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'No place for fingers',
Whispered the dark chocolate
Hair crowning his head.
Because there's no one else's hair that I'd like to skim with my fingers.
Dennis Bielanski Nov 2013
Woke up this morning
With an empty bottle of Patron
Three pairs of *******
What went on is truly unknown

Music is still playing
The fridge has got Champagne
Brunet, Blond, and Red Head
Let's do it all again

Let's go skinny dippin in the moon light
With three girls that's  alright
Nothing could be more right
To party like we did last night

Let's do it all over again
Play strip poker till no one wins
Drink Sam Adams naked
This is to fun not to do it again.
I.

Aux champs, compagnons et compagnes !
Fils, j'élève à la dignité
De géorgiques les campagnes
Quelconques où flambe l'été !

Flamber, c'est là toute l'histoire
Du cœur, des sens, de la saison,
Et de la pauvre mouche noire
Que nous appelons la raison.

Je te fais molosse, ô mon dogue !
L'acanthe manque ? j'ai le thym.
Je nomme Vaugirard églogue ;
J'installe Amyntas à Pantin.

La nature est indifférente
Aux nuances que nous créons
Entre Gros-Guillaume et Dorante ;
Tout pampre a ses Anacréons.

L'idylle volontiers patoise.
Et je ne vois point que l'oiseau
Préfère Haliarte à Pontoise
Et Coronée à Palaiseau.

Les plus beaux noms de la Sicile
Et de la Grèce ne font pas
Que l'âne au fouet soit plus docile,
Que l'amour fuie à moins grand pas.

Les fleurs sont à Sèvre aussi fraîches
Que sur l'Hybla, cher au sylvain ;
Montreuil mérite avec ses pêches
La garde du dragon divin.

Marton nue est Phyllis sans voiles ;
Fils, le soir n'est pas plus vermeil,
Sous son chapeau d'ombre et d'étoiles,
A Blanduse qu'à Montfermeil.

Bercy pourrait griser sept sages ;
Les Auteuils sont fils des Tempés ;
Si l'Ida sombre a des nuages,
La guinguette a des canapés.

Rien n'est haut ni bas ; les fontaines
Lavent la pourpre et le sayon ;
L'aube d'Ivry, l'aube d'Athènes,
Sont faites du même rayon.

J'ai déjà dit parfois ces choses,
Et toujours je les redirai ;
Car du fond de toutes les proses
Peut s'élancer le vers sacré.

Si Babet a la gorge ronde,
Babet égale Pholoé.
Comme Chypre la Beauce est blonde.
Larifla descend d'Evohé.

Toinon, se baignant sur la grève,
A plus de cheveux sur le dos
Que la Callyrhoé qui rêve
Dans le grand temps d'Abydos.

Ça, que le bourgeois fraternise
Avec les satyres cornus !
Amis, le corset de Denise
Vaut la ceinture de Vénus.

II.

Donc, fuyons Paris ! plus de gêne !
Bergers, plantons là Tortoni !
Allons boire à la coupe pleine
Du printemps, ivre d'infini.

Allons fêter les fleurs exquises,
Partons ! quittons, joyeux et fous,
Pour les dryades, les marquises,
Et pour les faunes, les voyous !

Plus de bouquins, point de gazettes !
Je hais cette submersion.
Nous irons cueillir des noisettes
Dans l'été, fraîche vision.

La banlieue, amis, peut suffire.
La fleur, que Paris souille, y naît.
Flore y vivait avec Zéphire
Avant de vivre avec Brunet.

Aux champs les vers deviennent strophes ;
A Paris, l'étang, c'est l'égout.
Je sais qu'il est des philosophes
Criant très haut : « Lutèce est tout !

« Les champs ne valent pas la ville ! »
Fils, toujours le bon sens hurla
Quand Voltaire à Damilaville
Dit ces calembredaines-là.

III.

Aux champs, la nuit est vénérable,
Le jour rit d'un rire enfantin ;
Le soir berne l'orme et l'érable,
Le soir est beau ; mais le matin,

Le matin, c'est la grande fête ;
C'est l'auréole où la nuit fond,
Où le diplomate a l'air bête,
Où le bouvier a l'air profond.

La fleur d'or du pré d'azur sombre,
L'astre, brille au ciel clair encor ;
En bas, le bleuet luit dans l'ombre,
Etoile bleue en un champ d'or.

L'oiseau court, les taureaux mugissent ;
Les feuillages sont enchantés ;
Les cercles du vent s'élargissent
Dans l'ascension des clartés.

L'air frémit ; l'onde est plus sonore ;
Toute âme entr-ouvre son secret ;
L'univers croit, quand vient l'aurore,
Que sa conscience apparaît.

IV.

Quittons Paris et ses casernes.
Plongeons-nous, car les ans sont courts,
Jusqu'au genoux dans les luzernes
Et jusqu'au cœur dans les amours.

Joignons les baisers aux spondées ;
Souvenons-nous que le hautbois
Donnait à Platon des idées
Voluptueuses, dans les bois.

Vanvre a d'indulgentes prairies ;
Ville-d'Avray ferme les yeux
Sur les douces gamineries
Des cupidons mystérieux.

Là, les Jeux, les Ris, et les Farces
Poursuivent, sous les bois flottants,
Les chimères de joie éparses
Dans la lumière du printemps.

L'onde à Triel est bucolique ;
Asnière a des flux et reflux
Où vogue l'adorable clique
De tous ces petits dieux joufflus.

Le sel attique et l'eau de Seine
Se mêlent admirablement.
Il n'est qu'une chose malsaine,
Jeanne, c'est d'être sans amant.

Que notre ivresse se signale !
Allons où Pan nous conduira.
Ressuscitons la bacchanale,
Cette aïeule de l'opéra.

Laissons, et même envoyons paître
Les bœufs, les chèvres, les brebis,
La raison, le garde-champêtre !
Fils, avril chante, crions bis !

Qu'à Gif, grâce à nous, le notaire
Et le marguillier soient émus,
Fils, et qu'on entende à Nanterre
Les vagues flûtes de l'Hémus !

Acclimatons Faune à Vincenne,
Sans pourtant prendre pour conseil
L'immense Aristophane obscène,
Effronté comme le soleil.

Rions du maire, ou de l'édile ;
Et mordons, en gens convaincus,
Dans cette pomme de l'idylle
Où l'on voit les dents de Moschus.
Latiaaa Jun 2017
Cocoa coffee.
Brunet,
Dusky.
 
My skin devours the sun.
I glow.
 
My skin was once a barricade,
I couldn't do much with it.
 
My skin was lynched, blistered, hosed.
 
Annihilated.
 
My skin disassociated who I wanted to be friends with,
Taboo places I wanted to fall in with.
 
Banished where to sit,
walk,
ride,
play.
Illegalized my freedom of speech.
 
My skin grew and grew and grew.
 
Broaden all over,
Creating role models that stand before me now.
 
Underneath all tarnished wounds,
I glow.
 
Chocolate chestnut.
Auburn,
Melanin.
 
My skin is sweet like Apple pie,
Ripe and enriched with knowledge.
 
My skin is coated with a honey glazed shield of righteous pride.
Embedded with the most exquisite fine wisdom.
 
I’m fine wine.
 
 
They say black is deliberately harmful
Boding ill
Soiled-stained with dirt
Grotesque
Illegal.
 
But what they don't know is that
Black goes with everything.
eli Dec 2019
most of my stories
i have no name for
i cant really express
how a title can change the story

its like a person
with an assigned name
and you expect them
to live that name

for instance, Ashley
she is a fun loving blonde
or brunet, who loves to party
she dresses in ripped jeans and crop tops,
that may be a little too short

Or Jessica
who is the meanest ***** in the school
she wears ****-skirts
and sparkly tops,
that always accentuate her chest

the stereotypes that live in highschools
strangle everybody
who fits within them
even if they aren't them

Ashley just wants to be called Ash
and wear baggy T-shirts
and sweatpants

Jessica wants to be called Jess
and go by They/them pronouns

People should be able to fit on
where they want
not where they have to
to survive
Josh Pampam Dec 2020
You're an eggplant with brunet skin
Sometimes, you are white tinged with green
Your taste tints my tongue with sourness
But fades leaving by traces of sweetness
Your svelte, stately, and sonsy figure
Always fills my eyes with azure
Yet, my lips long for you.

Josh Wealth Pampam ©
16/10/20 12:45 GMT
My first love poem. Let's see how it read.

— The End —