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is caused by haloperidol
and we wonder
why wanderers
are told to contain
toxins in multitudes
strain
load-bearing
bones
of snapped
earths

we
cannot
hold the center
because there are 3 axes
and any frames of reverence
are references to the
404 types of unfreedom
each more cursed than the last

to know
to be
to
dobedoobedoo

thats comedic
for tragedy is only a farce
history & science only
unherstoric facts
slavery only the servitude invented to keep capital flowing
we
are not WD40
or cancer
but the bones of the air
the tides of the earth
and the oceans true spiral
is sand and mirth
gabriel an angel sent me this
streams of birds
and demonic bliss
AndSoOn Nov 2014
C’était encore un de ces mois incertains, indécis, entre l’hiver et le printemps. Comme s’ils avaient choisi de nous laisser dans ce froid fatiguant , tout en nous permettant de redécouvrir les couleurs de la nature, Mars, et peut-être Avril, étaient mes mois favoris. Par ma fenêtre, je voyais la nuit endormir en douceur le monde extérieur. C’était encore tôt. L’été s’approchait et la nuit se faisait de plus en plus tardive. Quelques fois, j’hésitais : étais-ce un supplice ou un bonheur ?  La nuit était pour moi un cocon où le froid, les cris et les colères n’étaient pas présents. Et soudain, le vent soufflait dans le jardin, forçant le bois de mes murs à résister, comme pour repousser cet air presque violent. Je souris encore en entendant le craquement du bois contre le vent. J’avais ce sentiment de paix. Peut-être était-ce moi qui redécouvrait les petits plaisirs de la vie ou tout simplement le bois qui me montrait son soutien et sa présence par un petit chuchotement comme un signe de vie. Dans ces moments, je m’enterrais dans mes duvets d’hiver que Maman allait bientôt remplacer par d’autres moins chauds. Que je détestais ces duvets si froids, si plats et si peu accueillants. Mais pendant le mois de mars, ou le mois d’avril, je pouvais encore me blottir dans les gros bras de ma couette. La solitude en devenait moins pesante. Il y avait moi, le bois, le vent, mon duvet.

Ce que je préférais c’était les orages. En plus du vent, les murs de ma chambre devaient combattre la pluie et le tonnerre. Ce concert de bruits naturels était un de mes meilleurs somnifères. Ma chambre était sous les toits. Elle l’est encore. Allongée sur mon lit, je me laissais bercer par la fatigue, perdant mon regard de plus en plus lourd dans les lattes du plafond. Le bruit de la pluie résonnait si délicieusement dans le cocon que je m’étais construit. La pluie sonne encore comme autrefois : un bruit de clavier ou de triangle. C’était un bruit exquis, rare et faible. Elle était là la beauté de ce son. Sa faiblesse le rendait indispensable. Les instruments à vent s’ajoutaient avec magie, suivis des percussions tremblantes créées par le tonnerre. Et l’orchestre devenait apaisant. Je pouvais sentir la pluie s’infiltrer entre les tuiles. Je l’entendais glisser comme au ralentit jusqu’à ce qu’une goutte imaginaire tombe sur mon visage.

Je n’arrivais jamais à complètement apprécier ces moments. J’avais tant envie qu’ils durent à jamais que je résistais au sommeil jusqu’à en souffrir. La fatigue avait cette force que la pluie et le vent ne possédaient pas. Elle pouvait me rendre si lourde et si crispée. En m’en souvenant, je la trouve en quelques points perverse. Elle est à la fois celle qui vous endort et celle qui vous maintient éveillé. Je ne pouvais que garder les yeux ouverts tellement l’envie d’écouter ces sons merveilleux m’obsédait. Mon corps se fatiguait à défaut de pouvoir se crisper. Et je devais abandonner, dans l’espoir que le beau temps ne s’attarde pas. Malgré cela, je pouvais encore rester là, à peine présente, perdue entre la léthargie de mon corps et la vivacité de mon esprit. Je pouvais imaginer avoir les yeux ouverts, les oreilles attentives. Enfin, la paix reprenait le dessus.
Inspired by Proust
ahmo Apr 2015
I've been evanescent:
an irrelevant adolescent.
I've felt this for years,
through tardive tears,
rusted shears,
and too much time ducking in the shade.

Sometimes,
I just don't know if it's worth it.
My bed holds me closer than anyone,
and she can't repair the cuts on my fingertips.
(Nor can she silence the creeks or the drips.)

In memory and in reflection,
we hide from present affection.
But I'll invite the bullet,
and accept your kiss.
(For it is all I've wanted
for as long as the recent past recalls.)
For there's an electric hue in your cheeks:
a cunning current vibrating my days into weeks.

You complain of certain self-distortion,
and blow mindless fault out of proportion.
But as the facts would have it,
you are the brightest sun on record.

I am relevant.
I can and will scream loud enough to be heard.
But I will mute beautifully for you.
I will absorb every cell of your existence
with each auspiciously soothing word.
Quand je ne te vois pas, le temps m'accable, et l'heure
A je ne sais quel poids impossible à porter.
Je sens languir mon cœur, qui cherche à me quitter,
Et ma tête se penche, et je souffre et je pleure.

Quand ta voix saisissante atteint mon souvenir,
Je tressaille, j'écoute... et j'espère immobile ;
Et l'on dirait que Dieu touche un roseau débile ;
Et moi, tout moi répond : Dieu ! faites-le venir !

Quand sur tes traits charmants j'arrête ma pensée,
Tous mes traits sont empreints de crainte et de bonheur ;
J'ai froid dans mes cheveux ; ma vie est oppressée,
Et ton nom, tout à coup, s'échappe de mon cœur.

Quand c'est toi-même, enfin ! quand j'ai cessé d'attendre,
Tremblante, je me sauve en te tendant les bras :
Je n'ose te parler, et j'ai peur de t'entendre ;
Mais tu cherches mon âme, et toi seul l'obtiendras !

Suis-je une sœur tardive à tes vœux accordée ?
Es-tu l'ombre promise à mes timides pas ?
Mais je me sens frémir : moi, ta sœur ! quelle idée !
Toi, mon frère !... ô terreur ! Dis que tu ne l'es pas !
Soudain je t'ai si fort pressée
Pour sentir ton cœur bien à moi,
Que je t'en ai presque blessée,
Et tu m'as demandé pourquoi.

Un mot, un rien, m'a tout à l'heure
Fait étreindre ainsi mon trésor,
Comme, au moindre vent qui l'effleure,
L'avare en hâte étreint son or ;

La porte de sa cave est sûre,
Il en tient dans son poing la clé,
Mais, par le trou de la serrure,
Un filet d'air froid a soufflé ;

Et pendant qu'il comptait dans l'ombre
Son trésor écu par écu,
Savourant le titre et le nombre,
Il a senti le souffle aigu !

Il serre en vain sa clé chérie,
Vainement il s'est verrouillé,
Avant d'y réfléchir il crie
Comme s'il était dépouillé !

C'est que l'instinct fait sentinelle,
C'est que l'âme du possesseur
N'ose jamais plier qu'une aile,
Ô ma sainte amie, ô ma sœur !

C'est que ma richesse tardive,
Fruit de mes soupirs quotidiens,
Me semble encore fugitive
Au moment même où je la tiens !

Et cette épargne que j'amasse
A beau grandir en sûreté,
Je crois, au moindre vent qui passe,
Qu'un ravisseur a fureté...

Et je fais aussitôt l'épreuve
De tout le deuil qui peut tenir
Dans une âme absolument veuve
Où l'amour n'a plus d'avenir.

Alors je tremble et te supplie
D'un anxieux et long regard...
Oh ! Pardonne-moi la folie
De trembler encore ; si **** !

Hélas ! L'habitude en est prise :
Tu n'as que si **** deviné
Combien le doute martyrise,
Impérissable une fois né.

Dans l'âge (qui n'est plus le nôtre)
Où bat le cœur à découvert,
Le mien, plus exposé qu'un autre,
Puisqu'il t'aimait, a plus souffert ;

Ah ! Tout cœur où l'amour habite
Recèle un pouvoir de souffrir
Dont il ignore la limite,
Tant qu'il souffre sans en mourir ;

Et j'ignorais, naïf encore,
Combien le calice est profond
Que ta main douce emmielle et dore
Sans jamais en montrer le fond ;

Car tu savais, déjà coquette,
Ménager longtemps la douleur
En faisant, d'un coup de baguette,
Naître un mirage dans un pleur.

Que de froideurs instantanées
Ont ébranlé longtemps ma foi !
Enfin la pente des années
T'a fait pencher le front sur moi,

Et j'ai cru que ma jalousie,
Humble tigresse aux reins ployés,
Bien rompue à ta fantaisie,
Dormait de fatigue à tes pieds ;

Voilà pourtant qu'une pensée,
Moins qu'un soupçon, moins qu'une erreur,
- Une rêverie insensée
M'a fait tressaillir de terreur ;

Cet éclair de peur indicible
Tout à coup m'a fait entrevoir,
Aux obscurs confins du possible,
Un abîme de désespoir.
L'année avait trois fois noué mon humble trame,
Et modelé ma forme en y broyant ses fleurs ,
Et trois fois de ma mère acquitté les douleurs,
Quand le Banc de la tienne éclata : ma jeune âme
Eut dès lors sa promise et l'attira toujours,
Toujours ; tant qu'à la fin elle entra dans mes jours.
Et lorsqu'à ton insu tu venais vers ma vie,
J'inventais par le monde un chemin jusqu'à toi ;
C'était **** ; mais l'étoile allait, cherchait pour moi,
Et me frayait la terre où tu m'avais suivie,
Ou tu me reconnus d'autre part ; oui, des cieux ;
Moi de même ; il restait tant de ciel dans tes jeux !

Mais le sais-tu ? trois fois le jour de la naissance
Baisa mon front limpide assoupi d'innocence,
Avant que ton étoile à toi, lente à venir,
Descendît marier notre double avenir.
Oh ! devions-nous ainsi naître absents de nous-mêmes !
Toi, tu ne le sais pas en ce moment ; tu m'aimes,
Je ne suis pas l'aînée. Encor vierge au bonheur,
J'avais un pur aimant pour attirer ton cœur ;
Car le mien, fleur tardive en soi-même exilée,
N'épanouit qu'à toi sa couronne voilée,
Cœur d'attente oppressé dans un tremblant séjour
Où ma mère enferma son nom de femme : Amour.

Comme le rossignol qui meurt de mélodie
Souffle sur son enfant sa tendre maladie,
Morte d'aimer, ma mère, à son regard d'adieu,
Me raconta son âme et me souffla son Dieu.
Triste de me quitter, cette mère charmante,
Me léguant à regret la flamme qui tourmente,
Jeune, à son jeune enfant tendit longtemps sa main,
Comme pour le sauver par le même chemin.
Et je restai longtemps, longtemps, sans la comprendre,
Et longtemps à pleurer son secret sans l'apprendre,
A pleurer de sa mort le mystère inconnu,
Le portant tout scellé dans mon cœur ingénu,
Ce cœur signé d'amour comme sa tendre proie,
Où pas un chant mortel n'éveillait une joie.
On eût dit, à sentir ses faibles battements,
Une montre cachée où s'arrêtait le temps ;
On eût dit qu'à plaisir il se retint de vivre.
Comme un enfant dormeur qui n'ouvre pas son livre,
Je ne voulais rien lire à mon sort, j'attendais ;
Et tous les jours levés sur moi, je les perdais.
Par ma ceinture noire à la terre arrêtée,
Ma mère était partie et tout m'avait quittée :
Le monde était trop grand, trop défait, trop désert ;
Une voix seule éteinte en changeait le concert :
Je voulais me sauver de ses dures contraintes,
J'avais peur de ses lois, de ses morts, de ses craintes,
Et ne sachant où fuir ses échos durs et froids,
Je me prenais tout haut à chanter mes effrois !

Mais quand tu dis : « Je viens ! » quelle cloche de fête
Fit bondir le sommeil attardé sur ma tête ;
Quelle rapide étreinte attacha notre sort,
Pour entre-ailer nos jours d'un fraternel essor !
Ma vie, elle avait froid, s'alluma dans la tienne,
Et ma vie a brillé, comme on voit au soleil
Se dresser une fleur sans que rien la soutienne,
Rien qu'un baiser de l'air, rien qu'un rayon vermeil...
Aussi, dès qu'en entier ton âme m'eut saisie,
Tu fus ma piété ! Mon ciel ! Ma poésie !
Aussi, sans te parler, je te nomme souvent
Mon frère devant Dieu ! Mon âme ! Ou mon enfant !
Tu ne sauras jamais, comme je sais moi-même,
A quelle profondeur je t'atteins et je t'aime !
Tu serais par la mort arraché de mes vœux,
Que pour te ressaisir mon âme aurait des yeux,
Des lueurs, des accents, des larmes, des prières,
Qui forceraient la mort à rouvrir tes paupières !
Je sais de quels frissons ta mère a dû frémir
Sur tes sommeils d'enfant : moi, je t'ai vu dormir :
Tous ses effrois charmants ont tremblé dans mon âme ;
Tu dis vrai, tu dis vrai ; je ne suis qu'une femme ;
Je ne sais qu'inventer pour te faire un bonheur ;
Une surprise à voir s'émerveiller ton cœur !

Toi, ne sois pas jaloux ! Quand tu me vois penchée,
Quand tu me vois me taire, et te craindre et souffrir,
C'est que l'amour m'accable. Oh ! Si j'en dois mourir,
Attends : je veux savoir si, quand tu m'as cherchée,
Tu t'es dit : « Voici l'âme où j'attache mon sort
Et que j'épouserai dans la vie ou la mort. »
Oh ! Je veux le savoir. Oh ! L'as-tu dit ? ... pardonne !
On est étrange, on veut échanger ce qu'on donne.
Ainsi, pour m'acquitter de ton regard à toi,
Je voudrais être un monde et te dire : « Prends-moi ! »
Née avant toi... douleur ! Tu le verrais peut-être,
Si je vivais trop ****. Ne le fais point paraître,
Ne dis pas que l'amour sait compter, trompe-moi :
Je m'en ressouviendrai pour mourir avant toi !
Oh ! que la nuit est lente !

De sa lueur tremblante,

Elle attriste l'amour.

J'entends gronder l'orage ;

Il trouble mon courage.

Ne reverront-ils pas le jour

Mes yeux voilés de pleurs d'amour ?


Délire où je me plonge,

Fuyez, jaloux mensonge ;

Pourquoi m'offrir en songe

La douleur dans l'amour ?

Ô moitié de mon âme,

Tes yeux, remplis de flamme,

Reviendront-ils, avec le jour,

Tarir enfin mes pleurs d'amour !


Mais la tardive aurore

Ne brille pas encore,

Et les yeux que j'adore

Sont fermés à l'amour.

L'orage en feu tourmente

Et la nuit et l'amante :

Ô toi, pour qui j'attends le jour,

Me paieras-tu mes pleurs d'amour ?
Jusqu'au jour, ô Pologne ! où tu nous montreras
Quelque désastre affreux, comme ceux de la Grèce,
Quelque Missolonghi d'une nouvelle espèce,
Quoi que tu puisses faire, on ne te croira pas.
Battez-vous et mourez, braves gens. - L'heure arrive.
Battez-vous ; la pitié de l'Europe est tardive ;
Il lui faut des levains qui ne soient point usés.
Battez-vous et mourez, car nous sommes blasés !
SUPPLEMENTS:
Vitamin B3 (niacin or niacinamide) 0.5 – 2 grams 3 times daily.
Vitamin B6 (for many) 250-500 m.g. daily.
A general B vitamin formula.
Vitamin C, 3 or more grams daily.
Zinc (gluconate or citrate) 50 m.g. daily.
Manganese 15-30 m.g. daily (if there is danger of tardive dyskinesia).
Sans bruit, sous le miroir des lacs profonds et calmes,
Le cygne chasse l'onde avec ses larges palmes,
Et glisse. Le duvet de ses flancs est pareil
À des neiges d'avril qui croulent au soleil ;
Mais, ferme et d'un blanc mat, vibrant sous le zéphire,
Sa grande aile l'entraîne ainsi qu'un lent navire.
Il dresse son beau col au-dessus des roseaux,
Le plonge, le promène allongé sur les eaux,
Le courbe gracieux comme un profil d'acanthe,
Et cache son bec noir dans sa gorge éclatante.
Tantôt le long des pins, séjour d'ombre et de paix,
Il serpente, et laissant les herbages épais
Traîner derrière lui comme une chevelure,
Il va d'une tardive et languissante allure ;
La grotte où le poète écoute ce qu'il sent,
Et la source qui pleure un éternel absent,
Lui plaisent : il y rôde ; une feuille de saule
En silence tombée effleure son épaule ;
Tantôt il pousse au large, et, **** du bois obscur,
Superbe, gouvernant du côté de l'azur,
Il choisit, pour fêter sa blancheur qu'il admire,
La place éblouissante où le soleil se mire.
Puis, quand les bords de l'eau ne se distinguent plus,
À l'heure où toute forme est un spectre confus,
Où l'horizon brunit, rayé d'un long trait rouge,
Alors que pas un jonc, pas un glaïeul ne bouge,
Que les rainettes font dans l'air serein leur bruit
Et que la luciole au clair de lune luit,
L'oiseau, dans le lac sombre, où sous lui se reflète
La splendeur d'une nuit lactée et violette,
Comme un vase d'argent parmi des diamants,
Dort, la tête sous l'aile, entre deux firmaments.
Vitamin B3 (niacin or niacinamide) 0.5 – 2 grams 3 times daily.
Vitamin B6 (for many) 250-500 m.g. daily.
A general B vitamin formula.
Vitamin C, 3 or more grams daily.
Zinc (gluconate or citrate) 50 m.g. daily.
Manganese 15-30 m.g. daily (if there is danger of tardive dyskinesia).
SUPPLEMENTS:
Vitamin B3 (niacin or niacinamide) 0.5 – 2 grams 3 times daily.
Vitamin B6 (for many) 250-500 m.g. daily.
A general B vitamin formula.
Vitamin C, 3 or more grams daily.
Zinc (gluconate or citrate) 50 m.g. daily.
Manganese 15-30 m.g. daily (if there is danger of tardive dyskinesia).
Dr. Abram Hoffer : FOR MENTAL HEALTH:
SUPPLEMENTS:
Vitamin B3 (niacin or niacinamide) 0.5 – 2 grams 3 times daily.
Vitamin B6 (for many) 250-500 m.g. daily.
A general B vitamin formula.
Vitamin C, 3 or more grams daily.
Zinc (gluconate or citrate) 50 m.g. daily.
Manganese 15-30 m.g. daily (if there is danger of tardive dyskinesia).
nvinn fonia May 24
Clozapine is an FDA-approved atypical antipsychotic medication for treatment-resistant schizophrenia. Clozapine is not the first-line drug of choice due to its range of adverse effects, making compliance an issue for many patients. However, clozapine also has some advantages, including lowering the risk of suicide and tardive dyskinesia and fewer relapses. Regarding suicide risk, clozapine has been demonstrated to reduce suicidal behavior even in non-treatment-resistant schizophrenia and patients with schizoaffective disorder. This activity reviews the mechanism of action, adverse event profile, toxicity, dosing, pharmacodynamics, and monitoring of clozapine pertinent for members of the interprofessional team where this agent is indicated.
FOR MENTAL HEALTH:
SUPPLEMENTS:
Vitamin B3 (niacin or niacinamide) 0.5 – 2 grams 3 times daily.
Vitamin B6 (for many) 250-500 m.g. daily.
A general B vitamin formula.
Vitamin C, 3 or more grams daily.
Zinc (gluconate or citrate) 50 m.g. daily.
Manganese 15-30 m.g. daily (if there is danger of tardive dyskinesia).
FOR MENTAL HEALTH:
SUPPLEMENTS:
Vitamin B3 (niacin or niacinamide) 0.5 – 2 grams 3 times daily.
Vitamin B6 (for many) 250-500 m.g. daily.
A general B vitamin formula.
Vitamin C, 3 or more grams daily.
Zinc (gluconate or citrate) 50 m.g. daily.
Manganese 15-30 m.g. daily (if there is danger of tardive dyskinesia).
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Dr­. Abram Hoffer : “Niacin is effective in decreasing the death rate and in expanding longevity for other conditions, not only cardiovascular diseases. It acts by protecting cells and tissues from damage by toxic molecules or free radicals.”

Dr. Abram Hoffer : “It is highly likely that any human population which increased the intake of Vitamin B3 in everyone, by even 100 m.g. per day and to much higher levels in people already suffering from a number of pathological conditions, will find a substantial decrease in mortality and an increase in longevity.”
''''''''''''''''''''''''''''''''­''''''''''''''''''''­''''''''''''''
WEB: The primary orthomolecular approach to schizophrenia is niacin or niacinamide (vitamin B3) in > 2 g/d doses. In double-blind trials, 3 grams of niacin daily resulted in a doubling in recovery rate and a 50% reduction in hospitalization. Later double-blind trials did not reproduce the positive results, but Hoffer contends these trials were poorly designed. Subsequent research has been too meager to quote. There are several complexities to niacin therapy. It must be at least 3,000 mg per day in divided doses. It must not be "time release" forms made by pharmaceutical companies that are dangerous and the root cause of the irrational fears of niacin. There are several forms of niacin. Make sure you follow Dr. Hoffer's guidelines. It's most effective if the patient's schizophrenia is a fairly recent development. Ignoring these issues is probably why some studies are negative. Please keep in mind there are websites dedicated to trashing megavitamin therapy. They modify other's writings from 1998, change the wording a little, and pretend it's their own recent writing. They then copy and paste the same negative plagerism under several of Hoffer's books. On their web site they reference journal articles "disproving" megavitamin therapy but when you take a closer look at the journal articles, they are often not related to the issue at hand. Doesn't it seem strange they have to go back all the way to 1973 to find a legitimate and relevant negative reference? That's over 30 years ago. Dr. Hoffer has done a lot of research since then. At 88 he's still mentally active, publishing, and treating patients. His research in the 1950's that showed niacin improves schizophrenia was the first double-blind study in psychiatry. Dr. Hoffer has been trying to make psychiatry a science for a long time, but the influence of money has been a much tougher opponent than ignorance and Freud.
Mental Health
Tardive Dyskinesia

Medically Reviewed by Smitha Bhandari, MD on January 12, 2023
Written by WebMD Editorial Contributors
Symptoms
Causes and Risk Factors
Diagnosis
Treatment and Prevention
4 min read
Tardive dyskinesia is a side effect of antipsychotic medications. These drugs are used to treat schizophrenia and other mental health disorders.

TD causes stiff, jerky movements of your face and body that you can't control. You might blink your eyes, stick out your tongue, or wave your arms without meaning to do so.

Not everyone who takes an antipsychotic drug will get it. But if TD happens, it’s sometimes permanent. So if you have movements you can't control, let your doctor know right away. To ease your symptoms, your doctor may:

Lower the dose
Add another medication to counteract the movements
Switch you to a different drug
Symptoms
Tardive dyskinesia causes stiff, jerky movements that you can't control. They include:

Orofacial dyskinesia or oro-bucco-lingual dyskinesia: Uncontrolled movements in your face -- namely your lips, jaw, or tongue. You might:

Stick out your tongue without trying
Blink your eyes fast
Chew
Smack or pucker your lips
Puff out your cheeks
Frown
Grunt
Dyskinesia of the limbs: It can also affect your arms, legs, fingers, and toes. That can cause you to:

Wiggle your fingers
Tap your feet
Flap your arms
****** out your pelvis
Sway from side to side
These movements can be fast or slow. You may find it hard to work and stay active.

Causes and Risk Factors
Antipsychotic meds treat schizophrenia, bipolar disorder, and other brain conditions. Doctors also call them neuroleptic drugs.

They block a brain chemical called dopamine. It helps cells talk to each other and makes the muscles move smoothly. When you have too little of it, your movements can become jerky and out of control.

You can get TD if you take an antipsychotic drug. Usually you have to be on it for 3 months or more. But there have been rare cases of it after a single dose of an antipsychotic medicine. Older versions of these drugs are more likely to cause this problem than newer ones. Some studies find a similar risk from both types, though.

Antipsychotic medications that can cause tardive dyskinesia include antipsychotics like:

Haloperidol (Haldol)
Fluphenazine
Risperidone (Risperdal)
Olanzapine (Zyprexa)
Your chances of getting TD go up the longer you take an antipsychotic medicine.

Some drugs that treat nausea, reflux, and other stomach problems can also cause TD if you take them for more than 3 months. These include:

Metoclopramide (Reglan)
Prochlorperazine (Compazine)
You're more likely to get it if you:

Are a woman who has gone through menopause
Are over age 55
Abuse alcohol or drugs
Are African American or Asian American
Diagnosis
TD can be hard to diagnose. Symptoms might not appear until months or years after you start taking antipsychotic medicine. Or you might first notice the movements after you've already stopped taking the drug. The timing can make it hard to know whether the medicine caused your symptoms.

Abnormal Involuntary Movement Scale (AIMS): If you take medicine for mental health conditions, your doctor should check you at least once a year to make sure you don't have TD. They can give you a physical exam called the Abnormal Involuntary Movement Scale, which will help them rate any abnormal movements.

They can also do tests to find out whether you have another disorder that causes abnormal movements, like:

Cerebral palsy
Huntington's disease
Parkinson's disease
Stroke
Tourette's syndrome
To rule out these conditions, you may get:

Blood tests
Imaging scans of the brain, such as a CT or MRI scan
Treatment and Prevention
The goal is to prevent TD. When your doctor prescribes a new drug to treat a mental health disorder, ask about its side effects. The benefits of the drug should outweigh the risks.

If you have movement problems, tell your doctor but don't stop taking the drug on your own. Your doctor can take you off the medicine that caused the movements, or lower the dose.

You might need to switch to a newer antipsychotic drug that may be less likely to cause TD.

There are two FDA-approved medicines to treat tardive dyskinesia:

Deutetrabenazine (Austedo)
Valbenazine (Ingrezza)
Both of these medicines work in similar ways to regulate the amount of dopamine flow in brain areas that control certain kinds of movements. Both can sometimes cause drowsiness. Austedo also has been shown to sometimes cause depression when used in patients with Huntington's disease.

There's no proof that natural remedies can treat it, but some might help with movements:

Ginkgo biloba
Melatonin
Vitamin B6
Vitamin E

— The End —