au revoir, les prés, les petits morceaux de vert
pourquoi, pourquoi je me fais chier
quand je ne touche jamais ce clé?
au revoir, le souffle de l’air jamais pesé
pourquoi je fais de la peine, peiné
en brûlant le vent par les deux bouts de blé?
adieu, l’embrasse de la mer légèrement dorée
où de la tête je ne pouvais pas donner
c’est pourquoi c’est quand même pire
un peu d’amertume dans chacun de sourires
combien de temps je vais mourir
se réveillant, on ne peut pas dire…
the setting sun
goodbye, meadows, the little green shards
why do I bother, why
when I’ll never touch this key?
goodbye, the air’s breath never weighed
why do I hurt, pained
burning the wind on both ends of wheat?
farewell, embrace of the softly golden sea
where I cannot ever fold my head in need
that is why it’s even worse
the slight bitterness in each of my smiles
I can’t even say how many more times
I’ll die in the awakening curse
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