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Paul Hansford May 2016
~ ~ (on front of envelope)

La lettre que voici, ô bon facteur,
Portez-la jusqu'à la ville de NICE,
Aux ALPES-MARITIMES (06).
Donnez-la, s'il vous plaît, au Receveur

Des Postes, au bureau de NOTRE DAME.
(Son nom? C'est MONSIEUR LUCIEN COQUELLE.
Faut-il vraiment que je vous le rappelle?)
Cette lettre est pour lui et pour sa femme.

I won't lead English postmen such a dance;
Just speed this letter on its way to FRANCE.
Sender's address you'll find on the reverse.

~ ~ (and on the back)*

At Number 7 in St Swithun's Road,
Kennington, Oxford, there is the abode
Of me, Paul Hansford, writer of this verse.

- - - - - - - - - - - - -
For non-speakers of French, the first bit goes approximately -
"Dear Postman, Please take this letter to the town of Nice, in the département of Alpes-Maritimes, and give it to the postmaster at the Notre-Dame office. (His name? It's Lucien Coquelle. Do I really need to remind you?) This letter is for him and his wife."
More expert readers may notice that this is written in pentameter, whilst a real French one would have been in hexameter, with twelve-syllable lines.

BTW, this is from the archive, so the addresses are no longer current.
Paul Hansford Sep 2016
Green glass
but it's French
which makes it
verre vert.
The French should like that.
They appreciate
their jeux de mots.

Not a statue
of a man
but it could be.
Not a piece of art at all
except
I have made it so
by saying it is one.

Its qualities
are visual
and tactile at once
the material heavy
(over a kilo)
not so much transparent
as translucent
the colour
from under the sea
the surface curved
smooth
glossy
the shape functional
admirably suited for its purpose
its name
embossed on the back
(or the front?)
giving a clue.

L' ÉLECTRO VERRE
redundant insulator
from an overhead power cable
found object
(objet trouvé)
from the garden
of friends
in the Alpes-Maritimes.

This souvenir
potential paperweight
ornament
sculpture
is more than all of these.

Souvenir after all
is French for memory.
This doesn't give the full impression without a photograph.  Luckily, that is available at < flickr.com/photos/48763199@N04/5901032327/ >
Going on a road trip
Something for my soul
It's gonna take a while
But, it's gonna make me whole

I'm going to cross the country
But, I'll start on both the coasts
I've been in too many bottles
Have to exorcise some ghosts

Mile Marker Three Three Three Nine
That's where the dream did end
Mile Marker Three Three Three Nine
That's where I'll start to mend

Greyhound bus out of the east
From the Maritimes my son
I'll venture through Quebec as well
This is journey number one

I'll stop and meet the people
Get their stories, of the man
I'll find the ones who met him
Try to learn just what I can

Adversity, I've had my share
Always tried self medication
Now, I need to find myself
This will take some dedication

I'll head on through Ontario
On the Trans Canada Highway route
And I'll try lose my demons
Give my devils all the boot

Brick by brick I'll bring down the walls
That over years I've built
Bricks made up of hate and rage
by love, and fear and guilt

From the west, I'll make my way
Do the highway he could not
Through the rocky mountains
Every mile is hard fought

I'll learn about the person
Who he was and who I am
I'll come through the fire stronger
I'll be a much better man

I will bus across the prairies
Through the Manitoba cold
I will focus on my endgame
I'll learn from what I'm told

Two journeys I will travel
Neither one from coast to coast
But, both are to be ended
by that famous mile post

Maybe I can find the answer
Join myself, go through the door
As he joined a nation
So many years before

Mile Marker Three Three Three Nine
That's where my journey ends
Mile Marker Three Three Three Nine
That's where I'll start to mend
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.

J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.

Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.

La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !

Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.

Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;

Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !

Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !

J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au **** leurs frissons de volets !

J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !

J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !

J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !

J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !

Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !

J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.

Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...

Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !

Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;

Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;

Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;

Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !

J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?

Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !

Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.

Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
Seán Mac Falls Jan 2014
Downy in a bed of cotton clouds—
Faraway under seas of coral and wave,
The maritimes of fair and lonely currents
Cast us away and dropped our weary souls
On a lost strand of some great ocean landing,
Circe appeared, was knowing, to greet us as we
Woke, led us to a citadel island above of the sky,
We dranked of thirst, her fey sweet potions in haste,
Made our way in flight to kiss misadventures escape
And mired in woods fell once again, innocent before
The dawning break of a greenly seeded eternal day,
Blue eyes born, became, in the spotted branches,
Freckled arms and barks of ever reaching hair
Praised in silence and timely mystic wanes
Quivered in peace like a yearling doe
As never leaves were blanketing
And the moon sang with toe,
Our eyes sank lowly, softly,
Only to spark upon tides
Of the glittering pools
With starry eyes
Glowing new
In lovelight
Of dear
Sun.
Seán Mac Falls Mar 2016
.
Downy in a bed of cotton clouds—
Faraway under seas of coral and wave,
The maritimes of fair and lonely currents
Cast us away and dropped our weary souls
On a lost strand of some great ocean landing,
Circe appeared, was knowing, to greet us as we
Woke, led us to a citadel island above of the sky,
We dranked of thirst, her fey sweet potions in haste,
Made our way in flight to kiss misadventures escape
And mired in woods fell once again, innocent before
The dawning break of a greenly seeded eternal day,
Blue eyes born, became, in the spotted branches,
Freckled arms and barks of ever reaching hair
Praised in silence and timely mystic wanes
Quivered in peace like a yearling doe
As never leaves were blanketing
And the moon sang with toe,
Our eyes sank lowly, softly,
Only to spark upon tides
Of the glittering pools
With starry eyes
Glowing new
In lovelight
Of dear
Sun.
Seán Mac Falls Apr 2014
Downy in a bed of cotton clouds—
Faraway under seas of coral and wave,
The maritimes of fair and lonely currents
Cast us away and dropped our weary souls
On a lost strand of some great ocean landing,
Circe appeared, was knowing, to greet us as we
Woke, led us to a citadel island above of the sky,
We dranked of thirst, her fey sweet potions in haste,
Made our way in flight to kiss misadventures escape
And mired in woods fell once again, innocent before
The dawning break of a greenly seeded eternal day,
Blue eyes born, became, in the spotted branches,
Freckled arms and barks of ever reaching hair
Praised in silence and timely mystic wanes
Quivered in peace like a yearling doe
As never leaves were blanketing
And the moon sang with toe,
Our eyes sank lowly, softly,
Only to spark upon tides
Of the glittering pools
With starry eyes
Glowing new
In the light
Of dear
Sun.
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.

J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.

Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.

La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !

Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.

Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;

Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !

Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !

J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au **** leurs frissons de volets !

J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !

J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !

J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !

J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !

Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !

J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.

Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...

Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !

Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;

Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;

Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;

Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !

J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?

Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !

Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.

Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
Butch Decatoria Apr 2021
RED HOT RELIGION

He has this . . . Hunger like
Hurricane Hips interpreting endangered
wanton meanings of lustful touch
Starving eyes wanting

He has this . . Culpable shame
that’s  relative to the Red-Hot Religions
of sailors, muscled maritimes
showers of spit and ****
storms of guy-gravy
and then the little girl inside,
that darling damnation,
leaves him to those parched eyes

The panther's eager lips
that somehow rescues him sexually
With cold reptilian offerings
spires and skies which takes him home

away & aware he’s one of them:
chestnuts from china
The Buffalo’s bride
Lost in one salted heavenly hell

He has that . . . Craving,
A ***** for Jackal-harsh joys
but the lipstick love of sinful men
like magnets to his mad blindness
its ***** and biohazard truths
Still resounds in the black poetry
A stain of empty pews

Hearts
designed by desires over
Sins & desperations both
an epic dirge, some think
which will later play in a temple
That will sink darkly, singing
a Red-Hot  requiem reckoning

for all who are
Drowning in lust
and the god-awful truth
Of being lost  
Never having even begun
To know love
Not cross…
Butch Decatoria Apr 2020
He has this . . . Hunger like
Hurricane Hips interpreting endangered
wanton meanings of lustful touch
Starving eyes wanting

He has this . . Culpable shame
that’s  relative to the Red-Hot Religions
of sailors, muscled maritimes
showers of spit and ****
storms of guy-gravy
and then the little girl inside,
that darling damnation,
leaves him to those parched cats eyes

The panther's eager lips
that somehow rescues him sexually
With cold reptilian offerings
spires and skies which takes him home

away & aware he’s one of them:
chestnuts from china
The Buffalo’s bride
Lost in one salted heavenly hell

He has that . . . Craving,
A ***** for Jackal-harsh joys
but the lipstick love of sinful men
like magnets to his mad blindness
its ***** and biohazard truths
Still resounds in the black poetry
A stain of empty pews

Hearts
designed by desires over
Sins & desperations both
an epic dirge, some think
which will later play in a temple
That will sink darkly, singing
a Red-Hot  requiem reckoning

for all who are
lost in their lust
and the god-awful truth of it,
In beings lost  
Never having even begun
To know Love
Not cross…
Love is love
So what's ***?

— The End —