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Jay Jimenez Feb 2013
Little missels
Sparklie crystals
jedi mind tricks
play in my bedroom
I spy the pill jar
with a little bud waiting to be broken down and rolled.
I lick the blunt
and crack it down
tabacoo spinkels and covers my floor
I grasp the bud and crack it in half
and the stink of it overwhelms my automosphere.
The song skips and tupac all eyes on me stars playing
as I begin to roll the bud I get a since of joy and happiness
that soon ill be blitzed
I know I got good bud
because when I do my dog wobbels in to enjoy it.
I spark it and that little popping noise of the dank thc circles me.
I take a big drag but carefully so the cherry doesn't get to long
Nekron Aug 2018
I saw you just taking out the trash, but I didn’t want to seem like a creep, so I let things skip a beat and now I’m thinking of your smile and your face but I’m at windows distance and I figure that you want some space or you’d be hitting me up and right now so I stand between the

Crater filled lakes of ash and ****,
scoured landscapes sickened by flame.
Fire and breath of choking ash distended disarray

Lava lakes and crater making mash
the splintering soul coming through, gashing and weighing in on itself.
it knows little of the chopped trees gutted for domicile.

The fresh roots poke from soil
and I sit and think about how I can dig holes around myself and with that somehow take something away,
like a tree or a treasonous wish.
Pitfalls and kush. Smoking the herb and with wishes of last dishes

Misguided missels firing,
their exhaust coughing plumes,
and strands of future tears,
and beams of heat pierce the sky,
molding oxygen to any form fit.

Distraught I revisit the past.
The crashing pain and aftermath,
the raking claws, the jaws and teeth, seeping from the soil.
Coiled snakes flicking tounges
and young souls.
old and putrid piles of bones,
left alone to shine bright,
and tranluscent as night falls, my mind is old and misguided.

I’ll cry out in distress I’ll never find the proper time to relax
I now know I’m worth nothing
I’m suckin in air taking up gas
I’m stressed but I’ll find
That throwing refuse onto a pile
Of burning rubber. the cooling bubbles

The trying times of today.
Getting out of slumber,
waking up to stay alive,
gritting teeth I hate myself
I am the pain and suffering, and that is why the suffering exists only in myself. without a body such as my own, perhaps suffering could cease.
Parqués entre des bancs de chêne, aux coins d'église
Qu'attiédit puamment leur souffle, tous leurs yeux
Vers le choeur ruisselant d'orrie et la maîtrise
Aux vingt gueules gueulant les cantiques pieux ;

Comme un parfum de pain humant l'odeur de cire,
Heureux, humiliés comme des chiens battus,
Les Pauvres au bon Dieu, le patron et le sire,
Tendent leurs oremus risibles et têtus.

Aux femmes, c'est bien bon de faire des bancs lisses,
Après les six jours noirs ou Dieu les fait souffrir !
Elles bercent, tordus dans d'étranges pelisses,
Des espèces d'enfants qui pleurent à mourir.

Leurs seins crasseux dehors, ces mangeuses de soupe,
Une prière aux yeux et ne priant jamais,
Regardent parader mauvaisement un groupe
De gamines avec leurs chapeaux déformés.

Dehors, le froid, la faim, l'homme en ribote :
C'est bon. Encore une heure ; après, les maux sans noms !
- Cependant, alentour, geint, nasille, chuchote
Une collection de vieilles à fanons :

Ces effarés y sont et ces épileptiques
Dont on se détournait hier aux carrefours ;
Et, fringalant du nez dans des missels antiques,
Ces aveugles qu'un chien introduit dans les cours.

Et tous, bavant la foi mendiante et stupide,
Récitent la complainte infinie à Jésus,
Qui rêve en haut, jauni par le vitrail livide,
**** des maigres mauvais et des méchants pansus,

**** des senteurs de viande et d'étoffes moisies,
Farce prostrée et sombre aux gestes repoussants ;
- Et l'oraison fleurit d'expressions choisies,
Et les mysticités prennent des tons pressants,

Quand, des nefs où périt le soleil, plis de soie
Banals, sourires verts, les Dames des quartiers
Distingués, - ô Jésus ! - les malades du foie
Font baiser leurs longs doigts jaunes aux bénitiers.
TT Jul 2015
Tiny missels cut across the nighttime sky
Each earth shattering bang continuously rings in the ears of thousands,
As the colorful aftermath delicately tapers off into the distance.
Once again, the sky is clear
For these shimmery bulbs of light have fulfilled their destiny
One combustion
One reaction
One disappearance
And worst of all,
They make it look easy
Parqués entre des bancs de chêne, aux coins d'église
Qu'attiédit puamment leur souffle, tous leurs yeux
Vers le choeur ruisselant d'orrie et la maîtrise
Aux vingt gueules gueulant les cantiques pieux ;

Comme un parfum de pain humant l'odeur de cire,
Heureux, humiliés comme des chiens battus,
Les Pauvres au bon Dieu, le patron et le sire,
Tendent leurs oremus risibles et têtus.

Aux femmes, c'est bien bon de faire des bancs lisses,
Après les six jours noirs ou Dieu les fait souffrir !
Elles bercent, tordus dans d'étranges pelisses,
Des espèces d'enfants qui pleurent à mourir.

Leurs seins crasseux dehors, ces mangeuses de soupe,
Une prière aux yeux et ne priant jamais,
Regardent parader mauvaisement un groupe
De gamines avec leurs chapeaux déformés.

Dehors, le froid, la faim, l'homme en ribote :
C'est bon. Encore une heure ; après, les maux sans noms !
- Cependant, alentour, geint, nasille, chuchote
Une collection de vieilles à fanons :

Ces effarés y sont et ces épileptiques
Dont on se détournait hier aux carrefours ;
Et, fringalant du nez dans des missels antiques,
Ces aveugles qu'un chien introduit dans les cours.

Et tous, bavant la foi mendiante et stupide,
Récitent la complainte infinie à Jésus,
Qui rêve en haut, jauni par le vitrail livide,
**** des maigres mauvais et des méchants pansus,

**** des senteurs de viande et d'étoffes moisies,
Farce prostrée et sombre aux gestes repoussants ;
- Et l'oraison fleurit d'expressions choisies,
Et les mysticités prennent des tons pressants,

Quand, des nefs où périt le soleil, plis de soie
Banals, sourires verts, les Dames des quartiers
Distingués, - ô Jésus ! - les malades du foie
Font baiser leurs longs doigts jaunes aux bénitiers.

— The End —