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star May 27
Ariane 5.23.25 (5:44 pm / 17:44)
ariane i couldn’t not love you
if i tried

ariane it’s all i think about,
you and i

ariane i don’t think we ever could be some
kind of crime

ariane i think two girls could rule the world,
ariane, yes, me, yes me, and you

oh you
i can’t get over you

[playing: i’ll die anyway. by girl in red and halley’s comet by billie eilish]
a really ******* lesbian poem
star May 27
Ariane again 5.24.25 (1:50 pm / 13:50)
ariane i try so hard for you
and it’s worth it every day

ariane there is nothing i would not sacrifice
for you and i

ariane it doesn’t matter anymore
if you love me back or not
can you let me love you?

ariane when it’s just me and you
those are my favorite moments,
i just want you to know

ariane please,
i wish i weren’t desperate
but i want this
you
all the same
This Letter Poem WM is dedicated to Mr. Williamsji Maveli, our Masterpoet.
Why a dedication to him? These initials WM are his names.
Accidentally also the initials of the first name of our Dutch Crown prince Willem-Alexander.
The second initial is of his wife's first name: Máxima.

I want to write also about our Royal Family, since our Queen of the Netherlands Beatrix will abdicate next 30 April 2013 and at the same time Willem-Alexander and his wife will be crowned as King and Queen of the Nederlanden.

Now you know a bit about the Dutch Royal family.
Today Her Majesty Queen Beatrix is still Queen of de Nederlanden till next 30 April 2013.
These humble verse is for you, Williamsji. Please, enjoy!
Thank you for your attention. 

Sincerely,
Sylvia Frances Chan.
******************­************

This letter W stands for WILLIAMSJI
and the next letter, an M for MAVELI

This W par accidence is also the first letter
of our Crown prince WILLEM-ALEXANDER
on next 30 April WILLEM and his époussée, his wife MAXIMA
will be crowned King and Queen of Neerlandica

Usually our country is called Nederland
the foreigners call it mostly the Netherlands
the tourists a many of them prefer to say Holland
with your permission, this dedication, if I may
can also be used as introduction, what do you say?

WILLIAMSJI is the first name of our masterpoet
he creates poems mostly about sensuality
entwined in beauty, eroticism and love
when you'll read his poetry
you wouldn't see all those I've written about him above

Instead you must use your rational ability
in the lines throughout his verse
you won't find, of course not, all that worse
instead, you will enjoy all the beauty
of his master's talent writing about sensuality

His family name is also beautiful, MAVELI
well known as the masterpoet Williamsji Maveli
both are his true names belonging to Mr. Maveli
this M reminds me of MáXIMA,
Crown prince Willem-Alexander's wife in optima

Now you know why I dedicate this poem to you
your initials are quite the same as Willem and Máxima
WM is Williamsji Maveli the famous poet
WM is also Crown prince Willem-Alexander
and his wife Princess Máxima

Still one thing hasn't been told
today the 27th April is Willem-Alexander's birthday
he has become forty six years old
a good father of three daughters,
all their first names begin with an A
princess Amalia, Alexia and Ariane
their grandma is Her Majesty Queen Beatrix
she will abdicate after three and thirty years of reign

Dear Mr. Williamsji Maheli, our masterpoet
your initials WM are exactly the same as
our Crown prince Willem-Alexander
and his beloved wife Máxima

that's why I present this humble dedication
to you today as a small Dutch presentation


© Sylvia Frances Chan
27th April 1967-2013
Crown prince Willem-Alexander's 46th Birthday
Since 30th April 2013 has he become
the King of The Netherlands,
a small lowland at the Northsea
In Westeurope
Peins-moi, Janet, peins-moi, je te supplie
Dans ce tableau les beautés de m'amie
De la façon que je te les dirai.
Comme importun je ne te supplierai
D'un art menteur quelque faveur lui faire :
Il suffit bien si tu la sais portraire
Ainsi qu'elle est, sans vouloir déguiser
Son naturel pour la favoriser,
Car la faveur n'est bonne que pour celles
Qui se font peindre, et qui ne sont pas belles.

Fais-lui premier les cheveux ondelés,
Noués, retors, recrêpés, annelés,
Qui de couleur le cèdre représentent ;
Ou les démêle, et que libres ils sentent
Dans le tableau, si par art tu le peux,
La même odeur de ses propres cheveux,
Car ses cheveux comme fleurettes sentent,
Quand les Zéphyrs au printemps les éventent.

Que son beau front ne soit entrefendu
De nul sillon en profond étendu,
Mais qu'il soit tel qu'est la pleine marine,
Quand tant soit peu le vent ne la mutine,
Et que gisante en son lit elle dort,
Calmant ses flots sillés d'un somme mort.
Tout au milieu par la grève descende
Un beau rubis, de qui l'éclat s'épande
Par le tableau, ainsi qu'on voit de nuit
Briller les rais de la Lune qui luit
Dessus la neige au fond d'un val coulée,
De trace d'homme encore non foulée.

Après fais-lui son beau sourcil voûtis
D'ébène noir, et que son pli tortis
Semble un croissant qui montre par la nue
Au premier mois sa voûture cornue.
Ou si jamais tu as vu l'arc d'Amour,
Prends le portrait dessus le demi-tour
De sa courbure à demi-cercle dose,
Car l'arc d'Amour et lui n'est qu'une chose.
Mais las ! mon Dieu, mon Dieu je ne sais pas
Par quel moyen, ni comment, tu peindras
(Voire eusses-tu l'artifice d'Apelle)
De ses beaux yeux la grâce naturelle,
Qui font vergogne aux étoiles des Cieux.
Que l'un soit doux, l'autre soit furieux,
Que l'un de Mars, l'autre de Vénus tienne ;
Que du bénin toute espérance vienne,

Et du cruel vienne tout désespoir ;
L'un soit piteux et larmoyant à voir,
Comme celui d'Ariane laissée
Aux bords de Die, alors que l'insensée,
Près de la mer, de pleurs se consommait,
Et son Thésée en vain elle nommait ;
L'autre soit ***, comme il est bien croyable
Que l'eut jadis Pénélope louable
Quand elle vit son mari retourné,
Ayant vingt ans **** d'elle séjourné.
Après fais-lui sa rondelette oreille,
Petite, unie, entre blanche et vermeille,
Qui sous le voile apparaisse à l'égal
Que fait un lis enclos dans un cristal,
Ou tout ainsi qu'apparaît une rose
Tout fraîchement dedans un verre enclose.

Mais pour néant tu aurais fait si beau
Tout l'ornement de ton riche tableau,
Si tu n'avais de la linéature
De son beau nez bien portrait la peinture.
Peins-le-moi donc grêle, long, aquilin,
Poli, traitis, où l'envieux malin,
Quand il voudrait, n'y saurait que reprendre,
Tant proprement tu le feras descendre
Parmi la face, ainsi comme descend
Dans une plaine un petit mont qui pend.
Après au vif peins-moi sa belle joue
Pareille au teint de la rose qui noue
Dessus du lait, ou au teint blanchissant
Du lis qui baise un oeillet rougissant.
Dans le milieu portrais une fossette,
Fossette, non, mais d'Amour la cachette,
D'où ce garçon de sa petite main
Lâche cent traits, et jamais un en vain,
Que par les yeux droit au coeur il ne touche.

Hélas ! Janet, pour bien peindre sa bouche,
A peine Homère en ses vers te dirait
Quel vermillon égaler la pourrait,
Car pour la peindre ainsi qu'elle mérite,
Peindre il faudrait celle d'une Charite.
Peins-la-moi donc, qu'elle semble parler,
Ores sourire, ores embaumer l'air
De ne sais quelle ambrosienne haleine.
Mais par sur tout fais qu'elle semble pleine
De la douceur de persuasion.
Tout à l'entour attache un million
De ris, d'attraits, de jeux, de courtoisies,
Et que deux rangs de perlettes choisies
D'un ordre égal en la place des dents
Bien poliment soient arrangés dedans.
Peins tout autour une lèvre bessonne,
Qui d'elle-même, en s'élevant, semonne,
D'être baisée, ayant le teint pareil
Ou de la rose, ou du corail vermeil,
Elle flambante au Printemps sur l'épine,
Lui rougissant au fond de la marine.

Peins son menton au milieu fosselu,
Et que le bout en rondeur pommelu
Soit tout ainsi que l'on voit apparaître
Le bout d'un coin qui jà commence à croître.

Plus blanc que lait caillé dessus le jonc
Peins-lui le col, mais peins-le un petit long,
Grêle et charnu, et sa gorge douillette
Comme le col soit un petit longuette.

Après fais-lui, par un juste compas,
Et de Junon les coudes et les bras,
Et les beaux doigts de Minerve, et encore
La main pareille à celle de l'Aurore.

Je ne sais plus, mon Janet, où j'en suis,
Je suis confus et muet : je ne puis,
Comme j'ai fait, te déclarer le reste
De ses beautés, qui ne m'est manifeste.
Las ! car jamais tant de faveurs je n'eus
Que d'avoir vu ses beaux tétins à nu.
Mais si l'on peut juger par conjecture,
Persuadé de raisons, je m'assure
Que la beauté qui ne s'apparaît, doit
Du tout répondre à celle que l'on voit.
Doncque peins-la, et qu'elle me soit faite

Parfaite autant comme l'autre est parfaite.
Ainsi qu'en bosse élève-moi son sein,
Net, blanc, poli, large, profond et plein,
Dedans lequel mille rameuses veines
De rouge sang tressaillent toutes pleines.
Puis, quand au vif tu auras découvert
Dessous la peau les muscles et les nerfs,
Enfle au-dessus deux pommes nouvelettes,
Comme l'on voit deux pommes verdelettes
D'un oranger, qui encore du tout
Ne font qu'à l'heure à se rougir au bout.

Tout au plus haut des épaules marbrines,
Peins le séjour des Charites divines,
Et que l'Amour sans cesse voletant
Toujours les couve, et les aille éventant,
Pensant voler avec le Jeu son frère
De branche en branche ès vergers de Cythère.

Un peu plus bas, en miroir arrondi,
Tout poupellé, grasselet, rebondi,
Comme celui de Vénus, peins son ventre ;
Peins son nombril ainsi qu'un petit centre,
Le fond duquel paraisse plus vermeil
Qu'un bel oeillet entrouvert au Soleil.

Qu'attends-tu plus ? portrais-moi l'autre chose
Qui est si belle, et que dire je n'ose,
Et dont l'espoir impatient me point ;
Mais je te prie, ne me l'ombrage point,
Si ce n'était d'un voile fait de soie,
Clair et subtil, à fin qu'on l'entrevoie.

Ses cuisses soient comme faites au tour
A pleine chair, rondes tout à l'entour,
Ainsi qu'un Terme arrondi d'artifice
Qui soutient ferme un royal édifice.

Comme deux monts enlève ses genoux,
Douillets, charnus, ronds, délicats et mous,
Dessous lesquels fais-lui la grève pleine,
Telle que l'ont les vierges de Lacène,
Allant lutter au rivage connu
Du fleuve Eurote, ayant le corps tout nu,
Ou bien chassant à meutes découplées
Quelque grand cerf ès forêts Amyclées.
Puis, pour la fin, portrais-lui de Thétis
Les pieds étroits, et les talons petits.

Ha, je la vois ! elle est presque portraite,
Encore un trait, encore un, elle est faite !
Lève tes mains, ha mon Dieu ! je la vois !
Bien peu s'en faut qu'elle ne parle à moi.
a m a n d a Oct 2013
our pretty little baby
the little one
a blonde little
fireball
making demands
and stealing lipstick
at age 2

my beautiful
little sister
how can i describe
my love for you?

it is boundless

i am determined
that life
will be good to you
from now on

i am utterly convinced
of your brilliance
your light
your unshakeable humor
bringing me to tears

little sister
if i could give you the world
i would

but i cannot

i can only show you
my hopes and my failures
i can only hold up
a mirror for you
i can only give you
what i have to give

you are not so little
our pretty baby
but of all of us
you have the most
t i m e
you have the most
to gain from
all of our mistakes
you have the most
to gain
from all of our love

happy birthday
my crazy sister
my    s t u n n i n g l y   beautiful
artist and muse

happy birthday
sweet
ariane
Travis Green Jun 2020
Let’s pay homage to many innocent black lives that were taken by
the corrupt system:  Martin Luther King Jr.  Malcom X.  Emmett Till.  George Stinney.  Will Brown.  Sandra Bland.  Trayvon Martin.  Ahmaud Arbery.  Breonna Taylor. George Floyd.  David McAtee.  Natosha “Tony” McDade.  Yassin Mohamed.  Finan H. Berhe.  Sean Reed.  Steven Demarco Taylor.  Ariane McCree.  Terrance Franklin.  Miles Hall.  Darius Tarver.  William Green.  Samuel David Mallard.  Kwame “KK” Jones.  De’von Bailey.  Christopher Whitfield.  Anthony Hill.  Eric Logan.  Jamarion Robinson.  Gregory Hill Jr.  JaQuavion Slaton.  Ryan Twyman.  Brandon Webber.  Jimmy Atchison.  Willie McCoy.  Emantic “Ej” Fitzgerald Bradford Jr.  D’ettrick Griffin.  Jemel Roberson.  DeAndre Ballard.  Botham Shem Jean.  Robert Lawrence White.  Anthony Lamar Smith.  Ramarley Graham.  Manuel Loggins Jr.  Wendell Allen.  Kendrec McDade.  Larry Jackson Jr.  Jonathan Ferrell.  Jordan Baker.  Victor White III.  Dontre Hamilton.  Eric Garner.  John Crawford III.  Michael Brown.  Ezell Ford.  Dante Parker.  Kajieme Powell.  Laquan McDonald.  Akai Gurley.  Tamir Rice.  Rumain Brisbon.  Tony Robinson.  Mario Woods.  Quintonio LeGrier.  Gregory Gunn.  Akiel Denkins.  Alton Sterling.  Philando Castile.  Terrance Sterling.  Terrence Crutcher.  Keith Lamont Scott.  Alfred Olango.  Jordan Edwards.  Stephon Clark.  Danny Ray Thomas.  Dejuan Guillory.  Patrick Harmon.  Jonathan Hart.  Maurice Granton.  Julius Johnson.  Jamee Johnson.  Michael Dean.  Keith Childress.  Bettie Jones.  Kevin Matthews.  Michael Noel.  Leroy Browning.  Leroy Nelson.  Miguel Espinal.  Nathaniel Pickett.  Tiara Thomas.  Cornelius Brown.  Jamal Clark.  Richard Perkins.  Michael Lee Marshall.  Alonzo Smith.  Anthony Ashford.  Dominic Hutchinson.  Lamontez Jones.  Rayshaun Cole.  Paterson Brown.  Christopher Kimble.  Junior Prosper.  Keith McLeod.  Wayne Wheeler.  Lavante Biggs.  India Kager.  Tyree Crawford.  James Carney.  Felix Kumi.  Asshams Manley.  Christian Taylor.  Troy Robinson.  Brian Day.  Michael Sabbie.  Billy Ray Davis.  Samuel Dubose.  Darrius Stewart.  Albert Davis.  Salvado Ellswood.  George Mann.  Jonathan Sanders.  Freddie Blue.  Victo Larosa.  Spencer McCain.  Kevin Bajoie.  Zamiel Crawford.  Jermaine Benjamin.  Kris Jackson.  Kevin Higgenbotham.  Ross Anthony.  Richard Gregory Davis.  Curtis Jordan.  Markus Clark.  Lorenzo Hayes.  De’Angelo Stallsworth.  Dajuan Graham.  Brandon Glenn.  Reginald Moore.  Nuwnah Laroche.  Jason Champion.  Bryan Overstreet.  David Felix.  Terry Lee Chatman.  William Chapman.  Samuel Harrell.  Freddie Gray.  Norman Cooper.  Brian Acton.  Darrell Brown.  Frank Shephard III.  Walter Scott.  Donald “Dontay” Ivy.  Eric Harris.  Phillip White.  Dominick Wise.  Jason Moland.  Bobby Gross.  Denzel Brown.  Brandon Jones.  Askari Roberts.  Terrance Moxley.  Anthony Hill.  Bernard Moore.  Naeschylus Vinzant.  Tony Robinson.  Charly Leundeu “Africa” Keunang.  Darrell Gatewood.  Deontre Dorsey.  Thomas Allen Jr.  Lavall Hall.  Calvon Reid.  Gerdie Moise.  Terry Price.  Natasha McKenna.  Jeremy Lett.  Kevin Garrett.  Alvin Haynes.  Artago Damon Howard.  Tiano Meton.  Andre Larone Murphy Sr.  Leslie Sapp.  Brian Pickett.  Frank Smart.  Matthew Ajibade.

There are so many more that have died at the hands of the prejudice system.  All of you will never be forgotten.  Your legacy will forever live on.  Rest in Paradise to the fallen angels.
La main au front, le pied dans l'âtre,
Je songe et cherche à revenir,
Par delà le passé grisâtre,
Au vieux château du Souvenir.

Une gaze de brume estompe
Arbres, maisons, plaines, coteaux,
Et l'oeil au carrefour qui trompe
En vain consulte les poteaux.

J'avance parmi les décombres
De tout un monde enseveli,
Dans le mystère des pénombres,
A travers des limbes d'oubli.

Mais voici, blanche et diaphane,
La Mémoire, au bord du chemin,
Qui me remet, comme Ariane,
Son peloton de fil en main.

Désormais la route est certaine ;
Le soleil voilé reparaît,
Et du château la tour lointaine
Pointe au-dessus de la forêt.

Sous l'arcade où le jour s'émousse,
De feuilles, en feuilles tombant,
Le sentier ancien dans la mousse
Trace encor son étroit ruban.

Mais la ronce en travers s'enlace ;
La liane tend son filet,
Et la branche que je déplace
Revient et me donne un soufflet.

Enfin au bout de la clairière,
Je découvre du vieux manoir
Les tourelles en poivrière
Et les hauts toits en éteignoir.

Sur le comble aucune fumée
Rayant le ciel d'un bleu sillon ;
Pas une fenêtre allumée
D'une figure ou d'un rayon.

Les chaînes du pont sont brisées ;
Aux fossés la lentille d'eau
De ses taches vert-de-grisées
Étale le glauque rideau.

Des tortuosités de lierre
Pénètrent dans chaque refend,
Payant la tour hospitalière
Qui les soutient... en l'étouffant.

Le porche à la lune se ronge,
Le temps le sculpte à sa façon,
Et la pluie a passé l'éponge
Sur les couleurs de mon blason.

Tout ému, je pousse la porte
Qui cède et geint sur ses pivots ;
Un air froid en sort et m'apporte
Le fade parfum des caveaux.

L'ortie aux morsures aiguës,
La bardane aux larges contours,
Sous les ombelles des ciguës,
Prospèrent dans l'angle des cours.

Sur les deux chimères de marbre,
Gardiennes du perron verdi,
Se découpe l'ombre d'un arbre
Pendant mon absence grandi.

Levant leurs pattes de lionne
Elles se mettent en arrêt.
Leur regard blanc me questionne,
Mais je leur dis le mot secret.

Et je passe. - Dressant sa tête,
Le vieux chien retombe assoupi,
Et mon pas sonore inquiète
L'écho dans son coin accroupi. [...]
fifth Jun 2018
Stiff necks in soft cushions
Where 16 hours of sleep
equates to multiple contusions
Unending packets of blood transfusions
Circling deep under massive invasions
Sick of swerving swiftly
through thick vegetation
Showing normalcy amid
crazy confrontations
I spell out your name
without the vowels
devoid of imaginations
J-X-T-P-S-T-N-S
What Ariane Grande would
call side-by-side positions
I can do it all day too;
No interruptions
Only in cold Decembers
are hot showers cleansing
body parts exploding
Melting point reached
vigorously preached
incantations
Messing my mind, demonic infestations
Raj Bhandari Jul 2019
Boy, Love is really very difficult to
hide,
how do I, convey u Ariane,I can't decide !

— The End —