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Paul d'Aubin Oct 2013
Le cri d'Alep ; ce principe   d’égalité dénié entre les Humains qui nous interpelle  

Combien sont-ils réfugiés dans les caves
À tromper provisoirement la mort
en se promettant une vie meilleure, où leur voix soit entendue
ou en songeant au paradis promis aux martyrs ?

Et ce cinéaste kurde qui vivait à Paris et voulait voler des images à l’anonymat de la grande faucheuse.
Il est parti là-bas muni de l'espoir fou que parfois les images savent atteindre le cœur des hommes.
Certains les appellent des «Djihadistes» et tremblent pour leur propre liberté d’opinion, pour les femmes qui sont traitées comme moins que rien par une masculinité égarée et pour leur rêve d’un nouveau «Califat» qui relève plus d’une blessure historique que d’un projet concret et réalisable.

D’autres défendent tout simplement un même « droit des gens» pour tous les êtres sur la Planète
Pourquoi être né Arabe, Juif, Kurde ou noir ou même apatride, devrait-il à jamais vous rendre la vie plus précaire et vous priver du Droit de choisir vos gouvernants ?
Il fut un temps où des évêques catholiques bénissaient les armes des troupes de Franco et appelaient à libérer l’Espagne des «rouges».
Il fut un temps où l’on enfermait dans le camp du Vernet les courageux combattants des «brigades internationales» ; ceux venus de tous les lieux du Monde qui ne croyaient pas en Allah mais avaient bien une forme de foi terrestre.
Durant ce temps Orwell, Hemingway, Malraux, ceux de la brigade Lincoln, les poètes de vingt ans assassinés tels, Sam Levinger, mort à Belchite, et Joseph Seligman, lors de la bataille du Jarama. Ils avaient vingt ans. Et bien d’autres quittèrent leur quiétude pour défendre l’Humanisme et l’Humanité aux prises avec les cris du «Viva la Muerte» des fascistes.

Que l’on m’explique, aujourd’hui pourquoi, la circonstance de naître dans le croissant fertile devrait vous valoir la servitude à vie et supporter un dirigeant criminel qui va qu’à user du gaz «sarin» contre une partie de sa propre Peuple qui le ***** ?
Et de vivre perpétuellement et sans espoir que cela ne change dans le servage de régimes militaires et de tyrans corrompus ?
La question de la Religion et des «communautés» ne masque-t-elle pas une comptabilité inégalitaire et sordide faite entre les hommes qui vivent sur une même planète ?
Là, en terre d’Islam, vous seriez condamnés à courber le dos entre le bâton et les balles du policier ou la vision et les sermons réducteurs des théocrates et de ceux qui osent se nommer : «Le parti de Dieu» ?
Qui ose ainsi trancher dans l’Humain et réduire le besoin et le souffle des Libertés à certains Peuples ; blancs et riches, de préférence ?

Allons mes ami(e)s, n’oublions pas le message universel des Hume, Paine, Voltaire, Hugo, d’Hemingway qui permit à nos anciens de prendre les Bastilles.
Le Droit à la vie et à la liberté n’est pas d’un continent, ni d’une couleur de peau, ni d’une religion ; il est Universel comme le sourire du jeune enfant à sa mère.
Assez de discriminations et d’hypocrisies ; dénonçons l’imposture des tyrans et les veules par trop intéressés qui nous voudraient taisant et tranquilles.
Il est un «Monde nouveau» qui ne demande qu’à grandir et à vivre si bien sûr, on ne le tue pas avant ou si on ne lui met pas le bâillon.
Ami(e)s ne te fait pas dicter ta conduite par ceux qui sont payés pour écrire que l’ordre immuable doit toujours se perpétuer.
Ose ouvrir les yeux même aux spectacles les plus insoutenables et entendre ce long chœur de gémissements qui est l'Humanité souffrante dont tu fais intrinsèquement partie toi-même, avec les mêmes droits et devoirs.
C’est l’Humanité souffrante qui frappe, devant l’écran de ton téléviseur quand ta journée de travail finie tu t’assoupis et il est trop facile et fallacieux de te dire que des spécialistes vont régler les problèmes à ta place.
Hélas si tous raisonnent ainsi ; rien ne bougera et les Tyrans succéderont aux Tyrans comme les malédictions de Job.
Peut-être ta faible voix comme celle du rouge-gorge doit se mêler à la symphonie du Monde pour qu'enfin puissent tomber les préjugés entre les êtres et les murailles de Jéricho ?

Paul d’Aubin (Paul Arrighi (Historien, Homme de Lettres et Poète) - Toulouse, Toulouse (France) le mardi  1er  octobre  2013.

Paul Arrighi, à Toulouse, (Historien, Homme de Lettres et Poète)
Dacia B Feb 2014
If your problems are turning themselves into menacing clouds of steel
Go outside and realise how simple life is
The plant runs on a wheel of four beautiful seasons each bringing a wonder
Nature wavers in harmony with humanity
Even in our ironed out wilderness the concret rivers are a dancing ground for birds who put their fate in God alone
Iron boxes sit under selected trees in front of doors with untold stories to millions only in the minds and hearts of a chain of friends
The network of earthling life is relatively uncomplicated each soul singing a note in part of an awesome chorus.
Sometimes you just need to sit back and listen
Ooolywoo Feb 2021
Il est 1h27 du matin à Dakar
Debout sur le balcon; un désir d'aventurier de l'inconnu m'envahit, de celle qui s'échappe du temps et de la terre mère qui l'étouffe ensevelie sous son noyau.
Le vent me caressant le visage, je l'entend m'inviter à l'hymne de ma liberté. Le bruit des avions m'emportent dans un monde d'aisance et d'émancipation, l'échos des Zikrs me tirent vers ma raison profonde et ma familiarité.
Je ferme les yeux en proie à la nostalgie. Essayant de me souvenir des beaux moments de ma vie; le vent me berce dans l'abstrait où mon âme se jette dans l'aura poétique de la magie des rêves.
Le marchand des rêves m'emporte sur une plage éclairée par la claire de lune et un feu de camp; jouissant d'un ciel dégagé et très étoilé.
La brise me mets à nu devant ses caresses ardentes et m'enivre de son odeur. Je me laisse flotter sur ses ondes.
Le sable en velours réchauffant mes pieds au rythme d'un Samba; riant de toute mon âme et transpirant au rythme de la danse. Nos âmes se transforment en une unité d'énergie donnant naissance à un cycle d'existence de désirs.
Je me confie à mon instinct comme pour consoler mon amour.
A l'horizon, la morosité morbide condamnée dans le concret. Aimant ardemment et follement cet abstrait merveilleux qui me berce.
Qui berce cet amour non réclamé, et cette liberté condamnée. Qui depuis longtemps poussent leur barque fragile à bout de force.
Aussi romantique que la poésie, je danse amoureusement et passionnément avec l'inconnu de mes pensées. Et dans cette passion insensée, de l'infini sublime rêve que cherche l'esprit, la réalité envahit l'abstrait et en fait un asile.
Un asile qui éveille mon cœur à chaque moment d'inattention ou de solitude. Un asile qui m'ouvre ses portes à ses extases fantaisistes quand l'ivresse de la réalité devient lourde et étouffante.
A poem I wrote in 2012 when all I wanted back then was to escape my life, travel around the world and see other realities, get away from everything. Translating in English will not give it justice.
kyle henderson Mar 2013
Half hearted
At least it keeps a beat
I miss your mannerisms and streetwise feet

Thankful to be thankful at least we have a lead
Pointing north or nowhere it's our choice to perceive

Walk on sand turning to rock
Rock to land a grass to frolick in

Thankful for the chance to have this dance I'd let you go if you promise to come back

Don't define yourself with your own mind let the season persuade you to keep god on your side

Sit with me in this undulating sea of concret and center of the continent tides

Roll with me in the green grass of waves that splash us by
never get us wet Say thanks to the Sidewalks and their separation from the street
Death-throws May 2015
Lost has become an expression to me,
not a sensation of unknowing
more of a sensation of loss of myself
lost,
im lost without you,
without it i might be dull
but without you, Im nothing but a shell
your the scrap i have left,
silk that weighs more then gold,
you have a heart of fire ive been told,
i want it, wrapped in ice and dipped in sugar,
I belive i am the one who can take you there
but we went from 80 to 0 real fast..
and  I wasnt wearing a seatbelt
but christ i still have whip lash
because  my unconditional love for you coaxed me into safety,
i took of my harness and let myself be me,
and now your saying i should take me away from me,
that i should just simply stop beeing what i am
its not so easy when all you have to fix a concret wall is craft paper
I get that you think im a lady killer
and i despise the fact you think i enjoy it,
but i understand your misconceptions, i know what its like to be stuck in your head without a lock for the broken key around your neck
but unlike you think, my tounge is dull as butter knife on any other median but paper,
my skull is as emptier of lust for another woman
then a gay priest married to Christ, '
you have nothing to fear  sweet heart, i dont want to go anywhere,
I know you think im a brick wall,
of problems and cracks and faults
and your mad your out of mortor to fix me
just understand knocking me back down doesnt get  me any further foreward..
be declicate when you build me back up...
your building yourself a future..
this broken fence,
this unshapped clay,
is yours now to ply and toy with. No one elses,
just say you love me one more time so i can sleep..
and understand im trying as hard as i can,
to be the man you want me to be
bluevelvet Jul 2017
Come away with her,

         Into a place where

This frozen time never fades,

       Both far and w i d e

Come away with her,

       You will only see

The still standing form of a tree

       That partook in composing reality

She's dressed in eternal white,

        Florescent blue street light

Concret and a barrel,

        Grass and gravel

Sun soaked murky water,

         Metal for the leather orange baller

A place where one rose stays true

        And the born again

Mind body and soul

         Is ever-present enough for you

Time is past and past,

           Is forever present

A hand caresses her sunken face,

              A heavenly place

But with just one gust of wind

             She opens her tired eyes,

The hand is but only mine
ZacharyBaca May 2017
Three men put Steele in his body and drained it out,
Draped him over the top rail like a rug and they hanged him off of it.
His last breath was deep and could be heard down the 100 yard stretch of concrete walls and cell space.
He kicked until the last ounce of energy was finally released from his body into what one would hope to be heaven.



We just want justice and a little bit of sustenance,
Forced to hate ourselves they call us a suspect.
The substance of colorful minds in a dangerous town



The new wisdom of ancient civilizations Produced in a slave ship
Concret walls embedded in the thick of a desert -
I used to get  anxious
Chalk it up to the theory of natural selection

I'm the product of my enviornment but who’s the supplier
economic redistribution  and product exchanges

Open source the government for growth and development
Enlightenment is just becoming reunited with the mother ship
Paradoxically I went to the Darkside to find this convenient
Mash up of asatru, Egyptian archetypes and Aztec brother hoods

Im the type to get lost in the stars
while they'd rather have me masked up in the back of a cop car

this is not poetry
Tactical plots and pre calculated attacks on geographical  chalk boards.
this is not poetry this is math
geo logical rock wars
This is not poetry
Striped up and tattooed in patches we fought for.
I did five years in Arizona's state prison and this is a reflection of where I was in some places mentally.  I am not a writer but I hope you enjoy it.

— The End —