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Morning dew
kitchen smells of last nights stew
Sleepy eyes brew
Coffee for two
Words, many or few
We simply follow through
I touch your hand like to sew
Two hearts that are true
A soft kiss on awakening lips too
Welcome the warmth between me and you
Me and you and morning dew
So there's this new fad diet
The Diet of Worms.....
Can you tell me bout it doc?
Is it good for your health?

And I don't quite understand.
Is it the worms we eat
or do we eat dirt and sand?  

In any case it sounds expensive.  
10+% of everything I earn?
And you have to commit
your entire life or
according to this pamphlet
"your soul will surely burn"?  Wow...must really work!  

But tell me has the FDA approved, found the claims
to be true?  Any side effects, complications? Could I
possibly turn blue?  

And why were no American researchers and experts on the team that concocted this diet?
OK OK doc I'll let you talk,
I'll be quiet......

"I've taken it on faith that my patients who've tried it swear that its a miracle....I have no personal experience with it ...give it a shot who knows it might work.".

Hmmmm OK.

"But I heard they have a litany of products so beware that your investment doesn't soon quadruple in size."

Thanks for the visit doc, Ill take it under advice.  I think I might....... especially if there's a refund if I don't like it after trying it and don't think it worth the price.
Poking fun at blind faith and especially Catholicism...I'm allowed to ..17 years of nuns, Salesians and Jesuits
When
    It
     Comes
       To
    Love
Literally
        I
Propose
      The
Kind
      Of
     Intimacy
So
               Flawlessly
                               Glamorous
                       Even
                              Poetry 
                          ­    Cannot
                       Describe.
When I’m in , I’m in .... No two ways about it, true love never complicated..... The unfaithful People Are ... There are no shortcuts to love , but so many too often turn a blind eye!
Lorsque, par un décret des puissances suprêmes,
Le Poète apparaît en ce monde ennuyé,
Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes
Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié :

- " Ah ! que n'ai-je mis bas tout un noeud de vipères,
Plutôt que de nourrir cette dérision !
Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères
Où mon ventre a conçu mon expiation !

Puisque tu m'as choisie entre toutes les femmes
Pour être le dégoût de mon triste mari,
Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes,
Comme un billet d'amour, ce monstre rabougri,

Je ferai rejaillir ta haine qui m'accable
Sur l'instrument maudit de tes méchancetés,
Et je tordrai si bien cet arbre misérable,
Qu'il ne pourra pousser ses boutons empestés ! "

Elle ravale ainsi l'écume de sa haine,
Et, ne comprenant pas les desseins éternels,
Elle-même prépare au fond de la Géhenne
Les bûchers consacrés aux crimes maternels.

Pourtant, sous la tutelle invisible d'un Ange,
L'Enfant déshérité s'enivre de soleil,
Et dans tout ce qu'il boit et dans tout ce qu'il mange
Retrouve l'ambroisie et le nectar vermeil.

Il joue avec le vent, cause avec le nuage,
Et s'enivre en chantant du chemin de la croix ;
Et l'Esprit qui le suit dans son pèlerinage
Pleure de le voir *** comme un oiseau des bois.

Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte,
Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité,
Cherchent à qui saura lui tirer une plainte,
Et font sur lui l'essai de leur férocité.

Dans le pain et le vin destinés à sa bouche
Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats ;
Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche,
Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas.

Sa femme va criant sur les places publiques :
" Puisqu'il me trouve assez belle pour m'adorer,
Je ferai le métier des idoles antiques,
Et comme elles je veux me faire redorer ;

Et je me soûlerai de nard, d'encens, de myrrhe,
De génuflexions, de viandes et de vins,
Pour savoir si je puis dans un coeur qui m'admire
Usurper en riant les hommages divins !

Et, quand je m'ennuierai de ces farces impies,
Je poserai sur lui ma frêle et forte main ;
Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies,
Sauront jusqu'à son coeur se frayer un chemin.

Comme un tout jeune oiseau qui tremble et qui palpite,
J'arracherai ce coeur tout rouge de son sein,
Et, pour rassasier ma bête favorite,
Je le lui jetterai par terre avec dédain ! "

Vers le Ciel, où son oeil voit un trône splendide,
Le Poète serein lève ses bras pieux,
Et les vastes éclairs de son esprit lucide
Lui dérobent l'aspect des peuples furieux :

- " Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance
Comme un divin remède à nos impuretés
Et comme la meilleure et la plus pure essence
Qui prépare les forts aux saintes voluptés !

Je sais que vous gardez une place au Poète
Dans les rangs bienheureux des saintes Légions,
Et que vous l'invitez à l'éternelle fête,
Des Trônes, des Vertus, des Dominations.

Je sais que la douleur est la noblesse unique
Où ne mordront jamais la terre et les enfers,
Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique
Imposer tous les temps et tous les univers.

Mais les bijoux perdus de l'antique Palmyre,
Les métaux inconnus, les perles de la mer,
Par votre main montés, ne pourraient pas suffire
A ce beau diadème éblouissant et clair ;

Car il ne sera fait que de pure lumière,
Puisée au foyer saint des rayons primitifs,
Et dont les yeux mortels, dans leur splendeur entière,
Ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs ! "
Les amants des prostituées
Sont heureux, dispos et repus ;
Quant à moi, mes bras sont rompus
Pour avoir étreint des nuées.

C'est grâce aux astres nonpareils,
Qui tout au fond du ciel flamboient,
Que mes yeux consumés ne voient
Que des souvenirs de soleils.

En vain j'ai voulu de l'espace
Trouver la fin et le milieu ;
Sous je ne sais quel oeil de feu
Je sens mon aile qui se casse ;

Et brûlé par l'amour du beau,
Je n'aurai pas l'honneur sublime
De donner mon nom à l'abîme
Qui me servira de tombeau.
Blanche fille aux cheveux roux,
Dont la robe par ses trous
Laisse voir la pauvreté
Et la beauté,

Pour moi, poète chétif,
Ton jeune corps maladif,
Plein de taches de rousseur,
A sa douceur.

Tu portes plus galamment
Qu'une reine de roman
Ses cothurnes de velours
Tes sabots lourds.

Au lieu d'un haillon trop court,
Qu'un superbe habit de cour
Traîne à plis bruyants et longs
Sur tes talons ;

En place de bas troués,
Que pour les yeux des roués
Sur ta jambe un poignard d'or
Reluise encor ;

Que des noeuds mal attachés
Dévoilent pour nos péchés
Tes deux beaux seins, radieux
Comme des yeux ;

Que pour te déshabiller
Tes bras se fassent prier
Et chassent à coups mutins
Les doigts lutins,

Perles de la plus belle eau,
Sonnets de maître Belleau
Par tes galants mis aux fers
Sans cesse offerts,

Valetaille de rimeurs
Te dédiant leurs primeurs
Et contemplant ton soulier
Sous l'escalier,

Maint page épris du hasard,
Maint seigneur et maint Ronsard
Épieraient pour le déduit
Ton frais réduit !

Tu compterais dans tes lits
Plus de baisers que de lis
Et rangerais sous tes lois
Plus d'un Valois !

- Cependant tu vas gueusant
Quelque vieux débris gisant
Au seuil de quelque Véfour
De carrefour ;

Tu vas lorgnant en dessous
Des bijoux de vingt-neuf sous
Dont je ne puis, oh ! pardon !
Te faire don.

Va donc ! sans autre ornement,
Parfum, perles, diamant,
Que ta maigre nudité,
Ô ma beauté !
Freedom

Every breath
Every step
Every thought
Every word

To live
To be
To act
To feel

There is not much to say
Perpetually fighting to stay
There is so much in its way
To be free is all we pray
 Aug 2018 Brandon Conway
Yitkbel
I am terribly near sighted
Consciously and subconsciously
I see not what I have saw
And
I hear not what I have heard
Sometimes,
In fact most of the time,
I don’t even feel
What I should have felt

But the mirror of life
It keeps a record of every little thing
And I relive in my dreams
All that I have missed

And much much more:

All I ever need
Is just a little hint of life:

Your lovely little smile
I failed to respond to during the day
Would haunt me
With what would seem like
A whole lifetime of sweet champagne
And
Kisses of cherries and grapes
With a scent of longing that
Fills me to the core with
Twinges that burst throughout
My entire being
Shining brightly from
Every single particle of my
Soul

The little chirps and calls of crickets
That alternate between the oblivious
Moon upon a bed of restless stars
And the wizened sun
Would always take me to a land
Unlived, untouched, unruined
A vast nonexistence
A vast ruin full of life
Where I have never been so alone
Yet so fulfilled, so joyful, and so
Free

And

The dreamless gale that
Would raise me up to mountains
From which I can finally gaze down
With sure and confident eyes
Upon the whole of life
And
See, sense, and feel
Every scenery and every being
With the purest of colours
Rowing down the crimson rivers
In a canary boat caressed by
A forest of ocean blue sequoias
Blanketed with a soup of
Violet stars
Into the heart of the universe

Where everything that have lived
Or could have lived
Never went away

Where nothing is ever gone
But just lost
So momentarily
Like a wandering child
Let out into the world
Seemingly defenselessly
Yet, perfectly safe
Under the hidden watch of
The mother

Where everything I love
Love me just as much
And so much more

Where I am never just me
But a child
A poet
A painter
A musician
An ancient pilgrim

Where I can fall into stars
And float up to the edge
Of the sky
Swim in the air without my feet
Ever touching the ground

Where I am finally
Held by you
The one person
I love most unyieldingly
In a death grip of never letting go.
I Love you through My Dreams
Jan 27, 2018, 6:15 PM
By: Yue Yitkbel ****

Used to be a personal favorite so I wanted to publish it, but since I haven't heard back from anyone, and I don't like it as much as anymore  I'll just post them.

(I wish I can pin posts here:
I think these are better poems of mine:
https://hellopoetry.com/poem/2646158/the-threads-between-every-you-and-me/
https://hellopoetry.com/poem/2618377/the-metamorphosis-of-a-bee/
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