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jonni inferno Mar 2017
waited
for your calle todaye
when it did not come
i kurst'
this cold and
krewel daye

oft played
are the games
of love and lyfe
skillfullye laide
are the snares
and traps
we playe the hunter
we are the baite
be it known to alle
we are the prey

and i
knowinge the price
of painfulle lessons learned
forsooke that knowledge
which thru livinge
alle mustte earne
and thought
to safely
lure you in
withe
mine open hearte

yes
i kurse
this bryghte and sunnye daye
shoulde not the skye
be fulle of kloudse an' fey ?

'twoulde match my moode...

.
.
Pic Poem
http://oi65.tinypic.com/dq2i48.jpg
.
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added link to the pic/poem
Stopper allsh Chub forsh shrame Good Chinwag, yah?
Arsh sieve Combatibles posh Boys bare playe
Shaye, yay Share! Bar score thore Pieces me - bah!
Mayse Lion bare thine; Yare Deer-Berry splaye
Wot cot Beagle-Risen thorse Polliwog
Spout Arms dash Legs arsh instant forsh shore Sport
Water-Rouse, rebound! Spare Skin-Sherry shogg
Staple coach-wires faye John Tom's Report
Behave, tharne! Parallipparel Shape conduct
Pour-Pore noodlesee Six-Squares shrub contesse
Mare beere yorsh Chest torso-avenue locke
Reprodpress marsh baye Bub-Peppers finesse.
Staye-upon-staye bore thoose talkitook borough
Boy-ish-Boy-font-fare-Potiphar-although.
#tomdaleytv #tomdaley1994
Cassie Stoddard Jun 2014
I cannot eat Asian food
or pork. Or rice.
I don't know why.

The other night I went to a hibachi grill with my friend and his mother and I thought that although I probably wouldn't eat anything I would be fine.
See.I thought I had gotten past the past.

I used to hold my breath when my mom picked up cashew and sweet and sour chicken. I barely breathed the whole way home. I covered up my straw so that the smell wouldn't infuse my soda pop. I state outside until I was positive that all of it was gone.

At the hibachi grill I got pasta. No rice. I had veggies.
They started out giving us salad. I could barely eat it but I was fine. I was fine.
Then they started cooking.

And in my head I heard it.
You won't leave this table until its gone. Stir fry.
My second family once made me feel so insuperior that I don't know how much worse it could get. I sat there.

He put the food on my playe and I cursed and I implored myself.
I ate one noodle.
But those voices. The flashbacks.
I am not good enough.
I cut my noodles onto more pieces than there are people in Japan.

I almost leaped from my seat. They were screaming. Why can't I just eat the ******* food.
Bathroom
Panic attack
Compose myself
Return
I'm fine but they know its a lie.

And so I am so sorry Karen.and I am so sorry everyone because I realized something that night.
I may not have your eating disorder. I don't feel fat and I don't throw up.
But that night I had an eating disorder. And I could barely stand the voices the pressure the memories the hate.
You are amazing. Every day feeling souch pain with food. You are my hero.

I forced myself to swallow one noodle but you make a choice daily to do so much more.
I think I have a price of the puzzle. I don't pretend to understand. But now I know.
Every tiny bite you take. Every time you say no to the toilet you are my hero. And when you fall. You are still my hero.
I love you
Ode XXIX.

Sans avoir lien qui m'estraigne,
Sans cordons, ceinture ny nouds,
Et sans jartiere à mes genous
Je vien dessus ceste montaigne,

Afin qu'autant soit relasché
Mon cœur d'amoureuses tortures,
Comme de nœuds et de ceintures
Mon corps est franc et détaché.

Demons, seigneurs de ceste terre,
Volez en troupe à mon secours,
Combattez pour moi les Amours :
Contre eux je ne veux plus de guerre.

Vents qui soufflez par ceste plaine,
Et vous, Seine, qui promenez
Vos flots par ces champs, emmenez
En l'Océan noyer ma peine.

Va-t'en habiter tes Cytheres,
Ton Paphos, Prince idalien :
Icy pour rompre ton lien
Je n ay besoin de tes mysteres.

Anterot, preste-moy la main,
Enfonce tes fleches diverses ;
II faut que pour moy tu renverses
Cet ennemy du genre humain.

Je te pry, grand Dieu, ne m'oublie !
Sus, page, verse à mon costé
Le sac que tu as apporté,
Pour me guarir de ma folie !

Brusle du soufre et de l'encens.
Comme en l'air je voy consommée
Leur vapeur, se puisse en fumée
Consommer le mal que je sens !

Verse-moy l'eau de ceste esguiere ;
Et comme à bas tu la respans,
Qu'ainsi coule en ceste riviere
L'amour, duquel je me répans.

Ne tourne plus ce devideau :
Comme soudain son cours s'arreste,
Ainsi la fureur de ma *****
Ne tourne plus en mon cerveau.

Laisse dans ce geniévre prendre
Un feu s'enfumant peu à peu :
Amour ! je ne veux plus de feu,
Je ne veux plus que de la cendre.

Vien viste, enlasse-moy le flanc,
Non de thym ny de marjolaine,
Mais bien d'armoise et de vervaine,
Pour mieux me rafraischir le sang.

Verse du sel en ceste place :
Comme il est infertile, ainsi
L'engeance du cruel soucy
Ne couve en mon cœur plus de race.

Romps devant moy tous ses presens,
Cheveux, gands, chifres, escriture,
Romps ses lettres et sa peinture,
Et jette les morceaux aux vens.

Vien donc, ouvre-moy ceste cage,
Et laisse vivre en libertez
Ces pauvres oiseaux arrestez,
Ainsi que j'estois en servage.

Passereaux, volez à plaisir ;
De ma cage je vous delivre,
Comme desormais je veux vivre
Au gré de mon premier desir.

Vole, ma douce tourterelle,
Le vray symbole de l'amour ;
Je ne veux plus ni nuit ni jour
Entendre ta plainte fidelle.

Pigeon, comme tout à l'entour
Ton corps emplumé je desplume,
Puissé-je, en ce feu que j allume,
Déplumer les ailes d'Amour ;

Je veux à la façon antique
Bastir un temple de cyprès,
Où d'Amour je rompray les traits
Dessus l'autel anterotique.

Vivant il ne faut plus mourir,
Il faut du cœur s'oster la playe :
Dix lustres veulent que j'essaye
Le remede de me guarir.

Adieu, Amour, adieu tes flames,
Adieu ta douceur, ta rigueur,
Et bref, adieu toutes les dames
Qui m'ont jadis bruslé le cœur.

Adieu le mont Valerien,
Montagne par Venus nommée,
Quand Francus conduit son armée
Dessus le bord Parisien.
Natalia mushara Oct 2015
Have no time fo nonsense
I don playe wit fooles
Im queene, not yo thing
Not sum chika yuo kan rule.
Amour tu sembles au phalange qui point
Lui de sa queue, et toi de ta quadrelle :
De tous deux est la pointure mortelle,
Qui rampe au coeur, et si n'aparoist point.

Sans souffrir mal tu me conduis au point
De la mort dure, et si ne voy par quelle
Playe je meurs, ny par quelle cruelle
Poison autour de mon âme se joint.

Ceux qui se font saigner le pié dans l'eau,
Meurent sans mal, pour un crime nouveau
Fait à leur roy, par traitreuse cautelle :

Je meurs comme eux, voire et si je n'ay fait
Encontre amour, ni trayson, ni forfait,
Si trop aymer un crime ne s'appelle.
Quand je pense à ce jour, où je la vey si belle
Toute flamber d'amour, d'honneur et de vertu,
Le regret, comme un trait mortellement pointu,
Me traverse le coeur d'une playe eternelle.


Alors que j'esperois la bonne grace d'elle,
L'Amour a mon espoir que la Mort combattu :
La Mort a mon espoir d'un cercueil revestu,
Dont j'esperois la paix de ma longue querelle.


Amour tu es enfant inconstant et leger.
Monde, tu es trompeur, pipeur et mensonger,
Decevant d'un chacun l'attente et le courage.


Malheureux qui se fie en l'Amour et en toy :
Tous deux comme la Mer vous n'avez point de foy,
L'un fin, l'autre parjure, et l'autre oiseau volage.
T'oseroit bien quelque poète
Nyer des vers, douce alouette ?
Quant à moy je ne l'oserois,
Je veux celebrer ton ramage
Sur tous oyseaus qui sont en cage,
Et sur tous ceus qui sont es bois.

Qu'il te fait bon ouyr ! à l'heure
Que le bouvier les champs labeure
Quand la terre le printems sent,
Qui plus de ta chanson est gaye,
Que couroussée de la playe
Du soc, qui l'estomac lui fend.

Si tost que tu es arrosée
Au point du jour, de la rosée,
Tu fais en l'air mile discours
En l'air des ailes tu fretilles,
Et pendue au ciel, tu babilles,
Et contes aus vens tes amours.

Puis du ciel tu te laisses fondre
Dans un sillon vert, soit pour pondre,
Soit pour esclorre, ou pour couver,
Soit pour aporter la bechée
A tes petis, ou d'une Achée
Ou d'une chenille, ou d'un ver.

Lors moi couché dessus l'herbette
D'une part j'oy ta chansonnette ;
De l'autre, sus du poliot,
A l'abry de quelque fougere
J'ecoute la jeune bergere
Qui degoise son lerelot.

Puis je di, tu es bien-heureuse,
Gentille Alouette amoureuse,
Qui n'as peur ny soucy de riens,
Qui jamais au coeur n'as sentie
Les dedains d'une fiere amie,
Ny le soin d'amasser des biens.

Ou si quelque souci te touche,
C'est, lors que le Soleil se couche,
De dormir, et de reveiller
De tes chansons avec l'Aurore
Et bergers et passans encore,
Pour les envoyer travailler.

Mais je vis toujours en tristesse,
Pour les fiertez d'une maistresse
Qui paye ma foi de travaus,
Et d'une plesante mensonge,
Qui jour et nuit tous-jours alonge
La longue trame de mes maus.

— The End —