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Mattrick Patrick Nov 2014
Money is a **** producer, who mascarades as a professional film producer, promising fame and fortune to young girls in LA.

Money exploits us all, telling us to cry on his **** as he forces it down each of our throats.

MMM

Money talks its valuable poetry, cha ching as we take the money shot, the money shot, the money shot...

Blaw! we take the money and run. Exploited, every one of us carries this inflated value; running around with our heads chopped off.
Where did we put our heads?
Not a one realizing how.
We put our heads collectively in the sand.

Money talks, but we dont. Money walks, but we wont. Money marches, but we cant stand. Can't form a coherent sentence while we're getting ******.

"If my dad finds out he will destroy me!"
"I won't tell."

Money wants us young, dumb, and full of idiom; and as the bubble bursts, we can't help but feel depressed.

Our faces are all over the internet. America the beautiful, I can hardly see your face behind the biggest, blackest ****.

If you want to turn anyone into your own personal *****, first you got to get the money!

Money is king. But is he kind? Money is our god, but what kind?

Money money money, MONEY!

The lyrics of every rap song on the top 100

Can we get some hoes and some money that we can throw's up in here!?

It's what we all want, and its what we all fear. Money controls us and rules us without a peer.

Money replaces trust, it replaces common decency, and puts a friendly mask on the face of a murdering monster.

Money makes me sick. It smells like burning flesh if you read it just right, and put your nose up real tight, it can start to burn you too.

Roll a hundo, give Ben a sniff. Money doesn't care if you sell it off to buy drugs or a train wreck. Money isn't ethical and neither are you.

Money wants us all to bow down, and when we rise up, we look like monopoly men.

Give me some money and I can change the world into a paradise on earth; give your local bank some money, and our world looks like a shopping mall.
Exténué de nuit
Rompu par le sommeil
Comment ouvrir les yeux
Réveil-matin.
Le corps fuit dans les draps mystérieux du rêve
Toute la fatigue du monde
Le regret du roman de l'ombre
Le songe
où je mordais Pastèque interrompue
Mille raisons de faire le sourd
La pendule annonce le jour d'une voix blanche
Deuil d'enfant paresser encore
Lycéen j'avais le dimanche
comme un ballon dans les deux mains
Le jour du cirque et des amis
Les amis
Des pommes des pêches
sous leurs casquettes genre anglais
Mollets nus et nos lavalières
Au printemps
On voit des lavoirs sur la Seine
des baleines couleur de nuée
L'hiver
On souffle en l'air Buée
À qui en fera le plus
Pivoine de Mars Camarades
Vos cache-nez volent au vent
par élégance
L'âge ingrat sortes de mascarades
Drôles de voix hors des faux-cols
On rit trop fort pour être gais
Je me sens gauche rouge Craintes
Mes manches courtes
Toutes les femmes sont trop peintes
et portent des jupons trop propres
CHAMBRES GARNIES

Quand y va-t-on

HOTEL MEUBLÉ
Boutonné jusqu'au menton
J'essaierai à la mi-carême
Aux vacances de Pâques
on balance encore
Les jours semblent longs et si pâles
Il vaut mieux attendre l'été
les grandes chaleurs
la paille des granges
le pré libre et large
au bout de l'année scolaire
la campagne en marge du temps
les costumes de toile clairs
On me donnerait dix-sept ans
Avec mon canotier
mon auréole
Elle tombe et roule
sur le plancher des stations balnéaires
Le sable qu'on boit dans la brise
Eau-de-vie à paillettes d'or
La saison me grise.
Mais surtout
Ce qui va droit au cœur
Ce qui parle.
La mer
La perfidie amère des marées
Les cheveux longs du flot
Les algues s'enroulent au bras du nageur
Parfois la vague
Musique du sol et de l'eau
me soulève comme une plume
En haut
L'écume danse le soleil
Alors
l'émoi me prend par la taille
Descente à pic
Jusqu'à l'orteil
un frisson court Oiseau des îles
Le désir me perd par les membres
Tout retourne à son élément
Mensonge
Ici le dormeur fait gémir le sommier
Les cartes brouillées
Les cartes d'images

Dans le Hall de la galerie des Machines les mains
fardées pour l'amour les mannequins passent d'un air
prétentieux comme pendant un steeple-chase Les
pianos de l'Æolian Company assurent le succès de la
fête Les mendiants apportent tout leur or pour assister
au spectacle On a dépensé sans compter et personne
ne songe plus au lendemain Personne excepté l'ibis
lumineux suspendu par erreur au plafond en guise de
lustre

La lumière tombe d'aplomb sur les paupières
Dans la chambre nue à dessein
DEBOUT
L'ombre recule et le dessin du papier
sur les murs
se met à grimacer des visages bourgeois
La vie
le repas froid commence
Le plus dur  les pieds sur les planches
et la glace renvoie une figure longue

Un miracle d'éponge et de bleu de lessive
La cuvette et le jour
Ellipse
qu'on ferme d'une main malhabile
Les objets de toilette
Je ne sais plus leur noms
trop tendres à mes lèvres
Le *** à eau si lourd
La houppe charmante
Le prestige inouï de l'alcool de menthe
Le souffle odorant de l'amour
Le miroir ce matin me résume le monde
Pièce ébauchée
Le regard monte
et suit le geste des bras qui s'achève en linge
en pitié
Mon portrait me fixe et dit Songe
sans en mourir au gagne-pain
au travail tout le long du jour
L'habitude
Le pli pris
L'habit gris
Servitude
Une fois par hasard
regarde le soleil en face
Fais crouler les murs les devoirs
Que sais-tu si j'envie être libre et sans place
simple reflet peint sur le verre
Donc écris
À l'étude
Faux Latude
Et souris

que les châles
les yeux morts
les fards pâles
et les corps
n'appartiennent
qu'aux riches
Le tapis déchiré par endroits
Le plafond trop voisin
Que la vie est étroite
Tout de même j'en ai assez
Sortira-t-on  Je suis à bout
Casser cet univers sur le genou ployé
Bois sec dont on ferait des flammes singulières
Ah taper sur la table à midi
que le vin se renverse
qu'il submerge
les hommes à la mâchoire carrée
marteaux pilons
Alors se lèveront les poneys
les jeunes gens
en bande par la main par les villes
en promenade
pour chanter
à bride abattue à gorge déployée
comme un drapeau
la beauté la seule vertu
qui tende encore ses mains pures.
Nielsen Mooken Jun 2014
"Defiled humanity! In mascarades
And ****** ecstasies of joy and passion
Is thy gangrened solace anchored!
You paint beauty in nauseous tenderness
And garland her with frigid senility
No! For beauty is haunting and savage
And in my frosty grave throbs her haughty rage"
#beauty #savage #thoughts #melancholy
S Smoothie Jul 2014
Would you take the fall for me a thousand times and a thousand times again? 
would you cut through the endless lies to save me? 
Would you play mascarades and paint me endless excuses for the things i dont want to face?  
Would you swallow your pride and keep going into the lions den to feed them so they wont devour me?  
Would you **** for me or spiritually die for me? 
Would you kiss the face of an enemy because it is someone i love? I have done all these things expected of love yet you not one. When are you going to save me from all this?
must i pay the ultimate price?  
In the name of love please? Before its too late!
Will get the format done later this phone just cant handle it. What would you do for love? I dont think this poem is finished yet. I will be back to do this soon!
Sur les lagunes.

Tra la, tra la, la, la, la laire !
Qui ne connaît pas ce motif ?
A nos mamans il a su plaire,
Tendre et ***, moqueur et plaintif :

L'air du Carnaval de Venise,
Sur les canaux jadis chanté
Et qu'un soupir de folle brise
Dans le ballet a transporté !

Il me semble, quand on le joue,
Voir glisser dans son bleu sillon
Une gondole avec sa proue
Faite en manche de violon.

Sur une gamme chromatique,
Le sein de perles ruisselant,
La Vénus de l'Adriatique
Sort de l'eau son corps rose et blanc.

Les dômes sur l'azur des ondes,
Suivant la phrase au pur contour,
S'enflent comme des gorges rondes
Que soulève un soupir d'amour.

L'esquif aborde et me dépose,
Jetant son amarre au pilier,
Devant une façade rose,
Sur le marbre d'un escalier.

Avec ses palais, ses gondoles,
Ses mascarades sur la mer,
Ses doux chagrins, ses gaités folles,
Tout Venise vit dans cet air.

Une frêle corde qui vibre
Refait sur un pizzicato,
Comme autrefois joyeuse et libre,
La ville de Canaletto !

— The End —