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my keyboard is broken
like me
so some leer will be missing
hoefllly yo can ndersand
i'm broken
and like my keyboard
i'm missing things which
i can be cant be wihot
if yo can ndersand this
then maybe yor broken o
becase yo ndersand my brokeness which
is more then i ca say abot alot of eole
my keyboard is broken and i do no feel like using the onscreen one.
Paul d'Aubin Oct 2016
Hourra, Hourra; élégie à notre automne chéri

Cher automne, tu es vraiment notre saison chérie,
tu portes la couleur dorée des pêches et des prunes,
avec quelques reflets des raisins de Moissac,
alors que les feuillages roux te font un tapis d’or.
Pendant que dame châtaigne crépite dans les feux.
Tu es la saison chère des amours romantiques,
et des êtres esseulés, chauffant leurs cœurs
à tes lumières tamisées, à tes tons délicats
et à tes vêtures de velours et de soie.
Automne, tu es Femme splendide qui le sait et en joue ;
de celles que dont l’on n’oublie jamais leurs chevelures rousses.
Cher automne, tu flamboies, partout où l’on te trouve,
des châtaigniers de Corse, aux eaux de la Volga.
Ta couleur préférée est le roux mordoré
avec quelques nuances de soleil flamboyant,
sans jamais oublier le marron des châtaignes.
Automne, tu es par excellence la saison d’intellectualité,
où poètes et penseurs trouvent l’inspiration,
propice à leurs créations et suscitant leurs rêves.
Tu nous tends le miroir de nos contemplations
rendant l’esprit aux vraies priorités, qui sont spirituelles.
Ton ciel devient tapisserie avant que le soir tombe,
tant soleil, nuages et lune jouent un ballet de feu.
Il reste en toi assez du bouillonnement de l’été
et des excès grandioses de la saison brûleuse,
peu à peu refroidie, par Eole qui pointe,
aux jours qui rétrécissent comme des larmes
Mais ce n’est qu’en fin d’automne que tes atours déclinent,
avec quelques journées d’une telle beauté,
que notre cœur se serre à devoir te laisser,
peu à peu t’engourdir dans ce linceul d’hiver,
d’où le printemps demain t’éveillera encor,
rêvant déjà de la venue de nouveaux beaux automnes.

Paul Arrighi
Fall Nov 2018
Tombes , more to count than to sit at ,
Marcel Joséphine , weird name ;
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Silence , eerily feeling which reminds us of it , pity that the almighty feels all of us , poor lord indeed
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Old ones with lys , kids near them , family then , playing , grieving , singing , saddening
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Vanilla , awful smell , rooting corpse in sunny Season , no milka anymore , nice Sun though
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Leaves , dancing to Eole's humming , his music of his air , freedom , do they know their treasure
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Thousand birds crying , light neighing , rain falls if not heaven's wrath , paining my earings
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Steps , slow , sorrowful , slits , so grim reaper , smile , some soul shan't seen sad but happy
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Jaa ne !

— The End —