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MAI BAHV SUCHI UN BHAVO KI
JO BIKE SADDA HI BIN TOLE
TANHAI HU HAR US KHAT KI  JO
JO PADHA GYA HAI BIN KHOLE

HAR AANSU KO HAR PATTHAR TAK
PAHUNCHANE KI LACHAR HUK
MAI SAHAJ ARTH  UN SABDO KA
JO SUNE GYE HAI BIN BOLE

JO KABI NAHI BARSA KHUL KAR
HAR US BADA L KA PANI HU
LAV-KUSH KI TEER BINA GAYE
SITA KIA RAM KAHANI HU

MAI BHAV SUCHI UN BHAVO KI.
............

KI JINKE SAPNO KE TAJ MAHAL
BAN NE  SE PAHLE TUT GAYE
JI HAATHO ME DO HAATH KABHI
AANE  SE PAHLE CHUT GYE
DHARTI  PAR JINKE KHONE AUR
PAANE KI AJAB KAHANI HAI
KISHMAT KI DEVI MAAN GYE
PAR PRANAY DEVETA RUTH GYE

MAI MAILI CHADAR WALE US
KABIRA KI AMRIT VANI HU
LAV-KUSH KI TEER BINA GAYE
SITA KKI RAM KAHANI HU

KUCH KAHTE HAI MAI SEEKHA HU
APNE JAKHMO KO KHUDSEE KAR
KUCH JAAN GYE MAI HASHTA HU
BHEETAR BHEETAR ANSU PEEKAR

KUCH KAHTE HAI MAI HU VIRODH SE
UPJI EK KHUDAAR VIJAY
KUCH KAHTE HAI  MAI MARTA HU
KHUD ME JEEKAR  KHUD ME MARKAR
LEKIN MAI HAR CHATURI KI
SOCHI SAMJHI NADANI HU
LAV-KUSH KI TEER  BINA GAYE
SITA KI RAM KAHANI HU...

WRITTEN BY   ::::::  SHASHANK KUMAR DWIVEDI
Mai bhav suchi un bhavo ki
jo bike sada hi bin tole
Tanhai hu har us khat ki
jo padha gya h bin khole..

Har aanshu ko har patthar tak
pahuchane ki laachar huk
Mai sahaj arth un sabdo ka
jo sune gye h bin bole..

Jo kabhi nahi barsha khul kar
har uss badal ka paani hu
Lav-Kush ki teer bina gaye
Sita ki Ram kahani hu..

Ki jinke sapno ke Taj -Mahal
ban ne se pahle tut gaye
Jin haatho me do haath kabhi
aane se pahle chut gaye
Dharti par jinke khone aur
paane ki ajab kahani h
Kishmat ki devi maan gye
par pranay devta ruth gaye..

Mai maili chadar wale uss
Kabira ki amrit vaani hu
Lav-Kush ki teer bina gaye
Sita ki raam kahani hu..

Kuch kahte hai mai sikha hu
apne jakhmo ko khud see kar
Kuch jaan gaye mai hashta hu
bhitar bhitar aanshu peekar..

Kuch kahte hai mai virodh se
uppji ek khuddar vijay
Kuch kahte hai mai marta hu
khud me jeekar khud me markar..

Leekin mai har chaturai ki
sochi samjhi  naadani hu
Lav-Kush ki teer bina gaye
Sita ki Ram kahani hu
Copyright© Shashank K Dwivedi
email-shashankdwivedi.edu@gmail.com
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solenn fresnay Mar 2012
A Odessa je suis morte un matin d’octobre
Si je devais revivre je voudrais être psychopathe et brûler des maisons
Non, surtout pas ça
C’est effroyable de savoir écrire, même juste un peu.

                                                               ­               …/…

Marcher
Errer
Déambuler
Fermer les yeux
Ne plus penser
Mourir demain
Il faudrait que je meure demain
Mais vraiment, je veux dire
Me pendre au cerisier
M'étouffer avec le noyau d'une cerise
N'importe quoi
Trouver un truc
Mais mourir demain
Pour justifier ma raison d’être
Simplement poser mon stylo
Sur cette jolie place ensoleillée je vous ai regardé
Vous lisiez les yeux fermés

ALORS CHUT !

Pour justifier ma raison d’écrire
Simplement m’envoler
Ne plus avoir à me justifier
Etre juste un peu plus simple
Partir
Continuer l’errance à Odessa
Devenir transparente
La peau sur les os
Rêver
Pourquoi elle
Pourquoi moi

Dans le fond
Je ne suis pas bien différente de vous
Je n'avais rien à écrire
Je n'ai rien à te dire
De ma vie tu ne sais rien
Et si je dois mourir demain
Tu découvriras alors peut-être
Je dis bien peut-être

Et si tu lis ces lignes demain
Tu comprendras alors peut-être
Je dis bien peut-être

A Odessa cet après-midi
Je n'ai fait que vous regarder
Peut-être aurais-je dû m'y poser

Je travaille pour survivre
Je vis pour écrire
J’écris comme je respire
Le souffle coupé
Je tombe.
Puisque je dois mourir demain
Juste fermer les yeux
M’éclater la tête contre le radiateur

A Odessa cet après-midi
Je n'ai fait que vous regarder
Un jeu dangereux qui se joue uniquement à la première personne.

A Odessa cet après-midi
Nous avions rendez-vous
Tu n'aurais jamais dû venir, maman.
Volez, nobles coursiers, franchissez la distance !
Pour le prix disputé, luttez avec constance !
Sous un soleil de feu, le sol est éclatant ;
Pour vous voir aujourd'hui, tout est bruit et lumière ;
Ainsi qu'un flot d'encens, la légère poussière,
Devant vos pas, s'envole au but qui vous attend.
Que l'air rapide et vif, soulevant vos poitrines,
S'échappe palpitant de vos larges narines !
Laissez sous l'éperon votre flanc s'entr'ouvrir...
Volez, nobles coursiers, dussiez-vous en mourir !

Au milieu des bravos, votre course s'achève ;
Le silence revient - puis, je pense et je rêve...
Notre vie est l'arène où se hâtent nos pas ;
Nous volons vers le but que l'on ne connaît pas.
Fatigués, épuisés, prêts à tomber, qu'importe !
Nous marchons à grands pas, le torrent nous emporte.
Oubliant le passé, repoussant le présent,
Nos regards inquiets se portent en avant ;
Rien n'est beau que plus ****... et notre flanc palpite,
Sous l'éperon caché qui nous dit : « Marche vite ! »
Nous marchons. - Quelquefois, à travers les déserts,
Une oasis répand ses parfums dans les airs,
Un doux chant retentit sur le bord de la route :

L'oasis, on la fuit ; le chant, nul ne l'écoute.
Sans garder du chemin regret ou souvenir,
D'un avide regard, on cherche l'avenir ;
L'avenir, c'est le but ! l'avenir, c'est la vie !
Bientôt, à notre gré, la distance est franchie ;
Haletants de la course, épuisés de l'effort,
Nous touchons l'avenir... L'avenir, c'est la mort !

Qu'ai-je dit ? - Ô mon Dieu ! toi qui m'entends, pardonne !...
L'avenir, c'est le ciel, où ton soleil rayonne
Sans que la nuit succède à l'éclat d'un beau jour,
Sans que l'oubli succède aux paroles d'amour !
L'avenir, c'est le ciel où s'arrête l'orage !
C'est le port qui reçoit les débris du naufrage ;
C'est la fin des regrets ; c'est l'éternel printemps ;
C'est l'ange dont la voix a de divins accents.
L'avenir, ô mon Dieu ! c'est la sainte auréole
Que pose sur nos fronts ta main qui nous console.
Oui, marchons ! et vers toi levant souvent les yeux,
Avançons vers le but que nous montrent les cieux.

Chut ! voici le signal, franchissez la distance.
Volez, nobles coursiers, luttez avec constance !
Sous un soleil de feu, le sol est éclatant ;
Pour vous voir aujourd'hui, tout est bruit et lumière ;
Ainsi qu'un flot d'encens, la légère poussière,
Devant vos pas, s'envole au but qui vous attend.
Que l'air rapide et vif, soulevant vos poitrines,
S'échappe palpitant de vos larges narines !
Laissez sous l'éperon votre flanc s'entr'ouvrir...
Volez, nobles coursiers, dussiez-vous en mourir !
Anonymous  Jul 2018
Bachpan
Anonymous Jul 2018
Kal ki hi to baat h
Jab mai maa ka hath pakde
School ki or jata tha.

Ha kal ki hi to baat hai,
Jab mai baadlo par sawaar
Sapno ki dunia me
Dur kahi udd jaya krta tha.

Ha ye wahi daur tha,
Jab pariyo ki dunia ka apna wajood hua karta tha.

Syd sapno ko pakdne chah me
Ye sab kahi peeche chut gaya
Ha mai bachpan ki mayanagri se nikal
Is bheed me aa gya.
DrAbhijit G  Nov 2021
Khushi
DrAbhijit G Nov 2021
Khushi ..

Kisi Kavita ke Chhand me nhi milti  ..
Nahi kisi Galib ki sher me ..
Jane Anjane me,
Kahi chut jati hai piche .
Fir mil jati hai ,
Dil se kiyi hue kisi chiz me .
Jaise ek patti chupayi ** sadiyo tak,
kisi kakaj ke bichme  ..!
Hindi #Khushi #
Mateuš Conrad Mar 2022
because i have nothing original to write about,
2 hours worth of cycling...
harmoniously angered with
slouchy, Asian stereotypical handling of
car, traffic...
******* idiots... you can seriously racially profile
traffic... zombie traffic-cone malaise...
sort of like: blinking without: blinking...
never mind the Chelsea smile... more like...
cut the eye-lids off... start crying from the pain
of not being able to blink... or sleep...
ignorant ninja *****...

today? did all the house required...
i'm going to Poland for 4 days...
i'm thinking about Ukraine...
   4 days... the winds might pick up...
there's nothing for me, here, in: zee vest...
LGBTQ+ right?! the ****
perhaps Ukraine is the closest to my heart...
i don't want to die a slow death
of sorts... get me into the action...
my heart is in it... depends whether my wallet is
too...

only today i cycled again... a fat ******* tire...
*******! the irony of the gods!
i walked back, passed a field with half a hozen
horses... no apple... no sugar cube...
just my hand... extended... tried to whistle:
chuck-chuck chuckle... cheese... ch' ch'...
chut chut: no no chatter... pet the **** thing...
o.k. success...
what does the little ****** do?
grins at me with those horse-teeth...
and... starts to nibble at my hand...
now... don't get me wrong... a dog licks the wounds
on your hands... a cat bites you folding
around your arm like a xenomorph...
but... when a horse starts biting your hands?
almost, somewhat... grinning?
showing off his big *** teeth?

              there's no future for me, here...
not when the women are... not women...
if i conscripted into the Ukrainian army... even if i were
a cook... that's the thing...
men can do all the things that women do...
i could be a catch-22 Major Major...
a cook, of sorts... a man can do a woman's role...
i'm desperately searching...
maybe ******* to Kamchatka Peninsula...
for some... repose...
                    i don't feel like ever having to die for
queer rights... this is almost a blessing...
this is not some proxy war...
some tertiary conflict in Afghanistan...
this is right up my doorstep...
   perhaps it's not authentic but neither was Vietnam...
Khedra keeps on sending me
selfies... i even managed to store some
on my facebook- page...
citing: well... at least this Turkish *******
let me sing aloud: Bruce Srpingsteen's Human Touch...
i loved her like i wanted to love her...
i touched her disinhibited...
loved... well... ****** her...
      same ****... different cover...
              but you know when it feels more than right...
like... walking into a shower where
the water is more than "just about right"...
the water feels like someone is... ahem...
"licking" you?
    you know that feeling...

o.k., now i'm sort of "suspicious"... for all the youtube
supposed censorship...
huh... hmm... no, not enough guise to put up a <?!>
barricade...
i get a suggestion...
      Volfodemo - Light Me Up...
hello, *****...
      casually... someome is watching me...
it feels...
             i would sooner get an advert suggestion
about some silly brand... before i'd get
a song choice... it's rather pretty...
i'm just to put a photograph of the ******* i'm
*******... sue me...
i'm thinking about going to war
in Ukraine... because? a horse bit me...
with this massive grin... for ****'s sake...
a man might tell another man that
his beard is ****... but women? these days?
they have his inhibitors in place...
they're such petrified creatures...
they're worse than does!

          touch them! squeamish! scream!
don't touch them! squeamish! scream!
**** it...
           feed your hands to dogs: for them to lick
your wounds... to cats to allow them to curl into
a xenomorph pose... for the thrills of...
then go to the horses... let them bite your hand
for a snapshot of their grin...
of perfectly allocated teeth: to a grin...

oh, i very much like the song suggestion...
who's watching me...
the type... akin to: TAYLOR (Asia Kate Dillon)
i don't mind... playing furrow / the violin fiddling
with my beard... i really don't...
it's the ideal way to pass time...

       but... we're talking about a song suggestion...
and it's not a popular song...
ergo? some is playing a game of voyeurism with
me... don't worry... the cat is safely snuggled in
my bed... in which i will find clouds in
to better attempt to: oh right...
dream update... i actually dreamed the other day...
i dreamed of looking at myself...
giggling... with a fluffy... bushy... grey... beard...
weird as ****... was i dreaming of a mirror?

or.... yeah... that... or...
what's the alternative on the table?
"everyone" is getting censored while i'm getting...
music suggestions? and... esp. this one...
VOLFODEMO - LIGHT ME UP...
    it's... rather decent...

look at her: couldn't paint
a prettier picture, even if i could...
https://www.facebook.com/photo/?fbid=10103683957911221&set=a.10101156241100971
Victor Hugo  Jun 2017
Meudon
Pourquoi pas montés sur des ânes ?
Pourquoi pas au bois de Meudon ?
Les sévères sont les profanes ;
Ici tout est joie et pardon.

Rien n'est tel que cette ombre verte,
Et que ce calme un peu moqueur,
Pour aller à la découverte
Tout au fond de son propre coeur.

On chante. L'été nous procure
Un bois pour nous perdre. Ô buissons !
L'amour met dans la mousse obscure
La fin de toutes les chansons.

Paris foule ces violettes ;
Breda, terre où Ninon déchut,
Y répand ces vives toilettes
À qui l'on dirait presque : Chut !

Prenez garde à ce lieu fantasque !
Ève à Meudon achèvera
Le rire ébauché sous le masque
Avec le diable à l'Opéra.

Le démon dans ces bois repose ;
Non le grand vieux Satan fourchu ;
Mais ce petit Belzébuth rose
Qu'Agnès cache dans son fichu.

On entre plein de chaste flamme,
L'oeil au ciel, le coeur dilaté ;
On est ici conduit par l'âme,
Mais par le faune on est guetté.

La source, c'est la nymphe nue ;
L'ombre au doigt vous passe un anneau ;
Et le liseron insinue
Ce que conseille le moineau.

Tout chante ; et pas de fausses notes.
L'hymne est tendre ; et l'esprit de corps
Des fauvettes et des linottes
Éclate en ces profonds accords.

Ici l'aveu que l'âme couve
Échappe aux coeurs les plus discrets ;
La clef des champs qu'à terre on trouve
Ouvre le tiroir aux secrets.

Ici l'on sent, dans l'harmonie,
Tout ce que le grand Pan caché
Peut mêler de vague ironie
Au bois sombre où rêve Psyché.

Les belles deviennent jolies ;
Les cupidons viennent et vont ;
Les roses disent des folies
Et les chardonnerets en font.

La vaste genèse est tournée
Vers son but : renaître à jamais.
Tout vibre ; on sent de l'hyménée
Et de l'amour sur les sommets.

Tout veut que tout vive et revive,
Et que les coeurs et que les nids,
L'aube et l'azur, l'onde et la rive,
Et l'âme et Dieu, soient infinis.

Il faut aimer. Et sous l'yeuse,
On sent, dans les beaux soirs d'été,
La profondeur mystérieuse
De cette immense volonté.

Cachant son feu sous sa main rose,  
La vestale ici n'entendrait
Que le sarcasme grandiose
De l'aurore et de la forêt.

Le printemps est une revanche.
Ce bois sait à quel point les thyms,
Les joncs, les saules, la pervenche,
Et l'églantier, sont libertins.

La branche cède, l'herbe plie ;
L'oiseau rit du prix Montyon ;
Toute la nature est remplie
De rappels à la question.

Le hallier sauvage est bien aise
Sous l'oeil serein de Jéhovah,
Quand un papillon déniaise
Une violette, et s'en va.

Je me souviens qu'en mon bas âge,
Ayant à peine dix-sept ans,
Ma candeur un jour fit usage
De tous ces vieux rameaux flottants.

J'employai, rôdant avec celle
Qu'admiraient mes regards heureux,
Toute cette ombre où l'on chancelle,
À me rendre plus amoureux.

Nous fîmes des canapés d'herbes ;
Nous nous grisâmes de lilas ;
Nous palpitions, joyeux, superbes,
Éblouis, innocents, hélas !

Penchés sur tout, nous respirâmes
L'arbre, le pré, la fleur, Vénus ;
Ivres, nous remplissions nos âmes
De tous les souffles inconnus.

Nos baisers devenaient étranges,
De sorte que, sous ces berceaux,
Après avoir été deux anges,
Nous n'étions plus que deux oiseaux.

C'était l'heure où le nid se couche,
Où dans le soir tout se confond ;
Une grande lune farouche
Rougissait dans le bois profond.

L'enfant, douce comme une fête,
Qui m'avait en chantant suivi,
Commençait, pâle et stupéfaite,
À trembler de mon oeil ravi ;

Son sein soulevait la dentelle...
Homère ! ô brouillard de l'Ida :
- Marions-nous ! s'écria-t-elle,
Et la belle fille gronda :

- Cherche un prêtre, et sans plus attendre,
Qu'il nous marie avec deux mots.
Puis elle reprit, sans entendre
Le chuchotement des rameaux,

Sans remarquer dans ce mystère
Le profil des buissons railleurs :
- Mais où donc est le presbytère ?
Quel est le prêtre de ces fleurs ?

Un vieux chêne était là ; sa tige
Eût orné le seuil d'un palais.
- Le curé de Meudon ? Lui dis-je.
L'arbre me dit : - C'est Rabelais.
L'humble chambre a l'air de sourire ;
Un bouquet orne un vieux bahut ;
Cet intérieur ferait dire
Aux prêtres : Paix ! aux femmes : Chut !

Au fond une alcôve se creuse.
Personne. On n'entre ni ne sort.
Surveillance mystérieuse !
L'aube regarde : un enfant dort.

Une petite en ce coin sombre
Était là dans un berceau blanc,
Ayant je ne sais quoi dans l'ombre
De confiant et de tremblant.

Elle étreignait dans sa main calme
Un grelot d'argent qui penchait ;
L'innocence au ciel tient la palme
Et sur la terre le hochet.

Comme elle sommeille ! Elle ignore
Le bien, le mal, le cœur, les sens,
Son rêve est un sentier d'aurore
Dont les anges sont les passants.

Son bras, par instants, sans secousse,
Se déplace, charmant et pur ;
Sa respiration est douce
Comme une mouche dans l'azur.

Le regard de l'aube la couvre ;
Rien n'est auguste et triomphant
Comme cet œil de Dieu qui s'ouvre
Sur les yeux fermés de l'enfant.
Drab  Aug 26
South China Sea
Drab Aug 26
Sipping champagne from a white paper cup
Eating some Chut from a shell that was cut
Watching the sunset of orange, blue and red
I’ll remember this day until I am dead

On a wooden bench that was meant for a park
One of many on this beach that was painted so dark
I watched the waves break, their fury that calls
The river that fed them made sublime golden walls

A time in my life when I traveled the world
This Miri of wonder, a dream that unfurled
I felt the warm breeze as it blanketed me
While sitting and watching the South China Sea
Thursday, May 8, 2008 - NOTE - Dead snails and "live" people, Malaysia was the best Malaysia I have ever visited (among others)...
DrAbhijit G  Aug 19
Adat ..
DrAbhijit G Aug 19
Tum lat nhi ..
Adat ** Hamari .

Lat chut jati hai ...
Par adat nhi jati !
#adat#Describer#quatrain

— The End —