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K Mae Sep 2013
respond*
find these bones
immerse them in saline lymph, tidal bay
grow sinew, venous pathways
overflow
hear turtle dolphin whale
entrain common pulsing
palpate boundaries  
reshape
broadcast one secret vast owning smile
inspired by Vircapio, his responses, and his poem Afissos... alchemy of recognition, shelter in the storm
Paul d'Aubin Oct 2013
Au bord du canal Saint-Martin
(Paris Xème)

Au bord du canal saint Martin,
des mouettes piaillent au matin
et les pigeons avec entrain,
fondent sur les miettes de pain.
Au bord du canal saint Martin,
des promeneurs vont leur chemin,
sous les marronniers immobiles,
et s'arrêtent parfois «Chez Prune»,

Au bord du canal Saint-Martin,
il y a des chats efflanqués,
et des matous dodelinant,
captant le regard des passants.
Au bord du canal saint Martin,
y' a des junkies à la dérive,
et des bobos un peu frimeurs,
longeant ses quais en leur verdeur.

Au bord du canal saint Martin,
des sans-logis errent en vain
s’abandonnant au «sans souci»,
pour faire taire tous leurs ennuis.
Au bord du canal saint Martin,
l'on voit flotter quelques écluses,
que les flâneurs et «songe creux»,
traversent et retraversent, sans fin,

Au bord du canal saint Martin,
il est aussi bien des canards
dont plumage et mouvements,
captent les regards des enfants.
Au bord du canal saint Martin
l'on aperçoit les «roubaisiennes»,
des pêcheurs du dimanche soir '
jouant à la pêche aux goujons.

Au bord du canal saint Martin
y a de l'espoir et des chagrins,
des amoureux, mains dans les mains,
des esseulés, dès le matin,
Au bord du canal saint Martin,
c'est tout près de l'hôtel du Nord,
de la dégaine d'Arletty,
qui tourne la tête aux titis.

Au bord du canal saint Martin
ce n’est pas soleil tous les matins,
et faut parfois être malin,
pour la bectance quand il fait faim.
Au bord du canal. Saint Martin,
paraitre sérieux semble vain
tant les feuilles dorées tournoient
et l’automne se fait câlin.

Paul Arrighi
No Equity Dec 2011
Comme des enfants,
On va s’échanger des notes
Où on devra cocher «oui» ou «non»

Un «oui» incertain
Plein d’espoirs enfantins
Plein d’amour et d’entrain

Un «non» angoissé
Plein de noirceur tamisée
Plein de déni et d’ambigüité

Comme des enfants,
On va jouer à cache-cache
Dans nos rêves ou dans la forêt

Camouflés de nuages
Cachés dans le feuillage
Le ferais-tu même à notre âge?

Et quand tu vas poser tes yeux sur les miens
J’n’hésiterai pas, j’vais prendre ta main
J’n’hésiterai pas, j’vais agir plus ou moins

Comme un enfant
French
K Mae Nov 2015
intending Walkabout
with personal creations all acrumble as we move
our long held sacred stories  shown untrue
but let us go
the dreaming muscle will sustain
beauty consciousness entrain
unknown need not submit to fears
the demons not to rule
with baggage left behind us
we can swing a freedom dance
lessons need not bear a whip
we may just ride creatorship
trust love to rise above the mask
and find we're worthy of no task
and suffering just may not after all
*be the chosen path
EM Dec 2014
Il avait le regard le plus doux qu'elle n'aie jamais vu et un sourire a en mourir.. pour combien de temps celui ci va t'il durer? Ce demande -elle en le contemplant.. Elle adorait le regarder entrain d’étudier. elle trouvait un grand charme dans son côté travailleur. Les opposés s'attirent se dit elle avec un léger sourire.. Évidement ils étaient des opposés. Il était romantique, elle ne l'était pas. Il était sérieux, elle ne l'était pas du tout. Il aimait le chocolat blanc, elle le détestait. Il aimait le whisky, elle ne le supportait pas.. mais pourtant il a su la conquérir: ce qu'elle n'aimait pas admettre; elle a toujours essayer d'éviter l'amour qui, pour elle, était un synonyme de peine et misère, dieu sait que sa dernière -et d’ailleurs première- confrontation avec ce dernier n'as pas était des plus joyeuse et elle aurait préférer mourir mille fois avant de retomber dans ce tourbillon de pleurs et d'agonie amoureuse, mais pourtant maintenant plus que tout elle adorait sa présence, entendre sa respiration de bébé, son rire, ses mots doux, son tout, elle l'adorait finalement lui ,car, voyez vous, certains gens donnent valeur au choses, certains gens on devrait jamais les laisser partir, certains gens méritent tout l'amour qu'on leur donne, ils rendent les choses meilleur, ils sont tout simplement des anges, des cadeaux de dieu et lui faisait partie de ces gens ce qui fait qu'il a vite pris une place dans son cœur en dissipant ses doutes et ses peurs, prenant possession complète de celui ci et a fait de sa présence un élément indispensable chez elle, qui trouvait quelque chose de dévastateur, voir effrayant dans son absence.. tel faire face à sa plus grande peur.. un mélange de tristesse, de peur, de curiosité et en même temps un immense vide s'emparent d'elle a chaque fois qu'il s'en va..  elle ne sait pas, elle ne sait juste pas comment ce gars est devenu si important, si vital pour elle mais il l'est, peut être serait-il "le bon"? elle l’espérait anxieusement. elle avait hâte de se réveiller chaque matin a ses cotés, de passer ses jours avec lui ayant des fous rires, parlant de tout et de rien, jouant comme des gamins, construisant leurs rêves ensemble et de passer ses nuits a lui faire passionnément l'amour ou a se blottir dans ses bras en attendant que Morphée vienne l'emmener ****, **** dans un monde ou elle rêvera de lui, de ses lèvres parfaites, de sa douce barbe et  la chaleur de son enlacement. oui, elle avait hâte pour tout ça, elle avait hâte pour lui, mais quelque chose en elle, un monstre habitant les pénombres de son âme, lui disait de se méfier et de prendre ses distances avec lui, se monstre était sa raison. dans le monde fou, absurde, empirique, irrationnel, farfelue,fantaisiste, antilogique, et confus de l'amour la raison est un monstre désastreux, se trouvant alors déchirée entre son idiot de cœur et sa stricte raison elle se rappela de quelque chose qu'il lui a dit. "quand j'ai des doutes,quand des questions mal saines me tiennent, quand n'importe quel chose arrive, je ne donne a moi même qu'une seule repense, je me dit que je t'aime, et cela est toujours suffisant pour faire disparaître tout de mal, rien d'autre n'as d'importance" "je l'aime" se dit-elle alors écrasant le monstre de son jugement et en se rapprochant de lui avec un regard coquin qui en disait long sur ses intentions pour ce soir.
John F McCullagh Jul 2012
From the time the boy could stand
his Dad had brought him on the Seven.
To see the Mets they both would go,
before he'd even learned to throw.

All through his childhood and past his teens.
They'd entrain to their field of dreams.
Their Mets found many ways to lose-
most years they had godawful teams.

So soon it was his time to go.
Children grow and Time flies they say-
His son now has his place downtown
A few short miles and a world away.

Opening day is a magical land
That once more found them in the stands
Cheering loud, their voices hoarse,
as their team booked yet another loss.

After the excitement of the game
waiting on the platform for their trains
The two men hugged with obvious affection,
then entrained in opposite directions.
The number 7 train runs from Flushing in Queens past Citifield and the national Tennis center to Times Square in Manhattan.
all of our answers turn out to be true
though journeys start and end in pouring rain
there comes a time to pause and take the view

our knowledge is constrained by what is new
not by the old nor yet by thoughts of gain
all of our answers turn out to be true

since what we've done must constitute a coup
in favour of the honest and the plain
there comes a time to pause and take the view

of all the folk whose minds may yet construe
the simple vision that when we entrain
all of our answers turn out to be true

both to our hearts and to those who are due
the seats of honour and the high domain
there comes a time to pause and take the view

when all is clear and the noon sky full blue
we are redeemed by virtue of our pain
all of our answers turn out to be true
there comes a time to pause and take the view
J'ai souvent comparé la villégiature
Aux phases d'un voyage entrepris en commun
Avec des étrangers de diverse nature
Dont on n'a de ses jours vu ni connu pas un.

Au début de la route, en montant en voiture,
On s'observe : - l'un l'autre on se trouve importun ;
L'entretien languissant meurt faute de pâture...
Mais, petit à petit, on s'anime ; et chacun

A l'entrain général à son tour s'associe :
On cause, on s'abandonne, et plus d'un s'apprécie.
- Les chevaux cependant marchent sans s'arrêter ;

Et c'est lorsqu'on commence à peine à se connaître,
Que l'on se juge mieux, - qu'on s'aimerait peut-être,
- C'est alors qu'on arrive, - et qu'il faut se quitter.
Laura Coulton May 2021
Right person, wrong time.
All of the things I wish I could’ve told you.

From the minute I met you, I knew I would love you for the rest of my life.
Sitting up on that hill with you,
In the dusk,
The summer warmth still lingering.
Looking at you that day, I just knew you were my person.
It broke my heart how little time we had together.
I cried in the car on the way home,
Mourning what could’ve been.

A few days later,
After sleepless nights and crying until my body was bone-dry and numb,
My phone screen lit up.

It was you.

My heart flew into my throat and I froze.
You went out of your way to find me,
And I guess you felt the same as I did in that moment of your life.

We spoke day and night,
You were all I wanted to pay attention to for such a long time.

Waiting for you at the train station that day was the most scared I have ever been in my life.
As soon as you came up to me and enveloped me in your arms,
Everything melted away.

I was home.

I could’ve spent all day with you,
Talking to you,
Kissing you,
Just watching you.
Trying to entrain every part of your being into my brain,
As to not forget a thing.

When you shouted from the train that you love me as you were leaving,
Everything came crashing down again.
You were leaving me,
And I couldn’t handle it.

I was young and I was stupid and I was hurting because I couldn’t be with you,
So I began to self destruct.

I pushed you away and I hurt you so you would leave me on your own accord.
In the process,
I hurt you more than I ever wished,
And I regret that every day.

I wish I could’ve held on,
I wish I couldn’t pulled myself together for you and made it work,
Because it would’ve been so worth it.

But I was weak
And I broke.

I love you,
I have since the minute I met you,
And I will forever.

Being alone scares me,
But what scares me more is the thought that I may never get the chance to love you like you always deserved.

I will always be here, quietly supporting you and rooting for you to find your happiness,
I just hope that one day I can share that happiness with you.
Not a day passes where you don’t cross my mind.

All my love, forever.
23.10.2015 - ♾

- L
Moria Bk Aug 2017
When you tried to prove
You  "the best"
I believed from that time
you were out of test

You were the first
who made the difference
showing me the color of friendship
when I was suffering in the crisis of it
I was ignored,
chocked with undeserved failure ;
rather in the course of forgetting myself-
completely  in the desert of compromises...

Yes!! you made the differences
making me realized that
I am in the notice of at least someone else

For a moment I felt
I have conquered something
by fighting with the fate

Why did you show a sudden change?!
Why did you took the help of storm
To save the sin of your soul?!
Why did you become desirous,
couldn't  stand my efforts anymore!!
Why did  you entrain the friendship
to the silly gossip mode?
Did you know, You cheered the people
who used to hurt me before...

No, I don't want the answers anymore
Just the thing you should know
You are "The Best" to teach me-
I am not right at all anymore.
#onesided friendship, #misunderstanding,# regret, #thankfulness
A Charles Vesseron


Une chanson folle et légère

Comme le drapeau tricolore

Court furieusement dans l'air,

Fifrant une France âpre encor.


Sa gaîté qui rit d'elle-même

Et du reste en passant se moque

Pourtant veut bien dire : Tandem !

Et vaticine le grand choc.


Écoutez ! le flonflon se pare

Des purs accents de la Patrie,

Espèce de chant du départ

Du gosse effrayant de Paris.


Il est le rythme, il est la joie,

Il est la Revanche essayée,

Il est l'entrain, il est tout, quoi !

Jusqu'au juron luron qui sied,


Jusqu'au cri de reconnaissance

Qu'on pousse quand il faut qu'on meure

De sang-froid, dans tout son bon sens,

Avec de l'honneur plein son cœur !

— The End —