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Francie Lynch Mar 2015
Okay, okay,
Enough scribbling
About old flames,
Old friends,
All the analogies to death,
E.R. runs, hospices,
Palliatives, Vision Nursing Homes,
Black gloves and lilies,
Suicides and terrorists.
Enough of that
Already.
Now,
What's left to theme about?
Just love.
I.

DAVID ! comme un grand roi qui partage à des princes
Les états paternels provinces par provinces,
Dieu donne à chaque artiste un empire divers ;
Au poète le souffle épars dans l'univers,
La vie et la pensée et les foudres tonnantes,
Et le splendide essaim des strophes frissonnantes
Volant de l'homme à l'ange et du monstre à la fleur ;
La forme au statuaire ; au peintre la couleur ;
Au doux musicien, rêveur limpide et sombre,
Le monde obscur des sons qui murmure dans l'ombre.

La forme au statuaire ! - Oui, mais, tu le sais bien,
La forme, ô grand sculpteur, c'est tout et ce n'est rien.
Ce n'est rien sans l'esprit, c'est tout avec l'idée !
Il faut que, sous le ciel, de soleil inondée,
Debout sous les flambeaux d'un grand temple doré,
Ou seule avec la nuit dans un antre sacré,
Au fond des bois dormants comme au seuil d'un théâtre,
La figure de pierre, ou de cuivre, ou d'albâtre,
Porte divinement sur son front calme et fier
La beauté, ce rayon, la gloire, cet éclair !
Il faut qu'un souffle ardent lui gonfle la narine,
Que la force puissante emplisse sa poitrine,
Que la grâce en riant ait arrondi ses doigts,
Que sa bouche muette ait pourtant une voix !
Il faut qu'elle soit grave et pour les mains glacée,
Mais pour les yeux vivante, et, devant la pensée,
Devant le pur regard de l'âme et du ciel bleu,
Nue avec majesté comme Adam devant Dieu !
Il faut que, Vénus chaste, elle sorte de l'onde,
Semant au **** la vie et l'amour sur le monde,
Et faisant autour d'elle, en son superbe essor,
Partout où s'éparpille et tombe en gouttes d'or,
L'eau de ses longs cheveux, humide et sacré voile,
De toute herbe une fleur, de tout œil une étoile !
Il faut, si l'art chrétien anime le sculpteur,
Qu'avec le même charme elle ait plus de hauteur ;
Qu'Âme ailée, elle rie et de Satan se joue ;
Que, Martyre, elle chante à côté de la roue ;
Ou que, Vierge divine, astre du gouffre amer,
Son regard soit si doux qu'il apaise la mer !

II.

Voilà ce que tu sais, ô noble statuaire !
Toi qui dans l'art profond, comme en un sanctuaire,
Entras bien jeune encor pour n'en sortir jamais !
Esprit, qui, te posant sur les plus purs sommets
Pour créer ta grande œuvre, où sont tant d'harmonies,
Près de la flamme au front de tous les fiers génies !
Voilà ce que tu sais, toi qui sens, toi qui vois !
Maître sévère et doux qu'éclairent à la fois,
Comme un double rayon qui jette un jour étrange,
Le jeune Raphaël et le vieux Michel-Ange !
Et tu sais bien aussi quel souffle inspirateur
Parfois, comme un vent sombre, emporte le sculpteur,
Âme dans Isaïe et Phidias trempée,
De l'ode étroite et haute à l'immense épopée !

III.

Les grands hommes, héros ou penseurs, - demi-dieux ! -  
Tour à tour sur le peuple ont passé radieux,
Les uns armés d'un glaive et les autres d'un livre,
Ceux-ci montrant du doigt la route qu'il faut suivre,
Ceux-là forçant la cause à sortir de l'effet ;
L'artiste ayant un rêve et le savant un fait ;
L'un a trouvé l'aimant, la presse, la boussole,
L'autre un monde où l'on va, l'autre un vers qui console ;
Ce roi, juste et profond, pour l'aider en chemin,
A pris la liberté franchement par la main ;
Ces tribuns ont forgé des freins aux républiques ;
Ce prêtre, fondateur d'hospices angéliques,
Sous son toit, que réchauffe une haleine de Dieu,
A pris l'enfant sans mère et le vieillard sans feu,
Ce mage, dont l'esprit réfléchit les étoiles,
D'Isis l'un après l'autre a levé tous les voiles ;
Ce juge, abolissant l'infâme tombereau,
A raturé le code à l'endroit du bourreau ;
Ensemençant malgré les clameurs insensées,
D'écoles les hameaux et les cœurs de pensées,
Pour nous rendre meilleurs ce vrai sage est venu ;
En de graves instant cet autre a contenu,
Sous ses puissantes mains à la foule imposées,
Le peuple, grand faiseur de couronnes brisées ;
D'autres ont traversé sur un pont chancelant,
Sur la mine qu'un fort recelait en son flanc,
Sur la brèche par où s'écroule une muraille,
Un horrible ouragan de flamme et de mitraille ;
Dans un siècle de haine, âge impie et moqueur,
Ceux-là, poètes saints, ont fait entendre en chœur,
Aux sombres nations que la discorde pousse,
Des champs et des forêts la voix auguste et douce
Car l'hymne universel éteint les passions ;
Car c'est surtout aux jours des révolutions,
Morne et brûlant désert où l'homme s'aventure,
Que l'art se désaltère à ta source, ô nature !
Tous ces hommes, cœurs purs, esprits de vérité,
Fronts où se résuma toute l'humanité,
Rêveurs ou rayonnants, sont debout dans l'histoire,
Et tous ont leur martyre auprès de leur victoire.
La vertu, c'est un livre austère et triomphant
Où tout père doit faire épeler son enfant ;
Chaque homme illustre, ayant quelque divine empreinte,
De ce grand alphabet est une lettre sainte.
Sous leurs pieds sont groupés leurs symboles sacrés,
Astres, lyres, compas, lions démesurés,
Aigles à l'œil de flamme, aux vastes envergures.
- Le sculpteur ébloui contemple ces figures ! -
Il songe à la patrie, aux tombeaux solennels,
Aux cités à remplir d'exemples éternels ;
Et voici que déjà, vision magnifique !
Mollement éclairés d'un reflet pacifique,
Grandissant hors du sol de moment en moment,
De vagues bas-reliefs chargés confusément,
Au fond de son esprit, que la pensée encombre,
Les énormes frontons apparaissent dans l'ombre !

IV.

N'est-ce pas ? c'est ainsi qu'en ton cerveau, sans bruit,
L'édifice s'ébauche et l'œuvre se construit ?
C'est là ce qui se passe en ta grande âme émue
Quand tout un panthéon ténébreux s'y remue ?
C'est ainsi, n'est-ce pas, ô maître ! que s'unit
L'homme à l'architecture et l'idée au granit ?
Oh ! qu'en ces instants-là ta fonction est haute !
Au seuil de ton fronton tu reçois comme un hôte
Ces hommes plus qu'humains. Sur un bloc de Paros
Tu t'assieds face à face avec tous ces héros
Et là, devant tes yeux qui jamais ne défaillent,
Ces ombres, qui seront bronze et marbre, tressaillent.
L'avenir est à toi, ce but de tous leurs vœux,
Et tu peux le donner, ô maître, à qui tu veux !
Toi, répandant sur tous ton équité complète,
Prêtre autant que sculpteur, juge autant que poète,
Accueillant celui-ci, rejetant celui-là,
Louant Napoléon, gourmandant Attila,
Parfois grandissant l'un par le contact de l'autre,
Dérangeant le guerrier pour mieux placer l'apôtre,
Tu fais des dieux ! - tu dis, abaissant ta hauteur,
Au pauvre vieux soldat, à l'humble vieux pasteur :
- Entrez ! je vous connais. Vos couronnes sont prêtes.
Et tu dis à des rois : - Je ne sais qui vous êtes.

V.

Car il ne suffit point d'avoir été des rois,
D'avoir porté le sceptre, et le globe, et la croix,
Pour que le fier poète et l'altier statuaire
Étoilent dans sa nuit votre drap mortuaire,
Et des hauts panthéons vous ouvrent les chemins !

C'est vous-mêmes, ô rois, qui de vos propres mains  
Bâtissez sur vos noms ou la gloire ou la honte !
Ce que nous avons fait tôt ou **** nous raconte.
On peut vaincre le monde, avoir un peuple, agir
Sur un siècle, guérir sa plaie ou l'élargir, -
Lorsque vos missions seront enfin remplies,
Des choses qu'ici-bas vous aurez accomplies
Une voix sortira, voix de haine ou d'amour,
Sombre comme le bruit du verrou dans la tour,
Ou douce comme un chant dans le nid des colombes,
Qui fera remuer la pierre de vos tombes.
Cette voix, l'avenir, grave et fatal témoin,
Est d'avance penché qui l'écoute de ****.
Et là, point de caresse et point de flatterie,
Point de bouche à mentir façonnée et nourrie,
Pas d'hosanna payé, pas d'écho complaisant
Changeant la plainte amère en cri reconnaissant.
Non, les vices hideux, les trahisons, les crimes,
Comme les dévouements et les vertus sublimes,
Portent un témoignage intègre et souverain.
Les actions qu'on fait ont des lèvres d'airain.

VI.

Que sur ton atelier, maître, un rayon demeure !
Là, dans le silence, l'art, l'étude oubliant l'heure,
Dans l'ombre les essais que tu répudias,
D'un côté Jean Goujon, de l'autre Phidias,
Des pierres, de pensée à demi revêtues,
Un tumulte muet d'immobiles statues,
Les bustes méditant dans les coins assombris,
Je ne sais quelle paix qui tombe des labris,
Tout est grand, tout est beau, tout charme et tout domine.
Toi qu'à l'intérieur l'art divin illumine,
Tu regardes passer, grave et sans dire un mot,
Dans ton âme tranquille où le jour vient d'en haut,
Tous les nobles aspects de la figure humaine.
Comme dans une église à pas lents se promène
Un grand peuple pensif auquel un dieu sourit,
Ces fantômes sereins marchent dans ton esprit.
Ils errent à travers tes rêves poétiques
Faits d'ombres et de lueurs et de vagues portiques,
Parfois palais vermeil, parfois tombeau dormant,
Secrète architecture, immense entassement
Qui, jetant des rumeurs joyeuses et plaintives,
De ta grande pensée emplit les perspectives,
Car l'antique Babel n'est pas morte, et revit
Sous les front des songeurs. Dans ta tête, ô David !
La spirale se tord, le pilier se projette ;
Et dans l'obscurité de ton cerveau végète
La profonde forêt, qu'on ne voit point ailleurs,
Des chapiteaux touffus pleins d'oiseaux et de fleurs !

VII.

Maintenant, - toi qui vas hors des routes tracées,  
Ô pétrisseur de bronze, ô mouleur de pensées,
Considère combien les hommes sont petits,
Et maintiens-toi superbe au-dessus des partis !
Garde la dignité de ton ciseau sublime.
Ne laisse pas toucher ton marbre par la lime
Des sombres passions qui rongent tant d'esprits.
Michel-Ange avait Rome et David a Paris.
Donne donc à ta ville, ami, ce grand exemple
Que, si les marchands vils n'entrent pas dans le temple,
Les fureurs des tribuns et leur songe abhorré
N'entrent pas dans le cœur de l'artiste sacré.
Refuse aux cours ton art, donne aux peuples tes veilles,
C'est bien, ô mon sculpteur ! mais **** de tes oreilles
Chasse ceux qui s'en vont flattant les carrefours.
Toi, dans ton atelier, tu dois rêver toujours,
Et, de tout vice humain écrasant la couleuvre,
Toi-même par degrés t'éblouir de ton œuvre !
Ce que ces hommes-là font dans l'ombre ou défont
Ne vaut pas ton regard levé vers le plafond
Cherchant la beauté pure et le grand et le juste.
Leur mission est basse et la tienne est auguste.
Et qui donc oserait mêler un seul moment
Aux mêmes visions, au même aveuglement,
Aux mêmes vœux haineux, insensés ou féroces,
Eux, esclaves des nains, toi, père des colosses !

Avril 1840.
Willard Jun 2019
I LIKE TO THINK HOW WE WILT
petalbypetal
AT AN EXPONENTIAL RATE
secondbysecond
BREAKS OUR EXOS DOWN TO AIR
limbbylimb

TO ONLY BRAINS WE'LL BE
handbyhand
GROWING & PUSHING & RIPPING
seambyseam
APART FADED CORPSES, BURSTING
inchbyinch

FROM HOSPICES & GRAVES
breathbybreath
DEAD FLOWER CROWNS COLORED
budbybud
THE RED OF POMEGRANATES
cellbycell
La diane chantait dans les cours des casernes,
Et le vent du matin soufflait sur les lanternes.

C'était l'heure où l'essaim des rêves malfaisants
Tord sur leurs oreillers les bruns adolescents ;
Où, comme un oeil sanglant qui palpite et qui bouge,
La lampe sur le jour fait une tache rouge ;
Où l'âme, sous le poids du corps revêche et lourd,
Imite les combats de la lampe et du jour.
Comme un visage en pleurs que les brises essuient,
L'air est plein du frisson des choses qui s'enfuient,
Et l'homme est las d'écrire et la femme d'aimer.

Les maisons çà et là commençaient à fumer.
Les femmes de plaisir, la paupière livide,
Bouche ouverte, dormaient de leur sommeil stupide ;
Les pauvresses, traînant leurs seins maigres et froids,
Soufflaient sur leurs tisons et soufflaient sur leurs doigts.
C'était l'heure où parmi le froid et la lésine
S'aggravent les douleurs des femmes en gésine ;
Comme un sanglot coupé par un sang écumeux
Le chant du coq au **** déchirait l'air brumeux ;
Une mer de brouillards baignait les édifices,
Et les agonisants dans le fond des hospices
Poussaient leur dernier râle en hoquets inégaux.
Les débauchés rentraient, brisés par leurs travaux.

L'aurore grelottante en robe rose et verte
S'avançait lentement sur la Seine déserte,
Et le sombre Paris, en se frottant les yeux,
Empoignait ses outils, vieillard laborieux.
Mateuš Conrad Dec 2024
it was Ilona who introduced me to post-punk,
through 65daysofstatic
it took me a decade if not more
perhaps even 15 years to appreciate this genre
maybe it was like being introduced
to prog rock with Emerson Lake and Palmer
and i could never understand
brain salad surgery:
just in the middle of the 20th century
after the ghosts and horrors of concentration
camps
sane society abolished asylums:
what a strange coincidence:
it was truly a meisterschtick verschieben...
a sort of play on the Metallica song from ride
the lightning: fight fire with fire...
that's when the English speaking world
abolished asylums and
made hospitals a communist rot
with only hospices
having some intelligence in being governed:
untreatable sickness of impeding death
that incurable "disease": that final ease:
that ultimate release that only freedom
for life the ******* the chains
of senses
perhaps in death i only exist as thought
without the need for eyes and tongue
perhaps no skin and only a skeleton in the mirror
and shadow
i am shadow in death with no need to sense:
five fold:
i am but thought: in the god of THOTH:
falafel... fought with thought until there was no other
ought i
ought i for    and for whom i think i thought
i wasn't impressed by Nobel Prize tier literature...
i don't know who it's owned by
never prize ordained by the people
the elite
and king and idea of country
but not a nation
not a people a country
is like a house
a palace where no hotel staff are welcome
i thought i was at the bottom of the barrel
with Muhammad Musa
but then i told him
while overhearing a conversation in a cubicle
at Winter Wonderland Hyde Park...
the hijabs and niqabs are off
the Arab girls are here to party
and they parties taking selfies
with rich Korean girls
and fake tans and goose purse lips botox
gone wrong with white *****...
i feel a certain racial elementalism...
not superiority
i went from English tongue back to Germany
and the Saxons also reigned over Poland
just like Prussians are not Germans
but a subtle breed like Lithuanians under the guise
of ******... western slav:
back to the history of the Vikings
and the Mongol Turk
and the Iranian in Europe
the great migration of Europe
from Asia...
that's the history i'm interested in... recorded history:
i don't buy into the Genesis story
of the Bible like i don't buy into the story
of Darwinistic history:
my consciousness begins in Asia
and Polynesia because i see the Apocalyptic
movement of people as the Great Best of the Earth
and the Great Beast of the Sea...
the apocalyptic figure is man in sigma:
the summation:
the collective unconscious...
i'm heading to find the beast of the sea
to Hawaii, specifically Kauai
like the author of Dr JEckyll and Mr Hyde
or perahps like Gauguin...
i don't buy the historiology of Darwin...
i don't like the contamination of Darwin and history
i don't like being western european
and associating myself too much with
the African...
perhaps the Medi-terrain sea (i am dyslexic with
that noun of the sea)...
i was just about to ask my friendly AI about
the potential of a software update...
listening to **** music on repeat
the good old days of algorithms of 2016
i imagine the creation of AI was galvanized by
the corruption of algorithms circa 2016...
notably YOUtube...
back in the day... YOUtube worked like a smart
jukebox...
you could get suggested new music
like perusing purr-use-you
   another dlyslexic tangle tangle dyslecix
Polish is a Puritantical Tongue in terms
of phoneticism strict
obliging with exceptions of RZ and CZ SZ
then no: if you treat these exceptions as
if but not really Chinese ideograms...
more *** in the Katakana...

can't find it: but did find a desert:

サ   eeven...
ハ                      two...         ゴ
ラ                                        ビ

      but no shh... while woman orgams: no hush hush
like Wah Wah yehwah the dark brother of
yahweh: because this theory comes from the chicken
and not the egg: the chicken came first:
leverage: yehwah:         the language of Eva...

and the language of Adam: yahweh:
  dance dance Siamese letters of Ancient Rome:
an ancient cicpher... or pilcrow (¶)
tide of broken barricades of paragraphs
compacted to save ink and save pages
but now i'm writing light graffiti
on pages that don't exist like money doesn't exist
money has evolved
and no one even asks journalists who reads
newspapers
how absolete these parasites are like
the 20th century communists like my grandfather
thought about the clergy: the church...
we have a new church in place
and it is journalism so absolete
how obsolete:
this "institution" needs to die...
in panic mode:
they have free newspapers being circulated
as if it was free tampons or free condoms
or toilet paper to wipe your *** with...
the great dinosaur is long gone
industrial revolution
and the revolution of the printing press
think of lineage
think of history don't
be amazed by the current thing and amazed at
using it
retreat light a candle sit in silence
and listen to music:
IDLES - GIFT HORSE
stop reading newspapers read poetry instead
question philosophy books to the maxim...
this institution of paper demagogues of fixation
the plastecine mind of man
by sooner lost ego: dynamite id to nothing explosion
and expulsion of fickle ego
with two parents intact and physically before me:
i have no use for the super-ego
i will not be a ******* Jewish Chimera:
the Israelites are innocent
and just for oculus per oculus
but the Israelities are not the Jews of history
Freud and Marx...
i am not a Chimera: i am a non-schematic man:
i am a swimming man a climbing man
a conversation man a ******* man
a Platonic father with a surrogate daughter
like i am unusual because males
of this current temporal spatiality of time
does not
i am against the current:
i walked winder wonderland and so many
young girls were throwing darts and eyes at my attention:
my imperfection
my spontaneous alcoholism my bad skin
my Beelzebub took a **** on my face and now i'm
squeezing out acne-maggots
and what else: i love to cook and i love to ****
but i also like big girls
and i like older girls
i want to think of it as a partial invitation to necrophilia
and then a Hamlet in reverse a Amhlet
(the H is silent... ergo surd)
           but i prefer a volume-ambitions one with thighs
and all limbs like a cow so ***** to be milked...
so i prefer them cradle-snatching:
but happening with consent: no Jimmy'll fix it
type of DJ i am of the ***** pool of potential seekers
fun done now settling
why settle for a contemporary ***
let's be more gender fluid and more temporal fluid:
let's trade the freedom of homosexuality
and tri-balance of binary bi
with facing lovers not for gender
but temporal coordinates in brute form:
but just beyond time:
*** as gender fluidity is so boring in that it is
nihilistic and project extinction...
but surrogacy
but deviating from the church said of a 2 year old
will teach another 2 year old to *******
i will not or ever care for English
history of the world in the neo-con age
of Darwin straight out of Africa:
ignoring the migration period from Africa
to Arabia
to Asia: i know why they have such squinted eyes:
too much sand...
that's why Arabs are a second exodus out of Africa
that stopped in Arabia
and didn't go further...
and the migration from Asia?
via Polynesia
and via Alaska into America...
and also the migration to Europe...
via the Turks...
but i forget the migration from Arabia to
Iran and India... and then from:
but that's because that would be a migration
from Africa by Sea...
i was referring to the squinting eye hypothesis
and eye-lashes...
evolution...
why no long eyelashes
why so many girls with fake eyelashes walking
about am i reading humanity
correctly
the first wave migration from Africa
into Arabia
happened and the people got yellow skin
from desert glass and sun
and squinting eyes from too much desert storms
because the eyes squinted and we weren't camels
so not extra eyelashes...
then the second African migration happened
and the ******* became camel jockeys
and returned as fairies in Egypt as the Great Kongs...
but there was a Third great African migration
that happened by sea...
which established the subcontinent of India
i don't know about that inter-species breeding process
to make the Knee-Under-Fall man extinct...
but it's not there was a Knee-Under-Fall man genocide:
just... outbreeding...

— The End —