps de perles inondé. »


Ahmed devint blême comme la lune,

Prit son kandjar au manche ciselé,

Et poignarda sa favorite brune...

Quant au nuage, il s'était envolé !
Mateuš Conrad Jun 2020
oh!

                                      look here!

                          a blank canvas...

   i sometimes open one
                     up and forget about it...

i scroll through minor
                                  drama on the internet:

i was never a big fan
of soap opera...

  however english...
however ******...
or mexican or turkish...

but given that i'm
drinking a bottle of ol' jack...
i sometimes over-stretch
the "markers"...

bourbon is no whiskey...
and whiskey: who can enjoy
too much of that sort of:
"debating"...

     i have before me
a myopia of sentences...
the far right's: kind sir... sir...
n'est ce-pas: mr. samuel weller?

oink oink rock a boat?
i have lived in england...
well into the count of 2 decades...

who are the natives?
the irish are the natives
of these isles?
are they? i.r.a.
placard and the plantagenet
name: in name alone...

           the scots are the natives?
well sold! this... union of
suppose-we-do-so-and-likewise...
yes?
             i hear... a... ochenaid...
sigh... hark at the CH...
          o"X"e-n'ah-eed...
                      rummagining
for... sparrows... wheelbarrows...
squirrels and rats and cockroaches:
the natives!
i'm looking for the natives!

i must have been... cushioned...
oh too well...
by the irish immigrant population...
back in Goodmayes... Seven Kings...
i don't even want to think
i met a PROP'AH english custom...
of the tongue and patriotism...

always had to mingle with
the irish... the scots...
    somewhat the welsh...
   once i visited Cheltenham...
for the festival... the book awareness:
slogan read:
they're not door-knobs!
  brick would have been just fine...
fine...

             but i never heaved...
to curate myself around...
the ****** diaspora...
one thing "we've" learned...
there's no concept of mafia...
a china town... a mossad...
                the ottoman barbers...

over 20 years in england...
and... yes... i've perhaps met a few...
"locals"...
but the other "locals" have already
treated the locals i've met as...
paving... something...
worth a digression...

       i calls it the irish cushion...
the hard work has already been invoked...
not that... an englishman ever fought...
on the plains of masovia...
but i'm, pretty sure,
    the ****** squadron... 303?
pilots... dog-fights over dover an la manche...

what-a-doodle-do-no-more-doable?
Cheltenham... such ripe...
harvest of... ****** **** pears and plums...
and a little bird asked:
were these fruits plucked...
picked... and stashed for selling...
by Romanians?

my dearest: Dorset!
         my Exeter...
               as "we" all know...
my... my... "my"...
          hardly... speak the tongue of
subservience... make "my" and... "own"...
  subconscious complications
of affairs with an already established...
philately...
                          
can anyone please tell me...
what ING-land... and at what point...
is an E ever stressed?
banking on the mixer...
the letter-stripping: shape in place...
but the sound a bit: 'ffy...
               iffy... i.e. off...
         did some roundabout loops
on the matter...
came back with clues from sahara...
i.e. no footprint...
pretended to **** on the sand...
to ease... some moisture onto
the riddle...

  no dear: rhubarb sprout...
                   but once in a while...
i hear the natives speak...
i've heard the welsh...
i've heard the scots... i've heard
the irish...
  but the ING- and the ĘNG-LEASH...
tow... baron tow a...
            Florida over-ere!
         let's have! Maine!
                      
   king john and the pole:
****** - lack-land...
              ha ha... the fable of richardson...
and big richard... with no whittle...
charlemagne... my my:
         sr.                and no future jr.

will smith in gemini man...
plays... a... incel... killer...
                               will smith as an incel killer...
gotta rock the boat...

colonel hans christian and a heg's...
a statue with a missing leg...
bonkers united...

        i sometimed hear my parents
speak... and being the sort of loser
that still lived into his 30s
as a charcaol - a slave of the solipsistic
adventures of tending to a ****
and some *******...

             the heaven of a mother
and father... and the hell: theremin...
wax job...
a father met a mother...
  the crux of the story...
is that they met...
in a vicinity... a town....
          the story suggests...
they knew: the names if streets...
and the names of cafes...

             mind you... i know
a whittle place... ol' loondon...
on the outskirts...
ballerinas come 'ere most often...
for skate and a chance to
break a ******* leg:
call it a: spot a vaginal floral piece...
come up with a fortune...
selling a...
                     julian grater:
otherwise known as:
                  a peter gabriel album
sleeve... nimb cutting...
         from an eight part series...

      charcoal / graphite / pastel / acrylic /
       bitumen / beeswax / straw...

floral patterns... "somehow"....
revealing / revelling in a crucifix...
               whatever... happened...
to depictions of glorified... madonna...
and the iron maiden?
they will stage coup e'tats on statues...
but not...
the torture instruments of
the state...
the crucifix needs! preserving...
thank god... for the guillotine... no?

i need to heave a lasting...
exhaustion of breath... bound by a tidying
in a crucifix...
gold-mine! a ******* gold-mine!
i see... words like
strobe-light flickering discoteque
"nuances"...

my parents knew... several streets...
and their town was...
a makeshift... Basildon...
i know a different reality...

   Coventry St....
         Beehive Lane...
                   Havering Road...
      i know streets...
little to do with a concept of
bubble... and town...
              this... luquidation of time...
time... well spent...
time... invested... time... abandoned...
they have these shared avenues...
i was supposed to jump ship...
bail-out... find myself a decrepit suitor
of warm womb flesh...
a sparring partner to no tennis...

   and abduct her... with... a foetus...
lavish!
                     suppose there came:
two!
                it was all... formidably:
accurate... in how... the "game" would...
progress...
the loser that i am:
so much for not being homeless...
a lavish drinker of bourbon...
i'm more of a slave...
a curator for cats more than anything...
the 2008 financial crash
didn't bother me...
when... i was rudely woken up
by the existence of soul...
never... make the least concern:
psychosis a waste...
it's not... a l.s.d. "overdose"...

there's something... special...
a temporal... synchronicity about "it"...
the "magic" happens with a loitering...
bravado...
   it happens but it doesn't happen...
at the same time...
you're humbled... without a tenacity of...
being... a forewarning prophet...
there's not memorable time...
shifting forward...

       the persistent prison of all that is...
now... it's a London...
and it's a London with...
say... dull-strapped Sikh done two-ways...
a welcome... proselyte grief
for the jew: having succumbed to islam...
a catholicism: with no necessary
protestant conversion...
no sung anthem... no...
dickensian take on...
a *******... lackey...
there's just: the moderation of...
a... "speech impediment"...
      
  n00b for *******... whenever...
a **** would appear! and...
a face with a beetroot tinge would just so...
happen... to blush... to... keep you away from...
singing in the choir's crescendo!

the looters' choir theme boy:
a **** "bono" wałęsa...
    to have invested in a dynamic
of a foreign currency...
best better: than... in...
made in china... in the metallurgy
exploits etc.
                      i am no patriot...
   a bit like... the jew in new york...
might think himself an israelite...
              how much time away...
among... foreigners...
will make you... inclined...
to return to... "home"...
               israel is about much a home...
as poland is for the diaspora living
away from it...
               there's... a lithuania?
there's a... latvia... an estonia?
                          
israel is like a baltic state...
              of those who do not live in it...
and of those...
cosmopolitan enough...
living outside of it...
  i bless this anchor...
this... dragging my down...
seemingly... insensible...
when... english... puritanical / liberal...
sensibilities... oh god! the french are coming!
continental intellectualism is...
is what it is...

                    two maxims emerge
as modus operandi...
  when the people have lost trust...
in both the media and the politics sham'b'oh...

oculus per oculus: eye for an eye...
and... the golden rule...
      treat others... as you'd want others
to treat you...
           i would be inclined...
to look beside the doorsteps...
of western liberalism...
   the black in mongolia...
and the antithesis of celebrating genghis...

what statue of his... could hear...
the echo... of a... toppling?
                 sooner a horse laughs!
the pristine whip of:
alienation...
               the liberal cuck-mantra...
of western diplomacy...

   somehow iraq was and...
oh don't get me started on libya...
                the posthumous will
of a pristine... resurrected Winston C.!

the terrible price of writing:
you also desire to drink... more...
for all their worth...
the sober... the un-****** pristine angels...
selling matchsticks and pockets
filled with toothpick humour:
for the toothless!

                   i beckon... the details
of both ditto and a filling...
akin to a full...       stop                               .
Les rois criaient : Qu'on fracasse,
Et qu'on pille ! Et l'on pillait.
À leurs pieds la Dédicace,
Muse en carte, souriait.

Cette muse préalable,
Habile à brûler l'encens
Même le moins vraisemblable,
Tirait la manche aux passants,

En gardant le seuil d'ivoire
Du dieu du sacré vallon,
Vendait pour deux sous de gloire
À la porte d'Apollon.

On traquait les calvinistes.
Moi, parmi tous ces fléaux,
J'avais dans mes branches tristes
Le peigne de Despréaux.

J'ai vu ce siècle notoire
Où la Maintenon sourit,
Si blanche qu'on la peut croire
Femelle du Saint-Esprit.

Quelle féroce colombe !
J'ai vu frémir d'Aubigné
Quand sur son nom, dans sa tombe,
L'édit de Nante a saigné.

Tout s'offrait au roi : les armes,
Les amours, les coeurs, les corps ;
La femme vendait ses charmes,
Le magistrat ses remords.

La cour, peinte par Brantôme,
Reparaît pour Saint-Simon.
Derrière le roi fantôme
Rit le confesseur démon.
Mon vers, s'il faut te le redire,
On veut te griser dans les bois.
Les faunes ont caché ta lyre
Et mis à sa place un hautbois.

Va donc. La fête est commencée ;
L'oiseau mange en herbe le blé ;
L'abeille est ivre de rosée ;
Mai rit, dans les fleurs attablé.

Emmène tes deux camarades,
L'esprit gaulois, l'esprit latin ;
Ne crois pas que tu te dégrades
Dans la lavande et dans le thym.

Sans être effronté, sois agile ;
Entre gaiement dans le vallon ;
Presse un peu le pas de Virgile,
Retiens par la manche Villon.

Tu devras boire à coupe pleine,
Et de ce soin Pan a chargé
La Jeanneton de La Fontaine
Qu'Horace appelait Lalagé.

On t'attend. La fleur est penchée
Dans les antres diluviens ;
Et Silène, à chaque bouchée,
S'interrompt pour voir si tu viens.
Marie Nov 2020
Manche Wörter springen nackt
aus den Mündern ihrer Besitzer
tanzen auf Fingerspitzen
treten gegen Schienbeine

oder flattern davon
ungehört
wie ein obdachloser Straßenschmetterling
Mateuš Conrad Feb 2018
i might live in an ecominic exile,
i might,
   but it will only take a few words
to have sung in my heimatspre(s)chen
to known upon what altar
i leave my heart, and allegience to...
a man who identifies himself
as an englischmann
       but also attempts to retain
the individuality abstractum
  has but to embody an:
              ad abstractum populis...
i believe in cognitive tattoos...
       why should i pay an
   allegiance to a person who pays
no allegiance to his own people?!
akin to me i ask:
    have i met these people? no!
would i want to meet them? no!
but would i want any harm come
their way?! no!
               i'll borrow a german word:
as i'd call out:
   the english "think" they work hard...
sure, they work their 40+ hours
a week,
    unless you're a professional
on a construction site working
an office space: you really are:
   working "hard"...
                  see... i'm looking for
a noun...
          it's what the germans made law:
to no send emails outside of working
hours...
     the english? they don't seem
to understand this concept!
      nichtaußenarbeitenzeit recht...
the english understand "working hard"...
i.e. procrastinating...
     i feel ashamed to have to state
that vater deutsche didn't teach
      sohn sachse what
work actually implies...
    the fact that the english concern
themselves with an equal measure
of "work" and an effective time-wasted
in a commute: well...
     my bad...
          to work hard is best
described by an effectiveness...
the modern englishman doesn't understand
no more of capitalism than he understands
"working hard" differentiated from
working effectively...
             the germans know the concept
of an effective workforce: because
they understand the concept of:
               arbeitenzeit...
sure: if you want me to farm hogs
i'll me more than qualified in terms of
having observed the ******* absurdity...
CONTENT CREATORS!
       nichtaußenarbeitenzeit recht:
not outside of working time law:
            E-MAILS!
       the english have no private life
that might allow them to respect
     other people being effective in working
hours: hence they have to extend "working"
outside of working hours...
            and paying compliments do
deutsche was really always that good?
      it would seem to be the case:
having the fantasy of imagining
  the english being employed as 2nd Jude in
digging the La Manche autobahn...
                 simple concept:
nichtaußenarbeitenzeit recht:
  the law that says: you will not contact me
outside of working hours...
  the english have no concept of this right...
the english have been perpetually
prescribed their inability / ability to
"work"...
               being primarily bankers
in the upper tiers:
  insomnia meets procrastination...
         but at least the germans have
a work ethic: which the english lack...
at least the germans know that:
you work when you work,
  and you rest when you rest...
   you are supposed both of these forms
of currency...
         work doesn't not equal
but one form of currency:
   with the higher tier of currency: rest -
being wasted on ****-pants
   "managers" who could probably
find it hard to organise a
                                 piñata party!
oh sure: the english really, really:
"work, hard"...
       but at least the german knows
how to work effectively...
     respecting both money
and the currency of leisure activity
away from working!
  the english are a people have no
concept of respecting earning a currency:
since they only reduced it
to consumerism...
    and a claustrophobia
          of a work: either done or
not done, yet the money / thing /
exchange of things still earned...
    the english have no respect for
    earning leisure: which is why they
most certainly will loiter like
skin-cancer lobsters on holiday
on some beach in the Caribbean:
   like some new-money Russian couple;
you can really respect the worth
of work if you allow the worker being
able to earn two forms of currency:
(a) the currency itself
  (b) a way to enjoy it, rather than
simply spend it,
  otherwise
  (c) money is just as mythical
as the alchemical search for
               the philosopher's stone.
- you can't even begin to fathom
my vitriol with regards to who
disrespective people are to the german
concept of: nichtaußenarbeitenzeit...
     then again it makes sense
why marxism was born in england
and not anywhere else.
Mateuš Conrad Aug 2020
.the lost sigh of the new exasperated... the lost sigh being an anne sexton... and the new exasperated being an olivia gatwood... old pixie new pixie and borrowing from: garden state... like lazy grit... the best searched for scrutiny & with life... my own too tender heart... a mushroom cloud and a moth nursery... my own mea culpa my loiter my digression... my... giggle shot at the knee... before the already disposed kneeling; "process". the process of breaking up feuds... notably? telling the difference between broken mirrors and broken glass... a false memory of a dalmation... i call it Dunkirk but it's (it was) actually Dundee... and... drinking tequilla with an orange and sugar than a lemon and salt... and not getting laid... because... "let's forget" that was the first and last available impromptu... to settle a grief of memory... the last explored eventuality of "re-imagining" a banana: as straights and "justice"... and that grief of a grimmace when: a lemon bit into: was all that was expected! i can't let go, though... it's not like i'm holding to a harry potter impossible... dancing on the old college roof... edinburgh... listening to the shins' new slang... my most "solipsistic" spectacular... the same old attempting to solve puzzles by ******* girls with tattoos... my prized daddy issue? he's not dead in that there's also a "yet"... here's to me swimming across la manche! because... there's a heap of barley to be digested and ******* out like: tomorrow... eh?! coming across new vinyl is like... the realisation that... there's actually no new money... or no new concept of money... like pebbles are not copper effigies made into shrines and what not; it's a near impossible venture to test rich... with later boasting... beside what's necessary as: the enough... there must be a concept of... losing track of the peacock... **** me... i will have to agree that there actually is the "right" number of oysters being "served", gulped... "divorced"... moth in transit... stitching itself shut to my bedroom wall... and that's worth savouring... the inability to savour a furthering with plot of berryman sexton plath and... this robbing scrutiny of the obvious crescendo.

listening to classic.fm
has become largerly
impossible:
even if one has a stomach
a mouth and an ****...
notably from
the argument of
a bbc radio 3 d.j. -
thereby / therefore
i concur...
   it is very impossible...
to stomach classic.fm with...
the money... the adverts...
and since i forgot
to mention the ordeal
of advert when... listening
to bbc radio 3...
but that there's so much
of everything
so predictable...
   i'm yet to age around
the summit with
bbc radio 4 being...
a blatancy...
a blatancy of having
a forgiving insight
wedded to a nostalgia
of a... somehow "missing" year...
best encapsulated
by the frizz of autumn:
a haste via an agitation
that's beside (the) zenith
that's (a) death;
the english scissor cutting...
the A-THE-ISM
of the indefinite and the definite
article...
lost toward the other shrapnel:
the conjunction and pronoun
and the lost remains
of the... other...
sort of load of *******.
Dans l'amoureux, qu'Éros grise,
L'imbécile est ébauché ;
La ponte d'une bêtise
Suit le rêve d'un péché.

Crains les belles. On se laisse
Vaincre aisément par Lola.
Dieu compose de faiblesse
Ces toutes-puissances-là.

C'est en jouant que la femme,
C'est en jouant que l'enfant,
Prennent doucement notre âme.
Le faible est le triomphant.

La vertu, de sa main blanche
Et de son beau fil doré,
Recoud sans cesse la manche
Par où Joseph fut tiré.
Ryan O'Leary Jul 2018
Premier a sinistre
après Lille, direction
misere, sortir (27).

Continuer tout droit
dans un route pas
scenic et sombre.

Quand vous arrivez,
l’autre cote de la
Manche, c’est fini.

Ou, en jeux de mot,
on peux dire, en
Anglais, c'est Dover!!
Good riddance and don't come back.

— The End —