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Mademoiselle Travailleur
Forever is a long time.So tell me,where do I begin?

Poems

John F McCullagh Oct 2015
Jeudi, 21 Février, 1788, NYC

Il a été dit que la science progresse un décès à la fois. Pour Jeune Docteur Richard Bayley, professeur aspirant des études anatomiques, ce fut littéralement le cas. Il avait besoin d'un approvisionnement constant de cadavres récemment décédés pour ses recherches, et ce fut la raison pour laquelle il était là, la négociation avec les trois voleurs de corps dans le sous-sol de l'hôpital de New York.
"Il ya une jeune femme, Margaret La Stella, décédé jeudi dernier, et qui repose dans le complot de sa famille dans le cimetière de l'église de la Trinité." Ceci est le corps, je dois, pour ma recherche, et je suis prêt à payer le taux en vigueur pour vos services. "
Quel improbable trio étaient ces hommes debout avec lui. Leur chef, James, était un géant d'un homme robuste, près de six pieds de haut, ses deux compagnons étaient des nains par comparaison, à peine cinq pieds chacun. "Rafe ici est un bon pour crocheter les serrures sur les portes de fer et Alfie est rapide avec une pelle en bois. Il les ressuscite dans une hâte: «Je vais pousser le corps dans une brouette et de vous rencontrer de retour ici pour livrer la marchandise et récupérer notre argent. Vous aurez à payer un peu plus que vous le feriez pour un pauvre ou un nègre ".
Il était une négociation rapide et le docteur assez rapidement convenu à son prix, laissant James à se demander si il aurait dû demander plus. Eh bien, une bonne affaire est une bonne affaire, et une médaille d'or chacun Guinée était bon salaire pour un travail obscur de la nuit.
Ils défilaient sur puis, laissant le jeune Richard à ses pensées. Bientôt, très bientôt, il serait de nouveau afficher Margaret. Bientôt son corps allait abandonner ses secrets pour lui et il serait apprendre la mort avait pris celle qui avait été si belle et si jeune. Il n'y avait rien à faire pour lui maintenant, sauf à attendre. Il est assis avec une tasse de thé et a tenté de se distraire avec le journal du soir.
Body Snatchers, ou Resurrectionists, comme ils préfèrent être appelés, sont en mauvaise réputation en cette année de notre Seigneur 1788. gens souhaitent en général tourner un oeil aveugle quand le corps de certains pauvre a fini sur la table de dissection. Un bien faire femme blanche avec une famille était généralement prévu pour se reposer tranquillement. Encore James et ses deux petits complices connaissaient leur entreprise et vous faire le travail rapide de celui-ci sur cette nuit.
James arrêta son cheval et le chariot bien en deçà de la Trinité, ne voulant pas porter trop d'attention à eux. Il serait monter la garde à la porte du cimetière avec une brouette tandis que ses deux complices petits glissa à l'intérieur et fixés au corps.
Trinity Church cimetière était à côté du site de l'ancienne église qui avait brûlé dans le grand incendie de New York du 76 '. Le doyen actuel de l'église avait accumulé des fonds destinés à la construction d'un second, plus grandiose église de la Trinité, mais encore la construction avait pas encore commencé. L'absence de l'église physique devrait signifier pas de gardien et un cimetière qui serait totalement déserte sur une nuit la mi-hiver froid. Avec seulement une lune décroissante pour l'éclairage, les trois hommes étaient dépendants de lanternes à main qui ont donné peu de lumière et à côté de pas de chaleur lorsque les vents du sud de Manhattan serraient à la gorge comme un spectre vengeur.
"Et c'est parti. Rafe se rendre au travail cueillette de la serrure, tandis que je l'aide avec Alfe la bêche et les couvertures. "
«Je vais avoir besoin d'une longueur de corde, trop mate, à nouer autour du corps et le faire glisser le long de la tombe."
Ils ont été surpris par le cri plaintif d'un grand corbeau noir qui a été perché sur la porte du cimetière de fer et qui semblait être en regardant leurs activités avec curiosité et méfiance.
«Je dois la porte ouverte, allez, Alfe, je ne veux pas être là plus longtemps que je le dois."
James regarda les deux hommes petits happés leurs lanternes et des outils et ont disparu dans les ombres du cimetière de Trinity.
Ils ont trouvé la tombe récemment fini de la fille La Stella rapidement, et Alfe commencé tout de suite avec sa pelle de bois pour creuser le cercueil de son lieu de repos temporaire. Il a travaillé tranquillement, mais ses travaux ne vont pas complètement inaperçu.
"Mate, Prêtez-moi un coup de main et nous allons la faire sortir d'ici. Jetez la corde ".
Rafe a fait comme il a été soumissionné. Il a également ouvert sa lanterne et l'agita en un signal à James que le travail était presque terminé. James n'a cependant pas été le seul qui a vu le signal.
Comme le corps a été exhumé une lueur d'or attira l'attention de Alfe. Je t avais un anneau sur les cadavres quitté l'annulaire.
Grave voler était considéré comme une infraction plus grave que trafic de cadavres, mais sûrement pas l'un allait remarquer petit anneau d'or disparu. Quoi qu'il en soit ce corps allait retrouver tell disséqué et articulé, il avait entendu on fait bouillir la chair de l'os de fournir un squelette complet pour l'étude. Personne ne les payait pas assez d'argent à son retour ici quand le bon docteur avait fini avec son travail.

Était-ce juste imagination- de Alfe ou fait froid main morte des cadavres lui semblent se battre pour l'anneau avant qu'il arracha libre. Immédiatement, cependant, toutes les pensées de l'or est devenu secondary- il y avait des problèmes en cours de réalisation
"Vous là, montrez-moi vos mains!" Il y avait un garde dans les motifs de la chancellerie, un peu de malchance qu'ils avaient pas compté sur. Rafe, pas un héros, sa réaction immédiate a été de tourner et courir. Il lâcha la corde et le corps de la jeune fille se laissa retomber dans le trou, près de piégeage Alfe dans une étreinte indésirables.
Alfe bondit de la tombe ouverte et renversé le grand mince tombe garde qui semblait un peu plus d'un squelette lui-même. Il a entendu le crieur public dans la distance la sonnette d'alarme. Alfe a abandonné toute idée de récupérer le corps de la jeune fille et avait l'intention d'évasion. Comme il sauta de la porte, il pouvait entendre la garde frénétiquement essayant de charger son fusil. Alfe besoin de plus de distance. Il a dû se rendre à James à la porte.

Un fusil à âme lisse est une arme la plus fiable et à beaucoup plus que 100 verges pour atteindre un succès était plus de chance que d'habileté. Alfe entendit à peine la décharge de l'arme, mais la douleur dans son dos était difficile à ignorer. James l'a attrapé avant qu'il ne tombe, mais il est vite devenu évident pour les deux que Alfe ne fallut pas longtemps pour ce monde.
James et Rafe ont travaillé rapidement pour obtenir Alfe dans la brouette et le roue de l'écart. Le gardien tentait de recharger mais la distance et l'obscurité devenait leur ami. Il ne serait pas obtenir un deuxième coup avant qu'ils ont fait à la voiture.
Pour le docteur Bayley il semblait que les Resurrectionists étaient de retour plus tôt que prévu il, mais le corps dans la couverture était pas le corps qu'il avait prévu de recevoir.

«Il y avait un garde posté à la chancellerie en face du cimetière. Il faut avoir vu l'un de nos lanternes et est sorti pour enquêter. Il descendit un coup à nous pauvres Alfe obtenu dans le dos. "
Richard regarda par-dessus le corps de Alfe, le nouveau sujet du Royaume des morts. «Combien voulez-vous pour ce corps?" Ils ont conclu rapidement leur affaire, James ne fait pas tout à fait aussi bien qu'il aurait pour le corps de la jeune femme, mais divisées deux façons il serait suffisant pour obtenir de lui un endroit pour dormir et nourriture et la boisson en plus. Alfe allait être un homme difficile à remplacer, mais il y avait beaucoup d'hommes durs bas près des docks qui feraient le travail et ne pas trop parler aux mauvaises personnes.
Il pensait qu'il ne serait pas bientôt d'accord pour ouvrir la tombe d'un dame. Les corps des pauvres ne sont pas si étroitement participé.

Bientôt Docteur Bayley avait le corps d'Alfe déshabillé et lavé et prêt sur la table. Dans sa vie relativement brève ce corps avait rarement eu assez à manger et trop de gin à boire. Les dents qui lui restaient étaient jauni et il y avait des signes de maladie des gencives. Richard était sur le point de faire la première incision dans la poitrine quand il a remarqué une lueur d'or dans la main droite crispée.

Il était un anneau; il était la même bague qu'il avait donné sa Margaret quelques semaines avant. Juste quelques semaines avant la mort l'avait prise de lui. Il ne savait pas qu'elle avait été enterré avec lui. Richard a tenu le petit anneau dans sa main et a commencé à pleurer amèrement, dans la connaissance cruelle qu'il ne reverrait jamais son visage, pas dans cette vie ou la prochaine.
A short story, in French, based on a grave robbery that took place on Thursday February 21, 1788 in Trinity graveyard in New York City.
Victor Hugo  Jun 2017
Melancholia
Écoutez. Une femme au profil décharné,
Maigre, blême, portant un enfant étonné,
Est là qui se lamente au milieu de la rue.
La foule, pour l'entendre, autour d'elle se rue.
Elle accuse quelqu'un, une autre femme, ou bien
Son mari. Ses enfants ont faim. Elle n'a rien ;
Pas d'argent ; pas de pain ; à peine un lit de paille.
L'homme est au cabaret pendant qu'elle travaille.
Elle pleure, et s'en va. Quand ce spectre a passé,
Ô penseurs, au milieu de ce groupe amassé,
Qui vient de voir le fond d'un cœur qui se déchire,
Qu'entendez-vous toujours ? Un long éclat de rire.

Cette fille au doux front a cru peut-être, un jour,
Avoir droit au bonheur, à la joie, à l'amour.
Mais elle est seule, elle est sans parents, pauvre fille !
Seule ! - n'importe ! elle a du courage, une aiguille,
Elle travaille, et peut gagner dans son réduit,
En travaillant le jour, en travaillant la nuit,
Un peu de pain, un gîte, une jupe de toile.
Le soir, elle regarde en rêvant quelque étoile,
Et chante au bord du toit tant que dure l'été.
Mais l'hiver vient. Il fait bien froid, en vérité,
Dans ce logis mal clos tout en haut de la rampe ;
Les jours sont courts, il faut allumer une lampe ;
L'huile est chère, le bois est cher, le pain est cher.
Ô jeunesse ! printemps ! aube ! en proie à l'hiver !
La faim passe bientôt sa griffe sous la porte,
Décroche un vieux manteau, saisit la montre, emporte
Les meubles, prend enfin quelque humble bague d'or ;
Tout est vendu ! L'enfant travaille et lutte encor ;
Elle est honnête ; mais elle a, quand elle veille,
La misère, démon, qui lui parle à l'oreille.
L'ouvrage manque, hélas ! cela se voit souvent.
Que devenir ! Un jour, ô jour sombre ! elle vend
La pauvre croix d'honneur de son vieux père, et pleure ;
Elle tousse, elle a froid. Il faut donc qu'elle meure !
A dix-sept ans ! grand Dieu ! mais que faire ?... - Voilà
Ce qui fait qu'un matin la douce fille alla
Droit au gouffre, et qu'enfin, à présent, ce qui monte
À son front, ce n'est plus la pudeur, c'est la honte.
Hélas, et maintenant, deuil et pleurs éternels !
C'est fini. Les enfants, ces innocents cruels,
La suivent dans la rue avec des cris de joie.
Malheureuse ! elle traîne une robe de soie,
Elle chante, elle rit... ah ! pauvre âme aux abois !
Et le peuple sévère, avec sa grande voix,
Souffle qui courbe un homme et qui brise une femme,
Lui dit quand elle vient : « C'est toi ? Va-t-en, infâme ! »

Un homme s'est fait riche en vendant à faux poids ;
La loi le fait juré. L'hiver, dans les temps froids ;
Un pauvre a pris un pain pour nourrir sa famille.
Regardez cette salle où le peuple fourmille ;
Ce riche y vient juger ce pauvre. Écoutez bien.
C'est juste, puisque l'un a tout et l'autre rien.
Ce juge, - ce marchand, - fâché de perdre une heure,
Jette un regard distrait sur cet homme qui pleure,
L'envoie au bagne, et part pour sa maison des champs.
Tous s'en vont en disant : « C'est bien ! » bons et méchants ;
Et rien ne reste là qu'un Christ pensif et pâle,
Levant les bras au ciel dans le fond de la salle.

Un homme de génie apparaît. Il est doux,
Il est fort, il est grand ; il est utile à tous ;
Comme l'aube au-dessus de l'océan qui roule,
Il dore d'un rayon tous les fronts de la foule ;
Il luit ; le jour qu'il jette est un jour éclatant ;
Il apporte une idée au siècle qui l'attend ;
Il fait son œuvre ; il veut des choses nécessaires,
Agrandir les esprits, amoindrir les misères ;
Heureux, dans ses travaux dont les cieux sont témoins,
Si l'on pense un peu plus, si l'on souffre un peu moins !
Il vient. - Certe, on le va couronner ! - On le hue !
Scribes, savants, rhéteurs, les salons, la cohue,
Ceux qui n'ignorent rien, ceux qui doutent de tout,
Ceux qui flattent le roi, ceux qui flattent l'égout,
Tous hurlent à la fois et font un bruit sinistre.
Si c'est un orateur ou si c'est un ministre,
On le siffle. Si c'est un poète, il entend
Ce chœur : « Absurde ! faux ! monstrueux ! révoltant ! »
Lui, cependant, tandis qu'on bave sur sa palme,
Debout, les bras croisés, le front levé, l'œil calme,
Il contemple, serein, l'idéal et le beau ;
Il rêve ; et, par moments, il secoue un flambeau
Qui, sous ses pieds, dans l'ombre, éblouissant la haine,
Éclaire tout à coup le fond de l'âme humaine ;
Ou, ministre, il prodigue et ses nuits et ses jours ;
Orateur, il entasse efforts, travaux, discours ;
Il marche, il lutte ! Hélas ! l'injure ardente et triste,
À chaque pas qu'il fait, se transforme et persiste.
Nul abri. Ce serait un ennemi public,
Un monstre fabuleux, dragon ou basilic,
Qu'il serait moins traqué de toutes les manières,
Moins entouré de gens armés de grosses pierres,
Moins haï ! -- Pour eux tous et pour ceux qui viendront,
Il va semant la gloire, il recueille l'affront.
Le progrès est son but, le bien est sa boussole ;
Pilote, sur l'avant du navire il s'isole ;
Tout marin, pour dompter les vents et les courants,
Met tour à tour le cap sur des points différents,
Et, pour mieux arriver, dévie en apparence ;
Il fait de même ; aussi blâme et cris ; l'ignorance
Sait tout, dénonce tout ; il allait vers le nord,
Il avait tort ; il va vers le sud, il a tort ;
Si le temps devient noir, que de rage et de joie !
Cependant, sous le faix sa tête à la fin ploie,
L'âge vient, il couvait un mal profond et lent,
Il meurt. L'envie alors, ce démon vigilant,
Accourt, le reconnaît, lui ferme la paupière,
Prend soin de la clouer de ses mains dans la bière,
Se penche, écoute, épie en cette sombre nuit
S'il est vraiment bien mort, s'il ne fait pas de bruit,
S'il ne peut plus savoir de quel nom on le nomme,
Et, s'essuyant les yeux, dit : « C'était un grand homme ! »

Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?
Ces doux êtres pensifs, que la fièvre maigrit ?
Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ?
Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ;
Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement
Dans la même prison le même mouvement.
Accroupis sous les dents d'une machine sombre,
Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre,
Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,
Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer.
Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue.
Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue.
Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.
Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !
Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes,
« Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! »
Ô servitude infâme imposée à l'enfant !
Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant
Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée,
La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée,
Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain -
D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !
Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre,
Qui produit la richesse en créant la misère,
Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil !
Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? Que veut-il ? »
Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme,
Une âme à la machine et la retire à l'homme !
Que ce travail, haï des mères, soit maudit !
Maudit comme le vice où l'on s'abâtardit,
Maudit comme l'opprobre et comme le blasphème !
Ô Dieu ! qu'il soit maudit au nom du travail même,
Au nom du vrai travail, saint, fécond, généreux,
Qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux !

Le pesant chariot porte une énorme pierre ;
Le limonier, suant du mors à la croupière,
Tire, et le roulier fouette, et le pavé glissant
Monte, et le cheval triste à le poitrail en sang.
Il tire, traîne, geint, tire encore et s'arrête ;
Le fouet noir tourbillonne au-dessus de sa tête ;
C'est lundi ; l'homme hier buvait aux Porcherons
Un vin plein de fureur, de cris et de jurons ;
Oh ! quelle est donc la loi formidable qui livre
L'être à l'être, et la bête effarée à l'homme ivre !
L'animal éperdu ne peut plus faire un pas ;
Il sent l'ombre sur lui peser ; il ne sait pas,
Sous le bloc qui l'écrase et le fouet qui l'assomme,
Ce que lui veut la pierre et ce que lui veut l'homme.
Et le roulier n'est plus qu'un orage de coups
Tombant sur ce forçat qui traîne des licous,
Qui souffre et ne connaît ni repos ni dimanche.
Si la corde se casse, il frappe avec le pié ;
Et le cheval, tremblant, hagard, estropié,
Baisse son cou lugubre et sa tête égarée ;
On entend, sous les coups de la botte ferrée,
Sonner le ventre nu du pauvre être muet !
Il râle ; tout à l'heure encore il remuait ;
Mais il ne bouge plus, et sa force est finie ;
Et les coups furieux pleuvent ; son agonie
Tente un dernier effort ; son pied fait un écart,
Il tombe, et le voilà brisé sous le brancard ;
Et, dans l'ombre, pendant que son bourreau redouble,
Il regarde quelqu'un de sa prunelle trouble ;
Et l'on voit lentement s'éteindre, humble et terni,
Son œil plein des stupeurs sombres de l'infini,
Où luit vaguement l'âme effrayante des choses.
Hélas !

Cet avocat plaide toutes les causes ;
Il rit des généreux qui désirent savoir
Si blanc n'a pas raison, avant de dire noir ;
Calme, en sa conscience il met ce qu'il rencontre,
Ou le sac d'argent Pour, ou le sac d'argent Contre ;
Le sac pèse pour lui ce que la cause vaut.
Embusqué, plume au poing, dans un journal dévot,
Comme un bandit tuerait, cet écrivain diffame.
La foule hait cet homme et proscrit cette femme ;
Ils sont maudits. Quel est leur crime ? Ils ont aimé.
L'opinion rampante accable l'opprimé,
Et, chatte aux pieds des forts, pour le faible est tigresse.
De l'inventeur mourant le parasite engraisse.
Le monde parle, assure, affirme, jure, ment,
Triche, et rit d'escroquer la dupe Dévouement.
Le puissant resplendit et du destin se joue ;
Derrière lui, tandis qu'il marche et fait la roue,
Sa fiente épanouie engendre son flatteur.
Les nains sont dédaigneux de toute leur hauteur.
Ô hideux coins de rue où le chiffonnier morne
Va, tenant à la main sa lanterne de corne,
Vos tas d'ordures sont moins noirs que les vivants !
Qui, des vents ou des cœurs, est le plus sûr ? Les vents.
Cet homme ne croit rien et fait semblant de croire ;
Il a l'œil clair, le front gracieux, l'âme noire ;
Il se courbe ; il sera votre maître demain.

Tu casses des cailloux, vieillard, sur le chemin ;
Ton feutre humble et troué s'ouvre à l'air qui le mouille ;
Sous la pluie et le temps ton crâne nu se rouille ;
Le chaud est ton tyran, le froid est ton bourreau ;
Ton vieux corps grelottant tremble sous ton sarrau ;
Ta cahute, au niveau du fossé de la route,
Offre son toit de mousse à la chèvre qui broute ;
Tu gagnes dans ton jour juste assez de pain noir
Pour manger le matin et pour jeûner le soir ;
Et, fantôme suspect devant qui l'on recule,
Regardé de travers quand vient le crépuscule,
Pauvre au point d'alarmer les allants et venants,
Frère sombre et pensif des arbres frissonnants,
Tu laisses choir tes ans ainsi qu'eux leur feuillage ;
Autrefois, homme alors dans la force de l'âge,
Quand tu vis que l'Europe implacable venait,
Et menaçait Paris et notre aube qui naît,
Et, mer d'hommes, roulait vers la France effarée,
Et le Russe et le *** sur la terre sacrée
Se ruer, et le nord revomir Attila,
Tu te levas, tu pris ta fourche ; en ces temps-là,
Tu fus, devant les rois qui tenaient la campagne,
Un des grands paysans de la grande Champagne.
C'est bien. Mais, vois, là-bas, le long du vert sillon,
Une calèche arrive, et, comme un tourbillon,
Dans la poudre du soir qu'à ton front tu secoues,
Mêle l'éclair du fouet au tonnerre des roues.
Un homme y dort. Vieillard, chapeau bas ! Ce passant
Fit sa fortune à l'heure où tu versais ton sang ;
Il jouait à la baisse, et montait à mesure
Que notre chute était plus profonde et plus sûre ;
Il fallait un vautour à nos morts ; il le fut ;
Il fit, travailleur âpre et toujours à l'affût,
Suer à nos malheurs des châteaux et des rentes ;
Moscou remplit ses prés de meules odorantes ;
Pour lui, Leipsick payait des chiens et des valets,
Et la Bérésina charriait un palais ;
Pour lui, pour que cet homme ait des fleurs, des charmilles,
Des parcs dans Paris même ouvrant leurs larges grilles,
Des jardins où l'on voit le cygne errer sur l'eau,
Un million joyeux sortit de Waterloo ;
Si bien que du désastre il a fait sa victoire,
Et que, pour la manger, et la tordre, et la boire,
Ce Shaylock, avec le sabre de Blucher,
A coupé sur la France une livre de chair.
Or, de vous deux, c'est toi qu'on hait, lui qu'on vénère ;
Vieillard, tu n'es qu'un gueux, et ce millionnaire,
C'est l'honnête homme. Allons, debout, et chapeau bas !

Les carrefours sont pleins de chocs et de combats.
Les multitudes vont et viennent dans les rues.
Foules ! sillons creusés par ces mornes charrues :
Nuit, douleur, deuil ! champ triste où souvent a germé
Un épi qui fait peur à ceux qui l'ont semé !
Vie et mort ! onde où l'hydre à l'infini s'enlace !
Peuple océan jetant l'écume populace !
Là sont tous les chaos et toutes les grandeurs ;
Là, fauve, avec ses maux, ses horreurs, ses laideurs,
Ses larves, désespoirs, haines, désirs, souffrances,
Qu'on distingue à travers de vagues transparences,
Ses rudes appétits, redoutables aimants,
Ses prostitutions, ses avilissements,
Et la fatalité des mœurs imperdables,
La misère épaissit ses couches formidables.
Les malheureux sont là, dans le malheur reclus.
L'indigence, flux noir, l'ignorance, reflux,
Montent, marée affreuse, et parmi les décombres,
Roulent l'obscur filet des pénalités sombres.
Le besoin fuit le mal qui le tente et le suit,
Et l'homme cherche l'homme à tâtons ; il fait nuit ;
Les petits enfants nus tendent leurs mains funèbres ;
Le crime, antre béant, s'ouvre dans ces ténèbres ;
Le vent secoue et pousse, en ses froids tourbillons,
Les âmes en lambeaux dans les corps en haillons :
Pas de cœur où ne croisse une aveugle chimère.
Qui grince des dents ? L'homme. Et qui pleure ? La mère.
Qui sanglote ? La vierge aux yeux hagards et doux.
Qui dit : « J'ai froid ? » L'aïeule. Et qui dit : « J'ai faim ? » Tous !
Et le fond est horreur, et la surface est joie.
Au-dessus de la faim, le festin qui flamboie,
Et sur le pâle amas des cris et des douleurs,
Les chansons et le rire et les chapeaux de fleurs !
Ceux-là sont les heureux. Ils n'ont qu'une pensée :
A quel néant jeter la journée insensée ?
Chiens, voitures, chevaux ! cendre au reflet vermeil !
Poussière dont les grains semblent d'or au soleil !
Leur vie est aux plaisirs sans fin, sans but, sans trêve,
Et se passe à tâcher d'oublier dans un rêve
L'enfer au-dessous d'eux et le ciel au-dessus.
Quand on voile Lazare, on efface Jésus.
Ils ne regardent pas dans les ombres moroses.
Ils n'admettent que l'air tout parfumé de roses,
La volupté, l'orgueil, l'ivresse et le laquais
Ce spectre galonné du pauvre, à leurs banquets.
Les fleurs couvrent les seins et débordent des vases.
Le bal, tout frissonnant de souffles et d'extases,
Rayonne, étourdissant ce qui s'évanouit ;
Éden étrange fait de lumière et de nuit.
Les lustres aux plafonds laissent pendre leurs flammes,
Et semblent la racine ardente et pleine d'âmes
De quelque arbre céleste épanoui plus haut.
Noir paradis dansant sur l'immense cachot !
Ils savourent, ravis, l'éblouissement sombre
Des beautés, des splendeurs, des quadrilles sans nombre,
Des couples, des amours, des yeux bleus, des yeux noirs.
Les valses, visions, passent dans les miroirs.
Parfois, comme aux forêts la fuite des cavales,
Les galops effrénés courent ; par intervalles,
Le bal reprend haleine ; on s'interrompt, on fuit,
On erre, deux à deux, sous les arbres sans bruit ;
Puis, folle, et rappelant les ombres éloignées,
La musique, jetant les notes à poignées,
Revient, et les regards s'allument, et l'archet,
Bondissant, ressaisit la foule qui marchait.
Ô délire ! et d'encens et de bruit enivrées,
L'heure emporte en riant les rapides soirées,
Et les nuits et les jours, feuilles mortes des cieux.
D'autres, toute la nuit, roulent les dés joyeux,
Ou bien, âpre, et mêlant les cartes qu'ils caressent,
Où des spectres riants ou sanglants apparaissent,
Leur soif de l'or, penchée autour d'un tapis vert,
Jusqu'à ce qu'au volet le jour bâille entr'ouvert,
Poursuit le pharaon, le lansquenet ou l'hombre ;
Et, pendant qu'on gémit et qu'on frémit dans l'ombre,
Pendant que le
Julian Mar 2019
Tantalized by the fractious limerence of a vestigial habiliment of the old order, we conclude that hypertrophy leads to a limbo where random permutations alloyed by the rickety limits of concatenation subsume concepts that are equivocal but populate the imaginations of newfangled art forms that jostle the midwives of rumination to lead to unique pastures that are intuitively calibrated to correspond to definitive unitary events in conceptual space that sprawl unexpectedly towards the desultory but determinative conclusion of a meandering ludic sphere of rambunctious sentiments cobbled together to either rivet the captive audience or annoy the peevish criticaster when they dare to inseminate the canvassed and corrugated tract of intellectual territory created ad hoc to swelter the imagination with audacious ingenuity that is an inevitable byproduct of lexical hypertrophy. In this séance with the immaterial realm of concept rather than the predictable clockwork reductivism of a perceptual welter that is limited by the concretism circumscribed by spatiotemporal stricture we find that an extravagant twinge of even the smallest tocsin in the interstitial carousel of conscientious subroutines compounding recursively to pinprick the cossetted smolder of potentiality rather than extravagate into the vacancy of untenanted nullibiety can spawn a progeny of utilities and vehicles for dexterous abstraction that poach the exotic concepts we fathom by degrees of sapience malingering in lifeless bricolages of erratic abstraction in manners useful to transcend the repose of abeyance and heave awakening into the slumberous caverns of still-life to make them dynamically animated to capture ephemeral events that defy the demarcations of wistful indelicacy of the encumbered bulk of insufficient precision.

Today we embark on a quest to defile the anoegenetic recapitulation of canon that litters the dilapidated avenues of miserly contemplation that has a histeriological certainty and feeds the engines that enable novelty but ultimately remain rancid with the stench of the idiosyncratic shibboleths of synoptic alloyed impoverishment that leads to the vast wasteland of cremated entropy that is a stained foible of misappropriated context interpolated usefully as botched triage for daunting problems that require a nimble legerdemain of facile versatility that we easily adduce to conquer the present with the botched memorial of a defunct salience. Despite the travail of scholars to retreat from the frontier into the hypostatized hegemony of recycled credentialed information, we often are ensnared by the solemn attrition of decay as we traverse the conceptual underpinnings of all bedrock thought only to dangle precariously near the void of lapsed sentience because of transitory incontinence that is contiguous to the doldrums of crudity but nevertheless with mustered mettle we purport that the very self-serious awakening to our hobbling limitations is akin to a prosthetic enhancement of ratiocination capable of feats that stagger beneath the lowest level of subtext to elevate the highest superordinate categorization into heightened scrutiny that burgeons metacognitive limber. Marooned in the equipoise of specifiable enlightenment countermanded by the strictures of working memory we can orchestrate transverse pathways between the elemental quiddity of impetuous meaning and the dignified tropes of transitivity that bequeaths entire universes with feral progeny that modulate their ecosystems with both a taste of approximated symmetry and a cohesive enterprise for productivity that rests on the granular concordance of the highest plane to the indivisible parcels of atomic meaning that solder together to exist as intelligible if strained by the primordial frictions guaranteed by the brunt of motion incipient because of the metaphorical inertia created within insular universes to inform sprawling conurbations of mobilized thoughts designed to reckon with the breakneck pace of the corresponding reality to which they explicitly and precisely refer to.

We must singe surgically the filigrees that amount to the perceptible realities that transmute temperaments into the liturgy of routine conflated with the rigmarole of neural dragnets of reiterative quips in an elegant game of raillery with our supernal contumacy against the rigid authority of aleatory vagaries mandated by a dually arbitrary universe in a probabilistic terpsichorean dance with the depth of our dredge for subliminal acuity or the shallow bellicosity of common modes of glib contemplation characteristic of the basic nobility of improvisation. This basic interface with the world can either be mercurial or tranquil based on the interactionism of the enfeebled trudge of surface senses or blunt intuitions and the smoldering impact of the vestigial cloaks that deal gingerly with the poignant subtext evoked in the cauldron of immediacy rather than pondered with the portentous weight of imperative singularities of uniqueness derived from the plunge into the arcane citadel of microscopic introspection so refined that the ineffable drives we seek to fathom become amenable to the traipse of transcendental time that rarefies itself by defying the brunt of compartmentalized bureaucracies administered by the fulcrum of stereotypical notions of acquired gravitas imputed to mundane pedestrian quidnunc concerns that defile humanity rather than embolden the subaudition of gritty punctilios that show the supernal powers of the axiomatic divinity of sharpened sentience to reign with supremacy over the baser ignoble components of bletcherous nescience that leads to knee-**** platitudes that provoke folksy peevish divisions. We should rather orchestrate our activity by heeding the admonishment about the primogeniture of poignant sabotage buffered by the remonstration of innate tranquility and finding a whipsawed compromise of rationalization with true visceral encounters with the fulgurant quips of brisk emotions that grind industriously into amorphous retinues of the trenchant human imagination to either equip or hobble the leapfrogged interrogation of veracity and more consequently our notions of truth and fact.

When we see the hackneyed results of default ecological dynamics, we find ourselves aloof from purported transcendence because the whimpered bleats and cavils of the importunate masses result in a deafening din of cacophony because we strive throbbing with sprightliness towards the galloped chase of tantalization without the luxury of a terminus for satiation. Obviously a growth mindset is the galvanic ****** that spawns the imaginative swank of the pliable modulations of our perceived reality that, when protean, showcase the limitless verve of our primordial cacoethes for epigenetic evolution rather than the stolid and staid foreclosure of impervious sloth that memorializes the gluttony of speculation about fixed entities rather than imperative jostling urbanity that dignifies the brackish dance with dearth and the exuberant savory taste of momentary excess because it engages the animated pursuit of limerence rather than the exhumed corpse of wistful regret. Nature is a cyclical clockwork system of predatory instinct met with the clemency of the prosperous providence enacted by the travailing ingenuity of successive cumulative generativities that compounded unevenly and unpredictably to predicate a fundamental zeitgeist calculated to engorge the fattened resources of the resourceful and temper the etiolated dreams of the fringed acquiescence of a hulking prejudiced population of dutiful servants that balk at the diminutive prospects of a lopsided distribution of talent and means but slumber in irenic resolve created by the merciful hands of defensive designs that configure consciousness to relish comparative touchstones rather than absolute outcomes that straggle beyond a point of enviable reference to shield the world of the barbarism of botched laments clamoring for an uncertain grave from the gravity of the orbiting satellites of apportioned wealth both sunblind and boorish but simultaneously inextricable from the acclimated fortune of heaped nepotism and herculean opportunism. The intransigence of the weighted destiny of inequity is a squalid enterprise of primeval abrasive and combative tendencies within the bailiwick of the indignant compass inherent to the system that fathoms its deficiencies with crabwise and gingerly pause but airs a sheepish grievance like a bleat of self-exculpation but simultaneously an arraignment of fundamental attribution erroneously indicted without the selfsame reflexiveness characteristic of a transcendent being with other recourses to clamber an avenue to Broadway without malingering in the slums of opprobrious ineffectual remonstration against the arrangement of a blinkered metropolis of uneven gentrification.

We flicker sometimes between the strategic drivel of appeasement and the candor of audacious imprecation of the culprits of indignity or considerate nutritive encomium of the beacons of ameliorated enlightenment because we often masquerade a half-witted glib consciousness lazily sketched by the welters of verve alloyed with the rancid distaste of squalor and slumber on the faculty of conscientious swivels of prudential expeditions with an avarice for bountiful considered thought and wily contortions of demeanor that issue the affirmative traction of adaptive endeavor to cheat a warped system for a reconciled peace and a refined self-mastery. We need to traduce the urchins that sting the system with pangs of opprobrious ballyhoo and the effluvia of foofaraw that contaminate with pettifoggery and small-minded blather the arenas better suited for the gladiatorial combat of cockalorums tinged with a dose of intellectual effrontery beyond the span of dogmatism rather than the hackneyed platitudes that infest the news cycle with folksy backwardation catered to the fascism of a checkered established press that urges insurrection while tranquilizing dissent against the furtive actions of consequence hidden behind the draped verdure of pretense whose byproduct is only a self-referential sophistry that swarms like an intractable itch to devolve the spectator into a pasquinaded spectacle of profound human obtuseness that pervades malignantly the system of debate until the reductionists outwit themselves with the empty prevarication of circular logic that deliberately misfires to miss the target of true importance because of the pandered black hole easily evaded by creatures of high sentience but inevitably ensnaring the special kind of dupe into a cycle of bellicose ferocity of internecine balkanization. The vainglory of the omphalos of entertainment is also another reckoning because it festers a cultural mythos of glorified crapulence parading a philandered promiscuity with half-baked antics that gravitate attention and the lecheries of gaudy tenses of recycled tinsel alloyed by debased aberrations of seedy grapholagnia that magnetize as they percolate because of the insidious catchphrases embedded in pedestrian syncopation that ignite retention and acclimate to mediocrity the sounds of generations discolored by faint pasty rainbows rather than ennobled by majestic landscapes of ignipotent mellifluous sound that stands a supernal amusement still for the resourceful trainspotter.

Despite the contumely aimed in the direction of contrarians for deviating from the lockstep clockwork hustle of stooped pandered manipulation that peddles the wares of an entirely counterfeit reality, I stand obstinately against the melliferous stupefaction of entire genres of myth and subcultures huddled around the sentimental tug of factitious sophistries regaled by thick amorphous apostates that cherish the vacuous sidetracked spotlight with fervor rather than pausing on the enigmatic querulous inquisition about the penumbras that lurk with strained effort beneath or above the categorical nescience of the shadowy unknown that often coruscates with elegance even in obscurity. I fight with labored words to spawn a psychological discipline that invokes the incisive subaudition of the pluckily pricked exorcism of true insight from the husk of buzzwords that constellate auxiliary tangential distractions from the art form of psychological discernment that predicates itself on the concept that the rarefaction of rumination by degrees of microscopic precision enables the introspective hindsight of conscious events that can be parsed without the acrimony of cluttered conflations of the granular prowess of triumphant ratiocination that earns a panoramic perch with the added luxury of perspicacious insight into the atomic structure of the rudiments of our phenomenological field and the abstractions that linger beyond perceptual categorization. When we analyze the gradients of anger, for example, we can either be ****** into a brooded twinge of wistful resentment or we can decipher that through heuristics designed to cloister the provenance of subconscious repose with ignorance there exists a regimented array of tangential accessories embedded deep within the cavernous repository of memory that designates a cumulative trace of compounded symmetries of concordant experience immediately perceptible because of the tangible provocateur of our gripes and the largely subliminal tusk that protrudes because of primal instinct that squirms with peevishness because of the momentary context preceded by the desultory churn of smoldering associations swimming with either complete intangible sputtered mobility through the tract of subconscious hyperspace or rigidly fixated by an arraignment of circumstances with propinquity to the deep unfathomed flicker of bygones receding or protruding because of the warped and largely unpredictable rigmarole of constellated spreading activation.  
When we examine the largesse of the swift recourse of convenience we forget by degrees the travail that once bridged the span of experience from patient abeyance in provident pursuit to now the importunate glare of inflated expectations for immediacy that stings the whole enterprise of societal dynamics because it vitiates us with a complacency for the filigrees of momentary tinsel of a virtualized reality divorced from the concretism that used to undergird interaction and now stands outmoded as a wisp beyond outstretched hands straggling beyond the black mirror of a newfangled narcissistic clannishness that shepherds the ostentation of conceit to a predominant position that swaddles us with fretful diversion that operates on a warped logic of lurid squalor and pasty trends becoming the mainstays of a hypercritical linguistic system of entrapment based on the apostasy of candor for the propitiation of fringed aberration because of the majoritarian uproar about touchy butthurt pedantic criticasters with a penchant for persnickety structuralism. With the infestation of entertainment with the ubiquitous political cavils engineered by the ruling class to have a common arena of waggish irreverence we forget that sometimes the impetuous ****** of propaganda is cloaked by the fashionable implements of a rootless time writhing in a purported identity crisis only to gawk at the ungainly reflection of modernity in the mirror and remain blissfully unaware about the transmogrified cultural psyche that feeds the lunacy of endless spectacle based on the premise that one singular whipping post can unite an entire generation of miscegenated misfits looking for commonality to team up against the aging generations that cling to the sanctity of cherished jingoism against the intentionality of a revamped system that malingers with empty promises using exigency and legerdemain to obscure the mooncalves among their ranks that march on with quixotic dreams that tolerate only the idea of absolute tolerance and moderate only when feasibly permitted by the anchored negotiation of the fulcrum of totemic governmental responsibility between factions that wage volleys of invective at each other to promote a binary choice of vitiated compromises of mendaciloquence that ultimately endanger the republic with either the perils of hidebound conventionalism and nativist fervor or the boondoggles of fiscally irresponsible insanity cloaked with rainbows and participation trophies. Reproach can be distributed to both sides of the aisle because ironically in a world where gender is non-binary the most important reproductive ***** in the free world is a binary-by-default despotism that polarizes extremely ludic fantasies on the left met with the acrimony of the traditionalisms on the right that staunchly resist the fatuous confusions of delegated order only to the sharp rebuke of the revamped political vogue that owes its sustenance to a manufactured diplomacy of saccharine lies and ubiquitous lampoons that are lopsided in the direction of a globalist neoliberal bricolage of moderately popular buzzwords and the trojan horse of insubordinate flippant feminism that seeks to subvert through backhanded manipulation the patriarchy so many resent using lowbrow tactics and poignant case studies rather than legislating the egalitarian system into law using the proper channels. I myself am a political independent who sides with fiscal conservatism but libertarianism in most other affairs because the pettifoggery of law-and-order politics is a diatribe overused by sheltered suburbanites and red meat is often just as fatuous as blue tinsel and sadly in a majoritarian society the ushers of conformity demand corporate divestiture in favor of an ecological system of predictability rather than an opinionated welter of legitimate challenges to a broken system of backwards partisanship and wangled consent. Ultimately, I remain mostly apolitical, but I am a fervent champion of the mobilization of education to a statelier standard that demands rigor and responsibility rather than the chafe of rigmarole that understates the common objectives of humanity and rewards conventional thinking and nominal participation to earn credentialed pedigree when the bulk of talent resides elsewhere.