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Jackson Freeman Oct 2012
I singe with a hertly lud whan ycham herty,
And I arme whan singinge is ne ynewe.
Carole whan my corage blissieth,
And I shal deye whan his blase deyeth.

Druerie shal be his a-brune billets.
A stable blase that shal sustene my spyrakles.
A schrewe destroyere that kesseth so dimliche.
A þeauful kempe with an as-spire swerde.

Gostes of i-þank als ouer my vingeres.
Al-only dulce conceiptes fletene in my gostes.
Sumdel real cannot be als amaddinge.
Sumdel real cannot be te-tealte!

Is the mannish þonc als mase and puissant
Sweuenen of suic a selkout conand?
Dest Moder Folde cune of hire child?
Hire misty doter who berne and bilde?

The hoom is not where the herte is.
The herte is the hoom bote motif
The herte, the hoom, the ende, and the sepulture.
A luft who is the mest derure in the Folde.
I'll post the translation when I can ****** find it on my other computer. Enjoy this piece, though, even if you can't understand it!
Anita Apr 2019
In a kingdom full of inclemencies my hubris does not fail me
Profuse and Fierce, Some may call me arrogant
'Hubris!' chuckled I, 'Yes Hubris!'
It's a recording of my failings.  
'It's that amorality,' I muttered.

My hubris is my substratum towards my nescience.
It is that aspect that will lean me towards drowning in the sea of my own incoherent imbecility.
It's a deep program in my faulty code, a nightmare towards monks.
It's the ink on my arms, tattooed to my soul.

'Hubris!' chuckled I, 'Yes Hubris!'
It does not fail to show in my wording.
It's the ferry to sea, the net in the ocean.
It is limber as it is inventive, with every exception.

It has no ingenuousness, it is unlike modesty and threatens to surmount me.
It's a sandwich in which has caught every hitch of breath, it leaves me bewitched, no certain pitch that I can tell afore it chokes me.
It leaves no correspondence with those around me, too caught up in my own fantasies that I can no longer celebrate or verbalize felicitously.

Many times I wished that I preserved my receipt so that I could trade in my Hubris for something a little less mucusless for it is something akin to Judas, and I cannot utilize it for anything utilizable.

If I could somehow find a way that would lead me to a resilient recuperation. I would judge that to be more utilizable then this Hubris that encumbers me. No matter how many times I beat it down, it war's like a lion and a bunch of tourists on a safari.

If only this grotesque lion-like hubris was shot by the doter of a hubris poacher. Every generation would be gratified and they would find that it is much more facile to coerce without that unpleasant Hubris.

Of course, I suppose in a way hubris could be utilizable in some situations that required it. If I somehow found a way to trade my hubris for something like modestly and found that I missed my hubris quite dearly. I would laugh at my incoherent imbecility and perceive myself to be remotely mad!

These ravings of my hubris I'm quite sure because I found it so consequential to indite a poem of stark preposterousness. In a contingency like this, I suppose my hubris is getting quite polished, so sharply able to strike down any sense of modesty.

I conjecture this is the terminus of this arrangement, please omit my hubris for a moment. I suppose I should give you some tea afore I dose myself in a salubrious dose of radiation.
I'm in a mood so I decided to ask the answer to life's most sizably voluminous question. Of course, I found that the answer was the number forty-two and so I found forty-two arbitrary words and shoved them and their synonyms in this cockamamy poem. Visually perceive if you can find them :arrogant, recording, foundation, ignorant, aspect, drown, program, rider, nightmare, monk, arm, sheep, wording, ferry, net, agile, exception, unlike, threaten, sandwich, correspond, receipt,trade, recovery, judge, beat, safari, shot, lover, generation, friend, coerce, perceive, soul, sea, general, accident, polish, strike, arrange, exclude, radiation
Écoutez bien : l'heure est sonnée ;

La dernière du dernier jour,

Le dernier adieu d'une année

Qui vient de s'enfuir sans retour !

Encore une étoile pâlie ;

Encore une page remplie

Du livre immuable du Temps !

Encore un pas fait vers la tombe,

Encore une feuille qui tombe

De la couronne de nos ans !


Et toi qui viens à nous, jeune vierge voilée,

Dis-nous, dois-tu passer joyeuse ou désolée ?

Apprends-nous les secrets enfermés dans ta main :

Quels dons apportes-tu dans les plis de ta robe,

Vierge ; et qui nous dira le mot que nous dérobe,

Le grand mystère de demain ?


Dois-tu, comme la bien-aimée

Au souffle du vent matinal,

Passer rieuse et parfumée

Des senteurs du lit virginal ?

Dois-tu nous apparaître amère

Comme la douleur d'une mère

Au tombeau de ses enfans morts.

Ou, comme un lamentable drame,

Laisser pour adieu dans notre âme

Le désespoir et le remords ?


Mais qu'importe, mon Dieu, ce que ta main enserre

De pluie ou de soleil, de joie ou de misère !

Pourquoi tenter si **** le muet avenir ?

Combien, dans cette foule à la mort destinée.

Qui voyant aujourd'hui commencer cette année.

Ne doivent pas la voir finir !


Moi-même, qui fais le prophète.

Que sais-je, hélas ! si ce flambeau

Qui m'éclaire dans une fête

Ne luira pas sur mon tombeau ?

Peut-être une main redoutable

M'entraînera hors de la table

Avant le signal de la fin.

Comme une marâtre inhumaine

Qui guette un enfant, et l'emmène

Sans qu'il ait assouvi sa faim.


Et l'homme cependant, si pauvre et si fragile.

Passager d'un moment dans sa maison d'argile,

Misérable bateau sur l'Océan jeté,

Dans cet amas confus de rumeurs incertaines,

Sent au fond de son cœur comme des voix lointaines

Qui lui parlent d'éternité.


Et quoiqu'un terrible mystère

Lui laisse ignorer pour toujours

Si sa part d'avenir sur terre

Se compte par ans ou par jours,

Il croit, dans sa pensée altière.

Que pour jamais à la matière

Ce rayon de l'âme est uni :

Il cherche un but insaisissable :

Pour le rocher prenant le sable.

Et l'inconnu pour l'infini.


Mais regarde en arrière, et compte tes années,

Si promptes à fleurir et si vite fanées :

Celles-là ne devaient non plus jamais finir :

Qu'à des rêves moins longs ton âme s'abandonne,

Imprudent ! et du moins que le passé te donne

La mesure de l'avenir.


Toutefois de l'an qui commence

Saluons la nativité,

Cet anneau de la chaîne immense

Qui se perd dans l'éternité ;

Et s'il est vrai que cette année

Par grâce encor nous soit donnée,

N'usons pas nos derniers instans

A chercher si de son visage

Ce voile épais est le présage

De la tempête ou du beau temps.


Et vous tous, mes amis, vous qui sur cette terre

Semez d'ombre et de fleurs mon sentier solitaire,

Des biens que je n'ai pas puisse Dieu vous doter ;

Sitôt que la clarté doive m'être ravie,

Puisse-t-il ajouter aux jours de votre vie

Ceux qu'il lui plaira de m'ôter !

— The End —