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Perros contra la luna, lejanísimos,
llevan hasta los ámbitos
más próximos la inquietud de la noche
rumorosa. Claros
sonidos, antes inaudibles,
se perciben ahora. Ecos vagos,
jirones de palabras, goznes
agrios,
desasosiegan el recinto en sombra.

Apenas sin espacio,
el silencio, el inasible
silencio, cercado
por los ruidos, se aprieta
en torno de tus piernas y tus brazos,
asciende levemente a tu cabeza,
y cae por tus cabellos destrenzados.

Es la noche y el sueño: no te inquietes.
El silencio ha crecido como un árbol.
Louve Sep 2019
L’impression de cueillir une fleur avant qu’elle n’ait éclos,
Un cadavre en guise d’ombre.
Une douleur sombre,
Indéfinissable,
Presque indiscernable.

L’impression d’avoir tué l’éveil d’un souffle,
Pendant que mon cœur se camoufle.
La folie d’y avoir cru anéantie dans un soupir,
Et puis ce doute, le risque de fléchir.

Pardonne moi de ne te donner que des signaux codés,
Chez les autres si simple ça paraissait.
J’y ai cru,
Je l’ai même voulu,
Et je me suis perdue.

L’impression d’avoir arraché une toile à un maître,
L’œuvre est inachevée,
L’arc en ciel côtoyant le vide.
Et tes larmes invisibles, inaudibles,
En bande son.
It always feels wrong to love but leave

— The End —