Le malheur se cache derrière milles profils ténébreux, Et attend que le match insignifiant de vermine, Infirme mon idée tordue de l'être amoureux.
Le malheur séduit au lit par ses promesses d'ivresse sauvage, Qu'attendez-vous pour m'écrire, Et m'aplatir dans ma désolante dignité au passage?
Le malheur s'invite seul à mes soupers assourdissants de vide, Et exhume les faux espoirs assommés De mensonges médiocres; alors je me les imagine...
**** de moi, et moi, **** de leurs pensées, Entre les espérances dupées et celles perforées d'épines, Le malheur me couve, le malheur se rend légitime.