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Eshan Mar 2011
Kagaz ki kashtiyon mein kai bar safar kar liya,
ab ek lambi udan bhar lene do.
Aj in bandhe hue pankhon ko khuli hava mein sans le lene do,
kyunki ab girne ka khauff nahin raha.

Daudne mein ab koi maza nahin hai,
kyunki yahan to hava jaise tham si gayi **.
Ab rukne ka bilkul man nahin raha,
aj to toofanon mein sair karne lene do.

Dayron mein rehte hue adhi zindagi guzar gayi,
aj to un hadon ko par kar lene do.
Dar dar ke kab tak khamosh rahoge dost,
zameen par jeet jane mein kuch nahin rakha ,
aj to uchaiyon par jashn mana lene do.

Unke chale hue raston ko kai bar nap liya,
aj mujhe bhi apni pehchan bana lene do.
Kismat ka rona to sabhi rote hain,
aj mujhe bhi apne naseeb ka kora kagaz rang lene do.

Kabhi kabhi to man karta hai ki
un azad parindon ki tarah hava mein bas tairta hi reh jaoon.
Asan to kuch nahin par sochta *** ki
aj namumkin ko hi apna dost bana loon.

Kitabon ke panne kafi palat liye,
aj mujhe bhi do shabd likh lene do.
Hans lene do jinhe hansna hai mere in mazboot iradon par.
Kya samjhenege who is khuli udan ki masti ko,
jinhe kabhi bharosa nahin hua khud par,
aur hamesha rakha tha apne armanon ko pinjre mein kaid kar.

Khule asman mein aj ek bar ud lene do,
kya pata kal wahan bhi zaroorat se jyada bheed **.
Kai dinon ke bad aj ek bar fir azad hone ka man kiya hai
Tod do in bediyon ko, kyunki aj ek lambi udaan bharne ka iraada hai
Ek cup chai le kar baitha aur

Ravivar tha aur yunhi waqt

Beetta hi chala gaya…

Phir khuch panne ultaye…

Ankahi kahani ke…

Khuch Paheli Ko dekha…

Mann hi mann

Socha kal suljaunga

Woh wali purani Paheli…

Jo aaine ki tarah

Samne toh kabhi ojhal ** jaati hai…

Kyuki aaj Ravivar tha…

Aur waqt…

Thodi Dhoop Ko aane diya

Thodi thand se baatein Kiya

Phir ek cup chai Liya

kal Somvar hai

Toh

Aaj waqt…

Yunhi yunnhi…

Beetta chala Gaya…

Yunnhi yunhi

waqt aaj…

Toh..

Kya phir chai…

Mein pita hi chala gaya…

………

……

….

..

.

..



…..

………

…………..
Shivam Porwal Dec 2017
Zindagi me kai ese moke aaenge jab tum apne apko 1 ajib kashmo kash me paoge,
Kai viparit paristhityo ka dar tumhe sataega,
Kya galat hai kya sahi tumhe kuch smjh nahi aaega,

Ye kuch uljhne hai jo har kisi ki Zindagi me alg alg samay pr aati hai
Jo ki us waqt pr bhut soch smjhkr kuch faislo se suljhai jati hai

Par kya wo faisle lena itna aasan hota hai?

Kyu ki wo 1 faisla shyd puri zindagi ko bdl skta hai

Har faisle me Kuch panne ki tammana, to kuch khone ka dar to hoga
Par un sab raaho me se kisi 1 ko tumhe chunna hoga,

Us raah ko chunne ke liye tum Hazaro logo se ray mashwara karte **
Kai baar apne dil ki chod, gairo ki baat par bh yakin karte **

Par smjho is baat ko, ki Hazaro se sunkr bhi tumhara dil kis chiz ko chahta hai
Dhundho, Kya hai wo esa jisko tumhara man puri mehnat, lagan aur jazbato k sath karna chahta hai.

Kyu ki Sahi to sab kuch hai is duniya me
Par tumhare liye kya sahi hai ye tumhi jaan skte **
Apne andar ki kabiliyat ko pehchankar, Mehnat kar
apne sapno ko haqueeqat bana skte ** !!
An inspirational poem, which teaches how to take the decision in life.
Le coucher d'un soleil de septembre ensanglante

La plaine morne et l'âpre arête des sierras

Et de la brume au **** l'installation lente.


Le Guadarrama pousse entre les sables ras

Son flot hâtif qui va réfléchissant par places

Quelques oliviers nains tordant leurs maigres bras.


Le grand vol anguleux des éperviers rapaces

Raye à l'ouest le ciel mat et rouge qui brunit,

Et leur cri rauque grince à travers les espaces.


Despotique, et dressant au-devant du zénith

L'entassement brutal de ses tours octogones,

L'Escurial étend son orgueil de granit.


Les murs carrés, percés de vitraux monotones,

Montent droits, blancs et nus, sans autres ornements

Que quelques grils sculptés qu'alternent des couronnes.


Avec des bruits pareils aux rudes hurlements

D'un ours que des bergers navrent de coups de pioches

Et dont l'écho redit les râles alarmants,


Torrent de cris roulant ses ondes sur les roches,

Et puis s'évaporant en des murmures longs,

Sinistrement dans l'air du soir tintent les cloches.


Par les cours du palais, où l'ombre met ses plombs,

Circule - tortueux serpent hiératique -

Une procession de moines aux frocs blonds


Qui marchent un par un, suivant l'ordre ascétique,

Et qui, pieds nus, la corde aux reins, un cierge en main,

Ululent d'une voix formidable un cantique.


- Qui donc ici se meurt ? Pour qui sur le chemin

Cette paille épandue et ces croix long-voilées

Selon le rituel catholique romain ? -


La chambre est haute, vaste et sombre. Niellées,

Les portes d'acajou massif tournent sans bruit,

Leurs serrures étant, comme leurs gonds, huilées.


Une vague rougeur plus triste que la nuit

Filtre à rais indécis par les plis des tentures

À travers les vitraux où le couchant reluit,


Et fait papilloter sur les architectures,

À l'angle des objets, dans l'ombre du plafond,

Ce halo singulier qu'on voit dans les peintures.


Parmi le clair-obscur transparent et profond

S'agitent effarés des hommes et des femmes

À pas furtifs, ainsi que les hyènes font.


Riches, les vêtements des seigneurs et des dames,

Velours, panne, satin, soie, hermine et brocart,

Chantent l'ode du luxe en chatoyantes gammes,


Et, trouant par éclairs distancés avec art

L'opaque demi-jour, les cuirasses de cuivre

Des gardes alignés scintillent de trois quart.


Un homme en robe noire, à visage de guivre,

Se penche, en caressant de la main ses fémurs,

Sur un lit, comme l'on se penche sur un livre.


Des rideaux de drap d'or roides comme des murs

Tombent d'un dais de bois d'ébène en droite ligne,

Dardant à temps égaux l'œil des diamants durs.


Dans le lit, un vieillard d'une maigreur insigne

Egrène un chapelet, qu'il baise par moment,

Entre ses doigts crochus comme des brins de vigne.


Ses lèvres font ce sourd et long marmottement,

Dernier signe de vie et premier d'agonie,

- Et son haleine pue épouvantablement.


Dans sa barbe couleur d'amarante ternie,

Parmi ses cheveux blancs où luisent des tons roux,

Sous son linge bordé de dentelle jaunie,


Avides, empressés, fourmillants, et jaloux

De pomper tout le sang malsain du mourant fauve

En bataillons serrés vont et viennent les poux.


C'est le Roi, ce mourant qu'assiste un mire chauve,

Le Roi Philippe Deux d'Espagne, - saluez ! -

Et l'aigle autrichien s'effare dans l'alcôve,


Et de grands écussons, aux murailles cloués,

Brillent, et maints drapeaux où l'oiseau noir s'étale

Pendent de çà de là, vaguement remués !...


- La porte s'ouvre. Un flot de lumière brutale

Jaillit soudain, déferle et bientôt s'établit

Par l'ampleur de la chambre en nappe horizontale ;


Porteurs de torches, roux, et que l'extase emplit,

Entrent dix capucins qui restent en prière :

Un d'entre eux se détache et marche droit au lit.


Il est grand, jeune et maigre, et son pas est de pierre,

Et les élancements farouches de la Foi

Rayonnent à travers les cils de sa paupière ;


Son pied ferme et pesant et lourd, comme la Loi,

Sonne sur les tapis, régulier, emphatique :

Les yeux baissés en terre, il marche droit au Roi.


Et tous sur son trajet dans un geste extatique

S'agenouillent, frappant trois fois du poing leur sein,

Car il porte avec lui le sacré Viatique.


Du lit s'écarte avec respect le matassin,

Le médecin du corps, en pareille occurrence,

Devant céder la place, Âme, à ton médecin.


La figure du Roi, qu'étire la souffrance,

À l'approche du fray se rassérène un peu,

Tant la religion est grosse d'espérance !


Le moine cette fois ouvrant son œil de feu,

Tout brillant de pardons mêlés à des reproches,

S'arrête, messager des justices de Dieu.


- Sinistrement dans l'air du soir tintent les cloches.


Et la Confession commence. Sur le flanc

Se retournant, le Roi, d'un ton sourd, bas et grêle,

Parle de feux, de juifs, de bûchers et de sang.


- « Vous repentiriez-vous par hasard de ce zèle ?

Brûler des juifs, mais c'est une dilection !

Vous fûtes, ce faisant, orthodoxe et fidèle. » -


Et, se pétrifiant dans l'exaltation,

Le Révérend, les bras en croix, tête baissée,

Semble l'esprit sculpté de l'Inquisition.


Ayant repris haleine, et d'une voix cassée,

Péniblement, et comme arrachant par lambeaux

Un remords douloureux du fond de sa pensée,


Le Roi, dont la lueur tragique des flambeaux

Éclaire le visage osseux et le front blême,

Prononce ces mots : Flandre, Albe, morts, sacs, tombeaux.


- « Les Flamands, révoltés contre l'Église même,

Furent très justement punis, à votre los,

Et je m'étonne, ô Roi, de ce doute suprême.


« Poursuivez. » Et le Roi parla de don Carlos.

Et deux larmes coulaient tremblantes sur sa joue

Palpitante et collée affreusement à l'os.


- « Vous déplorez cet acte, et moi je vous en loue !

L'Infant, certes, était coupable au dernier point,

Ayant voulu tirer l'Espagne dans la boue


De l'hérésie anglaise, et de plus n'ayant point

Frémi de conspirer - ô ruses abhorrées ! -

Et contre un Père, et contre un Maître, et contre un Oint ! »


Le moine ensuite dit les formules sacrées

Par quoi tous nos péchés nous sont remis, et puis,

Prenant l'Hostie avec ses deux mains timorées,


Sur la langue du Roi la déposa. Tous bruits

Se sont tus, et la Cour, pliant dans la détresse,

Pria, muette et pâle, et nul n'a su depuis


Si sa prière fut sincère ou bien traîtresse.

- Qui dira les pensers obscurs que protégea

Ce silence, brouillard complice qui se dresse ?


Ayant communié, le Roi se replongea

Dans l'ampleur des coussins, et la béatitude

De l'Absolution reçue ouvrant déjà


L'œil de son âme au jour clair de la certitude,

Épanouit ses traits en un sourire exquis

Qui tenait de la fièvre et de la quiétude.


Et tandis qu'alentour ducs, comtes et marquis,

Pleins d'angoisses, fichaient leurs yeux sous la courtine,

L'âme du Roi mourant montait aux cieux conquis,


Puis le râle des morts hurla dans la poitrine

De l'auguste malade avec des sursauts fous :

Tel l'ouragan passe à travers une ruine.


Et puis plus rien ; et puis, sortant par mille trous,

Ainsi que des serpents frileux de leur repaire,

Sur le corps froid les vers se mêlèrent aux poux.


- Philippe Deux était à la droite du Père.
Atiborrado de filosofía,
por culpa del afán que me devora,
yo, que ya me sabía
dos gramos del vivir, nada sé ahora.

    De tanto preguntar
el camino a los sabios que pasaban,
me quedé sin llegar,
mientras tantos imbéciles llegaban...
Priya Jul 2019
Mere Dil ne jab bhi unke pyaar ke kaside padhe,
sach kehti hu dil to chup raha par panne ro pade.
Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste !

C'est vers le Moyen Age énorme et délicat

Qu'il faudrait que mon coeur en panne naviguât,

**** de nos jours d'esprit charnel et de chair triste.


Roi politicien, moine, artisan, chimiste,

Architecte, soldat, médecin, avocat,

Quel temps ! Oui, que mon coeur naufragé rembarquât

Pour toute cette force ardente, souple, artiste !


Et là que j'eusse part - quelconque, chez les rois

Ou bien ailleurs, n'importe, - à la chose vitale,

Et que je fusse un saint, actes bons, pensers droits,


Haute théologie et solide morale,

Guidé par la folie unique de la Croix

Sur tes ailes de pierre, ô folle Cathédrale !
Delton Peele Oct 2020
The taste of love once bitten  ambrosial  insatiable
Saffron infused whipped honey butter
The flavors of the colors plumb crazy purple
Candy apple red sugary sparkling white
Glossy ebony. Red cherry kukabura  licorice
Deep blackberry
soft glowing pink spiked with wisps of magenta ,coral and tastefully splattered
With clouds snowy white and airy.
The Mojave desert drenched
And still wet shimmering in hues of golds sparkling as seen through pouty  eyes.
The taste of passionate sweat
And and the ultimate quench
The tears of love
Oh the mere mention of which fills the well of my eye
Countless pillows saturated
From the seemingly endless nights
That should have been............
Instead i writhe alone, in a hot sauna ,glistening
Minds twistining in this insatiable plane
*** drive insain i m thinkin my brain stuck in puberty
Bristling with i wanna
And im cursed with a perfect pornographic
Memory in perpetual  purgatory
Im sick withit
I notice a whip of your hair , an extra long stare
The nap of your neck
That look of" i dont care if youre here or there
You are of no interest to me"
Whith respect i try to discretely slip away.
Im hypnotized with a bellicose glare thats saying
Dont you dare try to walk away from me.
Come to me later when im alone
You have something i need .!
My blood instantly boiling under your spell all the way home i san smell your gaze upon me.
I have no will i am your Renfield
Im in love with being sealed in your fate
And this seether you have me steeped in
Caged temporally is only temporary
I am whodini shifting Nosferatu
You thought you had me
Sorry i have you under me and you invited me in
I ve got a fever ........
etiquette and inhabitions obscured
Sleepy eyed smirk i picture you and I
In an oasis under an ****** blue sky.
You in a jean skirt
Compassed about by lush deep green
Your favorite song nothing you do could be wrong
Im outa my mind your twerkin
And i can almost see your. .........
<{****}>
kicked off the gong show for lude behavior
Thats just sillyness .
Seriously im lascivious
Enough about me all i want is everything
About you
Succulents thriving in the august month draped in a glistening canopy
Of moist oceanic breeze.
everything joyful inviting. caramels
Almonds, sticky sweet baklava......
Mangoes and sticky rice....
Thai ice tea and coffee.
Honey do dripping cloves and cinnamon........wild mountain blackenblueberry jumble pie with extra  crumble and saturday winter soup
And summer sunday fried chicken
Bliss .....concord grape claufatis Di Sorono with fresh squeezed murcotts
Whith a drizzle of chambord
Panne de homone
And the tickle of a little humming birds tounge flicking your earlobe
Felt but not heard
The flavors mixing
shake not stirred
The first drink youll savour and with a woulnded heart you will slide down to the bottom of the glass looking for more
Its such a rush that you chase it knowing its ultimately
What you live for
Wanderlust,indescribable wontedness,
Mysterious,intoxicatingly exotic
Dangerous cocktail of eclectic electricly charged concoctions
On the cusp of poisonous
depending whom you share it with
could be the breath of life
Releasing you from stress and strife........could be the kiss of death ..................
Could be a soulmate could be the best thing the world has ever seen ..........inspiring ...................creator of king a Queen ....
Nations are built and conquered by her
Mountains moved.
Its what makes life worth living.
Once smitten the world abounds
Heaven smiles
You bath water feels like milk
And smells like lilacs an hyacinth
Youre gowned in silks and satin
Everything becomes new
in vibrant pastels and unimaginable
Muse
Flavors mingle .....
Personally to me its..........
It starts with honey and black licorice sucrets
Turning to orange an whip cream then fresh crunchy cherries
Enhanced with the essence of you
Like the sugar cube on a stick
I pour my Absinthe through


And as our pallets change along with life
As they always do one thing remains constant
I follow my heart and
always winds up in you !
Sorry forget me knot two.the second spell prequel

— The End —