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A utopian someone
is is a person I know
I would never have
been able to think up
on my own.
Victor Hugo  Jun 2017
Navarin
I.

Canaris ! Canaris ! pleure ! cent vingt vaisseaux !
Pleure ! Une flotte entière ! - Où donc, démon des eaux,
Où donc était ta main hardie ?
Se peut-il que sans toi l'ottoman succombât ?
Pleure ! comme Crillon exilé d'un combat,
Tu manquais à cet incendie !

Jusqu'ici, quand parfois la vague de tes mers
Soudain s'ensanglantait, comme un lac des enfers,
D'une lueur large et profonde,
Si quelque lourd navire éclatait à nos yeux
Couronné tout à coup d'une aigrette de feux,
Comme un volcan s'ouvrant dans l'onde ;

Si la lame roulait turbans, sabres courbés,
Voiles, tentes, croissants des mâts rompus tombés,
Vestiges de flotte et d'armée,
Pelisses de vizirs, sayons de matelots,
Rebuts stigmatisés de la flamme et des flots,
Blancs d'écume et noirs de fumée ;

Si partait de ces mers d'Egine ou d'Iolchos
Un bruit d'explosion, tonnant dans mille échos
Et roulant au **** dans l'espace,
L'Europe se tournait vers le rougo Orient ;
Et, sur la poupe assis, le nocher souriant
Disait : - C'est Canaris qui passe !

Jusqu'ici quand brûlaient au sein des flots fumants
Les capitans-pachas avec leurs armements,
Leur flotte dans l'ombre engourdie,
On te reconnaissait à ce terrible jeu ;
Ton brûlot expliquant tous ces vaisseaux en feu ;
Ta torche éclairait l'incendie !

Mais pleure aujourd'hui, pleure, on s'est battu sans toi !
Pourquoi, sans Canaris, sur ces flottes, pourquoi
Porter la guerre et ses tempêtes ?
Du Dieu qui garde Hellé n'est-il plus le bras droit ?
On aurait dû l'attendre ! Et n'est-il pas de droit
Convive de toutes ces fêtes ?

II.

Console-toi ! la Grèce est libre.
Entre les bourreaux, les mourants,
L'Europe a remis l'équilibre ;
Console-toi ! plus de tyrans !
La France combat : le sort change.
Souffre que sa main qui vous venge
Du moins te dérobe en échange
Une feuille de ton laurier.
Grèces de Byron et d'Homère,
Toi, notre sœur, toi, notre mère,
Chantez ! si votre voix amère
Ne s'est pas éteinte à crier.

Pauvre Grèce, qu'elle était belle,
Pour être couchée au tombeau !
Chaque vizir de la rebelle
S'arrachait un sacré lambeau.
Où la fable mit ses ménades,
Où l'amour eut ses sérénades,
Grondaient les sombres canonnades
Sapant les temps du vrai Dieu ;
Le ciel de cette terre aimée
N'avait, sous sa voûte embaumée,
De nuages que la fumée
De toutes ses villes en feu.

Voilà six ans qu'ils l'ont choisie !
Six ans qu'on voyait accourir
L'Afrique au secours de l'Asie
Contre un peuple instruit à mourir.
Ibrahim, que rien ne modère,
Vole de l'Isthme au Belvédère,
Comme un faucon qui n'a plus d'aire,
Comme un loup qui règne au bercail ;
Il court où le butin le tente,
Et lorsqu'il retourne à sa tente,
Chaque fois sa main dégouttante
Jette des têtes au sérail !

III.

Enfin ! - C'est Navarin, la ville aux maisons peintes,
La ville aux dômes d'or, la blanche Navarin,
Sur la colline assise entre les térébinthes,
Qui prête son beau golfe aux ardentes étreintes
De deux flottes heurtant leurs carènes d'airain.

Les voilà toutes deux ! - La mer en est chargée,
Prête à noyer leurs feux, prête à boire leur sang.
Chacune par son dieu semble au combat rangée ;
L'une s'étend en croix sur les flots allongée,
L'autre ouvre ses bras lourds et se courbe en croissant.

Ici, l'Europe : enfin ! l'Europe qu'on déchaîne,
Avec ses grands vaisseaux voguant comme des tours.
Là, l'Egypte des Turcs, cette Asie africaine,
Ces vivaces forbans, mal tués par Duquesne,
Qui mit en vain le pied sur ces nids de vautours.

IV.

Ecoutez ! - Le canon gronde.
Il est temps qu'on lui réponde.
Le patient est le fort.
Eclatent donc les bordées !
Sur ces nefs intimidées,
Frégates, jetez la mort !
Et qu'au souffle de vos bouches
Fondent ces vaisseaux farouches,
Broyés aux rochers du port !

La bataille enfin s'allume.
Tout à la fois tonne et fume.
La mort vole où nous frappons.
Là, tout brûle pêle-mêle.
Ici, court le brûlot frêle
Qui jette aux mâts ses crampons
Et, comme un chacal dévore
L'éléphant qui lutte encore,
Ronge un navire à trois ponts.

- L'abordage ! l'abordage ! -
On se suspend au cordage,
On s'élance des haubans.
La poupe heurte la proue.
La mêlée a dans sa roue
Rameurs courbés sur leurs bancs
Fantassins cherchant la terre,
L'épée et le cimeterre,
Les casques et les turbans.

La vergue aux vergues s'attache ;
La torche insulte à la hache ;
Tout s'attaque en même temps.
Sur l'abîme la mort nage.
Epouvantable carnage !
Champs de bataille flottants
Qui, battus de cent volées,
S'écroulent sous les mêlées,
Avec tous les combattants.

V.

Lutte horrible ! Ah ! quand l'homme, à l'étroit sur la terre,
Jusque sur l'Océan précipite la guerre,
Le sol tremble sous lui, tandis qu'il se débat.
La mer, la grande mer joue avec ses batailles.
Vainqueurs, vaincus, à tous elle ouvre ses entrailles.
Le naufrage éteint le combat.

Ô spectacle ! Tandis que l'Afrique grondante
Bat nos puissants vaisseaux de sa flotte imprudente,
Qu'elle épuise à leurs flancs sa rage et ses efforts,
Chacun d'eux, géant fier, sur ces hordes bruyantes,
Ouvrant à temps égaux ses gueules foudroyantes,
***** tranquillement la mort de tous ses bords.

Tout s'embrase : voyez ! l'eau de centre est semée,
Le vent aux mâts en flamme arrache la fumée,
Le feu sur les tillacs s'abat en ponts mouvants.
Déjà brûlent les nefs ; déjà, sourde et profonde,
La flamme en leurs flancs noirs ouvre un passage à l'onde ;
Déjà, sur les ailes des vents,

L'incendie, attaquant la frégate amirale,
Déroule autour des mâts sont ardente spirale,
Prend les marins hurlants dans ses brûlants réseaux,
Couronne de ses jets la poupe inabordable,
Triomphe, et jette au **** un reflet formidable
Qui tremble, élargissant ses cercles sur les eaux.

VI.

Où sont, enfants du Caire,
Ces flottes qui naguère
Emportaient à la guerre
Leurs mille matelots ?
Ces voiles, où sont-elles,
Qu'armaient les infidèles,
Et qui prêtaient leurs ailes
A l'ongle des brûlots ?

Où sont tes mille antennes,
Et tes hunes hautaines,
Et tes fiers capitaines,
Armada du sultan ?
Ta ruine commence,
Toi qui, dans ta démence,
Battais les mers, immense
Comme Léviathan !

Le capitan qui tremble
Voit éclater ensemble
Ces chébecs que rassemble
Alger ou Tetuan.
Le feu vengeur embrasse
Son vaisseau dont la masse
Soulève, quand il passe,
Le fond de l'Océan.

Sur les mers irritées,
Dérivent, démâtées,
Nefs par les nefs heurtées,
Yachts aux mille couleurs,
Galères capitanes,
Caïques et tartanes
Qui portaient aux sultanes
Des têtes et des fleurs.

Adieu, sloops intrépides,
Adieu, jonques rapides,
Qui sur les eaux limpides
Berçaient les icoglans !
Adieu la goëlette
Dont la vague reflète
Le flamboyant squelette,
Noir dans les feux sanglants !

Adieu la barcarolle
Dont l'humble banderole
Autour des vaisseaux vole,
Et qui, peureuse, fuit,
Quand du souffle des brises
Les frégates surprises,
Gonflant leurs voiles grises,
Déferlent à grand bruit !

Adieu la caravelle
Qu'une voile nouvelle
Aux yeux de **** révèle ;
Adieu le dogre ailé,
Le brick dont les amures
Rendent de sourds murmures,
Comme un amas d'armures
Par le vent ébranlé !

Adieu la brigantine,
Dont la voile latine
Du flot qui se mutine
Fend les vallons amers !
Adieu la balancelle
Qui sur l'onde chancelle,
Et, comme une étincelle,
Luit sur l'azur des mers !

Adieu lougres difformes,
Galéaces énormes,
Vaisseaux de toutes formes,
Vaisseaux de tous climats,
L'yole aux triples flammes,
Les mahonnes, les prames,
La felouque à six rames,
La polacre à deux mâts !

Chaloupe canonnières !
Et lanches marinières
Où flottaient les bannières
Du pacha souverain !
Bombardes que la houle,
Sur son front qui s'écroule,
Soulève, emporte et roule
Avec un bruit d'airain !

Adieu, ces nefs bizarres,
Caraques et gabarres,
Qui de leurs cris barbares
Troublaient Chypre et Délos !
Que sont donc devenues
Ces flottes trop connues ?
La mer les jette aux nues,
Le ciel les rend aux flots !

VII.

Silence ! Tout est fait. Tout retombe à l'abîme.
L'écume des hauts mâts a recouvert la cime.
Des vaisseaux du sultan les flots se sont joués.
Quelques-uns, bricks rompus, prames désemparées,
Comme l'algue des eaux qu'apportent les marées,
Sur la grève noircie expirent échoués.

Ah ! c'est une victoire ! - Oui, l'Afrique défaite,
Le vrai Dieu sous ses pieds foulant le faux prophète,
Les tyrans, les bourreaux criant grâce à leur tour,
Ceux qui meurent enfin sauvés par ceux qui règnent,
Hellé lavant ses flancs qui saignent,
Et six ans vengés dans un jour !

Depuis assez longtemps les peuples disaient : « Grèce !
Grèce ! Grèce ! tu meurs. Pauvre peuple en détresse,
A l'horizon en feu chaque jour tu décroîs.
En vain, pour te sauver, patrie illustre et chère,
Nous réveillons le prêtre endormi dans sa chaire,
En vain nous mendions une armée à nos rois.

« Mais les rois restent sourds, les chaires sont muettes.
Ton nom n'échauffe ici que des cœurs de poètes.
A la gloire, à la vie on demande tes droits.
A la croix grecque, Hellé, ta valeur se confie.
C'est un peuple qu'on crucifie !
Qu'importe, hélas ! sur quelle croix !

« Tes dieux s'en vont aussi. Parthénon, Propylées,
Murs de Grèce, ossements des villes mutilées,
Vous devenez une arme aux mains des mécréants.
Pour battre ses vaisseaux du haut des Dardanelles,
Chacun de vos débris, ruines solennelles,
Donne un boulet de marbre à leurs canons géants ! »

Qu'on change cette plainte en joyeuse fanfare !
Une rumeur surgit de l'Isthme jusqu'au Phare.
Regardez ce ciel noir plus beau qu'un ciel serein.
Le vieux colosse turc sur l'Orient retombe,
La Grèce est libre, et dans la tombe
Byron applaudit Navarin.

Salut donc, Albion, vieille reine des ondes !
Salut, aigle des czars qui planes sur deux mondes !
Gloire à nos fleurs de lys, dont l'éclat est si beau !
L'Angleterre aujourd'hui reconnaît sa rivale.
Navarin la lui rend. Notre gloire navale
A cet embrasement rallume son flambeau.

Je te retrouve, Autriche ! - Oui, la voilà, c'est elle !
Non pas ici, mais là, - dans la flotte infidèle.
Parmi les rangs chrétiens en vain on te cherchera.
Nous surprenons, honteuse et la tête penchée,
Ton aigle au double front cachée
Sous les crinières d'un pacha !

C'est bien ta place, Autriche ! - On te voyait naguère
Briller près d'Ibrahim, ce Tamerlan vulgaire ;
Tu dépouillais les morts qu'il foulait en passant ;
Tu l'admirais, mêlée aux eunuques serviles
Promenant au hasard sa torche dans les villes,
Horrible et n'éteignant le feu qu'avec du sang.

Tu préférais ces feux aux clartés de l'aurore.
Aujourd'hui qu'à leur tour la flamme enfin dévore
Ses noirs vaisseaux, vomis des ports égyptiens,
Rouvre les yeux, regarde, Autriche abâtardie !
Que dis-tu de cet incendie ?
Est-il aussi beau que les siens ?

Le 23 novembre 1827.
Mateuš Conrad Apr 2020
when one can simply peel off poetic-prose like...
so... like... scratching one's head...
or clipping toenails...

    now that washing your hands: perdiodically
and with: fingerprinting technology details...
well: i suggest all that soap bottled and
riddled by a diluted composite of:
mainly water and sodium chloride with
some perfumes...

              when one can simply peel off poetic-prose
like... that sort of a ripe banana...
not much good for raw eating with the chimps
making congregation over
arthur's later edward the confessors
round-table... no... no ape-politico!
not with darwin ideologues and those
neurosurgeons who would never meet up
with the horror-flick: almost a B-movie...
crank-me-up... doctor channard...

     but there's this... waking up to...
no... it's not the radio...
and not... a violent reaction...
      or panic in babylon...
   the brian jonestown massacre...
            #... #iwasnevercrazyaboutvivaldi-
                                    -violinsimitatingsparrows-
   -oranyotherbirdofspring...

well... checking the temp. my prayers have
been met... the pepsi... or cola...
whichever... i expect there came some
coca-cola contraband when gaining
the ingredients for the pepsi max...
i can't tell the difference these days...
between a coke zero or a pepsi max...
but sure as **** pepsi max came first...
so... contraband between corporations...

some mishter jamesh bon'        double-oh:
yep 00 does look like...
what isn't a double-U of a... W...

i mean... where could i get such words...
if not in a victorian work of chicken-scratches
and archeological scribbles...

they should defame Shakespeare... but not quiet...
only because... of that:
thane of Glamis! thane of Caledonia...
         but i should have met Dickens...
before having met... Charlotte Brontë...
hell: thank god i didn't meet Jane Austen...
and i can thank a monster for hooking me up
with Mary Shelley...

                but what's a Dickens with a fishing
rod... with no desire to entertain
a panorama of... 5am... river... pitch-black...
or thereby... and fingers counting fingers when
pinching a sound-bite of a wriggling rot-tooth
of a maggot...

       misnomer: or just the appropriate sounds?
mind you... what's that i heared about rhyme?
it looks well caged... zoological even...
given that i have been given assurances...
they would rhyme... those poems...
well... apart from the greek narrative epics...
or the latin... narrative mundane bouquets...
teasing at maxims and: fare-ye-well...
me... tarzan... jane... dr falstaff:    yummy garden
greens!
rhyme... well if rhyme it is...
you won't be needing a piece of paper on stage...
rhyming as a way to remember lines...
imagine being an actor...
for that "concern" a poet too...
and... no rhyme was involved...
i guess by rhyme you hear the bouncing ball...
and the suffixes are tabulated...
  when and thus: all this forgotten...
better in song when there are couplets
of sentences and they... end with -ed:

   i head!
to which... wink wink...
  my head of... a sunken ship's worth...
an anchor! sleeping cerberus ahoy!
we will surely pass!
into this belly of the most fantastic beast
that's Hades himself...
digesting shadow creamed with ash...
topped with a dash of hope: that's soul...
and hey presto! we'll have ourselves...
a feast: al fresco... although...
6-feet beneath the ground...
which is... aeons from sunlight...
     and... 6ft short of a flower's tip...
hardly gagging for the heights of an oak...
am i?

but that's quiet an affair...
everything, is, in, its, right... place...
i was thinking: amnesia and vanilla sky...
but then there's the curse of tom cruise
not winning best actor for:
born on the 4th of july...

it's a make-over...
the original movie is also an opening
quote from vanilla sky:
amphetamines on dylan
and cognac's worth of monet...
                
   open your eyes...
      again... in spanish...
abre los ojos
     abre: open...   los ojos (hush hush)...
   los: i knew it...
even the spaniards have it...
los = the...
      if the spanish have a definite article
before the eyes...
while the english have a determiner: your...
which is... by extension of the pronoun: you...
which i will use...
you(я) - chewbacca-otter round of applause!
you-i... or you-you... yoyo... W!

eh... some languages don't even
bother with a definite article or a determiner:

they just cut it down to... bypassing
grammatical shrapnel... and how can you have
gender neutral pronouns...
when the nouns themselves: are gendered?
i just heard the hyper-woke crowd
of grammatical geniuses are lying low...
worrying about spaghetti and toilet paper...
i figured: leech on!

              otwórz oczy
well... i guess the point of )open(
   is implied... that word just gobbles down
any determiner...
a verb within a verb...
to be open: ****... pronouns!
otwarty: to be open (masculine)
otwarta: to be open (feminine)...
otwartość... to be open (as a quality)...

    but i thought that we could bypass the natives
and treat english like the medieval world
treated french: lingua franca style...
i.e. the language of tourists and clown-world
intellectuals: ahem... "intellectuals"...
the lingua inglese (l'inglese)...

    open your eyes...
    could make sense if it was only an english
****** translation:
   otwórz (twoje) oczy....
but it's already an intimate statement of wants...
who's who is beside the point
when someone says: open... and eyes...
so who needs: your's to be included as my
demand for your shut eyes?

and then... the spanish definite article...
open the eyez...
abre los ojos... it might as well be german...
rhien german: not vienna prone german...
öffnen ihre! das augen!

     a translation of german, as a joke...
never tires... from spanish to english or...
the saxons on these isles really softened and turned
themselves into oysters...
mingling with the welsh the picts and the irish...
but... that's "life"...

   it's all in a pud... or a pug...
or an 'pple pi'...           or a spud...
                  or the red herring...
                        attempting to tell a joke in german...
i guess the only jokes they do tell...
are when drinking and as SS-*****-heichschtig-herr-meisters
in some concen-trato-kampisch...
  uber... uber... cosmo-ZEX... trans-...
                                               6s & 7s... of a 69'ers roulette...
the pink-bollocking ladies of the agony aunts
of the tabloid press... what's that?
oh... right! METRO-ZEXXIES! or the usuals...

joint-stock company of fish & flattery...
**** me... that's a scalping...
i wasn't expecting that to hit me...
i the bird that passes a stone to another bird...
not in a rubric of shakespeare of a cascade...
you're sort of expecting it to latch-on to you...
but not... when it's wwwwwwwwwwwinding
                                                                          o
                                                                          w              l
                                                                          n    and then
                                                                                            f
                                "ƨbɿɒwʞɔɒd" bnoγɘd bnɒ Ɉʇɘl ɘʜɈ oɈ

and then back into a paragraph of cuddling
to a pillow... unexpecting... a near-miss of genius...
****-*******? Dickens' a worth a lot
more than ****-*******...
more like catching a ****... beheading it...
plucking it... gutting it...
poaching it a while...
before even feigning to attempt to roast it!

as is waking up to: everything is in (its / the) right place...
its by definition is not: it's...
and the... well... its can be a determine of yours...
but now we have at least three languages
to juggle...
and you're still the one sending me postcard
from Dover...
when i should hear the sound of:
piedlibre / piedsrelâché dans Calais...
so no... no postcard from kevin bacon
made homeless by Bruges or Strasbourg...
because... because of the ******* architecture!

i'll watch one commentary video...
after i have sampled some Dickens...
           and that's with an intro of some sip sip...
and afterwards... it's onto the maincourse
of music... and... counting the number
of bones in my hands... the ones that wouldn't
make me a professional snooker player...

would i even care to call radiohead a group...
passe? sooner or later pink void and floyd
the barber will be... dinosaur music...
                    and at least... this electric sunrise...
of... a movie i never starred in...
but somehow borrowed... because i didn't
want to be rudely awakened by the bbc radio 1
breakfast show... but wake up to a movie-cliche...
does it matter?
      
something subtle... perhaps it should have been
the....
                         DAS BOOOOOT theme...
or         teenzeitalterRANDALIEREN of sonic youth...
diese ist nicht vesternberlinerbranddeburaegean...
schimmenschimmen... izm:siemensiemen...

i swear... either me... or the "boomer"
monty python quack and prance choke.... joke.

OBDURATE...
it's either shooting up junk or drinking and acquiring
a purse of victorian vocab wealth...
never heard of it...
              as any word... with the onslaught of slang...
"out of fashion"...
hardened...                      he had an obdurate resolve...
er war verstockt! he was stubborn...

at a time when english still clinched to:
veriloquium ex latine -
origins of truth from latin...
or at least... the meaning of words...
apart... of course... from the odd greek -suffix
or prefix- "loan" worth of scalpel...
for technicality's sake ol' chap!

                         oh things could have been...
much much worse...
i could have been the drunk and the dunce!
         lucky for me... i found... conversations...
outside of writing... a... theatre with too many...
uncertain... chess-games of...
                        origins of poker... via... physiognomy...
and... at that point...
anything by the gnostics... would suffice...
sprinkle in a little bit of kabbalah...
  hell...                        those wise wise people:
who started to know all about the misgivings
of life... the same ones...
who never held a book at a leisure...
   nor later: as a variation of their work...
that work... which offered them but one relief...
to escape boredom...
and to later find further escape...
   in being... entertained...
                             my shadow already does that
for me.
Elizabeth Bleu Jul 2014
Luna (Latine Lunae) est terrae sola naturalis satellite. [E] [F] [VIII] licet non amet naturalis satellitis in Systemate Solare est, inter satellites maioribus signis maxima quod ad magnitudinem orbes obiecti (primarium) [g] [a] et post Io satellite Jovis, qui est secundus densa inter densitates satellite cognoscuntur.

Luna est in vna *** orbem terrarum, et semper, et faciens facies, *** cis insignis, quae per tenebras inter maria volcanus editis clarus, et veteri crusta impactus crateres prominent. Est enim post solem in coelo et immutari. Quanquam autem id candidissimam, obscurus etiam superficie *** bitumen reflectance fessis tantum leviter superior. Huius temporibus perquam cyclus regularem habere in coelo, quia antiquitus in luna lingua maximus culturae opes, fastos artis fabularis. Producit vim gravitatis luna dies et tempora et levi freta. Nunc de orbita lunae distantia diameter vicibus terra in caelum facit ut fere idem sit qui apparet Solis. Nempe per id fere totum solem lunam eclipsin solis tegere. Hoc simile est de magnitudine visuali fortuitum apparens. Lunaris a terra distantiae lineae sit amet, crescens ad rate of 3,82 ± 0,07 mm per annum, id est, non tamen semper. [IX]
Di gloria il viso e la gioconda voce,
Garzon bennato, apprendi,
E quanto al femminile ozio sovrasti
La sudata virtude. Attendi attendi,
Magnanimo campion (s'alla veloce
Piena degli anni il tuo valor contrasti
La spoglia di tuo nome), attendi e il core
Movi ad alto desio. Te l'echeggiante
Arena e il circo, e te fremendo appella
Ai fatti illustri il popolar favore;
Te rigoglioso dell'età novella
Oggi la patria cara
Gli antichi esempi a rinnovar prepara.
Del barbarico sangue in Maratona
Non colorò la destra
Quei che gli atleti ignudi e il campo eleo,
Che stupido mirò l'ardua palestra,
Né la palma beata e la corona
D'emula brama il punse. E nell'Alfeo
Forse le chiome polverose e i fianchi
Delle cavalle vincitrici asterse
Tal che le greche insegne e il greco acciaro
Guidò dè Medi fuggitivi e stanchi
Nelle pallide torme; onde sonaro
Di sconsolato grido
L'alto sen dell'Eufrate e il servo lido.
Vano dirai quel che disserra e scote
Della virtù nativa
Le riposte faville? E che del fioco
Spirto vital negli egri petti avviva
Il caduco fervor? Le meste rote
Da poi che Febo instiga, altro che gioco
Son l'opre dè mortali? Ed è men vano
Della menzogna il vero? A noi di lieti
Inganni e di felici ombre soccorse
Natura stessa: e là dove l'insano
Costume ai forti errori esca non porse,
Negli ozi oscuri e nudi
Mutò la gente i gloriosi studi.
Tempo forse verrà ch'alle ruine
Delle italiche moli
Insultino gli armenti, e che l'aratro
Sentano i sette colli; e pochi Soli
Forse fien volti, e le città latine
Abiterà la cauta volpe, e l'atro
Bosco mormorerà fra le alte mura;
Se la funesta delle patrie cose
Obblivion dalle perverse menti
Non isgombrano i fati, e la matura
Clade non torce dalle abbiette genti
Il ciel fatto cortese
Dal rimembrar delle passate imprese.
Alla patria infelice, o buon garzone,
Sopravviver ti doglia.
Chiaro per lei stato saresti allora
Che del serto fulgea, di ch'ella è spoglia,
Nostra colpa e fatal. Passò stagione;
Che nullo di tal madre oggi s'onora:
Ma per te stesso al polo ergi la mente.
Nostra vita a che val? Solo a spregiarla:
Beata allor che nè perigli avvolta,
Se stessa obblia, né delle putri e lente
Ore il danno misura e il flutto ascolta;
Beata allor che il piede
Spinto al varco leteo, più grata riede.
brandon nagley Jun 2015
Je seras aligner le couloir latine de
Avec des roses blanches de choix mienne
Je auras tout Hush en silence séduisante
Dans lequel la chapelle écoute ourn bruit
( french version)

English version-

I shalt align the Latin corridor's
With white roses of mine choice
I shalt hush her in seductive silence
Wherein the chapel shalt heareth ourn angelic noise..
L'ennui de vivre avec les gens et dans les choses

Font souvent ma parole et mon regard moroses.


Mais d'avoir conscience et souci dans tel cas

Exhausse ma tristesse, ennoblit mon tracas.


Alors mon discours chante et mes yeux de sourire

Où la divine certitude s'en vient luire.


Et la divine patience met son sel

Dans mon long bon conseil d'usage universel.


Car non pas tout à fait par effet de l'âge

A mes heures je suis une façon de sage,


Presque un sage sans trop d'emphase ou d'embarras.

Répandant quelque bien et faisant des ingrats.


Or néanmoins la vie et son morne problème

Rendent parfois ma voix maussade et mon front blême.


De ces tentations je me sauve à nouveau

En des moralités juste à mon seul niveau ;


Et c'est d'un examen méthodique et sévère,

Dieu qui sondez les reins ! que je me considère.


Scrutant mes moindres torts et jusques aux derniers,

Tel un juge interroge à fond des prisonniers.


Je poursuis à ce point l'humeur de mon scrupule,

Que de gens ont parlé qui m'ont dit ridicule.


N'importe ! en ces moments est-ce d'humilité ?

Je me semble béni de quelque charité,


De quelque loyauté, pour parler en pauvre homme.

De quelque encore charité. - Folie en somme !


Nous ne sommes rien. Dieu c'est tout. Dieu nous créa,

Dieu nous sauve. Voilà ! Voici mon aléa :


Prier obstinément. Plonger dans la prière,

C'est se tremper aux flots d'une bonne rivière


C'est faire de son être un parfait instrument

Pour combattre le mal et courber l'élément.


Prier intensément. Rester dans la prière

C'est s'armer pour l'élan et s'assurer derrière.


C'est de paraître doux et ferme pour autrui

Conformément à ce qu'on se rend envers lui.


La prière nous sauve après nous faire vivre,

Elle est le gage sûr et le mot qui délivre


Elle est l'ange et la dame, elle est la grande sœur

Pleine d'amour sévère et de forte douceur.


La prière a des pieds légers comme des ailes ;

Et des ailes pour que ses pieds volent comme elles ;


La prière est sagace ; elle pense, elle voit,

Scrute, interroge, doute, examine, enfin croit.


Elle ne peut nier, étant par excellence

La crainte salutaire et l'effort en silence.


Elle est universelle et sanglante ou sourit,

Vole avec le génie et court avec l'esprit.


Elle est ésotérique ou bégaie, enfantine

Sa langue est indifféremment grecque ou latine,


Ou vulgaire, ou patoise, argotique s'il faut !

Car souvent plus elle est bas, mieux elle vaut.


Je me dis tout cela, je voudrais bien le faire,

Seigneur, donnez-moi de m'élever de terre


En l'humble vœu que seul peut former un enfant

Vers votre volonté d'après comme d'avant.


Telle action quelconque en tel temps de ma vie

Et que cette action quelconque soit suivie


D'un abandon complet en vous que formulât

Le plus simple et le plus ponctuel postulat,


Juste pour la nécessité quotidienne

En attendant, toujours sans fin, ma mort chrétienne.
Bite Schoen, Fraulein !
Jouons avec les mots rébus
Nus et sincères.
Appelons une chatte une chatte
Et une bite une bite.
Mouillons et bandons
Suçons voluptueusement nos mots tabous
Jusqu'à la moelle
Appelons cul Luc
Et bite Tobie
Lâchons-nous
Sans laisse et sans harnais
Vive la bagatelle sans filet
Quand j'avance tu recules
Comment veux-tu comment veux-tu
Que je te culbute ?
Ou tu préfères encule
Soyons salaud féminin salope
Vicieuse masculin vicieux
Jouissons de toutes nos jutes
Buvons nos vins clairet
Et nos sirops typhon
Universels et panachés
Tu préfères à la cuillère ou directement au pis du mammifère ?
Jouissons, mignonne
Cochon cochonne
Allons voir si la rose
Qui ce matin avait éclose
N'a point perdu cette vesprée
Les plis de sa verge pourprée
Baisons Baisons
Qu'un sang impur arrose nos sillons.
Tu préfères zizi, anguille, oiseau ?
Moi je me présente quand même
Je m'appelle Orphie et si tu veux
Tu peux prononcer Orphée
Et toi ma chatte de lynx, ma pie qui chante,
Tu dis utérus comme si tu voulais me dire
Que tu es musicale et que je dois
Te prendre à la hussarde de ma clé d'ut
Ou ai-je mal compris, serait-ce ma clé de huit ?
Moi j'appelle ton repaire palourde,
Conque de lambi ou hortensia,
Zmeu, car tu te transformes quand tu veux
En nuage de cerfs-volants
Et tu m'emportes avec toi tourbillonneuse
Tourbillonneuse oui car tu réinventes la syntaxe et le lexique
Tourbillonneuse, adjectif qualificatif, féminin singulier
Dans le creux profond de tes dents acérées
Quand tu me suces j'oublie tout
J'oublie que tu t'appelles Eurydice
Et je jouis en Aura dans tous ses orifices
Ne sois pas vulgaire
Ne me dis pas je t'aime
Mais dis-moi chaque fois que ça te chatouille
J'ai envie de toi.
Ou baise-moi là tout de suite
Et tout de suite ne veut pas dire vite
C'est lentement que je veux t'administrer mon vit
A petites doses
Tu préfères devant ou derrière ?
En haut ou en bas ou côte à côte ?
A propos
Tu sais que lès ça veut dire à côté
Et que ça a la même racine latine que latéral ?

Lentement disais-je
Parcourons nos bréviaires
Et chantons nos poèmes lubriques
Et cantiques tantriques

Veux-tu que je te fouette de ma langue rose
Et que j'engloutisse de mes grosses lèvres tes petites lèvres
Fais couler ta liqueur que je m'en pourlèche
Suce-moi le sein
Je veux que mon aréole change de couleur
Et que mon mamelon devienne de la taille de mon dard.
J'aime quand tu dis ça
Tu dis fais moi ça
Ou j'aime ça, tu savoures
Et même dans un simple ça va chez toi
Je sens que tu es dans tous ses états.
Tu veux que je t'apaises et en même temps
Tu ne penses qu'à brûler de plus belle.

Et chaque fois que je renais des cendres de tes caresses
Tu as tes yeux d'anthropologue qui réclament encore le tout et les parties
Et je fais mine de me plaindre
Je te dis que tu es Insatiable
Mais déjà je bande Incurable
Car il suffit que tu me regardes
Avec ces yeux de chatte lynx de ces instants-là
Pour que je batte des cils.

Tu es caniculaire en permanence
Tu es humide et généreuse quand tu chantes
Je te prends, tu me prends par la barbichette
Le premier qui jouira
Aura une sucette
Et moi je tire la chevillette et la chevillette cherra
Car je sais que tu es mon ombre et que je suis la tienne
Nous nous fondons dans nos ombres respectives dans le miroir
Et c'est dans nos ombres que nous nous faisons tous ces câlins jouissifs
C'est à travers elles que nous montrons
Nos envies et désirs d'immortalité
A travers les petites morts répétées
Les petites extases quotidiennes
Des mots quels qu'il soient qui nous lient
En de petits cailloux sur la route qui mène aux neiges du parinirvana.

Alors pour résumer notre texte

Je commence par le titre,
A toi la dédicace et à moi la préface.
Préliminaires obligatoires.
Tu m''exposes les grandes lignes de notre mémoire
Et je procède à l'introduction et au développement.
A toi la thèse à moi l'antithèse ou vice et versa.
Avant de conclure par une virgule
Je récapitule et j'écris le mot faim
Et toi tu continues sur le même rythme
Car notre histoire n'a pas de fin,
Notre histoire est Insatiable et Immortelle.
Tu es la Muse je suis le Musc
Et notre film se lit non pas en noir et blanc
Mais en yin et yang,
wordvango  Jan 2017
I give up
wordvango Jan 2017
somewhere over the rainbow- has been taken:
Quidquid latine dictum sit, altum sonatur. (Whatever is said in Latin sounds profound.) -has been said:
The bad news is time flies. The good news is you’re the pilot- has been flown:
The peace of your soul awaits you at the center of your own being.-has been meditated:
I give up. All the best words have been taken.
Si autrefois sous l'ombre de Gastine
Avons joué quelque chanson latine,
De Cassandre enamouré,
Sus, maintenant, luth doré,
Sus ; l'honneur mien, dont la voix délectable,
Sait réjouir les princes à la table,
Change de forme, et me sois
Maintenant un luth françois.

Je t'assure que tes cordes
Par moi ne seront polues
De chansons salement ordes
D'un tas d'amours dissolues ;
Je ne chanterai les princes,
Ni le soin de leurs provinces,
Ni moins la nef que prépare
Le marchant, las ! trop avare
Pour aller après ramer
Jusqu'aux plus lointaines terres,
Pêchant ne sais quelles pierres
Au bord de l'Indique mer.

Tandis qu'en l'air je soufflerai ma vie,
Sonner Phébus j'aurai toujours envie,
Et ses compagnes aussi,
Pour leur rendre un grand merci
De m'avoir fait poète de nature,
Idolâtrant la musique et peinture,
Prestre saint de leurs chansons,
Qui accordent à tes sons.

L'enfant que la douce Muse
Naissant d'œil bénin a vu,
Et de sa science infuse
Son jeune esprit a pourvu,
Toujours en sa fantaisie
Ardera de poésie
Sans prétende un autre bien ;
Encor qu'il combattit bien,
Jamais les Muses peureuses
Ne voudront le prémïer
De laurier, fut-il premier
Aux guerres victorieuses.

La poésie est un feu consumant
Par grand ardeur l'esprit de son amant,
Esprit que jamais ne laisse
En repos, tant elle presse.
Voila pourquoi le ministre des Dieux
Vit sans grands biens, d'autant qu'il aime mieux
Abonder d'inventions
Que de grandes possessions.

Mais Dieu juste, qui dispense
Tout en tous, les fait chanter
Le futur en récompense
Pour le monde épouvanter.
Ce sont les seuls interprètes
Des hauts Dieux que les poètes ;
Car aux prières qu'ils font
L'or aux Dieux criant ne sont,
Ni la richesse, qui passe ;
Mais un luth toujours parlant
L'art des Muses excellent,
Pour dessus leur rendre grâce.

Que dirons-nous de la musique sainte ?
Si quelque amante en a l'oreille atteinte,
Lente en larmes goutte à goutte
Fondra sa chère âme toute,
Tant la douceur d'une harmonie éveille
D'un cœur ardent l'amitié qui sommeille,
Au vif lui représentant
L'aimé parce qu'elle entend.

La Nature, de tout mère,
Prévoyant que notre vie
Sans plaisir serait amère,
De la musique eut envie,
Et, ses accords inventant,
Alla ses fils contentant
Par le son, qui **** nous jette
L'ennui de l'âme sujette,
Pour l'ennui même donter ;
Ce que l'émeraude fine
Ni l'or tiré de sa mine
N'ont la puissance d'ôter.

Sus, Muses, sus, célébrez-moi le nom
Du grand Appelle, immortel de renom,
Et de Zeus qui peignait
Si au vif qu'il contraignait
L'esprit ravi du pensif regardant
A s'oublier soi-même, cependant
Que l'œil humait à longs traits
La douceur de ses portraits.

C'est un céleste présent
Transmis çà-bas où nous sommes,
Qui règne encore à présent,
Pour lever en haut les hommes ;
Car, ainsi que Dieu a fait
De rien le monde parfait,
II veut qu'en petite espace
Le peintre ingénieux fasse
(Alors qu'il est agité),
Sans avoir nulle matière,
Instrument de deïté.

On dit que cil qui ranima les terres,
Vuides de gens, par le jet de ses pierres
(Origine de la rude
Et grossière multitude),
Avait aussi des diamants semé
Dont tel ouvrier fut vivement formé,
Son esprit faisant connaître
L'origine de son être.

Dieux ! de quelle oblation
Acquitter vers vous me puis-je,
Pour rémunération
Du bien reçu qui m'oblige ?
Certes, je suis glorieux
D'être ainsi ami des dieux,
Qui seuls m'ont fait recevoir
Le meilleur de leur savoir
Pour mes passions guérir,
Et d'eux, mon luth, tu attends
Vivre çà-bas en tout temps,
Non de moi, qui dois mourir.

Ô de Phébus la gloire et le trophée,
De qui jadis le Thracien Orphée
Faisait arrêter les vents
Et courir les bois suivants !
Je te salue, ô luth harmonieux,
Raclant de moi tout le soin ennuyeux,
Et de mes amours tranchantes
Les peines, lorsque tu chantes !
Mateuš Conrad Oct 2017
it must be one one of my favourite quotes,
given the thickness of the novel,
thick as a hefty loaf of bread...

      to angels - the vision of god's throne;
    to insects - sensual lust
.

and some for others: the liking toward music
playing is much more than
toward a woman moaning, subsequently snoring...

in a tight-fit straitjacket,
a women loses all the time when compared
to music:

       musica omni vincit consortium
                          sine opus femina enim


music wins all consort without a need for a woman

a                                                             "...
stressors galore...
                   when roger became the rabbit,
and the rest was the warner & co.
                  humming party imitating
atillas' yawn...
                               and the lost genghis
trip into movie...
              
    mort apparens in rufus; rufus vividae;
agricola in cataracta
;

death apparent in red, the vivid red;
closure in a waterfall.

                porcus latine auxilium.

— The End —