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Ola amigos  are you being harassed by a old woman
who ressembles a drag queen  or worn crack *****.
Then live in fear no longer.

Hello I am Mexican wrestling legend El *******.
I will put my years of profesional wrestling experience  to
great use taking this bully  putting them into a headlock and
wrestling them to the ground having my way with them.

No worries my online degree has taught me how to deal wit cyber bully's very well.
I will hunt them down and bring them to the court  of justice myself.

I represent many fine clients here please take my card.
turn it over im working on getting some.
Anyways you need help look no further than me.

Please come to me with any legal questions and join
the offices of El *******.
When you need help our  maybe just a cuddle
I am your one stop solution.

Thank you my friends.
Please I need the clients   I will fight for you till the  end
please hire me today
I learned early there ways.
Words that speak of  happiness.
Barbwire is the tongue of the heart that always
betrays.

You cant put your hopes on the false and untrue.
Deception doesnt  help the case.
For I can hold this bottle closer than you.

Bitter are my words  but it falls apon
deaf ears.
soaked are my memories.
Washed yet still they remain after all the beers.

Sugar dont worry with false emotions
just put it on my tab.
The warmth of this bed now ressembles a slab.

We struggle to recall who we once
were.
The partys the past mistakes.
It's a nothing more than a blur.

Hollow in heart is my truth filled obsession
Lovers often embrace in lies.
And hold hearts in bitter nights confession.
People mask pain becoming blind  to there own ways.
Just a on the spot write it's how most my work goes.
The Sparrow Mar 2013
Perhaps before you speak
you should arrange your thoughts into
something that ressembles a poem
because it seems all thoughts make more sense
when they speak to the mind as a poem does
On dirait ton regard d'une vapeur couvert ;
Ton oeil mystérieux (est-il bleu, gris ou vert ?)
Alternativement tendre, rêveur, cruel,
Réfléchit l'indolence et la pâleur du ciel.

Tu rappelles ces jours blancs, tièdes et voilés,
Qui font se fondre en pleurs les coeurs ensorcelés,
Quand, agités d'un mal inconnu qui les tord,
Les nerfs trop éveillés raillent l'esprit qui dort.

Tu ressembles parfois à ces beaux horizons
Qu'allument les soleils des brumeuses saisons...
Comme tu resplendis, paysage mouillé
Qu'enflamment les rayons tombant d'un ciel brouillé !

Ô femme dangereuse, ô séduisants climats !
Adorerai-je aussi ta neige et vos frimas,
Et saurai-je tirer de l'implacable hiver
Des plaisirs plus aigus que la glace et le fer ?
VII.

Toi qui bats de ton flux fidèle
La roche où j'ai ployé mon aile,
Vaincu, mais non pas abattu,
Gouffre où l'air joue, où l'esquif sombre
Pourquoi me parles-tu dans l'ombre ?
Ô sombre mer, que me veux-tu ?

Tu n'y peux rien ! Ronge tes digues,
Epands l'onde que tu prodigues,
Laisse-moi souffrir et rêver ;
Toutes les eaux de ton abîme,
Hélas ! passeraient sur ce crime,
Ô vaste mer, sans le laver !

Je comprends, tu veux m'en distraire
Tu me dis : Calme-toi, mon frère,
Calme-toi, penseur orageux !
Mais toi-même alors, mer profonde,
Calme ton flot puissant qui gronde,
Toujours amer, jamais fangeux !

Tu crois en ton pouvoir suprême,
Toi qu'on admire, toi qu'on aime,
Toi qui ressembles au destin,
Toi que les cieux ont azurée,
Toi qui dans ton onde sacrée
Laves l'étoile du matin !

Tu me dis : Viens, contemple, oublie !
Tu me montres le mât qui plie,
Les blocs verdis, les caps croulants,
L'écume au **** dans les décombres,
S'abattant sur les rochers sombres
Comme une troupe d'oiseaux blancs,

La pêcheuse aux pieds nus qui chante,
L'eau bleue où fuit la nef penchants,
Le marin, rude laboureur,
Les hautes vagues en démence
Tu me montres ta grâce immense
Mêlée à ton immense horreur ;

Tu me dis : Donne-moi ton âme  
Proscrit, éteins en moi ta flamme  
Marcheur, jette aux flots ton bâton
Tourne vers moi ta vue ingrate.
Tu me dis : J'endormais Socrate !
Tu me dis : J'ai calmé Caton !

Non ! respecte l'âpre pensée,
L'âme du juste courroucée,
L'esprit qui songe aux noirs forfaits !
Parle aux vieux rochers, tes conquêtes,
Et laisse en repos mes tempêtes !
D'ailleurs, mer sombre, je te hais !

Ô mer ! n'est-ce pas toi, servante,
Qui traînes sur ton eau mouvante,
Parmi les vents et les écueils,
Vers Cayenne aux fosses profondes
Ces noirs pontons qui sur tes ondes
Passent comme de grands cercueils !

N'est-ce pas toi qui les emportes
Vers le sépulcre ouvrant ses portes,
Tous nos martyrs au front serein,
Dans la cale où manque la paille,
Où les canons pleins de mitraille,
Béants, passent leur cou d'airain !

Et s'ils pleurent, si les tortures  
Font fléchir ces hautes natures,
N'est-ce pas toi, gouffre exécré,
Qui te mêles à leur supplice,
Et qui de ta rumeur complice
Couvres leur cri désespéré !

Du 16 au 22 novembre 1852, à Jersey

— The End —