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AJ Sep 2015
Tu es comme le printemps,
Comme le vent qui souffle
Par terre, qui me frappe
À cœur, qui me soulève
Et me jete au ciel,
Où les nuages me caressent le visage
Et me disent des mots
D'amour et gentillesse,
De force et de jeunesse.

Tu es comme le printemps,
Comme les arbres qui grossissent
Pour que je puisse les admirer,
Pour que je puisse les toucher,
Et sentir la soie de ses
P'**** cheveux qui restent
Dans l'air timide mais éclatant,
En attendant le couche de soleil
Qui s'avance à l'horizon.

Tu es comme le printemps,
Comme les fleurs bleues et rouges
Qui balancent comme des
Spectateurs qui écoutent au musique,
Qui descendent d'espace et embrasse
La terre, et tu es comme le soleil
Qui brille sur les champs,
Qui réchauffe ma poitrine
Et me caresse les lèvres.

Tu es comme le printemps,
Comme l'air frais en descendant
Le soleil, comme l'orange du ciel
Qui se couvre le monde,
Comme l'odeur souple des pommes
Qui accrochent des branches,
Comme le tranquillité de ne rien se passer.

Tu es comme le printemps,
Comme la nuit qui s'approche
Les villes et les campagnes,
Comme les étoiles qui
Me font penser, espérer
Que je peux t'aimer,
Ou te comprendre,
Même si le printemps devient l'hiver.

/

You're like the spring,
Like the wind that blows
Across the earth,
That knocks on my heart,
That lifts me up
And shoots me to heaven,
Where the clouds caress my face
And tell me words
Of love and kindness,
Of strength and youth.

You are like the spring,
Like the trees that grow
So that I can admire them,
So that I can touch them,
And feel the silk of their
Little hairs that sit
In the timid yet lively air,
Waiting for the sunset
That advances on the horizon.

You are like the spring,
Like the blue and red flowers
That sway like audience members
Listening to music,
Who descend from space and kiss the soil,
And you are like the sun
That shines on the fields,
That heats my chest and kisses my lips.

You are like the spring,
Like the cool air that comes
When the sun goes down,
Like the orange of the sky that covers the world,
Like the supple scent of apples
That hang from branches,
Like the peace of nothing happening.

You are like the spring,
Like the night that approaches
The cities and country-sides,
Like the stars that make me think,
Even hope that I can love you,
Or understand you,
Even if the spring becomes winter.
Le printemps est si beau ! Sa chaleur embaumée
Descend au fond des cœurs réveillés et surpris :
Une voix qui dormait, une ombre accoutumée,
Redemande l'amour à nos sens attendris.
La raison vainement à ce danger s'oppose,
L'image inattendue enivre la raison :
Tel un insecte ailé s'élance sur la rose,
Et la brûle d'un doux poison.
Des jeunes souvenirs la foule caressante
Accourt, brave la crainte, et l'espace et le temps :
Qui n'a cru respirer dans la fleur renaissante,
Les parfums regrettés de ses premiers printemps ?
Et moi, dans un accent qui trouble et qui captive,
Naguère un charme triste est venu m'attendrir.
L'écouterai-je encor, curieuse et craintive,
Ce doux accent qui fait mourir ?
Ce nom... j'allais le dire, il m'est donc cher encore ?
Ma frayeur n'a donc plus de force contre lui ?
Toi qui ne m'entends pas, d'où vient que je t'implore ?
N'es-tu pas **** ? N'ai-je pas fui ?
Reverrai-je tes yeux, dont l'ardente prière
Obtiendrait tout des cieux ?
Oui, pour ne les plus voir j'abaisse ma paupière,
Je m'enfuis dans mon âme, et j'ai revu tes yeux !

L'oiseau né sous nos toits, dans la saison brûlante,
Tourne autour des maisons qu'il reconnaît toujours,
Effleure dans son vol l'ardoise étincelante,
S'y pose, chante, fuit, et revient tous les jours :
Ton chant avec le sien se fond dans ma pensée ;
Trop de bonheur remplit ma poitrine oppressée ;
Je pâlis de plaisir à ces cris de retour ;
J'ai ressenti ta voix, j'ai reconnu l'amour !

Dans le demi-sommeil où je tombe rêveuse,
Je te crains, je t'espère et je te sens venir ;
Tu parles, mais si bas ! Une oreille amoureuse
Peut seule entendre et retenir :
« Veux-tu, mais ne dis pas que l'heure est trop rapide,
« Veux-tu voir la montagne et le courant limpide ?
« Veux-tu venir au pied du grand chêne abattu ? »
Moi, je ne réponds pas pour écouter : « Veux-tu ?
« Veux-tu, mais ne dis pas que la lune est cachée,
« Veux-tu voir notre image au bord des flots penchée ?
« Ne tremble pas, tout dort ; l'écho même s'est tu. »
Et mon refus se meurt en écoutant : « Veux-tu. »

D'un bouquet ma tristesse hier s'était parée ;
Dans l'ombre, tout à coup, qui l'ôta de mon sein ?
Ai-je senti le feu de ta main adorée ?
Est-ce toi, mon amour, qui cueillis ce larcin ?
Pourquoi troubler mon sort qui devenait paisible ?
Dans tout ce qui me plaît viens-tu tenter ma foi ?
Dis ! Pourquoi ta main invisible
Se pose-t-elle encor sur moi ?
Pourquoi ton haleine enflammée
Soulève-t-elle mes cheveux ?
Pourquoi ce faible écho, craintif comme nos vœux,
Dit-il contre mon cœur : « Bonsoir, ma bien-aimée ! »
Ah ! Je t'en prie, il ne faut plus venir
Redemander mon âme presque heureuse :
Je crains de toi jusqu'à ton souvenir :
**** du danger je suis encor peureuse...
Je ne t'accuse pas ! Qui sait si le tombeau
Sera froid sur mon corps, si ton souffle l'effleure ?
Je ne t'accuse pas ! je pleure,
Et j'aime le printemps ; le printemps est si beau !
marriegegirl Jul 2014
Ça a été une semaine de l'absurde jolis traits .mais puis-je vous laisser sur un petit secret ?Nous aurions enregistré un des meilleurs pour la fin.Judy Pak .Loli événements et Matthew Ree sont que quelques-uns des grands noms derrière ce printemps swoonfest .et vous pouvez visiter la galerie complète pour beaucoup.beaucoup plus .Vendredi heureux .mes enfants !xoxo\u003cp\u003ePartager cette superbe galerie ColorsSeasonsSpringSettingsGardenStylesRomantic de Lauren de Loli événements .Bien que brève .printemps à New York est toujours rajeunissant et passionnant .Tout semble plus lumineux .plus heureux et tout plein de vie .Ce tournage a capturé exactement cela avec une parfaite dose de glamour et de fantaisie .Les beaux motifs des jardins d'Old Westbury était une évidence comme toile de fond .Tout y est luxuriante .réfléchi et tout simplement magnifique .Notre objectif en tant que fournisseurs de mariage de luxe était de capturer une certaine beauté grave tout en s'amusant et profiter du moment .Il est si facile de se laisser prendre et d'oublier de faire une pause et de prendre dans votre environnement .Cette séance est consacrée à créer un peu d' esprit d'aventure et un besoin de juste prendre une profonde respiration lente .

Photographie : Judy Pak | Photographie : Matthew Ree | Floral Design : Tashi et Bobo | Robe : Jenny Packham | gâteau : Ana Parzych | Coiffeur : Seonghee Park | Bridal Boutique : Gabriella New York | Location de robe : petite robe empruntée |postiches : Emily Riggs | Maquillage : Seunghyn robes demoiselles d honneur Seo de KAKABOKA | Props / table : Caverne de coquelicots et Posies | Styling / Set de table design: Loli Evénements | mariage Lieu: Old Westbury Gardens

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À la sœur d'Astrée.

Printemps, fils du Soleil, que la terre arrosée
De la fertile humeur d'une douce rosée,
Au milieu des œillets et des roses conçut,
Quand Flore entre ses bras nourrice vous reçut,
Naissez, croissez, Printemps, laissez-vous apparaître :
En voyant Isabeau vous pourrez vous connaître,
Elle est votre miroir, et deux lis assemblés
Ne se ressemblent tant que vous entresemblez :
Tous les deux n'êtes qu'un, c'est une même chose.
La rose que voici ressemble à cette rose,
Le diamant à l'autre, et la fleur à la fleur :
Le Printemps est le frère, Isabeau est la sœur.

On dit que le Printemps, pompeux de sa richesse,
Orgueilleux de ses fleurs, enflé de sa jeunesse,
Logé comme un grand prince en ses vertes maisons,
Se vantait le plus beau de toutes les saisons,
Et se glorifiant le contait à Zéphyre ;
Le Ciel en fut marri, qui soudain le vint dire
À la mère Nature. Elle, pour rabaisser
L'orgueil de cet enfant, va partout ramasser
Les biens qu'elle serrait de maint et mainte année.
Victor Hugo  Jun 2017
Fantômes
I.

Hélas ! que j'en ai vu mourir de jeunes filles !
C'est le destin. Il faut une proie au trépas.
Il faut que l'herbe tombe au tranchant des faucilles ;
Il faut que dans le bal les folâtres quadrilles
Foulent des roses sous leurs pas.

Il faut que l'eau s'épuise à courir les vallées ;
Il faut que l'éclair brille, et brille peu d'instants,
Il faut qu'avril jaloux brûle de ses gelées
Le beau pommier, trop fier de ses fleurs étoilées,
Neige odorante du printemps.

Oui, c'est la vie. Après le jour, la nuit livide.
Après tout, le réveil, infernal ou divin.
Autour du grand banquet siège une foule avide ;
Mais bien des conviés laissent leur place vide.
Et se lèvent avant la fin.

II.

Que j'en ai vu mourir ! - L'une était rose et blanche ;
L'autre semblait ouïr de célestes accords ;
L'autre, faible, appuyait d'un bras son front qui penche,
Et, comme en s'envolant l'oiseau courbe la branche,
Son âme avait brisé son corps.

Une, pâle, égarée, en proie au noir délire,
Disait tout bas un nom dont nul ne se souvient ;
Une s'évanouit, comme un chant sur la lyre ;
Une autre en expirant avait le doux sourire
D'un jeune ange qui s'en revient.

Toutes fragiles fleurs, sitôt mortes que nées !
Alcyions engloutis avec leurs nids flottants !
Colombes, que le ciel au monde avait données !
Qui, de grâce, et d'enfance, et d'amour couronnées,
Comptaient leurs ans par les printemps !

Quoi, mortes ! quoi, déjà, sous la pierre couchées !
Quoi ! tant d'êtres charmants sans regard et sans voix !
Tant de flambeaux éteints ! tant de fleurs arrachées !...
Oh ! laissez-moi fouler les feuilles desséchées,
Et m'égarer au fond des bois !

Deux fantômes ! c'est là, quand je rêve dans l'ombre,
Qu'ils viennent tour à tour m'entendre et me parler.
Un jour douteux me montre et me cache leur nombre.
A travers les rameaux et le feuillage sombre
Je vois leurs yeux étinceler.

Mon âme est une sœur pour ces ombres si belles.
La vie et le tombeau pour nous n'ont plus de loi.
Tantôt j'aide leurs pas, tantôt je prends leurs ailes.
Vision ineffable où je suis mort comme elles,
Elles, vivantes comme moi !

Elles prêtent leur forme à toutes mes pensées.
Je les vois ! je les vois ! Elles me disent : Viens !
Puis autour d'un tombeau dansent entrelacées ;
Puis s'en vont lentement, par degrés éclipsées.
Alors je songe et me souviens...

III.

Une surtout. - Un ange, une jeune espagnole !
Blanches mains, sein gonflé de soupirs innocents,
Un œil noir, où luisaient des regards de créole,
Et ce charme inconnu, cette fraîche auréole
Qui couronne un front de quinze ans !

Non, ce n'est point d'amour qu'elle est morte : pour elle,
L'amour n'avait encor ni plaisirs ni combats ;
Rien ne faisait encor battre son cœur rebelle ;
Quand tous en la voyant s'écriaient : Qu'elle est belle !
Nul ne le lui disait tout bas.

Elle aimait trop le bal, c'est ce qui l'a tuée.
Le bal éblouissant ! le bal délicieux !
Sa cendre encor frémit, doucement remuée,
Quand, dans la nuit sereine, une blanche nuée
Danse autour du croissant des cieux.

Elle aimait trop le bal. - Quand venait une fête,
Elle y pensait trois jours, trois nuits elle en rêvait,
Et femmes, musiciens, danseurs que rien n'arrête,
Venaient, dans son sommeil, troublant sa jeune tête,
Rire et bruire à son chevet.

Puis c'étaient des bijoux, des colliers, des merveilles !
Des ceintures de moire aux ondoyants reflets ;
Des tissus plus légers que des ailes d'abeilles ;
Des festons, des rubans, à remplir des corbeilles ;
Des fleurs, à payer un palais !

La fête commencée, avec ses sœurs rieuses
Elle accourait, froissant l'éventail sous ses doigts,
Puis s'asseyait parmi les écharpes soyeuses,
Et son cœur éclatait en fanfares joyeuses,
Avec l'orchestre aux mille voix.

C'était plaisir de voir danser la jeune fille !
Sa basquine agitait ses paillettes d'azur ;
Ses grands yeux noirs brillaient sous la noire mantille.
Telle une double étoile au front des nuits scintille
Sous les plis d'un nuage obscur.

Tout en elle était danse, et rire, et folle joie.
Enfant ! - Nous l'admirions dans nos tristes loisirs ;
Car ce n'est point au bal que le cœur se déploie,
La centre y vole autour des tuniques de soie,
L'ennui sombre autour des plaisirs.

Mais elle, par la valse ou la ronde emportée,
Volait, et revenait, et ne respirait pas,
Et s'enivrait des sons de la flûte vantée,
Des fleurs, des lustres d'or, de la fête enchantée,
Du bruit des vois, du bruit des pas.

Quel bonheur de bondir, éperdue, en la foule,
De sentir par le bal ses sens multipliés,
Et de ne pas savoir si dans la nue on roule,
Si l'on chasse en fuyant la terre, ou si l'on foule
Un flot tournoyant sous ses pieds !

Mais hélas ! il fallait, quand l'aube était venue,
Partir, attendre au seuil le manteau de satin.
C'est alors que souvent la danseuse ingénue
Sentit en frissonnant sur son épaule nue
Glisser le souffle du matin.

Quels tristes lendemains laisse le bal folâtre !
Adieu parure, et danse, et rires enfantins !
Aux chansons succédait la toux opiniâtre,
Au plaisir rose et frais la fièvre au teint bleuâtre,
Aux yeux brillants les yeux éteints.

IV.

Elle est morte. - A quinze ans, belle, heureuse, adorée !
Morte au sortir d'un bal qui nous mit tous en deuil.
Morte, hélas ! et des bras d'une mère égarée
La mort aux froides mains la prit toute parée,
Pour l'endormir dans le cercueil.

Pour danser d'autres bals elle était encor prête,
Tant la mort fut pressée à prendre un corps si beau !
Et ces roses d'un jour qui couronnaient sa tête,
Qui s'épanouissaient la veille en une fête,
Se fanèrent dans un tombeau.

V.

Sa pauvre mère ! - hélas ! de son sort ignorante,
Avoir mis tant d'amour sur ce frêle roseau,
Et si longtemps veillé son enfance souffrante,
Et passé tant de nuits à l'endormir pleurante
Toute petite en son berceau !

A quoi bon ? - Maintenant la jeune trépassée,
Sous le plomb du cercueil, livide, en proie au ver,
Dort ; et si, dans la tombe où nous l'avons laissée,
Quelque fête des morts la réveille glacée,
Par une belle nuit d'hiver,

Un spectre au rire affreux à sa morne toilette
Préside au lieu de mère, et lui dit : Il est temps !
Et, glaçant d'un baiser sa lèvre violette,
Passe les doigts noueux de sa main de squelette
Sous ses cheveux longs et flottants.

Puis, tremblante, il la mène à la danse fatale,
Au chœur aérien dans l'ombre voltigeant ;
Et sur l'horizon gris la lune est large et pâle,
Et l'arc-en-ciel des nuits teint d'un reflet d'opale
Le nuage aux franges d'argent.

VI.

Vous toutes qu'à ses jeux le bal riant convie,
Pensez à l'espagnole éteinte sans retour,
Jeunes filles ! Joyeuse, et d'une main ravie,
Elle allait moissonnant les roses de la vie,
Beauté, plaisir, jeunesse, amour !

La pauvre enfant, de fête en fête promenée,
De ce bouquet charmant arrangeait les couleurs ;
Mais qu'elle a passé vite, hélas ! l'infortunée !
Ainsi qu'Ophélia par le fleuve entraînée,
Elle est morte en cueillant des fleurs !

Avril 1828.
Marian Jan 2014
~-English-~

The Beauty Of Flowers (Multiple Tankas I)

A field of tulips
Is where I laid down to sleep
And dream a sweet dream
Dew sparkled on the tulips
And fell upon my fair cheeks

In the shady woods
Ladyslipper Orchids grow
Near a babbling brook.
Yellows and Pinks standing tall
With ferns spreading all around.

Beside the ocean
The hibiscus are blooming
Such a sweet perfume
Lingers on the salty breeze
Such beautiful rainbow hues

Snowdrops are the first
To appear blooming in frost
Pure white heads nodding.
Cold hardy and full of life,
They offer a hope of Spring.

Beside the farmhouse
Gardenias are blooming
White satin blossoms
Their perfume is breathtaking
Rain-washed petals of fragrance

~Timothy & Marian~


~-French-~

La beauté des fleurs (plusieurs Tankas je)

Un champ de tulipes
Est où j'ai prévue de dormir
Et un doux rêve
Rosée brillait sur les tulipes
Et tomba sur mes joues justes

Dans les bois ombragés
Ladyslipper orchidées poussent
Près d'un petit ruisseau.
Jaunes et roses debout
Avec fougères répand tout autour.

À côté de l'océan
L'hibiscus sont en fleurs
Tel un doux parfum
S'attarde sur la brise salée
Ces teintes belle arc-en-ciel

Perce-neige est les premiers
À comparaître fleurissant en gel
Têtes blanches pures hochant la tête.
Résistantes au froid et pleine de vie,
Ils offrent un espoir de printemps.

À côté de la ferme
Gardénias sont en fleurs
Fleurs de satin blancs
Leur parfum est à couper le souffle
Pétales restés du parfum

*~ Timothy et Marian ~
Another Dad and Daughter collaboration.
Hope you enjoy! :)
© Timothy 10 January, 2014.
© Marian 10 January, 2014.
Ô petite hirondelle
Qui bats de l'aile,
Et viens contre mon mur,
Comme abri sûr,
Bâtir d'un bec agile
Un nid fragile,
Dis-moi, pour vivre ainsi
Sans nul souci,
Comment fait l'hirondelle
Qui bat de l'aile ?

Moi, sous le même toit, je trouve tour à tour
Trop prompt, trop long, le temps que peut durer un jour.
J'ai l'heure des regrets et l'heure du sourire,
J'ai des rêves divers que je ne puis redire ;
Et, roseau qui se courbe aux caprices du vent,
L'esprit calme ou troublé, je marche en hésitant.
Mais, du chemin je prends moins la fleur que l'épine,
Mon front se lève moins, hélas ! qu'il ne s'incline ;
Mon cœur, pesant la vie à des poids différents,
Souffre plus des hivers qu'il ne rit des printemps.

Ô petite hirondelle
Qui bats de l'aile,
Et viens contre mon mur,
Comme abri sûr,
Bâtir d'un bec agile
Un nid fragile,
Dis-moi, pour vivre ainsi
Sans nul souci,
Comment fait l'hirondelle
Qui bat de l'aile ?

J'évoque du passé le lointain souvenir ;
Aux jours qui ne sont plus je voudrais revenir.
De mes bonheurs enfuis, il me semble au jeune agi
N'avoir pas à loisir savouré le passage,
Car la jeunesse croit qu'elle est un long trésor,
Et, si l'on a reçu, l'on attend plus encor.
L'avenir nous parait l'espérance éternelle,
Promettant, et restant aux promesses fidèle ;
On gaspille des biens que l'on rêve sans fin...
Mais, qu'on voudrait, le soir, revenir au matin !

Ô petite hirondelle
Qui bats de l'aile,
Et viens contre mon mur,
Comme abri sûr,
Bâtir d'un bec agile
Un nid fragile,
Dis-moi, pour vivre ainsi
Sans nul souci,
Comment fait l'hirondelle
Qui bat de l'aile ?

De mes jours les plus doux je crains le lendemain,
Je pose sur mes yeux une tremblante main.
L'avenir est pour nous un mensonge, un mystère ;
N'y jetons pas trop tôt un regard téméraire.
Quand le soleil est pur, sur les épis fauchés
Dormons, et reposons longtemps nos fronts penchés ;
Et ne demandons pas si les moissons futures
Auront des champs féconds, des gerbes aussi mûres.
Bornons notre horizon.... Mais l'esprit insoumis
Repousse et rompt le frein que lui-même avait mis.

Ô petite hirondelle
Qui bats de l'aile,
Et viens contre mon mur,
Comme abri sûr,
Bâtir d'un bec agile
Un nid fragile,
Dis-moi, pour vivre ainsi
Sans nul souci,
Comment fait l'hirondelle
Qui bat de l'aile ?

Souvent de mes amis j'imagine l'oubli :
C'est le soir, au printemps, quand le jour affaibli
Jette l'ombre en mon cœur ainsi que sur la terre ;
Emportant avec lui l'espoir et la lumière ;
Rêveuse, je me dis : « Pourquoi m'aimeraient-ils ?
De nos affections les invisibles fils
Se brisent chaque jour au moindre vent qui passe,
Comme on voit que la brise enlève au **** et casse
Ces fils blancs de la Vierge, errants au sein des cieux ;
Tout amour sur la terre est incertain comme eux ! »

Ô petite hirondelle
Qui bats de l'aile,
Et viens contre mon mur,
Comme abri sûr,
Bâtir d'un bec agile
Un nid fragile,
Dis-moi, pour vivre ainsi
Sans nul souci,
Comment fait l'hirondelle
Qui bat de l'aile ?

C'est que, petit oiseau, tu voles **** de nous ;
L'air qu'on respire au ciel est plus pur et plus doux.
Ce n'est qu'avec regret que ton aile légère,
Lorsque les cieux sont noirs, vient effleurer la terre.
Ah ! que ne pouvons-nous, te suivant dans ton vol,
Oubliant que nos pieds sont attachés au sol,
Élever notre cœur vers la voûte éternelle,
Y chercher le printemps comme fait l'hirondelle,
Détourner nos regards d'un monde malheureux,
Et, vivant ici-bas, donner notre âme aux cieux !

Ô petite hirondelle
Qui bats de l'aile,
Et viens contre mon mur,
Comme abri sûr,
Bâtir d'un bec agile
Un nid fragile,
Dis-moi, pour vivre ainsi
Sans nul souci,
Comment fait l'hirondelle
Qui bat de l'aile ?
Bruno

          he trims a Cuban cigar and places it in his anti-authoritarian orifice:

Foreshadowing the mysteries of life brings the succulent cauldrons of mystical salaciousness to a boiling ardor.  I’ll entice the myriad realms of your enchantress and wring the moisture out of your femininity.  I’ve got a cat of nine tails in my hands- I dare you to stroke me, you sassy *****,  just so you may know my obeisant oblations orchestrations.  No other woman moves me like the feral ***** you employ.  


     Caspian

  Choreographed katas supplement his beast.
He’s adamant and masculine, and plucks the strings of his guitar in anticipation of your ****** harmonies.  Pounce firmly on his erotica erectile like the black panther of his lust’s rebellion.  Caress the protuberance of his virility- mount his exsertion- hair on hair- wanton on wayward- peal him slowly with your agile ictus- he’s ambrosia and honey- extort the fecundity out of him and give it back like a fertile libation.


Roland

He’s like a Mayan calendar.  Excruciatingly exacerbating, imperturbably tenacious.  He’ll draw the sport out of you and make you bounce like a cowgirl on a bronco.  Only to buck you off and leave you in the dust like a flaccid martyr on the ground he tramples.  You’ll reminisce his wily gate where ever you tread, and ****** yourself at the thought of his machismo machinations as you rode his determinism.  


Sol

His exotic lightning vaunts in the celestial canopy.  The blood of new world wizardry, he seduces from the apex axis of his citadel pinnacle.  His warrior heights ooze with the psychic clarity of zoomorphic demagoguery’s rebellion and makes the knight groan with exigency.  The weight of his words, the upward convection of  their accessional draws sweat and *** from your extant.  He can sense your arousal from miles away and seduces your mind like a torrential deluge.


Richthofen

He is manumission, no more the faded vision of  body incarnates ghosts.  He writes of the enrapturing mesmeric-ness of its inebriation to tantalize his wanton decadent blatancy’s flagrant.  Impetus intrigue and intuitional verve become sensual currency.  He’s the lounging lion, the puissant God, the edifice ******* of pornographic wit.  The incongruous incognito with no moniker.  Seduced by your poet he would romance the *** out of you and leave you enraptured with your own anonymity at the edge of the new world freeway.


PRINTEMPS DES HOMMES = SPRING OF MEN
L'ETE DES FEMMES= SUMMER OF WOMEN
Inspired by Cara de Luna's "L'ETE DES FEMMES".
Mateuš Conrad Feb 2020
why did i ever go out on a friday night?
drinks with "friends" and hitting the essex
club "scene" -
well - no much of a scene -
there was never the music you'd want to listen
to: come friday or saturday -
even mid-week when all the rock kids
were "hanging out" -
what would be chances of being your own d.j. -
catching something really new...
POIZON - church is poizon -
cool mom - something between a crossbreed
of cage the elephants and nirvana on blew -
3rd view - moi -
but i used to: and i remember that gehenna of
a sobering walk - alone after a night out -
like some furious son of sam -
when youth still had the adrenaline with it
and a sense of anger ******* around with
disillusionment -

those were the friday nights: bon jovi highlights
and long hair and milking a somewhat androgynous
look - sometimes the mascara would come out...
those were the days of having milk skin
and a proper shave -
the long hair and the waistcoast and cravat: semi-,

the lonesome story before i met my beard:
fwyday mordaithceirch -
i actually have a name for it...
i forgot what's already the designated
whittle pecker mr. pritchard of the down down:
below...

oh, oh so what...
rough friday nights in my youth -
on the clubbing "scene" -
and always that moral hangover when it came
to drinking with others -
ever since i started drinking by myself:
i forgot the mirror and that bucket
of warm water beside my bed to put my hand
in before going to sleep...
once or twice the company was worth the drink -
but most of the time you only kept
such company: because you were drinking -
drinking was never an afterthought -

now... i like drinking alone -
at least i can keep fact-checking the company
and the odd vocab peacock taking to the catwalk
of a ruminating free-fall tongue waggle
and rummage - the needle in the haystack
adventure - or... the ******* bucket
of deshelled oysters...

there have been some awful friday nights -
but: seeing how i started to give my beard
a welsh name borrowed from a willem dafoe
novel - and how it simply became pointless
to wake the dead with the angry tantrums
of youth: and how i seem to have
forgotten where my 20s "went" -
somehow rooted in: da-sein and how
i "wasted" 2 years on one book by kant -
2 years on one book by heidegger -
and: how i didn't have the time to "catch-up"
on the greek classics -

oh these island dwelling people -
i try to imagine them not being a seafaring:
and their messiah / superiority complex -
with their breakfast that could hardly
be digested come the hour of noon -
or no messiah / superiority complex -
the traffic: indeed - works like clockword...
from left to right...
sidenote: what of fahrenheit and
the feet and inches - stones and pounds?
ounces?
the metric of: baseline 0 here,
baseline 00 over there...

no... Michele Campanella piano solo take
on wagner's das rheingelt: entry of the gods into
valhalla - it's hardly anemic -
it's... the last leaf of autumn falling -
because the crescendo has already happened...
a befitting closure...

the superior island folk and their...
hyphens and germanic loan words -
how almost all names in chemistry are still
in their germanic: intact form of: no hyphen:
broken leg or broken arm...

woodwinds... perhaps... the violins providing
the humming of birds:
chirp chirp: no chirping -
and of course the horn - but the horns never
as prominent as those drank from...

something has happened today -
but i am... left without having any english
sensibility / egalitarianism -
somehow i always equate egalitarianism with
the english - the islanders -
a firework went off in the background -
mr. sloth awoke mrs. slouch after 3 years
for a firecracker celebration...

because who would want to be ruled
over by unelected: chocolatiers...
esp. after their trial run in the Congo -
but i have certainly had worse friday nights...

it can't exactly get much worse than...
say... listening to the siegfried idyll...
multitasking: drinking a cider, smoking a cigarette,
balancing act of folded leg sat on
perched on a windowsill solving a no. 11,289
sudoku from the 27th jan. 2020...
otherwise prior to:
imagine my disbelief at the pleasure -

with numbers to somehow escape thinking in words:
no grand arithmetic linear gymnastics -
of the end result -
certainly no logical statements -
just a whirlwind of numbers complimenting
these few words...
and what a fine friday night it has become:

the pizza was made - god save me from the perfume
of yeast... or checking on the rising dough
from time to time -
the leftover yeast gave me the opportunity
to bake an imitation sourdough crust pretty-as-a-picture
loaf that: would make any mushroom blush
and shy away from unfolding into an umbrella pose...
or a Y... curling outward-inward into an upsilon Υ...

because how could i forget the pleasure of
sifting through numbers?
by the time i attempted puzzle no. 11,290
i had to write a "map"

           a             b             c
      x   x   x   x   x   x   x   x   x  
1)   x   x   x   x   x   x   x   x   x
      x   x   x   x   x   x   x   x   x
      x   x   x   x   x   x   x   x   x
2)   x   x   x   x   x   x   x   x   x
      x   x   x   x   x   x   x   x   x
      x   x   x   x   x   x   x   x   x
3)   x   x   x   x   x   x   x   x   x
      x   x   x   x   x   x   x   x   x

come to think of it... where's a subscript?
if i'm going to use 1, 2, 3...
to tier the allocation of squares...
tennis and sudoku...
tennis: a game of 7 rectangles -
and how many judges and ball boys / girls?
sudoku - a puzzle of 10 squares - perhaps...
if i'll use tiers 1, 2, 3: a1, b2, c3...
what if... sudoku invoked letters rather than
numbers?

much later... oh believe me...
this is the antithesis of knausgård
writing about using googlemaps...
        
           a             b             c
      x   x   x   x   x   x   x   x   x  
1)   x   x   x   3   x   x   6   x   4
      x   x   x   2   x   4   x   8   9
      x   1   9   x   4   x   x   6   2
2)   x   x   x   7   x   x   x   5   x
      x   x   2   x   x   8   x   4   x
      x   2   x   x   x   x   x   x   x
3)   x   x   6   1   9   5   x   x   3
      x   3   8   4   x   x   x   7   x

it's still a schematic - the narrative is yet
to begin... otherwise...
there's nothing smart about this...
i have tired eyes sometimes:
i succumb and have to allow myself
to no acid-bath these eyes in words...

esp. since i speak so rarely -
imagine... in england and i spear
the bare minimum of english -
i can: i have to: i will - when being prompted -
but i can't remember the last time
i had an honest: informal exchange
of letters... lapped up by the glutton
tongue... i looked and looked
and with my silence i can attest:
there's a speech-impediment -
a stutter that's not born from nervousness...
but... an allusion to a "stoic" through
my lack of conversation...

at least on paper i can exfoliate -
enough cider and enoug whiskey and i'm all
sparrow McDermott!
ugh... the devolved scots and the likewise
welsh... devolved nations...
only this aspect of Brexit is... well...
imagine the "evolved" status of post-Yugoslavia...
Kosovo...
this is the only aspect of an otherwise:
fair enough that's... well...
if you lived for 3 years among the scots...
you'd get to appreciate them...
this is the only aspect of this whole affair
i will ever appreciate...
i would pour blood and **** into
the Welsh continuing their...
preservation of the iaith...
forever and the more - i would love to see
scotland start to dig trenches and
forget trainspotting gaelic -
parading like ponces and humpty dumpteys
with "harkccents"... glasgewian bull-runnings...
cousins aye and wee -

a thing of beauty: a thing of union...
but this... they were bullied in brussels...
they came back and started to bully the scots...
if you have lived -
the betas of cardiff - but they tongue: remains!
look far back and wales would encompass
cornwall -
ignorant i of a 26 year "servitude" on these isles...
quiz me on outside of London:
no point...
perhaps i too would wish for the lost
theta in Dublin - towing: to t'ink...
as any sanskrit H-surd does matter...

           a             b             c
      x   x   x   x   x   x   x   x   x  
1)   x   x   x   3   x   x   6   x   4
      x   x   x   2   x   4   x   8   9
      x   1   9   x   4   x   x   6   2
2)   x   x   x   7   x   x   x   5   x
      x   x   2   x   x   8   x   4   x
      x   2   x   x   x   x   x   x   x
3)   x   x   6   1   9   5   x   x   3
      x   3   8   4   x   x   x   7   x

but if i will replace... the side tiers of numbers...
the numbers in the puzzle will have to become
letters - greek... probably iota, epsilon and upper-case
gamma...

the bullied have returned from the palance
of the chocalatiers and: back to their old ways
of bullying the rest of these island folk...
because: it's infantile for me imagine
a resurrection of the crown (poland)
and the grand duchy of lithuania -
the commonwealth -
but somehow the united kingdom is not
fated to become the next yugoslavia -

i can confirm - up in edinburgh i was
confirmed by having the hat of Knox having
scalped me -
never is always metaphor: vaguely -
as in literally - in these quasi-paragraphs...
so it's not... infantile to even "think" that
the british empire can be revived?
zee window-licker spezials of
cross-breed h'americana postcards sent?
i nibble to attempt a joke...

oh i can bulldozer this whole narrative...
turn into a berserker -
i've saved enough money to deal
with the label loser...
all it will take is me having drunk enough -
sightseeing the slums of london's east end
and then hitting the brothel:
like an iron-head... to the pillow
and the ***** of a *******...

because i have had worse friday nights...
terrible company...
if i were not a michel de montaigne or a knausgård:
me me me, me me, me me me me,
write enough of that and:
to meme to grafitti... or to...
why are there no diacritical markers in
the english language worthy of recognition?
why would i...
rhoi fy **** y Cymraeg enw?
give my beard a welsh name?
and why is that not a cedilla C but a ******* K?
why not... Çumraeg?

on foreign shores i have made it adamant that...
this sense of foreigness does not
peppermint my presence with hopes to:
add to - an integration -
just borrow what the local have made: left-overs...
and work with that...

(insert snigger) - the neu-vikings of
northumberland...

           a             b             c
      x   x   x   x   x   x   x   x   x  
1)   x   x   x   3   x   x   6   x   4
      x   x   x   2   x   4   x   8   9
      x   1   9   x   4   x   x   6   2
2)   x   x   x   7   x   x   x   5   x
      x   x   2   x   x   8   x   4   x
      x   2   x   x   x   x   x   x   x
3)   x   x   6   1   9   5   x   x   3
      x   3   8   4   x   x   x   7   x

this really does have a linear narrative...
here goes...
3(c1), 9(c3), 1(c1), 2(c3), 2(c1), 2(a1), 9(a3), 8(c3),
4(c3), 8(c2), 8(a2), 5(b2), 7(c2), 3(b2), 3(b3), 8(b3),
7(c1), 5(c1), 7(b3), 5(c3), 1(c3), 6(c3), 1(c2), 3(c2),
9(c2), 9(b2), 6(b1), 6(b2), 6(b3), 2(b3), 2(b2), 1(b2),
1(b1), 9(b1), 9(a1), 8(b1), 8(a1), 5(b1), 7(b1), 7(a1)...

and then a "gamble" in the narrative...
the (7a2 and the 5a2 - interchange)....
it's a pleasure - not a chore -
5  9  4
2  8  7
3  6  1
8  1  9
6  4  3
7  5  2 - this line... what if it was 5  7  2?
1  2  5
4  7  6
9  3  8
if i want to solve this puzzle - i will solve it
and not read a tabloid article /
whatever the hell has become of youtube...
my diamond jukebox...

otherwise the "narrative" continued from
7a2 and the 5a2 interchange:
7(3a), 4(a3), 4(a2), 6(a1), 4(a1), 5(a1), 5(a3),
1(a3), 1(a1), 3(a1), 3(a2), 6(a2)... end result?

           a             b             c
      5   9   4   6   8   1   2   3   7  
1)   2   8   7   3   5   9   6   1   4
      3   6   1   2   7   4   5   8   9
      8   1   9   5   4   3   7   6   2
2)   6   4   3   7   1   2   9   5   8
      7   5   2   9   6   8   3   4   1
      1   2   5   8   3   7   4   9   6
3)   4   7   6   1   9   5   8   2   3
      9   3   8   4   2   6   1   7   5

because i can imagine this not being:
the most difficult Finnish sudoku...
i can almost imagine this puzzle
to be in greek...
where: 1ι, 2ζ, 3ε, 4χ, 5Σ, 6δ, 7Γ, 8β, 9ρ...

in the background all i hear is:
corvus corax' la i mbealtaine...
the greek version of the japanese puzzle...

           a             b             c
      Σ   9   χ   6   8   ι   ζ   ε   7  
1)   ζ   8   7   ε   Σ   9   6   ι   χ
      ε   6   ι   ζ   7   χ   Σ   8   9
      8   ι   9   Σ   χ   ε   7   6   ζ
2)   6   χ   ε   7   ι   ζ   9   Σ   8
      7   Σ   ζ   9   6   8   ε   χ   ι
      ι   ζ   Σ   8   ε   7   χ   9   6
3)   χ   7   6   ι   9   Σ   8   ζ   ε
      9   ε   8   χ   ζ   6   ι   7   Σ

half-way... i just wanted to "selfie" what
will become of this... i no longer write: i paint...

            a             b             c
      Σ   9   χ   δ   8   ι   ζ   ε   Γ  
1)   ζ   8   Γ   ε   Σ   9   δ   ι   χ
      ε   δ   ι   ζ   Γ   χ   Σ   8   9
      8   ι   9   Σ   χ   ε   Γ   δ   ζ
2)   δ   χ   ε   Γ   ι   ζ   9   Σ   8
      Γ   Σ   ζ   9   δ   8   ε   χ   ι
      ι   ζ   Σ   8   ε   Γ   χ   9   δ
3)   χ   Γ   δ   ι   9   Σ   8   ζ   ε
      9   ε   8   χ   ζ   δ   ι   Γ   Σ

going... going... gone...

            a             b             c
      Σ   ρ   χ   δ   β   ι   ζ   ε   Γ  
1)   ζ   β   Γ   ε   Σ   ρ   δ   ι   χ
      ε   δ   ι   ζ   Γ   χ   Σ   β   ρ
      β   ι   ρ   Σ   χ   ε   Γ   δ   ζ
2)   δ   χ   ε   Γ   ι   ζ   ρ   Σ   β
      Γ   Σ   ζ   ρ   δ   β   ε   χ   ι
      ι   ζ   Σ   β   ε   Γ   χ   ρ   δ
3)   χ   Γ   δ   ι   ρ   Σ   β   ζ   ε
      ρ   ε   β   χ   ζ   δ   ι   Γ   Σ

i don't mind a people being right...
but the overt-gloating...
without having to work around the sort
of paranoia associated with:
how the russians are not allowed to glutton
themselves on gloating -
because they are always made
to feel suspcious - the russians can't gloat
like most of the anglo- speaking world...
always suspect: russophobia evil genuises...
tip-toeing goliaths - less the blundering
fudge-packers of "global ****"...
and i kissed a boy and i liked it...
my genitals started shrinking
and my *** started to exfoliate with:
welcome all! welcome all hard and on!
and that tongue in my mouth always helps...
but imagine my surprise when
i started to navigate my hands
but the reply came:
timbuktu and mt. kilimanjaro will not be found
attached to this sort of torso...
wrong dog, wrong tree...

some things really do require numbers...
i once had a mathematics teacher in high school
bemoan the origin of modern numbers
and how we once: upon a time used these letters...
but did our arithmetic with visual aids
akin to the abacus... because...
you'd have to "read braille" when counting...
to differentiate the already: lettered numbers
and the letters being letters -
and all arithmetic functions
were "spoken of" but never depicted...
i.e. there was no VII + III = X...
there was no XV - XI = IV...
eh?! arithmetic was cat-intuitive...
not spoken of - done by either the visual
aid of fingers when haggling
in a market place -
or by the abacus aid in a bureucratic office!

i said this was the most perfect friday night...
what did i have to offer?
no clickbait title - some gems of wording
in between?
the patient reader - as ever - most rewarded -

but... oh my god... the sensation of
changing the bed sheets...
it's friday night and you're... changing your bed sheets...
and they are more crisp and clean
than any political event that the journalist leeches
are milking -
and you do it with a saving private ryan precision -
you will sleep in this bed: well into
11am of a today to come...
believe me: that you will...

- in that i am still walking among the germanic people -
if the germans will sing a: bretonisher marsch...
then the two peoples are alligned by
their sentiment for the crow as their godhead:
alles menschen totem...
what could possibly make me feel welcome?
french grammar is polish grammar...
matin de printemps - poranek wiosny -
spring morning in reverse in germanic...
how many more examples would i ever wish
to give?

there was a moment in my life where...
i realised my faults... i should have read
the Pickwick Papers... anything by C. Dickens to be sure...
instead came Stendhal, Voltaire, Balzac...
because if you said to me...
BBC radio 4... the archers...
and... thomas hardy: madding crowd?
you'd accuse me of being ignorant of:
London is a bustling cosmopolitan in-waiting
from the busy-body industrial proto-Beijing
it was of 100 years ago?    
the French had cosmopolitan intellectualism
100 years prior to the english...
100 years later and it's still not much...
is anyone about to cite me william hazlitt?!

the trouble with the english is that they hold dear
to that one old 19th century idea -
this waiting for: awaiting a revival of darwinism...
the "blatantly" obvious needs a resurgence!
because a michael faraday must most surely
be forgotten!
how many times will this already painful reality
need to be emphasised once more:
intellectually - via a darwinism?
no one stresses the copernican "upside-down"...
or what is copernican "west" up in space?
how does acknowledging the sphere
of the earth - ease you reading a flat map -
moving from point A to point B?

earlier this week - for once in my life i was
ashamed of what i wrote -
so i wrote for scribli per se: scribbles for
scribbles themselves -
the darwinian germanic folk who say:
alles von afrika...
how the hebrews debased themselves
in both aushwitz and breaking their bones
on the emoji hieroglyphs -
alles von afrika: ja... so sicher... so wahr!

ask any slavic person among the germanic
peoples...
where from? wir (ar) sind lesen und schreiben
"afrika": i.e. Indu...
if the african challenged the hebrews
with... "the best they had": egyptian emojis...
why would i not stress my birth
with pseudo cedilla Ş / इ... ☦ -
this indo-european is not... at home with
these african-germanoids...
pseudos and quasi -
these chocolate frenzied busy-buddies!

from the caucasian and further still from
that whittle sub-corinthian quote: continent...
somehow, "somehow" this part of this story
is read: south to north... always a grand
marker missing when the people went
east, squinted... learned skeleton existence,
atoms... and the frenzy of letters:
owls and ******* **** flinging beetles
back in the north eastern tip of
africa: in that egyptian haemorrhage of "idea"...

i assure myself... perhaps the form came from
africa... but sure as **** the tongue only arrived
in the lap of the Dalai Lama...
as did the "thinking" and the music
across prior to the Mongol's curiosity
over the tundra of Siberia...
something had to be placed on a loan...
and coming back to the cradle and the crux
had to happen like so...
not this current: ergo: so...
quickened and: what news from Damascus?!

first impressions count...
i made my bed... it's newly washed...
as crisp as falling onto a bed a prawn crackers...
without the crumbs' itch...
like listening to some german:
juggernaut... this will do... i can fall asleep
with this: grab hören zu der winderhall...
mehr flöte - weniger violinekratzen!
schlechtdeutsche? alle deutsche ist gut deutsche...
erwarten etwas isländisch zu sein
gesprochen insel von insel: auf diese inseln?!

to make a crisp bed of freshly washed sheets...
to sleep in them alone...
given the grammar is not that far removed...
are the french even remotely translated
as a germanic "sort of" people?
"they" or "we" share the same grammar...
and there are celtic freedoms that would
never be allowed to exfoliate under
strict anglo-ßaß obligations...

oh sure! great people! steam engine: choo-choo!
newton et al...
shakespeare: when they taught us shakespeare
they should have taught us bernard shaw...
when they forced jane eyre down our throats
we should have been reading
the pickwick papers...
the music will remain german -
because as much as vaughan williams...
holst and händel were "were" english...
esp. latter with his umlaut that spread over
toward i-and-j...

why wouldn't you **** at the pillar of the empire:
a past most assured - dust, books and moths...
like hell will i come to correct my ways
to state the: pish-poor Elgar... this poo'em too...
himmel... sky...
leerenhimmel - empty sky -
nein sonne während der tag:
das englischnebel: bedeckthimmel...
nein mond während der nacht...
nur so...

i of the lesser men of this world duly bow
my presence before the altar of the higher men
of these isles...
and hope and pray that their wisdom
will not bestow upon them any major calamity...
with not irony or ridicule i wish upon
these peoples... the right sort of oars
to turn this rooted island
into the people's imagined langboot...

there are only one british people a people
who will pursue to gloat having been
conquered by the romans...
being raided by the vikings...
integrating the anglo-ßaß...
a second viking coming via the Normans...
the push-over remains of the celts...
that somehow translated itself into
the: empire...
ideal: to compensate...
the islamic fervor for the... resurrected
caliphate...
jokes about the dritte ***** and the vierte *****...
that's pretty much the precursor jokes
surrounding: ein zweite ***** -
auf welche die sonne nimmer setzt -
ever wonder how that translates with the increased
cases of insomnia?!

again: bad german is better than
no german.
L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours,
Débris où n'est plus l'homme, où la vie est toujours ;
La fauvette en avril cherche, ô ma bien-aimée,
La forêt sombre et fraîche et l'épaisse ramée,
La mousse, et, dans les noeuds des branches, les doux toits
Qu'en se superposant font les feuilles des bois.
Ainsi fait l'oiseau. Nous, nous cherchons, dans la ville,
Le coin désert, l'abri solitaire et tranquille.
Le seuil qui n'a pas d'yeux obliques et méchants,
La rue où les volets sont fermés ; dans les champs,
Nous cherchons le sentier du pâtre et du poète ;
Dans les bois, la clairière inconnue et muette
Où le silence éteint les bruits lointains et sourds.
L'oiseau cache son nid, nous cachons nos amours.

Fontainebleau, juin 18...
aar505n  Apr 2015
Le Printemps
aar505n Apr 2015
T'as raison,
Sur les saisons.
Le printemps est à l'extérieur.
Mais l'automne est dans mon coeur.
Un petit poème que je ai pensé tout en étudiant français

— The End —