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Àŧùl Oct 2016
Had a fine sumptuous meal,
And received all good wishes,
Pal you looked so happy today,
Plus 28 years you completed,
You shall remember it all.

Best moments were spent with us,
In the lab we are one big family,
Rings of halo on your head,
Today on your birthday,
Heavy meals we all had,
Doing a lunch we did enjoy,
Another birthday comes so late,
Yes, obviously of the other labmates.

Afterwards, we might get separated,
Resting and working for ourselves,
Venerated is our Dr Mohanty sir,
Inches we are getting stronger,
Never getting discouraged,
D**efine he does a father.
Our labmate Arvind Verma has had a birthday today on 22nd of October, 2016 and we all enjoyed a lot at his birthday lunch at the highway food joint named Zhilmil Dhaba (pronounced jhilmil dhaaba) at the behest of our cool proteomics lab in-charge Dr Ashok Kumar Mohanty.

Even God will bless you with happiness, Arvind sir.

HP Poem #1208
©Atul Kaushal
Tu la ciera la ciar a pesa
tal sèil a ven di lus.
No sta sbassà i vuj, puòr zòvin,
se tal grin l'ombrena a è greva.

Rit, tu, zòvin lizèir,
sintìnt in tal to cuàrp
la ciera cialda e scura
e il fresc, clar sèil.

In miès da la puora Glisia
al è pens di peciàt il to scur
ma ta la to lus lizera
al rit il distìn di un pur.
Àŧùl Nov 2016
Staying and not giving up is brevity,
And I have a lot of that within me,
Developed even more with time.

This – all of this – is just a challenge,
Have not I faced more serious time,
At the doors of hell trapped was me,
Thermal oven my forehead became.

Yes, unnatural temperatures of fever,
Off my forehead rose moist fumes,
Underrated my chances of living.

Greatly influenced by my loneliness,
A* strength of bearing just anything,
Very pure are such lovely feelings,
Escaping I am never my destiny.

Understood I never why you gave up,
P**lus I see you adamantly remain same.
I had all the reasons to give up,
But I didn't because I am brave,
And I am proud of myself for all what I bear,
The first doctor gave up on me like a coward.

HP Poem #1264
©Atul Kaushal
L'un toujours vit la vie en rose,

Jeunesse qui n'en finit plus,

Seconde enfance moins morose,

Ni vœux, ni regrets superflus.

Ignorant tout flux et reflux,

Ce sage pour qui rien ne bouge

Règne instinctif : tel un phallus.

Mais moi je vois la vie en rouge.


L'autre ratiocine et glose

Sur des modes irrésolus,

Soupesant, pesant chaque chose

De mains gourdes aux lourds calus.

Lui faudrait du temps tant et plus

Pour se risquer hors de son bouge.

Le monde est gris à ce reclus.

Mais moi je vois la vie en rouge.


Lui, cet autre, alentour il ose

Jeter des regards bien voulus,

Mais, sur quoi que son œil se pose,

Il s'exaspère où tu te plus,

Œil des philanthropes joufflus ;

Tout lui semble noir, vierge ou gouge,

Les hommes, vins bus, livres lus.

Mais moi je vois la vie en rouge.


Envoi


Prince et princesse, allez, élus,

En triomphe par la route où je

Trime d'ornières en talus.

Mais moi, je vois la vie en rouge.
Long taim mi sa mekim rong, gutpla tingting em i kamap. Em ikam na em i toktok wantem mi, na em i tok olsem, "Noken bisi long bihainim gris blong snek olsem ya, bihainim tok blong mi na bai yu inap".

Long nait, nek blo yu isave hamamasim mi. Na long moning, hanmak blong yu i woklo stiaim mi long ol gutpla gutpla rot igo long gutpla gutpla wara. Olgeta hevi i woklo lus.

Long taim mi pasim tingting stret long yu, orait mitupla ikam kamap pinis long maunten igo antap. Na antap blong em i antap moa winim ol klaut. Hau bai mi sakim tok blo yu o? Mi nonap, long wanem, tok blong yu i switpla tumas olsem hani i kapsait niupla tru long sait blong diwai. Bai mi hamamas moa yet na nomoa bihainim snek nem blong em, rong.
I wrote this poem in my mother tongue of Tokpisin. It is about how Wisdom comes and speaks to one about changing their ways.
Juan Gelman  Jun 2017
Nota xxix
no stan muridus lus páxarus
di nuestrus bezus/
stan muridus lus bezus/
lus páxarus volan nil verdi sulvidar/
pondrí mi spantu londji/
dibaxu dil pasadu/
qui arde
cayadu com´il sol/

no están muertos los pájaros
de nuestros besos/
están muertos los besos/
los pájaros vuelan en el verde olvidar/
pondré mi espanto lejos/
debajo del pasado/
que arde
callado como el sol/
Mckenzie Ycmat Dec 2012
Palugput Ka!
It's something I've learned just today
From my older sister
You know? The one sister I have
That gave up a year of her life to god
lived away in a foreign land
Learning the sounds and smells by her senses alone
But ended up coming home
Because her health and mind just became
Palugput

Puhlug-Put-Kaw
Means you're ridiculous
My job
My family
My friends
My life
is Rid-ik-yew-lus
means palugput ka

But, if we're going to be
completely and utterly honest right now
Palugput Ka
fiachra breac  Jun 2019
coinne
fiachra breac Jun 2019
bhí coinne agam anocht,
chuaigh muid go Lus na Gréine.
bhí sí go hiontach.

labhraimid le chéile,
faoi gach rud agus níos mó.
bhí sí go hiontach.

tá sásta orm.
Alba
O sen svejàt
dal nòuf soreli!
O me cialt jet
bagnàt di àgrimis!

Cu n'altra lus
mi svej a planzi
i dìs ch'a svualin
via come ombrenis.
(Mort le 31 décembre 1829.)

Hélas ! que fais-tu donc, ô Rabbe, ô mon ami,
Sévère historien dans la tombe endormi !

Je l'ai pensé souvent dans mes heures funèbres,
Seul près de mon flambeau qui rayait les ténèbres,
Ô noble ami, pareil aux hommes d'autrefois,
Il manque parmi nous ta voix, ta forte voix
Pleine de l'équité qui gonflait ta poitrine,
Il nous manque ta main qui grave et qui burine,
Dans ce siècle où par l'or les sages sont distraits,
Où l'idée est servante auprès des intérêts,
Temps de fruits avortés et de tiges rompues,
D'instincts dénaturés, de raisons corrompues,
Où, dans l'esprit humain tout étant dispersé,
Le présent au hasard flotte sur le passé !

Si parmi nous ta tête était debout encore,
Cette cime où vibrait l'éloquence sonore,
Au milieu de nos flots tu serais calme et grand.
Tu serais comme un pont posé sur ce courant.

Tu serais pour chacun la voix haute et sensée
Qui fait que tout brouillard s'en va de la pensée,
Et que la vérité, qu'en vain nous repoussions,
Sort de l'amas confus des sombres visions !

Tu dirais aux partis qu'ils font trop de poussière
Autour de la raison pour qu'on la voie entière ;
Au peuple, que la loi du travail est sur tous
Et qu'il est assez fort pour n'être pas jaloux ;
Au pouvoir, que jamais le pouvoir ne se venge,
Et que pour le penseur c'est un spectacle étrange
Et triste quand la loi, figure au bras d'airain,
Déesse qui ne doit avoir qu'un front serein,
Sort à de certains jours de l'urne consulaire
L'œil hagard, écumante et folle de colère !

Et ces jeunes esprits, à qui tu souriais,
Et que leur âge livre aux rêves inquiets,
Tu leurs dirais : « Amis, nés pour des temps prospères,
Oh ! n'allez pas errer comme ont erré vos pères !
Laissez mûrir vos fronts ! gardez-vous, jeunes gens,
Des systèmes dorés aux plumages changeants
Qui dans les carrefours s'en vont faire la roue !
Et de ce qu'en vos cœurs l'Amérique secoue,
Peuple à peine essayé, nation de hasard,
Sans tige, sans passé, sans histoire et sans art !
Et de cette' sagesse impie, envenimée,
Du cerveau de Voltaire éclose toute armée,
Fille de l'ignorance et de l'orgueil, posant
Les lois des anciens jours sur les mœurs d'à présent,
Qui refait un chaos partout où fut un monde,
Qui rudement enfonce, ô démence profonde !
Le casque étroit de Sparte au front du vieux Paris,
Qui dans les temps passés, mal lus et mal compris,
Viole effrontément tout sage pour lui faire
Un monstre qui serait la terreur de son père !
Si bien que les héros antiques tout tremblants
S'en sont voilé la face, et qu'après trois mille ans,
Par ses embrassements réveillé sous la pierre,
Lycurgue qu'elle épouse enfante Robespierre !  »

Tu nous dirais à tous : « Ne vous endormez pas !
Veillez, et soyez prêts ! car déjà pas à pas
La main de l'oiseleur dans l'ombre s'est glissée
Partout où chante un nid couvé par la pensée !
Car les plus nobles cœurs sont vaincus ou sont las !
Car la Pologne aux fers ne peut plus même, hélas !
Mordre le pied du czar appuyé sur sa gorge !
Car on voit chaque jour s'allonger dans la forge
La chaîne que les rois, craignant la liberté,
Font pour cette géante endormie à côté !
Ne vous endormez pas ! travaillez sans relâche !
Car les grands ont leur œuvre et les petits leur tâche,
Chacun a son ouvrage à faire. Chacun met
Sa pierre à l'édifice encor **** du sommet.
Qui croit avoir fini pour un roi qu'on dépose
Se trompe. Un roi qui tombe est toujours peu de chose.
Il est plus difficile et c'est un plus grand poids
De relever les mœurs que d'abattre les rois.
Rien chez vous n'est complet. La ruine ou l'ébauche.
L'épi n'est pas formé que votre main le fauche !
Vous êtes encombrés de plans toujours rêvés
Et jamais accomplis. Hommes, vous ne savez
Tant vous connaissez peu ce qui convient aux âmes,
Que faire des enfants ni que faire des femmes !
Où donc en êtes-vous ? Vous vous applaudissez
Pour quelques blocs de lois au hasard entassés !
Ah : l'heure du repos pour aucun n'est venue.
Travaillez ! Vous cherchez une chose inconnue,
Vous n'avez pas de foi, vous n'avez pas d'amour,
Rien chez vous n'est encore éclairé du vrai jour !
Crépuscule et brouillards que vos plus clairs systèmes !
Dans vos lois, dans vos mœurs, et dans vos esprits mêmes
Partout l'aube blanchâtre ou le couchant vermeil !
Nulle part le midi ! nulle part le soleil !  »

Tu parlerais ainsi dans des livres austères,
Comme parlaient jadis les anciens solitaires,
Comme parlent tous ceux devant qui l'on se tait,
Et l'on t'écouterait comme on les écoutait.
Et l'on viendrait vers toi dans ce siècle plein d'ombre
Où, chacun se heurtant aux obstacles sans nombre
Que faute de lumière on tâte avec la main,
Le conseil manque à l'âme et le guide au chemin !

Hélas ! à chaque instant des souffles de tempêtes
Amassent plus de brume et d'ombre sur nos têtes.
De moment en moment l'avenir s'assombrit.
Dans le calme du cœur, dans la paix de l'esprit,
Je t'adressais ces vers où mon âme sereine
N'a laissé sur ta pierre écumer nulle haine,
À toi qui dors couché dans le tombeau profond,
À toi qui ne sais plus ce que les hommes font !
Je t'adressais ces vers pleins de tristes présages.
Car c'est bien follement que nous nous croyions sages !
Le combat furieux recommence à gronder
Entre le droit de croître et le droit d'émonder ;
La bataille où les lois attaquent les idées
Se mêle de nouveau sur des mers mal sondées ;
Chacun se sent troublé comme l'eau sous le vent ;
Et moi-même, à cette heure, à mon foyer rêvant,
Voilà, depuis cinq ans qu'on oubliait Procuste,
Que j'entends aboyer au seuil du drame auguste
La censure à l'haleine immonde, aux ongles noirs,
Cette chienne au front bas qui suit tous les pouvoirs,
Vile, et mâchant toujours dans sa gueule souillée,
Ô muse ! quelque pan de ta robe étoilée !

Hélas ! que fais-tu donc, ô Rabbe, ô mon ami,
Sévère historien dans la tombe endormi !

Le 14 septembre 1835.
Mary-Eliz May 2018
the sheep cleared his throat, a ballad he bleated
but pulling wool over eyes, he really had cheated  
as he simply had boldly repeated
what had been writ with the pen
haphazardly by chicken-scratch hen

pig used a sty -lus for wife, piglets three
wrote stories and poems, wrote them with glee
he wrote them
to bring home the bacon, you see
until he found out the bacon was he!

duck had no luck whatever the weather
for her writing she used a quill feather
when it poured down with rain
the duck near went insane
instead of paper she should have used leather

rooster read his work right out loud
he crowed and was so very proud
but on 5 a.m. he insisted
the rest were asleep and persisted
they didn't get up so they missed it

the dog had no papers nor did the cat
so no point in having a pen, given that
but (poetic) license(s) they had
they weren't really too bad
so with their claws they scratched on a mat

oh yes, on that farm were smart creatures
they could write great poems and features
the farmer called in a fit
look, the cow she has writ
but, the *** brayed out, it's udder *******!
Got the Sunday mornin' sillies!
J'avais toujours rêvé le bonheur en ménage,
Comme un port où le cœur, trop longtemps agité,
Vient trouver, à la fin d'un long pèlerinage,
Un dernier jour de calme et de sérénité.

Une femme modeste, à peu près de mon âge
Et deux petits enfants jouant à son côté ;
Un cercle peu nombreux d'amis du voisinage,
Et de joyeux propos dans les beaux soirs d'été.

J'abandonnais l'amour à la jeunesse ardente
Je voulais une amie, une âme confidente,
Où cacher mes chagrins, qu'elle seule aurait lus ;

Le ciel m'a donné plus que je n'osais prétendre ;
L'amitié, par le temps, a pris un nom plus tendre,
Et l'amour arriva qu'on ne l'attendait plus.

— The End —