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Paul Hardwick Mar 2012
You looked at me over a fence.
Of common cense.
I told you.
I must have the cat put down.
For it is ill.
No you said the cat is just ill.

                   That worried me as I had the C
                                                                            A
                                                                                 T
                                                                                      Put down that day.
I seek in Prayer that you would Forgive
This Uttering Whisper cense your Penance
By the Cross and Wheel for this Dharma, live
My own Locked Fortress that Demon's Seance
Mindful do the Scriptures from Heaven remind
That once a Duty to my Sister's Lord
Invoke this Baptist; To Salvation find
The Enfavoured Trust to your Bandaged Word
Then by your God's Hopeful Mercy relay
My added Petition you both be well
Across the White March Doves mirror that Day
You and his hand - Magnificent we tell.
Such was his Title. And Excelled at that
Knowing your Wound heals, I tip-off my Hat.
Ar Bazian Jan 2016
"I don't know her.
I've seen her;
A strong spectre of absolute femininity and a lingering presence so strong, that all things thereon.. revolved unto the centrepiece of her clear, imperfect, overwhelming and sinking magnitude.
The fortitude..
She's the most beautiful women I've ever seen.. and no, not that kind of beauty. Well, It could've been..
She has a darkness to her, so captivating; so dense that all article in her cense is stalled in mesmerising silence and anticipation for the next fleeting beat of her beautiful heart..  for the next pacing glaze that would tear me apart, along the horizon of mere "things" in her shade, as she looks around and so passionately drowns the world in awe.
The charm that she'd bestow..
When I first saw her, my heart stopped, literally, only to -and out of grave deafness, explode as if it has been beating 'cross an infinite expanse of scapes compressed in the swiftness of a second.. boom!
'cross the room..
Suddenly, the void that consumed out of me the very sorry existence that I am, failingly so distant to her proximity, exploded like a rose bursting into bloom.. exploding no less, from pale tasteless petals to mindblowing extravagance.
I don't love her, I admit. I don't even know how to begin to fathom such an implosion of utopian lust for the hazel green distance in her eyes, let alone love her. She might be a man-eater, in disguise, for all the possibilities of things likely.. She is, however unattainable, perhaps my greatest unembarked adventure; my Odyssey. Not so, perhaps, my greatest... the one other dream she, still that I of another kiss.. a bliss.. an even greater adventure, nonetheless.. but a rhythm for another rhyme; another prose for another time.
This.. She's ancient unconscionable forbidden bliss for the morbid spirit that I am, enchanted with sweetness and love. Volatile like wildfire, she has the world entwined in the gypsy black waves of unconstrained dreams.
But that wasn't her, who lingered back in my head... The residence was of another.. I saw her once, in my seems.. my truest endeavours for a place that screams for relentless torture behind sweet jagged beams of black light on black.
I don't love her, I reassure, nor am I in love with another. I'm taken by her like a leaf is in a storm. I am home. She's death in a green hazed gaze, for those of you who didn't figure it out by now."

A.r. Bazian
*Nov 8th, 2015
À Madame Desloges, née Leurs.

Dans l'enclos d'un jardin gardé par l'innocence
J'ai vu naître vos fleurs avant votre naissance,
Beau jardin, si rempli d'oeillets et de lilas
Que de le regarder on n'était jamais las.

En me haussant au mur dans les bras de mon frère
Que de fois j'ai passé mes bras par la barrière
Pour atteindre un rameau de ces calmes séjours
Qui souple s'avançait et s'enfuyait toujours !
Que de fois, suspendus aux frêles palissades,
Nous avons savouré leurs molles embrassades,
Quand nous allions chercher pour le repos du soir
Notre lait à la cense, et longtemps nous asseoir
Sous ces rideaux mouvants qui bordaient la ruelle !
Hélas ! qu'aux plaisirs purs la mémoire est fidèle !
Errant dans les parfums de tous ces arbres verts,
Plongeant nos fronts hardis sous leurs flancs entr'ouverts,
Nous faisions les doux yeux aux roses embaumées
Qui nous le rendaient bien, contentes d'être aimées !
Nos longs chuchotements entendus sans nous voir,
Nos rires étouffés pleins d'audace et d'espoir
Attirèrent un jour le père de famille
Dont l'aspect, tout d'un coup, surmonta la charmille,
Tandis qu'un tronc noueux me barrant le chemin
M'arrêta par la manche et fit saigner ma main.

Votre père eut pitié... C'était bien votre père !
On l'eût pris pour un roi dans la saison prospère...
Et nous ne partions pas à sa voix sans courroux :
Il nous chassait en vain, l'accent était si doux !
En écoutant souffler nos rapides haleines,
En voyant nos yeux clairs comme l'eau des fontaines,
Il nous jeta des fleurs pour hâter notre essor ;
Et nous d'oser crier : « Nous reviendrons encor ! »

Quand on lavait du seuil la pierre large et lisse
Où dans nos jeux flamands l'osselet roule et glisse,
En rond, silencieux, penchés sur leurs genoux,
D'autres enfants jouaient enhardis comme nous ;
Puis, poussant à la fois leurs grands cris de cigales
Ils jetaient pour adieux des clameurs sans égales,
Si bien qu'apparaissant tout rouges de courroux
De vieux fâchés criaient : « Serpents ! vous tairez-vous ! »
Quelle peur ! ... Jamais plus n'irai-je à cette porte
Où je ne sais quel vent par force me remporte ?
Quoi donc ! quoi ! jamais plus ne voudra-t-il de moi
Ce pays qui m'appelle et qui s'enfuit ? ... Pourquoi ?

Alors les blonds essaims de jeunes Albertines,
Qui hantent dans l'été nos fermes citadines,
Venaient tourner leur danse et cadencer leurs pas
Devant le beau jardin qui ne se fermait pas.
C'était la seule porte incessamment ouverte,
Inondant le pavé d'ombre ou de clarté verte,
Selon que du soleil les rayons ruisselants
Passaient ou s'arrêtaient aux feuillages tremblants.
On eût dit qu'invisible une indulgente fée
Dilatait d'un soupir la ruelle étouffée,
Quand les autres jardins enfermés de hauts murs
Gardaient sous les verroux leur ombre et leurs fruits mûrs.
Tant pis pour le passant ! À moins qu'en cette allée,
Élevant vers le ciel sa tête échevelée,
Quelque arbre, de l'enclos habitant curieux,
Ne franchît son rempart d'un front libre et joyeux.

On ne saura jamais les milliers d'hirondelles
Revenant sous nos toits chercher à tire d'ailes
Les coins, les nids, les fleurs et le feu de l'été,
Apportant en échange un goût de liberté.
Entendra qui pourra sans songer aux voyages
Ce qui faisait frémir nos ailes sans plumages,
Ces fanfares dans l'air, ces rendez-vous épars
Qui s'appelaient au **** : « Venez-vous ? Moi, je pars ! »

C'est là que votre vie ayant été semée
Vous alliez apparaître et charmante et charmée,
C'est là que préparée à d'innocents liens
J'accourais... Regardez comme je m'en souviens !

Et les petits voisins amoureux d'ombre fraîche
N'eurent pas sitôt vu, comme au fond d'une crèche,
Un enfant rose et nu plus beau qu'un autre enfant,
Qu'ils se dirent entre eux : « Est-ce un Jésus vivant ? »

C'était vous ! D'aucuns noeuds vos mains n'étaient liées,
Vos petits pieds dormaient sur les branches pliées,
Toute libre dans l'air où coulait le soleil,
Un rameau sous le ciel berçait votre sommeil,
Puis, le soir, on voyait d'une femme étoilée
L'abondante mamelle à vos lèvres collée,
Et partout se lisait dans ce tableau charmant
De vos jours couronnés le doux pressentiment.

De parfums, d'air sonore incessamment baisée,
Comment n'auriez-vous pas été poétisée ?
Que l'on s'étonne donc de votre amour des fleurs !
Vos moindres souvenirs nagent dans leurs couleurs,
Vous en viviez, c'étaient vos rimes et vos proses :
Nul enfant n'a jamais marché sur tant de roses !

Mon Dieu ! S'il n'en doit plus poindre au bord de mes jours,
Que sur ma soeur de Flandre il en pleuve toujours !
Safana May 2020
Cense  diffuses everywhere
The candy sweet you dashed
It’s quite sweet every time

Taking someone out of sense
The time bond by your words
Your sweet words to listen  

Led to reach a highest point
It’s justice having from you
Everything, it’s your kindness

I’m praying, and requesting…
To Holy Only One, from Him
A successful life, you to have

Forever to live in peaceful home
No noise and sadness conquered
Green and white made decorated

And you, made pray for
Not stubborn upspring to own
Likely and moral child I mean

Those of bringing happiness at all
With stability, comfort ability for all
So that you may praise and thanks alone

— The End —