Submit your work, meet writers and drop the ads. Become a member
Ali Harati Mar 2023
La vie qu'on cherche,
Les larmes qu'on verse,
L'élégance de la main,
Étendue sur notre tête.

Un sentiment toujours,
Déchiré par un être,
Ou par une âme trissée,
Dont le corps reste,
désormais inerte.

On vient tout seul,
Espérant qu'un jour,
Où c'est temps de partir,
On a vu l'amour d'autre,
Ou du moins qu'on a senti,
L'amitié d'un homme,
Dont la vie est rempli,
Par l'expérimentaion.

Cependant, ils vienent
Parfois les vents haineux
Immergeant la joie,
Dans les eaux du fléau.

Ainsi ce qui demeure,
Pour ceux qui survivent,
C'est la connaissance d'avant,
Et la lourdeur des souvenirs.

Mais il faut qu'on reprenne,
La poursuit de nouveau,
Désirant l'avenir,
Où nous attend le bonheure.
This is my first poem written in french, it talks about the obsecurity of a life in search of hapiness.
La première est toute d'argent
Et son nom tremblant c'est Pâline
Sa lame un ciel d'hiver neigeant
Son destin sanglant gibeline
Vulcain mourut en la forgeant

La seconde nommée Noubosse
Est un bel arc-en-ciel joyeux
Les dieux s'en servent à leurs noces
Elle a tué trente Bé-Rieux
Et fut douée par Carabosse

La troisième bleu féminin
N'en est pas moins un chibriape
Appelé Lul de Faltenin
Et que porte sur une nappe
L'Hermès Ernest devenu nain

La quatrième Malourène
Est un fleuve vert et doré
C'est le soir quand les riveraines
Y baignent leurs corps adorés
Et des chants de rameurs s'y traînent

La cinquième Sainte-Fabeau
C'est la plus belle des quenouilles
C'est un cyprès sur un tombeau
Où les quatre vents s'agenouillent
Et chaque nuit c'est un flambeau

La sixième métal de gloire
C'est l'ami aux si douces mains
Dont chaque matin nous sépare
Adieu voilà votre chemin
Les coqs s'épuisaient en fanfares

Et la septième s'exténue
Une femme une rose morte
Merci que le dernier venu
Sur mon amour ferme la porte
Je ne vous ai jamais connue.

— The End —