Ô toi qui hélas aura daigné t’ôter la vie, Mettant un trait au dessein que tu dessines; Grande n’est-elle pas parfois la jalousie De qui partage la misère qu’on te devine.
Ô toi qui aura su mettre fin au jour Pour enfin écourter la longue nuit En soufflant d’un seul et court souffle Sur le scintillement de tes bougies.
Jamais ne sauras-tu Qu'il fût un monde Et quel monde! Qui t'eût compris.
Comme il en prend du courage, Et il en prend du mal de vivre Pour faire la traversée de l’enfer À l’origine de toute la vie.
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