Submit your work, meet writers and drop the ads. Become a member
I've always
Had a strange attitude toward libraries
Some
Self-proclaimed peculiar insanity
Engraved and not really reasonable
Imperative
upon me
was
Spellbounded
And occasionally emerging
As
My
Elephantic memory skills


This rather charming ability

Acknowledged once and for Goooood

that:
I cannot breathe, live and develop creative
Thought processes
Flying as they are  ~ Ethereal
Divinational
Sparks of Fanaticism
Along my  

True ingeniosity at any lessser plie

Of books dancing with my diagonal glances all 9 at once

& reading 6

Three of them were  
A
Total
crap
quickly put aside

as a pun melts away when one
hears of thy neighbours death

This
Undefined sophisticated fatality Adoring
flying letters

within the prism of our lust
A narcissistic self proclaimed libido

Called love

( will you call )



YouI The Knowledge Seeker


( You can easily replace I with You whilst thorough reading )

This unfulfilled hunger
For Truth
Piled over Our dreams


Not obeying the law of Sintropy
Which was undiscovered as a scientific paradigm

Do my frangrance linger
Within you

Do you
love
me

To do it
At times you stood there frozen, as an oponnent


To all the women's
Race

At the end. . .

Staring at me Silently

Widespread floor to ceiling windows
Said nothing

Only your two pals
Were blabbering about this Biblical
Not pointing directly
At - The
Highest
Babel Wrong Priestess Fish

Who diss
missed
diss
possesed

Liked me
Ipso facto like A
Fantasy


And
Dismantled his own declination
Of
Giggling
Witches like me

Mad about cherry tea and three hearts
**** bubbles
at the
sea
humming it's beautyful melody

For each
For Us
For U
A différence
For each one with love waves

Chesee is healthy
You have a Tastful Tongue

And you knew that behind my sharp intelligence
Books and photos were draged chaotically
Mostly on the most impossible

Places
Scattered

And piled as flowering colours
As plants lacking a
solid
structure
and
Thorough Thoughts

Thorough Thoughts
( Usually Unite US )
Were We Are Found
At least my-not-importance
Usualy riding on a slick blue silvery back of the nearest
Dolphin
Diving For
Pearl Ear Shells

Or this furry crazy smiling cat
Grinnin' at my newest
Fairy Tale naïveté
Novel

We can all can communicate well
Even when we are statues


Oh ~ you'll love me !
Of that I'm sure!

As a friend or a person worth of a sirious dialog

Eventually: : :

I know
That I'm not
Special
But Spatial

The Menu at your place is not for my veggy nerves ( or have you changed your habitual ethics )

Within my genotype hides an obnoxious little nerdish
Analitical psychotherapist

The nearest person would nod as an affirmation:
A fascinatingly developed natural psychologist
That's for sure!


But I don't mind
To be in love
I love life and laugter and songs

And
I hate your
Non existing
Guardianship
Beacons
Hats

And your
Non existing
Kind sparks
Beaming at me
Loving your beating
Protecting
Whales

Pinacle of your being

Alas ! Old Chap
Thou tribute to deceased master was one of the most

. . . herein lies the enchanted ink of invisibility. . .

Through your perception

The world is seen as a Round Sphere
Substantial to your glasses and the dispersed angles the light hits you
Directemont inbetween
Daily diaries with black frames
For Architects, Thinkers and Designers

I once said that you have a broken unappealing dark face without
beauty spots
central
symetries

Healthy self-esteem
To my friend

She's no longer
Closefriend

I've altered my mind and Beauty categories
Dyonis  & Artemis :
Eros was never destroyed within books
Consumed

Intimacy

Quietness

From my heart to
A Small college library

At least ~ for me :

Here dwell forest dwarfs
Elves and near by Nasa Cute Freaks


Every once in a while I saw three handsome friends
shaking paws
HE has two
persons
or just
One

requested
Water
Fire and Ice
And Theborders of Illlusion
That was A wisdom to my deep golden WIT
y
Heart
Stiched On a T  Shirt


Ignited isynaptic crystals

Are those unforgettable *****
Burning eraticaly on wings of lust and 'creatio ex nihilo'
pressing enter
under the soft-silk soothing shade
of your
Healing un-experienced friends
Under

Rustling treetops contempt, swaying with wind
And the Grass
Swaying
Shaping
Shifting

Ignoring ***
And
Gender


Sorry Ich Bin Langsam und Gothic Mefistofeles
Who has fallen for you
Slender man creature
Masculin
Energy

Feminine and full of abundant Joy
I was
I will
)vegot
The intention is craving
Knowledge

I knowledge is null and void


As a symbolic inflated red balloon

I have it
As long as I do not have
It
Any more

...you can peacefuly replace I with You whilst thorough reading...
and tear
the love
letters
dr.op

All the absurdity

Thank you!

All the arrogance
Vanished within a Dream. . .

Until we give up The True Love
I'm hanging upon Poetry
Tree of life
Spinning

Paper life. . .span
Hanged for a fible moment,
Arrow's Swift Air Cut
Release
Please
Hear
MY
Heart
Palpitations
Die
With
Me only metaphorically

&
Listen to The Universal
Divine Ancient
Scripts
Vauvenargues dit que dans les jardins publics il est des allées hantées principalement par l'ambition déçue, par les inventeurs malheureux, par les gloires avortées, par les cœurs brisés, par toutes ces âmes tumultueuses et fermées, en qui grondent encore les derniers soupirs d'un orage, et qui reculent **** du regard insolent des joyeux et des oisifs. Ces retraites ombreuses sont les rendez-vous des éclopés de la vie.

C'est surtout vers ces lieux que le poète et le philosophe aiment diriger leurs avides conjectures. Il y a là une pâture certaine. Car s'il est une place qu'ils dédaignent de visiter, comme je l'insinuais tout à l'heure, c'est surtout la joie des riches. Cette turbulence dans le vide n'a rien qui les attire. Au contraire, ils se sentent irrésistiblement entraînés vers tout ce qui est faible, ruiné, contristé, orphelin.

Un œil expérimenté ne s'y trompe jamais. Dans ces traits rigides ou abattus, dans ces yeux caves et ternes, ou brillants des derniers éclairs de la lutte, dans ces rides profondes et nombreuses, dans ces démarches si lentes ou si saccadées, il déchiffre tout de suite les innombrables légendes de l'amour trompé, du dévouement méconnu, des efforts non récompensés, de la faim et du froid humblement, silencieusement supportés.

Avez-vous quelquefois aperçu des veuves sur ces bancs solitaires, des veuves pauvres ? Qu'elles soient en deuil ou non, il est facile de les reconnaître. D'ailleurs il y a toujours dans le deuil du pauvre quelque chose qui manque, une absence d'harmonie qui le rend plus navrant. Il est contraint de lésiner sur sa douleur. Le riche porte la sienne au grand complet.

Quelle est la veuve la plus triste et la plus attristante, celle qui traîne à sa main un bambin avec qui elle ne peut pas partager sa rêverie, ou celle qui est tout à fait seule ? Je ne sais... Il m'est arrivé une fois de suivre pendant de longues heures une vieille affligée de cette espèce ; celle-là roide, droite, sous un petit châle usé, portait dans tout son être une fierté de stoïcienne.

Elle était évidemment condamnée, par une absolue solitude, à des habitudes de vieux célibataire, et le caractère masculin de ses mœurs ajoutait un piquant mystérieux à leur austérité. Je ne sais dans quel misérable café et de quelle façon elle déjeuna. Je la suivis au cabinet de lecture ; et je l'épiai longtemps pendant qu'elle cherchait dans les gazettes, avec des yeux actifs, jadis brûlés par les larmes, des nouvelles d'un intérêt puissant et personnel.

Enfin, dans l'après-midi, sous un ciel d'automne charmant, un de ces ciels d'où descendent en foule les regrets et les souvenirs, elle s'assit à l'écart dans un jardin, pour entendre, **** de la foule, un de ces concerts dont la musique des régiments gratifie le peuple parisien.

C'était sans doute là la petite débauche de cette vieille innocente (ou de cette vieille purifiée), la consolation bien gagnée d'une de ces lourdes journées sans ami, sans causerie, sans joie, sans confident, que Dieu laissait tomber sur elle, depuis bien des ans peut-être ! trois cent soixante-cinq fois par an.

Une autre encore :

Je ne puis jamais m'empêcher de jeter un regard, sinon universellement sympathique, au moins curieux, sur la foule de parias qui se pressent autour de l'enceinte d'un concert public. L'orchestre jette à travers la nuit des chants de fête, de triomphe ou de volupté. Les robes traînent en miroitant ; les regards se croisent ; les oisifs, fatigués de n'avoir rien fait, se dandinent, feignant de déguster indolemment la musique. Ici rien que de riche, d'heureux ; rien qui ne respire et n'inspire l'insouciance et le plaisir de se laisser vivre ; rien, excepté l'aspect de cette tourbe qui s'appuie là-bas sur la barrière extérieure, attrapant gratis, au gré du vent, un lambeau de musique, et regardant l'étincelante fournaise intérieure.

C'est toujours chose intéressante que ce reflet de la joie du riche au fond de l'œil du pauvre. Mais ce jour-là, à travers ce peuple vêtu de blouses et d'indienne, j'aperçus un être dont la noblesse faisait un éclatant contraste avec toute la trivialité environnante.

C'était une femme grande, majestueuse, et si noble dans tout son air, que je n'ai pas souvenir d'avoir vu sa pareille dans les collections des aristocratiques beautés du passé. Un parfum de hautaine vertu émanait de toute sa personne. Son visage, triste et amaigri, était en parfaite accordance avec le grand deuil dont elle était revêtue. Elle aussi, comme la plèbe à laquelle elle s'était mêlée et qu'elle ne voyait pas, elle regardait le monde lumineux avec un œil profond, et elle écoutait en hochant doucement la tête.

Singulière vision ! « À coup sûr, me dis-je, cette pauvreté-là, si pauvreté il y a, ne doit pas admettre l'économie sordide ; un si noble visage m'en répond. Pourquoi donc reste-t-elle volontairement dans un milieu où elle fait une tache si éclatante ? »

Mais en passant curieusement auprès d'elle, je crus en deviner la raison. La grande veuve tenait par la main un enfant comme elle vêtu de noir ; si modique que fût le prix d'entrée, ce prix suffisait peut-être pour payer un des besoins du petit être, mieux encore, une superfluité, un jouet.

Et elle sera rentrée à pied, méditant et rêvant, seule, toujours seule ; car l'enfant est turbulent, égoïste, sans douceur et sans patience ; et il ne peut même pas, comme le pur animal, comme le chien et le chat, servir de confident aux douleurs solitaires.
Bragi  Jul 2018
Breaking Again
Bragi Jul 2018
Break
Break
Break
Break
Break it
Broken
Braving the
Open.
Sudden.
Opportunity
Sees me
Repeating cycles of
Toxic masculin
It teases me
Poisons
Seeping in
Claiming what’s mine
The mind.
Weakening.
Beginning again
A grinning ‘been there’
The light singeing my hairs
As is breaks through the skin
Bleeding
Breaking
Broken
A break in
Rhythm
So break
Break
Break
Break
Break it
Broken
Braving the
O
Again.
Bite Schoen, Fraulein !
Jouons avec les mots rébus
Nus et sincères.
Appelons une chatte une chatte
Et une bite une bite.
Mouillons et bandons
Suçons voluptueusement nos mots tabous
Jusqu'à la moelle
Appelons cul Luc
Et bite Tobie
Lâchons-nous
Sans laisse et sans harnais
Vive la bagatelle sans filet
Quand j'avance tu recules
Comment veux-tu comment veux-tu
Que je te culbute ?
Ou tu préfères encule
Soyons salaud féminin salope
Vicieuse masculin vicieux
Jouissons de toutes nos jutes
Buvons nos vins clairet
Et nos sirops typhon
Universels et panachés
Tu préfères à la cuillère ou directement au pis du mammifère ?
Jouissons, mignonne
Cochon cochonne
Allons voir si la rose
Qui ce matin avait éclose
N'a point perdu cette vesprée
Les plis de sa verge pourprée
Baisons Baisons
Qu'un sang impur arrose nos sillons.
Tu préfères zizi, anguille, oiseau ?
Moi je me présente quand même
Je m'appelle Orphie et si tu veux
Tu peux prononcer Orphée
Et toi ma chatte de lynx, ma pie qui chante,
Tu dis utérus comme si tu voulais me dire
Que tu es musicale et que je dois
Te prendre à la hussarde de ma clé d'ut
Ou ai-je mal compris, serait-ce ma clé de huit ?
Moi j'appelle ton repaire palourde,
Conque de lambi ou hortensia,
Zmeu, car tu te transformes quand tu veux
En nuage de cerfs-volants
Et tu m'emportes avec toi tourbillonneuse
Tourbillonneuse oui car tu réinventes la syntaxe et le lexique
Tourbillonneuse, adjectif qualificatif, féminin singulier
Dans le creux profond de tes dents acérées
Quand tu me suces j'oublie tout
J'oublie que tu t'appelles Eurydice
Et je jouis en Aura dans tous ses orifices
Ne sois pas vulgaire
Ne me dis pas je t'aime
Mais dis-moi chaque fois que ça te chatouille
J'ai envie de toi.
Ou baise-moi là tout de suite
Et tout de suite ne veut pas dire vite
C'est lentement que je veux t'administrer mon vit
A petites doses
Tu préfères devant ou derrière ?
En haut ou en bas ou côte à côte ?
A propos
Tu sais que lès ça veut dire à côté
Et que ça a la même racine latine que latéral ?

Lentement disais-je
Parcourons nos bréviaires
Et chantons nos poèmes lubriques
Et cantiques tantriques

Veux-tu que je te fouette de ma langue rose
Et que j'engloutisse de mes grosses lèvres tes petites lèvres
Fais couler ta liqueur que je m'en pourlèche
Suce-moi le sein
Je veux que mon aréole change de couleur
Et que mon mamelon devienne de la taille de mon dard.
J'aime quand tu dis ça
Tu dis fais moi ça
Ou j'aime ça, tu savoures
Et même dans un simple ça va chez toi
Je sens que tu es dans tous ses états.
Tu veux que je t'apaises et en même temps
Tu ne penses qu'à brûler de plus belle.

Et chaque fois que je renais des cendres de tes caresses
Tu as tes yeux d'anthropologue qui réclament encore le tout et les parties
Et je fais mine de me plaindre
Je te dis que tu es Insatiable
Mais déjà je bande Incurable
Car il suffit que tu me regardes
Avec ces yeux de chatte lynx de ces instants-là
Pour que je batte des cils.

Tu es caniculaire en permanence
Tu es humide et généreuse quand tu chantes
Je te prends, tu me prends par la barbichette
Le premier qui jouira
Aura une sucette
Et moi je tire la chevillette et la chevillette cherra
Car je sais que tu es mon ombre et que je suis la tienne
Nous nous fondons dans nos ombres respectives dans le miroir
Et c'est dans nos ombres que nous nous faisons tous ces câlins jouissifs
C'est à travers elles que nous montrons
Nos envies et désirs d'immortalité
A travers les petites morts répétées
Les petites extases quotidiennes
Des mots quels qu'il soient qui nous lient
En de petits cailloux sur la route qui mène aux neiges du parinirvana.

Alors pour résumer notre texte

Je commence par le titre,
A toi la dédicace et à moi la préface.
Préliminaires obligatoires.
Tu m''exposes les grandes lignes de notre mémoire
Et je procède à l'introduction et au développement.
A toi la thèse à moi l'antithèse ou vice et versa.
Avant de conclure par une virgule
Je récapitule et j'écris le mot faim
Et toi tu continues sur le même rythme
Car notre histoire n'a pas de fin,
Notre histoire est Insatiable et Immortelle.
Tu es la Muse je suis le Musc
Et notre film se lit non pas en noir et blanc
Mais en yin et yang,

— The End —