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Joseph Sinclair Nov 2014
Is humanism Utopian?
You really have to think about it.
Or is it rather more dystopian?
No, then I think you’d never doubt it.
It seems that disbelief is best.

Humanism owes a debt
to thinkers of the Enlightenment,
although I haven’t paid it yet,
I think of it as my entitlement
to settle it at some behest.

I very early cleared my mind of Kant,
experiencing a vast relief,
approaching his chef d’oeuvres extant;
removing knowledge to allow belief;
the opposite of what he had expressed.

It occurred to me I ought to dig up
(or should I say instead ex-hume?)
what constitutes at least an egg-cup-
full of wisdom that I might consume
with non-platonic zest.

But wondering how on earth to do so
and thinking he might hold the key,
I fixed my sights on Jean Jacques Rousseau
and set sail for my destiny,
while trying not to feel depressed.

Voltaire’s voices loudly rang in deaf ears
as did the Persian Letters of Montesquieu
and failed to still my latent fears.
And thus I felt no need to rescue
Adam Smith (morality-obsessed).

To put Descartes before the Horse-
men of the Apocalypse
War, famine, pestilence and worse.
Who could guess it would eclipse
my thought, wherefore I was oppressed.

Or take the case of Denis Diderot
a friend of Hume and others seedier.
and one you might consider so
rash as to produce an encyclopedia
to get his knowledge off his chest.

That precious quality of truth
was Mary Ann’s# description of it.
It would not take a Sherlock sleuth
to simply thus produce a conviction of it:
an elementary request.

I cut my questing teeth on Russell.
His secular logic had a profound effect
and seemed to stir each red corpuscle
inhabiting this fervid non-sect-
arian but doubting breast.

I later turned my eye on Dawkins,
and his concern with my divine delusion.
A sceptic whose inspiring squawkings
validate my disillusion
and emphasise an ill-starred quest.

And so I felt the pointlessness of it.
Progress is the best end for a man to see
And belief simply produced less profit
for reality’s dispelling of my fantasy.
So, in the end, I acquiesced.

#Mary Ann Evans, aka George Eliot, in *Adam Bede
Hannah Jones Jul 2017
Happiness is hard.
We project onto others
subjective pleasure.
"If we only wanted to be happy, it would be easy; but we want to be happier than other people, and that is almost always difficult, since we think them happier than they are."

-Charles de Montesquieu
DAVID Oct 2015
el feroz coito interrumpido,
por esa mirada, de mujer gato,
de leona de fuego.

tu cuerpo gritaba por el
placer, escondido de tu propio
deseo.

clamas por un toque lascivo,
buscas  que te azote
tenderly.

y luego te ame en silencio.

la feroz torsión de tu
cuerpo, rozando
el mio.

la mustia y quieta llama,
se volvió fogata, en tus entrañas,
de mujer felina.

ruges por  mi mordida,
luego te dejas estar,
mirando silente.

que aquella bestia deseada,
te folle en la oscuridad,
como niña buena, que
desea peligro.

y el roce equinoccial se
vuelve placentero,

como si el dolor y la perdida,
fuernan la exquisita concecuencia,
de ser lo que eres, una leona,

una diosa que muerde el polvo,
entre la perdida y lo exquisito
en tu caída, y en tu
humanización

estando perdida hallaste el centro,
tu leona, rugiendo,
amada bestia.

perdida entre los estertores,
de tus entrañas, en fuego, y entre ese
fuego la hallaste

  tu leona,tu leoparda
    hermosa salvaje,
  serena.

davide montesquieu
Joseph Sinclair Oct 2014
Voltaire said
if god did not exist he would have to be invented.
But god does not exist,
except in my imagination.
Therefore I have invented him.

And according to Montesquieu,
if I were a triangle
my god would have three sides.

But god is of my mind
and thus . . .
god is me, and
I am god.

*quod erat demonstrandum
L'honneur permet la galanterie quand elle est unie à
L'idée de sentiments du cœur, ou à l'idée de conquête.
Montesquieu.


Mon idéal n'est pas : mon ange,
À qui l'on dit : mon ange, mange ;
Tu ne bois pas, mon ange aimé ?
Un pauvre ange faux et sans ailes
Que les plus sottes ritournelles
Ont étrangement abimé.

Mon idéal n'est pas : ma chère,
De l'amant qui fait maigre chère,
Et dit chère, du bout des dents,
Moins chère que ma chère tante,
Ou que la chaire protestante
Où gèlent les sermons prudents.

Mon idéal n'est pas : ma bonne !
Ce n'est pas la bonne personne,
Celle dont on dit, et comment !
« Elle est si bonne ! elle est si douce ! »
Et qui jamais ne vous repousse,
Madone du consentement !

Non ! mon idéal, c'est la femme
Féminine de corps et d'âme,
Et femme, femme, femme, bien,
Bien femme, femme dans les moelles,
Femme jusqu'au bout de ses voiles,
Jusqu'au bout des doigts n'étant rien.

Une petite femme haute,
Capable de punir la faute,
Et de mépriser le Pervers,
Qui ne peut souffrir que l'aimable
Dans son salon, ou dans la fable,
Aussi bien en prose qu'en vers.

Une petite femme sûre
De trouver l'âme à sa mesure
Après... un petit brin de cour,
Et le chevalier à sa taille
Avant... l'heure de la bataille,
Oui, car... c'est la guerre, l'Amour,

Je vous dis l'Amour, c'est la guerre.
En guerre donc ! tu m'as naguère
Sacré ton chevalier féal !
Je vais sortir de ma demeure !
Je vaincrai, Madame, où je meure !
Car vous êtes mon idéal !

Comme un dur baron qui se fâche
Contre le pillard ou le lâche,
Quittait le fort seigneurial,
Je saisis ma lance et mon casque
Avec le panache et... sans masque,
Car vous êtes mon idéal !

Armé de ma valeur intime,
Oui, coiffé de ma propre estime,
Je m'élance sur mon cheval :
Le temps est beau, la terre est ronde,
Je ris au nez de tout le monde !
Car vous êtes mon idéal !

La lance autant que l'âme altière,
Nous jetons à la terre entière
Le gant, certes ! le plus loyal.
Mon bon cheval ne tarde guère,
Allons ! Et vole au cri de guerre !
Tous ! Valentine est l'Idéal !

— The End —