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ami snacks Oct 2012
ITS ALMOST AS IF UR MY DARK KNIGHT

AND MAYBE UR THE ONE TO SWEEP ME OFF MY FEET

AND MAYBE DEEP DOWN INSIDE IVE ALWAYS KNOWN IT COULD BE

MAYBE IM STEADY JUST 2 STUCK ON THE FACT THAT I CAN GET SO COMFORTABLE

IN YA ARMS

PROTECTED BY A STRONG

KNIGHT WITH A BRIGHT SHINY ARMER

AND AS THE STARS REFLECT IN UR EYES I JUMP UP 2 THE SKY

WANTING 2 SEE HOW IT LOOKS EACH AND EVERYTIME

ALWAYS KNOWN U

BUT I NEVER TOOK THE TIME 2 GET 2 KNOW U

AND ITS STRANGE HOW YOU CAN SIT ME ON YOUR HORSE

AND TAKE ME AWAY INTO MY DREAMS

FEELING FEELINGS I WOULD HAVE NEVER THOUGHT

AND KNOWING EXACTLY WHAT THEY MEAN

SO I JUST SIT BEHIND U

RUNNING  INTO A FAIRYTALE

AN ENCHANTED LAND

BYING PASS ALL THE SANDS THAT ARE QUICK

FASTER AND FASTER AND FASTER WE GO

DUCKING AND DODGING THE GHOST OF THE PATHS

I GRAB U CLOSER 2 ME

THE WIND BLOWS VICIOUSLY  

BUT I CAN STILL FEEL EACH AND EVERY INCH

OF UR BODY HEAT

JUST 2 HOLD U AND CLOSE MY EYES

PURE ******

THE WIND CONTINUES 2 BLOW

AND THE LEAVES STILL AT FLUTTER

U STOP.... AND KISS MY FOREHEAD

SO I STAND AND ALLOW U 2 DO IT

AND IT ALL FEELS LIKE A TRICK

BUT WHAT IT REALLY IS...

ITS JUST THE SIMPLE FACT THAT MY

FOREHEAD IS NOT USED TO THIS

NEVER HAVE I EVER BEEN TOUCHED SO GENTLY

GOT ME ALL TWISTED MENTALLY

SHOULD OF BEEN TREATED THIS WAY ORIGINALLY

DAM  SO MANY THOUGHTS RUNING SWIFTLY

AROUND MY HEAD

MY STOMACH ONCE RUMMBLED OF HUNGRY

BUT HOW ARE U SUPPOST TO FEEL ONCE IT GETS FEED?

IM BEAUTIFUL U SAY

AND I WISH THAT AT THAT MOMENT I WAS ABLE TO THINK FAST ENOUGH 2 SAY U 2

AND IN THE BLINK OF AN EYE

I LOST U

.
I


Les prêtres avaient dit : « En ce temps-là, mes frères,

On a vu s'élever des docteurs téméraires,

Des dogmes de la foi censeurs audacieux :

Au fond du Saint des saints l'Arche s'est refermée,

Et le puits de l'abîme a vomi la fumée

Qui devait obscurcir la lumière des cieux.


L'Antéchrist est venu, qui parcourut la terre :

Tout à coup, soulevant un terrible mystère,

L'impie a remué de profanes débats ;

Il a dressé la tête : et des voix hérétiques

Ont outragé la Bible, et chanté les cantiques

Dans le langage impur qui se parle ici-bas.


Mais si le ciel permet que l'Église affligée

Gémisse pour un temps, et ne soit point vengée ;

S'il lui plaît de l'abattre et de l'humilier :

Si sa juste colère, un moment assoupie.

Dans sa gloire d'un jour laisse dormir l'impie,

Et livre ses élus au bras séculier ;


Quand les temps sont venus, le fort qui se relève

Soudain de la main droite a ressaisi le glaive :

Sur les débris épars qui gisaient sans honneur

Il rebâtit le Temple, et ses armes bénites

Abattent sous leurs coups les vils Madianites,

Comme fait les épis la faux du moissonneur.


Allez donc, secondant de pieuses vengeances,

Pour vous et vos parents gagner les indulgences ;

Fidèles, qui savez croire sans examen,

Noble race d'élus que le ciel a choisie,

Allez, et dans le sang étouffez l'hérésie !

Ou la messe, ou la mort !» - Le peuple dit : Amen.


II


A l'hôtel de Soissons, dans une tour mystique,

Catherine interroge avec des yeux émus

Des signes qu'imprima l'anneau cabalistique

Du grand Michel Nostradamus.

Elle a devant l'autel déposé sa couronne ;

A l'image de sa patronne,

En s'agenouillant pour prier.

Elle a dévotement promis une neuvaine,

Et tout haut, par trois fois, conjuré la verveine

Et la branche du coudrier.


« Les astres ont parlé : qui sait entendre, entende !

Ils ont nommé ce vieux Gaspard de Châtillon :

Ils veulent qu'en un jour ma vengeance s'étende

De l'Artois jusqu'au Roussillon.

Les pieux défenseurs de la foi chancelante

D'une guerre déjà trop lente

Ont assez couru les hasards :

A la cause du ciel unissons mon outrage.

Périssent, engloutis dans un même naufrage.

Les huguenots et les guisards ! »


III


C'était un samedi du mois d'août : c'était l'heure

Où l'on entend de ****, comme une voix qui pleure,

De l'angélus du soir les accents retentir :

Et le jour qui devait terminer la semaine

Était le jour voué, par l'Église romaine.

A saint Barthélémy, confesseur et martyr.


Quelle subite inquiétude

A cette heure ? quels nouveaux cris

Viennent troubler la solitude

Et le repos du vieux Paris ?

Pourquoi tous ces apprêts funèbres,

Pourquoi voit-on dans les ténèbres

Ces archers et ces lansquenets ?

Pourquoi ces pierres entassées,

Et ces chaînes de fer placées

Dans le quartier des Bourdonnais ?


On ne sait. Mais enfin, quelque chose d'étrange

Dans l'ombre de la nuit se prépare et s'arrange.

Les prévôts des marchands, Marcel et Jean Charron.

D'un projet ignoré mystérieux complices.

Ont à l'Hôtel-de-Ville assemblé les milices,

Qu'ils doivent haranguer debout sur le perron.


La ville, dit-on, est cernée

De soldats, les mousquets chargés ;

Et l'on a vu, l'après-dînée.

Arriver les chevau-légers :

Dans leurs mains le fer étincelle ;

Ils attendent le boute-selle.

Prêts au premier commandement ;

Et des cinq cantons catholiques,

Sur l'Évangile et les reliques,

Les Suisses ont prêté serment.


Auprès de chaque pont des troupes sont postées :

Sur la rive du nord les barques transportées ;

Par ordre de la cour, quittant leurs garnisons,

Des bandes de soldats dans Paris accourues

Passent, la hallebarde au bras, et dans les rues

Des gens ont été vus qui marquaient des maisons.


On vit, quand la nuit fut venue,

Des hommes portant sur le dos

Des choses de forme inconnue

Et de mystérieux fardeaux.

Et les passants se regardèrent :

Aucuns furent qui demandèrent :

- Où portes-tu, par l'ostensoir !

Ces fardeaux persans, je te prie ?

- Au Louvre, votre seigneurie.

Pour le bal qu'on donne ce soir.


IV


Il est temps ; tout est prêt : les gardes sont placés.

De l'hôtel Châtillon les portes sont forcées ;

Saint-Germain-l'Auxerrois a sonné le tocsin :

Maudit de Rome, effroi du parti royaliste,

C'est le grand-amiral Coligni que la liste

Désigne le premier au poignard assassin.


- « Est-ce Coligni qu'on te nomme ? »

- « Tu l'as dit. Mais, en vérité,

Tu devrais respecter, jeune homme.

Mon âge et mon infirmité.

Va, mérite ta récompense ;

Mais, tu pouvais bien, que je pense,

T'épargner un pareil forfait

Pour le peu de jours qui m'attendent ! »

Ils hésitaient, quand ils entendent

Guise leur criant : « Est-ce fait ? »


Ils l'ont tué ! la tête est pour Rome. On espère

Que ce sera présent agréable au saint père.

Son cadavre est jeté par-dessus le balcon :

Catherine aux corbeaux l'a promis pour curée.

Et rira voir demain, de ses fils entourée,

Au gibet qu'elle a fait dresser à Montfaucon.


Messieurs de Nevers et de Guise,

Messieurs de Tavanne et de Retz,

Que le fer des poignards s'aiguise,

Que vos gentilshommes soient prêts.

Monsieur le duc d'Anjou, d'Entrague,

Bâtard d'Angoulême, Birague,

Faites armer tous vos valets !

Courez où le ciel vous ordonne,

Car voici le signal que donne

La Tour-de-l'horloge au Palais.


Par l'espoir du butin ces hordes animées.

Agitant à la main des torches allumées,

Au lugubre signal se hâtent d'accourir :

Ils vont. Ceux qui voudraient, d'une main impuissante,

Écarter des poignards la pointe menaçante.

Tombent ; ceux qui dormaient s'éveillent pour mourir.


Troupes au massacre aguerries,

Bedeaux, sacristains et curés,

Moines de toutes confréries.

Capucins, Carmes, Prémontrés,

Excitant la fureur civile,

En tout sens parcourent la ville

Armés d'un glaive et d'un missel.

Et vont plaçant des sentinelles

Du Louvre au palais des Tournelles

De Saint-Lazare à Saint-Marcel.


Parmi les tourbillons d'une épaisse fumée

Que répand en flots noirs la résine enflammée,

A la rouge clarté du feu des pistolets,

On voit courir des gens à sinistre visage,

Et comme des oiseaux de funeste présage,

Les clercs du Parlement et des deux Châtelets.


Invoquant les saints et les saintes,

Animés par les quarteniers,

Ils jettent les femmes enceintes

Par-dessus le Pont-aux-Meuniers.

Dans les cours, devant les portiques.

Maîtres, écuyers, domestiques.

Tous sont égorgés sans merci :

Heureux qui peut dans ce carnage,

Traversant la Seine à la nage.

Trouver la porte de Bussi !


C'est par là que, trompant leur fureur meurtrière,

Avertis à propos, le vidame Perrière,

De Fontenay, Caumont, et de Montgomery,

Pressés qu'ils sont de fuir, sans casque, sans cuirasse.

Échappent aux soldats qui courent sur leur trace

Jusque sous les remparts de Montfort-l'Amaury.


Et toi, dont la crédule enfance,

Jeune Henri le Navarrois.

S'endormit, faible et sans défense,

Sur la foi que donnaient les rois ;

L'espérance te soit rendue :

Une clémence inattendue

A pour toi suspendu l'arrêt ;

Vis pour remplir ta destinée,

Car ton heure n'est pas sonnée,

Et ton assassin n'est pas prêt !


Partout des toits rompus et des portes brisées,

Des cadavres sanglants jetés par les croisées,

A des corps mutilés des femmes insultant ;

De bourgeois, d'écoliers, des troupes meurtrières.

Des blasphèmes, des pleurs, des cris et des prières.

Et des hommes hideux qui s'en allaient chantant :


« Valois et Lorraine

Et la double croix !

L'hérétique apprenne

Le pape et ses droits !

Tombant sous le glaive.

Que l'impie élève

Un bras impuissant ;

Archers de Lausanne,

Que la pertuisane

S'abreuve de sang !


Croyez-en l'oracle

Des corbeaux passants,

Et le grand miracle

Des Saints-Innocents.

A nos cris de guerre

On a vu naguère,

Malgré les chaleurs,

Surgir une branche

D'aubépine franche

Couverte de fleurs !


Honni qui pardonne !

Allez sans effroi,

C'est Dieu qui l'ordonne,

C'est Dieu, c'est le roi !

Le crime s'expie ;

Plongez à l'impie

Le fer au côté

Jusqu'à la poignée ;

Saignez ! la saignée

Est bonne en été ! »


V


Aux fenêtres du Louvre, on voyait le roi. « Tue,

Par la mort Dieu ! que l'hydre enfin soit abattue !

Qu'est-ce ? Ils veulent gagner le faubourg Saint-Germain ?

J'y mets empêchement : et, si je ne m'abuse,

Ce coup est bien au droit. - George, une autre arquebuse,

Et tenez toujours prête une mèche à la main.


Allons, tout va bien : Tue ! - Ah. Cadet de Lorraine,

Allez-vous-en quérir les filles de la reine.

Voici Dupont, que vient d'abattre un Écossais :

Vous savez son affaire ? Aussi bien, par la messe,

Le cas était douteux, et je vous fais promesse

Qu'elles auront plaisir à juger le procès.


Je sais comment la meute en plaine est gouvernée ;

Comment il faut chasser, en quel temps de l'année.

Aux perdrix, aux faisans, aux geais, aux étourneaux ;

Comment on doit forcer la fauve en son repaire ;

Mais je n'ai point songé, par l'âme de mon père,

A mettre en mon traité la chasse aux huguenots ! »
Tia Jul 2014
Your body.
My body.
Totally different body's.
That over time have became one.
You have made mistakes.
I stayed by your side.
I have done some bad things.
Your still by mine.
I hope we can stay one for the rest of our lives.
I promise I will not tell half truths or lies.
I believe you will promise the same.
I know we have lost some trust.
I'm willing to work hard to get it back.
Your my one and only.
My forever and always.
My knight and shining armer.
Who one day will ask me to be his queen.
So I can say.
My king.
Jonathan.
You are my everything.
You always will be.
I can't wait till the day I can stand in front of everyone.
Look at my ocean eyes.
And say to my fifty shades.
I Do.
After everything this man is still here with me after 6 long years for the good times and the bad. He truly is my best friend!
I.

L'esprit des sages te contemple,
Mystérieuse Humilité,
Porte étroite et basse du temple
Auguste de la vérité !
Vertu que Dieu place à la tête
Des vertus que l'ange au ciel fête ;
Car elle est la perle parfaite
Dans l'abîme du siècle amer ;
Car elle rit sous l'eau profonde,
**** du plongeur et de la sonde.
Préférant aux écrins du monde
Le cœur farouche de la mer.
C'est vers l'humanité fidèle
Que mes oiseaux s'envoleront ;
Vers les fils, vers les filles d'elle,
Pour sourire autour de leur front ;
Vers Jeanne d'Arc et Geneviève
Dont l'étoile au ciel noir se lève,
Dont le paisible troupeau rêve,
Oublieux du loup, qui s'enfuit ;
Douces porteuses de bannière,
Qui refoulaient, à leur manière,
L'impur Suffolk vers sa tanière,
L'aveugle Attila dans sa nuit.

Sur la lyre à la corde amère
Où le chant d'un dieu s'est voilé,
Ils iront saluer Homère
Sous son haillon tout étoile.
Celui pour qui jadis les Iles
Et la Grèce étaient sans asiles,
Habite aujourd'hui dans nos villes
La colonne et le piédestal ;
Une fontaine à leur flanc jase,
Où l'enfant puise avec son vase,
Et la rêverie en extase,
Avec son urne de cristal.
**** des palais sous les beaux arbres
Où les paons, compagnons des dieux,
Traînent dans la blancheur des marbres
Leurs manteaux d'azur, couverts d'yeux ;
Où, des bassins que son chant noie
L'onde s'échevelle et poudroie :
Laissant ce faste et cette joie,
Mes strophes abattront leur vol,
Pour entendre éclater, superbe,
La voix la plus proche du Verbe,
Dans la paix des grands bois pleins d'herbe
Où se cache le rossignol.
Lorsqu'au fond de la forêt brune
Pas une feuille ne bruit,
Et qu'en présence de la lune
Le silence s'épanouit,
Sous l'azur chaste qui s'allume,
Dans l'ombre où l'encens des fleurs fume,
Le rossignol qui se consume
Dans l'extatique oubli du jour,
Verse un immense épithalame
De son petit gosier de flamme,
Où s'embrasent l'accent et l'âme
De la nature et de l'amour !

II.

C'est Dieu qui conduisait à Rome,
Mettant un bourdon dans sa main,
Ce saint qui ne fut qu'un pauvre homme,
Hirondelle de grand chemin,
Qui laissa tout son coin de terre,
Sa cellule de solitaire.
Et la soupe du monastère,
Et son banc qui chauffe au soleil,
Sourd à son siècle, à ses oracles,
Accueilli des seuls tabernacles,
Mais vêtu du don des miracles
Et coiffé du nimbe vermeil.

Le vrai pauvre qui se délabre,
Lustre à lustre, été par été,
C'était ce règne, et non saint Labre,
Qui lui faisait la charité
De ses vertus spirituelles,
De ses bontés habituelles,
Léger guérisseur d'écrouelles,
Front penché sur chaque indigent,
Fière statue enchanteresse
De l'austérité, que Dieu dresse,
Au bout du siècle de l'ivresse,
Au seuil du siècle de l'argent.

Je sais que notre temps dédaigne
Les coquilles de son chapeau,
Et qu'un lâche étonnement règne
Devant les ombres de sa peau ;
L'âme en est-elle atténuée ?
Et qu'importe au ciel sa nuée,
Qu'importe au miroir sa buée,
Si Dieu splendide aime à s'y voir !
La gangue au diamant s'allie ;
Toi, tu peins ta lèvre pâlie,
Luxure, et toi, vertu salie,
C'est là ton fard mystique et noir.

Qu'importe l'orgueil qui s'effare,
Ses pudeurs, ses rebellions !
Vous, qu'une main superbe égare
Dans la crinière des lions,
Comme elle égare aux plis des voiles,
Où la nuit a tendu ses toiles,
Aldébaran et les étoiles,
Frères des astres, vous, les poux
Qu'il laissait paître sur sa tête,
Bon pour vous et dur pour sa bête,
Dites, par la voix du poète,
À quel point ce pauvre était doux !

Ah ! quand le Juste est mort, tout change :
Rome au saint mur pend son haillon,
Et Dieu veut, par des mains d'Archange,
Vêtir son corps d'un grand rayon ;
Le soleil le prend sous son aile,
La lune rit dans sa prunelle,
La grâce comme une eau ruisselle
Sur son buste et ses bras nerveux ;
Et le saint, dans l'apothéose
Du ciel ouvert comme une rose,
Plane, et montre à l'enfer morose
Des étoiles dans ses cheveux !

Beau paysan, ange d'Amette,
Ayant aujourd'hui pour trépieds
La lune au ciel, et la comète,
Et tous les soleils sous vos pieds ;
Couvert d'odeurs délicieuses,
Vous, qui dormiez sous les yeuses,
Vous, que l'Eglise aux mains pieuses
Peint sur l'autel et le guidon,
Priez pour nos âmes, ces gouges,
Et pour que nos cœurs, las des bouges,
Lavent leurs péchés noirs et rouges
Dans les piscines du pardon !

III.

Aimez l'humilité ! C'est elle
Que les mages de l'Orient,
Coiffés d'un turban de dentelle,
Et dont le Noir montre en riant
Un blanc croissant qui l'illumine,
Offrant sur les coussins d'hermine
Et l'or pur et la myrrhe fine,
Venaient, dans l'encens triomphant,
Grâce à l'étoile dans la nue,
Adorer, sur la paille nue,
Au fond d'une étable inconnue,
Dans la personne d'un enfant.
Ses mains, qui sont des fleurs écloses,
Aux doux parfums spirituels,
Portent de délicates roses,
À la place des clous cruels.
Ecarlates comme les baies
Dont le printemps rougit les haies,
Les cinq blessures de ses plaies,
Dont l'ardeur ne peut s'apaiser,
Semblent ouvrir au vent des fièvres,
Sur sa chair pâle aux blancheurs mièvres,
La multitude de leurs lèvres
Pour l'infini de son baiser.
Au pied de la croix découpée
Sur le sombre azur de Sion,
Une figure enveloppée
De silence et de passion,
Immobile et de pleurs vêtue,
Va grandir comme une statue
Que la foi des temps perpétue,
Haute assez pour jeter sur nous,
Nos deuils, nos larmes et nos râles,
Son ombre aux ailes magistrales,
Comme l'ombre des cathédrales
Sur les collines à genoux.
Près de la blanche Madeleine,
Dont l'époux reste parfumé
Des odeurs de son urne pleine,
Près de Jean le disciple aimé,
C'est ainsi qu'entre deux infâmes,
Honni des hommes et des femmes,
Pour le ravissement des âmes,
Voulut éclore et se flétrir
Celui qui, d'un cri charitable,
Appelante pauvre à sa table,
Etait bien le Dieu véritable
Puisque l'homme l'a fait mourir !

Maintenant que Tibère écoute
Rire le flot, chanter le nid !
Olympe, un cri monte à ta voûte,
Et c'est : Lamma Sabacthani !
Les dieux voient s'écrouler leur nombre.
Le vieux monde plonge dans l'ombre,
Usé comme un vêtement sombre
Qui se détache par lambeaux.
Un empire inconnu se fonde,
Et Rome voit éclore un monde
Qui sort de la douleur profonde
Comme une rose du tombeau !
Des bords du Rhône aux bords du Tigre
Que Néron fasse armer ses lois,
Qu'il sente les ongles du tigre
Pousser à chacun de ses doigts ;
Qu'il contemple, dans sa paresse,
Au son des flûtes de la Grèce,
Les chevilles de la négresse
Tourner sur un rythme énervant ;
Déjà, dans sa tête en délire,
S'allume la flamme où l'Empire
De Rome et des Césars expire
Dans la fumée et dans le vent !

IV.

Humilité ! loi naturelle,
Parfum du fort, fleur du petit !
Antée a mis sa force en elle,
C'est sur elle que l'on bâtit.
Seule, elle rit dans les alarmes.
Celui qui ne prend pas ses armes,
Celui qui ne voit pas ses charmes
À la clarté de Jésus-Christ,
Celui là, sur le fleuve avide
Des ans profonds que Dieu dévide,
Aura fui comme un feuillet vide
Où le destin n'a rien écrit !
We got the ocean breeze and the seven seas.
humming birds and buzzing bees
plant's and creatures
the beauty features .
farmers armer's and those midnight charmers
we have food not hard to search for,
kids who have to line at  church door's  
         there'e are stores to by our sneekers others off to be a tweeker.
we get clean drinks with out no kinks it's the U.S.A with out no pay.
with a clean head, and a nice bed.
some call it lucky to live in a shed...
a different country roomate with a monkey ,
roof made of hay the dirt bed a lay.
we live like survivors , we search for our dinners , how is it made to be u.s.a winners?
with you're cool cars and movie stars,
you get ocupied ,
             and well supplied...
what a cool plate i'd wish for in fate
you have you're singers we eat with our fingers.
you roll those dice and hope for some nice,
lets go find dinner and cope with some rice....
Look who's at bat and serving at war,
                           you're lifes just so hard with you're  one choor.
      I want MY MONEY!!!
                                                            HA!
                                                                                             thats ****'s just funny...

_---Look at this world--
                                         with a breef glance ,
                                                                           Think of it more then some school dance.
Aria Mundt Aug 2017
He speaks to me of courage and strength, of warriors and great men,
I speak to him of the courage and strength that it takes to show his vulnerabilities, of warriors that fight for peace, of men who use their greatness for equality.
He wakes in the morning ready to take on the world, his armer shinning and strong, his walls of protection surrounding him.
I urge him to stay in bed, just a little longer, so that when he rises, his armer stays in his dreams and his walls exist only in his nightmares,
He pain is in the past, in the fears of the future, both non existent in this moment, and yet this moment is not his.
I whisper to him, to let it go, let it be, to be present.
He hears me, he understands, yet without feeling there is no truth to understanding, and knowing will never be his,
I let him be, this fight is his.
He knows I am there and I know that he will be brave enough.
We got the ocean breeze and the seven seas.
humming birds and buzzing bees
plant's and creatures
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we have food not hard to search for,
kids who have to line at  church door's  
         there'e are stores to by our sneekers others off to be a tweeker.
we get clean drinks with out no kinks it's the U.S.A with out no pay.
with a clean head, and a nice bed.
some call it lucky to live in a shed...
a different country roomate with a monkey ,
roof made of hay the dirt bed a lay.
we live like survivors , we search for our dinners , how is it made to be u.s.a winners?
with you're cool cars and movie stars,
you get ocupied ,
             and well supplied...
what a cool plate i'd wish for in fate
you have you're singers we eat with our fingers.
you roll those dice and hope for some nice,
lets go find dinner and cope with some rice....
Look who's at bat and serving at war,
                           you're lifes just so hard with you're  one choor.
      I want MY MONEY!!!
                                                            HA!
                                                                                             thats ****'s just funny...

_---Look at this world--
                                         with a breef glance ,
                                                                           Think of it more then some school dance.
L'ennui de vivre avec les gens et dans les choses

Font souvent ma parole et mon regard moroses.


Mais d'avoir conscience et souci dans tel cas

Exhausse ma tristesse, ennoblit mon tracas.


Alors mon discours chante et mes yeux de sourire

Où la divine certitude s'en vient luire.


Et la divine patience met son sel

Dans mon long bon conseil d'usage universel.


Car non pas tout à fait par effet de l'âge

A mes heures je suis une façon de sage,


Presque un sage sans trop d'emphase ou d'embarras.

Répandant quelque bien et faisant des ingrats.


Or néanmoins la vie et son morne problème

Rendent parfois ma voix maussade et mon front blême.


De ces tentations je me sauve à nouveau

En des moralités juste à mon seul niveau ;


Et c'est d'un examen méthodique et sévère,

Dieu qui sondez les reins ! que je me considère.


Scrutant mes moindres torts et jusques aux derniers,

Tel un juge interroge à fond des prisonniers.


Je poursuis à ce point l'humeur de mon scrupule,

Que de gens ont parlé qui m'ont dit ridicule.


N'importe ! en ces moments est-ce d'humilité ?

Je me semble béni de quelque charité,


De quelque loyauté, pour parler en pauvre homme.

De quelque encore charité. - Folie en somme !


Nous ne sommes rien. Dieu c'est tout. Dieu nous créa,

Dieu nous sauve. Voilà ! Voici mon aléa :


Prier obstinément. Plonger dans la prière,

C'est se tremper aux flots d'une bonne rivière


C'est faire de son être un parfait instrument

Pour combattre le mal et courber l'élément.


Prier intensément. Rester dans la prière

C'est s'armer pour l'élan et s'assurer derrière.


C'est de paraître doux et ferme pour autrui

Conformément à ce qu'on se rend envers lui.


La prière nous sauve après nous faire vivre,

Elle est le gage sûr et le mot qui délivre


Elle est l'ange et la dame, elle est la grande sœur

Pleine d'amour sévère et de forte douceur.


La prière a des pieds légers comme des ailes ;

Et des ailes pour que ses pieds volent comme elles ;


La prière est sagace ; elle pense, elle voit,

Scrute, interroge, doute, examine, enfin croit.


Elle ne peut nier, étant par excellence

La crainte salutaire et l'effort en silence.


Elle est universelle et sanglante ou sourit,

Vole avec le génie et court avec l'esprit.


Elle est ésotérique ou bégaie, enfantine

Sa langue est indifféremment grecque ou latine,


Ou vulgaire, ou patoise, argotique s'il faut !

Car souvent plus elle est bas, mieux elle vaut.


Je me dis tout cela, je voudrais bien le faire,

Seigneur, donnez-moi de m'élever de terre


En l'humble vœu que seul peut former un enfant

Vers votre volonté d'après comme d'avant.


Telle action quelconque en tel temps de ma vie

Et que cette action quelconque soit suivie


D'un abandon complet en vous que formulât

Le plus simple et le plus ponctuel postulat,


Juste pour la nécessité quotidienne

En attendant, toujours sans fin, ma mort chrétienne.
Adrian alvarez Sep 2018
As I sat up today to began my day the pressure of anxiety has either become numb or slowly decest. unwanting Smiles have become the quickest way to blind this discomfort "I'm ok, im ok" repeats more in my head than the signals sent to respire. Time spent looking down has dulled my sense of color no longer able to identify the difference between them. Black and white is now it's outcome. Unwanted, wanted alarms has me walking to find each nights sky as if then I would regain  anything from this discolored vision. Days back sitting on top of the moutain I've gaind loved for the sunlight. Unable to look directly in its direction without my eyes flickering, old memorys grant me it's true identity. Wind with out obstruction is unsettling . I fear with out bricks I can no longer build a wall around myself. Having my guard down for this long has me feeling like a knight without armer. My collection of keys has not open the doors to the great beyond. I wish to meet you there. Without thought I walked down a familiar path only this time the once beautiful garden has become a dark swamp. The lack of care would do this. As I scream in anger a tear builds and reflects a light quickly looking for what I've lost I see it. But the swamp deepins and the mud thickens and I began to understand this path no longer belongs for me. So you stay bight without light, loud with out sound, alive around death your the only wild orchid in my ugly swamp.

Finding things to distract myself have become a necessity no longer a want. I've been stuck on many things but having to be brave to get down a mountain has gained my love. A craving for a thoughtless mind had become an addiction. Impulsively I've begin to repeat the same movements but expecting a different outcome so I go higher up the mountain each day.  Somehow it's been someone  was always  needed to be by side but that perception has faded once I get down with a smile on my face. I can't imagine a day without these moments of silence. With a theory of Dizzy legs in the seas legs become strong. Easy knees different balance it's not hard to gain control. I now flow with the wind once I found it's direction it's become music that hasn't moved me. Without keys without bricks without armer you'll have to climb this mountain to try and hurt me. (Title)
Part II
Celle, de qui l'Amour vainquit la fantaisie,
Que Jupiter conçut sous un Cygne emprunté ;
Cette sœur des Jumeaux, qui fit par sa beauté
Opposer toute Europe aux forces de l'Asie,

Disait à son mirouer (1), quand elle eut saisie
Sa face de vieillesse et de hideuseté (2) :
« Que mes premiers Maris insensés ont été
De s'armer pour jouir d'une chair si moisie !

« Dieux, vous êtes jaloux et pleins de cruauté !
Des Dames sans retour s'envole la beauté :
Aux serpents tous les ans vous ôtez la vieillesse. »

Ainsi disait Hélène, en remirant son teint.
Cet exemple est pour vous : cueillez votre jeunesse :
Quand on perd son Avril, en Octobre on s'en plaint.


1. Mirouer : Miroir.
2. Hideuseté : Laideur, répugnance.
Mateuš Conrad Dec 2023
am ende meines lebens angekommen, möchte (meschte) ich armer sünder auf diesem pergament zeugnis abgeben / having arrived at the end of my life, i want this poor sinner to surrender to the parchment-transcripts, handed over...

i haven't really listened to pop music in a long... while...
o.k.: i'm lying, there's a rubric of pop songs
i revisit habitually
like the religiosity implosion of church
from church-state (which, given the Vatican,
still exists) toward the church (one end)
state (the other end)... as with the disillusionment
of the concept of state... or is that nation, ethnicity
etc           etc            etc             ?      ?
                                                   ?      ? woo! a question sq.

i'm feeling very much **** clerical...
i'm a cleric of the Third *****...
times are great, given that someone had the *****
to put the unfair Treaty of Versailles
to some well-earned rest...
         rest assured: i will not be grieving the death
of letters, names, locations of birth
with some Auschwitz'ian sudoku...

nāmé (vornàmé)
  sur... name: nachnāmé... surname...

Grzegorz... Brzęczyszczykiewicz...

      (jak rozpętałem drugą wojnę światową -
how i unleashed world war II)
borrow from the film

verschließen! verschließen!
    
what is a V to a ******? Y has a name: igrek...
and V has a name: fał...

den mund halten? sort of confusing...
ver-shly-ss-en...
      my y oh why not not an i
when sometimes also an e...
ply-i
            Plymouth... Y done there right and proper...
say Plymouth one more time...
do you say: Plemouth or Plimouth...
you don't even utter mouth in the name
of an English city: plYmΩΘ

      the Y is a "hollowed out" iota or

ị: given that English, language, not the people
do not use diacritical markers
expect for i and j: aye, yes, affirmative and
jay... which is squeezing in jade... too...

Plymouth: my mouth is bleeding and i'm plucking out
teeth with my tongue...
i count 32 teeth... but only 26 letters in English...
i was getting assessed for an SIA license
today in Barking... the first Q that popped up
was: how many letters are there in the alphabet?

i should have written
a e i o u b c d f g h j k m n p q r s t

instead i wrote down:

a b c d e f g h i j k m n o p q r s t u v q w x y z...
yeah... with a Bachelor's degree in chemistry
you'd think i'd get that right....
apparently i have a blindspot for L...
jeez... i only had 25 letters...
had to check my phone...
twice... once for a missing letter Lil and El
and another time about what % and
the ugly baron of fraction (synonymous)
implied...

Barking Surrealism... i'm in England and yet
i'm being checked for language proficiency...
but i'm bilingual... don't talk to me about
schizophrenia and "losing touch with reality":
England has lost touch with reality:
outright...
my math wasn't so bad although...
i did get one question wong like wok desperado
because i answered the Q with
the better deal... not the worst deal
for a mobile phone contract...

now if i was an INDIGENOUS English fellow:
yeah... that would be intimidating...
but since i'm an immigrant myself...
well... (insert snigger): this is a bit of a topsy-turvy
tickle... isn't it?
i'm not ambitious enough for a middle-class
sitting at an office table gherkin festering...
but can you imagine...
being asked by an Asian or an African
if you speak the adequate English... in England?
which makes me think about the genius of
Russian hackers... do they speak proficient
Nigerian in Russia?! really?!

i was thinking about becoming a soap model
for adverts in Ghana half a year ago...
the pale complexion might give me a booster...
this is... absolutely, utterly:
Barking Surreal:
East End Surrealism...
i'm being assessed about my comprehension
of the English language... in England...
the **** do "people" speak in Antarctica?
penguin?! or do they speak chicken cluck cluck?!
and strut like geese? goose is the singular:
geese is the.... ha ha ha: mein *****!

this invention of a para-neo-**** cult of ideas
was bound to happen...
this is: a para-neo-**** cult of ideas:
it's a sort of bewildering scenario of: huh?!
it did happen, it has happened: it's happening, now?

personally i'm rather thankful that Europe has been
"invaded" by hordes from Asia and Africa:
i have a fetish for Indian and Latino girls...
i tried a black girl once...
she aimed at giving me a plum bruise on my
pelvis... she rammed down rammed down so hard
i almost forgot i ****** her in the dark...
it was pretty clear then that i was: no... she was...
aiming at circumcising me with her *******...
but i'm not a Heb' so no circumcision: thank you:
i have that excess skin for when i don't have
a ****** partner so there's no room for me to
make ******* a fetish...

but this was weird: i get the mathematical conundrum
but the language conundrum?
there are 32 teeth in the mouth of man...
as there are 32 letters in the Polish alphabet...
see! the wrong "aryans" lost the war...
Polacks from the 16th century onward
felt inclined to cite the migration of an Aryan
tribe toward the Vistula... the Sarmatians...
fake Aryans conquering truer Aryans...
drop the Q because that's like a faking C and K...
and drop the V...
and you get ą, ę, ć, ś... ó... ł, ż... ź...
technically you could also have š and č...
but then then Czech educator... theologian...
Yan (not Jane) Huß comes into play with Czech
and ž... and š and č...

to hide the Z in ****** or the H in English:
but then... no point hiding the H in English for too long
since: memories of Viking raids and the Norman invasion
you have enough free time to conjure up games
akin to football, cricket, rugby: goal oval ball H...
imitation of water-man and earth-man...
pass ball backwards but move forwards...

so much for meta-relationships:
i'm stuck in London, it's raining, therefore dreary therefore
i'm on reflective mode and melancholically adrift on
a memory-cinema of staying a month on
Kauai... funny how she says: Lay-che-ster...
Leicester... that's... Lester...
why not Lay-K'eh'ster? why does and who
advocates the C to become a K
and when did someone make his penny
on turning the C into a Σ?

   since that is the case, no?
ς = ç (transliteration-plagiarism):
there is no W or V sound in Greek...
R from P and P in Π - Greek to Latin transliteration
wasn't a complete plagiarism
that turned Zeus into Jupiter...
to this say Greek is reminiscent of Spanish whenever
employed in speech, or: zu sprechen...
sometimes even zu spreschen...

another quill... for my ugly peacock: -sch- / ś

grössenwahn - feindflug

a great motivational song to do bureaucratic
wordings of: filter the men who speak das zunge
from men who don't speak: dass / das das zunge...

30 minutes... from Havering Road to Barking Market...
compliments of owning a bicycle:
and using the Elizabeth line...
even by car alone the travel given
Bangladeshi traffic mantras would take me
close to 2h...
**** that...
every time i cycle in these "no go zones"
filled with Asians but no Ching Chong Wa's...
i'm worried about traffic accidents...
reminiscent of: niqabs are tunnel vision and goggles
and sometimes like crow-eyed
you see the first dinosaurs proper in chickens
before flight took off and chickens became
pigeons and it's scary to not find it funny
seeing how: i can't see! i can't see!
in the corner of my eyes those women
donning niqabs...

but i can get away with it
when i also see the "other Asians":
Sikhs... who... some even become proselytes when
it comes to the turban... shave their hair
and don western clothing because it's classy...
obviously the Muslims are an ****** hostile group
that need to feel comforted by
suicide bombings and shalwars and pajamas...
and those Palestinian headscarves:
but please... give me those guys
and not my ethnicity-shared-zombie-plot-holders
who came out of the Harry Potter transgender
apocalypse into the fore of political antagonism
a cause of causes...

basically ginger-bred foot ugly foo jimmy carr
typos... like typo is best defence for spelling
******* correctly?

i did listen to Edie though... every time i go
cycling, what do i eat should i feel peckish?
i eat 160g of chicken breast...
sometimes hot and spicy, sometimes bbq...
sometimes chinese chá-wah...
   but no carbohydrates... just the meat...
and oddly enough: i'm full for most of the day...
apparently i have a problem
because i sleep-eat... i also sleep-talk...
i truly miss being intimate with a bulb...
a woman... i don't understand *******...
to me... there's nothing better than an older...
voluptuous woman...
like my grandfather, Joseph, used to say:

a woman of full trim...
*******... ***... thighs...
and she is just that...
thanks to her i've forgotten what ******* is...

so we started talking about technology
how i use chatGPT to be able to write so freely here
for a canvas and an audience of 2
while also having to do the dreary prosaic...
and she sends me these filtered pictures
from tictoc and... given my access to AI...
seeing these "improvements":
but no no... she has the tenacity and the intelligence
to also send me the grotesque shots of herself...
in one...
she's the spitting image of: Schlitzie...
the pinhead circus freak!
and that's what's so fascinating!

the reality is: she's somewhere in the middle...
she's not some model
but she's also not some pinhead circus frrrrrr...
frrrr... (her daughter can't trill the R...
do the rattlesnake, ha ha)...

Edie: i beg to differ... there is no V in Greek...
ergo? Matthew...
last time i heard TH = Θ = F...
TH = PH:
phonetically... obviously these two letters
exist... identical phonetically
but when written down to exfoliate
in a change of meaning...

but now we have to be borrowing from Norse...
i.e. þought...
       and ðe: the thought...
how many times: it's not M'ah-view:
it's Math: mathematics...
how is mathematics different from Matthew...
the added T?
ma-th-ematics
ma-th-ew...
                  how on earth is that even phonetically
conceivable, that, i'm getting in "wong wonky"?

alðough ≠ alþough... clearly... all-foe?!
because given whatever Nordic letter:
although is said:
ål-v'oh... there is no T no H no G no H...
but that's how English is:
sort of French: two languages in one...
the phonetic said... and the counter-phonetic
written: of meaning off what is said...

å: owl - aul... even... or... that's plenty...
owl: ah! áwl! á = !
but punctuation dictate... surprise?

Maþew or Maðew? my view or my few?
thank god i don't like the sound of my own voice...
but this is good... this is good:
being brought down back to basics,
asked by Asians in England whether
i speak English in England...
this is good...
but like i choke-joked with her:
would a second language help?
people in these clerical positions are not exactly ready
for outliers like me who find this whole
schizophrenic-society funny...

i was once allocated the stigma of a unit
of schizophrenia i plagiarised and let go onto my environment
with stunning results:
well with bilingualism: am i not schizoid by
default?
oh right right... the intelligence typo:
must be... i somewhat wish i was born in a time
when people like Ezra Pound were committed to
institutions where no crimes were committed beside
wonk-fink...

          like the fetish for fascism is a...
in vivo depth-charge energy drive while
democracy is a cuckoldry in vitro sloppy seconds
of off "something"...

oh poor Amber... at the last Fulham shift...
she got a lesson in stoicism...
poor thing... maybe 17... came to the shift
without eating breakfast...
i sided with her: neither have i...
give it 30 minutes... she'll crack...
and she did... at first she was drawing doodles
in her notepad... then she approached me
about feeling ill and vomiting in the toilet:
wait there... i'll get someone...
found some safeguarding stewards:
apparently a grandma of sorts
who came round with a chocolate bar and an apple...
poor thing felt better... immediately...
girl: you don't go to work fasting
if you don't tease at the joys of
Stoic-Ramadan...
i like to feel the pain from hunger the the light-headedness
of not enough calorie intake...

obviously she went home: in tears...
but at least i found the help to pull her through:
this difficult task of mismanaging ****** fluids...
only recently i discovered i have bouts
of IBS: irritable bowel syndrome...

it's kind of funny: irritably so:
being of this branch of immigration that molded itself
into English society just at the right time
of seeing English Conservatism deplete itself
of any conservative credibility...
likewise seeing English liberalism turn into
a freakish illiberalism...
i too can become hyper-focused on grammar
and prune-those-nouns to "shape"!
i too: can become a grammar-****...
and with glee... not that i might mind to correct:

who doesn't like the odd schadenfreude of someone
buckling on a spelling of onomatopoeia?
because riddle me this: C U DER...
there is no seeing no you nor there, n'est ce pas?

nicht verloren: ein rückkehr:
schtill friedhöfe von Flandern:
             were once old foes of Europe fought for
bread and silk and the best societal ideal
to amass these billions of souls...
to be later scolded for... von ihre: fehler besitzen:
noch! würde nicht besitzen zu!

then again: the Hindu conceptualisation via reincarnation
is what? a pseudo-Vatican of the chosen / elected souls
migration through a zombie-land of flesh...
if it isn't then i don't know what 1 + 1 indicates
with = 2... reincarnation is a cognitive-caste symbiosis
for stereotyping the internal prejudices of the Indians:
lighter toned in the north:
oh don't you mind those Bangladeshi munchkin monkeys...

to think that only white people can be racist
is absurd... how did it come that i'm finishing this poo'em
on racism: page politics...
write two encouraging comments to get your poem
posted: another zombie sob story
white white white supremacy
patriarchy... kind of handy that feminism managed
to create a feminist platonism without actually
providing a female plato...
or a feminist german idealism without providing
a female kant...
because, you know: **** digs deeper than ****:
cognitively: some "bias"... must be the purple hair dye...

i blame white girls who haven't had a proper
**** but have only been exposed to ******* for this...
and "they" blame men and exposure to *******
as if: pedophiles are exclusively male...
and never, ever... female...
like it's all hush hush about female exposure to
******* that they spew these tangled *****
diatribes about white-fetish and father-double-fetish?!
missing... probably with some action: necro?
you'd hope...

can't get the decent **** so turns to political activism!
turns to narcissistic delusional licking of wounds...
can't use an AI chat bot because too busy
throwing on AI filters to save up on make-up when
catfishing...
Fable XVIII, Livre III.


Toi, chez qui tant de sens à tant d'esprit s'allie,
Chez qui les préjugés n'ont jamais eu d'accès ;
Toi qui fuis en tout les excès,
En tout, même en philosophie ;
Lis ce court apologue où je crois, j'en conviens,
Peindre les sentiments dont tout sage s'honore.
Si dans ces sentiments tu retrouves les tiens,
Je le croirai bien plus encore.

Dans son manoir gothique, en tourelle arrondi,
Entre quatre vitraux noircis par la fumée,
Un certain vieux baron n'y voyait, à midi,
Qu'avec la chandelle allumée.
Les barons sont mortels : le ténébreux donjon,
Un beau soir passe à d'autres maîtres.
Ceux-là voulaient y voir. « C'est pour cette raison,
« Disait l'un d'eux, qu'à sa maison
« D'ordinaire on fait des fenêtres.
« D'un si beau privilège usons à notre tour.
« C'est trop longtemps souffrir qu'un importun nuage
« Ferme ce noble asile aux doux rayons du jour.
« Qu'on y mette ordre avant que je sois de retour. »
Il dit et part. Il eût été plus sage
S'il en avait dit davantage ;
Car il s'adressait à des gens
Bien plus zélés qu'intelligents.
Dans la ferveur qui les anime,
Les servantes et les valets
De s'armer aussitôt de manches à balais ;
Et Dieu sait comme on s'en escrime !
Vingt écoliers, dans le château,
N'auraient pas fait pis ni plus vite.
En moins d'un quart d'heure, en son gîte,
Le nouveau possesseur n'avait plus un carreau.
On y vit clair : d'accord ; mais la neige, la grêle,
Mais la pluie et le vent d'arriver pêle-mêle,
Dans le salon glacé d'où l'obscurité fuit.
Nos gens, en faisant à leur tête,
Ont changé l'antre de la nuit
En caverne de la tempête.

Aux maux produits par l'incrédulité,
Sur ceux qu'enfante l'ignorance
Pourquoi donner la préférence ?
Entre ces deux erreurs cherchons la vérité.
Précepteurs de l'humanité,
Pour réponse à vos longs chapitres,
Au maître de ma fable il faut vous renvoyer.
Ce qu'il dit à ses gens, sans trop les rudoyer,
Vous conviendrait à bien des titres :
« Il ne faut pas casser les vitres,
« Mais il faut bien les nettoyer. »
Toi qui m'as tout repris jusqu'au bonheur d'attendre,
Tu m'as laissé pourtant l'aliment d'un cœur tendre,
L'amour ! Et ma mémoire où se nourrit l'amour.
Je lui dois le passé ; c'est presque ton retour !
C'est là que tu m'entends, c'est là que je t'adore,
C'est là que sans fierté je me révèle encore.
Ma vie est dans ce rêve où tu ne fuis jamais ;
Il a ta voix, ta voix ! Tu sais si je l'aimais !
C'est là que je te plains ; car plus d'une blessure,
Plus d'une gloire éteinte a troublé, j'en suis sûre,
Ton cœur si généreux pour d'autres que pour moi :
Je t'ai senti gémir ; je pleurais avec toi !

Qui donc saura te plaindre au fond de ta retraite,
Quand le cri de ma mort ira frapper ton sein ?
Tu t'éveilleras seul dans la foule distraite,
Où des amis d'un jour s'entr'égare l'essaim ;
Tu n'y sentiras plus une âme palpitante
Au bruit de tes malheurs, de tes moindres revers.
Ta vie, après ma mort, sera moins éclatante ;
Une part de toi-même aura fui l'univers.
Il est doux d'être aimé ! Cette croyance intime
Donne à tout on ne sait quel air d'enchantement ;
L'infidèle est content des pleurs de sa victime ;
Et, fier, aux pieds d'une autre il en est plus charmant.

Mais je n'étouffe plus dans mon incertitude :
Nous mourrons désunis, n'est-ce pas ? Tu le veux !
Pour t'oublier, viens voir ! ... qu'ai-je dit ? Vaine étude,
Où la nature apprend à surmonter ses cris,
Pour déguiser mon cœur, que m'avez-vous appris ?
La vérité s'élance à mes lèvres sincères ;
Sincère, elle t'appelle, et tu ne l'entends pas !
Ah ! Sans t'avoir troublé qu'elle meurt tout bas !
Je ne sais point m'armer de froideurs mensongères :
Je sais fuir ; en fuyant on cache sa douleur,
Et la fatigue endort jusqu'au malheur.

Oui, plus que toi l'absence est douce aux cœurs fidèles :
Du temps qui nous effeuille elle amortit les ailes ;
Son voile a protégé l'ingrat qu'on veut chérir :
On ose aimer encore, on ne veut plus mourir.
Quand l'amitié tremblante

T'abandonna mon sort,

Que ta main bienfaisante

Me sauva de la mort,

Pour la reconnaissance

Je pris l'amour,

Et, moins que ta présence,

J'aimai le jour.


Mais ma timide flamme

Fait naître ta pitié.

Est-ce assez pour mon âme

D'une froide amitié ?

Vainement l'espérance

M'a au guérir,

Si ton indifférence

Me fait mourir !


Contre un sort invincible

Je ne veux plus m'armer !

Viens me rendre insensible,

Si tu ne peux m'aimer.

De mon âme asservie

Romps le lien ;

En reprenant ma vie,

Reprends ton bien !

— The End —