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Mot-dièse : pharaonne
Synonyme : reine-pharaon
Exemple: Hapshepsout
Attributs : pagne court en chendjit
Coiffe-némès
Double-couronne pschent
Collier
Barbe postiche cérémonielle
Sceptre foral
Mot-cible : pharaonne
Synonyme : maîtresse souveraine
Exemple : Maakarê
Attributs: double plume sur mortier
Robe fourreau
Croix ankh
Serpent-Uraeus
Couronne néret
Mot-balise : momie
Mot-clic : le sistre
Mot-clé : la ménat
Tous les mots du monde
Dièse cible clic clé ou balise
Tous les hashtags du monde
Entre croisillons et carrés
Ne mettront sous étiquette ni label
Qu'une infime parcelle intérimaire
De ma pharaonne titulaire.
Ses hanches généreuses s'imbriquent
Idéalement dans l'architecture des pyramides fanfaronnes
Ses courbes défient les lignes droites lubriques des pierres
Et serpentent en gazouillant
Comme des vautours tumides
Entre les grains de sable humide
Et l'oeil du cyclone solaire.
Ma pharaonne porte barbiche cérémonielle
Tous azimuts elle agite son hochet sacré
Et tous les mois sont avril pour elle
Qui ne se découvre jamais d'un fil de siècle.
Veuve numide jamais nue
Mais toujours vulve sincère à neuf têtes
Jamais postiche, jamais potiche, Jamais cruche, jamais crèche
Pharaonne de plein exercice,
Dame de haute lignée tout simplement fraîche
Et éternellement dispose
A célébrer en elle les clics et les clacs de l'immortalité.
EM Dec 2014
Il avait le regard le plus doux qu'elle n'aie jamais vu et un sourire a en mourir.. pour combien de temps celui ci va t'il durer? Ce demande -elle en le contemplant.. Elle adorait le regarder entrain d’étudier. elle trouvait un grand charme dans son côté travailleur. Les opposés s'attirent se dit elle avec un léger sourire.. Évidement ils étaient des opposés. Il était romantique, elle ne l'était pas. Il était sérieux, elle ne l'était pas du tout. Il aimait le chocolat blanc, elle le détestait. Il aimait le whisky, elle ne le supportait pas.. mais pourtant il a su la conquérir: ce qu'elle n'aimait pas admettre; elle a toujours essayer d'éviter l'amour qui, pour elle, était un synonyme de peine et misère, dieu sait que sa dernière -et d’ailleurs première- confrontation avec ce dernier n'as pas était des plus joyeuse et elle aurait préférer mourir mille fois avant de retomber dans ce tourbillon de pleurs et d'agonie amoureuse, mais pourtant maintenant plus que tout elle adorait sa présence, entendre sa respiration de bébé, son rire, ses mots doux, son tout, elle l'adorait finalement lui ,car, voyez vous, certains gens donnent valeur au choses, certains gens on devrait jamais les laisser partir, certains gens méritent tout l'amour qu'on leur donne, ils rendent les choses meilleur, ils sont tout simplement des anges, des cadeaux de dieu et lui faisait partie de ces gens ce qui fait qu'il a vite pris une place dans son cœur en dissipant ses doutes et ses peurs, prenant possession complète de celui ci et a fait de sa présence un élément indispensable chez elle, qui trouvait quelque chose de dévastateur, voir effrayant dans son absence.. tel faire face à sa plus grande peur.. un mélange de tristesse, de peur, de curiosité et en même temps un immense vide s'emparent d'elle a chaque fois qu'il s'en va..  elle ne sait pas, elle ne sait juste pas comment ce gars est devenu si important, si vital pour elle mais il l'est, peut être serait-il "le bon"? elle l’espérait anxieusement. elle avait hâte de se réveiller chaque matin a ses cotés, de passer ses jours avec lui ayant des fous rires, parlant de tout et de rien, jouant comme des gamins, construisant leurs rêves ensemble et de passer ses nuits a lui faire passionnément l'amour ou a se blottir dans ses bras en attendant que Morphée vienne l'emmener ****, **** dans un monde ou elle rêvera de lui, de ses lèvres parfaites, de sa douce barbe et  la chaleur de son enlacement. oui, elle avait hâte pour tout ça, elle avait hâte pour lui, mais quelque chose en elle, un monstre habitant les pénombres de son âme, lui disait de se méfier et de prendre ses distances avec lui, se monstre était sa raison. dans le monde fou, absurde, empirique, irrationnel, farfelue,fantaisiste, antilogique, et confus de l'amour la raison est un monstre désastreux, se trouvant alors déchirée entre son idiot de cœur et sa stricte raison elle se rappela de quelque chose qu'il lui a dit. "quand j'ai des doutes,quand des questions mal saines me tiennent, quand n'importe quel chose arrive, je ne donne a moi même qu'une seule repense, je me dit que je t'aime, et cela est toujours suffisant pour faire disparaître tout de mal, rien d'autre n'as d'importance" "je l'aime" se dit-elle alors écrasant le monstre de son jugement et en se rapprochant de lui avec un regard coquin qui en disait long sur ses intentions pour ce soir.
NC May 2019
Qui entendra mon cris du cœur, ce léger frisson dans la nuit?
Quand comprendrais-je que je n’étais qu’une bouche où il a pris appui?
Recroquevillée dans ma douleur, la musique pour remplir le vide des promesses oubliées.
Ressassant le passé, croyant y trouver la réalité qui me rendra ma vitalité.

Rien de plus qu’une chair humide et naïve,
Maintenant mes sentiments se mettent en exil.
Mon corps et mon âme s’emportant au rythme de sa vigueur.
Devenue femme au gré de mains pleines de douceur.
Des mots ravageurs pour faire mourir l’innocence.
Une nuit remplie de souvenirs à jamais synonyme de souffrance.

Une lourdeur noire écrasant ma poitrine.
La vie est bien plus belle de l’autre côté de la vitrine.
À bout de souffle à force de me battre contre mes propres pensées.
Tout en moi se met à dériver vers ce tourment de culpabilité.
Sois sincère et soucie toi de moi
Gorba Feb 2020
Cette sensation de plénitude,
Cette sensation qui je l’espère deviendra une habitude,
Tout en restant inconnue à la routine,
Qui pourrait en écorcher la saveur exquise,
Je l’ai déjà ressentie sous la brise et l’humeur florentine,
Plusieurs fois, n’est pas inéluctablement synonyme de partie remise,
Une sensation divine, cette fois s’est emparée de moi,
Une expression divine émanant d’une déesse en qui désormais je crois,
La paume de nos mains, hier, nous a révélé ses secrets,
Ce n’était rien par rapport à tes incommensurables attraits,
Je m’allongerai plus **** en imaginant la prochaine fois,
Rêve ou réalité, peu importe au final,
L’ivresse et l’allégresse, souvent s’accompagnent de ce suc royal,
Qui, ruisselant dans nos veines fait glisser les parois
De nos inhibitions qui nous enferment et nous mettent à l’étroit.
Cette sensation de plénitude que j’ai ressentie avec toi,
J’ai besoin de la revivre pour conforter cette pensée,
Cette expression si futile « jamais deux sans trois »,
Pour une fois, suscite en moi un désir que je ne saurais réprimer.
Voici en quelques mots ce que j’ai ressenti,
Ces quelques lignes pour exprimer mon avis.
Gorba Jun 2020
Quelques vers écrits à la pointe d’une plume
Et forgés par une expérience, sans l’encombrement d’une enclume
Elle survole des pensées et les ancrent à bon port
Parfois laisse une traîne formée de pixels morts
Sur un écran majoritairement considéré comme abrutissant
Dont le pullulement semble profiter essentiellement aux puissants.

Elle permet le partage de certaines émotions
De souffler un instant sur la flamme d’une éphémère ou éternelle passion
Pour créer un texte final considéré comme une œuvre d’art
Prétendument difficile à pratiquer sans un talent rare
Apprécié d’un grand nombre mais lu par très peu
Faire de ce texte une ode ne serait qu’un vœu pieux

Elle donne du relief à un paysage autrement affreusement plat
Est synonyme de beauté sans costume d’apparat
Elle permet de voyager mentalement sans épuisement psychique
Constituant une échappatoire abordable tout en étant très chic

Écrire un poème s’apparente à partir à l’aventure
Un balluchon sur l’épaule et une longue distance à parcourir
Titubant tout le long, se jetant en pâture
A une introspection qui parfois nous transforme en martyr

Je continuerai à m’adonner à cette activité autant que faire se peut
En fixant un objectif incertain et flou
Masqué par une couverture brumeuse formée d’un peu
De doute, et enfermé derrière une porte lointaine portant un verrou
Caféière rime avec cimetière

Comme doublons rime avec bourdons.

Quel rapport me direz-vous ?

Synonymie. Homonymie. Toponymie. Antonymie. Taphonomie

Je vous en fais la démonstration ?

Revenons des lustres ou des siècles en arrière

Au temps des bois-debout

Quand il n'y avait ni gaulettes ni squelettes

Ni café rat, ni robusta,

Ni machette, ni croix

Mais seulement des trous de crabe,

Des conques et des mordants épars

Jonchés au gré du hasard des vagues et des cyclones.

Revenons aux origines où bonifieur n'était même pas un mot

Way before Gabriel was a thought

Même pas une pensée en parche

Et qu'ainsi caféière n'étant rien

Elle pouvait aussi bien être synonyme, antonyme

Toponyme et antonyme de cimetière

qui lui aussi n'évoquait

ni café ni mandibule,

ni cerise ni tibia,

ni humérus ni libéria,

ni robusta ni radius

ni torréfaction ni putréfaction

ni arabica ni mort...

Dans les pépinières carrées de la mort

Caféière et cimetière se donnaient la main

On murmure même qu'ils étaient amants !

L'un bonifiait l'autre

Pour le meilleur et pour le pire

Tandis que la houe du soleil ne torréfiait pas encore

Dans un cycle immuable leurs terres consacrées,

Sarclées par le temps,

Binées par le vent,

Creusées par les laves,

Repiquées par les cendres,

Paillées par les eaux,

Egourmandées par les croix,

Cueillies par les armes

Trempées par les bénitiers,

Frottées ,

Lavées,

Essorées,

Séchées,

Bonifiées,

Taillées,

Traitées
­
Etait aussi invisible que la galerie creusée dans les ravines

en ce temps-là l'idée même d'une caféière désaffectée semblait incongrue.
NGANGO HONORÉ Nov 2021
Que dirai-je encore sur elle ?
Elle est un cadeau de Dieu pour l'humanité

En vérité, auprès d'elle, la vie se sent équilibrée.
Elles ont le même langage.

Elle se veut être la maîtresse du bonheur dans les communautés.
Ne dites pas que pars que là, elle se prend la tête. 
Ok, admettons que vous avez raison :
Débattez donc sur cela et essayez d'avoir un échange cordial dans le bon ordre sans respecter ses principes.

Comme je le ressasse dernièrement,
Les hommes sont têtus.
Ils veulent bouder les règles qui existent bien avant l'existence de leurs aïeux.
Ceci en se basant sur ce qu'ils ont appris

Se servir d'elle est synonyme de faiblesse,  disent-ils et bien d'autres sornettes du genre.

Il faut rappeler à l'humanité que tout ce qu'ils connaissent, la diversité et ses sœurs les leur ont apprissent. 
Et pour ce qu'ils ne connaissent pas, ils ont séché les cours.
Enjoy 😉

— The End —