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solenn fresnay
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solenn fresnay
pas
tout
dans
une
les
mais
juste
rien
pour
moi
vous
elle
sur
qui
bien
mes
des
mon
suis
comme
encore
tte
jamais
peux
dirai
nuit
peu
maman
avec
sais
nous
alors
veux
histoire
soir
choux
journal
faisait
cette
dire
jour
ses
demain
faire
est
bruxelles
dit
toute
temps
toi
chaque
simple
aprs
quand
puis
yeux
vie
contre
maintenant
lui
aux
trs
mme
voudrais
assez
sens
petite
personne
autre
mourir
crire
fait
matin
vais
par
femme
maison
parents
son
avait
simplement
vieille
corps
tait
sang
mal
jolie
peur
jeune
donc
conne
ton
aussi
deux
mre
trop
cerisier
cri
fais
tous
comment
odessa
dfonce
tant
mots
pourquoi
minute
tre
chez
tes
chose
gens
bon
nulle
leurs
quoi
bagneux
cet
laisse
aller
perdre
toujours
fini
mur
moins
penser
cheveux
promets
nicolas
vide
fois
sale
radiateur
tombe
sont
dis
quelques
pleurait
mort
bientt
sous
votre
visage
extrait
surtout
bout
ces
compris
crever
soirs
droits
prendre
pre
etre
totalement
cracher
fille
mains
froid
trou
semaine
quel
courir
monde
poussireux
leur
mtro
taient
justifier
bras
defoncee
dents
disparatre
travaille
vos
compte
regarder
porcherie
atterrir
musique
devais
avoir
voulu
champ
fort
venir
rve
dteste
folie
achete
vraiment
mlang
fleurs
veut
rendent
souffrance
dessus
vers
fond
souri
dserte
voix
sans
rentrera
tel
seule
propre
nant
jure
bonbon
prochain
devant
car
caf
enfant
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cours
calme
thtre
venger
frigide
blush
trois
boire
peut
enfants
vivre
pendre
porte
sentant
jours
vite
aurais
quelque
caravane
cousines
comprendre
ange
route
fracasser
bleu
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ainsi
convention
bouche
derniers
folle
aime
appuye
frapper
prs
ans
presque
vacances
jaune
cave
joue
mille
plat
drive
rouge
passe
cerise
sentait
failli
furent
voiture
cela
belles
pouvais
entrant
pisser
encombr
cou
approche
ils
rame
carrelage
cancer
dsole
parler
milieu
immense
mensonges
demand
plante
partout
raison
litres
retaper
heures
tellement
mang
voulais
premiers
respire
pente
cervelle
couleur
purulent
rose
cul
poser
cimetire
tomber
immonde
longeant
savoir
ceci
pourtant
dois
sol
toutes
celui
regard
baiser
pire
vomi
chambre
dimanche
kerouac
fermer
dieu
fermee
caillots
diable
tete
savez
gueule
gnante
ncroses
justement
expulse
fous
avalanche
retour
logement
fentre
gant
devenir
voulez
dbiles
tais
passage
histoires
ailleurs
toucher
dbordaient
voie
cinq
faudrait
tandis
ingurgit
exact
vois
morceaux
glaces
criait
ensoleille
dernire
dirait
veines
suite
respirait
frre
crnes
ville
continuait
raconter
faites
hors
entr
toile
lchaient
oublie
dehors
tartin
cargo
cochons
insistance
fleur
public
casse
peuvent
lisant
publie
mercredi
meure
foutu
kidnapper
tira
loyer
plutt
dbris
cadavre
rue
noye
vaine
transparente
avaient
paris
noys
emmerd
couloir
reste
pendant
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drle
vin
londres
manches
voyag
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noyau
pleuvoir
allait
chi
aval
assomm
propres
paroles
milliards
cachette
continuaient
salaire
finir
sortie
appel
retrousse
sortir
finie
pratiques
gauche
sauver
fracassa
lendemain
puisse
banlieue
point
kilomtres
entrailles
bassine
cailloux
dvor
perdez
station
morte
parce
litre
empche
march
cafetire
glisser
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couvrir
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gamine
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lapin
centimtres
respective
devienne
tristesse
suce
dizaine
avant
rappelle
serrant
draps
classs
suffisamment
cafard
fable
connais
passions
alle
pens
aucune
stylo
maisons
nime
nuits
ddie
vivant
eux
eut
fin
dmanger
lire
mettre
pleine
entire
endormie
descendante
fixant
laiss
banc
nombre
coucher