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  Sep 2018 Masmer
Janine Jacobs
I can’t breath.
Your holding a pillow over my face,
and call it love.
I am not quite sure when you and me
became we, and us and ours.
You talk about forever
and I listen, halfheartedly.
While watching your lips move,
I plan ways of escaping.
You were too much
and yet, still not enough.
After awhile I questioned
why I was holding on so tight.
I held on until my fingers ached
and calluses formed,
and it no longer felt right.
I was choking on the silence
of all the words I wasn’t saying.
Suffocating.
Slowly my heart became a tomb
and you, the mourner.
I am truly and deeply sorry for your loss.
Masmer Sep 2018
Au coin de ma lucarne, j’aperçois la verdure,
Les couleurs naturelles, et le gris des voitures.
J’entrevois toute la faune dansant main dans la main
Sans poser de question sur le jour qu’est demain.

Les oiseaux et leurs chants raviveront en moi
Des souvenirs et des vues de ce qu’était autrefois.
Les arbres et leurs mouvements me feront me souvenir
Des longs moments passés à pleurer et à rire.

Les sons sourds et les bruits qui surviennent tout le soir,
Les crissements et les coups qui sévissent dans le noir,
N’empêcheront pas mon âme d’échapper à leurs voix.

Mais quoi que disent leurs bouches, et quoi que pointent leurs doigts,
Je resterai heureux, et j’affronterai les ombres,
Je resterai debout, à regarder les arbres.
This was a homework. The title was : Write a poem about what you see at the window, no matter which. Got a nice mark, so thought about sharing it with yall here. Leave me your feedback if you want, but if you don't, then keep scrolling, it's up to you.
Masmer Sep 2018
Au-delà des sommets, au-delà des nuages,
Au-delà du ciel bleu plane un jeune oisillon.
De l’espèce des beautés, bavardes et sous pression
Par la grande pluie du temps venue noyer son âge.

Volatile à la houppe, élancé, fort et vif.
Le regard fier et sûr, non il n’est pas craintif.
Son plumage exotique, sa robe noire et grise
Ondulent avec le vent, sinuent avec la brise.

Vivant rien qu’aujourd’hui, la panse bien remplie.
Ne regarde que l’instant, se répète-t-il sans cesse.
Savoure le jour présent, ne pense pas aux caresses
Dont on me couvrirait, pour ça j’ai toute la vie.

Mais n’ayant point agi, et n’ayant point donné,
Oiseau de paradis, devient réalité.
Memento Mori car, on ne peut y échapper,
Le plus beau des oiseaux, se fera dévorer.
Hey, another one out of my mind, leave a heart if you like, it helps. Ask me if you don't understand the meaning which is understandable for this kinds of stuff.
Masmer Sep 2018
A celui dont le ciel a maudit les mirettes,
Comme vieil oiseau à l’aile artificielle.
Vole, bien peu adroit, accepte mais rejette,
En deuil de la clarté, et pleure sa lourde attelle.

Celui qui en dépit des voix et des regards
Ne tira pas la bride, au quadruple galop
S’enfonça dans le trou, la vie et son traquenard.
Et maintenant de son être recherche les morceaux.

Enfin, l’exotique reptile, exhibant ses atouts :
Sombres et ternes couleurs ornent son capuchon,
Pourtant si attirantes, quand il se tient debout.
Il porte ce qu’il trouve beau, c’est sa grande conviction.

Volatile épuisé, serpent ou équidé,
Le bipède leur donnera sa petite mine d’or,
Dans son pelage blanc, coton immaculé.
L’Homme vit uniquement pour défier la mort.
Hey here's a poem in French, because I like writing and I'm French so heck.
Masmer Nov 2017
Shrek is love, I told them, Shrek is dreck, they answer.
So I make this poem, to give them the cancer.
Shrek is life, I’m groaning, while they’re battering me.
I don’t care, I’m flying, over the devilry.

I don’t care that I bleed, because my Shrek is here.
I know he’s behind me, with strong ogre muscles.
He will venge what they did, and feel them with sweet fear.
Stronger than an army, he’s only leaving skulls.

But what if he succumbs, what if he expires ?
No, you cannot get him, he is stronger than God.
Wonder from where he comes, maybe he pulls the wires.

The bullies were all gone, thanks to my green best friend.
And just for all he’s done, friendship does never end.
Shrek is love, Shrek is life, and Shrek is everywhere.
There is not enough poems on Shrek on the internet, so I made this one.

— The End —