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irises
welcome to my dreamworld.

Poems

PEARL SMOKE Sep 2014
iN & Out Of Rehab
       iRelapse
Then Collapse
iNever
        Commited To Sober Living So Why Are People Tripping?
     Drug Programs
Are A Waste According To My Case.
        im Never  Going to Stop
 unless i O.D And Drop
But Even iN Heaven Thats iF iRise.
            With the Angel
imma Continue Tweaking Cause iM A ****** Tweaker
     Or iN Hell With Fallen Angels.
It'll Be Better,
       Since iSold My Soul To The Devil.
He Never Asked
iJust Gave iT Up.
iFell iN Love With A stimulant Drug made up Of Chemicals ****** Poison But idgaf il Keep Dosing.  
 Went From Snorting To Smoking
    Methamphetamine
iLet iT Get The Best Of Me.

Part 2
Out & iN
2014 iTs Krazie
iM Back To This Dope ****.
Its been Already 4 years and
Im still Addicted.
In & Out
Of Rehabs, Different Drug Programs and Sad That iStill
Havnt learned ****.
Got Out November 19 2014 For The 3rd Time
And im Still Twisting, Getting Lit
Ilove Living Twisted
Im on a comedown
Im irrated right now wanting to take
Another hit.
Marbre de Paros.

Un jour, au doux rêveur qui l'aime,
En train de montrer ses trésors,
Elle voulut lire un poème,
Le poème de son beau corps.

D'abord, superbe et triomphante
Elle vint en grand apparat,
Traînant avec des airs d'infante
Un flot de velours nacarat :

Telle qu'au rebord de sa loge
Elle brille aux Italiens,
Ecoutant passer son éloge
Dans les chants des musiciens.

Ensuite, en sa verve d'artiste,
Laissant tomber l'épais velours,
Dans un nuage de batiste
Elle ébaucha ses fiers contours.

Glissant de l'épaule à la hanche,
La chemise aux plis nonchalants,
Comme une tourterelle blanche
Vint s'abattre sur ses pieds blancs.

Pour Apelle ou pour Cléoméne,
Elle semblait, marbre de chair,
En Vénus Anadyomène
Poser nue au bord de la mer.

De grosses perles de Venise
Roulaient au lieu de gouttes d'eau,
Grains laiteux qu'un rayon irise,
Sur le frais satin de sa peau.

Oh ! quelles ravissantes choses,
Dans sa divine nudité,
Avec les strophes de ses poses,
Chantait cet hymne de beauté !

Comme les flots baisant le sable
Sous la lune aux tremblants rayons,
Sa grâce était intarissable
En molles ondulations.

Mais bientôt, lasse d'art antique,
De Phidias et de Vénus,
Dans une autre stance plastique
Elle groupe ses charmes nus.

Sur un tapis de Cachemire,
C'est la sultane du sérail,
Riant au miroir qui l'admire
Avec un rire de corail ;

La Géorgienne indolente,
Avec son souple narguilhé,
Etalant sa hanche opulente,
Un pied sous l'autre replié.

Et comme l'odalisque d'Ingres,
De ses reins cambrant les rondeurs,
En dépit des vertus malingres,
En dépit des maigres pudeurs !

Paresseuse odalisque, arrière !
Voici le tableau dans son jour,
Le diamant dans sa lumière ;
Voici la beauté dans l'amour !

Sa tête penche et se renverse ;
Haletante, dressant les seins,
Aux bras du rêve qui la berce,
Elle tombe sur ses coussins.

Ses paupières battent des ailes
Sur leurs globes d'argent bruni,
Et l'on voit monter ses prunelles
Dans la nacre de l'infini.

D'un linceul de point d'Angleterre
Que l'on recouvre sa beauté :
L'extase l'a prise à la terre ;
Elle est morte de volupté !

Que les violettes de Parme,
Au lieu des tristes fleurs des morts
Où chaque perle est une larme,
Pleurent en bouquets sur son corps !

Et que mollement on la pose
Sur son lit, tombeau blanc et doux,
Où le poète, à la nuit close,
Ira prier à deux genoux.
La lune blanche

Luit dans les bois ;

De chaque branche

Part une voix

Sous la ramée...


Ô bien-aimée.


L'étang reflète,

Profond miroir,

La silhouette

Du saule noir

Où le vent pleure...


Rêvons, c'est l'heure.


Un vaste et tendre

Apaisement

Semble descendre

Du firmament

Que l'astre irise...


C'est l'heure exquise.