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brandon nagley Mar 2016
i.

Today, O' today
I got her letter in the mail;
Filled with pictures of mine
Queen, she sent me
Poems done by me, in her
Calligraphy.

ii.

Today O' today
I got lipstick kisses on
Her notes, the red stood
Out of all she wrote;
As her amour was
So fine.

iii.

Today O' today
Anon mine spirit's soared,
That fashionable vellum
O' I adored. O' Jane Sardua,
O' Jane of Earl. O' rose of Asia;
The Luzon's pearl.

iv.

Today O' today
I smiled again, because mine lover,
And mine best friend. Her ardent sonnet
Displayed her touch, grabbing mine soul,
In heaven's blush, silently tear's came to
a rush; from joy's overtaking.

v.

Today O' today
O'er the blue, I made mine stay.
Consatero, ah veray,
Queen Jane, Queen Jane,
Of Asia's praise;
Today O' today
How I fell in
Love again.


©,Brandon Nagley
©Lonesome poets poetry
©Earl Jane Nagley dedicated ( àgapi mou)
Vellum- smooth writing paper...
Anon- at once, or immediately.
Blush- not of embarrassment... Meaning as of color...
O'er- over in archaic form .
Consatero- is a word I created meaning... ( blissful in sound and color)
Ah veray - is another word or words put together meaning- ( venerated ( meaning regard with great respect) and elevated in honor and glory ..

Note- I made this poem about the amazing love letter Jane sent me in the mail. The old fashioned way of sending love if ones far away how it used to be sent and still should be sent. Though everyone's so inter-web connected now they've lost touch with humanity in themselves and others... As big reason I took break from poetry sometimes we need it. Now I'm back. Plus I've been sick lately and not doing best but I'll be OK with God with me... Jane sent me a lovely envelope an envelope I've never seen before with a beautiful skin texted layer... Her handwriting is so beautiful, and her message in the two page letter touched mine soul where I did have tears because seeing how much she loves me really makes me feel blessed again and again daily!!! And she sent me three pics... Older ones. One of her as she was a little girl. One during elementary school and a later one... Alll so beautiful and queen like!! And she is a well know calligraphist and getting better by the day. Though really a starter shes already professional as she's getting professional lookers looking her way ... Calligraphy is the old fashioned style handwriting practiced from long ago. Like the beautiful old way of writing you used to see in poetry. She sent me poems that are mine own poems though handwritten in her calligraphy!!! Such a gift it was as I was very down yesterday and this was a pickmeup!!! A blessing!! And a treasure I will cherish until we meet and beyond!!! Thank you so much mine Reyna Jane... Soulmate... Best friend!! Lover...alll... My àgapi mou. Zoi mou, anasa mou!!!m se letrevo queen!!!!!

Note - wanna follow Jane and her calligraphy on Instagram you can find her I believe at yellow_majesty or Earl Jane sardua maybe that is try Earl Jane Nagley... But try yellow_majesty first. Also Earl Jane Nagley on fbook. To ask her for info on her calligraphy... As she needs support ... Thank you friends!! And thank you for all of your support!!! (:::
I am --===not  li==ving through this== hell =  all over again!!

Leave==='' me alone you crazy ****** ****!!!!!!!!!!

from ME
like one of those letters one might receive with one letter at a time pasted on a sheet of paper only it being done to the depraved one.....
Maja Klit Jun 2015
Målet er at ramme flaskebunden.
Derefter sættes samme mål.

REPEAT REPEAT REPEAT
(Det er blevet normens faste procedure)

Målet er at være stilikonet. Tiltrække gade fotograferne. Genvejen til de fem minutters berømmelse.

KNIPS KNIPS KNIPS
(Det hele er blevet en farverolade)

Målet er at pisse byen gul. Urban gødning er vel det rette ord når køen til de røde bokse er for lang.

SSH SSH SSH
(Kan ikke længere se forskel på øl tis vand)

Målet er at score. Så mange singler samlet med håbløse forventninger.

SUT MIG SUT MIG SUT MIG
( Det er det nærmeste de kan komme kærlighed)

Målet er at have en fest. Sild i tønder til hjernedøde beats.

BASS DROP BASS DROP BASS DROP
(Når de gode endelig kommer til lukkes festen af de euforiseredes konsekvenser)
Paul d'Aubin Aug 2014
Nos jeunesses avec Monsieur Snoopy


C'était le noble fils d'Isky
Yorkshire au caractère vif
Betty l'avait eu en cadeau
De Ginou, comme un joyau.
Dans ses jeunes ans, vêtu
d'un pelage noir et boucle.
Il semblait une variété
d'écureuil plutôt qu'un chien
Mais sa passion était de jouer
Et de mordiller aussi .
Mais ce chiot était déjà
Un jeune combattant téméraire.


Venu avec nous a Lille
Il apprit a courir les pigeons du Beffroi.
L'été prenant le cargo avec nous pour la Corse,
Il débarquait aphone ayant aboyé toute la nuit.
Dans l'île, ce chien anglais se portait comme un charme,
et se jouait des ronces du maquis.
Il dégotta même une ruche sauvage d'abeilles près du ruisseau le "Fiume".


Mais de caractère dominant
Et n'ayant pas appris les mœurs de la meurtre,
Il refusa la soumission au dogue de "Zeze"; "Fakir",
qui le prit dans sa gueule et le fit tournoyer sous la camionnette du boucher ambulant.
Il en fut quitte pour quelques jours de peur panique,
Puis ne manqua point de frétiller de sa queue pour saluer le chef de meute selon la coutume des chiens.


Rentrés a Lille, je vis un film de Claude Lelouch,
Ou un restaurateur avait entraîné un coq a saluer les clients,
Aussitôt, je m'efforcais de renouveler l'exploit avec Snoopy juche sur mon épaule ou l'appui tête de notre Fiat.
Mais ce chien indépendant et fougueux ne voulut rien entendre.
Las et envolées les idées de montreur de chien savant.


Le chien Snoopy n'aimait guère l'eau, ni douce, ni salée,
mais une fois plonge dans les flots,
de ses pattes il se faisait des nageoires pour rejoindre sa maîtresse se baignant dans les flots.


Âgé  de seize ans, la grande vieillesse venue,
dont le malheur veut qu'elle marque le cadrant de cinq fractions de vies d'hommes,
Une année fatidique le désormais vieux chien fut gardée à  Luchon par mes parents pour lui éviter le chenil du cargo,
Aussi un soir attablés au restaurant "La Stonda" nous apprimes l'affligeante nouvelle,
Le vivace Snoopy n'était plus, Je nous revois encore les yeux baignés de larmes comme si nous avions perdu, la meilleure partie de notre jeune âge.
Car il fut le premier chien de notre âge adulte,
Notre fille Celia mêla ses pleurs aux nôtres,
et cette nouvelle pourtant bien prévisible apporta une touche de chagrin à ce mois d'août d'ordinaire, si plein de Lumière et de soleil.

Nous avions perdu notre premier chien et notre grand ami de ceux qui ne vous trahit jamais.
Snoopy fut pour nous notre premier amour de chien.
Solide cabot au poil argenté, aux oreilles en pointe dressées au moindre bruit.
Il accompagna nos jeunes années de couple, alors sans enfant,
et enjolivait notre vie par sa fantaisie et ses facéties.
Joli descendant des chiens de mineur du Yorkshire, il sut nous donner pour toute notre vie l'amour des chiens anglais.

Paul Arrighi
Paul d'Aubin Feb 2014
L’épicerie «Mozabite» d’Akbou

S’il y a un lieu dont je me souviens,
C’est de l’épicerie d’Akbou,
située dans la rue centrale.
J’y accompagnais mes parents,
et pénétrais dans cette échoppe
avec tous mes sens en éveil,
surtout pour humer les senteurs mêlées
des jarres d’olive et de piments rouges.
L’épicier était Mozabite,
avec des pantalons bouffants.
Le roi des commerçants du lieu,
car dans l’espace resserré
jamais rien ne vous y manquait
dans cet incroyable fatras
où le «Mozabite» faisait ses choix.
vous tirant toujours d’embarras.
Il y avait des tonneaux d’olives
vertes ou noires dans leur saumure
avec ce goût qu’elles ont : «là-bas.»
et puis ces senteurs mélangées
de menthe, paprika, cumin
des parfums de fleur d’oranger.
et à la belle saison des dattes
pendaient les «reines» : «Deglet Nour»
Parmi toutes ces friandises
Il en est deux qui pincent mon coeur
Cette galette ronde et si tendre
la «Kesra» plus tendre que le pain.
et les sacs remplis de semoules
qui sont la base du «Couscous» Kabyle
Alors que l’agneau est son prince
Merci à l’épicier d’Akbou
qui sut si bien aiguiser nos sens.

Paul d’Aubin (Paul Arrighi)
Toulouse - février 2014.
Paul Arrighi was born to "Bougie/Bejaia" in 26 february 1954 any month before of the beginning of the Algerian war
brandon nagley Jun 2015
Welsh translation  -Os byddaf yn marw, gan fy mod i'n blasu gwaed, cofiwch penillion fy, sut yr wyf yn eu dysgu iti garu, felly lledaenu'r *** cariad, fel y llefaru duw geisio, maddau gilydd, mewn amser o wan, yn mynegi dy gariad, yn ei rhoddi dy enaid, gwna dy gwragedd a gŵr, breninesau a brenhinoedd fel aur !!

ac ag ar gyfer frenhines fy, byth fy fyddi!!!


English translated-


if I die, since I'm tasting blood, remember mine verses, how I taught thee love, so spread that love, as god doth seek, forgive one another , in time of weak, showeth thine love, giveth thine soul, make thy wives and husband's, queens and kings as gold!!

and as for mine queen, forever mine thou shalt be..
SHAKESPEARE.
À lui la baguette magique
Le pouvoir de tout enchaîner ;
Il riva la Nature aux plis de sa tunique,
Et la Création a su le couronner.

MILTON.
Son esprit était un pactole
Dont les flots roulaient de l'or pur,
Un temple à la vertu dont la vaste coupole
Se perdait dans les cieux au milieu de l'azur.

THOMPSON.
Après le jour la nuit obscure,
Après les saisons les saisons,
Ses chants qui sont gravés au sein de la nature
Iront de l'avenir dorer les horizons.

GRAY.
D'un vol grandiose il s'élève,
La foudre il la brave de l'œil,
Le nuage orageux il le passe, puis s'enlève
Lumineuse trainée au sein de son orgueil.

BURNS.
De la lyre de sa patrie
Il fit vibrer les plus doux sons,
Et son âme de feu, céleste rêverie
Se fondit dans des flots d'admirables chansons.

SOUTHEY.
Où règne la nécromancie
Dans les pays orientaux,
Il aimait promener sa riche fantaisie,
Son esprit à cheval sur les vieux fabliaux.

COLERIDGE.
Par le charme de sa magie
Au clair de la lune le soir
Il évoquait le preux, et du preux la vigie,
La superstition, hôte du vieux manoir.

WORDSWORTH.
Au livre de philosophie
Il suspendit sa harpe un jour,
Là, placé près des lacs, il chante, il magnifie
Dans ses paisibles vers la nature et l'amour.

CAMPBELL.
Enfant gâté de la nature
L'art polit son vers enchanteur,
Il sut pincer sa lyre et gracieuse et pure,
Pour amuser l'esprit, et réchauffer le cœur.

SCOTT.
Il chante, et voyez ! là s'élance
Le Roman que l'on croyait mort,
Et la Chevalerie et la Dague et la Lance,
Sortent de l'Arsenal poussés par son ressort !

WILSON.
Son chant comme une hymne sacrée
S'infiltre de l'oreille au cœur ;
On croirait qu'il vous vient de la voûte éthérée
La voix d'un chérubin, d'un saint enfant de chœur.

HEMANS.
Elle ouvre la source des larmes
Et les fait doucement couler,
La pitié dans ses vers elle a les plus doux charmes
Et le lecteur ému s'y laisse affrioler.

SHELLEY.
Un rocher nu, bien solitaire
Au **** par de là l'océan,
Crévassé par le choc des volcans, du tonnerre,
Voilà quel fut Shelley, l'audacieux Titan !

HOGG.
Vêtu d'un rayon de lumière
Qu'il sut voler à l'arc-en-ciel,
Il voit fée et lutin danser dans la clairière,
Et faire le sabbat **** de tout œil mortel.

BYRON.
La tête ceinte de nuages,
Ses pieds étaient jonchés de fleurs,
L'ivresse et la gaité, le calme et les orages
Trouvent en ses beaux vers un écho dans les cœurs.

MOORE.
Couronné de vertes louanges
Et pour chaque œuvre tour à tour,
Moore dans les bosquets se plait avec les anges
À chanter les plaisirs de son Dieu... de l'Amour !
Paul d'Aubin May 2014
Liberté Egalité Fraternité,  
le vrai Triptyque Républicain

En hommage à nos ancêtres qui surent être ambitieux et fonder un triptyque toujours primordial, jamais accompli ni vraiment réalisé.

LIBERTE !

Frêle comme doigts d’enfants,
Plus précieuse qu’un diamant,
Ton seul parfum nous enivre
Et comme, un bon vin, nous grise.
Tu es hymne à la vie
Qui fait lever des envies.
Tu suscite des passions,
Libère des émotions.
Tu fus conquise de haute lutte
Par nos ancêtres en tumulte.
Ils nous donnèrent pour mission

D’en multiplier les brandons.
A trop de Peuples, elle fait défaut.
Elle ne supporte aucun bâillon
Car si l’être vit bien de pain,
Il veut aussi choisir son chemin.
Si tous les pouvoirs la craignent,
Ma, si belle, tu charmes et envoute,
Mets les tyrans en déroute,
Sœur de Marianne la belle.

*
EGALITE !

Elle fut la devise d’Athènes,
Et révérée par les Romains.
Elle naquit en 89, avec la liberté du Peuple,
Est fille de Révolution.
Elle abolit les distinctions
Séparant les êtres sans raison.
Ouvre la voie à tous talents
Sans s’encombrer de parchemins.
C’est un alcool enivrant
Que l’égalité des droits.
C’est aussi une promesse
De secourir celui qui choit.
Si l’égalité fait tant peur,
C’est que son regard de lynx

Perce les supercheries
Et voit les hommes tels qu’ils sont.

FRATERNITE !

Elle coule, coule comme le miel,
Nectar de la ruche humaine.
Elle sait embellir nos vies,
Et faire reculer la grisaille,
Du calcul, froid et égoïste.
Dans la devise Républicaine
Elle tient la baguette de l’orchestre.
Comme un peintre inspiré, elle met,
Sur la toile, vive et vermillon.
Elle nous incite à l’humanisme.
Elle est petite fille de 89, fille de quarante –huit
Mais sut renaître en 68.
Elle est crainte par les puissants,
Qui n’ont jamais connu qu’argent,
C’est pourtant une essence rare.
Dans les temps durs, elle se cache,
Mais vient ouvrir la porte
Au Résistant pourchassé. Elle n’hésite pas aujourd’hui
À secourir un «sans papier»
Sa sœur est générosité.
Elle est la valeur suprême,
Qui rend possible le «vivre ensemble»
Et permet même au solitaire
De faire battre un cœur solidaire.
La fraternité reste la vraie conquête de l’humain.

Paul d’Aubin (Paul Arrighi) à Toulouse; France.
Je suis l'astre des nuits. Je brille, pâle et blanche,
Sur la feuille qui tremble au sommet d'une branche,
Sur le ruisseau qui dort, sur les lacs, bien plus beaux
Quand mes voiles d'argent s'étendent sur leurs eaux.
Mes rayons vont chercher les fleurs que je préfère,
Et font monter au ciel les parfums de la terre ;
Je donne la rosée au rameau desséché,
Que l'ardeur du soleil a, sur le sol, penché.
Sitôt que je parais, tout se tait et repose,
L'homme quitte les champs, et l'abeille la rose :
Plus de bruit dans les airs, plus de chant dans les bois ;
Devant mon doux regard nul n'élève sa voix,
De la terre ou du ciel aucun son ne s'élance,
J'arrive avec la nuit, et je règne en silence !
Je cache mes rayons quand le cri des hiboux
Vient troubler mon repos et mon calme si doux.

Je suis l'astre des nuits ; je brille, pâle et blanche,
Sur le cœur attristé, sur le front qui se penche,
Sur tout ce qui gémit, sur tout ce qui se plaint,
Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint.

Quelques heureux, parfois, me donnent un sourire,
S'aiment, et devant moi trouvent doux de le dire ;
J'écoute avec bonheur leurs longs serments d'amour,
Je leur promets tout bas de n'en rien dire au jour.
Mais les plus beaux rayons de mon blanc diadème
Sont pour vous qui souffrez !... C'est vous surtout que j'aime
Donnez-moi vos soupirs et donnez-moi vos pleurs ;
Laissez-moi deviner vos secrètes douleurs,
Le rêve inachevé qui n'a point de parole,
Que nul ne sut jamais et que nul ne console !
J'ai pour les cœurs brisés, ainsi que pour les fleurs,
Une fraîche rosée endormant les douleurs.
Écoutez-moi ce soir, vous saurez un mystère
Ignoré jusqu'ici du reste de la terre,
Secret que je révèle à ceux de mes élus,
Qui m'ont le plus aimée et qui rêvent le plus.

Je vous dirai pourquoi je brille, pâle et blanche,
Sur le cœur attristé, sur le front qui se penche,
Sur tout ce qui gémit, sur tout ce qui se plaint,
Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint.

Votre vie, ici-bas, est un triste voyage,
Dont le ciel, où je suis, est le port, le rivage ;
Elle a bien des écueils, la route où vous passez...
Et vous n'arrivez pas sans vous être blessés !
Vous n'abordez pas tous sur la céleste plage,
Ceux qui se sont souillés demeurent à l'écart ;
Coupables et souffrants, dans une morne attente,
Ils s'arrêtent au seuil du séjour où l'on chante.
Un ange, dont les pleurs voilent le doux regard,
Leur barre le chemin et murmure : « Plus **** ! »
- Parmi ces exilés traînant au **** leur chaîne,
Parmi les longs sanglots de ces âmes en peine,
Errantes **** de Dieu, du soleil et du jour,
Moi, je prends en pitié les coupables d'amour.
J'appelle auprès de moi ces Âmes de la terre,
Qu'un Dieu juste éloigna du séjour de lumière,
Parce qu'en sa présence elles gardaient encor
Un souvenir d'amour, au delà de leur mort.
Je leur donne ma nuit, mes rayons, mes étoiles,
Je donne à leur exil l'abri de mes longs voiles,
Et les larmes, le soir, qui coulent de leurs yeux,
Semblent à vos regards des étoiles des cieux ;
Ce ne sont que des pleurs... des pleurs d'âmes souffrantes,
Qui, la nuit, dans l'espace avec moi sont errantes.

Vous, encor sur la terre où s'agitent vos cœurs,
Levez les yeux vers moi ! j'ai près de moi vos sœurs.
Oh ! veillez bien sur vous... et priez bien pour elles !
Entendez-vous leurs pleurs ? car si mes nuits sont belles,
Pourtant Dieu n'est pas là ! le seul repos, c'est Lui...
Il fait jour près de Dieu, - je ne suis que la nuit !

Je vous ai dit pourquoi je brille pâle et blanche
Sur le cœur attristé, sur le front qui se penche,
Sur tout ce qui gémit, sur tout ce qui se plaint,
Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint.
AngLe Mar 2019
Lerscent grimmark, dark & light - glas

Cost em-mark en bisk et ast
heavy holden march of hOVE- entasked watching homers m ark
doe agree ṧick the pervious measure
that measure of good & evil.... (dost thou see)
///
Tear away, flocking dress in/motion _ heal/SCARS
trainṧit life for light or light for life
Certain that curtail fervent curtain time
- shallow eleven drench that sut surper of STILL
- heal
kendall Malish Oct 2015
2am
im rotting within myself
im the living definition of a cavity
bleached and beautiful on the outside
but rotting in black sut on the inside

i did not take my medicine today
therefor i am anxious
overly anxious
my nerves are telling me something atrocious is about to happen
but it simply is not
im trembling
no one can help me
no one can soothe me
my phone was gone half of my day
my safety blanket
was gone
that means i was gone with it
i've been gone
im so gone
let these meds flow

i tried to text you for comfort
but you could give a **** less about me
you were drunk
while i was pouring myself out to you
you joked around
another reminder that i have no one
lonlieness poked me at my every pressure point
im irked
scared
restless
it sickens me that i need you in my breaking points, i need you in my 2 am thoughts
i need you to calm me
but all you cared about was the ***
you didnt care about me in my breaking points
you dont care about my thoughts at 2 am
its okay

if i were you i wouldnt care either
im too easy

please mercy me
let me fall out of myself
for the sake of myself
-on the verge of an anxiety attack at my best friends house
Connor Eastwood Sep 2018
The grinding humm of diesel generators fill the smoggy night.

The sky cries acid and breathes sut.

Air is uncomfortably close; sitting on your chest and scraping your throat.

Animals die in unison falling on burnt soil bereavement of life is inevitable.
Any feedback would be massively appreciated.
Aimez vos mains afin qu'un jour vos mains soient belles,
Il n'est pas de parfum trop précieux pour elles,
Soignez-les. Taillez bien les ongles douloureux,
Il n'est pas d'instruments trop délicats pour eux.

C'est Dieu qui fit les mains fécondes en merveilles ;
Elles ont pris leur neige au lys des Séraphins,
Au jardin de la chair ce sont deux fleurs pareilles,
Et le sang de la rose est sous leurs ongles fins.

Il circule un printemps mystique dans les veines
Où court la violette, où le bluet sourit ;
Aux lignes de la paume ont dormi les verveines ;
Les mains disent aux yeux les secrets de l'esprit.

Les peintres les plus grands furent amoureux d'elles,
Et les peintres des mains sont les peintres modèles.

Comme deux cygnes blancs l'un vers l'autre nageant,
Deux voiles sur la mer fondant leurs pâleurs mates,
Livrez vos mains à l'eau dans les bassins d'argent,
Préparez-leur le linge avec les aromates.

Les mains sont l'homme, ainsi que les ailes l'oiseau ;
Les mains chez les méchants sont des terres arides ;
Celles de l'humble vieille, où tourne un blond fuseau,
Font lire une sagesse écrite dans leurs rides.

Les mains des laboureurs, les mains des matelots
Montrent le hâle d'or des Cieux sous leur peau brune.
L'aile des goélands garde l'odeur des flots,
Et les mains de la Vierge un baiser de la lune.

Les plus belles parfois font le plus noir métier,
Les plus saintes étaient les mains d'un charpentier.

Les mains sont vos enfants et sont deux sœurs jumelles,
Les dix doigts sont leurs fils également bénis ;
Veillez bien sur leurs jeux, sur leurs moindres querelles,
Sur toute leur conduite aux détails infinis.

Les doigts font les filets et d'eux sortent les villes ;
Les doigts ont révélé la lyre aux temps anciens ;
Ils travaillent, pliés aux tâches les plus viles,
Ce sont des ouvriers et des musiciens.

Lâchés dans la forêt des orgues le dimanche,
Les doigts sont des oiseaux, et c'est au bout des doigts
Que, rappelant le vol des geais de branche en branche,
Rit l'essaim familier des Signes de la Croix.

Le pouce dur, avec sa taille courte et grasse,
A la force ; il a l'air d'Hercule triomphant ;
Le plus faible de tous, le plus doux a la grâce,
Et c'est le petit doigt qui sut rester enfant.

Servez vos mains, ce sont vos servantes fidèles ;
Donnez à leur repos un lit tout en dentelles.
Ce sont vos mains qui font la caresse ici-bas ;
Croyez qu'elles sont sœurs des lys et sœurs des ailes :
Ne les méprisez pas, ne les négligez pas,
Et laissez-les fleurir comme des asphodèles.

Portez à Dieu le doux trésor de vos parfums,
Le soir, à la prière éclose sur les lèvres,
Ô mains, et joignez-vous pour les pauvres défunts,
Pour que Dieu dans les mains rafraîchisse nos fièvres,

Pour que le mois des fruits vous charge de ses dons :
Mains, ouvrez-vous toujours sur un nid de pardons.

Et vous dites, - ô vous, qui, détestant les armes,
Mirez votre tristesse au fleuve de nos larmes,
Vieillard dont les cheveux vont tout blancs vers le jour,
Jeune homme aux yeux divins où se lève l'amour,
Douce femme mêlant ta rêverie aux anges,

Le cœur gonflé parfois au fond des soirs étranges,
Sans songer qu'en vos mains fleurit la volonté -
Tous, vous dites : « Où donc est-il, en vérité,
Le remède, ô Seigneur, car nos maux sont extrêmes ? »

- Mais il est dans vos mains, mais il est vos mains mêmes.
Rachel White Feb 2017
My mother always warned me about the boys whose palms were made of calluses,
And whose hearts held a shield of armor so thick that even the brightest flames couldn’t weaken it.
She always told me that they would string you along and make you feel so full of love and brightness,
That you would become blinded to the truth of what they felt within their heads.
Even though I listened to her, I still found myself trapped by boys who saw my heart and my sexuality as the same thing.
I still wound myself tight around the boys who made my bed smell like ***** and ****,
And I caressed them in the same way mothers do with their children.
But every time I found myself broken again, my mother would tell me to scrub my skin raw and wash away every part of these boys that I let near me.
I had to wash my mouth out with soap every time I let their name slip from my lips, as if it were the dirtiest of curses.
She said I needed to burn every memory of them; literally and figuratively.
I needed to let flames grasp up towards their pictures,
And erase all the messages they sent with hearts and smiles.
My mother told me that she wouldn’t be upset if these boys dragged me in,
Because she had been there too;
Chasing the boys who thought they were men because they had cigarettes dangling from their lips.
She told me that everyone learns from their past lovers how to detoxify their bodies once they leave.
It’s not with water and cucumber mixtures or baths made of roses,
It’s with fists clenched as tears stream down our faces,
It’s with our voices screaming and our hearts beating strong.
When we are broken from these boys, whose mouths are filled with sut,
My mother told me, we fight to build ourselves back up.
We do not suffocate on their weaknesses which they blamed on us.
Amariah Clift Jan 2019
My father
My dad
My rock
The foundation of our family
You are in so much pain
I can feel your broken spirit
I see the yearning for peace in your soul when I look you in the eyes
Which is not as often as i'd like anymore
The sickness gave you an excuse and a good shake and now you don't realize the bonds you might break
I am angry at every cell
Those mother ******* cells.
I am so angry
And my heart hurts all hours of the day or night
I can't stop it and I don't know what to do
I cry alone and smile at the people who melt on by
But hey,
At least i have a dog and my feet have ten toes, my clothes have no holes and my underwear is clean.
At least most of the time
And my love is grand
At night I have trouble sleeping still.
My chest above my breast gets harder and deeper every day.
I am drowning in it.
It's full of rubble and dust,  fire and gasoline
I am choking on the heat of the smoke and the sut is traveling down and settling in my lungs painting a new picture in my body
My father couldn't teach me enough to understand until I experienced it,  that one thing everyone knows to hate.. cancer
The deafening rise of smoke consumes every thought in my mind

When I was 13, my father sat me down and told me that getting drunk was like kissing the devil on the lips and my naive little head didn't understand that it was meant more for him than for me
Growing up I never saw him drink
But ultimately he found that the drink paired nicely with his diagnosis and that he was always thirsty
This man who calls himself my dad,  is someone I've never known.
I choke on the words to tell him I miss him, but the smoke is too thick and I can't see him anymore
He is not my dad when he drinks
He was my coach
My biggest fan
My most favorite comedian
My best friend
He doesn't see the bonds he's broken and cancer gave him a good shake
But now he's blinded with a bottle and he's bound to the bar
He's gone, I cannot find him.

I wish I could breath underwater to put out this fire
I am choking and my chest is heavy
My lungs are green and molded over now and the carpet ***** up my feelings of regret and apathy
It grows up my throat to my tongue and speaks for me
Another drink please
My dad was diagnosed one year ago with leukemia. He started drinking about the same time. Change is the only constant, but too much at once is making me uncomfortable in my own skin
La mort, reine du monde, assembla certain jour,
Dans les enfers, toute sa cour.
Elle voulait choisir un bon premier ministre
Qui rendît ses états encore plus florissants.
Pour remplir cet emploi sinistre,
Du fond du noir Tartare avancent à pas lents
La fièvre, la goutte et la guerre.
C'étaient trois sujets excellents ;
Tout l'enfer et toute la terre
Rendaient justice à leurs talents.
La mort leur fit accueil. La peste vint ensuite.
On ne pouvait nier qu'elle n'eût du mérite,
Nul n'osait lui rien disputer ;
Lorsque d'un médecin arriva la visite,
Et l'on ne sut alors qui devait l'emporter.
La mort même était en balance :
Mais, les vices étant venus,
Dès ce moment la mort n'hésita plus,
Elle choisit l'intempérance.
Mr Shankley Mar 2019
The garden overflown
with rolled up cigarette buts,
Where the roots of our ruts
grow beneath the sut.

Suffocated;
Like statements never stated
That daisy chain bracelet;
You won’t find it here

“Enough we’ve waited”
you say losing patience
When the words “I love you”
Are hard to hear
Dieu sait bien que la femme est maîtresse de l'homme,
Mais l'époux généreux, chez l'épouse économe,
S'ils sont deux bons chrétiens en un cœur bien fondus,
Libre, vit dans la paix, **** des jougs défendus.
Simple, comme un enfant qui partage une orange,
Il fait toujours deux parts de tout fruit mûr qu'il mange.
Il choisit les meilleurs qui sont les fruits permis :
C'est un sage content du monde où Dieu l'a mis.
Pauvre, il a les trésors profonds de l'Évangile,
Riche, il tient ses greniers grands ouverts sur la ville.
Quand le soir vient, l'étoile à sa lampe sourit.
Couple qui s'épousa sous les yeux de l'Esprit,
Rébecca dont le cœur battit à grands coups d'aile,
En voyant Isaac sortir au-devant d'elle,
Isaac dont le cœur en fête remarqua
L'anneau d'or fin qui luit au nez de Rébecca,
Étaient moins saintement amoureux l'un de l'autre,
Que ces époux, courbés au souffle de l'apôtre,
Quand leur âme aspira, près du cierge éclairé,
Le parfum frais qui sort du vieux texte sacré.
Comme il est bon et droit, que Jésus est son maître,
S'il parle, elle a des yeux ravis de se soumettre ;
Qu'elle parle, il écoute, heureux de se plier
Aux désirs purs d'un cœur que Jésus sut lier.
Tous deux savent le prix des torts que l'on pardonne.
Au milieu des enfants que le Seigneur leur donne,
Ils laissent se mêler aux fils d'or éclatants
Les fils sombres qui sont au dévidoir du temps.
L'époux travaille ; il est ouvrier ou poète ;
Il explique aux siens Dieu dont le ciel est la fête.
Un enfant vous écoute avec tant d'appétit !
C'est innocent, c'est bon, c'est grave, c'est petit !
Elle, quand elle file, un bras hors de la manche,
Elle a l'air de filer son âme en laine blanche,
Et son cœur doux s'écoule aux ondes de son lait,
Flot parfumé, pareil au flot pur qui coulait
Du sein sacré sur qui Dieu, tout petit, ne bouge
Que sa lèvre d'enfant, humble fleurette rouge.
Dans la neige du linge et les tulles au vent,
Voilà la mère, avec son sourire vivant
Dont la chambre s'échauffe et dont l'ombre s'éclaire.
Femme aux seins mûrs, miracle, ô reine populaire !
Majesté des grands cils abaissés sur l'enfant !
Il s'abandonne, il dort. Un baiser le défend.
Le père le contemple, un rire sur la bouche.
Il est tel que, devant une rose farouche,
Un bon peintre amoureux de la gloire des fleurs.
Tous vivent dans le calme et les claires couleurs.
Ô chaleur maternelle ! ô prière qui vole !
Ô bouches ébauchant la première parole !
Chère tribu, petit peuple qui grandissez,
Mère qui d'une main délicate emplissez
De feuilles et de fruits les faïences fleuries,
Père au sourire plein de chaudes causeries,
Servante qui tournez au bruit clair des sabots :
Si vous êtes sereins, même avec des tombeaux,
Si vous gardez entier l'amour de la famille,
Dont la laine encor moins que l'honneur vous habille,
Si vous restez amis, quoi ! n'est-ce pas un peu
Parce qu'à tous vos soins vous savez mêler Dieu,
Qu'il vous tient sous son aile et qu'il vous a plu d'être
Unis par Jésus-Christ et bénis par son prêtre !
Lorsque j'ai lu Pétrarque, étant encore enfant,
J'ai souhaité d'avoir quelque gloire en partage.
Il aimait en poète et chantait en amant ;
De la langue des dieux lui seul sut faire usage.

Lui seul eut le secret de saisir au passage
Les battements du coeur qui durent un moment,
Et, riche d'un sourire, il en gravait l'image
Du bout d'un stylet d'or sur un pur diamant.

Ô vous qui m'adressez une parole amie,
Qui l'écriviez hier et l'oublierez demain,
Souvenez-vous de moi qui vous en remercie.

J'ai le coeur de Pétrarque et n'ai point son génie ;
Je ne puis ici-bas que donner en chemin
Ma main à qui m'appelle, à qui m'aime ma vie.
Mateuš Conrad Mar 2019
i have to find, but two media outlets
that i think, still have some spine /
integrity left in them:
  the sunday times
and FAMA radio...
    funny... radio...
   all those years amassing a private
collection of records...
buying what i wanted to hear...
but who can blame me,
all the English radio stations
were ****!
      GMT+1h "frequency"
  between the SUT (standard universal
time) hours of 23:00
          and... 07:00 hours...
this radio station
       doesn't allow  graveyard shift
DJ or adverts...
          it's pure,
    unadulterated marathon of song
after song...
    the unexpected journey feeling,
that i always looked for...
when collecting music records...
sure, some eurotrash,
some Anglo bongo-bongo
    in a mental asylum,
   or some other, if not other i.e.
   just when things weren't spicy enough
when Gein was woken from
the **** of the flux:
   being reminded by all the people
with inhibited momentum
he ever interacted with:
   gaze at the paedos of England...
you necrophilia sell-face...
    i guess having ingested
the film the neon demon
"logic" would state the hierarchy:

homosexuality
bisexuality
heterosexuality
pederasty (and older man
and a teen boy, e.g. /
the nuance
of a man and a, ugh,
   legal consenting woman
beyond the age
of consent)
Onan
paedophilia
necrophilia

    ah... but a bee gees
sing-along classic...
seems to posit the necrophilic
a tier above
         the *******...

funny, in a world of so many
phobias...
   there are only two philias...
well, 3, to be exact,
but the third is a prefix love,
while the other two loves
are suffix loves...
mind you...
   i put them in the same
category...
      taboo...
i. e. a concept of a public
intellectual by english,
rather than frech standards...
is someone who talks
freely,
      and by speaking freely:
is a "cognitive" reactionary...
it's already "too late"
when speaking freely replaces
thinking freely... unless...
speaking freely was never
to replace the already non-existent
freedom to think:
to think - and the rarity
of obscure verbs,
like out of vogue words...

but not all newspapers,
and not all radio stations...
with a halfway lit-out
cigarette:
   i guess i could be mistaken
for toking a cigar,
other than a damp filter...

if i will ever make it on
the morning t.v.
session with jeremy kyle....
sure... white trash t.v.
my arument would run
along the lines:

if my former girlfriend thought
i was being irresponsible
trusting her to take th pill,
when she implored
me to take th ****** off
(apparently women stopped
unfathomig uncircumcised
men)...
      well...
    unless both me
and some ******* were
being irresponsible
throwing rubber ducks
into the park lake
to agitate abnormal
homosexuality in mallards
   (what, homosexuality is abnormal
in animal species...
  excuses for men, again,
not mice,
   the hybrid case,
  neither animal, nor god,
what remains
of a bull - god -
   in a chinashop - nature)
   if i were you
   i'd ready myself
   for the Latin variety of
    ab and dis...
when it comes to Norman
           and Easley...
       well yeah...
  casual *** is bound to social
contract?
    funny...
   i once heard that money
is *****...
   for all its squalor in the bank
of Mammon...
  clemency...
    cleanest ***...
   unless of course h.i.v.
    is transmitted ******,
via... gulping down an oyster...
mannig-up from
what Samson left of a temple
we blinded,
a slap in the face
when punching myself 20 times
in the head for a plum
mascara?
   no wonder i shied from
ineractions based on my naivete,
on presuppositions of reciprocate
trust...
     odd...
   but not really...
you ever find atheists
    who spew their anti-belief...
simply because...
   they have managed
   to establish trust...
          ever wonder why belief
is not exactly a coping
mechanism,
    there's nothing
   ontologically a priori about it,
it's ontologically a posteriori...
belief is the spawn *******
child of a lost trust,
of an undermined trust,
and it has so little with imagining
a celestial dictator...
more with a chris rea song...
and so little with the mental asylum
of an atheist's conern / concept
of reimagining the simple...
being told a lie is one thing...
a shallow focus of plateau negation,
squabbles for rumour...
but being taught distrust...
whatever belief resurfaces
from the remnant rubble...
           ah...
             at this point...
trying to elaborate on the jeremy kyle
analogy...
   is a bit like having a fetish
for being castrated,
circumcised, scalped,
   and then hanged on a scaffold
in a public domain.
Amanda Shelton Aug 2022
You fell asleep and woke in this
lucid dream of haunted memories.

Are you a visitor or the ghost?

The night is cold and pitch black,
a heavy feeling lingers in the air.

In the corner of your eye
you see shadows moving and
a mist forms.

Goosebumps tickle your skin,
the hair on the back of
your neck stand's up.

A chill caresses your body
but the wind is still and
quiet inside the house.

You are alarmed by the sound
of footsteps echoing through
the room because no one is there.

Your breathing is laboured and
your heartbeat is pounding
in your head.

Fear is your shadow as you walk
through the hall's.

You can't find anyone here,
nothing but echos from the passed
live here. A forgotten dream.

The windows are bare and darkness
is beyond the glass. Not even
the star's are visible or
the moon.

The walls are decayed,
black mold is growing
on the ceiling and the
wallpaper is crumbling
and peeling away.

You reach a kitchen where
water damage soaks the floor,
yellow and brown fluid soozes
from the wooden beams around the
entrance and rotting floorboards
curl up into uneven hills,
slivers of wood are protruding.

You move forward to the living room,
the fireplace is blacked with sut
it smells like burnt wood.

You can tell a fire had escaped
at one point and burnt everything
in the room.

The windows once held curtains
but now they are piles of ash
on the floor.

This place once was alive but
now it's a ghost.

©️ 2022 By Amanda Shelton
This was inspired by my lucid dreams.

— The End —