De ces journées ternes où le ciel plat et infini Plafonne sur nos vies, cantonnant nos humeurs, Se dresse parfois un luisant et pâle trait à l'horizon, Vaine rumeur lointaine d'avenirs moins sombres;
Mais à en fixer le contraste, cette strate nous surplombant Se métamorphosera lentement en vierge ciel, Clair comme l'azure de ces lentes et chaudes journées, Et cette ligne lointaine, un rassurant paysage éloigné.
Prose de l'été 2012 convertie en structure poétique dix ans plus ****.
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