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PrttyBrd Jul 2014
I am you* in unseen places
The you, which you ignore
Forgotten and left behind

I am you behind the play
The nails and glue
That hide behind the picturesque facade

I am you crouched in wait
Perched and ready
To be acknowledged as truth

I am you inside your words
Shared anonymously
Naked, alone, embittered and brilliant

I am you crouched in the darkest corner
Shadowed by pain
Seething in silence

I am you oblivious to the knowledge
That in this twisted loss of self
You are in fact...**me
2-5-14
Nielsen Mooken Jun 2014
Belle du sud, ou le sceaux se scellent en sang,
Ou la terre se chamaille avec l’océan
Tel la blessure qui nourrit tes larmes.

Belle du sud, fille de déchirement,
Témoin de ce feu presque inconscient
Qui s’entête à bruler tous tes charmes.

Belle du sud, prière de tes aïeux
Defi lancé à la terre et aux cieux
Toi qui enterre dans ton silence mon vacarme.
#french #mauritius #rose-belle #village #beautyofthesouth #francais #poesie
Gaga, ma filleule,
C'est une chatte très artiste
Surdouée
Pour son âge,
Musicienne, écrivaine,
Indianiste, védisante
Elle miaule des dos parfaits
Comme des câlins de lynx sauvage.
Et chaque matin avant que le soleil s'étire
Et ne la lacère de ses griffes
Elle bâille de ses grand yeux
Et commence sa séance de yoga-sutra
Dans le silence éveillé,
Chemin de délivrance.
Esquissant, apsara féline
La posture du lotus,
Elle médite en roumain
Et me dicte en sanskrit
Son aphorisme du jour !
Elle me scande ce matin :
Kanthakûpe ksutpipâsâ nivrittih
Et elle plonge, turbulente, dans le puits de ma gorge
Et se fraie au fur et à mesure
Un passage secret dans le flux
Tiède de mon inconscient
Qui ronronne.
Lucas Pilleul Jun 2017
Où vas tu, toi, humain pressé ?
Qui es tu réellement ?
Pourquoi tant d'agitation ?
Pourquoi tant d'excitation ?
Pour qui vies-tu ?
Pour toi, ou pour les autres ?
Vies-tu pour ton propre plaisir ?
Agis tu en fonction du regard des autres ?
Pourquoi travailles-tu ?
Tu veux de l'argent ?
Pour en faire quoi ?
L'épargner, le garder, le dépenser, te ruiner ?
«Tu sais, je vais te dire un secret,
Moi je suis le vent.
Mon instinct, mes passions,
Mon inconscient me guident,
Et me ramènent toujours aux prémices de mon existence.»
Que connais-tu de toi-même ?
Que connais tu des plaisirs de la vie ?
A quoi penses-tu en voyant la joie chez les autres ?
Et que te dis tu en voyant ton propre malheur ?
N'as-tu pas mieux à faire ?
N'y a-t-il pas des rêves que tu n'as jamais pu accomplir ?
Alors permets moi de te le demander,
Qu'attends-tu de la vie, toi, humain pressé ?
#3
Fardée et peinte comme au temps des bergeries

Frêle parmi les noeuds énormes de rubans,

Elle passe sous les ramures assombries,

Dans l'allée où verdit la mousse des vieux bancs,

Avec mille façons et mille afféteries

Qu'on garde d'ordinaire aux perruches chéries.

Sa longue robe à queue est bleue, et l'éventail

Qu'elle froisse en ses doigts fluets aux larges bagues

S'égaie un des sujets érotiques, si vagues

Qu'elle sourit, tout en rêvant, à maint détail.

- Blonde, en somme. Le nez mignon avec la bouche

Incarnadine, grasse, et divine d'orgueil

Inconscient. - D'ailleurs plus fine que la mouche

Qui ravive l'éclat un peu niais de l'oeil.
(Sur un reliquaire qu'on lui avait dérobé)

Seul bijou de ma pauvreté.

Ton mince argent, ta perle fausse

(En tout quatre francs), ont tenté

Quelqu'un dont l'esprit ne se hausse,


Parmi ces paysans cafards

À vous dégoûter d'être au monde,

- Tas d'Onans et de Putiphars ! -

Que juste au niveau de l'immonde,


Et le Témoin, et le Gardien,

Le Grain d'une poussière illustre,

Un ami du mien et du tien

Crispe sur lui sa main de rustre !


Est-ce simplement un voleur,

Ou s'il se guinde au sacrilège ?

Bah ! ces rustiques-là ! Mais leur

Gros laid vice que rien n'allège,


Ne connaît rien que de brutal

Et ne s'est jamais douté d'une

Âme immortelle. Du métal,

C'est tout ce qu'il voit dans la lune ;


Tout ce qu'il voit dans le soleil,

C'est foin épais et fumier dense,

Et quand éclot le jour vermeil,

Il suppute timbre et quittance,


Hypothèque, gens mis dedans,

Placements, la dot de la fille,

Crédits ouverts à deux battants

Et l'usure au bout qui mordille !


Donc, vol, oui, sacrilège, non.

Mais le fait monstrueux existe

Et pour cet ouvrage sans nom,

Mon âme est immensément triste.


Ô pour lui ramener la paix.

Daignez, vous, grand saint Benoît Labre,

Écouter les vœux que je fais,

Peur que ma foi ne se délabre


En voyant ce crime impuni

Rester inutile. Ô la Grâce,

Implorez-la sur l'homme, et ni

L'homme ni moi n'oublierons. Grâce !


Grâce pour le pauvre larron

Inconscient du péché pire !

Intercédez, ô bon patron,

Et qu'enfin le bon Dieu l'inspire,


Que de ce débris de ce corps

Exalté par la pénitence

Sorte une vertu de remords,

Et que l'exquis conseil le tance


Et lui montre toute l'horreur

Du vol et de ce vol impie

Avec la torpeur et l'erreur

D'un passé qu'il faut qu'il expie.


Qu'il s'émeuve à ce double objet

Et tremblant au son du tonnerre

Respecte ce qu'il outrageait

En attendant qu'il le vénère.


Et que cette conversion

L'amène à la foi de ses pères

D'avant la Révolution.

Ma Foi, dis-le-moi, tu l'espères ?


Ma foi, celle du charbonnier !

Ainsi la veux-je, et la souhaite

Au possesseur, croyons dernier,

De la sainte petite boîte !
Reena Choudhary Sep 2019
On the white summit of eternity
A single Soul of bare infinities,
Guarded he keeps by a fire-screen of peace
His mystic loneliness of **** ecstasy.
But, touched by an immense delight to be,
He looks across unending depths and sees
Musing amid the inconscient silences
The Mighty Mother′s dumb felicity.
Half now awake she rises to his glance;
Then, moved to circling by her heart-beats′ will,
The rhythmic words describe that passion-dance.
Life springs in her and Mind is born; her face
She lifts to Him who is Herself, until
The Spirit leaps into the Spirit′s embrace.
Gorba Feb 2020
L’espoir est ce sentiment
Aléatoire, transitoire
**** d’être dérisoire
Qui imprègne notre inconscient

Il nous permet de traverser
Tous les obstacles qui se voient érigés
Le long de notre parcours qui parfois semble piégé
Tout en nous allouant des moments d’euphorie partagés

Ainsi, il nous permet de ne pas sombrer
De s’accrocher et de persévérer
Pour un jour pouvoir approcher
Un désir longtemps rêvé

Un rêve peut être inféodé à une personne
Comme il peut l’être à une société
Il est le fruit de l’éducation qui nous donne
Une idée de ce dont il faudra se soucier

L’insouciance évoque généralement l’enfance
Comme si ne pas s’apitoyer sur son sort
Serait faire preuve d’impertinence

Il faut se méfier de l’eau qui dort
Faudrait-il aussi se laisser tourmenter
Par des vagues répétées n’étant pas de notre ressort ?

J’appelle à rêver éveillé
Car il n’y a que dans l’action que les choses peuvent changer
Certains sont d’ « origine » française, d’autres ont été adopté
Mais une chose est certaine, l’avenir sera ma fierté.
Bijoylakshmi Das Jan 2020
THE RECONCILED VAST
(Bijoylakshmi Das, 29th Jan 2020)
Music of the Vast
Is music of your mind,
Listen to it first
In the enlivened morning,
The silence transcending
Unique of its kind!
Bliss of the rapture
Reigns over the breeze,
Awakens the brook
Tells it to rise,
The little ripples reveal a lot  -
Above human levels and their sordid thought;
There float the higher happenings and greater surmise -
Just tarry a little
Merge deep into your Soul,
You will reach Infinity:
Your invisible Goal.
The air you breathe around
Is flavoured with fragance
Of the effulgent Felicity of the Divine Romance ;
The One universal Breath -
Where all is One,.
On the Infinite strech
No one is alone.

Vast is the Ocean,
Vast is the Blue -
The oracular Opulence is His Celesty's hue;
Vast is His Kingdom
Of an ineffable Mirth,
To make life on Earth living worth.
His beatific plenitude rules over the Earth
To ennoble Man in an enlivened Birth.
All that is turmoil
Wants to rise,
With delirium of despair
And its countless lies
Of false hope and promise
Of the nescient birth,
That sleeps in stupor
In an inertial lap.
Only at the surface
Will certainly cease,
The Sphinx of the aeon
Is going to rise,
All that is imperfect,
All that is impure,
All discordant notes
Never chosen by the Immortal Dear.
Grievings of your heart
Do cast aside,
Look within the surrealist Vast
That wants to rise
Out of the doldrums of inconscient sigh
The sleeping Humanity in ignorance high!!!
Look ahead to the invisible Wisdom's flight
With aureate wings and azure light,
To the Land of Immensitude
In Intuition's insight.
Merge deep within,
You are an immortal Whole
You are the shoeless Ocean
And its sandless Shore.
You are its indivisible part -
Of Symphony of the ageless yore.
The One Rhythm
That makes World unite,
Love's enraptured Ecstasy
In an enlightening height,.
The One Glance above
Is Rhapsody recondite.
Takes you far in the ascending flight.
Live deep within
The Godhead dwells in you,
Do live in the World
But let the World not live in you.
All Poetry fails
Before the One Sublime,
Which Nature writes in her unending Rhyme,
The scintillating effulgence
Of Her unsullied Bliss,
The Divine rapture
In Her unseen Kiss -
May enliven you  and
Make you pure in heart,
Then only you become Man
My Dear!
A successful participant -
In the immortal display
Of the Infinity's Act.
(Bijoylakshmi Das, 29th Jan 2020, Puri, 06.00 hours)

— The End —